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• Adulte et enfant de plus de 30 kg (environ 10 ans) : 3 à 6 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Femme enceinte : 1 ou 2 cuillères/ Gélule à café de sirop ou une Gélule par jour à partir du 4e mois de la grossesse (sur prescription médicale). • Enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 10 ans) : 4 à 5 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Enfant de 12 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans) : 3 à 4 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 8 à 12 kg (environ 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 5 à 8 kg (environ 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café de sirop par jour. Ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse ou l'allaitement uniquement s'il vous a été prescrit par votre médecin. (1)
• Adulte et enfant de plus de 30 kg (environ 10 ans) : 3 à 6 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Femme enceinte : 1 ou 2 cuillères/ Gélule à café de sirop ou une Gélule par jour à partir du 4e mois de la grossesse (sur prescription médicale). • Enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 10 ans) : 4 à 5 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Enfant de 12 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans) : 3 à 4 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 8 à 12 kg (environ 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 5 à 8 kg (environ 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café de sirop par jour. Ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse ou l'allaitement uniquement s'il vous a été prescrit par votre médecin. Nausées, diarrhée. Réaction allergique. (1)
• Adulte et enfant de plus de 30 kg (environ 10 ans) : 3 à 6 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Femme enceinte : 1 ou 2 cuillères/ Gélule à café de sirop ou une Gélule par jour à partir du 4e mois de la grossesse (sur prescription médicale). • Enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 10 ans) : 4 à 5 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Enfant de 12 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans) : 3 à 4 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 8 à 12 kg (environ 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 5 à 8 kg (environ 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café de sirop par jour. Ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse ou l'allaitement uniquement s'il vous a été prescrit par votre médecin. (1)
1 capsule par jour (soit environ 40 mg d'isoflavones de soja). Cure de 3 mois renouvelable. La consommation de ce complément alimentaire doit s'inscrire dans le cadre d'une alimentation aussi variée que possible. Ne pas dépasser les doses journalières conseillées. Tenir hors de la portée des enfants. (1)
1 comprimé par jour partir de la 24e semaine de grossesse, à prendre de préférence avant le repas, mais l'horaire de la prise est à adapter en fonction de la tolérance digestive. Grossesse : Des données cliniques négatives portant sur quelques milliers de femmes traitées, semblent exclure un effet néfaste du sulfate ferreux. En conséquence, ce médicament dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant la grossesse. Allaitement : Le passage du sulfate ferreux dans le lait maternel n'a pas été évalué, mais compte tenu de la nature de la molécule, l'administration de ce médicament est possible chez la femme qui allaite. (1)
Adulte et enfant de plus de 12 ans : 1 ou 2 comprimés à mâcher après les repas, à l’heure du couché ou dès qu’une gêne est ressentie. Enfant de 5 à 12 ans : 1 comprimé à mâcher après les repas, à l’heure du couché ou dès qu’une gêne est ressentie. Il est rare qu'un surdosage de Maalox ait un fort retentissement sur l'organisme. Les signes cliniques d'un surdosage de Maalox sont des nausées, des vomissements, une baisse de la pression artérielle, une diminution des réflexes, une somnolence, une hypoventilation, et parfois des troubles du rythme cardiaque. (1)
Adultes Sauf prescription contraire du médecin, appliquer plusieurs fois par jour un ruban de 5 à 10 cm de gel (soit environ 75 à 150 mg d’étofénamate) sur la zone à traiter et les alentours puis faire pénétrer. La durée du traitement est fonction de la prescription médicale et du succès thérapeutique. Une réévaluation du traitement au bout de deux semaines est recommandée. Enfants Pour l’heure, l’utilisation et la sécurité d’emploi de ce médicament Gel chez les enfants et les adolescents n’ont pas encore fait l’objet d’études systématiques. L’étofénamate appliqué par voie topique n’ayant aucun effet avéré sur le système nerveux central, aucune altération de l’aptitude à la conduite ou à l’utilisation de machines n’est à craindre. Effets indésirables Des réactions allergiques locales telles que rougeurs, éruptions cutanées et dermatites de contact peuvent survenir dans de rares cas. Si ce médicament Gel est appliqué de manière prolongée sur de grandes surfaces cutanées, l’apparition d’effets secondaires tels que ceux consécutifs à l’application systémique d’anti-rhumatismaux non stéroïdiens ne peut être exclue. Les études sur la reproduction effectuées sur les animaux n’ont révélé aucun risque pour les foetus mais aucune étude contrôlée n’a été menée auprès des femmes enceintes. Par conséquent, ce médicament Gel ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, et ce notamment durant les trois derniers mois, étant donné le risque de fermeture prématurée du canal artériel (canal de Botal) et d’inhibition des contractions utérines. Allaitement A ce jour, il n’est pas établi si l’étofénamate appliqué par voie topique passe ou non dans le lait maternel. Par conséquent, ce médicament Gel ne doit pas être utilisé chez les femmes allaitantes. En cas d’indication impérative, ce médicament Gel ne doit pas être appliqué sur la zone des seins ni sur de grandes surfaces et ne doit être utilisé que sur une courte durée. (1)
Ce médicament contient du sodium. Ce médicament contient 145 mg pour 2 cuillères à café. A prendre en compte chez les patients suivant un régime hyposodé strict. Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de propyle et du parahydroxybenzoate de méthyle et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées). Ce médicament contient du calcium : 160 mg de carbonate de calcium pour 2 cuillères à café. Des précautions doivent être prises chez les patients présentant une hypercalcémie, une néphrocalcinose et ayant des calculs rénaux. Hypercalcémie Néphrocalcinose Calcul rénal Régime hyposodé Régime désodé (1)
Ce médicament est administré par voie orale et peut être pris avec ou sans aliments. Lorsqu'un soulagement rapide est nécessaire, il est à noter que l'efficacité du médicament est plus précoce si l'étoricoxib est administré sans aliments. En raison de l'augmentation possible des risques cardiovasculaires de l'étoricoxib avec la dose et la durée de traitement, ce médicament doit être prescrit à la dose minimale journalière efficace pendant la période la plus courte possible. La nécessité du traitement symptomatique et son efficacité thérapeutique pour le patient devront être réévaluées périodiquement, en particulier chez les patients atteints d'arthrose (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi, Effets indésirables, Pharmacodynamie). La dose recommandée est de 30 mg une fois par jour. Chez certains patients, lorsque le soulagement des symptômes est insuffisant, une augmentation de la dose à 60 mg une fois par jour peut améliorer l'efficacité. En l'absence d'amélioration du bénéfice thérapeutique, d'autres traitements doivent être envisagés. Des doses supérieures à celles recommandées n'ont pas, soit démontré d'efficacité supplémentaire, soit été étudiées. Par conséquent, dans l'arthrose, la dose de 60 mg une fois par jour ne sera pas dépassée. Sujet âgé : Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire chez le sujet âgé. Comme avec d'autres médicaments, la prudence est requise chez les patients âgés (cf Mises en garde et Précautions d'emploi). Insuffisance hépatique : Chez les patients ayant une atteinte hépatique légère (score de Child-Pugh de 5 à 6), la dose de 60 mg une fois par jour ne sera pas dépassée. Chez les patients ayant une atteinte hépatique modérée (score de Child-Pugh de 7 à 9), la dose de 60 mg un jour sur deux ne sera pas dépassée ; l'administration de 30 mg une fois par jour peut également être envisagée. L'expérience clinique est particulièrement limitée chez les patients ayant une atteinte hépatique modérée et la prudence est recommandée. Il n'y a aucune expérience clinique chez les patients ayant une atteinte hépatique sévère (score de Child-Pugh >= 10) ; par conséquent, l'utilisation de ce médicament est contre-indiquée chez ces patients (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi, Pharmacocinétique). Insuffisance rénale : Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire chez les patients ayant une clairance de la créatinine >= 30 ml/min (cf Pharmacocinétique). L'utilisation d'étoricoxib est contre-indiquée chez les patients ayant une clairance de la créatinine (1)
Ce médicament est pris de préférence après les repas. Les comprimés à libération prolongée doivent être avalés entiers sans être croqués. Posologie usuelle : 1 comprimé à 2,5 mg, 3 fois par jour, ou 1 comprimé LP 5 mg 2 fois par jour ou 1 comprimé LP 10 mg le soir. (1)
Ce médicament est pris de préférence avant un repas. Il doit être avalé avec un peu d'eau sans être croqué ni écrasé. Posologie usuelle : Adulte : traitement des symptômes du reflux gastro-œsophagien et prévention des récidives d'inflammation de l'œsophage : 20 mg par jour ; traitement de l'inflammation de l'œsophage et des ulcères de l'estomac ou du duodénum : 40 mg par jour, pendant 4 à 8 semaines ; éradication d'Helicobacter pylori : 40 mg 2 fois par jour, associé à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 40 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine ; syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle ; traitement préventif des ulcères gastroduodénaux induits par les anti-inflammatoires (AINS) : 20 mg par jour. Enfant de 12 à 15 ans : traitement du reflux gastro-œsophagien et de l'inflammation de l'œsophage : 20 mg par jour. (1)
Ce médicament peut être pris indifféremment au cours ou en dehors des repas. En cas de prise en dehors des repas, il ne faut pas prendre cet antibiotique avec des produits laitiers (par exemple, lait, yaourt) ou des boissons enrichies en minéraux (notamment en calcium). Posologie usuelle : Adulte : 250 mg à 750 mg, matin et soir. La durée du traitement varie de 5 à 21 jours selon les infections. En cas d'infection génitale à gonocoque : 500 mg, en une prise unique. A la suite d'un surdosage de 12 g, des symptômes légers de toxicité ont été décrits. Une insuffisance rénale aiguë a été signalée à la suite d'un surdosage aigu de 16 g. Les symptômes du surdosage sont les suivants : étourdissements, tremblements, céphalées, asthénie, crises convulsives, hallucinations, confusion, gêne abdominale, insuffisance rénale et hépatique, ainsi que cristallurie et hématurie. Une toxicité rénale réversible a été décrite. En plus des mesures d'urgence standard, il est recommandé de surveiller la fonction rénale, notamment le pH urinaire, et d'acidifier, si nécessaire, afin d'éviter une cristallurie. Les patients doivent bénéficier d'une hydratation correcte. L'hémodialyse ou la dialyse péritonéale ne permettent d'éliminer la ciprofloxacine qu'en faible quantité ( (1)
Ce médicament peut provoquer un glaucome aigu chez les personnes prédisposées : œil rouge, dur et douloureux, avec vision floue. Une consultation d'extrême urgence auprès d'un ophtalmologiste est nécessaire. Du fait de la présence d'un antihistaminique ayant des propriétés sédatives et atropiniques, des précautions sont nécessaires chez la personne âgée, notamment en cas de constipation chronique, d'adénome de la prostate, de tendance aux vertiges ou aux baisses de tension. Le paracétamol est présent seul ou en association avec d'autres substances dans de nombreux médicaments : assurez-vous de ne pas prendre simultanément plusieurs médicaments contenant du paracétamol, car une prise conjointe entraîne un risque de surdosage qui peut être toxique pour le foie. Évitez les boissons alcoolisées : augmentation du risque de somnolence. Attention : conducteurCe médicament peut induire une somnolence, parfois intense chez certaines personnes. Cette somnolence peut être augmentée par la prise d'alcool ou d'autres médicaments sédatifs. La conduite et l'utilisation de machines dangereuses sont déconseillées, surtout dans les heures qui suivent la prise du médicament. (1)
Cette insuline est habituellement injectée par voie sous-cutanée, dans les zones recommandées par votre médecin, en essayant de varier les sites d'injection pour éviter l'apparition de lipodystrophies (nodules et épaississement de la peau). Elle ne doit être injectée par voie intramusculaire ou par voie intraveineuse qu'en milieu hospitalier ou sous surveillance médicale. Pour un meilleur confort, l'insuline peut être sortie du réfrigérateur une heure avant l'injection ou réchauffée dans les mains pendant quelques minutes, puis injectée à température ambiante. Posologie usuelle : Elle est adaptée en fonction des résultats des analyses réalisées par le diabétique ou par son entourage (carnet de surveillance) et des conseils de son médecin. Hypoglycémie (voir ATTENTION), légers troubles de la vision en début de traitement, nodules graisseux sous-cutanés (lipodystrophies). Rarement : réaction allergique essentiellement cutanée. Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. Grossesse : L'insuline est adaptée au diabète de la femme enceinte ou aux troubles passagers de la glycémie pendant la durée de la grossesse. Allaitement : Le traitement par l'insuline n'est pas une contre-indication à l'allaitement. (1)
Chez l'adulte : Dans les candidoses vaginales et périnéales aiguës et récidivantes : le fluconazole est prescrit en dose unique de 150 mg. Chez le sujet âgé : Aucun ajustement de posologie en fonction de la clairance de la créatinine n'est nécessaire dans le traitement à dose unique. En cas de surdosage, le traitement est symptomatique avec des soins adaptés et un lavage gastrique si nécessaire. Le fluconazole est en grande partie éliminé dans les urines ; son élimination est favorisée par une diurèse provoquée. Une séance d'hémodialyse de 3 heures permet d'abaisser d'environ 50 % les taux plasmatiques. (1)
Chez les patients présentant des atteintes connues hépatiques et/ou rénales ainsi que lorsqu'une pathologie sévère est associée, une surveillance des tests hépatiques est conseillée; l'arrêt du fluconazole sera envisagé en cas d'aggravation d'une anomalie préalable des tests hépatiques. Le patient devra être informé qu'en cas de survenue de symptômes évocateurs d'atteinte hépatique grave (asthénie importante, anorexie, nausées persistantes, vomissements, ictère) le traitement par fluconazole devra être immédiatement arrêté et qu'il devra consulter un médecin. Une surveillance clinique particulière s'impose chez les patients ayant préalablement présenté une réaction cutanée associée à la prise de fluconazole ou un autre dérivé azolé. Le patient devra être informé qu'en cas de survenue de lésions bulleuses, le fluconazole devra être immédiatement arrêté et qu'il devra consulter un médecin le plus rapidement possible. Les azolés, dont le fluconazole, ont été associés à un allongement de l'intervalle QT sur l'électrocardiogramme. Dans les études de surveillance post-marketing chez des patients traités par fluconazole, de rares cas d'allongement de l'intervalle QT ainsi que des torsades de pointes ont été rapportés. Ces notifications font état de patients présentant des pathologies lourdes et de nombreux autres facteurs de risque notamment un allongement congénital du QT, des désordres électrolytiques ou certains traitements associés susceptibles d'y contribuer. Le fluconazole devra être administré avec précaution chez les patients présentant des conditions pro-l arythmogènes. Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au lactose. (1)
Comprimé : 6 comprimés enrobés par 24 heures. Solution injectable : • Traitement d'attaque : 1 à 3 ampoules par 24 heures par voie IV ou IM. • Traitement d'entretien : les comprimés ou les suppositoires prendront le relais du traitement d'attaque selon une posologie de 6 comprimés ou 3 suppositoires par 24 heures. Suppositoire : 3 suppositoires par 24 heures. Grossesse : Les études réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène du phloroglucinol. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, l'utilisation relativement répandue du phloroglucinol n'a apparemment révélé aucun risque malformatif à ce jour. Toutefois, des études épidémiologiques sont nécessaires pour vérifier l'absence de risque. En conséquence, l'utilisation de phloroglucinol ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. Allaitement : En l'absence de données, il est conseillé d'éviter l'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement. (1)
Enfant de 3 à 6 ans : 1 cuillère à café (5 ml) par jour. Adulte, adolescent et enfant âgé de plus de 6 ans : 2 cuillères à café par jour. Agiter le flacon avant emploi. Ne pas pencher le flacon pendant l'utilisation. Appuyer sur le gicleur orange jusqu'à ce que la cuillère soit pleine, puis supprimer la pression en enlevant le doigt du gicleur. Rincer à l'eau le gicleur et l'embout après usage. Très rarement, réactions allergiques à type d'éruption ou urticaire. (1)
Il est à noter des cas de : • troubles neuropsychiques (en fonction de la réactivité individuelle et principalement chez les personnes âgées) à type de confusion et, exceptionnellement, à type d'hallucination et/ou délire ; • convulsions, principalement après l'administration de doses élevées ou après un traitement concomitant par des médicaments qui peuvent abaisser le seuil épileptogène ou qui déclenchent eux-mêmes des convulsions (cf Mises en garde et Précautions d'emploi). Les effets indésirables le plus fréquemment rencontrés sont ceux de la classe des opiacés tels que : • nausées, vomissements ; • somnolence, céphalées, vertiges, hypersudation, sensation de malaise ; • sécheresse buccale ; • constipation en cas de prise prolongée. Plus rarement ont été rapportés : • douleurs abdominales, rash, asthénie, euphorie, troubles mineurs de la vision ; • troubles de la régulation cardiovasculaire : tachycardie, hypotension, palpitations, élévation de la pression artérielle. Très rarement ont été rapportés : • réaction anaphylactique à type d'urticaire, d'oedème de Quincke, de bronchospasme ainsi que des cas exceptionnels de choc anaphylactique pouvant être fatal ; • troubles mictionnels à type de dysurie et/ou de rétention urinaire ; • troubles de la fréquence respiratoire. Une dépression respiratoire peut survenir si les doses administrées dépassent largement les doses recommandées ou si d'autres médicaments dépresseurs centraux sont administrés de façon concomitante ; • cas de dépendance, de syndrome de sevrage après utilisation au long cours, comportant des symptômes tels que : agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux. • D'autres symptômes de sevrage ont été rarement rapportés, incluant attaque de panique, anxiété sévère, hallucinations, paresthésies, acouphènes, autres troubles du SNC. Dans quelques cas isolés, une augmentation des enzymes hépatiques a été rapportée lors de l'utilisation thérapeutique du tramadol. Les signes de surdosage sont : myosis, vomissements, collapsus cardiovasculaire, dépression respiratoire pouvant aller jusqu'à l'arrêt respiratoire, coma et convulsions. Les premiers gestes thérapeutiques seront le maintien des fonctions respiratoire et cardiovasculaire et le transfert en urgence en milieu hospitalier. La naloxone peut être utilisée en cas de dépression respiratoire, sous couvert d'un contrôle des fonctions respiratoires. Le diazépam peut être utilisé en cas de convulsions. Le tramadol est peu ou pas dialysable. Solution buvable : Attention, le flacon contenant une dose totale de 1 g de chlorhydrate de tramadol, l'ingestion accidentelle d'une quantité importante du flacon représente un risque grave pour le jeune enfant. (1)
La crème doit être appliquée après lavage et séchage soigneux de la zone à traiter. Posologie usuelle : 1 application, 2 fois par jour. La durée du traitement varient selon les infections. Suivre la prescription de votre médecin ou les conseils de votre pharmacien. Sensation de brûlure, rougeur, démangeaisons. Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. L'effet de ce médicament pendant la grossesse ou l'allaitement est mal connu. L'évaluation du risque éventuel lié à son utilisation est individuelle : demandez conseil à votre pharmacien ou à votre médecin. (1)
La dose initiale est de 1 mg de térazosine en une prise le soir au coucher. La posologie devra être ajustée selon la réponse individuelle du patient. A partir du 2ème jour de traitement, la dose est augmentée à 2 mg par jour, en une prise unique, pendant une semaine. A partir du 9ème jour, la posologie habituelle est de 5 mg au coucher. La posologie devra être ajustée selon la réponse individuelle du patient. En cas d'oubli de prise de la térazosine, des sensations vertigineuses peuvent survenir lors de la réintroduction du traitement. Dans ce cas un nouvel ajustement progressif de la dose sera nécessaire avec le même schéma d'augmentation des doses que lors de l'initiation du traitement. 1er jour (dose initiale) : 1 mg le soir au coucher du 2ème au 8ème jour : 2 mg en une seule prise au coucher (soit 2 comprimés à 1 mg) A partir du 9ème jour : 5 mg* en une prise au coucher (soit 5 comprimés à 1 mg ou 1 comprimé à 5 mg Les effets le plus souvent rencontrés sont: ·hypotension orthostatique avec perte de connaissance cédant rapidement en position allongée; ·lipothymies, étourdissements, sensations vertigineuses, ces effets apparaissant plus volontiers en début de traitement et/ou lorsque la posologie est augmentée trop rapidement; ·céphalées; ·troubles digestifs légers, nausées, diarrhée, constipation; ·sécheresse buccale; ·congestion nasale; ·éruptions cutanées de type allergique. L'indication thérapeutique ne concerne pas la femme. L'innocuité de la térazosine au cours de la grossesse et son passage dans le lait maternel ne sont pas connus. (1)
La solution injectable est obtenue en mélangeant la poudre avec le solvant fourni. Elle est injectée par voie intraveineuse lente, en perfusion ou éventuellement par voie sous-cutanée. Posologie usuelle : Elle est variable selon les cas. A titre indicatif : Adulte : 1 à 2 g par jour, en une injection quotidienne. Enfant et nourrisson : 50 mg par kg et par jour en une injection. La ceftriaxone est faiblement dialysable. Le traitement d'un surdosage doit être symptomatique. (1)
Le gel à raser Edge® Peau sensible renferme de l'aloès ainsi que des molécules lubrifiantes, afin d'améliorer la glisse du rasoir et de vous offrir un rasage en douceur. Vous pourrez ainsi vous concentrer sur les petites choses importantes de la vie. (1)
Les comprimés doivent être avalés entiers, avec un peu d'eau, au début du petit déjeuner (ou du repas de midi si vous ne mangez pas ou très peu le matin). Posologie usuelle : Adulte de plus de 18 ans : la dose initiale est de 1 comprimé à 1 mg par jour. L'adaptation de la posologie est faite ensuite, en fonction de la glycémie, en respectant des paliers d'au moins 1 semaine. La dose maximale quotidienne est de 6 mg. Suivre attentivement la prescription de votre médecin. Le régime alimentaire reste nécessaire pendant le traitement. Rares : hypoglycémie (voir Attention), anomalie de la numération formule sanguine. Très rares (moins de 1 cas sur 10 000) : nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales, atteinte du foie (jaunisse, cholestase, hépatite), réaction allergique. Autres effets possibles : troubles transitoires de la vision provoqués par les modifications de la glycémie, surtout en début de traitement, augmentation des transaminases, allergie cutanée (démangeaisons, rougeur de la peau, éruption cutanée), photosensibilisation. Grossesse : Un diabète mal équilibré peut être néfaste pour l'enfant à naître. Un désir de grossesse nécessite le remplacement de ce médicament par de l'insuline et une surveillance médicale renforcée. Si une grossesse survient alors que vous êtes encore sous traitement antidiabétique oral, consultez rapidement votre médecin pour un passage à l'insuline injectable. Allaitement : Les données disponibles ne permettent pas de savoir si ce médicament passe dans le lait maternel ; un choix est donc nécessaire entre l'allaitement et la prise du médicament. Cette décision devra être prise en accord avec votre médecin. (1)
Les comprimés peuvent être pris avec un peu d'eau ou croqués pendant les repas. Les comprimés ne sont pas adaptés à l'enfant de moins de 6 ans. En effet, ils risquent d'obstruer les voies respiratoires si l'enfant déglutit mal et que le comprimé passe dans la trachée (fausse route). Posologie usuelle : En cas d'oxyures : 1 seule prise, à renouveler au bout de 7 jours pour éviter une recontamination par les œufs qui ne sont pas détruits par le médicament. Adulte et enfant de plus de 2 ans : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, en 1 prise. Enfant de 1 à 2 ans : 1/2 flacon (5 ml), en 1 prise. En cas d'ascaris, de trichocéphales, d'ankylostomes : Adulte et enfant de plus de 2 ans : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, en 1 prise. Enfant de 1 à 2 ans : 1/2 flacon (5 ml), en 1 prise. En cas d'anguillule, de ténia : Adulte et enfant de plus de 2 ans : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, en 1 prise par jour, pendant 3 jours. En cas de lamblia (giardia) : Enfant : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, en 1 prise par jour, pendant 5 jours. En cas de trichinelles : Adulte : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, matin et soir, pendant 10 à 15 jours. Enfant : 7,5 mg par kg, matin et soir, pendant 10 à 15 jours ; soit, pour un enfant de 25 kg, 1/2 flacon (5 ml) matin et soir. Troubles digestifs, maux de tête, vertiges. En cas de traitement prolongé : fièvre, chute de cheveux, baisse du nombre de globules blancs, augmentation des transaminases (voir ATTENTION). Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. Grossesse : L'effet de ce médicament sur l'enfant à naître est mal connu. Son usage est déconseillé pendant la grossesse. Si une grossesse survient en cours de traitement, consultez votre médecin. Il est nécessaire d'arrêter la prise du médicament et de surveiller plus étroitement le développement du fœtus Allaitement : Les données actuellement disponibles ne permettent pas de savoir si ce médicament passe dans le lait maternel ; par mesure de prudence, il est déconseillé pendant l'allaitement. (1)
Les enfants de deux ans ou plus, en particulier ceux âgés de 2 à 7 ans et/ou de poids inférieur ou égal à 20 kg, doivent être traités avec précaution et étroitement surveillés en raison de l'incidence élevée et de la sévérité de la somnolence (cf Effets indésirables). Une attention particulière est nécessaire chez les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire sévère ou instable et incontrôlée. Lors des essais cliniques, quelques patients (12,7 %) ont présenté une réaction de type allergique oculaire avec Brimonidine (cf Effets indésirables). En cas de réaction allergique, le traitement doit être arrêté. Des réactions d'hypersensibilité oculaires retardées ont été rapportées avec Brimonidine 0,2 %, certaines étaient associées à une augmentation de la pression intra-oculaire. Brimonidine doit être utilisé avec précaution chez les patients souffrant de dépression, d'insuffisance cérébrale ou coronarienne, de phénomène de Raynaud, d'hypotension orthostatique ou de thromboangéite oblitérante. Brimonidine n'a pas été étudié chez les patients présentant des troubles hépatiques ou rénaux. Une attention particulière est nécessaire en cas de traitement de ces patients. Le chlorure de benzalkonium, agent conservateur présent dans Brimonidine, est susceptible d'entraîner une irritation oculaire. Il faut éviter la mise en contact avec les lentilles de contact souples. Il convient de retirer les lentilles de contact avant l'utilisation du collyre et d'attendre au moins 15 minutes avant de les remettre. Le chlorure de benzalkonium est susceptible de colorer les lentilles de contact souples. (1)
Les gélules doivent être prises de préférence le matin, à jeun, avec un demi-verre d'eau. Pour les personnes qui ont du mal à avaler les gélules, celles-ci peuvent être ouvertes, et leur contenu avalé avec un demi-verre d'eau ou mélangé à un aliment de type yaourt, compote de pommes ou à un jus de fruits légèrement acide (jus d'orange, de pomme ou d'ananas). Posologie usuelle : Adulte : la dose varie entre 10 et 40 mg, une fois par jour. Le plus souvent, la dose recommandée est de 20 mg par jour. La durée du traitement est habituellement de plusieurs semaines. Dans le syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle et plus élevée. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : 1 gélule à 20 mg 2 fois par jour, associée à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 1 gélule à 20 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine. Enfant : Dans le reflux gastro-œsophagien et les inflammations de l'œsophage : 1 gélule à 10 mg par jour pour les enfants de 10 à 20 kg et 1 gélule à 20 mg par jour pour les enfants de plus de 20 kg. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques associés est fixée par le médecin. Elle dépend du poids de l'enfant. (1)
Les gélules doivent être prises de préférence le matin, à jeun, avec un demi-verre d'eau. Pour les personnes qui ont du mal à avaler les gélules, celles-ci peuvent être ouvertes, et leur contenu avalé avec un demi-verre d'eau ou mélangé à un aliment de type yaourt, compote de pommes ou à un jus de fruits légèrement acide (jus d'orange, de pomme ou d'ananas). Posologie usuelle : Adulte : la dose varie entre 10 et 40 mg, une fois par jour. Le plus souvent, la dose recommandée est de 20 mg par jour. La durée du traitement est habituellement de plusieurs semaines. Dans le syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle et plus élevée. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : 1 gélule à 20 mg 2 fois par jour, associée à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 1 gélule à 20 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine. Enfant : Dans le reflux gastro-œsophagien et les inflammations de l'œsophage : 1 gélule à 10 mg par jour pour les enfants de 10 à 20 kg et 1 gélule à 20 mg par jour pour les enfants de plus de 20 kg. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques associés est fixée par le médecin. Elle dépend du poids de l'enfant. Des cas de diarrhées, constipation, douleurs abdominales, nausées/vomissements, céphalées et vertiges ont été rapportés ; de même des éruptions cutanées, des urticaires ou des prurits isolés ont été signalés. - De rares cas de confusion mentale réversible pouvant être associée à une agitation ou des hallucinations ont été observés, particulièrement chez des patients âgés ou insuffisants hépatiques. - Des cas isolés d'anomalies hématologiques ont été notés : leucopénie, neutropénie, thrombopénie, et très exceptionnellement pancytopénie et anémie hémolytique. - Des cas isolés d'élévation réversible des transaminases, de très rares cas d'atteintes hépatiques aiguës s'accompagnant exceptionnellement d'une insuffisance hépatique ont été observés. - De rares cas de gynécomastie ont été signalés. - De rares cas d'élévation de la créatinine ou d'insuffisance rénale généralement dus à une néphrite interstitielle ont été observés. - D'exceptionnelles hyponatrémies ont été signalées, en particulier chez le sujet âgé. - De très rares cas de photosensibilisation, d'érythème polymorphe, de syndrome de Stevens-Johnson et de syndrome de Lyell ont été observés. Les résultats de trois études épidémiologiques prospectives (plus de 1000 résultats d'expositions) indiquent qu'il n'y a aucun effet indésirable de l'oméprazole lors de la grossesse ou sur la santé du fœtus/nouveau-né. L'oméprazole peut être utilisé lors de la grossesse. L'oméprazole est excrété dans le lait maternel, mais n'a probablement pas d'influence sur l'enfant s'il est utilisé à dose thérapeutique. (1)
Les gélules doivent être prises de préférence le matin, à jeun, avec un demi-verre d'eau. Pour les personnes qui ont du mal à avaler les gélules, celles-ci peuvent être ouvertes, et leur contenu avalé avec un demi-verre d'eau ou mélangé à un aliment de type yaourt, compote de pommes ou à un jus de fruits légèrement acide (jus d'orange, de pomme ou d'ananas). Posologie usuelle : Adulte : la dose varie entre 10 et 40 mg, une fois par jour. Le plus souvent, la dose recommandée est de 20 mg par jour. La durée du traitement est habituellement de plusieurs semaines. Dans le syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle et plus élevée. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : 1 gélule à 20 mg 2 fois par jour, associée à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 1 gélule à 20 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine. Enfant : Dans le reflux gastro-œsophagien et les inflammations de l'œsophage : 1 gélule à 10 mg par jour pour les enfants de 10 à 20 kg et 1 gélule à 20 mg par jour pour les enfants de plus de 20 kg. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques associés est fixée par le médecin. Elle dépend du poids de l'enfant. Des cas de diarrhées, constipation, douleurs abdominales, nausées/vomissements, céphalées et vertiges ont été rapportés ; de même des éruptions cutanées, des urticaires ou des prurits isolés ont été signalés. - De rares cas de confusion mentale réversible pouvant être associée à une agitation ou des hallucinations ont été observés, particulièrement chez des patients âgés ou insuffisants hépatiques. - Des cas isolés d'anomalies hématologiques ont été notés : leucopénie, neutropénie, thrombopénie, et très exceptionnellement pancytopénie et anémie hémolytique. - Des cas isolés d'élévation réversible des transaminases, de très rares cas d'atteintes hépatiques aiguës s'accompagnant exceptionnellement d'une insuffisance hépatique ont été observés. - De rares cas de gynécomastie ont été signalés. - De rares cas d'élévation de la créatinine ou d'insuffisance rénale généralement dus à une néphrite interstitielle ont été observés. - D'exceptionnelles hyponatrémies ont été signalées, en particulier chez le sujet âgé. - De très rares cas de photosensibilisation, d'érythème polymorphe, de syndrome de Stevens-Johnson et de syndrome de Lyell ont été observés. Les résultats de trois études épidémiologiques prospectives (plus de 1000 résultats d'expositions) indiquent qu'il n'y a aucun effet indésirable de l'oméprazole lors de la grossesse ou sur la santé du fœtus/nouveau-né. L'oméprazole peut être utilisé lors de la grossesse. L'oméprazole est excrété dans le lait maternel, mais n'a probablement pas d'influence sur l'enfant s'il est utilisé à dose thérapeutique. Il y a peu d'information disponible relative aux effets d'un surdosage d'oméprazole chez les humains. Dans la littérature, des doses allant jusqu'à 560 mg ont été décrites, et des administrations de doses uniques orales d'oméprazole allant jusqu'à 2 400 mg (120 fois la dose clinique usuelle recommandée) ont été rapportées de façon occasionnelle. Nausées, vomissements, étourdissements, douleurs abdominales, diarrhées et céphalées ont été rapportés. De même des cas d'apathie, de dépression et de confusion ont été décrits dans des cas isolés. Les symptômes liés à un surdosage d'oméprazole décrits sont transitoires, et aucun effet grave n'a été rapporté. Le taux d'élimination est resté inchangé (cinétique de premier ordre) avec l'augmentation des doses. Le traitement, s'il est nécessaire, est symptomatique. (1)
Les repas ne modifient pas l'absorption du médicament, qui peut donc être pris à n'importe quel moment de la journée. Néanmoins, la prise du médicament au début du repas diminue le risque d'intolérance. La suspension buvable Nourrisson et enfant est préparée en dissolvant la poudre avec de l'eau en quantité suffisante pour que la solution obtenue atteigne le trait gravé sur le flacon. La dose par prise est indiquée, en fonction du poids de l'enfant, sur le piston de la pipette graduée en kg. 3 prises par jour sont nécessaires. Par exemple, la graduation no 10 correspond à la dose à administrer pour un enfant de 10 kg, 3 fois par jour. Le contenu du sachet doit être dissous dans un verre d'eau. Posologie usuelle : Elle est exprimée en quantité d'amoxicilline. Elle varie en fonction des indications. A titre indicatif et pour des infections courantes : Adulte : 1 g d'amoxicilline (soit 2 comprimés à 500 mg/62,5mg ou 1 sachet à 1g/125 mg), 2 ou 3 fois par jour. Enfant et nourrisson : 80 mg d'amoxicilline par kg et par jour, répartis en 3 prises. Soit, par exemple, pour un enfant de 20 kg : 1 pipette de suspension buvable enfant jusqu'à la graduation 20 kg, 3 fois par jour. Ne pas dépasser 3 g d'amoxicilline par jour. (1)
Marque CARDINAL HEALTH Taille 7,5 Stérile Oui Poudrés NON Destination Dispositif médical destiné à usage médical Éligible livraison cadencée NON (1)
Marque CARDINAL HEALTH Taille 8 Stérile Oui Poudrés OUI Destination Dispositif médical destiné à usage médical (1)
Mode d'administration Voie orale. Les comprimés sont à avaler entiers sans les croquer avec un verre d'eau, de préférence pendant le repas. Posologie La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes ( voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi ). Adulte: 1 comprimé 2 à 3 fois par jour. Lié au DICLOFENAC Grossesse Dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque. Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer: •Le fœtus à: o Une toxicité cardio-pulmonaire (hypertension artérielle pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel), o Un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligoamnios, •La mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. En conséquence, la prescription d'A.I.N.S. ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse. En dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'A.I.N.S. est contre-indiquée à partir du 6ème mois. Allaitement Les A.I.N.S. passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite. Lié au PARACETAMOL Grossesse Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène ou fœtotoxique du paracétamol. En clinique, les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif ou fœtotoxique particulier du paracétamol. En conséquence, le paracétamol, dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant toute la grossesse. Allaitement A doses thérapeutiques, l'administration de ce médicament est possible pendant l'allaitement. (1)
Nourrisson de 6 à 30 mois : 8 mg par kg et par jour, en 2 prises espacées de 12 heures ; soit, par exemple, pour un nourrisson de 8 kg : 1 pipette remplie de suspension buvable Nourrisson jusqu'à la graduation 8 kg, 2 fois par jour. • Enfant de 30 mois à 12 ans : 8 mg par kg et par jour, en 2 prises espacées de 12 heures ; soit, par exemple, pour un enfant de 12 kg : 1 pipette remplie de suspension buvable Enfant jusqu'à la graduation 10 kg et 1 pipette remplie jusqu'à la graduation 2 kg, 2 fois par jour. • Enfant de plus de 12 ans : 200 mg, matin et soir. • Adulte : 400 mg/jour, en deux administrations, à 12 heures d'intervalle, d'un comprimé dosé à 200 mg. Dans les infections génitales à gonocoques : une prise unique de 400 mg - Insuffisant rénal : . Lorsque les valeurs de la clairance de la créatinine sont supérieures à 20 ml/min, il n'est pas utile de modifier la posologie. - Pour des valeurs inférieures, y compris chez les patients hémodialysés, la posologie de céfixime ne devra pas dépasser 200 mg/jour, en une administration. - Insuffisant hépatique et sujet âgé : Il n'est pas nécessaire de modifier la posologie. (1)
Nourrisson de 6 à 30 mois : 8 mg par kg et par jour, en 2 prises espacées de 12 heures ; soit, par exemple, pour un nourrisson de 8 kg : 1 pipette remplie de suspension buvable Nourrisson jusqu'à la graduation 8 kg, 2 fois par jour. • Enfant de 30 mois à 12 ans : 8 mg par kg et par jour, en 2 prises espacées de 12 heures ; soit, par exemple, pour un enfant de 12 kg : 1 pipette remplie de suspension buvable Enfant jusqu'à la graduation 10 kg et 1 pipette remplie jusqu'à la graduation 2 kg, 2 fois par jour. • Enfant de plus de 12 ans : 200 mg, matin et soir. • Adulte : 400 mg/jour, en deux administrations, à 12 heures d'intervalle, d'un comprimé dosé à 200 mg. Dans les infections génitales à gonocoques : une prise unique de 400 mg - Insuffisant rénal : . Lorsque les valeurs de la clairance de la créatinine sont supérieures à 20 ml/min, il n'est pas utile de modifier la posologie. - Pour des valeurs inférieures, y compris chez les patients hémodialysés, la posologie de céfixime ne devra pas dépasser 200 mg/jour, en une administration. - Insuffisant hépatique et sujet âgé : Il n'est pas nécessaire de modifier la posologie. L'effet de ce médicament pendant la grossesse ou l'allaitement est mal connu : seul votre médecin peut évaluer le risque éventuel de son utilisation dans votre cas. Il s'agit essentiellement de troubles digestifs : . diarrhées, . nausées, vomissements, dyspepsie, douleurs abdominales, . comme avec d'autres bêtalactamines, de rares cas de colites pseudomembraneuses ont été rapportés. - Ont été égalementrapportés quelques rares cas de : . céphalées, vertiges, . manifestations hépatobiliaires : élévation modérée et transitoire des transaminases ASAT et ALAT et des phosphatases alcalines, . manifestations rénales : faible augmentation de l'urée sanguine et de la créatininémie, . manifestations hématologiques : thrombocytose, thrombocytopénie, leucopénie, neutropénie et agranulocytose, hyperéosinophilie. . manifestations allergiques : éruption cutanée transitoire, fièvre, prurit, rares cas de réactions anaphylactiques telles qu'urticaire ou angioedème, . très rares cas d'éruptions bulleuses (érythème polymorphe et de Syndrome de Stevens-Johnson). - Ce médicament contient un agent colorant azoïque (4R, rouge cochenille) et peut provoquer des réactions allergiques. (1)
POSOLOGIE USUELLE POUR LE METRONIDAZOLE Adulte Amibiase: 400 à 800 mg tous les 8 heures pour 5 à 10 jours en fonction de la gravité de l'infection Dans les infections sévères et les abcès du foie: 1gm comme lent I.V. perfusion suivie de 0,5 g deux fois par jour jusqu'à ce que la thérapie orale commence Giardiase: 200 mg 8 heures pour 1 semaine ou 2 grammes / jour pour 3 jours ou I.V.500 mg trois fois par jour Trichomonas vaginite: 400mg tous les 8 heures par semaine ou 2g une fois par jour pendant une semaine. Le partenaire masculin devrait être traité simultanément avec le médicament Entérocolite pseudo-membraneuse: 800 mg tous les 8 heures Infections bactériennes anaérobies après chirurgie, abcès cérébral et endocardite: 400 à 800 mg 8 heures Dans les cas graves: 15 mg / kg I.V. perfusion pendant 1 heure suivie de 7,5 mg / kg 4 fois par jour jusqu'à ce que le traitement par voie orale soit remplacé Infections à Helicobacter pylori: 400 mg 8 heures en association avec l'amoxicilline / clarithromycine et un inhibiteur de la pompe à protons Gingivite ulcéreuse: 200 à 800 mg 8 heures Enfants Amibiase: 30 à 50 mg / kg / jour pendant 5 à 10 jours. Giardiase: 10 à 15 mg / kg / jour trois fois par jour Enfants (moins de 12 ans): 7,5 mg / kg I.V. POSOLOGIE USUELLE POUR LA FURAZOLIDONE Adultes: 100mg tous les 6 heures 2 à 7 jours selon la gravité des infections Enfants: 1,25 mg tous les 6 heures pour 2 à 5 jours et jusqu'à 10 jours pour la Giardiase (1)
Posologie La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). • Adultes: o En traitement d'attaque, dans les cas aigus ou lorsqu'un effet intense est recherché: 50 mg 3 fois par jour, soit 150 mg par jour. o En traitement d'entretien (ou d'emblée chez certains malades): 75 à 100 mg par jour à repartir en 2 prises. o Dysménorrhées: 50 mg 2 fois par jour, soit 100 mg par jour. • Enfant à partir de 35 kg: 2 à 3 mg/kg par jour à répartir en 2 ou 3 prises. A titre indicatif: 50 mg 2 à 3 fois par jour, soit 100 à 150 mg par jour. La dose quotidienne maximale de 150 mg ne doit pas être dépassée. Fréquence d'administration En cas de crise aiguë, il est conseillé de prendre les comprimés avant le repas. La posologie quotidienne est à répartir en 2 à 3 prises par jour. Grossesse Dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque. Au cours du 3ème trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer: ·Le foetus à: oune toxicité cardio-pulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel), oun dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios. ·La mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. En conséquence, la prescription d'A.l.N.S. ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse. En dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'A.I.N.S. est contre-indiquée à partir du 6ème mois. Allaitement Les A.I.N.S passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite. Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l'utilisation du diclofénac, surtout lorsqu'il est utilisé à dose élevée (150 mg par jour) et sur une longue durée de traitement, peut être associée à une légère augmentation du risque d'évènement thrombotique artériel (par exemple, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral) (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Les effets indésirables les plus fréquemment observés sont de nature gastro-intestinale. Des ulcères peptiques, perforations ou hémorragies gastro-intestinales, parfois fatales, peuvent survenir, en particulier chez le sujet âgé, (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Des nausées, vomissements, diarrhées, flatulences, constipation, dyspepsie, stomatite ulcérative, douleur abdominale, melæna, hématémèse, exacerbation d'une recto-colite ou d'une maladie de Crohn (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi) ont été rapportées à la suite de l'administration d'AINS. Moins fréquemment, des gastrites ont été observées. Effets cardiovasculaires Œdème, hypertension et insuffisance cardiaque ont été rapportés en association au traitement par AINS. Effets gastro-intestinaux · Peu fréquents: en début de traitement, nausées, vomissements, diarrhées, crampes abdominales, douleurs épigastriques, dyspepsie, anorexie, éructations. · Rares: ulcère gastro-duodénal, perforation ou hémorragie digestive. Celles-ci sont d'autant plus fréquentes que la posologie utilisée est élevée. · Cas isolés: affections abdominales basses telles que colite hémorragique non spécifique, exacerbation de colite ulcéreuse. Ont été signalés des pancréatites, des cas de constipation. Effets cutanés · Cas isolés: chutes de cheveux, réactions de photosensibilisation. · Très rarement des réactions bulleuses (Stevens-Johnson, syndrome de Lyell) ont été observées. Réactions d'hypersensibilité · Dermatologiques: éruption cutanée, urticaire, eczéma. · Respiratoires: bronchospasme, pneumopathie d'hypersensibilité. · Autres: cas isolés de vascularite y compris purpura allergique, d'hypotension. · Générales: très rares réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes notamment chez les sujets présentant une allergie à l'acide acétylsalicylique. Effets sur le système nerveux central · Peu fréquents: céphalées, étourdissements ou vertiges. · Rarement: somnolence. · Cas isolés: convulsions, méningite aseptique. Ont été rapportés des troubles de type insomnie, irritabilité, asthénie, tremblements. · Cas isolés de troubles sensoriels: paresthésies, troubles visuels (flou visuel, diplopie), bourdonnements d'oreilles. Effets sur le rein · Rétention hydrosodée avec possibilité d'oedème, hyperkaliémie (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). · Insuffisance rénale aiguë (IRA) fonctionnelle chez les patients présentant des facteurs de risque (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). · Atteintes rénales organiques pouvant se traduire par une IRA: des cas isolés de néphrite interstitielle, de nécrose tubulaire aiguë, de syndrome néphrotique, de nécrose papillaire ont été rapportés. Effets sur le foie · Peu fréquents: augmentation des transaminases sériques. · Rare hépatite avec ou sans ictère. · Cas isolés: hépatites fulminantes. Effets sur le sang · Très rarement: leucopénie, agranulocytose, thrombopénie avec ou sans purpura, aplasie médullaire, anémie hémolytique. (1)
Posologie : La teneur en insuline des insulines humaines est exprimée en unités internationales (UI). La posologie dépend de chaque individu et est déterminée en fonction des besoins du patient. • Actrapid peut être utilisé seul ou associé à une insuline d'action intermédiaire ou prolongée avant un repas ou un en-cas. • Mixtard : Les insulines prémélangées sont généralement administrées une ou deux fois par jour lorsqu'un effet initial rapide associé à un effet plus prolongé est recherché. Il est recommandé de surveiller la glycémie afin d'obtenir un équilibre glycémique optimal. • Insulatard : Le médecin détermine si une ou plusieurs injections sont nécessaires quotidiennement. Insulatard peut être utilisé seul ou mélangé avec une insuline d'action rapide. En cas d'insulinothérapie intensive, la suspension peut être utilisée comme insuline basale (injection du soir et/ou du matin) avec administration d'une insuline d'action rapide au moment des repas. Un contrôle glycémique est recommandé afin d'obtenir un équilibre glycémique optimal. Les besoins individuels en insuline se situent généralement entre 0,3 et 1,0 UI/kg/jour. Les besoins journaliers en insuline peuvent être plus élevés chez les patients présentant une résistance à l'insuline (par exemple lors de la puberté ou en cas d'obésité) et plus faibles chez les patients présentant une insulinosécrétion endogène résiduelle. Chez les patients diabétiques, un contrôle glycémique optimisé retarde l'apparition des complications diabétiques tardives. C'est pourquoi il est recommandé de surveiller attentivement la glycémie. Un ajustement de la dose peut être nécessaire si le patient augmente son activité physique, modifie son régime alimentaire habituel, ou en cas de maladie concomitante. Populations particulières : Sujets âgés (>= 65 ans) : Actrapid, Mixtard et Insulatard peuvent être utilisés chez les sujets âgés. Comme pour toutes les insulines, il est nécessaire d'intensifier le contrôle glycémique et d'ajuster la dose d'insuline de façon individuelle chez les patients âgés. Sujets atteints de troubles rénaux ou hépatiques : Les troubles rénaux ou hépatiques peuvent réduire les besoins du patient en insuline. Comme pour toutes les insulines, il est nécessaire d'intensifier le contrôle glycémique et d'ajuster la dose d'insuline humaine de façon individuelle chez les patients atteints de troubles rénaux ou hépatiques. Population pédiatrique : Actrapid, Mixtard et Insulatard peuvent être utilisés chez les enfants et les adolescents. En remplacement d'autres insulines : • Actrapid : Lors du remplacement d'autres insulines, un ajustement de la dose d'Actrapid et de l'insuline basale pourra être nécessaire. • Mixtard et Insulatard : Lors du remplacement d'autres insulines d'action intermédiaire ou prolongée, un ajustement de la dose de Mixtard ou d'Insulatard et des horaires d'administration pourra être nécessaire. Il est recommandé de surveiller attentivement la glycémie lors du changement de traitement et durant les premières semaines (cf Mises en garde et Précautions d'emploi). Mode d'administration : Actrapid : Actrapid est une insuline humaine d'action rapide qui peut être utilisée en association avec des insulines d'action intermédiaire ou prolongée. Actrapid est administré par voie sous-cutanée dans la paroi abdominale, la cuisse, la région fessière ou la région deltoïde. L'injection dans un pli cutané diminue le risque d'injection intramusculaire accidentelle. Après l'injection, l'aiguille doit demeurer sous la peau pendant au moins 6 secondes pour garantir l'injection de la totalité de la dose. Une rotation des sites d'injection devra toujours être effectuée au sein d'une même région afin de diminuer le risque de développer une lipodystrophie. Comme pour toutes les insulines, l'absorption est plus rapide si l'injection est effectuée en sous-cutané dans la paroi abdominale plutôt que dans un autre site d'injection. Comme pour toutes les insulines, la durée d'action varie en fonction de la dose, du site d'injection, du débit sanguin, de la température et de l'intensité de l'activité physique. Une injection doit être suivie, dans les 30 minutes, d'un repas ou d'un en-cas contenant des glucides. En raison du risque de précipitation dans les cathéters des pompes, Actrapid ne doit pas être utilisé dans les pompes à insuline pour perfusion sous-cutanée continue. Administration avec une seringue : Les flacons d'Actrapid doivent être utilisés avec des seringues à insuline portant une graduation adéquate. En cas de mélange de deux types d'insuline, toujours mélanger les insulines dans le même ordre. Le flacon d'Actrapid est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Administration avec un système d'administration d'insuline (Actrapid Penfill) : Actrapid Penfill est conçu pour être utilisé avec les systèmes d'administration d'insuline Novo Nordisk et les aiguilles NovoFine ou NovoTwist. Actrapid Penfill est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Voie intraveineuse : Si nécessaire, Actrapid peut être administré par voie intraveineuse par des professionnels de santé. Par voie intraveineuse, les systèmes de perfusion contenant Actrapid à des concentrations d'insuline humaine allant de 0,05 UI/ml à 1,0 UI/ml dans des solutés de perfusion de chlorure de sodium à 0,9 %, de dextrose à 5 % et de dextrose à 10 % avec 40 mmol/l de chlorure de potassium restent stables à température ambiante pendant 24 heures dans une poche à perfusion en polypropylène. Malgré leur stabilité dans le temps, une certaine quantité d'insuline s'adsorbera dès le départ à la poche à perfusion. La glycémie doit être contrôlée durant la perfusion d'insuline. Mixtard : Mixtard est une insuline humaine d'action mixte. C'est une formulation biphasique contenant une insuline d'action rapide et une insuline d'action prolongée. Mixtard est administré en injection par voie sous-cutanée dans la cuisse, au niveau de la paroi abdominale, dans la région fessière ou dans la région deltoïde. Les suspensions d'insuline ne doivent jamais être administrées par voie intraveineuse. L'injection dans un pli cutané diminue le risque d'injection intramusculaire accidentelle. Après l'injection, l'aiguille doit demeurer sous la peau pendant au moins 6 secondes pour garantir l'injection de la totalité de la dose. Une rotation des sites d'injection devra toujours être effectuée au sein d'une même région afin de diminuer le risque de développer une lipodystrophie. Une injection par voie sous-cutanée dans la paroi abdominale assure une absorption plus rapide que dans les autres sites d'injection. Comme pour toutes les insulines, la durée d'action varie en fonction de la dose, du site d'injection, du débit sanguin, de la température et de l'intensité de l'activité physique. Dans les 30 minutes suivant l'injection, le patient doit prendre un repas ou un en-cas contenant des glucides. Les suspensions d'insuline ne doivent pas être utilisées dans les pompes à perfusion d'insuline. Administration avec une seringue : Les flacons de Mixtard doivent être utilisés avec des seringues à insuline portant une graduation adéquate. Le flacon de Mixtard est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Insulatard : Insulatard est une insuline humaine d'action prolongée. Insulatard est administré par voie sous-cutanée par injection dans la cuisse, au niveau de la paroi abdominale, dans la région fessière ou dans la région deltoïde. Les suspensions d'insuline ne doivent jamais être administrées par voie intraveineuse. L'injection dans un pli cutané diminue le risque d'injection intramusculaire accidentelle. Après l'injection, l'aiguille doit demeurer sous la peau pendant au moins 6 secondes pour garantir l'injection de la totalité de la dose. Une rotation des sites d'injection devra toujours être effectuée au sein d'une même région afin de diminuer le risque de développer une lipodystrophie. Une injection par voie sous-cutanée dans la cuisse assure une absorption plus lente et moins variable que dans les autres sites d'injection. Comme pour toutes les insulines, la durée d'action varie en fonction de la dose, du site d'injection, du débit sanguin, de la température et de l'intensité de l'activité physique. Les suspensions d'insuline ne doivent pas être utilisées dans les pompes à perfusion d'insuline. Administration avec une seringue : Les flacons d'Insulatard doivent être utilisés avec des seringues à insuline portant une graduation adéquate. Le flacon d'Insulatard est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Administration avec FlexPen : Insulatard FlexPen est un stylo prérempli conçu pour être utilisé avec les aiguilles à usage unique NovoFine ou NovoTwist d'une longueur maximale de 8 mm. FlexPen délivre de 1 à 60 unités par palier de 1 unité. Insulatard FlexPen est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Administration avec un système d'administration d'insuline (Insulatard Penfill) : Insulatard Penfill est conçu pour être utilisé avec les systèmes d'administration d'insuline Novo Nordisk et les aiguilles NovoFine ou NovoTwist. Insulatard Penfill est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Administration avec InnoLet : Insulatard InnoLet est un stylo prérempli conçu pour être utilisé avec les aiguilles NovoFine ou NovoTwist à usage unique d'une longueur maximale de 8 mm. InnoLet délivre de 1 à 50 unités par palier de 1 unité. Insulatard InnoLet est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Consulter le fichier : Fécondité : Les études de reproduction effectuées chez l'animal avec l'insuline humaine n'ont mis en évidence aucun effet indésirable sur la fécondité. Grossesse : Il n'existe aucune restriction au traitement du diabète par l'insuline pendant la grossesse, car l'insuline ne franchit pas la barrière placentaire. L'hypoglycémie et l'hyperglycémie, qui peuvent survenir lors d'un traitement mal contrôlé du diabète, accroissent toutes deux les risques de malformations et de mort in utero. Chez la femme enceinte diabétique, il est recommandé d'intensifier le contrôle glycémique et la surveillance tout au long de la grossesse ainsi qu'en cas de projet de grossesse. Les besoins en insuline chutent habituellement au cours du 1er trimestre puis augmentent au cours des 2e et 3e trimestres. Après l'accouchement, les besoins en insuline reviennent généralement rapidement au niveau antérieur à la grossesse. Allaitement : L'administration d'Actrapid, Mixtard ou Insulatard pendant l'allaitement ne fait l'objet d'aucune restriction. L'insulinothérapie de la mère qui allaite ne présente aucun risque pour le bébé. Il peut cependant être nécessaire d'adapter la dose d'Actrapid, Mixtard ou Insulatard. (1)
Posologie : Traitement curatif : • Adulte et enfant à partir de 30 kg (environ 10 ans) : 100 à 200 mg de fer métal par jour, soit 3 à 6 cuillères à café par jour. • Nourrisson à partir de 1 mois et enfant de moins de 30 kg (environ 10 ans) : 6 à 10 mg de fer métal par kg et par jour, soit en moyenne : • nourrisson de 5 à 8 kg (environ de 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café par jour ; • nourrisson de 8 à 12 kg (environ de 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café par jour ; • enfant de 12 à 20 kg (environ de 30 mois à 6 ans) : 3 à 4 cuillères à café par jour ; • enfant de 20 à 30 kg (environ de 6 à 10 ans) : 4 à 5 cuillères à café par jour. Traitement préventif : • Femme enceinte : de l'ordre de 50 mg de fer métal par jour, soit 1 à 2 cuillères à café par jour, pendant les deux derniers trimestres de la grossesse (ou à partir du 4e mois). • Nourrisson à partir de 1 mois : 6 à 10 mg de fer métal par kg et par jour, soit : • de 5 à 8 kg (environ de 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café par jour ; • de 8 à 12 kg (environ de 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café par jour. Durée du traitement : Elle doit être suffisante, 3 à 6 mois, pour corriger l'anémie et restaurer les réserves en fer qui, chez l'adulte, sont d'environ 1000 mg. Mode d'administration : A prendre de préférence entre les biberons ou avant les repas ; l'horaire de la prise et la répartition sont à adapter en fonction de la tolérance digestive. Afin de limiter les effets indésirables, il est conseillé de fractionner la dose en plusieurs prises quotidiennes. • Possibilité de troubles gastro-intestinaux à type de nausées ou de diarrhée. • Réactions allergiques possibles. • Coloration habituelle des selles en noir. En cas d'ingestion massive, des cas de surdosage ont été rapportés, en particulier chez l'enfant de moins de 2 ans. La symptomatologie comporte des signes d'irritation intense et de nécrose des muqueuses digestives entraînant douleurs abdominales, vomissements, diarrhée souvent sanglante pouvant s'accompagner d'état de choc avec insuffisance rénale aiguë, atteinte hépatique, coma souvent convulsif. A distance de l'intoxication, des sténoses digestives sont possibles. Le traitement doit intervenir le plus tôt possible en réalisant un lavage gastrique avec une solution de bicarbonate de sodium à 1 %. L'utilisation d'un agent chélateur est efficace, le plus spécifique étant la déféroxamine, principalement lorsque la concentration en fer sérique est supérieure à 5 µg/ml. L'état de choc, la déshydratation et les anomalies acidobasiques sont traités de façon classique. (1)
Posologies du paracétamol: • 500 mg à 1 g par prise, à répéter si besoin toutes les 4 à 6 heures, sans dépasser 4 g par jour, pour les adultes ou les enfants de plus de 50 kg ; • 10 à 15 mg/kg de poids corporel et par prise, à répéter si besoin toutes les 4 à 6 heures, sans dépasser la dose de 60 mg/kg/jour, pour les nourrissons et les enfants de moins de 50 kg. Posologies de l'ibuprofène • 200 à 400 mg par prise à renouveler si nécessaire toutes les 6 heures, sans dépasser 1200 mg par jour, pour les adultes ou les enfants de plus 30 kg ; • 200 mg à renouveler si nécessaire toutes les 6 heures, sans dépasser 600 mg par jour, pour les enfants de 20 à 30 kg ; • 20 à 30 mg par kilogramme de poids corporel et par jour, répartis en 3 ou 4 prises, sans dépasser 30 mg/kg/jour, pour les nourrissons et les jeunes enfants. (1)
Pour les personnes en bonne santé : consommer au moins 500 mg d’AEP/ADH par jour, soit en prenant un supplément d’huile de poisson, soit en mangeant de 2 à 3 repas de poisson gras par semaine (voir le tableau dans la section Sources alimentaires) ou en combinant les 2 apports. Pour les personnes atteintes de maladies coronariennes : consommer de 800 mg à 1 000 mg d’AEP/ADH par jour, soit en prenant un supplément d’huile de poisson, soit en mangeant du poisson gras tous les jours (voir le tableau dans la section Sources alimentaires) ou en combinant les 2 apports. Il n'y a aucune recommandation particulière. Administrer un traitement symptomatique. (1)
Réservé à l'adulte. 1 capsule vaginale le soir pendant 12 jours. Conseils pratiques : • Le traitement s'accompagnera de conseils d'hygiène (port de sous-vêtements en coton, éviter les douches vaginales et le port de tampon interne pendant le traitement...) et, dans la mesure du possible, de la suppression des facteurs favorisants. • Le traitement du partenaire se discutera en fonction de chaque cas. • Ne pas interrompre le traitement pendant les règles. Grossesse : Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de ce médicament est déconseillée pendant la grossesse. Allaitement : En l'absence de données sur le passage de ce médicament dans le lait maternel, l'utilisation de ce médicament est à éviter. (1)
Réservé à l'adulte. 1 capsule vaginale le soir pendant 6 jours. Conseils pratiques : • Le traitement s'accompagnera de conseils d'hygiène (port de sous-vêtements en coton, éviter les douches vaginales et le port de tampon interne pendant le traitement...) et, dans la mesure du possible, de la suppression des facteurs favorisants. • Le traitement du partenaire se discutera en fonction de chaque cas. • Ne pas interrompre le traitement pendant les règles. Mises en garde : • En cas d'intolérance locale ou de réaction allergique, le traitement sera interrompu. • La sensibilisation par voie locale aux antibiotiques peut compromettre l'utilisation ultérieure par voie générale du même antibiotique ou d'antibiotiques apparentés. Précautions d'emploi : • La durée du traitement doit être limitée en raison du risque de sélection de germes résistants et de surinfection par ces germes. • En l'absence de données sur l'importance des fractions de néomycine et de résorbée par la muqueuse, on ne peut exclure la possibilité d'effets systémiques, majorés en cas d'insuffisance rénale. Grossesse : Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de ce médicament est déconseillée pendant la grossesse. Allaitement : En l'absence de données sur le passage de ce médicament dans le lait maternel, l'utilisation de ce médicament est à éviter. (1)
Réservé à l'adulte. Posologie : • Tendinites : 3 à 4 applications par jour. • OEdèmes post-opératoires et post-traumatiques (entorse...) : 2 à 4 applications par jour. La dose administrée à chaque application est de l'ordre de 2,5 g de gel (soit 6 cm de gel environ). • Arthrose douloureuse des doigts et des genoux : 3 à 4 applications par jour. La dose administrée à chaque application est de l'ordre de 4 g de gel (soit 10 cm de gel environ). Mode d'administration : Voie locale. Faire pénétrer le gel par un massage doux et prolongé sur la région douloureuse ou inflammatoire. Bien se laver les mains après chaque utilisation (sauf en cas d'auto-application pour arthrose digitale douloureuse). Par extrapolation avec les autres voies d'administration. Grossesse : L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut affecter le déroulement de la grossesse et/ou le développement de l'embryon ou du foetus. Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, après traitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moins de 1 % à approximativement 1,5 %. Le risque paraît augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement. Chez l'animal, il a été montré que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de la létalité embryo-foetale. De plus, une incidence supérieure de certaines malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la phase d'organogenèse de la gestation. Sauf nécessité absolue, le diclofénac ne doit donc pas être prescrit au cours des 24 premières semaines d'aménorrhée (5 mois de grossesse révolus). Si le diclofénac est administré chez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de 6 mois, la dose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la plus courte possible. Au-delà de 24 semaines d'aménorrhée (5 mois révolus), tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le foetus à : • une toxicité cardiopulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire) ; • un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale associée à un oligoamnios. En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter : • un allongement du temps de saignement du fait d'une action anti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faibles doses de médicament ; • une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de terme ou un accouchement prolongé. En conséquence, le diclofénac est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse au-delà de 24 semaines d'aménorrhée (5 mois révolus). Allaitement : Le diclofénac comme tous les AINS, passant dans le lait maternel, il convient par mesure de précaution d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite. Si la situation impose son utilisation, le diclofénac gel ne doit pas être appliqué sur les seins chez les mères qui allaitent. Cas fréquents : Réactions cutanées : éruptions, eczéma ; érythèmes, dermatites (incluant les dermatites de contact). Cas rares : Réactions cutanées : dermatose bulleuse. Un prurit associé est parfois observé. Cas très rares et cas isolés : • Réactions cutanées : éruption pustuleuse, urticaire, purpura, ulcérations locales. • Réactions d'hypersensibilité : oedème angioneurotique (oedème de Quincke). • Problèmes respiratoires : la survenue de crise d'asthme peut être liée chez certains sujets à une allergie à l'aspirine ou à un AINS. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué. • Autres réactions cutanées : cas isolés de photosensibilité. Autres effets systémiques des AINS : Ils sont fonction du passage transdermique du principe actif et donc de la quantité de gel appliquée, de la surface traitée, du degré d'intégrité cutanée, de la durée du traitement et de l'utilisation ou non d'un pansement occlusif (effets digestifs, rénaux). (1)
RESERVE A L'ADULTE ET A L'ADOLESCENT (à partir de 16 ans) Croquer entièrement un comprimé au moment de la crise douloureuse, et avaler de préférence avec un verre d'eau. Ne pas dépasser 2 comprimés par jour. La durée du traitement est limitée à 2 semaines ( voir Précautions d'emploi ). Les effets indésirables sont définis comme suit: très fréquent (?1/10), fréquent (?1/100; 1/10 000; (1)
Sécheresse de la bouche, mydriase, somnolence ont été rapportées. Enfants de 6 à 12 ans, à une dose quotidienne 60-90mg/jour, divisés en 3 doses. Pour les enfants> 12 ans et adulte est 90-180mg/jour, divisés en 3 doses. (1)
Suppositoire : Chez l'adulte, la posologie usuelle est de 1 à 2 suppositoires par 24 h. Sirop et Comprimé - Chez l'adulte la posologie usuelle est de : 2 à 6 comprimés par jour ou 1 à 3 cuillerées à soupe 3 fois par jour. - Chez l'enfant : 3 cuillerées à café par 5 kg de poids et par jour. Option particulière : l'action de la forme orale peut être complétée par l'adjonction de 1 à 2 suppositoires par 24 h. Injectable : Chez l'adulte, la posologie usuelle est de 1 ampoule en IM ou IV lente à renouveler 3 fois par jour. Option particulière : l'action de la forme injectable peut être complétée par l'adjonction de 1 à 2 suppositoires par 24 h. •Sécheresse buccale •Epaississement des sécrétions bronchiques •Diminution de la sécrétion lacrymale •Troubles de l'accommodation •Tachycardie, palpitations •Constipation •Rétention urinaire •Excitabilité •Irritabilité •Confusion mentale chez les personnes âgées. •Les résultats des études du tiémonium réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. Bien que ceux-ci ne préjugent pas de l'effet dans l'espèce humaine, aucune malformation n'a été rapportée à ce jour au cours de l'utilisation courante. •Chez la femme qui allaite, en l'absence de données suffisantes, la prudence est de règle, bien qu'aucun problème n'ait été signalé au cours de l'utilisation courante. Symptômes: Apparition d'effets atropiniques: sécheresse de la bouche, constipation, tachycardie, confusion mentale chez les personnes âgées. Traitement: Evacuation du toxique. Traitement symptomatique en milieu spécialisé avec surveillance cardiaque et respiratoire. (1)
Voie orale. Les comprimés sont à avaler entiers avec au moins un demi verre d'eau ou un autre liquide. ACECLOFENAC peut être pris pendant les repas. Adultes La dose maximale recommandée est de 200 mg par jour en deux prises, soit un comprimé de 100 mg matin et soir. Sujets âgés En général, il n'est pas nécessaire de réduire la posologie ; cependant, des précautions sont à prendre (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Enfants La sécurité et l'efficacité du produit n'ont pas été démontrées chez l'enfant et l'adolescent. Insuffisants hépatiques En cas d'insuffisance hépatique légère à modérée, la posologie sera réduite. La posologie initiale recommandée est de 100 mg par jour. Insuffisants rénaux En cas d'insuffisance rénale légère, il n'est pas nécessaire de diminuer la posologie ; cependant, des précautions sont à prendre. La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte, nécessaire au soulagement des symptômes (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi) Grossesse : Il n'y a aucune donnée clinique disponible concernant des grossesses exposées à l'acéclofénac. Mais, en général, les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent affecter la grossesse et/ou le développement embryofoetal. Des données d'études épidémiologiques montrent une augmentation du risque d'avortement spontané, de malformation cardiaque et de gastroschisis après l'utilisation d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiaque augmente de moins de 1 % à environ 1,5 %. Ce risque semble augmenter avec la dose et la durée de traitement. Chez les animaux, il a été montré que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines était liée à une perte pré et postimplantatoire et à une létalité embryofoetale. Par ailleurs, l'augmentation de l'incidence de diverses malformations (par exemple cardiovasculaires) a été rapportée chez les animaux recevant des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pendant l'organogénie. Lors des 1 er et 2e trimestres de la grossesse, les AINS ne doivent être administrés qu'en cas de nécessité clairement identifiée. Dans le cas où les AINS sont administrés chez la femme souhaitant être enceinte ou au cours des 1er et 2e trimestres de grossesse, les doses et durées de traitement doivent être les plus faibles possibles. Au cours du 3e trimestre de grossesse, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines expose le foetus à : une toxicité cardiopulmonaire (avec la fermeture prématurée du canal artériel et une hypertension pulmonaire) ; un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligoamnios. L'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines à la fin de la grossesse expose la mère et le futur nouveau-né à : une prolongation possible de l'hémorragie, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant survenir même à faible dose ; une inhibition des contractions utérines résultant au retard et à la prolongation du travail. Par conséquent, les AINS sont contre-indiqués pendant le 3e trimestre de grossesse (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi). Allaitement : Il n'y a pas de données concernant l'excrétion de l'acéclofénac dans le lait maternel. Toutefois, il n'a pas été observé de transfert notable de l'acéclofénac radiomarqué ( 14C) dans le lait de rats femelles allaitantes. Par conséquent, la poursuite de l'allaitement ou du traitement par acéclofénac doit être envisagé en tenant compte du bénéfice attendu de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice attendu du traitement pour la mère. Fertilité : Cf Mises en garde et Précautions d'emploi. Read more at http://www.vidal.fr/Medicament/acéclofénac-3174.htm#yykSW5tg5UtWFiAq.99 (1)
Voie orale. Les comprimés sont à avaler entiers avec au moins un demi-verre d'eau ou un autre liquide. Ce médicament peut être pris pendant les repas. - Adultes : la dose maximum recommandée est de 2 comprimés par jour en deux prises, soit un comprimé matin et soir. - Sujets âgés : en général, il n'est pas nécessaire de réduire la posologie ; cependant, des précautions sont à prendre (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi). - Enfants : la sécurité et l'efficacité du produit n'ont pas été démontrées chez l'enfant et l'adolescent. Lié à l’acéclofénac Grossesse : Il n'y a aucune donnée clinique disponible concernant des grossesses exposées à l'acéclofénac. Mais en général, les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent affecter la grossesse et/ou le développement embryofoetal. Des données d'études épidémiologiques montrent une augmentation du risque d'avortement spontané, de malformation cardiaque et de gastroschisis après l'utilisation d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiaque augmente de moins de 1% à environ 1,5%. Ce risque semble augmenter avec la dose et la durée de traitement. Chez les animaux, il a été montré que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines était liée à une perte pré et post-implantatoire et à une létalité embryofoetale. Par ailleurs, l'augmentation de l'incidence de diverses malformations (par exemple cardiovasculaires) a été rapportée chez les animaux recevant des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pendant l'organogénie. Lors des 1er et 2ème trimestres de la grossesse, les AINS ne doivent être administrés qu'en cas de nécessité clairement identifiée. Dans le cas où les AINS sont administrés chez la femme souhaitant être enceinte ou au cours des 1er et 2ème trimestres de grossesse, les doses et durées de traitement doivent être les plus faibles possibles. Au cours du 3ème trimestre de grossesse, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines expose le foetus à : - Une toxicité cardiopulmonaire (avec la fermeture prématurée du canal artériel et une hypertension pulmonaire) ; - Un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligohydramnios. L'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines à la fin de la grossesse expose la mère et le futur nouveau-né à : - Une prolongation possible de l'hémorragie, un effet anti-agrégant plaquettaire pouvant survenir même à faible dose ; - Une inhibition des contractions utérines résultant au retard et à la prolongation du travail. Par conséquent, les AINS sont contre-indiqués pendant le 3ème trimestre de grossesse (voir rubriques contre-indications et mises en garde et précautions d'emploi). Allaitement : Il n'y a pas de données concernant l'excrétion de l'acéclofénac dans le lait maternel. Par conséquent, la poursuite de l'allaitement ou du traitement par ce médicament doit être envisagée en tenant compte du bénéfice attendu de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice attendu du traitement pour la mère. Lié au paracétamol Grossesse Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène ou foetotoxique du paracétamol. En clinique, les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif ou foetotoxique particulier du paracétamol. En conséquence, le paracétamol, dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant toute la grossesse. Allaitement A doses thérapeutiques, l'administration de ce médicament est possible pendant l'allaitement. (1)
Référence CEPO007 (1)
COMMENT UTILISER ZINNAT 750 mg, poudre pour solution injectable (I.M., I.V.) ? Retour en haut de la page Zinnat est habituellement administré par un médecin ou par un(e) infirmier(ère). Il peut être administré en goutte-à-goutte (perfusion intraveineuse) ou en injection directement dans une veine ou dans un muscle. Dose habituelle Votre médecin décidera de la dose de Zinnat appropriée à votre cas, en fonction : de la sévérité et du type d’infection, selon que vous soyez déjà traité par d'autre(s) antibiotique(s), de votre poids et de votre âge, du bon fonctionnement de vos reins. Nouveau-nés (0 à 3 semaines) Pour chaque 1 kg de poids corporel du bébé, il lui sera administré 30 à 100 mg de Zinnat par jour, répartis en deux ou trois prises. Bébés (plus de 3 semaines) et enfants Pour chaque 1 kg de poids corporel du bébé ou de l'enfant, il lui sera administré 30 à 100 mg de Zinnat par jour, répartis en trois ou quatre prises. Adultes et adolescents 750 mg à 1,5 g de Zinnat deux, trois ou quatre fois par jour. Dose maximale : 6 g par jour. Patients souffrant de problèmes rénaux Si vous souffrez d’un problème rénal, votre médecin pourra adapter votre dose. è Parlez-en à votre médecin si tel est votre cas. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Situations nécessitant votre vigilance Un petit nombre de patients traités par Zinnat ont développé des réactions allergiques ou des réactions cutanées potentiellement graves. Les symptômes de ces réactions incluent : · réactions allergiques sévères. Les signes incluent une éruption cutanée associant des lésions surélevées et des démangeaisons, un gonflement, parfois au niveau du visage ou de la bouche, provoquant des difficultés pour respirer. · éruption cutanée, pouvant former des cloques, ayant l’apparence de petites cibles (petites tâches centrales foncées entourées d’une zone plus pâle bordée d’un anneau sombre). · éruption cutanée étendue avec cloques et la peau qui pèle. (Ces signes peuvent être ceux d’un syndrome de Stevens-Johnson ou d’une nécrose épidermique toxique). Autres symptômes dont vous devez être informé pendant votre traitement par Zinnat : · infections fongiques en de rares occasions, des médicaments tels que Zinnat peuvent provoquer une prolifération de levures (Candida) dans l’organisme, responsables d’infections fongiques (telles que le muguet). Cet effet indésirable est plus susceptible de survenir au cours d’un traitement prolongé par Zinnat. · diarrhée sévère (colite pseudomembraneuse). Des médicaments tels que Zinnat peuvent provoquer une inflammation du côlon (gros intestin), responsable de diarrhées sévères, habituellement accompagnées de sang et de mucus, de douleurs abdominales et de fièvre. è Contactez immédiatement un médecin ou un(e) infirmier(ère) si vous présentez l’un de ces symptômes. Effets indésirables fréquents Ceux-ci peuvent concerner jusqu’à 1 personne sur 10 : · douleur au site d’injection, gonflement et rougeur le long d’une veine. è Prévenez votre médecin si l’un de ces signes ou symptômes vous gêne. Effets indésirables fréquents pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · augmentation de substances (enzymes) produites par le foie · modification du nombre de vos globules blancs (neutropénie ou éosinophilie) · faible taux de globules rouges (anémie) Effets indésirables peu fréquents Ceux-ci peuvent concerner jusqu’à 1 personne sur 100 : · éruption cutanée, démangeaisons, éruption avec boutons (urticaire) · diarrhées, nausées, douleurs abdominales è Informez votre médecin si vous présentez l’un de ces symptômes. Effets indésirables peu fréquents pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · faible taux de globules blancs (leucopénie) · augmentation du taux de bilirubine (une substance produite par le foie) · test de Coombs positif. Autres effets indésirables D’autres effets indésirables sont survenus chez un très petit nombre de patients, mais leur fréquence exacte est indéterminée : · infections fongiques · température élevée (fièvre) · réactions allergiques · inflammation du côlon (gros intestin), provoquant des diarrhées habituellement accompagnées de sang et de mucus, douleurs abdominales · inflammation au niveau des reins et des vaisseaux sanguins · destruction trop rapide des globules rouges (anémie hémolytique). · éruption cutanée pouvant former des cloques, ayant l’apparence de petites cibles (petites tâches centrales sombres entourées d’une zone plus pâle bordée d’un anneau sombre - érythème polymorphe). è Informez votre médecin si vous présentez l’un de ces symptômes. Effets indésirables pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · diminution du nombre de plaquettes sanguines (cellules participant à la coagulation du sang - thrombocytopénie) · élévation des taux d’urée et de la créatinine sérique dans le sang. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZINNAT 750 mg, poudre pour solution injectable (I.M., I.V.) ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Après ouverture/reconstitution : le produit doit être utilisé immédiatement. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d'éliminer les médicaments que vous n'utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient ZINNAT 750 mg, poudre pour solution injectable (I.M., I.V.) Retour en haut de la page · La substance active est : Céfuroxime sodique ............................................................................................................ 789 mg Quantité correspondant à céfuroxime ................................................................................... 750 mg Pour un flacon de poudre. Qu’est-ce que ZINNAT 750 mg, poudre pour solution injectable (I.M., I.V.) et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de poudre pour solution injectable (I.M., I.V.). Boîte de 1 flacon. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL-MALMAISON Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL-MALMAISON Fabricant Retour en haut de la page GLAXOSMITHKLINE MANUFACTURING S.p.A VIA A. FLEMING 2 37135 VERONE ITALIE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux professionnels de santé : Instructions pour la reconstitution Volumes à ajouter et concentrations pouvant être utilisés si des doses fractionnées sont nécessaires. Volumes à ajouter et concentrations pouvant être utilisés si des doses fractionnées sont nécessaires Taille du flacon Voie d’administration Forme Quantité d’eau pour préparations injectables à ajouter (ml) Concentration approximative en céfuroxime (mg/ml)* 750 mg Intramusculaire Bolus intraveineux Suspension Solution 3 ml au moins 6 ml 216 116 * Le volume résultant de la solution de céfuroxime dans le milieu de reconstitution est augmenté en raison du facteur de déplacement de la substance active, aboutissant aux concentrations indiquées en mg/ml. CONSEILS / EDUCATION SANITAIRE QUE SAVOIR SUR LES ANTIBIOTIQUES ? Les antibiotiques sont efficaces pour combattre les infections dues aux bactéries. Ils ne sont pas efficaces contre les infections dues aux virus. Aussi, votre médecin a choisi de vous prescrire cet antibiotique parce qu’il convient précisément à votre cas et à votre maladie actuelle. Les bactéries ont la capacité de survivre ou de se reproduire malgré l’action d’un antibiotique. Ce phénomène est appelé résistance : il rend certains traitements antibiotiques inactifs. La résistance s’accroît par l’usage abusif ou inapproprié des antibiotiques. Vous risquez de favoriser l’apparition de bactéries résistantes et donc de retarder votre guérison ou même de rendre inactif ce médicament, si vous ne respectez pas : · la dose à prendre, · les moments de prise, · et la durée de traitement. En conséquence, pour préserver l’efficacité de ce médicament : 1- N’utilisez un antibiotique que lorsque votre médecin vous l’a prescrit. 2- Respectez strictement votre ordonnance. 3- Ne réutilisez pas un antibiotique sans prescription médicale même si vous pensez combattre une maladie apparemment semblable. 4- Ne donnez jamais votre antibiotique à une autre personne, il n’est peut-être pas adapté à sa maladie. 5- Une fois votre traitement terminé, rapportez à votre pharmacien toutes les boîtes entamées pour une destruction correcte et appropriée de ce médicament. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
Posologie Cette présentation est réservée à l'adulte et à l'enfant à partir de 27 kg (environ à partir de 8 ans). La posologie du paracétamol dépend du poids de l'enfant; les âges sont mentionnés à titre d'information. Si vous ne connaissez pas le poids de l'enfant, il faut le peser afin de lui donner la dose la mieux adaptée. Le paracétamol existe sous de nombreux dosages, permettant d'adapter le traitement au poids de chaque enfant. La dose quotidienne de paracétamol recommandée dépend du poids de l'enfant: elle est d'environ 60 mg/kg par jour, à répartir en 4 ou 6 prises, soit environ 15 mg/kg toutes les 6 heures ou 10 mg/kg toutes les 4 heures. Pour les enfants ayant un poids de 27 à 40 kg (environ 8 à 13 ans), la posologie est de 1 comprimé par prise, à renouveler si besoin au bout de 6 heures, sans dépasser 4 comprimés par jour. Pour les enfants ayant un poids de 41 à 50 kg (environ 12 à 15 ans), la posologie est de 1 comprimé par prise, à renouveler si besoin au bout de 4 heures, sans dépasser 6 comprimés par jour. Pour les adultes et les enfants dont le poids est supérieur à 50 kg (à partir d'environ 15 ans): La posologie usuelle est de 1 ou 2 comprimés à 500 mg par prise (selon l'intensité de la douleur), à renouveler en cas de besoin au bout de 4 heures minimum. Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser 3 g de paracétamol par jour, soit 6 comprimés par jour. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, et sur conseil de votre médecin ou de votre pharmacien, la dose totale peut être augmentée jusqu'à 4 g par jour, soit 8 comprimés par jour. Cependant: ·les dosages supérieurs à 3 g de paracétamol par jour nécessitent un avis médical, ·NE JAMAIS PRENDRE PLUS DE 4 GRAMMES DE PARACETAMOL PAR JOUR (en tenant compte de tous les médicaments contenant du paracétamol dans leur formule). Toujours respecter un intervalle de 4 heures au moins entre les prises. En cas de maladie grave des reins (insuffisance rénale sévère), les prises doivent être espacées de 8 heures, et la dose totale par jour ne doit pas dépasser 6 comprimés (3 g). La dose maximale journalière ne doit pas excéder 60 mg/kg (sans dépasser 3 g) par jour dans les situations suivantes : ·adultes de moins de 50 kg, ·atteinte grave du foie, ·alcoolisme chronique, ·malnutrition chronique, ·déshydratation. EN CAS DE DOUTE, DEMANDEZ CONSEIL A VOTRE MEDECIN OU A VOTRE PHARMACIEN. Mode et voie d'administration Voie orale. Les comprimés sont à avaler tels quels avec une boisson (par exemple: eau, lait, jus de fruit). La prise de comprimé ou de gélule est contre-indiquée chez l'enfant avant 6 ans car il peut avaler de travers et s'étouffer. De plus, si votre enfant présente une fièvre supérieure à 38,5°C, vous pouvez améliorer l'efficacité du traitement médicamenteux par les mesures suivantes : ·découvrez votre enfant, ·faites le boire, ·ne laissez pas votre enfant dans un endroit trop chaud. Fréquence d'administration Les prises systématiques permettent d'éviter les oscillations de douleur ou de fièvre. Chez l'enfant, elles doivent être régulièrement espacées, y compris la nuit, de préférence de 6 heures, et d'au moins 4 heures. Chez l'adulte, elles doivent être espacées de 4 heures minimum. En cas de maladie grave des reins (insuffisance rénale sévère), les prises seront espacées de 8 heures minimum. Durée du traitement La durée du traitement est limitée: ·à 5 jours en cas de douleurs, ·à 3 jours en cas de fièvre. Si la douleur persiste plus de 5 jours ou la fièvre plus de 3 jours, si elles s'aggravent, ne pas continuer le traitement sans l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien. (1)
À partir de 6 mois, il est possible d’introduire de nouveaux aliments sur avis du médecin qui suit l’enfant. (1)
• Qualité et traçabilité irréprochables : Formulé et fabriqué en FRANCE (1)
. COMMENT PRENDRE HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Votre médecin décidera de la posologie appropriée d’HYZAAR en fonction de votre état et si vous prenez d'autres médicaments. Il est important de continuer à prendre HYZAAR aussi longtemps que votre médecin vous le prescrit, cela permettra un contrôle régulier de votre pression sanguine. Hypertension La posologie habituelle pour la plupart des patients hypertendus est de un comprimé d’HYZAAR 50 mg/12,5 mg une fois par jour pour contrôler votre pression artérielle sur une période de 24 heures. Cette dose peut être augmentée à 2 comprimés une fois par jour d’HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé ou changée à 1 comprimé par jour de FORTZAAR 100 mg/25 mg, comprimé pelliculé (un dosage plus important). La dose maximum par jour est de 2 comprimés par jour d’HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé ou de 1 comprimé par jour de FORTZAAR 100 mg/25 mg, comprimé pelliculé. Mode d’administration Les comprimés doivent être avalés entiers avec un verre d'eau. Si vous avez pris plus d’HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû En cas de surdosage, vous devez consulter immédiatement votre médecin pour une prise en charge médicale rapide. Un surdosage peut provoquer une chute de la pression sanguine, des palpitations, un ralentissement du pouls, des changements de la composition du sang et une déshydratation. Si vous oubliez de prendre HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé Essayez de prendre HYZAAR quotidiennement tel que prescrit. Néanmoins, si vous avez oublié de prendre une dose, ne prenez pas de dose double et prenez la dose suivante au moment habituel. Si vous arrêtez de prendre HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Si vous ressentez l'effet suivant, arrêtez de prendre HYZAAR et informez immédiatement votre médecin ou allez aux urgences de l'hôpital le plus proche : · une réaction allergique grave (éruption cutanée, démangeaisons, gonflement du visage, des lèvres, de la bouche ou de la gorge qui peut entraîner des difficultés à avaler ou à respirer). C'est un effet secondaire grave mais rare qui peut affecter plus d'1 patient sur 10 000 mais moins d'1 patient sur 1 000. Vous pouvez avoir besoin de soins médicaux en urgence ou d'une hospitalisation. Les effets indésirables ci-dessous ont été rapportés : Fréquents (peut affecter jusqu'à 1 personne sur 10) : · toux, infection des voies respiratoires supérieures, congestion du nez, sinusite, problèmes de sinus, · diarrhée, douleur abdominale, nausées, indigestion, · douleurs musculaires ou crampes, douleur dans la jambe, douleur dorsale, · insomnie, maux de tête, étourdissements, · faiblesse, fatigue, douleurs thoraciques, · augmentation des taux de potassium (pouvant entraîner un rythme cardiaque anormal), diminution de l'hémoglobine, · modification de la fonction rénale incluant insuffisance rénale, · trop peu de sucre dans le sang (hypoglycémie). Peu fréquents (peut affecter jusqu'à 1 personne sur 100) : · anémie, boutons rouges ou marrons sur la peau (parfois particulièrement sur les pieds, les jambes, les bras et sur les fesses, avec douleur des articulations, gonflement des mains et des pieds, et douleurs à l'estomac), contusions, diminution des globules blancs, problème de coagulation, diminution du nombre de plaquettes, · perte d'appétit, augmentation du taux d'acide urique et crise de goutte, augmentation du taux de sucre sanguin, taux anormaux d'électrolytes dans le sang, · anxiété, nervosité, troubles paniques (attaques de panique récurrentes), confusion, dépression, rêves anormaux, troubles du sommeil, somnolence, troubles de la mémoire, · picotements ou sensations similaires, douleurs dans les extrémités, tremblements, migraine, évanouissement, · vision trouble, sensation de brûlure ou de picotement dans les yeux, conjonctivite, dégradation de la vision, vision jaune, · tintements, bourdonnements, grondement ou cliquetis dans les oreilles, vertiges, · pression sanguine basse qui peut être associée à des changements posturaux (sensation de tête légère ou faiblesse en se levant), angine de poitrine (douleur thoracique), battements du cœur anormaux, accident vasculaire cérébral (accident ischémique transitoire, « mini-AVC »), crise cardiaque, palpitations, · inflammation des vaisseaux sanguins qui est souvent associée à une éruption cutanée ou des bleus, · mal de gorge, essoufflement, bronchite, pneumonie, eau dans les poumons (ce qui entraîne une difficulté à respirer), saignement de nez, écoulement nasal, congestion, · constipation, constipation opiniâtre, flatulence, troubles gastriques, spasmes de l'estomac, vomissements, sécheresse de la bouche, inflammation des glandes salivaires, mal de dents, · jaunisse (jaunissement des yeux et de la peau), inflammation du pancréas, · urticaire, démangeaisons, inflammation de la peau, éruption cutanée, rougeur de la peau, sensibilité à la lumière, peau sèche, bouffées de chaleur, transpiration, perte de cheveux, · douleur dans les bras, les épaules, les hanches, les genoux ou autres articulations, gonflement des articulations, raideur, faiblesse musculaire, · mictions fréquentes y compris la nuit, anomalies de la fonction rénale, y compris inflammation des reins, infection des voies urinaires, sucre dans les urines, · diminution de l'appétit sexuel, impuissance, · gonflement du visage, gonflement localisé (œdème), fièvre. Rare (peut affecter jusqu'à 1 personne sur 1 000) : · hépatite (inflammation du foie), anomalies des tests de la fonction hépatique. Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) : · symptômes pseudo-grippaux, · douleur musculaire inexpliquée avec des urines noires (couleur thé) (rhabdomyolyse), · taux bas de sodium dans le sang (hyponatrémie), · sensation de mal-être général (malaise), · altération du goût (dysgueusie). · cancer de la peau et des lèvres (cancer de la peau non mélanome). Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N'utilisez pas ce médicament après la date de péremption mentionnée sur la boîte après « EXP ». La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Plaquettes Conserver HYZAAR dans l’emballage d’origine, à l'abri de la lumière et de l'humidité. A conserver à une température ne dépassant pas 30°C. Flacon A conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de la lumière. Conserver le flacon soigneusement fermé, à l'abri de l'humidité. A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé Retour en haut de la page · Les substances actives sont le losartan potassique et l'hydrochlorothiazide. HYZAAR 50 mg/12,5 mg contient 50 mg de losartan potassique et 12,5 mg d'hydrochlorothiazide comme substances actives. · Les autres composants sont : Cellulose microcristalline (E460), lactose monohydraté, amidon de maïs prégélatinisé, stéarate de magnésium (E572), hydroxypropylcellulose (E463), hypromellose (E464), dioxyde de titane (E171), laque aluminique de jaune de quinoléine (E104) et cire de carnauba (E903). HYZAAR 50 mg/12,5 mg contient 4,24 mg (0,108 mEq) de potassium. Qu’est-ce que HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page HYZAAR 50 mg/12,5 mg est présenté sous forme de comprimés pelliculés ovales, de couleur jaune, portant l'inscription « 717 » sur une face et lisse ou avec une barre de cassure sur l'autre face. La barre de cassure n’est pas destinée à briser le comprimé. HYZAAR est disponible dans les présentations suivantes : Plaquettes PVC/PE/PVDC avec opercule en aluminium. Boîtes de 4, 7, 10, 14, 20, 28, 30, 50, 56, 84, 90, 98 ou 280 comprimés. Flacons PEHD de 100 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page MSD FRANCE 34 AVENUE LÉONARD DE VINCI 92400 COURBEVOIE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page MSD FRANCE 34 AVENUE LÉONARD DE VINCI 92400 COURBEVOIE Fabricant Retour en haut de la page MERCK SHARP & DOHME B.V. WAARDERWEG 39 2031 BN HAARLEM PAYS-BAS OU MERCK SHARP & DOHME LTD SHOTTON LANE CRAMLINGTON NORTHUMBERLAND NE 23 3 JU ROYAUME-UNI Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE IMODIUM 2 mg, gélule ? Retour en haut de la page Posologie Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. · Diarrhée aiguë : La posologie habituelle est : o chez l’adulte : commencer par 2 gélules, puis après chaque selle non moulée, prendre une gélule supplémentaire, sans dépasser 8 gélules par jour. o chez l’enfant de plus de 8 ans : commencer par 1 gélule puis après chaque selle non moulée, une gélule supplémentaire, sans dépasser 6 gélules par jour. · Diarrhée chronique : La posologie habituelle est : o chez l’adulte : 1 à 3 gélules par jour. o chez l’enfant de plus de 8 ans : 1 à 2 gélules par jour Mode d’administration Voie orale. Les gélules doivent être avalées avec un verre d’eau. Dans tous les cas, se conformer strictement à la prescription médicale. Si vous avez pris plus d’IMODIUM 2 mg, gélule que vous n’auriez dû Si vous avez pris trop d’IMODIUM 2 mg, gélule, demandez immédiatement conseil à un médecin ou un hôpital. Les symptômes peuvent inclure : une accélération du rythme cardiaque, un rythme cardiaque irrégulier, des changements de votre rythme cardiaque (ces symptômes peuvent avoir des conséquences potentiellement graves et engager le pronostic vital), une raideur musculaire, des mouvements non coordonnés, une somnolence, une difficulté à uriner ou une détresse respiratoire, ou encore une diminution de la vigilance, un rétrécissement de la pupille, des ballonnements ou une constipation. Dans ce cas, il faut aller à l’hôpital pour que l’on vous administre un antidote (la naloxone). Une surveillance hospitalière devra alors être maintenue pendant au moins 48 heures. Les enfants réagissent plus fortement aux fortes doses d’IMODIUM 2 mg, gélule que les adultes. Si un enfant en prend trop ou présente l’un des symptômes mentionnés ci-dessus, contactez immédiatement un médecin. Si vous oubliez de prendre IMODIUM 2 mg, gélule Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre IMODIUM 2 mg, gélule Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables les plus fréquents (plus de 1 patient sur 100) avec le chlorhydrate de lopéramide dans la diarrhée aiguë sont la constipation, les flatulences, les maux de tête et les nausées. Les effets indésirables les plus fréquents (plus de 1 patient sur 100) avec le chlorhydrate de lopéramide dans la diarrhée chronique sont les flatulences, la constipation, les nausées et les sensations vertigineuses. Les effets indésirables suivants ont également été rapportés avec le lopéramide : · Réactions allergiques pouvant inclure des difficultés respiratoires ou pour avaler, un gonflement du visage ou des réactions cutanées (rash, urticaire, démangeaisons). · Vomissements, difficultés à digérer, sécheresse buccale, constipation sévère, douleur ou gonflement du ventre, gêne abdominale, occlusion intestinale, douleur de la langue. · Eruptions cutanées parfois sévères. · Fatigue. · Difficulté à uriner. · Somnolence, perte ou diminution de la conscience, stupeur, augmentation du tonus musculaire, difficulté à coordonner ses mouvements. · Rétrécissement de la pupille (myosis). Si vous ressentez l’un des symptômes suivants, arrêtez d'utiliser ce médicament et prévenez immédiatement votre médecin : · Réactions allergiques pouvant inclure des difficultés respiratoires ou pour avaler, un gonflement (du visage, des lèvres, de la gorge) ou des réactions cutanées (rash, urticaire, démangeaisons). · Fatigue importante, incapacité à coordonner ses mouvements ou perte de conscience. · Constipation, douleur importante ou gonflement du ventre ou occlusion intestinale. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER IMODIUM 2 mg, gélule ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament ne présente pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient IMODIUM 2 mg, gélule Retour en haut de la page · La substance active est : Chlorhydrate de lopéramide........................................................................................... 2,00 mg Quantité correspondant à lopéramide base..................................................................... 1,86 mg Pour une gélule. · Les autres composants sont : Lactose monohydraté, amidon de maïs, talc, stéarate de magnésium. Enveloppe de la gélule : Gélatine, dioxyde de titane, érythrosine, oxyde de fer jaune, bleu patenté V, oxyde de fer noir. Voir rubrique 2 « Faites attention avec IMODIUM 2 mg, gélule ». Qu’est-ce que IMODIUM 2 mg, gélule et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de gélules sous plaquettes (PVC/Aluminium) contenues dans des boîtes de 6, 12 ou 20 gélules. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page JANSSEN-CILAG 1, RUE CAMILLE DESMOULINS TSA 91003 92787 ISSY-LES-MOULINEAUX CEDEX 9 Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page JANSSEN-CILAG 1, RUE CAMILLE DESMOULINS TSA 91003 92787 ISSY-LES-MOULINEAUX CEDEX 9 Fabricant Retour en haut de la page JANSSEN-CILAG DOMAINE DE MAIGREMONT 27100 VAL DE RUEIL Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] mois AAAA. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE INDOCID 25 mg, gélule ? Retour en haut de la page Posologie RESERVE A L'ADULTE (plus de 15 ans). La posologie est fonction de l'indication et de la réponse du patient. Elle varie de 2 à 8 gélules à 25 mg par jour. DANS TOUS LES CAS, SE CONFORMER STRICTEMENT A L'ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Mode et voie d'administration Voie orale Avaler les gélules telles quelles avec un verre d'eau. Fréquence et moment auquel le médicament doit être administré Les gélules sont à prendre de préférence au milieu des repas. La posologie est à répartir en plusieurs prises. Durée du traitement DANS TOUS LES CAS, SE CONFORMER STRICTEMENT A L'ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Si vous avez pris plus de INDOCID 25 mg, gélule que vous n’auriez dû En cas de surdosage ou d'ingestion accidentelle, prévenir immédiatement un médecin. Si vous oubliez de prendre INDOCID 25 mg, gélule Sans objet. Si vous arrêtez de prendre INDOCID 25 mg, gélule Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les médicaments tels que INDOCID 25 mg, gélule pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (« infarctus du myocarde ») ou d'accident vasculaire cérébral. · Peuvent survenir: o des réactions allergiques: § cutanées de type éruption, urticaire, démangeaisons, inflammation des vaisseaux sanguins, rougeur, exceptionnellement: éruption cutanée lors d'une exposition au soleil; § respiratoires de type crise d'asthme, œdème pulmonaire; § générales, brusque gonflement du visage et du cou (œdème de Quincke). o rarement, un décollement de la peau pouvant rapidement s'étendre de façon très grave à tout le corps, o rarement, jaunisse. · Dans certains cas rares, il est possible que survienne une hémorragie digestive (voir rubrique « Mises en garde spéciales »). Celle-ci est d'autant plus fréquente que la posologie utilisée est élevée. Dans tous ces cas, arrêter le traitement et avertir un médecin · Peuvent survenir également : o des troubles digestifs: maux d'estomac, nausées, vomissements, diarrhée, constipation, o des maux de tête, vertiges, fatigue intense, confusion mentale, syncope, somnolence, insomnie, angoisse, convulsions, o des troubles psychiques: délires, hallucinations, o des troubles neurologiques: atteinte des nerfs des membres, mouvements involontaires, faiblesse musculaire et plus rarement, fourmillements, difficultés d'élocution, o des troubles visuels: rarement, douleurs des orbites, vision trouble, o des troubles du fonctionnement des reins, o des troubles de l'audition: rarement, surdité, o des troubles cardiaques: rarement, hypo ou hypertension, palpitations, douleur thoracique, troubles du rythme, œdèmes périphériques, o une augmentation du nombre de crises convulsives chez les patients épileptiques; une aggravation d'une maladie de Parkinson, o une chute des cheveux, o une douleur au niveau des seins ou une augmentation de leur volume; des saignements vaginaux, o fièvre, transpiration, rougeur du visage, saignements de nez. Dans tous ces cas, avertir votre médecin · Des cas d'ulcères ou de perforations gastro-intestinaux ont pu être observés. · Ont été observées également des modifications des bilans sanguins (augmentation du taux de sucre ou de potassium, baisse du taux de globules blancs, globules rouges et des plaquettes), hépatique et rénal, pouvant être graves. Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER INDOCID 25 mg, gélule ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte. Sans précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient INDOCID 25 mg, gélule Retour en haut de la page · La substance active est : Indométacine......................................................................................................................... 25 mg Pour une gélule. · Les autres composants sont : Contenu de la gélule : Lécithine (liquide concentré), lactose, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium. Composition de l’enveloppe de la gélule : gélatine, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune (E172). Qu’est-ce que INDOCID 25 mg, gélule et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page H.A.C. PHARMA 43-45 AVENUE DE LA COTE DE NACRE PERICENTRE II 14000 CAEN Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page H.A.C. PHARMA 43-45 AVENUE DE LA COTE DE NACRE PERICENTRE II 14000 CAEN Fabricant Retour en haut de la page ALLPHAMED PHARBIL ARZNEIMITTEL GMBH HILDEBRANDSTR. 10-12 37081 GÖTTINGEN ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [À compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Sans objet. Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE VOGALENE 15 mg, gélule ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie La posologie est à adapter en fonction de l’horaire et de l’intensité des troubles digestifs. Cesser le traitement dès la disparition des symptômes. La durée de traitement maximale recommandée est de 5 jours. Adultes et enfants de plus de 12 ans : La dose maximale recommandée est de 15 à 30 mg par jour. Prendre 1 gélule par prise et jusqu’à 2 prises par jour, soit une dose journalière de 1 à 2 gélules au maximum en 2 prises par jour. Enfants (de 6 à 12 ans) : La dose maximale recommandée est de 7,5 à 15 mg/jour. Ceci correspond à une dose journalière d’1 gélule par jour au maximum. Pour l’administration d’une dose inférieure à 15 mg par prise, la forme gélule n’est pas adaptée. Il est recommandé d’utiliser soit la forme suppositoire sécable, dosée à 5 mg, soit la forme lyophilisat oral dosée à 7,5 mg, soit la forme solution buvable. Enfants de moins de 6 ans : La forme gélule n’est pas adaptée, utiliser la forme suppositoire sécable, dosée à 5 mg ou solution buvable. Mode d’administration La prise se fera de préférence 15 minutes avant les repas avec un intervalle minimal de 4 à 6 heures entre 2 prises. Les gélules doivent être avalées avec un verre d’eau. Ne pas les ouvrir. Pour les enfants jusqu’à 12 ans, pour plus de précisions, se reporter à la posologie et au mode d’administration notés sur la notice des formes suppositoire sécable dosé à 5 mg, lyophilisat oral dosé à 7,5 mg ou solution buvable dosée à 0,1 %. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L’ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Si vous avez pris plus de VOGALENE 15 mg, gélule que vous n’auriez dû Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez de prendre VOGALENE 15 mg, gélule Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre VOGALENE 15 mg, gélule Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde : · somnolence ; · contractures musculaires, pouvant entraîner des difficultés à effectuer certains mouvements (marche, écriture, parole, …) ou des mouvements anormaux ; · malaises à type d’hypotension, lors du changement de position (allongé/debout) observés en particulier avec la forme injectable ; · sécheresse de la bouche ; · constipation ; · troubles de l’accommodation visuelle ; · rétention urinaire ; · impuissance, frigidité ; · arrêt des règles, écoulement anormal de lait, développement des seins chez l’homme, excès de prolactine (hormone provoquant la lactation) ; · éruption de boutons, rougeur de la peau ; · réactions allergiques. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOGALENE 15 mg, gélule ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOGALENE 15 mg, gélule Retour en haut de la page · La substance active est : Métopimazine...................................................................................................................... 15,0 mg Pour une gélule · Les autres composants sont : Cellulose microcristalline, amidon de blé, acide alginique, stéarate de magnésium, silice colloïdale, talc. Composition de la gélule : Dioxyde de titane, gélatine. Qu’est-ce que VOGALENE 15 mg, gélule et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Gélule blanche opaque. Boîte contenant 20 gélules. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GÉNÉRAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GÉNÉRAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Fabricant Retour en haut de la page HAUPT PHARMA LIVRON 1, RUE COMTE DE SINARD 26250 LIVRON SUR DROME ou AESICA Pharmaceuticals GmbH ALFRED-NOBEL-STRASSE 10 40789 MONHEIM ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page {mois AAAA}. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Une fois que vous aurez commencé à prendre ZESTRIL, votre médecin pourra vous demander de faire des tests sanguins. Il pourra ensuite adapter la posologie afin que vous preniez la quantité de médicament qui vous convient. Prise du médicament · Avalez le comprimé avec un verre d'eau. · Essayez de prendre le comprimé tous les jours à la même heure ; ZESTRIL peut être pris avant ou après les repas. · Prenez ZESTRIL aussi longtemps que votre médecin vous demandera de le faire, il s'agit d'un traitement au long cours. Il est important de continuer à prendre ZESTRIL tous les jours. Prise de la première dose · Soyez particulièrement prudent lors de la première prise de ZESTRIL ou en cas d'augmentation de la dose car cela peut provoquer une baisse de la pression artérielle plus importante que lors de la poursuite du traitement. · Vous pouvez avoir des vertiges ou des étourdissements qui peuvent nécessiter de vous allonger. Si cet effet survient, consultez votre médecin dès que possible. Adultes La posologie dépend de votre maladie et des autres médicaments que vous prenez. Votre médecin vous dira combien de comprimés vous devez prendre par jour. En cas de doute, demandez l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien. Hypertension artérielle · La posologie initiale recommandée est de 10 mg/jour 1 fois par jour. · La posologie d'entretien habituelle est de 20 mg/jour 1 fois par jour. Insuffisance cardiaque · La posologie initiale recommandée est de 2,5 mg/jour 1 fois par jour. · La posologie d'entretien habituelle est comprise entre 5 et 35 mg/jour 1 fois par jour. Après une crise cardiaque · La posologie initiale recommandée est de 5 mg dans les 24 heures qui suivent la crise cardiaque et le jour suivant. · La posologie d'entretien habituelle est de 10 mg/jour 1 fois par jour. Complications rénales du diabète · La dose recommandée est de 10 ou de 20 mg/jour 1 fois par jour. Si vous êtes âgé(e) ou en cas de maladie rénale ou de traitement diurétique, votre médecin pourra vous prescrire une dose plus faible que la dose habituelle. Utilisation chez les enfants et les adolescents hypertendus (âgés de 6 à 16 ans) · Le lisinopril est déconseillé chez I’enfant de moins de 6 ans ou I’enfant avec de sévères problèmes au niveau des reins. · Le médecin adaptera la posologie pour votre enfant ou adolescent. La posologie dépend du poids corporel. · Pour les enfants ou adolescents pesant entre 20 et 50 kg, la posologie initiale recommandée est de 2,5 mg en une prise par jour. · Pour les enfants ou adolescents d'un poids supérieur à 50 kg, la posologie initiale recommandée est de 5 mg en une prise par jour. Si vous avez pris plus de ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable que vous n’auriez dû : Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous avez pris plus de ZESTRIL que vous n'auriez dû, contactez un médecin ou l'hôpital le plus proche. Les effets les plus susceptibles de se produire sont les suivants : étourdissements, palpitations. Si vous oubliez de prendre ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable : Si vous oubliez de prendre une dose de ZESTRIL, prenez-la dès que possible. Toutefois, si c'est presque le moment de prendre la dose suivante, ne prenez pas la dose que vous avez oublié de prendre. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable : N'interrompez pas votre traitement, même si vous vous sentez bien, sauf si votre médecin vous le recommande. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Si vous présentez l'une des réactions suivantes, arrêtez de prendre ZESTRIL et contactez immédiatement votre médecin. · Réactions allergiques sévères (rares, observées chez 1 à 10 utilisateurs sur 10 000). Les signes peuvent être l'apparition brutale des réactions suivantes : · Gonflement de la face, des lèvres, de la langue ou de la gorge, pouvant provoquer des difficultés à avaler. · Gonflement sévère ou brutal des mains, des pieds et des chevilles. · Difficultés à respirer. · Démangeaisons sévères de la peau (avec nodules surélevés). · Troubles cutanés graves, comme une éruption ou une sensation de brûlure soudaine et inattendue, une rougeur ou une desquamation (très rares, observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000). · Infection s'accompagnant de symptômes comprenant une fièvre ou une détérioration sérieuse de l'état général ou fièvre avec des symptômes d'infection locale comprenant des problèmes au niveau de la gorge/du pharynx/de la bouche ou des problèmes urinaires (très rares, observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000). Autres effets indésirables éventuels : Fréquents (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 100) · Maux de tête. · Etourdissements ou vertiges, en particulier en cas de passage rapide en station debout. · Diarrhée. · Toux sèche persistante. · Vomissements. · Dysfonctionnement rénal (mis en évidence par un test sanguin). Peu fréquents (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 1000) · Troubles de l’humeur. · Changement de couleur des doigts ou des orteils (du bleu pâle au rouge) ou engourdissement ou fourmillements au niveau des doigts ou des orteils. · Altération du goût. · Somnolence. · Vertiges. · Troubles du sommeil. · Accident vasculaire cérébral. · Rythme cardiaque accéléré. · Ecoulement nasal. · Nausées. · Douleurs abdominales ou troubles digestifs. · Eruption cutanée ou démangeaisons. · Impossibilité d'obtenir une érection (impuissance). · Sensation de fatigue ou de faiblesse (perte de force). · Une chute excessive de la pression artérielle peut survenir dans les cas suivants : maladie coronaire ; rétrécissement de l'aorte (artère du cœur), de l'artère rénale ou des valves cardiaques ; épaississement du muscle cardiaque. Vous pourriez dans ce cas ressentir des étourdissements ou des vertiges, en particulier en cas de passage rapide en position debout. · Modifications des tests sanguins indiquant le fonctionnement de votre foie et de vos reins. · Crise cardiaque. · Hallucinations visuelles et/ou auditives. Rares (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 10 000) · Confusion mentale. · Eruption avec gonflement (urticaire). · Sécheresse de la bouche. · Perte de cheveux. · Psoriasis (affection cutanée). · Altération de l’odorat. · Gonflement de la poitrine chez l'homme. · Modifications de certaines cellules ou de certains éléments de votre sang. Occasionnellement, votre médecin peut vous prescrire des prises de sang, afin de rechercher les effets que ZESTRIL provoque sur votre sang. Les signes peuvent être les suivants : sensation de fatigue, pâleur cutanée, mal de gorge, élévation de la température (fièvre), douleurs articulaires et musculaires, gonflement des articulations ou des glandes ou sensibilité au soleil. · Faibles taux de sodium dans votre sang (les symptômes peuvent être fatigue, mal de tête, nausée, vomissement). · Insuffisance rénale subite. Très rares (observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000) · Sinusite (sensation de douleur ou de congestion en arrière des joues et des yeux). · Respiration sifflante. · Diminution du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie). Les signes peuvent être une sensation de faim ou de faiblesse, une transpiration et un rythme cardiaque accéléré. · Inflammation des poumons. Les signes peuvent être une toux, une sensation d'essoufflement et une élévation de la température (fièvre). · Coloration jaune de la peau ou du blanc des yeux (jaunisse). · Inflammation du foie. Elle peut entraîner une perte d'appétit, une coloration jaune de la peau et des yeux et une coloration foncée des urines. · Inflammation du pancréas. Elle peut entraîner des douleurs modérées à sévères dans l'estomac. · Troubles cutanés graves. Les symptômes comprennent une rougeur, la formation de cloques et une desquamation. · Transpiration. · Emission d'urine anormalement faible, voire nulle. · Insuffisance hépatique. · Gonflements. · Inflammation de l'intestin. Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) · Symptômes de dépression. · Evanouissement. Les effets indésirables chez les enfants semblent comparables à ceux observés chez les adultes. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage et sur la plaquette après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. A conserver à une température ne dépassant pas 30°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Lisinopril anhydre............................................................................................................... 5,00 mg Sous forme de lisinopril dihydraté Pour un comprimé sécable · Les autres composants sont : Mannitol, hydrogénophosphate de calcium dihydraté, amidon de maïs, amidon prégélatinisé, stéarate de magnésium, oxyde de fer rouge (E172) Qu’est-ce que ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable et contenu de l’emballage extérieur ? Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé rond, rose, non pelliculé, biconvexe, avec “♥ 5” sur une face et une barre de sécabilité sur l’autre face. Diamètre de 6 mm. Le comprimé peut être divisé en doses égales. ZESTRIL est disponible : · en boites de 14, 20, 28, 28x1, 30, 42, 50, 56, 60, 84, 98, 100, 400 et 500 comprimés sous plaquettes · en boites de 14, 28, 42, 56, 84 et 98 comprimés sous plaquettes calendaires · en flacon (PEHD) de 20, 30, 50, 100 et 400 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Fabricant Retour en haut de la page AVARA REIMS PHARMACEUTICAL SERVICES PARC INDUSTRIEL DE LA POMPELLE CHEMIN DE VRILLY 51100 REIMS Ou ASTRAZENECA UK LTD SILK ROAD BUSINESS PARK MACCLESFIELD CHESHIRE SK10 2NA ROYAUME-UNI Ou ASTRAZENECA AB GÄRTUNAVÄGEN SE-151 85 SÖDERTÄLJE SUEDE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [à compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou de votre pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou de votre pharmacien en cas de doute. Prenez ZINNAT après un repas. Ceci contribuera à rendre le traitement plus efficace. Avalez les comprimés de ZINNAT entiers avec un peu d’eau. Ne mâchez pas, n’écrasez pas et ne coupez pas les comprimés : ceci peut diminuer l’efficacité du traitement. Dose recommandée Adultes La dose recommandée de ZINNAT est de 250 mg à 500 mg deux fois par jour, en fonction de la sévérité et du type d’infection. Enfants La dose recommandée de ZINNAT est de 10 mg/kg deux fois par jour (jusqu'à un maximum de 125 mg deux fois par jour) à 15 mg/kg deux fois par jour (jusqu'à un maximum de 250 mg deux fois par jour) en fonction de la sévérité et du type d’infection ZINNAT est déconseillé chez l’enfant âgé de moins de 3 mois car la sécurité et l’efficacité ne sont pas connues dans cette tranche d’âge. En fonction du type d’infection à traiter et de la façon dont vous ou votre enfant répondez au traitement, la dose initiale peut être modifiée ou plus d’un cycle de traitement peut s’avérer nécessaire. Si vous souffrez d’un problème rénal, votre médecin pourra adapter votre dose. Parlez-en à votre médecin si tel est votre cas. Si vous avez pris plus de ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû Si vous avez pris plus de ZINNAT que vous n’auriez dû, vous pouvez présenter des troubles neurologiques, en particulier vous avez un risque plus important d'avoir des convulsions. N’attendez pas. Contactez immédiatement votre médecin ou le service d’urgences de l’hôpital le plus proche. Si possible, montrez-leur la boîte de ZINNAT. Si vous oubliez de prendre ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Prenez simplement la dose suivante à l’heure habituelle. Si vous arrêtez de prendre ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé N’arrêtez pas votre traitement par ZINNAT sans avis médical Il est important de prendre le traitement par ZINNAT dans son intégralité. N’arrêtez pas votre traitement à moins que votre médecin ne vous le conseille - même si vous vous sentez mieux. L’infection peut revenir si vous ne terminez pas le traitement dans son intégralité. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Situations nécessitant votre vigilance Un petit nombre de patients traités par ZINNAT ont développé des réactions allergiques ou des réactions cutanées potentiellement graves. Les symptômes de ces réactions incluent : · réactions allergiques sévères. Les signes incluent une éruption cutanée associant des lésions surélevées et des démangeaisons, un gonflement, parfois au niveau du visage ou de la bouche, provoquant des difficultés pour respirer. · éruption cutanée, pouvant former des cloques, ayant l’apparence de petites cibles (petites tâches centrales foncées entourées d’une zone plus pâle bordée d’un anneau sombre). · éruption cutanée étendue avec cloques et la peau qui pèle. (Ces signes peuvent être ceux d’un syndrome de Stevens-Johnson ou d’une nécrose épidermique toxique). Autres situations nécessitant votre vigilance pendant votre traitement par ZINNAT · infections fongiques. Des médicaments tels que ZINNAT peuvent provoquer une prolifération de levures (Candida) dans l’organisme, responsables d’infections fongiques (telles que le muguet). Cet effet indésirable est plus susceptible de survenir au cours d’un traitement prolongé par ZINNAT. · diarrhée sévère (colite pseudomembraneuse). Des médicaments tels que ZINNAT peuvent provoquer une inflammation du côlon (gros intestin), responsable de diarrhées sévères, habituellement accompagnées de sang et de mucus, de douleurs abdominales et de fièvre. · réaction de Jarisch-Herxheimer. Certains patients peuvent avoir une température élevée (fièvre), des frissons, des maux de tête, des douleurs musculaires et une éruption cutanée au cours d’un traitement de la maladie de Lyme par ZINNAT. Ces symptômes sont connus sous le nom de réaction de Jarisch-Herxheimer. Les symptômes durent habituellement de quelques heures à une journée. Contactez immédiatement un médecin ou un(e) infirmier(ère) si vous présentez l’un de ces symptômes. Effets indésirables fréquents Ceux-ci peuvent concerner jusqu’à 1 personne sur 10 : · infections fongiques (telles que candidoses) · maux de tête · sensations vertigineuses · diarrhées · nausées · douleurs abdominales Effets indésirables fréquents pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · augmentation d’un certain type de globules blancs (hyperéosinophilie) · augmentation du taux des enzymes du foie Effets indésirables peu fréquents Ceux-ci peuvent concerner jusqu’à 1 personne sur 100 : · vomissements · éruptions cutanées Effets indésirables peu fréquents pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · diminution du nombre de plaquettes dans le sang (cellules participant à la coagulation du sang) · diminution du nombre de globules blancs · test de Coombs positif Autres effets indésirables D’autres effets indésirables sont survenus chez un très petit nombre de patients, mais leur fréquence exacte est indéterminée : · diarrhées sévères (colite pseudomembraneuse) · réactions allergiques · réactions cutanées (dont des réactions sévères) · température élevée (fièvre) · jaunissement du blanc des yeux ou de la peau · inflammation du foie (hépatite) Effets indésirables pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · destruction trop rapide des globules rouges (anémie hémolytique) Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. Conserver dans l’emballage d'origine, à une température ne dépassant pas 30°C. Ne prenez pas ZINNAT si les comprimés sont ébréchés ou s’il y a un autre signe visible de détérioration. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d'éliminer les médicaments que vous n'utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé Retour en haut de la page · La substance active est : Céfuroxime (sous forme de céfuroxime axétil)............................................................. 250,00 mg Pour un comprimé pelliculé. · Les autres composants sont : Cellulose microcristalline, croscarmellose sodique type A, laurylsulfate de sodium, huile végétale hydrogénée, silice colloïdale anhydre, hypromellose, propylèneglycol, parahydroxybenzoate de méthyle (E218), parahydroxybenzoate de propyle (E216) et Opaspray blanc M-1-7120J (contenant du dioxyde de titane (E171) et du benzoate de sodium (E211)) Qu’est-ce que ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Les comprimés de ZINNAT 250 mg sont blancs, pelliculés, de forme oblongue, lisse sur une face et gravés avec « GXES7 » sur l’autre face. Les comprimés de ZINNAT 250 mg sont contenus dans des plaquettes en aluminium. Chaque boîte contient 6, 8, 10, 12, 14, 16, 20, 24 ou 50 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, rue francois jacob 92500 rueil-malmaison Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, rue francois jacob 92500 rueil-malmaison Fabricant Retour en haut de la page GLAXOSMITHKLINE MANUFACTURING S.p.A VIA A. FLEMING 2 37135 VERONE Italie OU GLAXO OPERATIONS UK LTD TRADING AS WELLCOME OPERATIONS Harmire road Barnard Castle County DURHAM - DL12 8DT ROYAUME-UNI Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). CONSEILS / EDUCATION SANITAIRE QUE SAVOIR SUR LES ANTIBIOTIQUES ? Les antibiotiques sont efficaces pour combattre les infections dues aux bactéries. Ils ne sont pas efficaces contre les infections dues aux virus. Aussi, votre médecin a choisi de vous prescrire cet antibiotique parce qu’il convient précisément à votre cas et à votre maladie actuelle. Les bactéries ont la capacité de survivre ou de se reproduire malgré l’action d’un antibiotique. Ce phénomène est appelé résistance : il rend certains traitements antibiotiques inactifs. La résistance s’accroît par l’usage abusif ou inapproprié des antibiotiques. Vous risquez de favoriser l’apparition de bactéries résistantes et donc de retarder votre guérison ou même de rendre inactif ce médicament, si vous ne respectez pas : · la dose à prendre, · les moments de prise, · et la durée de traitement. En conséquence, pour préserver l’efficacité de ce médicament : 1- N’utilisez un antibiotique que lorsque votre médecin vous l’a prescrit. 2- Respectez strictement votre ordonnance. 3- Ne réutilisez pas un antibiotique sans prescription médicale même si vous pensez combattre une maladie apparemment semblable. 4- Ne donnez jamais votre antibiotique à une autre personne, il n’est peut-être pas adapté à sa maladie. 5- Une fois votre traitement terminé, rapportez à votre pharmacien toutes les boîtes entamées pour une destruction correcte et appropriée de ce médicament. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT UTILISER HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin ou de votre pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou de votre pharmacien en cas de doute. Posologie RESERVE A L'ADULTE ET A L'ENFANT DE PLUS 30 MOIS. La dose recommandée est de 2 pulvérisations, 3 fois par jour. Mode d'administration Voie orale. AGITER AVANT CHAQUE UTILISATION. Pour pulvériser, il suffit de faire pivoter la tige de l'embout d'un quart de tour PULVERISER EN TENANT LE FLACON DEBOUT. Durée de traitement Le traitement ne dépassera pas 5 jours. Si vous avez utilisé plus de HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé que vous n’auriez dû : Sans objet. Si vous oubliez d’utiliser HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé : Sans objet. Si vous arrêtez d’utiliser HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé : Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables sont mentionnés ci-dessous, par ordre de fréquence : Très rare (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 10000) : Œdème des lèvres, urticaire, éruptions cutanées, érythème, œdème de Quincke. La présence de parahydroxybenzoate de méthyle (E218) peut être à l'origine de réactions allergiques. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage ou le flacon. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ne pas exposer à la chaleur. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé Retour en haut de la page · La substance active est : · Biclotymol …………………………………………………………………………………………….750 mg Pour 30g. · Les autres composants sont : Alcool benzylique, édétate disodique, parahydroxybenzoate de méthyle, huile essentielle de badiane, glycyrrhizinate d’ammonium, saccharine sodique, cellulose dispersible, lécithine de soja, glycérol, éthanol à 96 %, eau purifiée, azote. Excipients à effet notoire : parahydroxybenzoate de méthyle (E218). Qu’est-ce que HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de collutoire en flacon pressurisé de 8, 10, 15, 20 ou 30 g. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page BOUCHARA-RECORDATI 70 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE IMMEUBLE LE WILSON 92800 PUTEAUX FRANCE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRES BOUCHARA-RECORDATI 70 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE IMMEUBLE LE WILSON 92800 PUTEAUX FRANCE Fabricant Retour en haut de la page LABORATOIRES BOUCHARA-RECORDATI PARC MECATRONIC 03410 SAINT VICTOR Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : novembre 2018. Autres Sans objet. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
1 à 2 comprimé(s) ou sachets-dose par prise, pas plus de 12 comprimés ou sachets-dose par jour. Ou 1 cuillère à soupe par prise, pas plus de 6 cuillères par jour, si vous choisissez la suspension buvable en flacon. Le transit intestinal peut être perturbé par le traitement au Ce médicament en raison des ions d'aluminium et de magnésium qu'il contient. Ce médicament peut accélérer le transit et provoquer des diarrhées, ou, au contraire, le ralentir, et entraîner une constipation. On peut parfois observer une baisse des phosphates dans le plasma sanguin. Il est rare qu'un surdosage de Maalox ait un fort retentissement sur l'organisme. Les signes cliniques d'un surdosage de Maalox sont des nausées, des vomissements, une baisse de la pression artérielle, une diminution des réflexes, une somnolence, une hypoventilation, et parfois des troubles du rythme cardiaque. (1)
1 comprimé par jour 50 mg de fer élément et 350 µg d'acide folique pendant les 2 derniers trimestres de la grossesse (ou à partir du 4ème mois). Avaler le comprimé en entier. Ne pas sucer, croquer ou garder le comprimé dans la bouche. A prendre avec un grand verre d'eau, de préférence avant les repas mais l'horaire de la prise est à adapter en fonction de la tolérance digestive. (1)
1 comprimé par jour partir de la 24e semaine de grossesse, à prendre de préférence avant le repas, mais l'horaire de la prise est à adapter en fonction de la tolérance digestive. • Possibilité de troubles gastro-intestinaux : états nauséeux, constipation, diarrhée. • Coloration habituelle des selles en noir ou gris-noir. • Rarement, réactions allergiques cutanées. Grossesse : Des données cliniques négatives portant sur quelques milliers de femmes traitées, semblent exclure un effet néfaste du sulfate ferreux. En conséquence, ce médicament dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant la grossesse. Allaitement : Le passage du sulfate ferreux dans le lait maternel n'a pas été évalué, mais compte tenu de la nature de la molécule, l'administration de ce médicament est possible chez la femme qui allaite. (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER FRAKIDEX, Collyre en solution ? Retour en haut de la page N’utilisez jamais FRAKIDEX, Collyre en solution : · si vous êtes allergique aux substances actives ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6. · si vous avez une infection débutante de l’œil d’origine virale, · si vous avez une infection mycosique. Ce médicament NE DOIT GENERALEMENT PAS ETRE UTILISE, sauf avis contraire de votre médecin, pendant la grossesse et l’allaitement. EN CAS DE DOUTE IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L’AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant d’utiliser FRAKIDEX, Collyre en solution. Contactez votre médecin en cas de vision floue ou d’autres troubles visuels. Mises en garde spéciales · Ne pas injecter, ne pas avaler. · Chez certains patients ce médicament peut entraîner une augmentation de la pression oculaire et/ou un retard de cicatrisation. · Adressez-vous à votre médecin si vous ressentez un gonflement et une prise de poids au niveau de votre tronc et de votre visage car ce sont généralement les premières manifestations d’un syndrome appelé le syndrome de Cushing. L’inhibition de la fonction des glandes surrénales peut se développer après l’arrêt d’un traitement à long terme ou intensif avec Frakidex, collyre en solution. Parlez-en à votre médecin avant d’arrêter le traitement par vous-même. Ces risques sont particulièrement importants chez les enfants et les patients traités par un médicament appelé ritonavir ou cobicistat. Précautions d’emploi · En l’absence d’amélioration rapide des symptômes ou en cas d’apparition de symptômes anormaux, consulter votre médecin. · En cas de traitement prolongé, une surveillance par l’ophtalmologiste est nécessaire. · Ne prolongez pas le traitement au-delà de la date prévue sans avis médical (risque de passage non négligeable du corticoïde dans la circulation générale). · En cas de traitement concomitant par un autre collyre, instiller les collyres à 15 minutes d’intervalle. · Le port des lentilles de contact est à éviter durant le traitement. · Ce médicament contient 0,50 mg de chlorure de benzalkonium par volume unitaire (5 mL). Le chlorure de benzalkonium peut être absorbé par les lentilles de contact souples et changer leur couleur. Retirer les lentilles de contact avant application et attendre au moins 15 minutes avant de les remettre. Le chlorure de benzalkonium peut également provoquer une irritation des yeux, surtout si vous présentez un syndrome de l’œil sec ou des troubles de la cornée (couche transparente à l’avant de l’œil). En cas de sensation anormale, de picotements ou de douleur dans les yeux après avoir utilisé ce médicament, contactez votre médecin. · Ce médicament contient 5 mg de phosphates par volume unitaire (5 mL) (voir rubrique 4 « quels sont les effets indésirables éventuels ? »). · Ne touchez pas l’œil avec l’extrémité du flacon. · Rebouchez le flacon soigneusement après usage. Attention : cette spécialité contient un principe actif (dexaméthasone) pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors de contrôles antidopage. Enfants et adolescents Sans objet. Autres médicaments et FRAKIDEX, Collyre en solution Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament, y compris un médicament obtenu sans ordonnance, et notamment tout autre traitement par un collyre. Informez votre médecin si vous utilisez du ritonavir ou du cobicistat, car cela peut augmenter la quantité de dexaméthasone dans votre sang. FRAKIDEX, Collyre en solution avec des aliments Sans objet. Grossesse et allaitement Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. L’utilisation de ce médicament est déconseillée pendant la grossesse. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, consultez rapidement votre médecin : lui seul pourra adapter le traitement à votre état. Si le médecin vous prescrit ce médicament, l’allaitement est déconseillé. Conduite de véhicules et utilisation de machines La vision peut être brouillée pendant quelques minutes après l’instillation. FRAKIDEX, Collyre en solution contient du chlorure de benzalkonium et des phosphates Ce médicament contient 0,50 mg de chlorure de benzalkonium par volume unitaire (5 mL). Ce médicament contient 5 mg de phosphates par volume unitaire (5 mL). (voir rubrique 4 « quels sont les effets indésirables éventuels ? » ). 3. COMMENT UTILISER FRAKIDEX, Collyre en solution ? Retour en haut de la page Posologie Instillez 1 goutte dans l’œil malade : · toutes les heures en début de traitement dans les affections aiguës sévères, · 3 à 6 fois par jour, dans les autres cas. Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Mode d’administration Voie ophtalmique. Lavez-vous soigneusement les mains avant de pratiquer l’instillation. Evitez le contact de l’embout du récipient avec l’œil et les paupières. Flacon avec bouchon perforateur : avant la première utilisation, vissez à fond le bouchon sur le flacon afin de le percer avec le picot interne du bouchon. Flacon compte-goutte : avant la première utilisation, enlevez la bague de sécurité. En regardant vers le haut et en tirant la paupière inférieure vers le bas, instiller 1 goutte de collyre dans le cul-de-sac conjonctival inférieur de l’œil malade. Après l’instillation, fermez l’œil quelques secondes. Puis, appuyez avec un doigt sur le coin de votre œil situé du côté du nez pendant 2 minutes. Cela permettra de réduire le passage des substances actives dans le reste de votre organisme. L’œil fermé, essuyez proprement l’excédent. Rebouchez le flacon après chaque utilisation. Fréquence d'administration · toutes les heures en début de traitement dans les affections aiguës sévères, · 3 à 6 fois par jour, dans les autres cas. Durée du traitement En moyenne, 7 jours. Un traitement plus long peut vous être prescrit par votre ophtalmologiste. Si vous avez utilisé plus de FRAKIDEX, Collyre en solution que vous n’auriez dû Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Des instillations répétées de façon prolongée peuvent entraîner un passage systémique non négligeable des principes actifs, une hypertension oculaire, une opacification du cristallin, une kératite superficielle, et un retard de cicatrisation. Si vous oubliez d’utiliser FRAKIDEX, Collyre en solution Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre. Si vous arrêtez d’utiliser FRAKIDEX, Collyre en solution Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. · Sensation de brûlure, larmoiement, gêne, rougeur oculaire (conjonctivale) ; · Allergie ; · En usage prolongé, risque d’augmentation de la pression oculaire, d’opacification du cristallin, de kératite superficielle ; · Retard de cicatrisation, de surinfection ; · Fréquence indéterminée : vision floue ; · Problèmes hormonaux : croissance de poils sur le corps (en particulier chez les femmes), faiblesse et fonte musculaire, vergetures (taches) violacées sur la peau, augmentation de la pression artérielle, règles irrégulières ou absence de règles, changements des niveaux de protéines et de calcium dans votre corps, croissance ralentie chez les enfants et les adolescents et gonflement et gain de poids au niveau du corps et du visage (appelés « syndrome de Cushing ») (voir rubrique 2 « Avertissements et précautions »). Si vous présentez des dommages sévères de la cornée (couche transparente située à l’avant de l’œil) les phosphates peuvent causer, dans de très rares cas, des troubles de la vision en raison de l’accumulation de calcium pendant le traitement (nuage) (voir rubrique 2 « Avertissements et précautions »). Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER FRAKIDEX, Collyre en solution ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le conditionnement extérieur. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament est à utiliser dans les 15 jours après ouverture. Ce médicament est à conserver à une température inférieure à 25°C. N’utilisez pas ce médicament si vous remarquez des signes visibles de détérioration. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient FRAKIDEX, Collyre en solution Retour en haut de la page · Les substances actives sont : Sulfate de framycétine............................................................................................... 630 000 UI Phosphate sodique de dexaméthasone............................................................................. 0,10 g Pour 100 mL de collyre. · Les autres composants sont : Chlorure de benzalkonium, citrate de sodium, polysorbate 80, hydroxyde de sodium et/ou acide chlorhydrique dilué, eau purifiée. Qu’est-ce que FRAKIDEX, Collyre en solution et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de collyre. Boîte de 1 flacon de 5 mL. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN 416 RUE SAMUEL MORSE – CS99535 34961 MONTPELLIER CEDEX 2 Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN 416 RUE SAMUEL MORSE – CS99535 34961 MONTPELLIER CEDEX 2 Fabricant Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN ZI RIPOTIER HAUT 07200 AUBENAS Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] {Mois AAAA}. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Conseil d’éducation sanitaire : QUE SAVOIR SUR LES ANTIBIOTIQUES ? Les antibiotiques sont efficaces pour combattre les infections dues aux bactéries. Ils ne sont pas efficaces contre les infections dues aux virus. Aussi, votre médecin a choisi de vous prescrire cet antibiotique parce qu’il convient précisément à votre cas et à votre maladie actuelle. Les bactéries ont la capacité de survivre ou de se reproduire malgré l’action d’un antibiotique. Ce phénomène est appelé résistance : il rend certains traitements antibiotiques inactifs. La résistance s’accroît par l’usage abusif ou inapproprié des antibiotiques. Vous risquez de favoriser l’apparition de bactéries résistantes et donc de retarder votre guérison ou même de rendre inactif ce médicament, si vous ne respectez pas : · la dose à prendre, · les moments de prise, · et la durée du traitement. En conséquence, pour préserver l’efficacité de ce médicament : 1- N’utilisez un antibiotique que lorsque votre médecin vous l’a prescrit. 2- Respectez strictement votre ordonnance. 3- Ne réutilisez pas un antibiotique sans prescription médicale même si vous pensez combattre une maladie apparemment semblable. 4- Ne donnez jamais votre antibiotique à une autre personne, il n’est peut-être pas adapté à sa maladie. 5- Une fois votre traitement terminé, rapportez à votre pharmacien toutes les boîtes entamées pour une destruction correcte et appropriée de ce médicament. (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Liste des informations nécessaires avant la prise du médicament Sans objet. Contre-indications N’utilisez jamais GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion : · si vous êtes allergique (hypersensible) au maïs (car le sucre contenu dans ce médicament est dérivé du maïs) ; · si vous avez un taux de sucre dans le sang supérieur à la normale (hyperglycémie non contrôlée) ; · si vous souffrez d’un diabète non correctement traité donnant lieu à des taux de sucre anormalement élevés dans le sang (diabète décompensé) ; · en cas d’intolérance au glucose comme dans les situations de stress métabolique (lorsque le métabolisme du corps ne fonctionne pas correctement, par exemple, en raison d’une maladie grave) ; · en cas de coma hyperosmolaire (perte de connaissance). Ce type de coma peut survenir si vous souffrez de diabète et ne recevez pas suffisamment de médicaments ; · si vous avez un taux de lactate anormalement élevé dans le sang (hyperlactatémie) ; · si vous avez trop de substances acides dans le sang (acidose métabolique) ; · en cas de rétention d’eau (inflation hydrique/surcharge liquidienne) notamment si vous avez une insuffisance cardiaque aiguë ou si vous avez de l'eau dans les poumons (œdème pulmonaire). Ce médicament ne doit pas être utilisé pour traiter les déficits en liquides sans une administration adéquate de sels minéraux (voir également « Mises en garde et précautions d’emploi » ci-dessous). Si un autre médicament est ajouté à votre solution pour perfusion, lisez la notice d’information de ce médicament. Vous pouvez ainsi vérifier si ce médicament ne représente pas un danger pour vous. EN CAS DE DOUTE IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Précautions d'emploi ; mises en garde spéciales Mises en garde et précautions d’emploi Adressez-vous à votre médecin, à votre pharmacien, ou à votre infirmier/ère avant d’utiliser GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion. L’administration de ce médicament doit se faire sous surveillance médicale. La solution pour perfusion GLUCOSE 10 % B.BRAUN est une solution HYPERTONIQUE (dont la concentration est supérieure à celle du plasma sanguin). Si des signes d'irritation veineuse ou d'inflammation de la paroi d'une veine apparaissent au niveau du site de perfusion, votre médecin envisagera de changer de site de perfusion. Votre médecin prendra des précautions particulières avec vous en cas d'atteinte de votre barrière hématoencéphalique, car dans ce cas ce médicament peut entraîner une augmentation de la pression dans votre crâne ou votre moelle épinière. Ce médicament ne doit pas être utilisé pour traiter les déficits en liquides sans une administration adéquate de sels minéraux (voir également « N'utilisez jamais GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion » ci-dessus) parce qu'il peut entraîner une diminution significative de la concentration en sels minéraux de votre sang (en particulier en potassium et en sodium) et des problèmes cardiaques et cérébraux. Aucun ajout de médicaments ne doit être fait sans avoir préalablement vérifié la compatibilité avec la solution et le contenant. Lorsqu’un médicament compatible est ajouté à la solution de glucose, le mélange doit être administré immédiatement. Informez votre médecin si vous souffrez ou avez souffert des troubles suivants : · allergie au maïs (ce médicament contient du sucre dérivé du maïs) ; · insuffisance cardiaque ; · insuffisante respiratoire (maladie des poumons) ; · insuffisance rénale ; · diminution de la production d’urine (oligurie ou anurie) ; · excès d’eau dans le corps (intoxication à l’eau) ; · taux faible de sodium dans le sang (hyponatrémie) ; · lésion de la tête dans les dernières 24 heures ; · une pression élevée dans le crâne (hypertension intracrânienne) ; · attaque cérébrale due à un caillot dans un vaisseau sanguin du cerveau (accident vasculaire ischémique). Lorsque cette perfusion vous sera administrée, votre médecin effectuera des prélèvements sanguins et d’urines pour contrôler : · les concentrations en substances chimiques dans votre sang comme le potassium (électrolytes plasmatiques), · les taux de sucre (glucose), · la quantité de fluide dans votre corps (votre équilibre hydrique), · l'acidité du sang et des urines (changements dans l'équilibre acido-basique). GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion contient du sucre (glucose) et peut provoquer un taux élevé de sucre dans le sang (hyperglycémie). Dans ce cas, votre médecin pourra : · ajuster le débit de la perfusion, · vous administrer de l’insuline pour réduire le taux de sucre dans votre sang, · vous donner du potassium si nécessaire. Ceci est particulièrement important : · si vous êtes diabétique. Votre médecin ajustera éventuellement la dose de votre traitement hypoglycémiant. · si vos reins ne fonctionnent pas normalement. · si vous avez eu récemment un accident vasculaire cérébral (AVC ischémique aigu). Des taux élevés de sucre dans le sang peuvent aggraver les effets de l’accident et affecter la guérison. Enfants et adolescents GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion doit être administré avec précaution. Le débit et le volume de perfusion dépendent de l’âge, du poids, de l’état clinique et des paramètres métaboliques de l’enfant. Les nouveau-nés, en particulier les prématurés et ceux présentant un faible poids à la naissance, ont un risque élevé de présenter des taux faibles ou élevés de sucre dans le sang (hypo- ou hyperglycémie) après une perfusion de solution contenant du glucose. Ils nécessitent de ce fait une surveillance étroite pendant l’administration intraveineuse de solutions de glucose pour assurer un contrôle adéquat du taux de sucre dans le sang et éviter la survenue d'éventuels effets néfastes à long terme. Un faible taux de sucre dans le sang chez les nouveau-nés peut entraîner des convulsions (contractions involontaires du corps), un coma (altération totale de l’état de conscience), et des lésions au niveau du cerveau. Des taux élevés de sucre ont été associés à des saignements au niveau du cerveau, des infections liées à des bactéries ou à des champignons d’installation tardive, des atteintes des yeux (rétinopathie du prématuré), des infections du tractus intestinal (entérocolite nécrosante), des affections des poumons (dysplasies broncho-pulmonaires), des hospitalisations prolongées et des décès. Les enfants, les nourrissons et les nouveau-nés qui reçoivent du GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion présentent plus de risques de développer de faibles taux de sodium dans le sang (hyponatrémie hypoosmotique) et un trouble appelé encéphalopathie hyponatrémique (trouble affectant le cerveau en raison de faibles taux de sodium). Lors de l’administration à un nouveau-né, la poche de solution doit être connectée à une pompe pour perfusion qui permet l’administration exacte de la quantité de solution requise dans un intervalle de temps défini. Votre médecin ou votre infirmier/ère contrôlera le dispositif afin d’assurer une administration sécurisée. Interactions avec d'autres médicaments Autres médicaments et GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion Informez votre médecin si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. En cas d’ajout de médicament, votre médecin vérifiera leur compatibilité avec la solution avant que ce médicament ne vous soit administré. GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion ne doit pas être administré simultanément avec du sang au moyen du même dispositif de perfusion. Interactions avec les aliments et les boissons Sans objet. Interactions avec les produits de phytothérapie ou thérapies alternatives Sans objet. Utilisation pendant la grossesse et l'allaitement Grossesse, allaitement et fertilité Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin avant de prendre ce médicament. Compte tenu des données disponibles, l'utilisation chez la femme enceinte ou qui allaite est possible. Sportifs Sans objet. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines Sans objet. Liste des excipients à effet notoire Sans objet. 3. COMMENT UTILISER GLUCOSE 10 %B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Instructions pour un bon usage Sans objet. Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement Posologie Votre médecin veillera à un débit de perfusion adapté à vos besoins et à votre état clinique. SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Mode d’administration Perfusion intraveineuse. SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Fréquence d'administration SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Durée du traitement SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Symptômes et instructions en cas de surdosage Si vous avez reçu plus de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion que vous n'auriez dû: Un surdosage en glucose, une administration prolongée ou une perfusion trop rapide peuvent entraîner : · une hyperglycémie (taux anormalement élevé de sucre dans le sang), · une glycosurie (taux anormalement élevé de sucre dans les urines), · une hyperosmolarité (concentration anormalement élevée des éléments dissous dans le sang), · des troubles de la conscience ou une perte de connaissance voire un coma dus à des taux de glucose extrêmement élevés dans le sang ou une hyperosmolarité, · un œdème cérébral engageant le pronostic vital (encéphalopathie hyponatrémique). Les symptômes comprennent des convulsions, nausées, léthargie et vomissements (voir rubriques 2 et 4), · une déshydratation (déficit en liquide), · une polyurie osmotique (augmentation de la quantité d’urine émise). · une tension accrue de la peau, · une lourdeur et un gonflement des jambes (congestion veineuse), · un œdème (gonflement des tissus), · une intoxication hydrique avec hyponatrémie (intoxication par l’eau avec des taux anormalement bas de sodium dans le sang), · des troubles de l’équilibre acido-basique. L’hyperglycémie sévère et l’hyponatrémie peuvent être fatales. D’autres signes de surdosage peuvent être observés avec les médicaments dilués ou dissous dans le GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion. Votre médecin évaluera le traitement, notamment l’administration d’insuline, de médicaments augmentant le débit urinaire (diurétiques) ou de sels, ou si la perfusion doit être ralentie ou arrêtée. Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses Sans objet. Risque de syndrome de sevrage Votre médecin décidera quand arrêter la perfusion. Si vous avez d’autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d’information à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ière. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Description des effets indésirables Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Fréquence indéterminée : ne peut être estimée sur la base des données disponibles · Réaction allergique (hypersensibilité), manifestation potentielle chez les patients présentant une allergie au maïs · Fièvre · Frissons · Infection au niveau du site de perfusion · Réaction locale · Douleur locale · Eruption · Irritation veineuse · Thrombose veineuse ou phlébite s’étendant à partir du site de perfusion (formation d’un caillot qui obstrue un vaisseau sanguin) · Extravasation (passage du produit hors des vaisseaux) pouvant entraîner notamment une douleur locale, voire un ulcère ou la mort des cellules tissulaires (nécrose de la peau) · Hypervolémie (augmentation du volume du sang) · Déséquilibre en sels minéraux de l’organisme (troubles électrolytiques) · Taux de sucre anormalement élevé dans le sang (hyperglycémie) · Déshydratation (perte en eau de l’organisme) · Taux de potassium anormalement bas dans le sang (hypokaliémie) · Taux de magnésium anormalement bas dans le sang (hypomagnésémie) · Taux de phosphate anormalement bas dans le sang (hypophosphatémie) · Taux de lactate anormalement élevé dans le sang (hyperlactatémie) · Polyurie osmotique au glucose (augmentation de la quantité d’urine) · Présence de sucre dans les urines (glycosurie) Ces effets indésirables peuvent être associés à la technique d'administration ou à un débit d’administration trop rapide. Si un médicament a été ajouté à la solution pour perfusion, celui-ci peut aussi provoquer des effets indésirables. Consultez la notice de ce médicament pour identifier des effets indésirables possibles. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. Date de péremption N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la poche après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Conditions de conservation Avant ouverture Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation. Durée de conservation lors de l'utilisation Après ouverture/ dilution, le produit doit être utilisé immédiatement. Si nécessaire, mises en garde contre certains signes visibles de détérioration La solution doit être inspectée visuellement afin de détecter toute particule, tout dommage de la poche et tout signe visible de détérioration avant administration. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l'égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l'environnement. 6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES Retour en haut de la page Liste complète des substances actives et des excipients Ce que contient GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion · La substance active est : Glucose...................................................................................................................................... 10 g (sous forme de glucose monohydraté) pour 100 mL de solution pour perfusion. · L’autre composant est : eau pour préparations injectables. Quantité totale en glucose : Une poche de 100 mL contient 10 g de glucose Une poche de 250 mL contient 25 g de glucose Une poche de 500 mL contient 50 g de glucose Une poche de 1000 mL contient 100 g de glucose Glucose : 555 mmol/L Osmolarité théorique : 555 mOsm/L pH compris entre 3,5 – 5,5 Apport calorique glucidique : 400 kcal/L (soit 1675 kJ/L) Forme pharmaceutique et contenu Aspect de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion et contenu de l'emballage extérieur Ce médicament se présente sous forme de solution pour perfusion, HYPERTONIQUE, limpide, incolore ou légèrement jaunâtre. Ce médicament est disponible en poche de 100 mL, 250 mL, 500 mL ou 1000 mL. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Nom et adresse du titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et du titulaire de l'autorisation de fabrication responsable de la libération des lots, si différent Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché et fabricant Titulaire B Braun Medical 204 AVENUE DU MARECHAL JUIN 92100 Boulogne BILLANCOURT Exploitant B Braun Medical 204 AVENUE DU MARECHAL JUIN 92100 Boulogne BILLANCOURT Fabricant B BRAUN MEDICAL S.A. Carretera de Terrassa, 121 08191 RUBI (Barcelona) ESPAGNE ou B BRAUN MELSUNGEN AG Carl-Braun-Strasse 1 34212 MELSUNGEN ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. Date d’approbation de la notice La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est AMM sous circonstances exceptionnelles Sans objet Informations Internet Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Informations réservées aux professionnels de santé Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux professionnels de santé : Classe pharmacothérapeutique : SOLUTIONS INTRAVEINEUSES Code ATC : B05BA03 B : sang et organes hématopoïétiques. A. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE · La substance active est : Glucose...................................................................................................................................... 10 g (sous forme de glucose monohydraté) pour 100 mL de solution pour perfusion. · L’autre composant est : eau pour préparations injectables. Quantité totale en glucose : Une poche de 100 mL contient 10 g de glucose Une poche de 250 mL contient 25 g de glucose Une poche de 500 mL contient 50 g de glucose Une poche de 1000 mL contient 100 g de glucose Glucose : 555 mmol/L Osmolarité théorique : 555 mOsm/L pH compris entre 3,5 – 5,5 Acidité (titrage à pH 7,4) 20 kg de poids corporel : 750 mL + 10 mL / kg au-dessus de 20 kg / 24 h. Le débit de perfusion ne doit pas dépasser les capacités d'oxydation du glucose du patient (ex., perturbation du métabolisme oxydatif du glucose en période post-opératoire ou post-traumatique précoce ou en présence d'hypoxie ou de défaillance d’un organe), de manière à éviter une hyperglycémie. Par conséquent, les doses maximales sont de 5 mg/kg/min pour les adultes et comprises entre 10 et 18 mg/kg/min pour les nouveau-nés, les nourrissons et les enfants, selon l'âge et la masse corporelle totale. Lorsque la solution pour perfusion de GLUCOSE 10 % B.BRAUN est utilisée comme véhicule ou diluant pour préparation injectable d’autres médicaments, la posologie et le débit de perfusion seront principalement fonction de la nature et de la posologie du médicament à administrer. Mode d'administration Perfusion intraveineuse. Lorsque la solution est utilisée pour la dilution et l’administration de médicaments complémentaires par perfusion intraveineuse, les instructions d'utilisation des substances ajoutées détermineront les volumes appropriés pour chaque traitement. Afin d'éviter une perfusion excessive de solutions intraveineuses potentiellement fatale chez le nouveau-né, une attention particulière doit être accordée au mode d'administration. Lors de l’utilisation d’un pousse-seringue pour l’administration de solutions ou de médicaments par voie intraveineuse à des nouveau-nés, la poche de liquide ne doit pas rester connectée à la seringue. Extravasation Le site du cathéter doit être régulièrement contrôlé pour détecter les signes d'extravasation. En cas d'extravasation, l'administration doit être interrompue immédiatement, tout en maintenant en place la canule ou le cathéter inséré pour une prise en charge immédiate du patient. Si possible, une aspiration doit être pratiquée à travers la canule/le cathéter inséré afin de réduire la quantité de liquide présent dans les tissus avant de retirer la canule/le cathéter. Si une extrémité est atteinte, le membre concerné doit être surélevé. Selon le produit extravasé (y compris les produits mélangés avec GLUCOSE 10 % B.BRAUN, le cas échéant) et le stade/l'étendue des lésions éventuelles, des mesures spécifiques appropriées doivent être prises. Les options thérapeutiques peuvent inclure des interventions non pharmacologiques, pharmacologiques et/ou chirurgicales. En cas de dégradation de la zone affectée (douleur continue, nécrose, ulcération), un chirurgien plasticien doit être consulté immédiatement. Le site d'extravasation doit être contrôlé au moins toutes les 4 heures pendant les premières 24 heures, puis une fois par jour. Pour les précautions à prendre avant la manipulation ou l’administration du médicament, voir la rubrique D. Les enfants, les nourrissons et les nouveau-nés présentent un risque accru de développer une hyponatrémie hypoosmotique ainsi qu’une encéphalopathie hyponatrémique. Ainsi, les concentrations d'électrolytes plasmatiques doivent être étroitement surveillées dans la population pédiatrique. Une correction rapide de l'hyponatrémie hypoosmotique est potentiellement dangereuse (risque de complications neurologiques graves). La posologie, le taux et la durée d'administration doivent être déterminés par un médecin expérimenté. C. INCOMPATIBILITES Comme avec toutes les solutions parentérales, la compatibilité des médicaments avec la solution doit être vérifiée avant ajout. L'incompatibilité du médicament vis-à-vis de la solution de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, doit être déterminée en contrôlant un éventuel changement de couleur et/ou une éventuelle formation de précipité, de complexe insoluble ou de cristaux. Se référer également à la notice accompagnant le médicament à ajouter. En cas d'ajout de médicament, vérifier si le médicament est compatible avec la zone de pH de la solution de GLUCOSE 10 % B.BRAUN. Lorsqu'un médicament compatible est ajouté à la solution de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, le mélange doit être administré immédiatement. Les médicaments connus pour être incompatibles ne doivent pas être utilisés. Ne pas administrer du sang simultanément, au moyen du même dispositif de perfusion, en raison du risque de pseudo-agglutination et d’hémolyse. D. PRECAUTIONS PARTICULIERES D’ELIMINATION ET DE MANIPULATION Ne pas utiliser si l'emballage/la poche est endommagé(e). Ne pas réutiliser : usage unique. Eliminer toute poche partiellement utilisée. Ne pas reconnecter une poche partiellement utilisée. Retirer le suremballage juste avant utilisation (poche ECOBAG). Le conditionnement primaire maintient la stérilité du produit. En cas d’ajout de médicament, bien mélanger la solution avant utilisation. La solution doit être inspectée visuellement afin de détecter toute particule, tout dommage de la poche et tout signe visible de détérioration avant administration. En cas d’ajout de médicament, la solution doit être administrée avec un matériel stérile et en utilisant une technique aseptique. Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. Risque d'embolie gazeuse · Ne pas utiliser les poches plastiques pour des connexions en série. Cette utilisation pourrait entraîner une embolie gazeuse en raison de l'aspiration de l'air résiduel de la première poche avant la fin de l'administration de solution venant de la deuxième poche. · L’exercice d’une pression sur le récipient en plastique flexible contenant la solution intraveineuse pour augmenter le débit peut entraîner une embolie gazeuse si l’air résiduel contenu dans le récipient n’est pas complètement évacué avant l’administration. · L’utilisation d’un set d’administration par voie intraveineuse avec une prise d’air en position ouverte pourrait entraîner une embolie gazeuse. Les sets d’administration par voie intraveineuse avec une prise d’air en position ouverte ne doivent pas être utilisés avec des récipients en plastique souple. E. DUREE DE CONSERVATION D'UTILISATION (ADDITIFS) La stabilité physico-chimique de tout médicament ajouté à la solution de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion doit être vérifiée avant son utilisation. Après ouverture/dilution le produit doit être utilisé immédiatement. Autres Sans objet. Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER SYMBICORT TURBUHALER 200 microgrammes/6 microgrammes par dose, poudre pour inhalation ? Retour en haut de la page N’utilisez jamais Symbicort Turbuhaler : · si vous êtes allergique (hypersensible) au budésonide, au formotérol ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament (mentionnés à la rubrique 6), comme le lactose (qui contient des protéines de lait en faible quantité). En cas de doute, il est indispensable de demander l’avis de votre médecin. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou votre pharmacien avant d’utiliser Symbicort Turbuhaler si : · Vous êtes diabétique. · Vous avez une infection pulmonaire. · Vous êtes hypertendu ou vous avez eu un problème cardiaque (tels que des battements irréguliers du cœur, un pouls très rapide, un rétrécissement des artères ou une insuffisance cardiaque). · Vous avez des problèmes de thyroïde ou des glandes surrénales. · Vous avez un taux de potassium sanguin bas. · Vous souffrez de problèmes hépatiques sévères. Contactez votre médecin si vous développez une vision trouble ou d'autres troubles visuels. Enfants Sans objet. Autres médicaments et Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose Informez votre médecin ou pharmacien si vous utilisez, avez récemment utilisé ou pourriez utiliser tout autre médicament. En particulier, indiquez à votre médecin, si vous utilisez l’un des médicaments suivants : · Bêta-bloquants (comme l’aténolol ou le propranolol pour l’hypertension) y compris les collyres (tel que le timolol pour le glaucome). · Les médicaments pour les battements trop rapides ou irréguliers du cœur (tels que la quinidine). · Les médicaments à base de digoxine, généralement utilisés pour traiter l’insuffisance cardiaque. · Les diurétiques (comme le furosémide). Ils sont utilisés dans le traitement de l’hypertension. · Les corticoïdes oraux (comme la prednisolone). · Les dérivés xanthiques (comme les médicaments à base de théophylline ou d’aminophylline). Ils sont souvent utilisés dans le traitement de l’asthme. · Les autres bronchodilatateurs (comme par exemple le salbutamol). · Les antidépresseurs tricycliques (comme par exemple l’amitriptyline) et l’anti-dépresseur néfazodone. · Les phénothiazines (comme la chlorpromazine et la prochlorperazine). · Les médicaments inhibiteurs de protéase du virus VIH (comme le ritonavir) pour le traitement des infections au VIH. · Les médicaments destinés au traitement d’infections (comme par exemple le ketoconazole, l’itraconazole, le voriconazole, le posaconazole, la clarithromycine et la télithromycine). · Les médicaments pour le traitement de la maladie de Parkinson (comme par exemple la lévodopa). · Les médicaments pour les problèmes de thyroïde (comme la levothyroxine). Si vous prenez l’un de ces médicaments, ou en cas de doute, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien avant d’utiliser Symbicort Turbuhaler. Informez également votre médecin ou votre pharmacien si vous devez avoir une anesthésie générale pour une opération ou des soins dentaires. Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose avec des aliments et boissons Sans objet. Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse : Ce médicament ne sera utilisé pendant la grossesse que suivant la prescription de votre médecin. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement n’arrêtez pas de prendre Symbicort Turbuhaler mais consultez votre médecin car lui seul peut juger du traitement le mieux adapté à votre cas. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Allaitement : Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Sportifs Attention, ce médicament contient des principes actifs pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors de contrôles antidopage. Conduite de véhicules et utilisation de machines Symbicort Turbuhaler ne présente pas d’influence ou a une influence négligeable sur l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose contient du lactose Symbicort Turbuhaler contient du lactose (composé apparenté aux sucres). Si on vous a indiqué que vous êtes intolérant à certains sucres, informez votre médecin avant d’utiliser Symbicort Turbuhaler. La quantité de lactose présente dans ce médicament n’a normalement pas de conséquence chez les personnes intolérantes au lactose. Le lactose peut contenir des protéines de lait en faible quantité qui peuvent être à l’origine de réactions allergiques. 3. COMMENT UTILISER SYMBICORT TURBUHALER 200 microgrammes/6 microgrammes par dose, poudre pour inhalation ? Retour en haut de la page Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. · Il est important d’utiliser Symbicort Turbuhaler tous les jours, même pendant les périodes où vous n’avez pas de symptômes d’asthme ou de BPCO. · Si vous utilisez Symbicort Turbuhaler pour l’asthme, votre médecin surveillera régulièrement l’évolution de votre maladie et la persistance ou non de symptômes d’asthme. Si vous prenez des corticoïdes en comprimés par voie orale pour traiter votre asthme, votre médecin réduira progressivement le nombre de ces comprimés dès que vous commencerez à prendre Symbicort Turbuhaler. Si vous avez été traité par corticoïdes oraux en comprimés pendant une longue période au préalable, votre médecin peut vous prescrire des examens sanguins réguliers. Pendant la phase où les comprimés sont progressivement diminués, il se peut que vous ressentiez une sensation de malaise général, alors même que les symptômes d’asthme s’améliorent. Il se peut également que des symptômes allergiques tels que rhinites (sensation de nez bouché ou écoulement nasal) ou éruption cutanée (eczéma) réapparaissent. De même, vous pouvez ressentir une faiblesse, des douleurs musculaires ou articulaires. Si ces symptômes sont gênants ou s’il apparait des maux de tête, une sensation de fatigue anormale, des nausées ou vomissements, contactez votre médecin immédiatement. Vous pourriez avoir besoin d’un autre traitement pour traiter les symptômes allergiques ou articulaires. Consultez votre médecin afin de savoir si vous devez continuer à prendre Symbicort Turbuhaler. En cas d’évènements particuliers tels que la survenue d’une infection respiratoire ou avant une intervention chirurgicale, votre médecin peut être amené à vous prescrire des corticoïdes en comprimé en plus de votre traitement habituel. Informations importantes concernant les symptômes d’asthme ou de BPCO Si vous êtes essoufflé ou si votre respiration devient de plus en plus difficile au cours du traitement par Symbicort Turbuhaler, vous devez continuer à prendre Symbicort Turbuhaler et consulter votre médecin le plus rapidement possible. Un traitement supplémentaire peut s’avérer nécessaire. Contactez rapidement votre médecin : · Si votre difficulté à respirer s’intensifie ou que les symptômes d’asthme vous réveillent la nuit · Si vous ressentez une oppression dans la poitrine le matin ou que cette sensation se prolonge. Ces symptômes peuvent signifier que votre asthme ou votre BPCO ne sont pas correctement contrôlés et il se peut que vous ayez besoin d’un traitement différent ou supplémentaire immédiatement. Asthme Symbicort Turbuhaler peut être prescrit par votre médecin selon l’un ou l’autre des 2 schémas d’administration suivants. Le nombre de doses quotidiennes à utiliser et le moment de l’utilisation seront déterminés par la prescription de votre médecin : a) Si Symbicort Turbuhaler vous est prescrit avec un deuxième médicament bronchodilatateur en inhalateur destiné à être utilisé pour soulager les symptômes d’asthme : reportez-vous à la section ci-après intitulée « A. Utilisation de Symbicort Turbuhaler prescrit avec un deuxième médicament bronchodilatateur en inhalateur à utiliser en cas de besoin pour soulager les symptômes ». b) Si Symbicort Turbuhaler vous est prescrit sans autre médicament bronchodilatateur en inhalateur : reportez-vous à la section intitulée « B. Utilisation de Symbicort Turbuhaler prescrit comme unique médicament de l’asthme en inhalateur ». a. Utilisation de Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose prescrit avec un deuxième médicament bronchodilatateur en inhalateur à utiliser en cas de besoin pour soulager les symptômes Symbicort Turbuhaler sera utilisé quotidiennement matin et soir dans le but d’empêcher la survenue des symptômes d’asthme. Adultes (18 ans et plus) · La dose habituelle est de 1 à 2 inhalations deux fois par jour (matin et soir). · Votre médecin peut augmenter la dose jusqu’à 4 inhalations deux fois par jour (matin et soir). · Lorsque vos symptômes ont régressé et que votre asthme est contrôlé, votre médecin peut vous prescrire ce médicament en une seule prise par jour. Adolescents (12 à 17 ans) · La dose usuelle est de 1 à 2 inhalations deux fois par jour (matin et soir). · Lorsque vos symptômes ont régressé et que votre asthme est contrôlé, votre médecin peut vous prescrire ce médicament en une seule prise par jour. Un dosage plus faible de Symbicort Turbuhaler (100 microgrammes/6 microgrammes par dose) est disponible pour les enfants de 6 à 11 ans. Symbicort n’est pas recommandé chez les enfants de moins de 6 ans. Votre médecin vous aide à mieux contrôler votre asthme. Il ajustera la dose de médicament à son minimum pour obtenir le bon contrôle de votre asthme. Toutefois, n’essayez pas d’ajuster la dose vous-même sans en parler d’abord à votre médecin. Le deuxième médicament (bronchodilatateur) sera utilisé au moment de la survenue des symptômes d’asthme pour les soulager. Vous devez toujours avoir sur vous ce médicament pour pouvoir l’utiliser en cas de besoin au moment où surviennent les symptômes d’asthme. C’est cet inhalateur et non Symbicort Turbuhaler qu’il convient d’utiliser en cas de besoin pour traiter les symptômes qui surviennent. b. Utilisation de Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose prescrit comme unique médicament de l’asthme en inhalateur. Vous pouvez utiliser Symbicort Turbuhaler selon cette modalité d’emploi seulement si votre médecin vous l’a prescrite ainsi. Elle est réservée aux adultes et aux adolescents de 12 ans et plus. Utilisez Symbicort Turbuhaler tous les jours pour empêcher la survenue des symptômes d’asthme. La dose sera : · 1 inhalation le matin et 1 inhalation le soir ou · 2 inhalations le matin ou · 2 inhalations le soir Votre médecin peut aussi augmenter la dose jusqu’à 2 inhalations deux fois par jour. Utilisez également Symbicort Turbuhaler en cas de symptômes, pour les soulager. · En cas de gêne respiratoire ou de symptômes respiratoires, prenez 1 inhalation et attendez quelques minutes. · Si vous ne vous sentez pas mieux, reprenez une autre inhalation. · Ne prenez pas plus de 6 inhalations en une seule fois. Ayez toujours l’inhalateur de Symbicort Turbuhaler avec vous afin de pouvoir l’utiliser en cas de besoin. Une dose totale journalière de plus de 8 inhalations n’est généralement pas nécessaire. Toutefois, votre médecin peut vous autoriser à prendre jusqu’à 12 inhalations par jour pendant une période limitée. Si vous avez régulièrement besoin d’utiliser une dose totale de 8 inhalations ou plus par jour, contactez votre médecin. Un changement de traitement sera peut-être nécessaire. Ne prenez jamais plus de 12 inhalations par jour au total. Si votre asthme est principalement déclenché par l’exercice physique, vous pouvez utiliser Symbicort Turbuhaler selon la modalité décrite dans ce paragraphe B. Néanmoins, Symbicort Turbuhaler n’est pas destiné à être utilisé comme traitement préventif juste avant une activité physique dans le but d’empêcher la survenue des symptômes d’asthme. Bronchopneumopathies chroniques obstructives (BPCO) · Réservé à l’adulte de 18 ans et plus. · La dose habituelle est de 2 inhalations 2 fois par jour. Il se peut que votre médecin vous prescrive d’autres médicaments bronchodilatateurs, par exemple des anticholinergiques (tels que le tiotropium ou le bromure d’ipratropium) pour votre BPCO. COMMENT UTILISER LE DISPOSITIF INHALATEUR DE SYMBICORT TURBUHALER : L’efficacité de ce médicament est en partie dépendante du bon usage de l’appareil. Il convient donc de lire très attentivement le mode d’emploi. Au besoin, n’hésitez pas à demander à votre médecin ou à votre pharmacien de vous fournir des explications détaillées. La poudre contenue dans l’inhalateur de Symbicort Turbuhaler doit être inhalée par l’intermédiaire de l’embout buccal. L’inhalateur de SYMBICORT TURBUHALER comporte : une molette, un embout buccal, un indicateur de doses restantes alternant traits et chiffres toutes les 10 doses. Un capuchon recouvre le dispositif. Indicateur de dose Molette Embout buccal Capuchon Il s’agit d’un inhalateur multi-dose délivrant de très faibles quantités de poudre. La poudre est délivrée dans les poumons, quand vous inspirez par le dispositif. C’est pourquoi il est important que vous inspiriez fortement et profondément par l’embout buccal. Instructions pour l’utilisation du dispositif inhalateur de Symbicort Turbuhaler Première utilisation du dispositif inhalateur Avant d’utiliser l’inhalateur de Symbicort Turbuhaler pour la première fois, vous devez le préparer en procédant comme suit : 1. Dévissez le capuchon et enlevez-le (vous pouvez entendre un cliquetis). 2. Tenez l’inhalateur bien droit à la verticale, la molette rouge vers le bas. Ne tenez pas l’inhalateur par l’embout buccal. 3. Tournez la molette rouge à fond dans un sens puis à fond dans l’autre (le premier sens par lequel vous débutez n’a pas d’importance). Vous entendrez un « clic ». 4. Répétez cette manipulation une deuxième fois. L’inhalateur est maintenant prêt à l’emploi. Pour prendre la première dose, et les suivantes, veuillez continuer selon les indications figurant ci-après : Utilisation du dispositif inhalateur 1. Dévissez le capuchon et enlevez-le. 2. Tenez l’inhalateur bien droit à la verticale, la molette rouge vers le bas. Ne tenez pas l’inhalateur par l’embout buccal. 3. Tournez la molette rouge à fond dans un sens puis à fond dans l’autre (le premier sens par lequel vous débutez n’a pas d’importance). Vous entendrez un « clic ». La dose est chargée et prête à être inhalée. 4. Souffler en dehors de l’inhalateur. 5. Placez l’embout buccal entre vos dents. Ne mâchez pas, ne mordez pas l’embout buccal. Fermez la bouche et inspirez profondément à travers l’embout buccal. 6. Avant d’expirer, retirez l’inhalateur de votre bouche. Vous n’avez rien ressenti lors de l’inhalation ? Ceci est normal : la quantité de poudre délivrée est très faible et vous pouvez ne pas avoir perçu de goût particulier. Toutefois, si vous avez respecté les instructions, vous pouvez être sûr que la dose a été inhalée et que le produit est maintenant au niveau des poumons. 7. Si plusieurs doses vous ont été prescrites par votre médecin, recommencer les étapes 2 à 6. 8. Revissez fermement le capuchon après usage. 9. Rincez-vous la bouche à l’eau, sans avaler l’eau, après inhalation du traitement de fond continu (matin et soir). Il n’est habituellement pas nécessaire de se rincer la bouche après les doses de Symbicort Turbuhaler prises pour le soulagement des symptômes. L’embout buccal est fixé à l’inhalateur et ne doit donc pas être retiré ou dévissé. Ne pas utiliser l’inhalateur de Symbicort Turbuhaler s’il est endommagé ou si l’embout buccal s’est détaché. Comme pour tout inhalateur, le personnel soignant doit s’assurer que les enfants pour qui Symbicort Turbuhaler a été prescrit appliquent correctement la technique d’inhalation, telle que décrite ci-dessus. Entretien du dispositif inhalateur Nettoyer l’extérieur de l’embout buccal régulièrement (1 fois par semaine) avec un linge propre et sec. Ne pas utiliser d’eau ou de liquide pour nettoyer l’embout buccal. Quand devez-vous commencer à utiliser un autre inhalateur ? Symbicort Turbuhaler comporte un indicateur de doses indiquant le nombre de doses restant dans le réservoir. Il est gradué de 10 en 10 (pour les inhalateurs de 60 et 120 doses) et de 15 en 15 (pour l’inhalateur de 30 doses). Par conséquent, l’indicateur de doses n’indique pas toutes les doses. Au départ, lorsque l’inhalateur n’a pas été utilisé, l’indicateur affiche la totalité du nombre de doses présentes dans le réservoir, soit 30, 60 ou 120. Au fur et à mesure de l’utilisation, l’indicateur affiche toutes les dix doses, soit par un trait soit par un chiffre, le nombre de doses restantes. Il n’indique donc pas la prise de chaque dose unitaire. Lorsqu’il reste environ 20 doses dans l’inhalateur, une marque rouge apparaît en haut de la fenêtre de l’indicateur. Si nécessaire, n’oubliez pas de contacter votre médecin suffisamment tôt pour prévoir le renouvellement de la prescription. Pour les 10 dernières doses, l’intégralité de la fenêtre de l’indicateur est rouge. Lorsque la fenêtre de l’indicateur est intégralement rouge avec le chiffre zéro au milieu, il n’y a plus de médicament dans l’inhalateur. Il est toujours possible d’actionner la molette, mais l’indicateur ne bougera plus. Vous devez utiliser un nouvel inhalateur. INFORMATIONS IMPORTANTES : · La molette continue de tourner avec des « clics » même lorsque l’inhalateur est vide. · Si vous agitez l’inhalateur vide vous pouvez entendre un bruit à l’intérieur. C’est le dessiccant : il s’agit d’un agent déshydratant qui permet de protéger le médicament de l’humidité. Par conséquent le bruit entendu ne signifie pas qu’il reste du médicament. · Lorsque vous dévissez ou revissez le capuchon, vous ne devez pas tourner la mol