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• Adulte et enfant de plus de 30 kg (environ 10 ans) : 3 à 6 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Femme enceinte : 1 ou 2 cuillères/ Gélule à café de sirop ou une Gélule par jour à partir du 4e mois de la grossesse (sur prescription médicale). • Enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 10 ans) : 4 à 5 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Enfant de 12 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans) : 3 à 4 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 8 à 12 kg (environ 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 5 à 8 kg (environ 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café de sirop par jour. Ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse ou l'allaitement uniquement s'il vous a été prescrit par votre médecin. (1)
• Adulte et enfant de plus de 30 kg (environ 10 ans) : 3 à 6 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Femme enceinte : 1 ou 2 cuillères/ Gélule à café de sirop ou une Gélule par jour à partir du 4e mois de la grossesse (sur prescription médicale). • Enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 10 ans) : 4 à 5 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Enfant de 12 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans) : 3 à 4 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 8 à 12 kg (environ 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 5 à 8 kg (environ 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café de sirop par jour. Ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse ou l'allaitement uniquement s'il vous a été prescrit par votre médecin. Nausées, diarrhée. Réaction allergique. (1)
• Adulte et enfant de plus de 30 kg (environ 10 ans) : 3 à 6 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Femme enceinte : 1 ou 2 cuillères/ Gélule à café de sirop ou une Gélule par jour à partir du 4e mois de la grossesse (sur prescription médicale). • Enfant de 20 à 30 kg (environ 6 à 10 ans) : 4 à 5 cuillères à café de sirop par jour ou 1 à 2 Gélules par jour. • Enfant de 12 à 20 kg (environ 30 mois à 6 ans) : 3 à 4 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 8 à 12 kg (environ 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café de sirop par jour. • Nourrisson de 5 à 8 kg (environ 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café de sirop par jour. Ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse ou l'allaitement uniquement s'il vous a été prescrit par votre médecin. (1)
1 capsule par jour (soit environ 40 mg d'isoflavones de soja). Cure de 3 mois renouvelable. La consommation de ce complément alimentaire doit s'inscrire dans le cadre d'une alimentation aussi variée que possible. Ne pas dépasser les doses journalières conseillées. Tenir hors de la portée des enfants. (1)
1 comprimé par jour partir de la 24e semaine de grossesse, à prendre de préférence avant le repas, mais l'horaire de la prise est à adapter en fonction de la tolérance digestive. Grossesse : Des données cliniques négatives portant sur quelques milliers de femmes traitées, semblent exclure un effet néfaste du sulfate ferreux. En conséquence, ce médicament dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant la grossesse. Allaitement : Le passage du sulfate ferreux dans le lait maternel n'a pas été évalué, mais compte tenu de la nature de la molécule, l'administration de ce médicament est possible chez la femme qui allaite. (1)
Adulte et enfant de plus de 12 ans : 1 ou 2 comprimés à mâcher après les repas, à l’heure du couché ou dès qu’une gêne est ressentie. Enfant de 5 à 12 ans : 1 comprimé à mâcher après les repas, à l’heure du couché ou dès qu’une gêne est ressentie. Il est rare qu'un surdosage de Maalox ait un fort retentissement sur l'organisme. Les signes cliniques d'un surdosage de Maalox sont des nausées, des vomissements, une baisse de la pression artérielle, une diminution des réflexes, une somnolence, une hypoventilation, et parfois des troubles du rythme cardiaque. (1)
Adultes Sauf prescription contraire du médecin, appliquer plusieurs fois par jour un ruban de 5 à 10 cm de gel (soit environ 75 à 150 mg d’étofénamate) sur la zone à traiter et les alentours puis faire pénétrer. La durée du traitement est fonction de la prescription médicale et du succès thérapeutique. Une réévaluation du traitement au bout de deux semaines est recommandée. Enfants Pour l’heure, l’utilisation et la sécurité d’emploi de ce médicament Gel chez les enfants et les adolescents n’ont pas encore fait l’objet d’études systématiques. L’étofénamate appliqué par voie topique n’ayant aucun effet avéré sur le système nerveux central, aucune altération de l’aptitude à la conduite ou à l’utilisation de machines n’est à craindre. Effets indésirables Des réactions allergiques locales telles que rougeurs, éruptions cutanées et dermatites de contact peuvent survenir dans de rares cas. Si ce médicament Gel est appliqué de manière prolongée sur de grandes surfaces cutanées, l’apparition d’effets secondaires tels que ceux consécutifs à l’application systémique d’anti-rhumatismaux non stéroïdiens ne peut être exclue. Les études sur la reproduction effectuées sur les animaux n’ont révélé aucun risque pour les foetus mais aucune étude contrôlée n’a été menée auprès des femmes enceintes. Par conséquent, ce médicament Gel ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, et ce notamment durant les trois derniers mois, étant donné le risque de fermeture prématurée du canal artériel (canal de Botal) et d’inhibition des contractions utérines. Allaitement A ce jour, il n’est pas établi si l’étofénamate appliqué par voie topique passe ou non dans le lait maternel. Par conséquent, ce médicament Gel ne doit pas être utilisé chez les femmes allaitantes. En cas d’indication impérative, ce médicament Gel ne doit pas être appliqué sur la zone des seins ni sur de grandes surfaces et ne doit être utilisé que sur une courte durée. (1)
Ce médicament contient du sodium. Ce médicament contient 145 mg pour 2 cuillères à café. A prendre en compte chez les patients suivant un régime hyposodé strict. Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de propyle et du parahydroxybenzoate de méthyle et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées). Ce médicament contient du calcium : 160 mg de carbonate de calcium pour 2 cuillères à café. Des précautions doivent être prises chez les patients présentant une hypercalcémie, une néphrocalcinose et ayant des calculs rénaux. Hypercalcémie Néphrocalcinose Calcul rénal Régime hyposodé Régime désodé (1)
Ce médicament est administré par voie orale et peut être pris avec ou sans aliments. Lorsqu'un soulagement rapide est nécessaire, il est à noter que l'efficacité du médicament est plus précoce si l'étoricoxib est administré sans aliments. En raison de l'augmentation possible des risques cardiovasculaires de l'étoricoxib avec la dose et la durée de traitement, ce médicament doit être prescrit à la dose minimale journalière efficace pendant la période la plus courte possible. La nécessité du traitement symptomatique et son efficacité thérapeutique pour le patient devront être réévaluées périodiquement, en particulier chez les patients atteints d'arthrose (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi, Effets indésirables, Pharmacodynamie). La dose recommandée est de 30 mg une fois par jour. Chez certains patients, lorsque le soulagement des symptômes est insuffisant, une augmentation de la dose à 60 mg une fois par jour peut améliorer l'efficacité. En l'absence d'amélioration du bénéfice thérapeutique, d'autres traitements doivent être envisagés. Des doses supérieures à celles recommandées n'ont pas, soit démontré d'efficacité supplémentaire, soit été étudiées. Par conséquent, dans l'arthrose, la dose de 60 mg une fois par jour ne sera pas dépassée. Sujet âgé : Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire chez le sujet âgé. Comme avec d'autres médicaments, la prudence est requise chez les patients âgés (cf Mises en garde et Précautions d'emploi). Insuffisance hépatique : Chez les patients ayant une atteinte hépatique légère (score de Child-Pugh de 5 à 6), la dose de 60 mg une fois par jour ne sera pas dépassée. Chez les patients ayant une atteinte hépatique modérée (score de Child-Pugh de 7 à 9), la dose de 60 mg un jour sur deux ne sera pas dépassée ; l'administration de 30 mg une fois par jour peut également être envisagée. L'expérience clinique est particulièrement limitée chez les patients ayant une atteinte hépatique modérée et la prudence est recommandée. Il n'y a aucune expérience clinique chez les patients ayant une atteinte hépatique sévère (score de Child-Pugh >= 10) ; par conséquent, l'utilisation de ce médicament est contre-indiquée chez ces patients (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi, Pharmacocinétique). Insuffisance rénale : Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire chez les patients ayant une clairance de la créatinine >= 30 ml/min (cf Pharmacocinétique). L'utilisation d'étoricoxib est contre-indiquée chez les patients ayant une clairance de la créatinine (1)
Ce médicament est pris de préférence après les repas. Les comprimés à libération prolongée doivent être avalés entiers sans être croqués. Posologie usuelle : 1 comprimé à 2,5 mg, 3 fois par jour, ou 1 comprimé LP 5 mg 2 fois par jour ou 1 comprimé LP 10 mg le soir. (1)
Ce médicament est pris de préférence avant un repas. Il doit être avalé avec un peu d'eau sans être croqué ni écrasé. Posologie usuelle : Adulte : traitement des symptômes du reflux gastro-œsophagien et prévention des récidives d'inflammation de l'œsophage : 20 mg par jour ; traitement de l'inflammation de l'œsophage et des ulcères de l'estomac ou du duodénum : 40 mg par jour, pendant 4 à 8 semaines ; éradication d'Helicobacter pylori : 40 mg 2 fois par jour, associé à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 40 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine ; syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle ; traitement préventif des ulcères gastroduodénaux induits par les anti-inflammatoires (AINS) : 20 mg par jour. Enfant de 12 à 15 ans : traitement du reflux gastro-œsophagien et de l'inflammation de l'œsophage : 20 mg par jour. (1)
Ce médicament peut être pris indifféremment au cours ou en dehors des repas. En cas de prise en dehors des repas, il ne faut pas prendre cet antibiotique avec des produits laitiers (par exemple, lait, yaourt) ou des boissons enrichies en minéraux (notamment en calcium). Posologie usuelle : Adulte : 250 mg à 750 mg, matin et soir. La durée du traitement varie de 5 à 21 jours selon les infections. En cas d'infection génitale à gonocoque : 500 mg, en une prise unique. A la suite d'un surdosage de 12 g, des symptômes légers de toxicité ont été décrits. Une insuffisance rénale aiguë a été signalée à la suite d'un surdosage aigu de 16 g. Les symptômes du surdosage sont les suivants : étourdissements, tremblements, céphalées, asthénie, crises convulsives, hallucinations, confusion, gêne abdominale, insuffisance rénale et hépatique, ainsi que cristallurie et hématurie. Une toxicité rénale réversible a été décrite. En plus des mesures d'urgence standard, il est recommandé de surveiller la fonction rénale, notamment le pH urinaire, et d'acidifier, si nécessaire, afin d'éviter une cristallurie. Les patients doivent bénéficier d'une hydratation correcte. L'hémodialyse ou la dialyse péritonéale ne permettent d'éliminer la ciprofloxacine qu'en faible quantité ( (1)
Ce médicament peut provoquer un glaucome aigu chez les personnes prédisposées : œil rouge, dur et douloureux, avec vision floue. Une consultation d'extrême urgence auprès d'un ophtalmologiste est nécessaire. Du fait de la présence d'un antihistaminique ayant des propriétés sédatives et atropiniques, des précautions sont nécessaires chez la personne âgée, notamment en cas de constipation chronique, d'adénome de la prostate, de tendance aux vertiges ou aux baisses de tension. Le paracétamol est présent seul ou en association avec d'autres substances dans de nombreux médicaments : assurez-vous de ne pas prendre simultanément plusieurs médicaments contenant du paracétamol, car une prise conjointe entraîne un risque de surdosage qui peut être toxique pour le foie. Évitez les boissons alcoolisées : augmentation du risque de somnolence. Attention : conducteurCe médicament peut induire une somnolence, parfois intense chez certaines personnes. Cette somnolence peut être augmentée par la prise d'alcool ou d'autres médicaments sédatifs. La conduite et l'utilisation de machines dangereuses sont déconseillées, surtout dans les heures qui suivent la prise du médicament. (1)
Cette insuline est habituellement injectée par voie sous-cutanée, dans les zones recommandées par votre médecin, en essayant de varier les sites d'injection pour éviter l'apparition de lipodystrophies (nodules et épaississement de la peau). Elle ne doit être injectée par voie intramusculaire ou par voie intraveineuse qu'en milieu hospitalier ou sous surveillance médicale. Pour un meilleur confort, l'insuline peut être sortie du réfrigérateur une heure avant l'injection ou réchauffée dans les mains pendant quelques minutes, puis injectée à température ambiante. Posologie usuelle : Elle est adaptée en fonction des résultats des analyses réalisées par le diabétique ou par son entourage (carnet de surveillance) et des conseils de son médecin. Hypoglycémie (voir ATTENTION), légers troubles de la vision en début de traitement, nodules graisseux sous-cutanés (lipodystrophies). Rarement : réaction allergique essentiellement cutanée. Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. Grossesse : L'insuline est adaptée au diabète de la femme enceinte ou aux troubles passagers de la glycémie pendant la durée de la grossesse. Allaitement : Le traitement par l'insuline n'est pas une contre-indication à l'allaitement. (1)
Chez l'adulte : Dans les candidoses vaginales et périnéales aiguës et récidivantes : le fluconazole est prescrit en dose unique de 150 mg. Chez le sujet âgé : Aucun ajustement de posologie en fonction de la clairance de la créatinine n'est nécessaire dans le traitement à dose unique. En cas de surdosage, le traitement est symptomatique avec des soins adaptés et un lavage gastrique si nécessaire. Le fluconazole est en grande partie éliminé dans les urines ; son élimination est favorisée par une diurèse provoquée. Une séance d'hémodialyse de 3 heures permet d'abaisser d'environ 50 % les taux plasmatiques. (1)
Chez les patients présentant des atteintes connues hépatiques et/ou rénales ainsi que lorsqu'une pathologie sévère est associée, une surveillance des tests hépatiques est conseillée; l'arrêt du fluconazole sera envisagé en cas d'aggravation d'une anomalie préalable des tests hépatiques. Le patient devra être informé qu'en cas de survenue de symptômes évocateurs d'atteinte hépatique grave (asthénie importante, anorexie, nausées persistantes, vomissements, ictère) le traitement par fluconazole devra être immédiatement arrêté et qu'il devra consulter un médecin. Une surveillance clinique particulière s'impose chez les patients ayant préalablement présenté une réaction cutanée associée à la prise de fluconazole ou un autre dérivé azolé. Le patient devra être informé qu'en cas de survenue de lésions bulleuses, le fluconazole devra être immédiatement arrêté et qu'il devra consulter un médecin le plus rapidement possible. Les azolés, dont le fluconazole, ont été associés à un allongement de l'intervalle QT sur l'électrocardiogramme. Dans les études de surveillance post-marketing chez des patients traités par fluconazole, de rares cas d'allongement de l'intervalle QT ainsi que des torsades de pointes ont été rapportés. Ces notifications font état de patients présentant des pathologies lourdes et de nombreux autres facteurs de risque notamment un allongement congénital du QT, des désordres électrolytiques ou certains traitements associés susceptibles d'y contribuer. Le fluconazole devra être administré avec précaution chez les patients présentant des conditions pro-l arythmogènes. Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au lactose. (1)
Comprimé : 6 comprimés enrobés par 24 heures. Solution injectable : • Traitement d'attaque : 1 à 3 ampoules par 24 heures par voie IV ou IM. • Traitement d'entretien : les comprimés ou les suppositoires prendront le relais du traitement d'attaque selon une posologie de 6 comprimés ou 3 suppositoires par 24 heures. Suppositoire : 3 suppositoires par 24 heures. Grossesse : Les études réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène du phloroglucinol. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, l'utilisation relativement répandue du phloroglucinol n'a apparemment révélé aucun risque malformatif à ce jour. Toutefois, des études épidémiologiques sont nécessaires pour vérifier l'absence de risque. En conséquence, l'utilisation de phloroglucinol ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. Allaitement : En l'absence de données, il est conseillé d'éviter l'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement. (1)
Enfant de 3 à 6 ans : 1 cuillère à café (5 ml) par jour. Adulte, adolescent et enfant âgé de plus de 6 ans : 2 cuillères à café par jour. Agiter le flacon avant emploi. Ne pas pencher le flacon pendant l'utilisation. Appuyer sur le gicleur orange jusqu'à ce que la cuillère soit pleine, puis supprimer la pression en enlevant le doigt du gicleur. Rincer à l'eau le gicleur et l'embout après usage. Très rarement, réactions allergiques à type d'éruption ou urticaire. (1)
Il est à noter des cas de : • troubles neuropsychiques (en fonction de la réactivité individuelle et principalement chez les personnes âgées) à type de confusion et, exceptionnellement, à type d'hallucination et/ou délire ; • convulsions, principalement après l'administration de doses élevées ou après un traitement concomitant par des médicaments qui peuvent abaisser le seuil épileptogène ou qui déclenchent eux-mêmes des convulsions (cf Mises en garde et Précautions d'emploi). Les effets indésirables le plus fréquemment rencontrés sont ceux de la classe des opiacés tels que : • nausées, vomissements ; • somnolence, céphalées, vertiges, hypersudation, sensation de malaise ; • sécheresse buccale ; • constipation en cas de prise prolongée. Plus rarement ont été rapportés : • douleurs abdominales, rash, asthénie, euphorie, troubles mineurs de la vision ; • troubles de la régulation cardiovasculaire : tachycardie, hypotension, palpitations, élévation de la pression artérielle. Très rarement ont été rapportés : • réaction anaphylactique à type d'urticaire, d'oedème de Quincke, de bronchospasme ainsi que des cas exceptionnels de choc anaphylactique pouvant être fatal ; • troubles mictionnels à type de dysurie et/ou de rétention urinaire ; • troubles de la fréquence respiratoire. Une dépression respiratoire peut survenir si les doses administrées dépassent largement les doses recommandées ou si d'autres médicaments dépresseurs centraux sont administrés de façon concomitante ; • cas de dépendance, de syndrome de sevrage après utilisation au long cours, comportant des symptômes tels que : agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux. • D'autres symptômes de sevrage ont été rarement rapportés, incluant attaque de panique, anxiété sévère, hallucinations, paresthésies, acouphènes, autres troubles du SNC. Dans quelques cas isolés, une augmentation des enzymes hépatiques a été rapportée lors de l'utilisation thérapeutique du tramadol. Les signes de surdosage sont : myosis, vomissements, collapsus cardiovasculaire, dépression respiratoire pouvant aller jusqu'à l'arrêt respiratoire, coma et convulsions. Les premiers gestes thérapeutiques seront le maintien des fonctions respiratoire et cardiovasculaire et le transfert en urgence en milieu hospitalier. La naloxone peut être utilisée en cas de dépression respiratoire, sous couvert d'un contrôle des fonctions respiratoires. Le diazépam peut être utilisé en cas de convulsions. Le tramadol est peu ou pas dialysable. Solution buvable : Attention, le flacon contenant une dose totale de 1 g de chlorhydrate de tramadol, l'ingestion accidentelle d'une quantité importante du flacon représente un risque grave pour le jeune enfant. (1)
La crème doit être appliquée après lavage et séchage soigneux de la zone à traiter. Posologie usuelle : 1 application, 2 fois par jour. La durée du traitement varient selon les infections. Suivre la prescription de votre médecin ou les conseils de votre pharmacien. Sensation de brûlure, rougeur, démangeaisons. Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. L'effet de ce médicament pendant la grossesse ou l'allaitement est mal connu. L'évaluation du risque éventuel lié à son utilisation est individuelle : demandez conseil à votre pharmacien ou à votre médecin. (1)
La dose initiale est de 1 mg de térazosine en une prise le soir au coucher. La posologie devra être ajustée selon la réponse individuelle du patient. A partir du 2ème jour de traitement, la dose est augmentée à 2 mg par jour, en une prise unique, pendant une semaine. A partir du 9ème jour, la posologie habituelle est de 5 mg au coucher. La posologie devra être ajustée selon la réponse individuelle du patient. En cas d'oubli de prise de la térazosine, des sensations vertigineuses peuvent survenir lors de la réintroduction du traitement. Dans ce cas un nouvel ajustement progressif de la dose sera nécessaire avec le même schéma d'augmentation des doses que lors de l'initiation du traitement. 1er jour (dose initiale) : 1 mg le soir au coucher du 2ème au 8ème jour : 2 mg en une seule prise au coucher (soit 2 comprimés à 1 mg) A partir du 9ème jour : 5 mg* en une prise au coucher (soit 5 comprimés à 1 mg ou 1 comprimé à 5 mg Les effets le plus souvent rencontrés sont: ·hypotension orthostatique avec perte de connaissance cédant rapidement en position allongée; ·lipothymies, étourdissements, sensations vertigineuses, ces effets apparaissant plus volontiers en début de traitement et/ou lorsque la posologie est augmentée trop rapidement; ·céphalées; ·troubles digestifs légers, nausées, diarrhée, constipation; ·sécheresse buccale; ·congestion nasale; ·éruptions cutanées de type allergique. L'indication thérapeutique ne concerne pas la femme. L'innocuité de la térazosine au cours de la grossesse et son passage dans le lait maternel ne sont pas connus. (1)
La solution injectable est obtenue en mélangeant la poudre avec le solvant fourni. Elle est injectée par voie intraveineuse lente, en perfusion ou éventuellement par voie sous-cutanée. Posologie usuelle : Elle est variable selon les cas. A titre indicatif : Adulte : 1 à 2 g par jour, en une injection quotidienne. Enfant et nourrisson : 50 mg par kg et par jour en une injection. La ceftriaxone est faiblement dialysable. Le traitement d'un surdosage doit être symptomatique. (1)
Le gel à raser Edge® Peau sensible renferme de l'aloès ainsi que des molécules lubrifiantes, afin d'améliorer la glisse du rasoir et de vous offrir un rasage en douceur. Vous pourrez ainsi vous concentrer sur les petites choses importantes de la vie. (1)
Les comprimés doivent être avalés entiers, avec un peu d'eau, au début du petit déjeuner (ou du repas de midi si vous ne mangez pas ou très peu le matin). Posologie usuelle : Adulte de plus de 18 ans : la dose initiale est de 1 comprimé à 1 mg par jour. L'adaptation de la posologie est faite ensuite, en fonction de la glycémie, en respectant des paliers d'au moins 1 semaine. La dose maximale quotidienne est de 6 mg. Suivre attentivement la prescription de votre médecin. Le régime alimentaire reste nécessaire pendant le traitement. Rares : hypoglycémie (voir Attention), anomalie de la numération formule sanguine. Très rares (moins de 1 cas sur 10 000) : nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales, atteinte du foie (jaunisse, cholestase, hépatite), réaction allergique. Autres effets possibles : troubles transitoires de la vision provoqués par les modifications de la glycémie, surtout en début de traitement, augmentation des transaminases, allergie cutanée (démangeaisons, rougeur de la peau, éruption cutanée), photosensibilisation. Grossesse : Un diabète mal équilibré peut être néfaste pour l'enfant à naître. Un désir de grossesse nécessite le remplacement de ce médicament par de l'insuline et une surveillance médicale renforcée. Si une grossesse survient alors que vous êtes encore sous traitement antidiabétique oral, consultez rapidement votre médecin pour un passage à l'insuline injectable. Allaitement : Les données disponibles ne permettent pas de savoir si ce médicament passe dans le lait maternel ; un choix est donc nécessaire entre l'allaitement et la prise du médicament. Cette décision devra être prise en accord avec votre médecin. (1)
Les comprimés peuvent être pris avec un peu d'eau ou croqués pendant les repas. Les comprimés ne sont pas adaptés à l'enfant de moins de 6 ans. En effet, ils risquent d'obstruer les voies respiratoires si l'enfant déglutit mal et que le comprimé passe dans la trachée (fausse route). Posologie usuelle : En cas d'oxyures : 1 seule prise, à renouveler au bout de 7 jours pour éviter une recontamination par les œufs qui ne sont pas détruits par le médicament. Adulte et enfant de plus de 2 ans : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, en 1 prise. Enfant de 1 à 2 ans : 1/2 flacon (5 ml), en 1 prise. En cas d'ascaris, de trichocéphales, d'ankylostomes : Adulte et enfant de plus de 2 ans : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, en 1 prise. Enfant de 1 à 2 ans : 1/2 flacon (5 ml), en 1 prise. En cas d'anguillule, de ténia : Adulte et enfant de plus de 2 ans : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, en 1 prise par jour, pendant 3 jours. En cas de lamblia (giardia) : Enfant : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, en 1 prise par jour, pendant 5 jours. En cas de trichinelles : Adulte : 1 comprimé ou 1 flacon de 10 ml, matin et soir, pendant 10 à 15 jours. Enfant : 7,5 mg par kg, matin et soir, pendant 10 à 15 jours ; soit, pour un enfant de 25 kg, 1/2 flacon (5 ml) matin et soir. Troubles digestifs, maux de tête, vertiges. En cas de traitement prolongé : fièvre, chute de cheveux, baisse du nombre de globules blancs, augmentation des transaminases (voir ATTENTION). Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. Grossesse : L'effet de ce médicament sur l'enfant à naître est mal connu. Son usage est déconseillé pendant la grossesse. Si une grossesse survient en cours de traitement, consultez votre médecin. Il est nécessaire d'arrêter la prise du médicament et de surveiller plus étroitement le développement du fœtus Allaitement : Les données actuellement disponibles ne permettent pas de savoir si ce médicament passe dans le lait maternel ; par mesure de prudence, il est déconseillé pendant l'allaitement. (1)
Les enfants de deux ans ou plus, en particulier ceux âgés de 2 à 7 ans et/ou de poids inférieur ou égal à 20 kg, doivent être traités avec précaution et étroitement surveillés en raison de l'incidence élevée et de la sévérité de la somnolence (cf Effets indésirables). Une attention particulière est nécessaire chez les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire sévère ou instable et incontrôlée. Lors des essais cliniques, quelques patients (12,7 %) ont présenté une réaction de type allergique oculaire avec Brimonidine (cf Effets indésirables). En cas de réaction allergique, le traitement doit être arrêté. Des réactions d'hypersensibilité oculaires retardées ont été rapportées avec Brimonidine 0,2 %, certaines étaient associées à une augmentation de la pression intra-oculaire. Brimonidine doit être utilisé avec précaution chez les patients souffrant de dépression, d'insuffisance cérébrale ou coronarienne, de phénomène de Raynaud, d'hypotension orthostatique ou de thromboangéite oblitérante. Brimonidine n'a pas été étudié chez les patients présentant des troubles hépatiques ou rénaux. Une attention particulière est nécessaire en cas de traitement de ces patients. Le chlorure de benzalkonium, agent conservateur présent dans Brimonidine, est susceptible d'entraîner une irritation oculaire. Il faut éviter la mise en contact avec les lentilles de contact souples. Il convient de retirer les lentilles de contact avant l'utilisation du collyre et d'attendre au moins 15 minutes avant de les remettre. Le chlorure de benzalkonium est susceptible de colorer les lentilles de contact souples. (1)
Les gélules doivent être prises de préférence le matin, à jeun, avec un demi-verre d'eau. Pour les personnes qui ont du mal à avaler les gélules, celles-ci peuvent être ouvertes, et leur contenu avalé avec un demi-verre d'eau ou mélangé à un aliment de type yaourt, compote de pommes ou à un jus de fruits légèrement acide (jus d'orange, de pomme ou d'ananas). Posologie usuelle : Adulte : la dose varie entre 10 et 40 mg, une fois par jour. Le plus souvent, la dose recommandée est de 20 mg par jour. La durée du traitement est habituellement de plusieurs semaines. Dans le syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle et plus élevée. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : 1 gélule à 20 mg 2 fois par jour, associée à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 1 gélule à 20 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine. Enfant : Dans le reflux gastro-œsophagien et les inflammations de l'œsophage : 1 gélule à 10 mg par jour pour les enfants de 10 à 20 kg et 1 gélule à 20 mg par jour pour les enfants de plus de 20 kg. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques associés est fixée par le médecin. Elle dépend du poids de l'enfant. (1)
Les gélules doivent être prises de préférence le matin, à jeun, avec un demi-verre d'eau. Pour les personnes qui ont du mal à avaler les gélules, celles-ci peuvent être ouvertes, et leur contenu avalé avec un demi-verre d'eau ou mélangé à un aliment de type yaourt, compote de pommes ou à un jus de fruits légèrement acide (jus d'orange, de pomme ou d'ananas). Posologie usuelle : Adulte : la dose varie entre 10 et 40 mg, une fois par jour. Le plus souvent, la dose recommandée est de 20 mg par jour. La durée du traitement est habituellement de plusieurs semaines. Dans le syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle et plus élevée. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : 1 gélule à 20 mg 2 fois par jour, associée à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 1 gélule à 20 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine. Enfant : Dans le reflux gastro-œsophagien et les inflammations de l'œsophage : 1 gélule à 10 mg par jour pour les enfants de 10 à 20 kg et 1 gélule à 20 mg par jour pour les enfants de plus de 20 kg. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques associés est fixée par le médecin. Elle dépend du poids de l'enfant. Des cas de diarrhées, constipation, douleurs abdominales, nausées/vomissements, céphalées et vertiges ont été rapportés ; de même des éruptions cutanées, des urticaires ou des prurits isolés ont été signalés. - De rares cas de confusion mentale réversible pouvant être associée à une agitation ou des hallucinations ont été observés, particulièrement chez des patients âgés ou insuffisants hépatiques. - Des cas isolés d'anomalies hématologiques ont été notés : leucopénie, neutropénie, thrombopénie, et très exceptionnellement pancytopénie et anémie hémolytique. - Des cas isolés d'élévation réversible des transaminases, de très rares cas d'atteintes hépatiques aiguës s'accompagnant exceptionnellement d'une insuffisance hépatique ont été observés. - De rares cas de gynécomastie ont été signalés. - De rares cas d'élévation de la créatinine ou d'insuffisance rénale généralement dus à une néphrite interstitielle ont été observés. - D'exceptionnelles hyponatrémies ont été signalées, en particulier chez le sujet âgé. - De très rares cas de photosensibilisation, d'érythème polymorphe, de syndrome de Stevens-Johnson et de syndrome de Lyell ont été observés. Les résultats de trois études épidémiologiques prospectives (plus de 1000 résultats d'expositions) indiquent qu'il n'y a aucun effet indésirable de l'oméprazole lors de la grossesse ou sur la santé du fœtus/nouveau-né. L'oméprazole peut être utilisé lors de la grossesse. L'oméprazole est excrété dans le lait maternel, mais n'a probablement pas d'influence sur l'enfant s'il est utilisé à dose thérapeutique. (1)
Les gélules doivent être prises de préférence le matin, à jeun, avec un demi-verre d'eau. Pour les personnes qui ont du mal à avaler les gélules, celles-ci peuvent être ouvertes, et leur contenu avalé avec un demi-verre d'eau ou mélangé à un aliment de type yaourt, compote de pommes ou à un jus de fruits légèrement acide (jus d'orange, de pomme ou d'ananas). Posologie usuelle : Adulte : la dose varie entre 10 et 40 mg, une fois par jour. Le plus souvent, la dose recommandée est de 20 mg par jour. La durée du traitement est habituellement de plusieurs semaines. Dans le syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle et plus élevée. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : 1 gélule à 20 mg 2 fois par jour, associée à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 1 gélule à 20 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine. Enfant : Dans le reflux gastro-œsophagien et les inflammations de l'œsophage : 1 gélule à 10 mg par jour pour les enfants de 10 à 20 kg et 1 gélule à 20 mg par jour pour les enfants de plus de 20 kg. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques associés est fixée par le médecin. Elle dépend du poids de l'enfant. Des cas de diarrhées, constipation, douleurs abdominales, nausées/vomissements, céphalées et vertiges ont été rapportés ; de même des éruptions cutanées, des urticaires ou des prurits isolés ont été signalés. - De rares cas de confusion mentale réversible pouvant être associée à une agitation ou des hallucinations ont été observés, particulièrement chez des patients âgés ou insuffisants hépatiques. - Des cas isolés d'anomalies hématologiques ont été notés : leucopénie, neutropénie, thrombopénie, et très exceptionnellement pancytopénie et anémie hémolytique. - Des cas isolés d'élévation réversible des transaminases, de très rares cas d'atteintes hépatiques aiguës s'accompagnant exceptionnellement d'une insuffisance hépatique ont été observés. - De rares cas de gynécomastie ont été signalés. - De rares cas d'élévation de la créatinine ou d'insuffisance rénale généralement dus à une néphrite interstitielle ont été observés. - D'exceptionnelles hyponatrémies ont été signalées, en particulier chez le sujet âgé. - De très rares cas de photosensibilisation, d'érythème polymorphe, de syndrome de Stevens-Johnson et de syndrome de Lyell ont été observés. Les résultats de trois études épidémiologiques prospectives (plus de 1000 résultats d'expositions) indiquent qu'il n'y a aucun effet indésirable de l'oméprazole lors de la grossesse ou sur la santé du fœtus/nouveau-né. L'oméprazole peut être utilisé lors de la grossesse. L'oméprazole est excrété dans le lait maternel, mais n'a probablement pas d'influence sur l'enfant s'il est utilisé à dose thérapeutique. Il y a peu d'information disponible relative aux effets d'un surdosage d'oméprazole chez les humains. Dans la littérature, des doses allant jusqu'à 560 mg ont été décrites, et des administrations de doses uniques orales d'oméprazole allant jusqu'à 2 400 mg (120 fois la dose clinique usuelle recommandée) ont été rapportées de façon occasionnelle. Nausées, vomissements, étourdissements, douleurs abdominales, diarrhées et céphalées ont été rapportés. De même des cas d'apathie, de dépression et de confusion ont été décrits dans des cas isolés. Les symptômes liés à un surdosage d'oméprazole décrits sont transitoires, et aucun effet grave n'a été rapporté. Le taux d'élimination est resté inchangé (cinétique de premier ordre) avec l'augmentation des doses. Le traitement, s'il est nécessaire, est symptomatique. (1)
Les repas ne modifient pas l'absorption du médicament, qui peut donc être pris à n'importe quel moment de la journée. Néanmoins, la prise du médicament au début du repas diminue le risque d'intolérance. La suspension buvable Nourrisson et enfant est préparée en dissolvant la poudre avec de l'eau en quantité suffisante pour que la solution obtenue atteigne le trait gravé sur le flacon. La dose par prise est indiquée, en fonction du poids de l'enfant, sur le piston de la pipette graduée en kg. 3 prises par jour sont nécessaires. Par exemple, la graduation no 10 correspond à la dose à administrer pour un enfant de 10 kg, 3 fois par jour. Le contenu du sachet doit être dissous dans un verre d'eau. Posologie usuelle : Elle est exprimée en quantité d'amoxicilline. Elle varie en fonction des indications. A titre indicatif et pour des infections courantes : Adulte : 1 g d'amoxicilline (soit 2 comprimés à 500 mg/62,5mg ou 1 sachet à 1g/125 mg), 2 ou 3 fois par jour. Enfant et nourrisson : 80 mg d'amoxicilline par kg et par jour, répartis en 3 prises. Soit, par exemple, pour un enfant de 20 kg : 1 pipette de suspension buvable enfant jusqu'à la graduation 20 kg, 3 fois par jour. Ne pas dépasser 3 g d'amoxicilline par jour. (1)
Marque CARDINAL HEALTH Taille 7,5 Stérile Oui Poudrés NON Destination Dispositif médical destiné à usage médical Éligible livraison cadencée NON (1)
Marque CARDINAL HEALTH Taille 8 Stérile Oui Poudrés OUI Destination Dispositif médical destiné à usage médical (1)
Mode d'administration Voie orale. Les comprimés sont à avaler entiers sans les croquer avec un verre d'eau, de préférence pendant le repas. Posologie La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes ( voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi ). Adulte: 1 comprimé 2 à 3 fois par jour. Lié au DICLOFENAC Grossesse Dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque. Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer: •Le fœtus à: o Une toxicité cardio-pulmonaire (hypertension artérielle pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel), o Un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligoamnios, •La mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. En conséquence, la prescription d'A.I.N.S. ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse. En dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'A.I.N.S. est contre-indiquée à partir du 6ème mois. Allaitement Les A.I.N.S. passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite. Lié au PARACETAMOL Grossesse Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène ou fœtotoxique du paracétamol. En clinique, les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif ou fœtotoxique particulier du paracétamol. En conséquence, le paracétamol, dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant toute la grossesse. Allaitement A doses thérapeutiques, l'administration de ce médicament est possible pendant l'allaitement. (1)
Nourrisson de 6 à 30 mois : 8 mg par kg et par jour, en 2 prises espacées de 12 heures ; soit, par exemple, pour un nourrisson de 8 kg : 1 pipette remplie de suspension buvable Nourrisson jusqu'à la graduation 8 kg, 2 fois par jour. • Enfant de 30 mois à 12 ans : 8 mg par kg et par jour, en 2 prises espacées de 12 heures ; soit, par exemple, pour un enfant de 12 kg : 1 pipette remplie de suspension buvable Enfant jusqu'à la graduation 10 kg et 1 pipette remplie jusqu'à la graduation 2 kg, 2 fois par jour. • Enfant de plus de 12 ans : 200 mg, matin et soir. • Adulte : 400 mg/jour, en deux administrations, à 12 heures d'intervalle, d'un comprimé dosé à 200 mg. Dans les infections génitales à gonocoques : une prise unique de 400 mg - Insuffisant rénal : . Lorsque les valeurs de la clairance de la créatinine sont supérieures à 20 ml/min, il n'est pas utile de modifier la posologie. - Pour des valeurs inférieures, y compris chez les patients hémodialysés, la posologie de céfixime ne devra pas dépasser 200 mg/jour, en une administration. - Insuffisant hépatique et sujet âgé : Il n'est pas nécessaire de modifier la posologie. (1)
Nourrisson de 6 à 30 mois : 8 mg par kg et par jour, en 2 prises espacées de 12 heures ; soit, par exemple, pour un nourrisson de 8 kg : 1 pipette remplie de suspension buvable Nourrisson jusqu'à la graduation 8 kg, 2 fois par jour. • Enfant de 30 mois à 12 ans : 8 mg par kg et par jour, en 2 prises espacées de 12 heures ; soit, par exemple, pour un enfant de 12 kg : 1 pipette remplie de suspension buvable Enfant jusqu'à la graduation 10 kg et 1 pipette remplie jusqu'à la graduation 2 kg, 2 fois par jour. • Enfant de plus de 12 ans : 200 mg, matin et soir. • Adulte : 400 mg/jour, en deux administrations, à 12 heures d'intervalle, d'un comprimé dosé à 200 mg. Dans les infections génitales à gonocoques : une prise unique de 400 mg - Insuffisant rénal : . Lorsque les valeurs de la clairance de la créatinine sont supérieures à 20 ml/min, il n'est pas utile de modifier la posologie. - Pour des valeurs inférieures, y compris chez les patients hémodialysés, la posologie de céfixime ne devra pas dépasser 200 mg/jour, en une administration. - Insuffisant hépatique et sujet âgé : Il n'est pas nécessaire de modifier la posologie. L'effet de ce médicament pendant la grossesse ou l'allaitement est mal connu : seul votre médecin peut évaluer le risque éventuel de son utilisation dans votre cas. Il s'agit essentiellement de troubles digestifs : . diarrhées, . nausées, vomissements, dyspepsie, douleurs abdominales, . comme avec d'autres bêtalactamines, de rares cas de colites pseudomembraneuses ont été rapportés. - Ont été égalementrapportés quelques rares cas de : . céphalées, vertiges, . manifestations hépatobiliaires : élévation modérée et transitoire des transaminases ASAT et ALAT et des phosphatases alcalines, . manifestations rénales : faible augmentation de l'urée sanguine et de la créatininémie, . manifestations hématologiques : thrombocytose, thrombocytopénie, leucopénie, neutropénie et agranulocytose, hyperéosinophilie. . manifestations allergiques : éruption cutanée transitoire, fièvre, prurit, rares cas de réactions anaphylactiques telles qu'urticaire ou angioedème, . très rares cas d'éruptions bulleuses (érythème polymorphe et de Syndrome de Stevens-Johnson). - Ce médicament contient un agent colorant azoïque (4R, rouge cochenille) et peut provoquer des réactions allergiques. (1)
POSOLOGIE USUELLE POUR LE METRONIDAZOLE Adulte Amibiase: 400 à 800 mg tous les 8 heures pour 5 à 10 jours en fonction de la gravité de l'infection Dans les infections sévères et les abcès du foie: 1gm comme lent I.V. perfusion suivie de 0,5 g deux fois par jour jusqu'à ce que la thérapie orale commence Giardiase: 200 mg 8 heures pour 1 semaine ou 2 grammes / jour pour 3 jours ou I.V.500 mg trois fois par jour Trichomonas vaginite: 400mg tous les 8 heures par semaine ou 2g une fois par jour pendant une semaine. Le partenaire masculin devrait être traité simultanément avec le médicament Entérocolite pseudo-membraneuse: 800 mg tous les 8 heures Infections bactériennes anaérobies après chirurgie, abcès cérébral et endocardite: 400 à 800 mg 8 heures Dans les cas graves: 15 mg / kg I.V. perfusion pendant 1 heure suivie de 7,5 mg / kg 4 fois par jour jusqu'à ce que le traitement par voie orale soit remplacé Infections à Helicobacter pylori: 400 mg 8 heures en association avec l'amoxicilline / clarithromycine et un inhibiteur de la pompe à protons Gingivite ulcéreuse: 200 à 800 mg 8 heures Enfants Amibiase: 30 à 50 mg / kg / jour pendant 5 à 10 jours. Giardiase: 10 à 15 mg / kg / jour trois fois par jour Enfants (moins de 12 ans): 7,5 mg / kg I.V. POSOLOGIE USUELLE POUR LA FURAZOLIDONE Adultes: 100mg tous les 6 heures 2 à 7 jours selon la gravité des infections Enfants: 1,25 mg tous les 6 heures pour 2 à 5 jours et jusqu'à 10 jours pour la Giardiase (1)
Posologie La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). • Adultes: o En traitement d'attaque, dans les cas aigus ou lorsqu'un effet intense est recherché: 50 mg 3 fois par jour, soit 150 mg par jour. o En traitement d'entretien (ou d'emblée chez certains malades): 75 à 100 mg par jour à repartir en 2 prises. o Dysménorrhées: 50 mg 2 fois par jour, soit 100 mg par jour. • Enfant à partir de 35 kg: 2 à 3 mg/kg par jour à répartir en 2 ou 3 prises. A titre indicatif: 50 mg 2 à 3 fois par jour, soit 100 à 150 mg par jour. La dose quotidienne maximale de 150 mg ne doit pas être dépassée. Fréquence d'administration En cas de crise aiguë, il est conseillé de prendre les comprimés avant le repas. La posologie quotidienne est à répartir en 2 à 3 prises par jour. Grossesse Dans l'espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n'a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l'absence de risque. Au cours du 3ème trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer: ·Le foetus à: oune toxicité cardio-pulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel), oun dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios. ·La mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. En conséquence, la prescription d'A.l.N.S. ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse. En dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'A.I.N.S. est contre-indiquée à partir du 6ème mois. Allaitement Les A.I.N.S passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite. Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l'utilisation du diclofénac, surtout lorsqu'il est utilisé à dose élevée (150 mg par jour) et sur une longue durée de traitement, peut être associée à une légère augmentation du risque d'évènement thrombotique artériel (par exemple, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral) (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Les effets indésirables les plus fréquemment observés sont de nature gastro-intestinale. Des ulcères peptiques, perforations ou hémorragies gastro-intestinales, parfois fatales, peuvent survenir, en particulier chez le sujet âgé, (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Des nausées, vomissements, diarrhées, flatulences, constipation, dyspepsie, stomatite ulcérative, douleur abdominale, melæna, hématémèse, exacerbation d'une recto-colite ou d'une maladie de Crohn (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi) ont été rapportées à la suite de l'administration d'AINS. Moins fréquemment, des gastrites ont été observées. Effets cardiovasculaires Œdème, hypertension et insuffisance cardiaque ont été rapportés en association au traitement par AINS. Effets gastro-intestinaux · Peu fréquents: en début de traitement, nausées, vomissements, diarrhées, crampes abdominales, douleurs épigastriques, dyspepsie, anorexie, éructations. · Rares: ulcère gastro-duodénal, perforation ou hémorragie digestive. Celles-ci sont d'autant plus fréquentes que la posologie utilisée est élevée. · Cas isolés: affections abdominales basses telles que colite hémorragique non spécifique, exacerbation de colite ulcéreuse. Ont été signalés des pancréatites, des cas de constipation. Effets cutanés · Cas isolés: chutes de cheveux, réactions de photosensibilisation. · Très rarement des réactions bulleuses (Stevens-Johnson, syndrome de Lyell) ont été observées. Réactions d'hypersensibilité · Dermatologiques: éruption cutanée, urticaire, eczéma. · Respiratoires: bronchospasme, pneumopathie d'hypersensibilité. · Autres: cas isolés de vascularite y compris purpura allergique, d'hypotension. · Générales: très rares réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes notamment chez les sujets présentant une allergie à l'acide acétylsalicylique. Effets sur le système nerveux central · Peu fréquents: céphalées, étourdissements ou vertiges. · Rarement: somnolence. · Cas isolés: convulsions, méningite aseptique. Ont été rapportés des troubles de type insomnie, irritabilité, asthénie, tremblements. · Cas isolés de troubles sensoriels: paresthésies, troubles visuels (flou visuel, diplopie), bourdonnements d'oreilles. Effets sur le rein · Rétention hydrosodée avec possibilité d'oedème, hyperkaliémie (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). · Insuffisance rénale aiguë (IRA) fonctionnelle chez les patients présentant des facteurs de risque (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). · Atteintes rénales organiques pouvant se traduire par une IRA: des cas isolés de néphrite interstitielle, de nécrose tubulaire aiguë, de syndrome néphrotique, de nécrose papillaire ont été rapportés. Effets sur le foie · Peu fréquents: augmentation des transaminases sériques. · Rare hépatite avec ou sans ictère. · Cas isolés: hépatites fulminantes. Effets sur le sang · Très rarement: leucopénie, agranulocytose, thrombopénie avec ou sans purpura, aplasie médullaire, anémie hémolytique. (1)
Posologie : La teneur en insuline des insulines humaines est exprimée en unités internationales (UI). La posologie dépend de chaque individu et est déterminée en fonction des besoins du patient. • Actrapid peut être utilisé seul ou associé à une insuline d'action intermédiaire ou prolongée avant un repas ou un en-cas. • Mixtard : Les insulines prémélangées sont généralement administrées une ou deux fois par jour lorsqu'un effet initial rapide associé à un effet plus prolongé est recherché. Il est recommandé de surveiller la glycémie afin d'obtenir un équilibre glycémique optimal. • Insulatard : Le médecin détermine si une ou plusieurs injections sont nécessaires quotidiennement. Insulatard peut être utilisé seul ou mélangé avec une insuline d'action rapide. En cas d'insulinothérapie intensive, la suspension peut être utilisée comme insuline basale (injection du soir et/ou du matin) avec administration d'une insuline d'action rapide au moment des repas. Un contrôle glycémique est recommandé afin d'obtenir un équilibre glycémique optimal. Les besoins individuels en insuline se situent généralement entre 0,3 et 1,0 UI/kg/jour. Les besoins journaliers en insuline peuvent être plus élevés chez les patients présentant une résistance à l'insuline (par exemple lors de la puberté ou en cas d'obésité) et plus faibles chez les patients présentant une insulinosécrétion endogène résiduelle. Chez les patients diabétiques, un contrôle glycémique optimisé retarde l'apparition des complications diabétiques tardives. C'est pourquoi il est recommandé de surveiller attentivement la glycémie. Un ajustement de la dose peut être nécessaire si le patient augmente son activité physique, modifie son régime alimentaire habituel, ou en cas de maladie concomitante. Populations particulières : Sujets âgés (>= 65 ans) : Actrapid, Mixtard et Insulatard peuvent être utilisés chez les sujets âgés. Comme pour toutes les insulines, il est nécessaire d'intensifier le contrôle glycémique et d'ajuster la dose d'insuline de façon individuelle chez les patients âgés. Sujets atteints de troubles rénaux ou hépatiques : Les troubles rénaux ou hépatiques peuvent réduire les besoins du patient en insuline. Comme pour toutes les insulines, il est nécessaire d'intensifier le contrôle glycémique et d'ajuster la dose d'insuline humaine de façon individuelle chez les patients atteints de troubles rénaux ou hépatiques. Population pédiatrique : Actrapid, Mixtard et Insulatard peuvent être utilisés chez les enfants et les adolescents. En remplacement d'autres insulines : • Actrapid : Lors du remplacement d'autres insulines, un ajustement de la dose d'Actrapid et de l'insuline basale pourra être nécessaire. • Mixtard et Insulatard : Lors du remplacement d'autres insulines d'action intermédiaire ou prolongée, un ajustement de la dose de Mixtard ou d'Insulatard et des horaires d'administration pourra être nécessaire. Il est recommandé de surveiller attentivement la glycémie lors du changement de traitement et durant les premières semaines (cf Mises en garde et Précautions d'emploi). Mode d'administration : Actrapid : Actrapid est une insuline humaine d'action rapide qui peut être utilisée en association avec des insulines d'action intermédiaire ou prolongée. Actrapid est administré par voie sous-cutanée dans la paroi abdominale, la cuisse, la région fessière ou la région deltoïde. L'injection dans un pli cutané diminue le risque d'injection intramusculaire accidentelle. Après l'injection, l'aiguille doit demeurer sous la peau pendant au moins 6 secondes pour garantir l'injection de la totalité de la dose. Une rotation des sites d'injection devra toujours être effectuée au sein d'une même région afin de diminuer le risque de développer une lipodystrophie. Comme pour toutes les insulines, l'absorption est plus rapide si l'injection est effectuée en sous-cutané dans la paroi abdominale plutôt que dans un autre site d'injection. Comme pour toutes les insulines, la durée d'action varie en fonction de la dose, du site d'injection, du débit sanguin, de la température et de l'intensité de l'activité physique. Une injection doit être suivie, dans les 30 minutes, d'un repas ou d'un en-cas contenant des glucides. En raison du risque de précipitation dans les cathéters des pompes, Actrapid ne doit pas être utilisé dans les pompes à insuline pour perfusion sous-cutanée continue. Administration avec une seringue : Les flacons d'Actrapid doivent être utilisés avec des seringues à insuline portant une graduation adéquate. En cas de mélange de deux types d'insuline, toujours mélanger les insulines dans le même ordre. Le flacon d'Actrapid est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Administration avec un système d'administration d'insuline (Actrapid Penfill) : Actrapid Penfill est conçu pour être utilisé avec les systèmes d'administration d'insuline Novo Nordisk et les aiguilles NovoFine ou NovoTwist. Actrapid Penfill est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Voie intraveineuse : Si nécessaire, Actrapid peut être administré par voie intraveineuse par des professionnels de santé. Par voie intraveineuse, les systèmes de perfusion contenant Actrapid à des concentrations d'insuline humaine allant de 0,05 UI/ml à 1,0 UI/ml dans des solutés de perfusion de chlorure de sodium à 0,9 %, de dextrose à 5 % et de dextrose à 10 % avec 40 mmol/l de chlorure de potassium restent stables à température ambiante pendant 24 heures dans une poche à perfusion en polypropylène. Malgré leur stabilité dans le temps, une certaine quantité d'insuline s'adsorbera dès le départ à la poche à perfusion. La glycémie doit être contrôlée durant la perfusion d'insuline. Mixtard : Mixtard est une insuline humaine d'action mixte. C'est une formulation biphasique contenant une insuline d'action rapide et une insuline d'action prolongée. Mixtard est administré en injection par voie sous-cutanée dans la cuisse, au niveau de la paroi abdominale, dans la région fessière ou dans la région deltoïde. Les suspensions d'insuline ne doivent jamais être administrées par voie intraveineuse. L'injection dans un pli cutané diminue le risque d'injection intramusculaire accidentelle. Après l'injection, l'aiguille doit demeurer sous la peau pendant au moins 6 secondes pour garantir l'injection de la totalité de la dose. Une rotation des sites d'injection devra toujours être effectuée au sein d'une même région afin de diminuer le risque de développer une lipodystrophie. Une injection par voie sous-cutanée dans la paroi abdominale assure une absorption plus rapide que dans les autres sites d'injection. Comme pour toutes les insulines, la durée d'action varie en fonction de la dose, du site d'injection, du débit sanguin, de la température et de l'intensité de l'activité physique. Dans les 30 minutes suivant l'injection, le patient doit prendre un repas ou un en-cas contenant des glucides. Les suspensions d'insuline ne doivent pas être utilisées dans les pompes à perfusion d'insuline. Administration avec une seringue : Les flacons de Mixtard doivent être utilisés avec des seringues à insuline portant une graduation adéquate. Le flacon de Mixtard est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Insulatard : Insulatard est une insuline humaine d'action prolongée. Insulatard est administré par voie sous-cutanée par injection dans la cuisse, au niveau de la paroi abdominale, dans la région fessière ou dans la région deltoïde. Les suspensions d'insuline ne doivent jamais être administrées par voie intraveineuse. L'injection dans un pli cutané diminue le risque d'injection intramusculaire accidentelle. Après l'injection, l'aiguille doit demeurer sous la peau pendant au moins 6 secondes pour garantir l'injection de la totalité de la dose. Une rotation des sites d'injection devra toujours être effectuée au sein d'une même région afin de diminuer le risque de développer une lipodystrophie. Une injection par voie sous-cutanée dans la cuisse assure une absorption plus lente et moins variable que dans les autres sites d'injection. Comme pour toutes les insulines, la durée d'action varie en fonction de la dose, du site d'injection, du débit sanguin, de la température et de l'intensité de l'activité physique. Les suspensions d'insuline ne doivent pas être utilisées dans les pompes à perfusion d'insuline. Administration avec une seringue : Les flacons d'Insulatard doivent être utilisés avec des seringues à insuline portant une graduation adéquate. Le flacon d'Insulatard est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Administration avec FlexPen : Insulatard FlexPen est un stylo prérempli conçu pour être utilisé avec les aiguilles à usage unique NovoFine ou NovoTwist d'une longueur maximale de 8 mm. FlexPen délivre de 1 à 60 unités par palier de 1 unité. Insulatard FlexPen est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Administration avec un système d'administration d'insuline (Insulatard Penfill) : Insulatard Penfill est conçu pour être utilisé avec les systèmes d'administration d'insuline Novo Nordisk et les aiguilles NovoFine ou NovoTwist. Insulatard Penfill est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Administration avec InnoLet : Insulatard InnoLet est un stylo prérempli conçu pour être utilisé avec les aiguilles NovoFine ou NovoTwist à usage unique d'une longueur maximale de 8 mm. InnoLet délivre de 1 à 50 unités par palier de 1 unité. Insulatard InnoLet est accompagné d'une notice, dont les instructions détaillées doivent être respectées. Consulter le fichier : Fécondité : Les études de reproduction effectuées chez l'animal avec l'insuline humaine n'ont mis en évidence aucun effet indésirable sur la fécondité. Grossesse : Il n'existe aucune restriction au traitement du diabète par l'insuline pendant la grossesse, car l'insuline ne franchit pas la barrière placentaire. L'hypoglycémie et l'hyperglycémie, qui peuvent survenir lors d'un traitement mal contrôlé du diabète, accroissent toutes deux les risques de malformations et de mort in utero. Chez la femme enceinte diabétique, il est recommandé d'intensifier le contrôle glycémique et la surveillance tout au long de la grossesse ainsi qu'en cas de projet de grossesse. Les besoins en insuline chutent habituellement au cours du 1er trimestre puis augmentent au cours des 2e et 3e trimestres. Après l'accouchement, les besoins en insuline reviennent généralement rapidement au niveau antérieur à la grossesse. Allaitement : L'administration d'Actrapid, Mixtard ou Insulatard pendant l'allaitement ne fait l'objet d'aucune restriction. L'insulinothérapie de la mère qui allaite ne présente aucun risque pour le bébé. Il peut cependant être nécessaire d'adapter la dose d'Actrapid, Mixtard ou Insulatard. (1)
Posologie : Traitement curatif : • Adulte et enfant à partir de 30 kg (environ 10 ans) : 100 à 200 mg de fer métal par jour, soit 3 à 6 cuillères à café par jour. • Nourrisson à partir de 1 mois et enfant de moins de 30 kg (environ 10 ans) : 6 à 10 mg de fer métal par kg et par jour, soit en moyenne : • nourrisson de 5 à 8 kg (environ de 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café par jour ; • nourrisson de 8 à 12 kg (environ de 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café par jour ; • enfant de 12 à 20 kg (environ de 30 mois à 6 ans) : 3 à 4 cuillères à café par jour ; • enfant de 20 à 30 kg (environ de 6 à 10 ans) : 4 à 5 cuillères à café par jour. Traitement préventif : • Femme enceinte : de l'ordre de 50 mg de fer métal par jour, soit 1 à 2 cuillères à café par jour, pendant les deux derniers trimestres de la grossesse (ou à partir du 4e mois). • Nourrisson à partir de 1 mois : 6 à 10 mg de fer métal par kg et par jour, soit : • de 5 à 8 kg (environ de 1 à 6 mois) : 1 à 2 cuillères à café par jour ; • de 8 à 12 kg (environ de 6 à 30 mois) : 2 à 3 cuillères à café par jour. Durée du traitement : Elle doit être suffisante, 3 à 6 mois, pour corriger l'anémie et restaurer les réserves en fer qui, chez l'adulte, sont d'environ 1000 mg. Mode d'administration : A prendre de préférence entre les biberons ou avant les repas ; l'horaire de la prise et la répartition sont à adapter en fonction de la tolérance digestive. Afin de limiter les effets indésirables, il est conseillé de fractionner la dose en plusieurs prises quotidiennes. • Possibilité de troubles gastro-intestinaux à type de nausées ou de diarrhée. • Réactions allergiques possibles. • Coloration habituelle des selles en noir. En cas d'ingestion massive, des cas de surdosage ont été rapportés, en particulier chez l'enfant de moins de 2 ans. La symptomatologie comporte des signes d'irritation intense et de nécrose des muqueuses digestives entraînant douleurs abdominales, vomissements, diarrhée souvent sanglante pouvant s'accompagner d'état de choc avec insuffisance rénale aiguë, atteinte hépatique, coma souvent convulsif. A distance de l'intoxication, des sténoses digestives sont possibles. Le traitement doit intervenir le plus tôt possible en réalisant un lavage gastrique avec une solution de bicarbonate de sodium à 1 %. L'utilisation d'un agent chélateur est efficace, le plus spécifique étant la déféroxamine, principalement lorsque la concentration en fer sérique est supérieure à 5 µg/ml. L'état de choc, la déshydratation et les anomalies acidobasiques sont traités de façon classique. (1)
Posologies du paracétamol: • 500 mg à 1 g par prise, à répéter si besoin toutes les 4 à 6 heures, sans dépasser 4 g par jour, pour les adultes ou les enfants de plus de 50 kg ; • 10 à 15 mg/kg de poids corporel et par prise, à répéter si besoin toutes les 4 à 6 heures, sans dépasser la dose de 60 mg/kg/jour, pour les nourrissons et les enfants de moins de 50 kg. Posologies de l'ibuprofène • 200 à 400 mg par prise à renouveler si nécessaire toutes les 6 heures, sans dépasser 1200 mg par jour, pour les adultes ou les enfants de plus 30 kg ; • 200 mg à renouveler si nécessaire toutes les 6 heures, sans dépasser 600 mg par jour, pour les enfants de 20 à 30 kg ; • 20 à 30 mg par kilogramme de poids corporel et par jour, répartis en 3 ou 4 prises, sans dépasser 30 mg/kg/jour, pour les nourrissons et les jeunes enfants. (1)
Pour les personnes en bonne santé : consommer au moins 500 mg d’AEP/ADH par jour, soit en prenant un supplément d’huile de poisson, soit en mangeant de 2 à 3 repas de poisson gras par semaine (voir le tableau dans la section Sources alimentaires) ou en combinant les 2 apports. Pour les personnes atteintes de maladies coronariennes : consommer de 800 mg à 1 000 mg d’AEP/ADH par jour, soit en prenant un supplément d’huile de poisson, soit en mangeant du poisson gras tous les jours (voir le tableau dans la section Sources alimentaires) ou en combinant les 2 apports. Il n'y a aucune recommandation particulière. Administrer un traitement symptomatique. (1)
Réservé à l'adulte. 1 capsule vaginale le soir pendant 12 jours. Conseils pratiques : • Le traitement s'accompagnera de conseils d'hygiène (port de sous-vêtements en coton, éviter les douches vaginales et le port de tampon interne pendant le traitement...) et, dans la mesure du possible, de la suppression des facteurs favorisants. • Le traitement du partenaire se discutera en fonction de chaque cas. • Ne pas interrompre le traitement pendant les règles. Grossesse : Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de ce médicament est déconseillée pendant la grossesse. Allaitement : En l'absence de données sur le passage de ce médicament dans le lait maternel, l'utilisation de ce médicament est à éviter. (1)
Réservé à l'adulte. 1 capsule vaginale le soir pendant 6 jours. Conseils pratiques : • Le traitement s'accompagnera de conseils d'hygiène (port de sous-vêtements en coton, éviter les douches vaginales et le port de tampon interne pendant le traitement...) et, dans la mesure du possible, de la suppression des facteurs favorisants. • Le traitement du partenaire se discutera en fonction de chaque cas. • Ne pas interrompre le traitement pendant les règles. Mises en garde : • En cas d'intolérance locale ou de réaction allergique, le traitement sera interrompu. • La sensibilisation par voie locale aux antibiotiques peut compromettre l'utilisation ultérieure par voie générale du même antibiotique ou d'antibiotiques apparentés. Précautions d'emploi : • La durée du traitement doit être limitée en raison du risque de sélection de germes résistants et de surinfection par ces germes. • En l'absence de données sur l'importance des fractions de néomycine et de résorbée par la muqueuse, on ne peut exclure la possibilité d'effets systémiques, majorés en cas d'insuffisance rénale. Grossesse : Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de ce médicament est déconseillée pendant la grossesse. Allaitement : En l'absence de données sur le passage de ce médicament dans le lait maternel, l'utilisation de ce médicament est à éviter. (1)
Réservé à l'adulte. Posologie : • Tendinites : 3 à 4 applications par jour. • OEdèmes post-opératoires et post-traumatiques (entorse...) : 2 à 4 applications par jour. La dose administrée à chaque application est de l'ordre de 2,5 g de gel (soit 6 cm de gel environ). • Arthrose douloureuse des doigts et des genoux : 3 à 4 applications par jour. La dose administrée à chaque application est de l'ordre de 4 g de gel (soit 10 cm de gel environ). Mode d'administration : Voie locale. Faire pénétrer le gel par un massage doux et prolongé sur la région douloureuse ou inflammatoire. Bien se laver les mains après chaque utilisation (sauf en cas d'auto-application pour arthrose digitale douloureuse). Par extrapolation avec les autres voies d'administration. Grossesse : L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut affecter le déroulement de la grossesse et/ou le développement de l'embryon ou du foetus. Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation du risque de fausse couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, après traitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moins de 1 % à approximativement 1,5 %. Le risque paraît augmenter en fonction de la dose et de la durée du traitement. Chez l'animal, il a été montré que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de la létalité embryo-foetale. De plus, une incidence supérieure de certaines malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de la phase d'organogenèse de la gestation. Sauf nécessité absolue, le diclofénac ne doit donc pas être prescrit au cours des 24 premières semaines d'aménorrhée (5 mois de grossesse révolus). Si le diclofénac est administré chez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de 6 mois, la dose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la plus courte possible. Au-delà de 24 semaines d'aménorrhée (5 mois révolus), tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le foetus à : • une toxicité cardiopulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire) ; • un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale associée à un oligoamnios. En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter : • un allongement du temps de saignement du fait d'une action anti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faibles doses de médicament ; • une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de terme ou un accouchement prolongé. En conséquence, le diclofénac est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse au-delà de 24 semaines d'aménorrhée (5 mois révolus). Allaitement : Le diclofénac comme tous les AINS, passant dans le lait maternel, il convient par mesure de précaution d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite. Si la situation impose son utilisation, le diclofénac gel ne doit pas être appliqué sur les seins chez les mères qui allaitent. Cas fréquents : Réactions cutanées : éruptions, eczéma ; érythèmes, dermatites (incluant les dermatites de contact). Cas rares : Réactions cutanées : dermatose bulleuse. Un prurit associé est parfois observé. Cas très rares et cas isolés : • Réactions cutanées : éruption pustuleuse, urticaire, purpura, ulcérations locales. • Réactions d'hypersensibilité : oedème angioneurotique (oedème de Quincke). • Problèmes respiratoires : la survenue de crise d'asthme peut être liée chez certains sujets à une allergie à l'aspirine ou à un AINS. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué. • Autres réactions cutanées : cas isolés de photosensibilité. Autres effets systémiques des AINS : Ils sont fonction du passage transdermique du principe actif et donc de la quantité de gel appliquée, de la surface traitée, du degré d'intégrité cutanée, de la durée du traitement et de l'utilisation ou non d'un pansement occlusif (effets digestifs, rénaux). (1)
RESERVE A L'ADULTE ET A L'ADOLESCENT (à partir de 16 ans) Croquer entièrement un comprimé au moment de la crise douloureuse, et avaler de préférence avec un verre d'eau. Ne pas dépasser 2 comprimés par jour. La durée du traitement est limitée à 2 semaines ( voir Précautions d'emploi ). Les effets indésirables sont définis comme suit: très fréquent (?1/10), fréquent (?1/100; 1/10 000; (1)
Sécheresse de la bouche, mydriase, somnolence ont été rapportées. Enfants de 6 à 12 ans, à une dose quotidienne 60-90mg/jour, divisés en 3 doses. Pour les enfants> 12 ans et adulte est 90-180mg/jour, divisés en 3 doses. (1)
Suppositoire : Chez l'adulte, la posologie usuelle est de 1 à 2 suppositoires par 24 h. Sirop et Comprimé - Chez l'adulte la posologie usuelle est de : 2 à 6 comprimés par jour ou 1 à 3 cuillerées à soupe 3 fois par jour. - Chez l'enfant : 3 cuillerées à café par 5 kg de poids et par jour. Option particulière : l'action de la forme orale peut être complétée par l'adjonction de 1 à 2 suppositoires par 24 h. Injectable : Chez l'adulte, la posologie usuelle est de 1 ampoule en IM ou IV lente à renouveler 3 fois par jour. Option particulière : l'action de la forme injectable peut être complétée par l'adjonction de 1 à 2 suppositoires par 24 h. •Sécheresse buccale •Epaississement des sécrétions bronchiques •Diminution de la sécrétion lacrymale •Troubles de l'accommodation •Tachycardie, palpitations •Constipation •Rétention urinaire •Excitabilité •Irritabilité •Confusion mentale chez les personnes âgées. •Les résultats des études du tiémonium réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. Bien que ceux-ci ne préjugent pas de l'effet dans l'espèce humaine, aucune malformation n'a été rapportée à ce jour au cours de l'utilisation courante. •Chez la femme qui allaite, en l'absence de données suffisantes, la prudence est de règle, bien qu'aucun problème n'ait été signalé au cours de l'utilisation courante. Symptômes: Apparition d'effets atropiniques: sécheresse de la bouche, constipation, tachycardie, confusion mentale chez les personnes âgées. Traitement: Evacuation du toxique. Traitement symptomatique en milieu spécialisé avec surveillance cardiaque et respiratoire. (1)
Voie orale. Les comprimés sont à avaler entiers avec au moins un demi verre d'eau ou un autre liquide. ACECLOFENAC peut être pris pendant les repas. Adultes La dose maximale recommandée est de 200 mg par jour en deux prises, soit un comprimé de 100 mg matin et soir. Sujets âgés En général, il n'est pas nécessaire de réduire la posologie ; cependant, des précautions sont à prendre (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Enfants La sécurité et l'efficacité du produit n'ont pas été démontrées chez l'enfant et l'adolescent. Insuffisants hépatiques En cas d'insuffisance hépatique légère à modérée, la posologie sera réduite. La posologie initiale recommandée est de 100 mg par jour. Insuffisants rénaux En cas d'insuffisance rénale légère, il n'est pas nécessaire de diminuer la posologie ; cependant, des précautions sont à prendre. La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte, nécessaire au soulagement des symptômes (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi) Grossesse : Il n'y a aucune donnée clinique disponible concernant des grossesses exposées à l'acéclofénac. Mais, en général, les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent affecter la grossesse et/ou le développement embryofoetal. Des données d'études épidémiologiques montrent une augmentation du risque d'avortement spontané, de malformation cardiaque et de gastroschisis après l'utilisation d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiaque augmente de moins de 1 % à environ 1,5 %. Ce risque semble augmenter avec la dose et la durée de traitement. Chez les animaux, il a été montré que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines était liée à une perte pré et postimplantatoire et à une létalité embryofoetale. Par ailleurs, l'augmentation de l'incidence de diverses malformations (par exemple cardiovasculaires) a été rapportée chez les animaux recevant des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pendant l'organogénie. Lors des 1 er et 2e trimestres de la grossesse, les AINS ne doivent être administrés qu'en cas de nécessité clairement identifiée. Dans le cas où les AINS sont administrés chez la femme souhaitant être enceinte ou au cours des 1er et 2e trimestres de grossesse, les doses et durées de traitement doivent être les plus faibles possibles. Au cours du 3e trimestre de grossesse, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines expose le foetus à : une toxicité cardiopulmonaire (avec la fermeture prématurée du canal artériel et une hypertension pulmonaire) ; un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligoamnios. L'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines à la fin de la grossesse expose la mère et le futur nouveau-né à : une prolongation possible de l'hémorragie, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant survenir même à faible dose ; une inhibition des contractions utérines résultant au retard et à la prolongation du travail. Par conséquent, les AINS sont contre-indiqués pendant le 3e trimestre de grossesse (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi). Allaitement : Il n'y a pas de données concernant l'excrétion de l'acéclofénac dans le lait maternel. Toutefois, il n'a pas été observé de transfert notable de l'acéclofénac radiomarqué ( 14C) dans le lait de rats femelles allaitantes. Par conséquent, la poursuite de l'allaitement ou du traitement par acéclofénac doit être envisagé en tenant compte du bénéfice attendu de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice attendu du traitement pour la mère. Fertilité : Cf Mises en garde et Précautions d'emploi. Read more at http://www.vidal.fr/Medicament/acéclofénac-3174.htm#yykSW5tg5UtWFiAq.99 (1)
Voie orale. Les comprimés sont à avaler entiers avec au moins un demi-verre d'eau ou un autre liquide. Ce médicament peut être pris pendant les repas. - Adultes : la dose maximum recommandée est de 2 comprimés par jour en deux prises, soit un comprimé matin et soir. - Sujets âgés : en général, il n'est pas nécessaire de réduire la posologie ; cependant, des précautions sont à prendre (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi). - Enfants : la sécurité et l'efficacité du produit n'ont pas été démontrées chez l'enfant et l'adolescent. Lié à l’acéclofénac Grossesse : Il n'y a aucune donnée clinique disponible concernant des grossesses exposées à l'acéclofénac. Mais en général, les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent affecter la grossesse et/ou le développement embryofoetal. Des données d'études épidémiologiques montrent une augmentation du risque d'avortement spontané, de malformation cardiaque et de gastroschisis après l'utilisation d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiaque augmente de moins de 1% à environ 1,5%. Ce risque semble augmenter avec la dose et la durée de traitement. Chez les animaux, il a été montré que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines était liée à une perte pré et post-implantatoire et à une létalité embryofoetale. Par ailleurs, l'augmentation de l'incidence de diverses malformations (par exemple cardiovasculaires) a été rapportée chez les animaux recevant des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pendant l'organogénie. Lors des 1er et 2ème trimestres de la grossesse, les AINS ne doivent être administrés qu'en cas de nécessité clairement identifiée. Dans le cas où les AINS sont administrés chez la femme souhaitant être enceinte ou au cours des 1er et 2ème trimestres de grossesse, les doses et durées de traitement doivent être les plus faibles possibles. Au cours du 3ème trimestre de grossesse, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines expose le foetus à : - Une toxicité cardiopulmonaire (avec la fermeture prématurée du canal artériel et une hypertension pulmonaire) ; - Un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligohydramnios. L'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines à la fin de la grossesse expose la mère et le futur nouveau-né à : - Une prolongation possible de l'hémorragie, un effet anti-agrégant plaquettaire pouvant survenir même à faible dose ; - Une inhibition des contractions utérines résultant au retard et à la prolongation du travail. Par conséquent, les AINS sont contre-indiqués pendant le 3ème trimestre de grossesse (voir rubriques contre-indications et mises en garde et précautions d'emploi). Allaitement : Il n'y a pas de données concernant l'excrétion de l'acéclofénac dans le lait maternel. Par conséquent, la poursuite de l'allaitement ou du traitement par ce médicament doit être envisagée en tenant compte du bénéfice attendu de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice attendu du traitement pour la mère. Lié au paracétamol Grossesse Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène ou foetotoxique du paracétamol. En clinique, les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif ou foetotoxique particulier du paracétamol. En conséquence, le paracétamol, dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant toute la grossesse. Allaitement A doses thérapeutiques, l'administration de ce médicament est possible pendant l'allaitement. (1)
Référence CEPO007 (1)
COMMENT UTILISER ZINNAT 750 mg, poudre pour solution injectable (I.M., I.V.) ? Retour en haut de la page Zinnat est habituellement administré par un médecin ou par un(e) infirmier(ère). Il peut être administré en goutte-à-goutte (perfusion intraveineuse) ou en injection directement dans une veine ou dans un muscle. Dose habituelle Votre médecin décidera de la dose de Zinnat appropriée à votre cas, en fonction : de la sévérité et du type d’infection, selon que vous soyez déjà traité par d'autre(s) antibiotique(s), de votre poids et de votre âge, du bon fonctionnement de vos reins. Nouveau-nés (0 à 3 semaines) Pour chaque 1 kg de poids corporel du bébé, il lui sera administré 30 à 100 mg de Zinnat par jour, répartis en deux ou trois prises. Bébés (plus de 3 semaines) et enfants Pour chaque 1 kg de poids corporel du bébé ou de l'enfant, il lui sera administré 30 à 100 mg de Zinnat par jour, répartis en trois ou quatre prises. Adultes et adolescents 750 mg à 1,5 g de Zinnat deux, trois ou quatre fois par jour. Dose maximale : 6 g par jour. Patients souffrant de problèmes rénaux Si vous souffrez d’un problème rénal, votre médecin pourra adapter votre dose. è Parlez-en à votre médecin si tel est votre cas. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Situations nécessitant votre vigilance Un petit nombre de patients traités par Zinnat ont développé des réactions allergiques ou des réactions cutanées potentiellement graves. Les symptômes de ces réactions incluent : · réactions allergiques sévères. Les signes incluent une éruption cutanée associant des lésions surélevées et des démangeaisons, un gonflement, parfois au niveau du visage ou de la bouche, provoquant des difficultés pour respirer. · éruption cutanée, pouvant former des cloques, ayant l’apparence de petites cibles (petites tâches centrales foncées entourées d’une zone plus pâle bordée d’un anneau sombre). · éruption cutanée étendue avec cloques et la peau qui pèle. (Ces signes peuvent être ceux d’un syndrome de Stevens-Johnson ou d’une nécrose épidermique toxique). Autres symptômes dont vous devez être informé pendant votre traitement par Zinnat : · infections fongiques en de rares occasions, des médicaments tels que Zinnat peuvent provoquer une prolifération de levures (Candida) dans l’organisme, responsables d’infections fongiques (telles que le muguet). Cet effet indésirable est plus susceptible de survenir au cours d’un traitement prolongé par Zinnat. · diarrhée sévère (colite pseudomembraneuse). Des médicaments tels que Zinnat peuvent provoquer une inflammation du côlon (gros intestin), responsable de diarrhées sévères, habituellement accompagnées de sang et de mucus, de douleurs abdominales et de fièvre. è Contactez immédiatement un médecin ou un(e) infirmier(ère) si vous présentez l’un de ces symptômes. Effets indésirables fréquents Ceux-ci peuvent concerner jusqu’à 1 personne sur 10 : · douleur au site d’injection, gonflement et rougeur le long d’une veine. è Prévenez votre médecin si l’un de ces signes ou symptômes vous gêne. Effets indésirables fréquents pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · augmentation de substances (enzymes) produites par le foie · modification du nombre de vos globules blancs (neutropénie ou éosinophilie) · faible taux de globules rouges (anémie) Effets indésirables peu fréquents Ceux-ci peuvent concerner jusqu’à 1 personne sur 100 : · éruption cutanée, démangeaisons, éruption avec boutons (urticaire) · diarrhées, nausées, douleurs abdominales è Informez votre médecin si vous présentez l’un de ces symptômes. Effets indésirables peu fréquents pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · faible taux de globules blancs (leucopénie) · augmentation du taux de bilirubine (une substance produite par le foie) · test de Coombs positif. Autres effets indésirables D’autres effets indésirables sont survenus chez un très petit nombre de patients, mais leur fréquence exacte est indéterminée : · infections fongiques · température élevée (fièvre) · réactions allergiques · inflammation du côlon (gros intestin), provoquant des diarrhées habituellement accompagnées de sang et de mucus, douleurs abdominales · inflammation au niveau des reins et des vaisseaux sanguins · destruction trop rapide des globules rouges (anémie hémolytique). · éruption cutanée pouvant former des cloques, ayant l’apparence de petites cibles (petites tâches centrales sombres entourées d’une zone plus pâle bordée d’un anneau sombre - érythème polymorphe). è Informez votre médecin si vous présentez l’un de ces symptômes. Effets indésirables pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · diminution du nombre de plaquettes sanguines (cellules participant à la coagulation du sang - thrombocytopénie) · élévation des taux d’urée et de la créatinine sérique dans le sang. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZINNAT 750 mg, poudre pour solution injectable (I.M., I.V.) ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Après ouverture/reconstitution : le produit doit être utilisé immédiatement. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d'éliminer les médicaments que vous n'utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient ZINNAT 750 mg, poudre pour solution injectable (I.M., I.V.) Retour en haut de la page · La substance active est : Céfuroxime sodique ............................................................................................................ 789 mg Quantité correspondant à céfuroxime ................................................................................... 750 mg Pour un flacon de poudre. Qu’est-ce que ZINNAT 750 mg, poudre pour solution injectable (I.M., I.V.) et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de poudre pour solution injectable (I.M., I.V.). Boîte de 1 flacon. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL-MALMAISON Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL-MALMAISON Fabricant Retour en haut de la page GLAXOSMITHKLINE MANUFACTURING S.p.A VIA A. FLEMING 2 37135 VERONE ITALIE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux professionnels de santé : Instructions pour la reconstitution Volumes à ajouter et concentrations pouvant être utilisés si des doses fractionnées sont nécessaires. Volumes à ajouter et concentrations pouvant être utilisés si des doses fractionnées sont nécessaires Taille du flacon Voie d’administration Forme Quantité d’eau pour préparations injectables à ajouter (ml) Concentration approximative en céfuroxime (mg/ml)* 750 mg Intramusculaire Bolus intraveineux Suspension Solution 3 ml au moins 6 ml 216 116 * Le volume résultant de la solution de céfuroxime dans le milieu de reconstitution est augmenté en raison du facteur de déplacement de la substance active, aboutissant aux concentrations indiquées en mg/ml. CONSEILS / EDUCATION SANITAIRE QUE SAVOIR SUR LES ANTIBIOTIQUES ? Les antibiotiques sont efficaces pour combattre les infections dues aux bactéries. Ils ne sont pas efficaces contre les infections dues aux virus. Aussi, votre médecin a choisi de vous prescrire cet antibiotique parce qu’il convient précisément à votre cas et à votre maladie actuelle. Les bactéries ont la capacité de survivre ou de se reproduire malgré l’action d’un antibiotique. Ce phénomène est appelé résistance : il rend certains traitements antibiotiques inactifs. La résistance s’accroît par l’usage abusif ou inapproprié des antibiotiques. Vous risquez de favoriser l’apparition de bactéries résistantes et donc de retarder votre guérison ou même de rendre inactif ce médicament, si vous ne respectez pas : · la dose à prendre, · les moments de prise, · et la durée de traitement. En conséquence, pour préserver l’efficacité de ce médicament : 1- N’utilisez un antibiotique que lorsque votre médecin vous l’a prescrit. 2- Respectez strictement votre ordonnance. 3- Ne réutilisez pas un antibiotique sans prescription médicale même si vous pensez combattre une maladie apparemment semblable. 4- Ne donnez jamais votre antibiotique à une autre personne, il n’est peut-être pas adapté à sa maladie. 5- Une fois votre traitement terminé, rapportez à votre pharmacien toutes les boîtes entamées pour une destruction correcte et appropriée de ce médicament. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
Posologie Cette présentation est réservée à l'adulte et à l'enfant à partir de 27 kg (environ à partir de 8 ans). La posologie du paracétamol dépend du poids de l'enfant; les âges sont mentionnés à titre d'information. Si vous ne connaissez pas le poids de l'enfant, il faut le peser afin de lui donner la dose la mieux adaptée. Le paracétamol existe sous de nombreux dosages, permettant d'adapter le traitement au poids de chaque enfant. La dose quotidienne de paracétamol recommandée dépend du poids de l'enfant: elle est d'environ 60 mg/kg par jour, à répartir en 4 ou 6 prises, soit environ 15 mg/kg toutes les 6 heures ou 10 mg/kg toutes les 4 heures. Pour les enfants ayant un poids de 27 à 40 kg (environ 8 à 13 ans), la posologie est de 1 comprimé par prise, à renouveler si besoin au bout de 6 heures, sans dépasser 4 comprimés par jour. Pour les enfants ayant un poids de 41 à 50 kg (environ 12 à 15 ans), la posologie est de 1 comprimé par prise, à renouveler si besoin au bout de 4 heures, sans dépasser 6 comprimés par jour. Pour les adultes et les enfants dont le poids est supérieur à 50 kg (à partir d'environ 15 ans): La posologie usuelle est de 1 ou 2 comprimés à 500 mg par prise (selon l'intensité de la douleur), à renouveler en cas de besoin au bout de 4 heures minimum. Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser 3 g de paracétamol par jour, soit 6 comprimés par jour. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, et sur conseil de votre médecin ou de votre pharmacien, la dose totale peut être augmentée jusqu'à 4 g par jour, soit 8 comprimés par jour. Cependant: ·les dosages supérieurs à 3 g de paracétamol par jour nécessitent un avis médical, ·NE JAMAIS PRENDRE PLUS DE 4 GRAMMES DE PARACETAMOL PAR JOUR (en tenant compte de tous les médicaments contenant du paracétamol dans leur formule). Toujours respecter un intervalle de 4 heures au moins entre les prises. En cas de maladie grave des reins (insuffisance rénale sévère), les prises doivent être espacées de 8 heures, et la dose totale par jour ne doit pas dépasser 6 comprimés (3 g). La dose maximale journalière ne doit pas excéder 60 mg/kg (sans dépasser 3 g) par jour dans les situations suivantes : ·adultes de moins de 50 kg, ·atteinte grave du foie, ·alcoolisme chronique, ·malnutrition chronique, ·déshydratation. EN CAS DE DOUTE, DEMANDEZ CONSEIL A VOTRE MEDECIN OU A VOTRE PHARMACIEN. Mode et voie d'administration Voie orale. Les comprimés sont à avaler tels quels avec une boisson (par exemple: eau, lait, jus de fruit). La prise de comprimé ou de gélule est contre-indiquée chez l'enfant avant 6 ans car il peut avaler de travers et s'étouffer. De plus, si votre enfant présente une fièvre supérieure à 38,5°C, vous pouvez améliorer l'efficacité du traitement médicamenteux par les mesures suivantes : ·découvrez votre enfant, ·faites le boire, ·ne laissez pas votre enfant dans un endroit trop chaud. Fréquence d'administration Les prises systématiques permettent d'éviter les oscillations de douleur ou de fièvre. Chez l'enfant, elles doivent être régulièrement espacées, y compris la nuit, de préférence de 6 heures, et d'au moins 4 heures. Chez l'adulte, elles doivent être espacées de 4 heures minimum. En cas de maladie grave des reins (insuffisance rénale sévère), les prises seront espacées de 8 heures minimum. Durée du traitement La durée du traitement est limitée: ·à 5 jours en cas de douleurs, ·à 3 jours en cas de fièvre. Si la douleur persiste plus de 5 jours ou la fièvre plus de 3 jours, si elles s'aggravent, ne pas continuer le traitement sans l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien. (1)
À partir de 6 mois, il est possible d’introduire de nouveaux aliments sur avis du médecin qui suit l’enfant. (1)
• Qualité et traçabilité irréprochables : Formulé et fabriqué en FRANCE (1)
. COMMENT PRENDRE HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Votre médecin décidera de la posologie appropriée d’HYZAAR en fonction de votre état et si vous prenez d'autres médicaments. Il est important de continuer à prendre HYZAAR aussi longtemps que votre médecin vous le prescrit, cela permettra un contrôle régulier de votre pression sanguine. Hypertension La posologie habituelle pour la plupart des patients hypertendus est de un comprimé d’HYZAAR 50 mg/12,5 mg une fois par jour pour contrôler votre pression artérielle sur une période de 24 heures. Cette dose peut être augmentée à 2 comprimés une fois par jour d’HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé ou changée à 1 comprimé par jour de FORTZAAR 100 mg/25 mg, comprimé pelliculé (un dosage plus important). La dose maximum par jour est de 2 comprimés par jour d’HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé ou de 1 comprimé par jour de FORTZAAR 100 mg/25 mg, comprimé pelliculé. Mode d’administration Les comprimés doivent être avalés entiers avec un verre d'eau. Si vous avez pris plus d’HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû En cas de surdosage, vous devez consulter immédiatement votre médecin pour une prise en charge médicale rapide. Un surdosage peut provoquer une chute de la pression sanguine, des palpitations, un ralentissement du pouls, des changements de la composition du sang et une déshydratation. Si vous oubliez de prendre HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé Essayez de prendre HYZAAR quotidiennement tel que prescrit. Néanmoins, si vous avez oublié de prendre une dose, ne prenez pas de dose double et prenez la dose suivante au moment habituel. Si vous arrêtez de prendre HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Si vous ressentez l'effet suivant, arrêtez de prendre HYZAAR et informez immédiatement votre médecin ou allez aux urgences de l'hôpital le plus proche : · une réaction allergique grave (éruption cutanée, démangeaisons, gonflement du visage, des lèvres, de la bouche ou de la gorge qui peut entraîner des difficultés à avaler ou à respirer). C'est un effet secondaire grave mais rare qui peut affecter plus d'1 patient sur 10 000 mais moins d'1 patient sur 1 000. Vous pouvez avoir besoin de soins médicaux en urgence ou d'une hospitalisation. Les effets indésirables ci-dessous ont été rapportés : Fréquents (peut affecter jusqu'à 1 personne sur 10) : · toux, infection des voies respiratoires supérieures, congestion du nez, sinusite, problèmes de sinus, · diarrhée, douleur abdominale, nausées, indigestion, · douleurs musculaires ou crampes, douleur dans la jambe, douleur dorsale, · insomnie, maux de tête, étourdissements, · faiblesse, fatigue, douleurs thoraciques, · augmentation des taux de potassium (pouvant entraîner un rythme cardiaque anormal), diminution de l'hémoglobine, · modification de la fonction rénale incluant insuffisance rénale, · trop peu de sucre dans le sang (hypoglycémie). Peu fréquents (peut affecter jusqu'à 1 personne sur 100) : · anémie, boutons rouges ou marrons sur la peau (parfois particulièrement sur les pieds, les jambes, les bras et sur les fesses, avec douleur des articulations, gonflement des mains et des pieds, et douleurs à l'estomac), contusions, diminution des globules blancs, problème de coagulation, diminution du nombre de plaquettes, · perte d'appétit, augmentation du taux d'acide urique et crise de goutte, augmentation du taux de sucre sanguin, taux anormaux d'électrolytes dans le sang, · anxiété, nervosité, troubles paniques (attaques de panique récurrentes), confusion, dépression, rêves anormaux, troubles du sommeil, somnolence, troubles de la mémoire, · picotements ou sensations similaires, douleurs dans les extrémités, tremblements, migraine, évanouissement, · vision trouble, sensation de brûlure ou de picotement dans les yeux, conjonctivite, dégradation de la vision, vision jaune, · tintements, bourdonnements, grondement ou cliquetis dans les oreilles, vertiges, · pression sanguine basse qui peut être associée à des changements posturaux (sensation de tête légère ou faiblesse en se levant), angine de poitrine (douleur thoracique), battements du cœur anormaux, accident vasculaire cérébral (accident ischémique transitoire, « mini-AVC »), crise cardiaque, palpitations, · inflammation des vaisseaux sanguins qui est souvent associée à une éruption cutanée ou des bleus, · mal de gorge, essoufflement, bronchite, pneumonie, eau dans les poumons (ce qui entraîne une difficulté à respirer), saignement de nez, écoulement nasal, congestion, · constipation, constipation opiniâtre, flatulence, troubles gastriques, spasmes de l'estomac, vomissements, sécheresse de la bouche, inflammation des glandes salivaires, mal de dents, · jaunisse (jaunissement des yeux et de la peau), inflammation du pancréas, · urticaire, démangeaisons, inflammation de la peau, éruption cutanée, rougeur de la peau, sensibilité à la lumière, peau sèche, bouffées de chaleur, transpiration, perte de cheveux, · douleur dans les bras, les épaules, les hanches, les genoux ou autres articulations, gonflement des articulations, raideur, faiblesse musculaire, · mictions fréquentes y compris la nuit, anomalies de la fonction rénale, y compris inflammation des reins, infection des voies urinaires, sucre dans les urines, · diminution de l'appétit sexuel, impuissance, · gonflement du visage, gonflement localisé (œdème), fièvre. Rare (peut affecter jusqu'à 1 personne sur 1 000) : · hépatite (inflammation du foie), anomalies des tests de la fonction hépatique. Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) : · symptômes pseudo-grippaux, · douleur musculaire inexpliquée avec des urines noires (couleur thé) (rhabdomyolyse), · taux bas de sodium dans le sang (hyponatrémie), · sensation de mal-être général (malaise), · altération du goût (dysgueusie). · cancer de la peau et des lèvres (cancer de la peau non mélanome). Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N'utilisez pas ce médicament après la date de péremption mentionnée sur la boîte après « EXP ». La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Plaquettes Conserver HYZAAR dans l’emballage d’origine, à l'abri de la lumière et de l'humidité. A conserver à une température ne dépassant pas 30°C. Flacon A conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de la lumière. Conserver le flacon soigneusement fermé, à l'abri de l'humidité. A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé Retour en haut de la page · Les substances actives sont le losartan potassique et l'hydrochlorothiazide. HYZAAR 50 mg/12,5 mg contient 50 mg de losartan potassique et 12,5 mg d'hydrochlorothiazide comme substances actives. · Les autres composants sont : Cellulose microcristalline (E460), lactose monohydraté, amidon de maïs prégélatinisé, stéarate de magnésium (E572), hydroxypropylcellulose (E463), hypromellose (E464), dioxyde de titane (E171), laque aluminique de jaune de quinoléine (E104) et cire de carnauba (E903). HYZAAR 50 mg/12,5 mg contient 4,24 mg (0,108 mEq) de potassium. Qu’est-ce que HYZAAR 50 mg/12,5 mg, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page HYZAAR 50 mg/12,5 mg est présenté sous forme de comprimés pelliculés ovales, de couleur jaune, portant l'inscription « 717 » sur une face et lisse ou avec une barre de cassure sur l'autre face. La barre de cassure n’est pas destinée à briser le comprimé. HYZAAR est disponible dans les présentations suivantes : Plaquettes PVC/PE/PVDC avec opercule en aluminium. Boîtes de 4, 7, 10, 14, 20, 28, 30, 50, 56, 84, 90, 98 ou 280 comprimés. Flacons PEHD de 100 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page MSD FRANCE 34 AVENUE LÉONARD DE VINCI 92400 COURBEVOIE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page MSD FRANCE 34 AVENUE LÉONARD DE VINCI 92400 COURBEVOIE Fabricant Retour en haut de la page MERCK SHARP & DOHME B.V. WAARDERWEG 39 2031 BN HAARLEM PAYS-BAS OU MERCK SHARP & DOHME LTD SHOTTON LANE CRAMLINGTON NORTHUMBERLAND NE 23 3 JU ROYAUME-UNI Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE IMODIUM 2 mg, gélule ? Retour en haut de la page Posologie Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. · Diarrhée aiguë : La posologie habituelle est : o chez l’adulte : commencer par 2 gélules, puis après chaque selle non moulée, prendre une gélule supplémentaire, sans dépasser 8 gélules par jour. o chez l’enfant de plus de 8 ans : commencer par 1 gélule puis après chaque selle non moulée, une gélule supplémentaire, sans dépasser 6 gélules par jour. · Diarrhée chronique : La posologie habituelle est : o chez l’adulte : 1 à 3 gélules par jour. o chez l’enfant de plus de 8 ans : 1 à 2 gélules par jour Mode d’administration Voie orale. Les gélules doivent être avalées avec un verre d’eau. Dans tous les cas, se conformer strictement à la prescription médicale. Si vous avez pris plus d’IMODIUM 2 mg, gélule que vous n’auriez dû Si vous avez pris trop d’IMODIUM 2 mg, gélule, demandez immédiatement conseil à un médecin ou un hôpital. Les symptômes peuvent inclure : une accélération du rythme cardiaque, un rythme cardiaque irrégulier, des changements de votre rythme cardiaque (ces symptômes peuvent avoir des conséquences potentiellement graves et engager le pronostic vital), une raideur musculaire, des mouvements non coordonnés, une somnolence, une difficulté à uriner ou une détresse respiratoire, ou encore une diminution de la vigilance, un rétrécissement de la pupille, des ballonnements ou une constipation. Dans ce cas, il faut aller à l’hôpital pour que l’on vous administre un antidote (la naloxone). Une surveillance hospitalière devra alors être maintenue pendant au moins 48 heures. Les enfants réagissent plus fortement aux fortes doses d’IMODIUM 2 mg, gélule que les adultes. Si un enfant en prend trop ou présente l’un des symptômes mentionnés ci-dessus, contactez immédiatement un médecin. Si vous oubliez de prendre IMODIUM 2 mg, gélule Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre IMODIUM 2 mg, gélule Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables les plus fréquents (plus de 1 patient sur 100) avec le chlorhydrate de lopéramide dans la diarrhée aiguë sont la constipation, les flatulences, les maux de tête et les nausées. Les effets indésirables les plus fréquents (plus de 1 patient sur 100) avec le chlorhydrate de lopéramide dans la diarrhée chronique sont les flatulences, la constipation, les nausées et les sensations vertigineuses. Les effets indésirables suivants ont également été rapportés avec le lopéramide : · Réactions allergiques pouvant inclure des difficultés respiratoires ou pour avaler, un gonflement du visage ou des réactions cutanées (rash, urticaire, démangeaisons). · Vomissements, difficultés à digérer, sécheresse buccale, constipation sévère, douleur ou gonflement du ventre, gêne abdominale, occlusion intestinale, douleur de la langue. · Eruptions cutanées parfois sévères. · Fatigue. · Difficulté à uriner. · Somnolence, perte ou diminution de la conscience, stupeur, augmentation du tonus musculaire, difficulté à coordonner ses mouvements. · Rétrécissement de la pupille (myosis). Si vous ressentez l’un des symptômes suivants, arrêtez d'utiliser ce médicament et prévenez immédiatement votre médecin : · Réactions allergiques pouvant inclure des difficultés respiratoires ou pour avaler, un gonflement (du visage, des lèvres, de la gorge) ou des réactions cutanées (rash, urticaire, démangeaisons). · Fatigue importante, incapacité à coordonner ses mouvements ou perte de conscience. · Constipation, douleur importante ou gonflement du ventre ou occlusion intestinale. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER IMODIUM 2 mg, gélule ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament ne présente pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient IMODIUM 2 mg, gélule Retour en haut de la page · La substance active est : Chlorhydrate de lopéramide........................................................................................... 2,00 mg Quantité correspondant à lopéramide base..................................................................... 1,86 mg Pour une gélule. · Les autres composants sont : Lactose monohydraté, amidon de maïs, talc, stéarate de magnésium. Enveloppe de la gélule : Gélatine, dioxyde de titane, érythrosine, oxyde de fer jaune, bleu patenté V, oxyde de fer noir. Voir rubrique 2 « Faites attention avec IMODIUM 2 mg, gélule ». Qu’est-ce que IMODIUM 2 mg, gélule et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de gélules sous plaquettes (PVC/Aluminium) contenues dans des boîtes de 6, 12 ou 20 gélules. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page JANSSEN-CILAG 1, RUE CAMILLE DESMOULINS TSA 91003 92787 ISSY-LES-MOULINEAUX CEDEX 9 Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page JANSSEN-CILAG 1, RUE CAMILLE DESMOULINS TSA 91003 92787 ISSY-LES-MOULINEAUX CEDEX 9 Fabricant Retour en haut de la page JANSSEN-CILAG DOMAINE DE MAIGREMONT 27100 VAL DE RUEIL Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] mois AAAA. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE INDOCID 25 mg, gélule ? Retour en haut de la page Posologie RESERVE A L'ADULTE (plus de 15 ans). La posologie est fonction de l'indication et de la réponse du patient. Elle varie de 2 à 8 gélules à 25 mg par jour. DANS TOUS LES CAS, SE CONFORMER STRICTEMENT A L'ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Mode et voie d'administration Voie orale Avaler les gélules telles quelles avec un verre d'eau. Fréquence et moment auquel le médicament doit être administré Les gélules sont à prendre de préférence au milieu des repas. La posologie est à répartir en plusieurs prises. Durée du traitement DANS TOUS LES CAS, SE CONFORMER STRICTEMENT A L'ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Si vous avez pris plus de INDOCID 25 mg, gélule que vous n’auriez dû En cas de surdosage ou d'ingestion accidentelle, prévenir immédiatement un médecin. Si vous oubliez de prendre INDOCID 25 mg, gélule Sans objet. Si vous arrêtez de prendre INDOCID 25 mg, gélule Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les médicaments tels que INDOCID 25 mg, gélule pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (« infarctus du myocarde ») ou d'accident vasculaire cérébral. · Peuvent survenir: o des réactions allergiques: § cutanées de type éruption, urticaire, démangeaisons, inflammation des vaisseaux sanguins, rougeur, exceptionnellement: éruption cutanée lors d'une exposition au soleil; § respiratoires de type crise d'asthme, œdème pulmonaire; § générales, brusque gonflement du visage et du cou (œdème de Quincke). o rarement, un décollement de la peau pouvant rapidement s'étendre de façon très grave à tout le corps, o rarement, jaunisse. · Dans certains cas rares, il est possible que survienne une hémorragie digestive (voir rubrique « Mises en garde spéciales »). Celle-ci est d'autant plus fréquente que la posologie utilisée est élevée. Dans tous ces cas, arrêter le traitement et avertir un médecin · Peuvent survenir également : o des troubles digestifs: maux d'estomac, nausées, vomissements, diarrhée, constipation, o des maux de tête, vertiges, fatigue intense, confusion mentale, syncope, somnolence, insomnie, angoisse, convulsions, o des troubles psychiques: délires, hallucinations, o des troubles neurologiques: atteinte des nerfs des membres, mouvements involontaires, faiblesse musculaire et plus rarement, fourmillements, difficultés d'élocution, o des troubles visuels: rarement, douleurs des orbites, vision trouble, o des troubles du fonctionnement des reins, o des troubles de l'audition: rarement, surdité, o des troubles cardiaques: rarement, hypo ou hypertension, palpitations, douleur thoracique, troubles du rythme, œdèmes périphériques, o une augmentation du nombre de crises convulsives chez les patients épileptiques; une aggravation d'une maladie de Parkinson, o une chute des cheveux, o une douleur au niveau des seins ou une augmentation de leur volume; des saignements vaginaux, o fièvre, transpiration, rougeur du visage, saignements de nez. Dans tous ces cas, avertir votre médecin · Des cas d'ulcères ou de perforations gastro-intestinaux ont pu être observés. · Ont été observées également des modifications des bilans sanguins (augmentation du taux de sucre ou de potassium, baisse du taux de globules blancs, globules rouges et des plaquettes), hépatique et rénal, pouvant être graves. Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER INDOCID 25 mg, gélule ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte. Sans précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient INDOCID 25 mg, gélule Retour en haut de la page · La substance active est : Indométacine......................................................................................................................... 25 mg Pour une gélule. · Les autres composants sont : Contenu de la gélule : Lécithine (liquide concentré), lactose, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium. Composition de l’enveloppe de la gélule : gélatine, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer jaune (E172). Qu’est-ce que INDOCID 25 mg, gélule et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page H.A.C. PHARMA 43-45 AVENUE DE LA COTE DE NACRE PERICENTRE II 14000 CAEN Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page H.A.C. PHARMA 43-45 AVENUE DE LA COTE DE NACRE PERICENTRE II 14000 CAEN Fabricant Retour en haut de la page ALLPHAMED PHARBIL ARZNEIMITTEL GMBH HILDEBRANDSTR. 10-12 37081 GÖTTINGEN ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [À compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Sans objet. Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE VOGALENE 15 mg, gélule ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie La posologie est à adapter en fonction de l’horaire et de l’intensité des troubles digestifs. Cesser le traitement dès la disparition des symptômes. La durée de traitement maximale recommandée est de 5 jours. Adultes et enfants de plus de 12 ans : La dose maximale recommandée est de 15 à 30 mg par jour. Prendre 1 gélule par prise et jusqu’à 2 prises par jour, soit une dose journalière de 1 à 2 gélules au maximum en 2 prises par jour. Enfants (de 6 à 12 ans) : La dose maximale recommandée est de 7,5 à 15 mg/jour. Ceci correspond à une dose journalière d’1 gélule par jour au maximum. Pour l’administration d’une dose inférieure à 15 mg par prise, la forme gélule n’est pas adaptée. Il est recommandé d’utiliser soit la forme suppositoire sécable, dosée à 5 mg, soit la forme lyophilisat oral dosée à 7,5 mg, soit la forme solution buvable. Enfants de moins de 6 ans : La forme gélule n’est pas adaptée, utiliser la forme suppositoire sécable, dosée à 5 mg ou solution buvable. Mode d’administration La prise se fera de préférence 15 minutes avant les repas avec un intervalle minimal de 4 à 6 heures entre 2 prises. Les gélules doivent être avalées avec un verre d’eau. Ne pas les ouvrir. Pour les enfants jusqu’à 12 ans, pour plus de précisions, se reporter à la posologie et au mode d’administration notés sur la notice des formes suppositoire sécable dosé à 5 mg, lyophilisat oral dosé à 7,5 mg ou solution buvable dosée à 0,1 %. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L’ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Si vous avez pris plus de VOGALENE 15 mg, gélule que vous n’auriez dû Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez de prendre VOGALENE 15 mg, gélule Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre VOGALENE 15 mg, gélule Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde : · somnolence ; · contractures musculaires, pouvant entraîner des difficultés à effectuer certains mouvements (marche, écriture, parole, …) ou des mouvements anormaux ; · malaises à type d’hypotension, lors du changement de position (allongé/debout) observés en particulier avec la forme injectable ; · sécheresse de la bouche ; · constipation ; · troubles de l’accommodation visuelle ; · rétention urinaire ; · impuissance, frigidité ; · arrêt des règles, écoulement anormal de lait, développement des seins chez l’homme, excès de prolactine (hormone provoquant la lactation) ; · éruption de boutons, rougeur de la peau ; · réactions allergiques. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOGALENE 15 mg, gélule ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOGALENE 15 mg, gélule Retour en haut de la page · La substance active est : Métopimazine...................................................................................................................... 15,0 mg Pour une gélule · Les autres composants sont : Cellulose microcristalline, amidon de blé, acide alginique, stéarate de magnésium, silice colloïdale, talc. Composition de la gélule : Dioxyde de titane, gélatine. Qu’est-ce que VOGALENE 15 mg, gélule et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Gélule blanche opaque. Boîte contenant 20 gélules. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GÉNÉRAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GÉNÉRAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Fabricant Retour en haut de la page HAUPT PHARMA LIVRON 1, RUE COMTE DE SINARD 26250 LIVRON SUR DROME ou AESICA Pharmaceuticals GmbH ALFRED-NOBEL-STRASSE 10 40789 MONHEIM ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page {mois AAAA}. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Une fois que vous aurez commencé à prendre ZESTRIL, votre médecin pourra vous demander de faire des tests sanguins. Il pourra ensuite adapter la posologie afin que vous preniez la quantité de médicament qui vous convient. Prise du médicament · Avalez le comprimé avec un verre d'eau. · Essayez de prendre le comprimé tous les jours à la même heure ; ZESTRIL peut être pris avant ou après les repas. · Prenez ZESTRIL aussi longtemps que votre médecin vous demandera de le faire, il s'agit d'un traitement au long cours. Il est important de continuer à prendre ZESTRIL tous les jours. Prise de la première dose · Soyez particulièrement prudent lors de la première prise de ZESTRIL ou en cas d'augmentation de la dose car cela peut provoquer une baisse de la pression artérielle plus importante que lors de la poursuite du traitement. · Vous pouvez avoir des vertiges ou des étourdissements qui peuvent nécessiter de vous allonger. Si cet effet survient, consultez votre médecin dès que possible. Adultes La posologie dépend de votre maladie et des autres médicaments que vous prenez. Votre médecin vous dira combien de comprimés vous devez prendre par jour. En cas de doute, demandez l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien. Hypertension artérielle · La posologie initiale recommandée est de 10 mg/jour 1 fois par jour. · La posologie d'entretien habituelle est de 20 mg/jour 1 fois par jour. Insuffisance cardiaque · La posologie initiale recommandée est de 2,5 mg/jour 1 fois par jour. · La posologie d'entretien habituelle est comprise entre 5 et 35 mg/jour 1 fois par jour. Après une crise cardiaque · La posologie initiale recommandée est de 5 mg dans les 24 heures qui suivent la crise cardiaque et le jour suivant. · La posologie d'entretien habituelle est de 10 mg/jour 1 fois par jour. Complications rénales du diabète · La dose recommandée est de 10 ou de 20 mg/jour 1 fois par jour. Si vous êtes âgé(e) ou en cas de maladie rénale ou de traitement diurétique, votre médecin pourra vous prescrire une dose plus faible que la dose habituelle. Utilisation chez les enfants et les adolescents hypertendus (âgés de 6 à 16 ans) · Le lisinopril est déconseillé chez I’enfant de moins de 6 ans ou I’enfant avec de sévères problèmes au niveau des reins. · Le médecin adaptera la posologie pour votre enfant ou adolescent. La posologie dépend du poids corporel. · Pour les enfants ou adolescents pesant entre 20 et 50 kg, la posologie initiale recommandée est de 2,5 mg en une prise par jour. · Pour les enfants ou adolescents d'un poids supérieur à 50 kg, la posologie initiale recommandée est de 5 mg en une prise par jour. Si vous avez pris plus de ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable que vous n’auriez dû : Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous avez pris plus de ZESTRIL que vous n'auriez dû, contactez un médecin ou l'hôpital le plus proche. Les effets les plus susceptibles de se produire sont les suivants : étourdissements, palpitations. Si vous oubliez de prendre ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable : Si vous oubliez de prendre une dose de ZESTRIL, prenez-la dès que possible. Toutefois, si c'est presque le moment de prendre la dose suivante, ne prenez pas la dose que vous avez oublié de prendre. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable : N'interrompez pas votre traitement, même si vous vous sentez bien, sauf si votre médecin vous le recommande. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Si vous présentez l'une des réactions suivantes, arrêtez de prendre ZESTRIL et contactez immédiatement votre médecin. · Réactions allergiques sévères (rares, observées chez 1 à 10 utilisateurs sur 10 000). Les signes peuvent être l'apparition brutale des réactions suivantes : · Gonflement de la face, des lèvres, de la langue ou de la gorge, pouvant provoquer des difficultés à avaler. · Gonflement sévère ou brutal des mains, des pieds et des chevilles. · Difficultés à respirer. · Démangeaisons sévères de la peau (avec nodules surélevés). · Troubles cutanés graves, comme une éruption ou une sensation de brûlure soudaine et inattendue, une rougeur ou une desquamation (très rares, observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000). · Infection s'accompagnant de symptômes comprenant une fièvre ou une détérioration sérieuse de l'état général ou fièvre avec des symptômes d'infection locale comprenant des problèmes au niveau de la gorge/du pharynx/de la bouche ou des problèmes urinaires (très rares, observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000). Autres effets indésirables éventuels : Fréquents (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 100) · Maux de tête. · Etourdissements ou vertiges, en particulier en cas de passage rapide en station debout. · Diarrhée. · Toux sèche persistante. · Vomissements. · Dysfonctionnement rénal (mis en évidence par un test sanguin). Peu fréquents (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 1000) · Troubles de l’humeur. · Changement de couleur des doigts ou des orteils (du bleu pâle au rouge) ou engourdissement ou fourmillements au niveau des doigts ou des orteils. · Altération du goût. · Somnolence. · Vertiges. · Troubles du sommeil. · Accident vasculaire cérébral. · Rythme cardiaque accéléré. · Ecoulement nasal. · Nausées. · Douleurs abdominales ou troubles digestifs. · Eruption cutanée ou démangeaisons. · Impossibilité d'obtenir une érection (impuissance). · Sensation de fatigue ou de faiblesse (perte de force). · Une chute excessive de la pression artérielle peut survenir dans les cas suivants : maladie coronaire ; rétrécissement de l'aorte (artère du cœur), de l'artère rénale ou des valves cardiaques ; épaississement du muscle cardiaque. Vous pourriez dans ce cas ressentir des étourdissements ou des vertiges, en particulier en cas de passage rapide en position debout. · Modifications des tests sanguins indiquant le fonctionnement de votre foie et de vos reins. · Crise cardiaque. · Hallucinations visuelles et/ou auditives. Rares (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 10 000) · Confusion mentale. · Eruption avec gonflement (urticaire). · Sécheresse de la bouche. · Perte de cheveux. · Psoriasis (affection cutanée). · Altération de l’odorat. · Gonflement de la poitrine chez l'homme. · Modifications de certaines cellules ou de certains éléments de votre sang. Occasionnellement, votre médecin peut vous prescrire des prises de sang, afin de rechercher les effets que ZESTRIL provoque sur votre sang. Les signes peuvent être les suivants : sensation de fatigue, pâleur cutanée, mal de gorge, élévation de la température (fièvre), douleurs articulaires et musculaires, gonflement des articulations ou des glandes ou sensibilité au soleil. · Faibles taux de sodium dans votre sang (les symptômes peuvent être fatigue, mal de tête, nausée, vomissement). · Insuffisance rénale subite. Très rares (observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000) · Sinusite (sensation de douleur ou de congestion en arrière des joues et des yeux). · Respiration sifflante. · Diminution du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie). Les signes peuvent être une sensation de faim ou de faiblesse, une transpiration et un rythme cardiaque accéléré. · Inflammation des poumons. Les signes peuvent être une toux, une sensation d'essoufflement et une élévation de la température (fièvre). · Coloration jaune de la peau ou du blanc des yeux (jaunisse). · Inflammation du foie. Elle peut entraîner une perte d'appétit, une coloration jaune de la peau et des yeux et une coloration foncée des urines. · Inflammation du pancréas. Elle peut entraîner des douleurs modérées à sévères dans l'estomac. · Troubles cutanés graves. Les symptômes comprennent une rougeur, la formation de cloques et une desquamation. · Transpiration. · Emission d'urine anormalement faible, voire nulle. · Insuffisance hépatique. · Gonflements. · Inflammation de l'intestin. Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) · Symptômes de dépression. · Evanouissement. Les effets indésirables chez les enfants semblent comparables à ceux observés chez les adultes. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage et sur la plaquette après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. A conserver à une température ne dépassant pas 30°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Lisinopril anhydre............................................................................................................... 5,00 mg Sous forme de lisinopril dihydraté Pour un comprimé sécable · Les autres composants sont : Mannitol, hydrogénophosphate de calcium dihydraté, amidon de maïs, amidon prégélatinisé, stéarate de magnésium, oxyde de fer rouge (E172) Qu’est-ce que ZESTRIL 5 mg, comprimé sécable et contenu de l’emballage extérieur ? Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé rond, rose, non pelliculé, biconvexe, avec “♥ 5” sur une face et une barre de sécabilité sur l’autre face. Diamètre de 6 mm. Le comprimé peut être divisé en doses égales. ZESTRIL est disponible : · en boites de 14, 20, 28, 28x1, 30, 42, 50, 56, 60, 84, 98, 100, 400 et 500 comprimés sous plaquettes · en boites de 14, 28, 42, 56, 84 et 98 comprimés sous plaquettes calendaires · en flacon (PEHD) de 20, 30, 50, 100 et 400 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Fabricant Retour en haut de la page AVARA REIMS PHARMACEUTICAL SERVICES PARC INDUSTRIEL DE LA POMPELLE CHEMIN DE VRILLY 51100 REIMS Ou ASTRAZENECA UK LTD SILK ROAD BUSINESS PARK MACCLESFIELD CHESHIRE SK10 2NA ROYAUME-UNI Ou ASTRAZENECA AB GÄRTUNAVÄGEN SE-151 85 SÖDERTÄLJE SUEDE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [à compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT PRENDRE ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou de votre pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou de votre pharmacien en cas de doute. Prenez ZINNAT après un repas. Ceci contribuera à rendre le traitement plus efficace. Avalez les comprimés de ZINNAT entiers avec un peu d’eau. Ne mâchez pas, n’écrasez pas et ne coupez pas les comprimés : ceci peut diminuer l’efficacité du traitement. Dose recommandée Adultes La dose recommandée de ZINNAT est de 250 mg à 500 mg deux fois par jour, en fonction de la sévérité et du type d’infection. Enfants La dose recommandée de ZINNAT est de 10 mg/kg deux fois par jour (jusqu'à un maximum de 125 mg deux fois par jour) à 15 mg/kg deux fois par jour (jusqu'à un maximum de 250 mg deux fois par jour) en fonction de la sévérité et du type d’infection ZINNAT est déconseillé chez l’enfant âgé de moins de 3 mois car la sécurité et l’efficacité ne sont pas connues dans cette tranche d’âge. En fonction du type d’infection à traiter et de la façon dont vous ou votre enfant répondez au traitement, la dose initiale peut être modifiée ou plus d’un cycle de traitement peut s’avérer nécessaire. Si vous souffrez d’un problème rénal, votre médecin pourra adapter votre dose. Parlez-en à votre médecin si tel est votre cas. Si vous avez pris plus de ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû Si vous avez pris plus de ZINNAT que vous n’auriez dû, vous pouvez présenter des troubles neurologiques, en particulier vous avez un risque plus important d'avoir des convulsions. N’attendez pas. Contactez immédiatement votre médecin ou le service d’urgences de l’hôpital le plus proche. Si possible, montrez-leur la boîte de ZINNAT. Si vous oubliez de prendre ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Prenez simplement la dose suivante à l’heure habituelle. Si vous arrêtez de prendre ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé N’arrêtez pas votre traitement par ZINNAT sans avis médical Il est important de prendre le traitement par ZINNAT dans son intégralité. N’arrêtez pas votre traitement à moins que votre médecin ne vous le conseille - même si vous vous sentez mieux. L’infection peut revenir si vous ne terminez pas le traitement dans son intégralité. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Situations nécessitant votre vigilance Un petit nombre de patients traités par ZINNAT ont développé des réactions allergiques ou des réactions cutanées potentiellement graves. Les symptômes de ces réactions incluent : · réactions allergiques sévères. Les signes incluent une éruption cutanée associant des lésions surélevées et des démangeaisons, un gonflement, parfois au niveau du visage ou de la bouche, provoquant des difficultés pour respirer. · éruption cutanée, pouvant former des cloques, ayant l’apparence de petites cibles (petites tâches centrales foncées entourées d’une zone plus pâle bordée d’un anneau sombre). · éruption cutanée étendue avec cloques et la peau qui pèle. (Ces signes peuvent être ceux d’un syndrome de Stevens-Johnson ou d’une nécrose épidermique toxique). Autres situations nécessitant votre vigilance pendant votre traitement par ZINNAT · infections fongiques. Des médicaments tels que ZINNAT peuvent provoquer une prolifération de levures (Candida) dans l’organisme, responsables d’infections fongiques (telles que le muguet). Cet effet indésirable est plus susceptible de survenir au cours d’un traitement prolongé par ZINNAT. · diarrhée sévère (colite pseudomembraneuse). Des médicaments tels que ZINNAT peuvent provoquer une inflammation du côlon (gros intestin), responsable de diarrhées sévères, habituellement accompagnées de sang et de mucus, de douleurs abdominales et de fièvre. · réaction de Jarisch-Herxheimer. Certains patients peuvent avoir une température élevée (fièvre), des frissons, des maux de tête, des douleurs musculaires et une éruption cutanée au cours d’un traitement de la maladie de Lyme par ZINNAT. Ces symptômes sont connus sous le nom de réaction de Jarisch-Herxheimer. Les symptômes durent habituellement de quelques heures à une journée. Contactez immédiatement un médecin ou un(e) infirmier(ère) si vous présentez l’un de ces symptômes. Effets indésirables fréquents Ceux-ci peuvent concerner jusqu’à 1 personne sur 10 : · infections fongiques (telles que candidoses) · maux de tête · sensations vertigineuses · diarrhées · nausées · douleurs abdominales Effets indésirables fréquents pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · augmentation d’un certain type de globules blancs (hyperéosinophilie) · augmentation du taux des enzymes du foie Effets indésirables peu fréquents Ceux-ci peuvent concerner jusqu’à 1 personne sur 100 : · vomissements · éruptions cutanées Effets indésirables peu fréquents pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · diminution du nombre de plaquettes dans le sang (cellules participant à la coagulation du sang) · diminution du nombre de globules blancs · test de Coombs positif Autres effets indésirables D’autres effets indésirables sont survenus chez un très petit nombre de patients, mais leur fréquence exacte est indéterminée : · diarrhées sévères (colite pseudomembraneuse) · réactions allergiques · réactions cutanées (dont des réactions sévères) · température élevée (fièvre) · jaunissement du blanc des yeux ou de la peau · inflammation du foie (hépatite) Effets indésirables pouvant être révélés lors d'une analyse de sang : · destruction trop rapide des globules rouges (anémie hémolytique) Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. Conserver dans l’emballage d'origine, à une température ne dépassant pas 30°C. Ne prenez pas ZINNAT si les comprimés sont ébréchés ou s’il y a un autre signe visible de détérioration. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d'éliminer les médicaments que vous n'utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé Retour en haut de la page · La substance active est : Céfuroxime (sous forme de céfuroxime axétil)............................................................. 250,00 mg Pour un comprimé pelliculé. · Les autres composants sont : Cellulose microcristalline, croscarmellose sodique type A, laurylsulfate de sodium, huile végétale hydrogénée, silice colloïdale anhydre, hypromellose, propylèneglycol, parahydroxybenzoate de méthyle (E218), parahydroxybenzoate de propyle (E216) et Opaspray blanc M-1-7120J (contenant du dioxyde de titane (E171) et du benzoate de sodium (E211)) Qu’est-ce que ZINNAT 250 mg, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Les comprimés de ZINNAT 250 mg sont blancs, pelliculés, de forme oblongue, lisse sur une face et gravés avec « GXES7 » sur l’autre face. Les comprimés de ZINNAT 250 mg sont contenus dans des plaquettes en aluminium. Chaque boîte contient 6, 8, 10, 12, 14, 16, 20, 24 ou 50 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, rue francois jacob 92500 rueil-malmaison Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, rue francois jacob 92500 rueil-malmaison Fabricant Retour en haut de la page GLAXOSMITHKLINE MANUFACTURING S.p.A VIA A. FLEMING 2 37135 VERONE Italie OU GLAXO OPERATIONS UK LTD TRADING AS WELLCOME OPERATIONS Harmire road Barnard Castle County DURHAM - DL12 8DT ROYAUME-UNI Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). CONSEILS / EDUCATION SANITAIRE QUE SAVOIR SUR LES ANTIBIOTIQUES ? Les antibiotiques sont efficaces pour combattre les infections dues aux bactéries. Ils ne sont pas efficaces contre les infections dues aux virus. Aussi, votre médecin a choisi de vous prescrire cet antibiotique parce qu’il convient précisément à votre cas et à votre maladie actuelle. Les bactéries ont la capacité de survivre ou de se reproduire malgré l’action d’un antibiotique. Ce phénomène est appelé résistance : il rend certains traitements antibiotiques inactifs. La résistance s’accroît par l’usage abusif ou inapproprié des antibiotiques. Vous risquez de favoriser l’apparition de bactéries résistantes et donc de retarder votre guérison ou même de rendre inactif ce médicament, si vous ne respectez pas : · la dose à prendre, · les moments de prise, · et la durée de traitement. En conséquence, pour préserver l’efficacité de ce médicament : 1- N’utilisez un antibiotique que lorsque votre médecin vous l’a prescrit. 2- Respectez strictement votre ordonnance. 3- Ne réutilisez pas un antibiotique sans prescription médicale même si vous pensez combattre une maladie apparemment semblable. 4- Ne donnez jamais votre antibiotique à une autre personne, il n’est peut-être pas adapté à sa maladie. 5- Une fois votre traitement terminé, rapportez à votre pharmacien toutes les boîtes entamées pour une destruction correcte et appropriée de ce médicament. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
. COMMENT UTILISER HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin ou de votre pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou de votre pharmacien en cas de doute. Posologie RESERVE A L'ADULTE ET A L'ENFANT DE PLUS 30 MOIS. La dose recommandée est de 2 pulvérisations, 3 fois par jour. Mode d'administration Voie orale. AGITER AVANT CHAQUE UTILISATION. Pour pulvériser, il suffit de faire pivoter la tige de l'embout d'un quart de tour PULVERISER EN TENANT LE FLACON DEBOUT. Durée de traitement Le traitement ne dépassera pas 5 jours. Si vous avez utilisé plus de HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé que vous n’auriez dû : Sans objet. Si vous oubliez d’utiliser HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé : Sans objet. Si vous arrêtez d’utiliser HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé : Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables sont mentionnés ci-dessous, par ordre de fréquence : Très rare (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 10000) : Œdème des lèvres, urticaire, éruptions cutanées, érythème, œdème de Quincke. La présence de parahydroxybenzoate de méthyle (E218) peut être à l'origine de réactions allergiques. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage ou le flacon. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ne pas exposer à la chaleur. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé Retour en haut de la page · La substance active est : · Biclotymol …………………………………………………………………………………………….750 mg Pour 30g. · Les autres composants sont : Alcool benzylique, édétate disodique, parahydroxybenzoate de méthyle, huile essentielle de badiane, glycyrrhizinate d’ammonium, saccharine sodique, cellulose dispersible, lécithine de soja, glycérol, éthanol à 96 %, eau purifiée, azote. Excipients à effet notoire : parahydroxybenzoate de méthyle (E218). Qu’est-ce que HEXASPRAY, collutoire en flacon pressurisé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de collutoire en flacon pressurisé de 8, 10, 15, 20 ou 30 g. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page BOUCHARA-RECORDATI 70 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE IMMEUBLE LE WILSON 92800 PUTEAUX FRANCE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRES BOUCHARA-RECORDATI 70 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE IMMEUBLE LE WILSON 92800 PUTEAUX FRANCE Fabricant Retour en haut de la page LABORATOIRES BOUCHARA-RECORDATI PARC MECATRONIC 03410 SAINT VICTOR Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : novembre 2018. Autres Sans objet. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
1 à 2 comprimé(s) ou sachets-dose par prise, pas plus de 12 comprimés ou sachets-dose par jour. Ou 1 cuillère à soupe par prise, pas plus de 6 cuillères par jour, si vous choisissez la suspension buvable en flacon. Le transit intestinal peut être perturbé par le traitement au Ce médicament en raison des ions d'aluminium et de magnésium qu'il contient. Ce médicament peut accélérer le transit et provoquer des diarrhées, ou, au contraire, le ralentir, et entraîner une constipation. On peut parfois observer une baisse des phosphates dans le plasma sanguin. Il est rare qu'un surdosage de Maalox ait un fort retentissement sur l'organisme. Les signes cliniques d'un surdosage de Maalox sont des nausées, des vomissements, une baisse de la pression artérielle, une diminution des réflexes, une somnolence, une hypoventilation, et parfois des troubles du rythme cardiaque. (1)
1 comprimé par jour 50 mg de fer élément et 350 µg d'acide folique pendant les 2 derniers trimestres de la grossesse (ou à partir du 4ème mois). Avaler le comprimé en entier. Ne pas sucer, croquer ou garder le comprimé dans la bouche. A prendre avec un grand verre d'eau, de préférence avant les repas mais l'horaire de la prise est à adapter en fonction de la tolérance digestive. (1)
1 comprimé par jour partir de la 24e semaine de grossesse, à prendre de préférence avant le repas, mais l'horaire de la prise est à adapter en fonction de la tolérance digestive. • Possibilité de troubles gastro-intestinaux : états nauséeux, constipation, diarrhée. • Coloration habituelle des selles en noir ou gris-noir. • Rarement, réactions allergiques cutanées. Grossesse : Des données cliniques négatives portant sur quelques milliers de femmes traitées, semblent exclure un effet néfaste du sulfate ferreux. En conséquence, ce médicament dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant la grossesse. Allaitement : Le passage du sulfate ferreux dans le lait maternel n'a pas été évalué, mais compte tenu de la nature de la molécule, l'administration de ce médicament est possible chez la femme qui allaite. (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER FRAKIDEX, Collyre en solution ? Retour en haut de la page N’utilisez jamais FRAKIDEX, Collyre en solution : · si vous êtes allergique aux substances actives ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6. · si vous avez une infection débutante de l’œil d’origine virale, · si vous avez une infection mycosique. Ce médicament NE DOIT GENERALEMENT PAS ETRE UTILISE, sauf avis contraire de votre médecin, pendant la grossesse et l’allaitement. EN CAS DE DOUTE IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L’AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant d’utiliser FRAKIDEX, Collyre en solution. Contactez votre médecin en cas de vision floue ou d’autres troubles visuels. Mises en garde spéciales · Ne pas injecter, ne pas avaler. · Chez certains patients ce médicament peut entraîner une augmentation de la pression oculaire et/ou un retard de cicatrisation. · Adressez-vous à votre médecin si vous ressentez un gonflement et une prise de poids au niveau de votre tronc et de votre visage car ce sont généralement les premières manifestations d’un syndrome appelé le syndrome de Cushing. L’inhibition de la fonction des glandes surrénales peut se développer après l’arrêt d’un traitement à long terme ou intensif avec Frakidex, collyre en solution. Parlez-en à votre médecin avant d’arrêter le traitement par vous-même. Ces risques sont particulièrement importants chez les enfants et les patients traités par un médicament appelé ritonavir ou cobicistat. Précautions d’emploi · En l’absence d’amélioration rapide des symptômes ou en cas d’apparition de symptômes anormaux, consulter votre médecin. · En cas de traitement prolongé, une surveillance par l’ophtalmologiste est nécessaire. · Ne prolongez pas le traitement au-delà de la date prévue sans avis médical (risque de passage non négligeable du corticoïde dans la circulation générale). · En cas de traitement concomitant par un autre collyre, instiller les collyres à 15 minutes d’intervalle. · Le port des lentilles de contact est à éviter durant le traitement. · Ce médicament contient 0,50 mg de chlorure de benzalkonium par volume unitaire (5 mL). Le chlorure de benzalkonium peut être absorbé par les lentilles de contact souples et changer leur couleur. Retirer les lentilles de contact avant application et attendre au moins 15 minutes avant de les remettre. Le chlorure de benzalkonium peut également provoquer une irritation des yeux, surtout si vous présentez un syndrome de l’œil sec ou des troubles de la cornée (couche transparente à l’avant de l’œil). En cas de sensation anormale, de picotements ou de douleur dans les yeux après avoir utilisé ce médicament, contactez votre médecin. · Ce médicament contient 5 mg de phosphates par volume unitaire (5 mL) (voir rubrique 4 « quels sont les effets indésirables éventuels ? »). · Ne touchez pas l’œil avec l’extrémité du flacon. · Rebouchez le flacon soigneusement après usage. Attention : cette spécialité contient un principe actif (dexaméthasone) pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors de contrôles antidopage. Enfants et adolescents Sans objet. Autres médicaments et FRAKIDEX, Collyre en solution Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament, y compris un médicament obtenu sans ordonnance, et notamment tout autre traitement par un collyre. Informez votre médecin si vous utilisez du ritonavir ou du cobicistat, car cela peut augmenter la quantité de dexaméthasone dans votre sang. FRAKIDEX, Collyre en solution avec des aliments Sans objet. Grossesse et allaitement Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. L’utilisation de ce médicament est déconseillée pendant la grossesse. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, consultez rapidement votre médecin : lui seul pourra adapter le traitement à votre état. Si le médecin vous prescrit ce médicament, l’allaitement est déconseillé. Conduite de véhicules et utilisation de machines La vision peut être brouillée pendant quelques minutes après l’instillation. FRAKIDEX, Collyre en solution contient du chlorure de benzalkonium et des phosphates Ce médicament contient 0,50 mg de chlorure de benzalkonium par volume unitaire (5 mL). Ce médicament contient 5 mg de phosphates par volume unitaire (5 mL). (voir rubrique 4 « quels sont les effets indésirables éventuels ? » ). 3. COMMENT UTILISER FRAKIDEX, Collyre en solution ? Retour en haut de la page Posologie Instillez 1 goutte dans l’œil malade : · toutes les heures en début de traitement dans les affections aiguës sévères, · 3 à 6 fois par jour, dans les autres cas. Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Mode d’administration Voie ophtalmique. Lavez-vous soigneusement les mains avant de pratiquer l’instillation. Evitez le contact de l’embout du récipient avec l’œil et les paupières. Flacon avec bouchon perforateur : avant la première utilisation, vissez à fond le bouchon sur le flacon afin de le percer avec le picot interne du bouchon. Flacon compte-goutte : avant la première utilisation, enlevez la bague de sécurité. En regardant vers le haut et en tirant la paupière inférieure vers le bas, instiller 1 goutte de collyre dans le cul-de-sac conjonctival inférieur de l’œil malade. Après l’instillation, fermez l’œil quelques secondes. Puis, appuyez avec un doigt sur le coin de votre œil situé du côté du nez pendant 2 minutes. Cela permettra de réduire le passage des substances actives dans le reste de votre organisme. L’œil fermé, essuyez proprement l’excédent. Rebouchez le flacon après chaque utilisation. Fréquence d'administration · toutes les heures en début de traitement dans les affections aiguës sévères, · 3 à 6 fois par jour, dans les autres cas. Durée du traitement En moyenne, 7 jours. Un traitement plus long peut vous être prescrit par votre ophtalmologiste. Si vous avez utilisé plus de FRAKIDEX, Collyre en solution que vous n’auriez dû Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Des instillations répétées de façon prolongée peuvent entraîner un passage systémique non négligeable des principes actifs, une hypertension oculaire, une opacification du cristallin, une kératite superficielle, et un retard de cicatrisation. Si vous oubliez d’utiliser FRAKIDEX, Collyre en solution Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre. Si vous arrêtez d’utiliser FRAKIDEX, Collyre en solution Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. · Sensation de brûlure, larmoiement, gêne, rougeur oculaire (conjonctivale) ; · Allergie ; · En usage prolongé, risque d’augmentation de la pression oculaire, d’opacification du cristallin, de kératite superficielle ; · Retard de cicatrisation, de surinfection ; · Fréquence indéterminée : vision floue ; · Problèmes hormonaux : croissance de poils sur le corps (en particulier chez les femmes), faiblesse et fonte musculaire, vergetures (taches) violacées sur la peau, augmentation de la pression artérielle, règles irrégulières ou absence de règles, changements des niveaux de protéines et de calcium dans votre corps, croissance ralentie chez les enfants et les adolescents et gonflement et gain de poids au niveau du corps et du visage (appelés « syndrome de Cushing ») (voir rubrique 2 « Avertissements et précautions »). Si vous présentez des dommages sévères de la cornée (couche transparente située à l’avant de l’œil) les phosphates peuvent causer, dans de très rares cas, des troubles de la vision en raison de l’accumulation de calcium pendant le traitement (nuage) (voir rubrique 2 « Avertissements et précautions »). Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER FRAKIDEX, Collyre en solution ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le conditionnement extérieur. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament est à utiliser dans les 15 jours après ouverture. Ce médicament est à conserver à une température inférieure à 25°C. N’utilisez pas ce médicament si vous remarquez des signes visibles de détérioration. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient FRAKIDEX, Collyre en solution Retour en haut de la page · Les substances actives sont : Sulfate de framycétine............................................................................................... 630 000 UI Phosphate sodique de dexaméthasone............................................................................. 0,10 g Pour 100 mL de collyre. · Les autres composants sont : Chlorure de benzalkonium, citrate de sodium, polysorbate 80, hydroxyde de sodium et/ou acide chlorhydrique dilué, eau purifiée. Qu’est-ce que FRAKIDEX, Collyre en solution et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de collyre. Boîte de 1 flacon de 5 mL. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN 416 RUE SAMUEL MORSE – CS99535 34961 MONTPELLIER CEDEX 2 Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN 416 RUE SAMUEL MORSE – CS99535 34961 MONTPELLIER CEDEX 2 Fabricant Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN ZI RIPOTIER HAUT 07200 AUBENAS Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] {Mois AAAA}. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Conseil d’éducation sanitaire : QUE SAVOIR SUR LES ANTIBIOTIQUES ? Les antibiotiques sont efficaces pour combattre les infections dues aux bactéries. Ils ne sont pas efficaces contre les infections dues aux virus. Aussi, votre médecin a choisi de vous prescrire cet antibiotique parce qu’il convient précisément à votre cas et à votre maladie actuelle. Les bactéries ont la capacité de survivre ou de se reproduire malgré l’action d’un antibiotique. Ce phénomène est appelé résistance : il rend certains traitements antibiotiques inactifs. La résistance s’accroît par l’usage abusif ou inapproprié des antibiotiques. Vous risquez de favoriser l’apparition de bactéries résistantes et donc de retarder votre guérison ou même de rendre inactif ce médicament, si vous ne respectez pas : · la dose à prendre, · les moments de prise, · et la durée du traitement. En conséquence, pour préserver l’efficacité de ce médicament : 1- N’utilisez un antibiotique que lorsque votre médecin vous l’a prescrit. 2- Respectez strictement votre ordonnance. 3- Ne réutilisez pas un antibiotique sans prescription médicale même si vous pensez combattre une maladie apparemment semblable. 4- Ne donnez jamais votre antibiotique à une autre personne, il n’est peut-être pas adapté à sa maladie. 5- Une fois votre traitement terminé, rapportez à votre pharmacien toutes les boîtes entamées pour une destruction correcte et appropriée de ce médicament. (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Liste des informations nécessaires avant la prise du médicament Sans objet. Contre-indications N’utilisez jamais GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion : · si vous êtes allergique (hypersensible) au maïs (car le sucre contenu dans ce médicament est dérivé du maïs) ; · si vous avez un taux de sucre dans le sang supérieur à la normale (hyperglycémie non contrôlée) ; · si vous souffrez d’un diabète non correctement traité donnant lieu à des taux de sucre anormalement élevés dans le sang (diabète décompensé) ; · en cas d’intolérance au glucose comme dans les situations de stress métabolique (lorsque le métabolisme du corps ne fonctionne pas correctement, par exemple, en raison d’une maladie grave) ; · en cas de coma hyperosmolaire (perte de connaissance). Ce type de coma peut survenir si vous souffrez de diabète et ne recevez pas suffisamment de médicaments ; · si vous avez un taux de lactate anormalement élevé dans le sang (hyperlactatémie) ; · si vous avez trop de substances acides dans le sang (acidose métabolique) ; · en cas de rétention d’eau (inflation hydrique/surcharge liquidienne) notamment si vous avez une insuffisance cardiaque aiguë ou si vous avez de l'eau dans les poumons (œdème pulmonaire). Ce médicament ne doit pas être utilisé pour traiter les déficits en liquides sans une administration adéquate de sels minéraux (voir également « Mises en garde et précautions d’emploi » ci-dessous). Si un autre médicament est ajouté à votre solution pour perfusion, lisez la notice d’information de ce médicament. Vous pouvez ainsi vérifier si ce médicament ne représente pas un danger pour vous. EN CAS DE DOUTE IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Précautions d'emploi ; mises en garde spéciales Mises en garde et précautions d’emploi Adressez-vous à votre médecin, à votre pharmacien, ou à votre infirmier/ère avant d’utiliser GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion. L’administration de ce médicament doit se faire sous surveillance médicale. La solution pour perfusion GLUCOSE 10 % B.BRAUN est une solution HYPERTONIQUE (dont la concentration est supérieure à celle du plasma sanguin). Si des signes d'irritation veineuse ou d'inflammation de la paroi d'une veine apparaissent au niveau du site de perfusion, votre médecin envisagera de changer de site de perfusion. Votre médecin prendra des précautions particulières avec vous en cas d'atteinte de votre barrière hématoencéphalique, car dans ce cas ce médicament peut entraîner une augmentation de la pression dans votre crâne ou votre moelle épinière. Ce médicament ne doit pas être utilisé pour traiter les déficits en liquides sans une administration adéquate de sels minéraux (voir également « N'utilisez jamais GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion » ci-dessus) parce qu'il peut entraîner une diminution significative de la concentration en sels minéraux de votre sang (en particulier en potassium et en sodium) et des problèmes cardiaques et cérébraux. Aucun ajout de médicaments ne doit être fait sans avoir préalablement vérifié la compatibilité avec la solution et le contenant. Lorsqu’un médicament compatible est ajouté à la solution de glucose, le mélange doit être administré immédiatement. Informez votre médecin si vous souffrez ou avez souffert des troubles suivants : · allergie au maïs (ce médicament contient du sucre dérivé du maïs) ; · insuffisance cardiaque ; · insuffisante respiratoire (maladie des poumons) ; · insuffisance rénale ; · diminution de la production d’urine (oligurie ou anurie) ; · excès d’eau dans le corps (intoxication à l’eau) ; · taux faible de sodium dans le sang (hyponatrémie) ; · lésion de la tête dans les dernières 24 heures ; · une pression élevée dans le crâne (hypertension intracrânienne) ; · attaque cérébrale due à un caillot dans un vaisseau sanguin du cerveau (accident vasculaire ischémique). Lorsque cette perfusion vous sera administrée, votre médecin effectuera des prélèvements sanguins et d’urines pour contrôler : · les concentrations en substances chimiques dans votre sang comme le potassium (électrolytes plasmatiques), · les taux de sucre (glucose), · la quantité de fluide dans votre corps (votre équilibre hydrique), · l'acidité du sang et des urines (changements dans l'équilibre acido-basique). GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion contient du sucre (glucose) et peut provoquer un taux élevé de sucre dans le sang (hyperglycémie). Dans ce cas, votre médecin pourra : · ajuster le débit de la perfusion, · vous administrer de l’insuline pour réduire le taux de sucre dans votre sang, · vous donner du potassium si nécessaire. Ceci est particulièrement important : · si vous êtes diabétique. Votre médecin ajustera éventuellement la dose de votre traitement hypoglycémiant. · si vos reins ne fonctionnent pas normalement. · si vous avez eu récemment un accident vasculaire cérébral (AVC ischémique aigu). Des taux élevés de sucre dans le sang peuvent aggraver les effets de l’accident et affecter la guérison. Enfants et adolescents GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion doit être administré avec précaution. Le débit et le volume de perfusion dépendent de l’âge, du poids, de l’état clinique et des paramètres métaboliques de l’enfant. Les nouveau-nés, en particulier les prématurés et ceux présentant un faible poids à la naissance, ont un risque élevé de présenter des taux faibles ou élevés de sucre dans le sang (hypo- ou hyperglycémie) après une perfusion de solution contenant du glucose. Ils nécessitent de ce fait une surveillance étroite pendant l’administration intraveineuse de solutions de glucose pour assurer un contrôle adéquat du taux de sucre dans le sang et éviter la survenue d'éventuels effets néfastes à long terme. Un faible taux de sucre dans le sang chez les nouveau-nés peut entraîner des convulsions (contractions involontaires du corps), un coma (altération totale de l’état de conscience), et des lésions au niveau du cerveau. Des taux élevés de sucre ont été associés à des saignements au niveau du cerveau, des infections liées à des bactéries ou à des champignons d’installation tardive, des atteintes des yeux (rétinopathie du prématuré), des infections du tractus intestinal (entérocolite nécrosante), des affections des poumons (dysplasies broncho-pulmonaires), des hospitalisations prolongées et des décès. Les enfants, les nourrissons et les nouveau-nés qui reçoivent du GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion présentent plus de risques de développer de faibles taux de sodium dans le sang (hyponatrémie hypoosmotique) et un trouble appelé encéphalopathie hyponatrémique (trouble affectant le cerveau en raison de faibles taux de sodium). Lors de l’administration à un nouveau-né, la poche de solution doit être connectée à une pompe pour perfusion qui permet l’administration exacte de la quantité de solution requise dans un intervalle de temps défini. Votre médecin ou votre infirmier/ère contrôlera le dispositif afin d’assurer une administration sécurisée. Interactions avec d'autres médicaments Autres médicaments et GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion Informez votre médecin si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. En cas d’ajout de médicament, votre médecin vérifiera leur compatibilité avec la solution avant que ce médicament ne vous soit administré. GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion ne doit pas être administré simultanément avec du sang au moyen du même dispositif de perfusion. Interactions avec les aliments et les boissons Sans objet. Interactions avec les produits de phytothérapie ou thérapies alternatives Sans objet. Utilisation pendant la grossesse et l'allaitement Grossesse, allaitement et fertilité Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin avant de prendre ce médicament. Compte tenu des données disponibles, l'utilisation chez la femme enceinte ou qui allaite est possible. Sportifs Sans objet. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines Sans objet. Liste des excipients à effet notoire Sans objet. 3. COMMENT UTILISER GLUCOSE 10 %B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Instructions pour un bon usage Sans objet. Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement Posologie Votre médecin veillera à un débit de perfusion adapté à vos besoins et à votre état clinique. SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Mode d’administration Perfusion intraveineuse. SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Fréquence d'administration SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Durée du traitement SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Symptômes et instructions en cas de surdosage Si vous avez reçu plus de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion que vous n'auriez dû: Un surdosage en glucose, une administration prolongée ou une perfusion trop rapide peuvent entraîner : · une hyperglycémie (taux anormalement élevé de sucre dans le sang), · une glycosurie (taux anormalement élevé de sucre dans les urines), · une hyperosmolarité (concentration anormalement élevée des éléments dissous dans le sang), · des troubles de la conscience ou une perte de connaissance voire un coma dus à des taux de glucose extrêmement élevés dans le sang ou une hyperosmolarité, · un œdème cérébral engageant le pronostic vital (encéphalopathie hyponatrémique). Les symptômes comprennent des convulsions, nausées, léthargie et vomissements (voir rubriques 2 et 4), · une déshydratation (déficit en liquide), · une polyurie osmotique (augmentation de la quantité d’urine émise). · une tension accrue de la peau, · une lourdeur et un gonflement des jambes (congestion veineuse), · un œdème (gonflement des tissus), · une intoxication hydrique avec hyponatrémie (intoxication par l’eau avec des taux anormalement bas de sodium dans le sang), · des troubles de l’équilibre acido-basique. L’hyperglycémie sévère et l’hyponatrémie peuvent être fatales. D’autres signes de surdosage peuvent être observés avec les médicaments dilués ou dissous dans le GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion. Votre médecin évaluera le traitement, notamment l’administration d’insuline, de médicaments augmentant le débit urinaire (diurétiques) ou de sels, ou si la perfusion doit être ralentie ou arrêtée. Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses Sans objet. Risque de syndrome de sevrage Votre médecin décidera quand arrêter la perfusion. Si vous avez d’autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d’information à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ière. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Description des effets indésirables Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Fréquence indéterminée : ne peut être estimée sur la base des données disponibles · Réaction allergique (hypersensibilité), manifestation potentielle chez les patients présentant une allergie au maïs · Fièvre · Frissons · Infection au niveau du site de perfusion · Réaction locale · Douleur locale · Eruption · Irritation veineuse · Thrombose veineuse ou phlébite s’étendant à partir du site de perfusion (formation d’un caillot qui obstrue un vaisseau sanguin) · Extravasation (passage du produit hors des vaisseaux) pouvant entraîner notamment une douleur locale, voire un ulcère ou la mort des cellules tissulaires (nécrose de la peau) · Hypervolémie (augmentation du volume du sang) · Déséquilibre en sels minéraux de l’organisme (troubles électrolytiques) · Taux de sucre anormalement élevé dans le sang (hyperglycémie) · Déshydratation (perte en eau de l’organisme) · Taux de potassium anormalement bas dans le sang (hypokaliémie) · Taux de magnésium anormalement bas dans le sang (hypomagnésémie) · Taux de phosphate anormalement bas dans le sang (hypophosphatémie) · Taux de lactate anormalement élevé dans le sang (hyperlactatémie) · Polyurie osmotique au glucose (augmentation de la quantité d’urine) · Présence de sucre dans les urines (glycosurie) Ces effets indésirables peuvent être associés à la technique d'administration ou à un débit d’administration trop rapide. Si un médicament a été ajouté à la solution pour perfusion, celui-ci peut aussi provoquer des effets indésirables. Consultez la notice de ce médicament pour identifier des effets indésirables possibles. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. Date de péremption N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la poche après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Conditions de conservation Avant ouverture Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation. Durée de conservation lors de l'utilisation Après ouverture/ dilution, le produit doit être utilisé immédiatement. Si nécessaire, mises en garde contre certains signes visibles de détérioration La solution doit être inspectée visuellement afin de détecter toute particule, tout dommage de la poche et tout signe visible de détérioration avant administration. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l'égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l'environnement. 6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES Retour en haut de la page Liste complète des substances actives et des excipients Ce que contient GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion · La substance active est : Glucose...................................................................................................................................... 10 g (sous forme de glucose monohydraté) pour 100 mL de solution pour perfusion. · L’autre composant est : eau pour préparations injectables. Quantité totale en glucose : Une poche de 100 mL contient 10 g de glucose Une poche de 250 mL contient 25 g de glucose Une poche de 500 mL contient 50 g de glucose Une poche de 1000 mL contient 100 g de glucose Glucose : 555 mmol/L Osmolarité théorique : 555 mOsm/L pH compris entre 3,5 – 5,5 Apport calorique glucidique : 400 kcal/L (soit 1675 kJ/L) Forme pharmaceutique et contenu Aspect de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion et contenu de l'emballage extérieur Ce médicament se présente sous forme de solution pour perfusion, HYPERTONIQUE, limpide, incolore ou légèrement jaunâtre. Ce médicament est disponible en poche de 100 mL, 250 mL, 500 mL ou 1000 mL. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Nom et adresse du titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et du titulaire de l'autorisation de fabrication responsable de la libération des lots, si différent Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché et fabricant Titulaire B Braun Medical 204 AVENUE DU MARECHAL JUIN 92100 Boulogne BILLANCOURT Exploitant B Braun Medical 204 AVENUE DU MARECHAL JUIN 92100 Boulogne BILLANCOURT Fabricant B BRAUN MEDICAL S.A. Carretera de Terrassa, 121 08191 RUBI (Barcelona) ESPAGNE ou B BRAUN MELSUNGEN AG Carl-Braun-Strasse 1 34212 MELSUNGEN ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. Date d’approbation de la notice La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est AMM sous circonstances exceptionnelles Sans objet Informations Internet Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Informations réservées aux professionnels de santé Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux professionnels de santé : Classe pharmacothérapeutique : SOLUTIONS INTRAVEINEUSES Code ATC : B05BA03 B : sang et organes hématopoïétiques. A. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE · La substance active est : Glucose...................................................................................................................................... 10 g (sous forme de glucose monohydraté) pour 100 mL de solution pour perfusion. · L’autre composant est : eau pour préparations injectables. Quantité totale en glucose : Une poche de 100 mL contient 10 g de glucose Une poche de 250 mL contient 25 g de glucose Une poche de 500 mL contient 50 g de glucose Une poche de 1000 mL contient 100 g de glucose Glucose : 555 mmol/L Osmolarité théorique : 555 mOsm/L pH compris entre 3,5 – 5,5 Acidité (titrage à pH 7,4) 20 kg de poids corporel : 750 mL + 10 mL / kg au-dessus de 20 kg / 24 h. Le débit de perfusion ne doit pas dépasser les capacités d'oxydation du glucose du patient (ex., perturbation du métabolisme oxydatif du glucose en période post-opératoire ou post-traumatique précoce ou en présence d'hypoxie ou de défaillance d’un organe), de manière à éviter une hyperglycémie. Par conséquent, les doses maximales sont de 5 mg/kg/min pour les adultes et comprises entre 10 et 18 mg/kg/min pour les nouveau-nés, les nourrissons et les enfants, selon l'âge et la masse corporelle totale. Lorsque la solution pour perfusion de GLUCOSE 10 % B.BRAUN est utilisée comme véhicule ou diluant pour préparation injectable d’autres médicaments, la posologie et le débit de perfusion seront principalement fonction de la nature et de la posologie du médicament à administrer. Mode d'administration Perfusion intraveineuse. Lorsque la solution est utilisée pour la dilution et l’administration de médicaments complémentaires par perfusion intraveineuse, les instructions d'utilisation des substances ajoutées détermineront les volumes appropriés pour chaque traitement. Afin d'éviter une perfusion excessive de solutions intraveineuses potentiellement fatale chez le nouveau-né, une attention particulière doit être accordée au mode d'administration. Lors de l’utilisation d’un pousse-seringue pour l’administration de solutions ou de médicaments par voie intraveineuse à des nouveau-nés, la poche de liquide ne doit pas rester connectée à la seringue. Extravasation Le site du cathéter doit être régulièrement contrôlé pour détecter les signes d'extravasation. En cas d'extravasation, l'administration doit être interrompue immédiatement, tout en maintenant en place la canule ou le cathéter inséré pour une prise en charge immédiate du patient. Si possible, une aspiration doit être pratiquée à travers la canule/le cathéter inséré afin de réduire la quantité de liquide présent dans les tissus avant de retirer la canule/le cathéter. Si une extrémité est atteinte, le membre concerné doit être surélevé. Selon le produit extravasé (y compris les produits mélangés avec GLUCOSE 10 % B.BRAUN, le cas échéant) et le stade/l'étendue des lésions éventuelles, des mesures spécifiques appropriées doivent être prises. Les options thérapeutiques peuvent inclure des interventions non pharmacologiques, pharmacologiques et/ou chirurgicales. En cas de dégradation de la zone affectée (douleur continue, nécrose, ulcération), un chirurgien plasticien doit être consulté immédiatement. Le site d'extravasation doit être contrôlé au moins toutes les 4 heures pendant les premières 24 heures, puis une fois par jour. Pour les précautions à prendre avant la manipulation ou l’administration du médicament, voir la rubrique D. Les enfants, les nourrissons et les nouveau-nés présentent un risque accru de développer une hyponatrémie hypoosmotique ainsi qu’une encéphalopathie hyponatrémique. Ainsi, les concentrations d'électrolytes plasmatiques doivent être étroitement surveillées dans la population pédiatrique. Une correction rapide de l'hyponatrémie hypoosmotique est potentiellement dangereuse (risque de complications neurologiques graves). La posologie, le taux et la durée d'administration doivent être déterminés par un médecin expérimenté. C. INCOMPATIBILITES Comme avec toutes les solutions parentérales, la compatibilité des médicaments avec la solution doit être vérifiée avant ajout. L'incompatibilité du médicament vis-à-vis de la solution de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, doit être déterminée en contrôlant un éventuel changement de couleur et/ou une éventuelle formation de précipité, de complexe insoluble ou de cristaux. Se référer également à la notice accompagnant le médicament à ajouter. En cas d'ajout de médicament, vérifier si le médicament est compatible avec la zone de pH de la solution de GLUCOSE 10 % B.BRAUN. Lorsqu'un médicament compatible est ajouté à la solution de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, le mélange doit être administré immédiatement. Les médicaments connus pour être incompatibles ne doivent pas être utilisés. Ne pas administrer du sang simultanément, au moyen du même dispositif de perfusion, en raison du risque de pseudo-agglutination et d’hémolyse. D. PRECAUTIONS PARTICULIERES D’ELIMINATION ET DE MANIPULATION Ne pas utiliser si l'emballage/la poche est endommagé(e). Ne pas réutiliser : usage unique. Eliminer toute poche partiellement utilisée. Ne pas reconnecter une poche partiellement utilisée. Retirer le suremballage juste avant utilisation (poche ECOBAG). Le conditionnement primaire maintient la stérilité du produit. En cas d’ajout de médicament, bien mélanger la solution avant utilisation. La solution doit être inspectée visuellement afin de détecter toute particule, tout dommage de la poche et tout signe visible de détérioration avant administration. En cas d’ajout de médicament, la solution doit être administrée avec un matériel stérile et en utilisant une technique aseptique. Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. Risque d'embolie gazeuse · Ne pas utiliser les poches plastiques pour des connexions en série. Cette utilisation pourrait entraîner une embolie gazeuse en raison de l'aspiration de l'air résiduel de la première poche avant la fin de l'administration de solution venant de la deuxième poche. · L’exercice d’une pression sur le récipient en plastique flexible contenant la solution intraveineuse pour augmenter le débit peut entraîner une embolie gazeuse si l’air résiduel contenu dans le récipient n’est pas complètement évacué avant l’administration. · L’utilisation d’un set d’administration par voie intraveineuse avec une prise d’air en position ouverte pourrait entraîner une embolie gazeuse. Les sets d’administration par voie intraveineuse avec une prise d’air en position ouverte ne doivent pas être utilisés avec des récipients en plastique souple. E. DUREE DE CONSERVATION D'UTILISATION (ADDITIFS) La stabilité physico-chimique de tout médicament ajouté à la solution de GLUCOSE 10 % B.BRAUN, solution pour perfusion doit être vérifiée avant son utilisation. Après ouverture/dilution le produit doit être utilisé immédiatement. Autres Sans objet. Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER SYMBICORT TURBUHALER 200 microgrammes/6 microgrammes par dose, poudre pour inhalation ? Retour en haut de la page N’utilisez jamais Symbicort Turbuhaler : · si vous êtes allergique (hypersensible) au budésonide, au formotérol ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament (mentionnés à la rubrique 6), comme le lactose (qui contient des protéines de lait en faible quantité). En cas de doute, il est indispensable de demander l’avis de votre médecin. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou votre pharmacien avant d’utiliser Symbicort Turbuhaler si : · Vous êtes diabétique. · Vous avez une infection pulmonaire. · Vous êtes hypertendu ou vous avez eu un problème cardiaque (tels que des battements irréguliers du cœur, un pouls très rapide, un rétrécissement des artères ou une insuffisance cardiaque). · Vous avez des problèmes de thyroïde ou des glandes surrénales. · Vous avez un taux de potassium sanguin bas. · Vous souffrez de problèmes hépatiques sévères. Contactez votre médecin si vous développez une vision trouble ou d'autres troubles visuels. Enfants Sans objet. Autres médicaments et Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose Informez votre médecin ou pharmacien si vous utilisez, avez récemment utilisé ou pourriez utiliser tout autre médicament. En particulier, indiquez à votre médecin, si vous utilisez l’un des médicaments suivants : · Bêta-bloquants (comme l’aténolol ou le propranolol pour l’hypertension) y compris les collyres (tel que le timolol pour le glaucome). · Les médicaments pour les battements trop rapides ou irréguliers du cœur (tels que la quinidine). · Les médicaments à base de digoxine, généralement utilisés pour traiter l’insuffisance cardiaque. · Les diurétiques (comme le furosémide). Ils sont utilisés dans le traitement de l’hypertension. · Les corticoïdes oraux (comme la prednisolone). · Les dérivés xanthiques (comme les médicaments à base de théophylline ou d’aminophylline). Ils sont souvent utilisés dans le traitement de l’asthme. · Les autres bronchodilatateurs (comme par exemple le salbutamol). · Les antidépresseurs tricycliques (comme par exemple l’amitriptyline) et l’anti-dépresseur néfazodone. · Les phénothiazines (comme la chlorpromazine et la prochlorperazine). · Les médicaments inhibiteurs de protéase du virus VIH (comme le ritonavir) pour le traitement des infections au VIH. · Les médicaments destinés au traitement d’infections (comme par exemple le ketoconazole, l’itraconazole, le voriconazole, le posaconazole, la clarithromycine et la télithromycine). · Les médicaments pour le traitement de la maladie de Parkinson (comme par exemple la lévodopa). · Les médicaments pour les problèmes de thyroïde (comme la levothyroxine). Si vous prenez l’un de ces médicaments, ou en cas de doute, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien avant d’utiliser Symbicort Turbuhaler. Informez également votre médecin ou votre pharmacien si vous devez avoir une anesthésie générale pour une opération ou des soins dentaires. Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose avec des aliments et boissons Sans objet. Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse : Ce médicament ne sera utilisé pendant la grossesse que suivant la prescription de votre médecin. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement n’arrêtez pas de prendre Symbicort Turbuhaler mais consultez votre médecin car lui seul peut juger du traitement le mieux adapté à votre cas. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Allaitement : Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Sportifs Attention, ce médicament contient des principes actifs pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors de contrôles antidopage. Conduite de véhicules et utilisation de machines Symbicort Turbuhaler ne présente pas d’influence ou a une influence négligeable sur l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose contient du lactose Symbicort Turbuhaler contient du lactose (composé apparenté aux sucres). Si on vous a indiqué que vous êtes intolérant à certains sucres, informez votre médecin avant d’utiliser Symbicort Turbuhaler. La quantité de lactose présente dans ce médicament n’a normalement pas de conséquence chez les personnes intolérantes au lactose. Le lactose peut contenir des protéines de lait en faible quantité qui peuvent être à l’origine de réactions allergiques. 3. COMMENT UTILISER SYMBICORT TURBUHALER 200 microgrammes/6 microgrammes par dose, poudre pour inhalation ? Retour en haut de la page Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. · Il est important d’utiliser Symbicort Turbuhaler tous les jours, même pendant les périodes où vous n’avez pas de symptômes d’asthme ou de BPCO. · Si vous utilisez Symbicort Turbuhaler pour l’asthme, votre médecin surveillera régulièrement l’évolution de votre maladie et la persistance ou non de symptômes d’asthme. Si vous prenez des corticoïdes en comprimés par voie orale pour traiter votre asthme, votre médecin réduira progressivement le nombre de ces comprimés dès que vous commencerez à prendre Symbicort Turbuhaler. Si vous avez été traité par corticoïdes oraux en comprimés pendant une longue période au préalable, votre médecin peut vous prescrire des examens sanguins réguliers. Pendant la phase où les comprimés sont progressivement diminués, il se peut que vous ressentiez une sensation de malaise général, alors même que les symptômes d’asthme s’améliorent. Il se peut également que des symptômes allergiques tels que rhinites (sensation de nez bouché ou écoulement nasal) ou éruption cutanée (eczéma) réapparaissent. De même, vous pouvez ressentir une faiblesse, des douleurs musculaires ou articulaires. Si ces symptômes sont gênants ou s’il apparait des maux de tête, une sensation de fatigue anormale, des nausées ou vomissements, contactez votre médecin immédiatement. Vous pourriez avoir besoin d’un autre traitement pour traiter les symptômes allergiques ou articulaires. Consultez votre médecin afin de savoir si vous devez continuer à prendre Symbicort Turbuhaler. En cas d’évènements particuliers tels que la survenue d’une infection respiratoire ou avant une intervention chirurgicale, votre médecin peut être amené à vous prescrire des corticoïdes en comprimé en plus de votre traitement habituel. Informations importantes concernant les symptômes d’asthme ou de BPCO Si vous êtes essoufflé ou si votre respiration devient de plus en plus difficile au cours du traitement par Symbicort Turbuhaler, vous devez continuer à prendre Symbicort Turbuhaler et consulter votre médecin le plus rapidement possible. Un traitement supplémentaire peut s’avérer nécessaire. Contactez rapidement votre médecin : · Si votre difficulté à respirer s’intensifie ou que les symptômes d’asthme vous réveillent la nuit · Si vous ressentez une oppression dans la poitrine le matin ou que cette sensation se prolonge. Ces symptômes peuvent signifier que votre asthme ou votre BPCO ne sont pas correctement contrôlés et il se peut que vous ayez besoin d’un traitement différent ou supplémentaire immédiatement. Asthme Symbicort Turbuhaler peut être prescrit par votre médecin selon l’un ou l’autre des 2 schémas d’administration suivants. Le nombre de doses quotidiennes à utiliser et le moment de l’utilisation seront déterminés par la prescription de votre médecin : a) Si Symbicort Turbuhaler vous est prescrit avec un deuxième médicament bronchodilatateur en inhalateur destiné à être utilisé pour soulager les symptômes d’asthme : reportez-vous à la section ci-après intitulée « A. Utilisation de Symbicort Turbuhaler prescrit avec un deuxième médicament bronchodilatateur en inhalateur à utiliser en cas de besoin pour soulager les symptômes ». b) Si Symbicort Turbuhaler vous est prescrit sans autre médicament bronchodilatateur en inhalateur : reportez-vous à la section intitulée « B. Utilisation de Symbicort Turbuhaler prescrit comme unique médicament de l’asthme en inhalateur ». a. Utilisation de Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose prescrit avec un deuxième médicament bronchodilatateur en inhalateur à utiliser en cas de besoin pour soulager les symptômes Symbicort Turbuhaler sera utilisé quotidiennement matin et soir dans le but d’empêcher la survenue des symptômes d’asthme. Adultes (18 ans et plus) · La dose habituelle est de 1 à 2 inhalations deux fois par jour (matin et soir). · Votre médecin peut augmenter la dose jusqu’à 4 inhalations deux fois par jour (matin et soir). · Lorsque vos symptômes ont régressé et que votre asthme est contrôlé, votre médecin peut vous prescrire ce médicament en une seule prise par jour. Adolescents (12 à 17 ans) · La dose usuelle est de 1 à 2 inhalations deux fois par jour (matin et soir). · Lorsque vos symptômes ont régressé et que votre asthme est contrôlé, votre médecin peut vous prescrire ce médicament en une seule prise par jour. Un dosage plus faible de Symbicort Turbuhaler (100 microgrammes/6 microgrammes par dose) est disponible pour les enfants de 6 à 11 ans. Symbicort n’est pas recommandé chez les enfants de moins de 6 ans. Votre médecin vous aide à mieux contrôler votre asthme. Il ajustera la dose de médicament à son minimum pour obtenir le bon contrôle de votre asthme. Toutefois, n’essayez pas d’ajuster la dose vous-même sans en parler d’abord à votre médecin. Le deuxième médicament (bronchodilatateur) sera utilisé au moment de la survenue des symptômes d’asthme pour les soulager. Vous devez toujours avoir sur vous ce médicament pour pouvoir l’utiliser en cas de besoin au moment où surviennent les symptômes d’asthme. C’est cet inhalateur et non Symbicort Turbuhaler qu’il convient d’utiliser en cas de besoin pour traiter les symptômes qui surviennent. b. Utilisation de Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose prescrit comme unique médicament de l’asthme en inhalateur. Vous pouvez utiliser Symbicort Turbuhaler selon cette modalité d’emploi seulement si votre médecin vous l’a prescrite ainsi. Elle est réservée aux adultes et aux adolescents de 12 ans et plus. Utilisez Symbicort Turbuhaler tous les jours pour empêcher la survenue des symptômes d’asthme. La dose sera : · 1 inhalation le matin et 1 inhalation le soir ou · 2 inhalations le matin ou · 2 inhalations le soir Votre médecin peut aussi augmenter la dose jusqu’à 2 inhalations deux fois par jour. Utilisez également Symbicort Turbuhaler en cas de symptômes, pour les soulager. · En cas de gêne respiratoire ou de symptômes respiratoires, prenez 1 inhalation et attendez quelques minutes. · Si vous ne vous sentez pas mieux, reprenez une autre inhalation. · Ne prenez pas plus de 6 inhalations en une seule fois. Ayez toujours l’inhalateur de Symbicort Turbuhaler avec vous afin de pouvoir l’utiliser en cas de besoin. Une dose totale journalière de plus de 8 inhalations n’est généralement pas nécessaire. Toutefois, votre médecin peut vous autoriser à prendre jusqu’à 12 inhalations par jour pendant une période limitée. Si vous avez régulièrement besoin d’utiliser une dose totale de 8 inhalations ou plus par jour, contactez votre médecin. Un changement de traitement sera peut-être nécessaire. Ne prenez jamais plus de 12 inhalations par jour au total. Si votre asthme est principalement déclenché par l’exercice physique, vous pouvez utiliser Symbicort Turbuhaler selon la modalité décrite dans ce paragraphe B. Néanmoins, Symbicort Turbuhaler n’est pas destiné à être utilisé comme traitement préventif juste avant une activité physique dans le but d’empêcher la survenue des symptômes d’asthme. Bronchopneumopathies chroniques obstructives (BPCO) · Réservé à l’adulte de 18 ans et plus. · La dose habituelle est de 2 inhalations 2 fois par jour. Il se peut que votre médecin vous prescrive d’autres médicaments bronchodilatateurs, par exemple des anticholinergiques (tels que le tiotropium ou le bromure d’ipratropium) pour votre BPCO. COMMENT UTILISER LE DISPOSITIF INHALATEUR DE SYMBICORT TURBUHALER : L’efficacité de ce médicament est en partie dépendante du bon usage de l’appareil. Il convient donc de lire très attentivement le mode d’emploi. Au besoin, n’hésitez pas à demander à votre médecin ou à votre pharmacien de vous fournir des explications détaillées. La poudre contenue dans l’inhalateur de Symbicort Turbuhaler doit être inhalée par l’intermédiaire de l’embout buccal. L’inhalateur de SYMBICORT TURBUHALER comporte : une molette, un embout buccal, un indicateur de doses restantes alternant traits et chiffres toutes les 10 doses. Un capuchon recouvre le dispositif. Indicateur de dose Molette Embout buccal Capuchon Il s’agit d’un inhalateur multi-dose délivrant de très faibles quantités de poudre. La poudre est délivrée dans les poumons, quand vous inspirez par le dispositif. C’est pourquoi il est important que vous inspiriez fortement et profondément par l’embout buccal. Instructions pour l’utilisation du dispositif inhalateur de Symbicort Turbuhaler Première utilisation du dispositif inhalateur Avant d’utiliser l’inhalateur de Symbicort Turbuhaler pour la première fois, vous devez le préparer en procédant comme suit : 1. Dévissez le capuchon et enlevez-le (vous pouvez entendre un cliquetis). 2. Tenez l’inhalateur bien droit à la verticale, la molette rouge vers le bas. Ne tenez pas l’inhalateur par l’embout buccal. 3. Tournez la molette rouge à fond dans un sens puis à fond dans l’autre (le premier sens par lequel vous débutez n’a pas d’importance). Vous entendrez un « clic ». 4. Répétez cette manipulation une deuxième fois. L’inhalateur est maintenant prêt à l’emploi. Pour prendre la première dose, et les suivantes, veuillez continuer selon les indications figurant ci-après : Utilisation du dispositif inhalateur 1. Dévissez le capuchon et enlevez-le. 2. Tenez l’inhalateur bien droit à la verticale, la molette rouge vers le bas. Ne tenez pas l’inhalateur par l’embout buccal. 3. Tournez la molette rouge à fond dans un sens puis à fond dans l’autre (le premier sens par lequel vous débutez n’a pas d’importance). Vous entendrez un « clic ». La dose est chargée et prête à être inhalée. 4. Souffler en dehors de l’inhalateur. 5. Placez l’embout buccal entre vos dents. Ne mâchez pas, ne mordez pas l’embout buccal. Fermez la bouche et inspirez profondément à travers l’embout buccal. 6. Avant d’expirer, retirez l’inhalateur de votre bouche. Vous n’avez rien ressenti lors de l’inhalation ? Ceci est normal : la quantité de poudre délivrée est très faible et vous pouvez ne pas avoir perçu de goût particulier. Toutefois, si vous avez respecté les instructions, vous pouvez être sûr que la dose a été inhalée et que le produit est maintenant au niveau des poumons. 7. Si plusieurs doses vous ont été prescrites par votre médecin, recommencer les étapes 2 à 6. 8. Revissez fermement le capuchon après usage. 9. Rincez-vous la bouche à l’eau, sans avaler l’eau, après inhalation du traitement de fond continu (matin et soir). Il n’est habituellement pas nécessaire de se rincer la bouche après les doses de Symbicort Turbuhaler prises pour le soulagement des symptômes. L’embout buccal est fixé à l’inhalateur et ne doit donc pas être retiré ou dévissé. Ne pas utiliser l’inhalateur de Symbicort Turbuhaler s’il est endommagé ou si l’embout buccal s’est détaché. Comme pour tout inhalateur, le personnel soignant doit s’assurer que les enfants pour qui Symbicort Turbuhaler a été prescrit appliquent correctement la technique d’inhalation, telle que décrite ci-dessus. Entretien du dispositif inhalateur Nettoyer l’extérieur de l’embout buccal régulièrement (1 fois par semaine) avec un linge propre et sec. Ne pas utiliser d’eau ou de liquide pour nettoyer l’embout buccal. Quand devez-vous commencer à utiliser un autre inhalateur ? Symbicort Turbuhaler comporte un indicateur de doses indiquant le nombre de doses restant dans le réservoir. Il est gradué de 10 en 10 (pour les inhalateurs de 60 et 120 doses) et de 15 en 15 (pour l’inhalateur de 30 doses). Par conséquent, l’indicateur de doses n’indique pas toutes les doses. Au départ, lorsque l’inhalateur n’a pas été utilisé, l’indicateur affiche la totalité du nombre de doses présentes dans le réservoir, soit 30, 60 ou 120. Au fur et à mesure de l’utilisation, l’indicateur affiche toutes les dix doses, soit par un trait soit par un chiffre, le nombre de doses restantes. Il n’indique donc pas la prise de chaque dose unitaire. Lorsqu’il reste environ 20 doses dans l’inhalateur, une marque rouge apparaît en haut de la fenêtre de l’indicateur. Si nécessaire, n’oubliez pas de contacter votre médecin suffisamment tôt pour prévoir le renouvellement de la prescription. Pour les 10 dernières doses, l’intégralité de la fenêtre de l’indicateur est rouge. Lorsque la fenêtre de l’indicateur est intégralement rouge avec le chiffre zéro au milieu, il n’y a plus de médicament dans l’inhalateur. Il est toujours possible d’actionner la molette, mais l’indicateur ne bougera plus. Vous devez utiliser un nouvel inhalateur. INFORMATIONS IMPORTANTES : · La molette continue de tourner avec des « clics » même lorsque l’inhalateur est vide. · Si vous agitez l’inhalateur vide vous pouvez entendre un bruit à l’intérieur. C’est le dessiccant : il s’agit d’un agent déshydratant qui permet de protéger le médicament de l’humidité. Par conséquent le bruit entendu ne signifie pas qu’il reste du médicament. · Lorsque vous dévissez ou revissez le capuchon, vous ne devez pas tourner la molette rouge. Vous ne devez donc pas entendre de « clic » lorsque vous enlevez et remettez le capuchon. La molette doit être tournée uniquement pour charger une dose de médicament. · Si par erreur vous avez fait plusieurs « clics » consécutifs avant de prendre votre dose, ne vous inquiétez pas : il n’y aura toujours qu’une seule dose prête à être inhalée. Toutefois, le fait d’actionner la molette fait tourner l’indicateur de doses. Durée du traitement Ce médicament doit être utilisé de façon régulière et aussi longtemps que votre médecin vous l’aura conseillé. Si vous avez pris plus de Symbicort Turbuhaler que vous n’auriez dû : Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Il est important que vous preniez votre dose comme votre médecin vous l’a prescrite. Vous ne devez pas dépasser la dose prescrite sans un avis médical. Les symptômes les plus fréquents pouvant survenir en cas de surdosage sont tremblements, maux de tête ou battements cardiaques rapides. Si vous oubliez de prendre Symbicort Turbuhaler : Si vous oubliez de prendre une dose, prenez là dès que vous vous en souvenez. Toutefois si vous êtes proche du moment de la prise suivante, ne prenez pas la dose oubliée. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose simple que vous avez oublié de prendre. Prenez la dose suivante comme prescrit. Si vous arrêtez de prendre Symbicort Turbuhaler : Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. En cas d’apparition de l’un des effets indésirables suivants, cessez d’utiliser Symbicort Turbuhaler et parlez-en à votre médecin immédiatement : · Gonflement du visage, en particulier au pourtour de la bouche (langue, et/ou gorge et/ou difficulté pour avaler) ou urticaire associé à des difficultés pour respirer (angioedème) et/ou sensation soudaine de malaise. Ces effets sont les signes d’une réaction allergique. Leur fréquence est rare, survenant chez moins de 1 personne sur 1000. · Sifflements bronchiques ou difficultés à respirer survenant soudainement après inhalation du médicament. En cas d’apparition d’un de ces symptômes, arrêtez immédiatement de prendre Symbicort Turbuhaler et utilisez votre bronchodilateur d’action rapide. Contacter votre médecin immédiatement car il se peut qu’il change votre traitement. La fréquence d’apparition est très rare, affectant moins de 1 personne sur 10 000. Autres effets indésirables possibles : Fréquents (peut affecter jusqu’à 1 personne sur 10) · Palpitations, tremblements (de plus ou moins grande intensité). Ces effets sont en général modérés et disparaissent généralement avec la poursuite du traitement. · Candidose buccale (infection de la bouche due à des champignons microscopiques : les candidas). Elle peut être prévenue en se rinçant la bouche après inhalation du produit. · Irritation légère de la gorge, toux et enrouement · Maux de tête · Pneumonie (infection pulmonaire) chez les patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Si vous présentez l’un des effets indésirables suivants pendant la prise de Symbicort Turbuhaler, informez-en votre médecin, car ils pourraient être les symptômes d’une infection pulmonaire : · Fièvre ou frissons · Augmentation ou changement de coloration des expectorations (crachats) · Augmentation de la toux ou aggravation de l'essoufflement Peu fréquents (peut affecter jusqu’à 1 personne sur 100) · Sensation d’impatience, de nervosité ou d’agitation · Troubles du sommeil · Sensation de vertige · Nausées · Battements cardiaques rapides · Ecchymoses · Crampes musculaires · Vision trouble Rares (peut affecter jusqu’à 1 personne sur 1000) · Eruption cutanée, démangeaisons · Bronchospasme (resserrement des bronches se traduisant par un sifflement bronchique). Si le sifflement apparaît brusquement après l’utilisation de Symbicort Turbuhaler ne renouveler pas la prise de Symbicort Turbuhaler et contactez votre médecin. · Diminution du taux de potassium dans le sang · Battements de cœur irréguliers Très rares (peut affecter jusqu’à 1 personne sur 10 000) · Dépression · Troubles du comportement, principalement chez les enfants · Douleur dans la poitrine ou sensation de serrement dans la poitrine (angine de poitrine) · Augmentation du taux de sucre dans le sang (glycémie) · Troubles du goût tel que goût désagréable dans la bouche · Variation de la pression artérielle Les corticoïdes inhalés peuvent interférer sur la production normale des hormones stéroïdiennes de l’organisme, en particulier lors de traitements au long cours à forte dose. Ces effets comprennent : · des modifications de la densité minérale osseuse (ostéoporose) · cataracte (opacification du cristallin) · glaucome (augmentation de la pression interne dans l’œil) · ralentissement de la croissance des enfants et des adolescents · des effets sur les fonctions assurées par les glandes surrénales (petite glande située sur chaque rein) Le risque de survenue de ces effets est beaucoup moins probable avec les corticoïdes inhalés que les corticoïdes oraux (en comprimés). Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER SYMBICORT TURBUHALER 200 microgrammes/6 microgrammes par dose poudre pour inhalation ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. Replacez toujours le capuchon après avoir utilisé Symbicort Turbuhaler. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur a boîte ou sur l’étiquette après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament ne nécessite pas de conditions particulières de stockage. Conserver l’inhalateur avec le capuchon bien vissé, à l’abri de l’humidité. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose, poudre pour inhalation Retour en haut de la page · Les substances actives sont : Budésonide............................................................................................. 160,00 microgrammes Fumarate de formotérol dihydraté................................................................ 4,50 microgrammes Pour une dose délivrée. L’autre composant est : Lactose monohydraté (contenant des protéines de lait). Qu’est-ce que Symbicort Turbuhaler 200 microgrammes/6 microgrammes par dose, poudre pour inhalation et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de poudre pour inhalation blanche en dispositif inhalateur de 30, 60 ou 120 doses, composé d’un corps blanc et d’une molette rouge. Un code d’identification en Braille (chiffre 6) est gravé sur la molette pour différencier Symbicort Turbuhaler des autres médicaments en inhalateur fabriqués par AstraZeneca. Symbicort Turbuhaler est disponible en pack de 1 inhalateur de 30 doses ou en packs de 1, 2, 3, 10 ou 18 inhalateurs de 60 ou 120 doses. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Fabricant Retour en haut de la page ASTRAZENECA AB Forskargatan 18 SE-151 85 Södertälje SUEDE ou ASTRAZENECA UK LTD Silk Road Business Park Macclesfield Cheshire SK10 2NA ROYAUME UNI ou ASTRAZENECA GMBH TINSDALER WEG 183 22880 WEDEL ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées et actualisées sur ce médicament sont disponibles en scannant, grâce à un Smartphone, le QR code présent sur la notice et sur l’étui. Des informations sont également disponibles sur le site : www.turbuhaler.fr et sur le site Internet de l’ANSM (France) Emplacement du QR code (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade ? Retour en haut de la page N’utilisez jamais VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade dans les cas suivants : · Lésions infectées. Avertissements et précautions · Ne pas avaler.Eviter les utilisations répétées, sur les grandes surfaces, sous pansement occlusif car l'occlusion favorise la surinfection. · Ne pas appliquer sur lésion cutanée ulcérée ou infectée ou suintante y compris sur les lésions d’acné ou de rosacée. · Ne pas appliquer d’autres produits à usage dermatologique sur la surface traitée. · Ne pas augmenter la fréquence des applications. · En cas de persistance de l’irritation , le traitement doit être arrêté et la conduite à tenir réévaluée. La persistance des symptômes au-delà de 7 jours, l’aggravation ou l’apparition de nouveaux troubles (par exemple : intolérance locale, surinfection cutanée) imposent de prendre un avis médical. Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant d’utiliser VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade. Autres médicaments et VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade Ce médicament NE DOIT PAS ETRE ADMINISTRE en association avec les préservatifs en latex en raison du risque de rupture du préservatif lors de l’utilisation avec des corps gras ou des lubrifiants contenant des huiles minérales (huile de paraffine, huile de silicone, etc…). Utiliser un lubrifiant hydrosoluble. Informez votre médecin ou pharmacien si vous utilisez, avez récemment utilisé ou pourriez utiliser tout autre médicament.> VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade avec des aliments, des boissons et de l’alcool Sans objet. Grossesse et allaitement Ce médicament dans les conditions normales d’utilisation, peut être utilisé pendant la grossesse et l’allaitement. Ne pas appliquer sur les seins durant l’allaitement. Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant d’utiliser ce médicament. Conduite de véhicules et utilisation de machines Sans objet. VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade contient : Sans objet. 3. COMMENT UTILISER VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade ? Retour en haut de la page Posologie 2 à 3 applications par jour sur les zones atteintes. Mode et voie d'administration VOIE CUTANEE Appliquer la pommade en massant légèrement en couche mince sur les zones à traiter. La durée du traitement est limitée à 7 jours. En l'absence d'amélioration ou en cas d'aggravation de la sécheresse cutanée après 7 jours d'utilisation, un avis médical est nécessaire. Si vous avez utilisé plus de VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade que vous n’auriez dû Sans objet. Si vous oubliez d’utiliser VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade Sans objet. Si vous arrêtez d’utiliser VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde : · Possible réaction allergique · Des cas d’œdème des lèvres ont été rapportés suite à l’utilisation de vaseline sur les lèvres après chirurgie stomatologique Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le conditionnement extérieur. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation concernant la température. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade Retour en haut de la page · La substance active est : Vaseline........................................................................................................................... 100 g Pour 100 g de pommade · Les autres composants sont : Sans objet. Qu’est-ce que VASELINE OFFICINALE COOPER, pommade et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de pommadeen tube de 20 g, 45 g, 80 g et 100 g. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page COOPERATION PHARMACEUTIQUE FRANCAISE PLACE LUCIEN AUVERT 77020 MELUN CEDEX Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page COOPERATION PHARMACEUTIQUE FRANCAISE PLACE LUCIEN AUVERT 77020 MELUN CEDEX Fabricant Retour en haut de la page LABORATOIRES LIPHA 115 AVENUE LACASSAGNE 69003 LYON ou COOPERATION PHARMACEUTIQUE FRANCAISE 2 RUE DE LA SAUSSAIE 77310 SAINT FARGEAU PONTHIERRY Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Conseil d’éducation sanitaire : a/ Qu'est-ce que la sécheresse cutanée ? La sécheresse cutanée est caractérisée par une diminution de la teneur en eau de la peau (partie superficielle de l'épiderme). Ce trouble cutané se traduit par un amincissement, une fragilité, une sécheresse et un manque de souplesse de la peau, qui peut s'accompagner d'une desquamation plus ou moins prononcée et de lésions d’irritation. b/ Comment reconnaître la sécheresse cutanée ? Les principaux symptômes de sécheresse cutanée sont les suivants : · Inconfort et tiraillements · Peau rêche et éventuellement rugueuse · Légères irritations cutanées : desquamation, fissures, gerçures, dartres, · Éventuellement démangeaisons et sensations de brûlures. c/ Conseils pour éviter des lésions d'irritation et de sécheresse cutanée. Le tout est de réduire l’évaporation de l’eau et la maintenir en quantité suffisante dans l’épiderme, mais aussi de réparer la barrière cutanée altérée : · Essayez de boire 1,5 litre d'eau par jour (sauf contre-indication médicale) · Eviter les facteurs aggravants qui contribuent à assécher la peau : o Les ambiances surchauffées et confinées des appartements. o Les conditions atmosphériques difficiles (vent, grand froid, air sec...) o L’utilisation de produits d'hygiène "décapants" ou contenant de l'alcool o Les lavages répétés à l‘eau trop calcaire ou chlorée · Choisir des produits d'hygiène non agressifs pour la peau : produits de toilette non détergents, à pH doux et si besoin regraissants. · Appliquer régulièrement (plusieurs fois par jour si besoin) et en quantités généreuses des pommades ou crèmes à base grasse, aux propriétés émollientes et apaisantes. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER VICKS VAPORUB, pommade ? Retour en haut de la page N’utilisez jamais VICKS VAPORUB, pommade : · si vous êtes allergique (hypersensible) aux substances actives ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6, · si vous avez des maladies et lésions de la peau. · En raison de la présence de terpènes, ce médicament ne doit jamais être administré : chez l'enfant de moins de 6 ans, chez l’adulte et l’enfant ayant des antécédents de convulsions ou d’épilepsie. Avertissements et précautions Ce médicament contient des substances volatiles inflammables. Ne jamais l'exposer à une flamme. Après application, éviter la proximité d'une flamme. En cas d'inhalation du produit par fumigation ne pas utiliser l'eau portée à ébullition (bouillante). Lors de l'inhalation du produit par fumigation, rester à une distance suffisante de la préparation afin d'éviter une brûlure du visage suite au contact de vapeurs chaudes. En cas d'antécédent d'épilepsie ou de convulsions, ancienne ou récente, ne pas utiliser ce médicament. Afin de limiter les risques de survenue d'effets indésirables, il convient de respecter strictement la posologie et les conseils d'utilisation en particulier : · ne pas appliquer sur une surface étendue du corps, · ne pas appliquer le produit au niveau des narines, des yeux, de la bouche ou du visage, · ne pas appliquer sur les seins en cas d'allaitement, · ne pas appliquer sur peau lésée, · ne pas poursuivre le traitement au-delà de 3 jours. Précautions d'emploi : · Eviter tout contact avec les yeux, les muqueuses, la peau irritée et les plaies. · N’avaler jamais le produit. · N’appliquer jamais le produit au niveau des narines, des yeux, de la bouche ou du visage. · Réservé pour un usage externe uniquement. · N’appliquer jamais de pansement sur le site d’application. Ne jamais couvrir le site d’application avec un vêtement chaud ou toute autre source de chaleur. · En cas de persistance de la fièvre, de crachats purulents, d'écoulement nasal purulent, d'aggravation des symptômes ou d'absence d'amélioration au bout de 3 jours de traitement, CONSULTER VOTRE MEDECIN. Enfants Sans objet. Autres médicaments et VICKS VAPORUB, pommade Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. VICKS VAPORUB, pommade avec des aliments, boissons et de l’alcool Sans objet. Grossesse et allaitement Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, ne prenez pas ce médicament sans avoir demandé l’avis de votre médecin ou de votre pharmacien. Grossesse Ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse et chez les femmes en âge d’être enceinte qui n’utilisent pas de contraception efficace. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, arrêtez le traitement et consultez votre médecin. Allaitement En raison des effets neurologiques potentiels pour l’enfant allaité, si vous allaitez, n’utilisez pas ce médicament et ne l’appliquez en aucun cas sur les seins. Conduite de véhicules et utilisation de machines Sans objet. VICKS VAPORUB, pommade contient : Sans objet. 3. COMMENT UTILISER VICKS VAPORUB, pommade ? Retour en haut de la page RESERVE POUR UN USAGE EXTERNE UNIQUEMENT. POUR OUVRIR LE BOUCHON SECURITE, APPUYER ET TOURNER en même temps selon le dessin gravé sur le bouchon. En application cutanée : ce médicament est RESERVE A L'ADULTE ET A L'ENFANT DE PLUS DE 6 ANS. Appliquer la valeur d'une cuillère à café une à deux fois par jour sur la poitrine ou sur le cou de préférence après la toilette. Ne jamais dépasser 2 applications par jour. Bien se laver les mains après application. Mode d'utilisation en application cutanée : · Remplir la cuillère à café de pommade à ras-bord. · Retourner celle-ci vers l'intérieur du pot et éliminer l'excès de pommade si besoin en raclant la cuillère à café sur le bord du pot pour avoir la dose juste. · Appliquer avec les doigts. · Bien laver la cuillère après utilisation. · Bien se laver les mains après utilisation. · Laisser vos vêtements desserrés au niveau du site d’application afin de permettre une bonne diffusion du produit. · Ne jamais appliquer de pansement ou de bandage sur le site d’application. Ne jamais couvrir le site d’application avec un vêtement chaud ou toute autre source de chaleur. En inhalation par fumigation : ce médicament est réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 12 ans. 1 à 3 fois par jour, faire fondre le volume d'une à deux cuillères à café dans un bol d'eau chaude (attention ne pas utiliser d'eau portée à ébullition (bouillante) et inhaler les vapeurs par le nez et la bouche. Mode de préparation pour fumigation: · Verser de l'eau très chaude (attention ne pas utiliser d'eau portée à ébullition (bouillante) dans un bol ou dans un inhalateur. · Remplir la cuillère à café de pommade à ras-bord, puis retourner celle-ci vers l'intérieur du pot et éliminer l'excès si besoin. · Incorporer la pommade dans l'eau chaude (attention ne pas utiliser d'eau portée à ébullition (bouillante) pour la faire fondre. · Bien laver la cuillère après utilisation. Inhaler les vapeurs pendant 10 à 15 minutes. NE JAMAIS CHAUFFER LA PREPARATION NI LA RECHAUFFER MEME AU FOUR A MICRO-ONDES A CAUSE DES RISQUES DE PROJECTION. NE JAMAIS UTILISER D'EAU BOUILLANTE LORS DE LA PREPARATION A CAUSE DES RISQUES DE BRULURES PAR PROJECTION. Si vous avez l'impression que l'effet de ce médicament est trop fort ou trop faible, consultez votre médecin ou votre pharmacien. Durée du traitement La durée d'utilisation est limitée à 3 jours. Si vous avez utilisé plus de VICKS VAPORUB, pommade que vous n’auriez dû : Et notamment en cas de surdosage accidentel, ARRETEZ LE TRAITEMENT ET CONSULTEZ RAPIDEMENT UN MEDECIN. A la suite d’une ingestion accidentelle de VICKS VAPORUB, pommade par un enfant, il est important de consulter rapidement un médecin qui lui donnera si nécessaire un traitement approprié. Dans ce cas de figure, ne jamais faire vomir. Si vous oubliez d’utiliser VICKS VAPORUB, pommade : Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez d’utiliser VICKS VAPORUB, pommade : Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, VICKS VAPORUB, pommade est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet. · Possibilité d'irritation locale et d'allergie. En cas de réaction cutanée de type allergique ou si la sensation de chaleur devient trop vive, arrêtez le traitement. En cas d'application trop importante, une sensation de cuisson intense peut être ressentie. · Cette spécialité contient, des dérivés terpéniques (camphre, menthol, thymol, huiles essentielles d’eucalyptus et de térébenthine), qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. En raison du risque de convulsions, ce médicament ne doit pas être utilisé chez l’enfant de moins de 6 ans ou chez les patients (adultes et enfants) ayant des antécédents de convulsions ou d’épilepsie (voir rubrique 2). · De plus, en cas d’administration supérieure aux doses préconisées ou de non-respect des conseils d’utilisation, des effets neurologiques à type d’agitation et confusion peuvent survenir notamment chez les sujets âgés ainsi que des convulsions. Respecter les posologies et la durée de traitement préconisées. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou, votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VICKS VAPORUB, pommade ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte. A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VICKS VAPORUB, pommade Retour en haut de la page · Les substances actives sont : Camphre, huile essentielle de térébenthine, lévomenthol, huile essentielle d'eucalyptus, thymol. · Les autres composants sont : Huile essentielle d'écorce de cèdre, vaseline. Qu’est-ce que VICKS VAPORUB, pommade et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de pommade. Pot de 40, 50, 90 ou 100 g. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page PROCTER & GAMBLE PHARMACEUTICALS FRANCE 163-165, QUAI AULAGNIER 92600 ASNIERES-SUR-SEINE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page PROCTER & GAMBLE PHARMACEUTICALS FRANCE 163-165, QUAI AULAGNIER 92600 ASNIERES-SUR-SEINE Fabricant Retour en haut de la page PROCTER & GAMBLE MANUFACTURING GMBH SULZBACHER STRASSE 40-50 65824 SCHWALBACH AM TAUNUS ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Sans objet. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D'UTILISER GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Liste des informations nécessaires avant la prise du médicament Sans objet. Contre-indications N’utilisez jamais GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion : · si vous êtes allergique (hypersensible) au maïs (car le sucre contenu dans ce médicament est dérivé du maïs) ; · si vous avez un taux de sucre dans le sang supérieur à la normale (hyperglycémie non contrôlée) ; · si vous souffrez d’un diabète non correctement traité donnant lieu à des taux de sucre anormalement élevés dans le sang (diabète décompensé) ; · en cas d’autre intolérance au glucose comme dans les situations de stress métabolique (lorsque le métabolisme du corps ne fonctionne pas correctement, par exemple, en raison d’une maladie grave) ; · en cas de coma hyperosmolaire (perte de connaissance). Ce type de coma peut survenir si vous souffrez de diabète et ne recevez pas suffisamment de médicaments ; · si vous avez un taux de lactate anormalement élevé dans le sang (hyperlactatémie) ; · si vous avez trop de substances acides dans le sang (acidose métabolique) ; · en cas de rétention d’eau (inflation hydrique/surcharge liquidienne) notamment si vous avez une insuffisance cardiaque aiguë ou si vous avez de l'eau dans les poumons (œdème pulmonaire). Ce médicament ne doit pas être utilisé pour traiter les déficits en liquides sans une administration adéquate de sels minéraux (voir également « Mises en garde et précautions d’emploi » ci-dessous). Si un autre médicament est ajouté à votre solution pour perfusion, lisez la notice d’information de ce médicament. Vous pouvez ainsi vérifier si ce médicament ne représente pas un danger pour vous. EN CAS DE DOUTE, IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Précautions d'emploi ; mises en garde spéciales Mises en garde et précautions d’emploi Adressez-vous à votre médecin, à votre pharmacien, ou à votre infirmier/ère avant d’utiliser GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion. L’administration de ce médicament doit se faire sous surveillance médicale. La solution pour perfusion GLUCOSE 5 % B.BRAUN est une solution isotonique (dont la concentration est la même que celle du plasma sanguin). Votre médecin prendra des précautions particulières avec vous en cas d'atteinte de votre barrière hématoencéphalique, car dans ce cas ce médicament peut entraîner une augmentation de la pression dans votre crâne ou votre moelle épinière. Ce médicament ne doit pas être utilisé pour traiter les déficits en liquides sans une administration adéquate de sels minéraux (voir également « N'utilisez jamais GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion » ci-dessus et rubrique 4) parce qu'il peut entraîner une diminution significative de la concentration en sels minéraux de votre sang (en particulier en potassium et en sodium) et des problèmes cardiaques et cérébraux. Aucun ajout de médicaments ne doit être fait sans avoir préalablement vérifié la compatibilité avec la solution et le contenant. Lorsqu’un médicament compatible est ajouté à la solution de glucose, le mélange doit être administré immédiatement. Informez votre médecin si vous souffrez ou avez souffert des troubles suivants : · allergie au maïs (ce médicament contient du sucre dérivé du maïs) ; · insuffisance cardiaque ; · insuffisante respiratoire (maladie des poumons) ; · insuffisance rénale ; · diminution de la production d’urine (oligurie ou anurie) ; · excès d’eau dans le corps (intoxication à l’eau) ; · taux faible de sodium dans le sang (hyponatrémie) ; · lésion de la tête dans les dernières 24 heures ; · une pression élevée dans le crâne (hypertension intracrânienne) ; · attaque cérébrale due à un caillot dans un vaisseau sanguin du cerveau (accident vasculaire ischémique). Lorsque cette perfusion vous sera administrée, votre médecin effectuera des prélèvements sanguins et d’urines pour contrôler : · les concentrations en substances chimiques dans votre sang comme le potassium (électrolytes plasmatiques) ; · les taux de sucre (glucose) ; · la quantité de fluide dans votre corps (votre équilibre hydrique) ; · l'acidité du sang et des urines (changements dans l'équilibre acido-basique) ; GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion contient du sucre (glucose) et peut provoquer un taux élevé de sucre dans le sang (hyperglycémie). Dans ce cas, votre médecin pourra : · ajuster le débit de la perfusion ; · vous administrer de l’insuline pour réduire le taux de sucre dans votre sang ; · vous donner du potassium si nécessaire ; Ceci est particulièrement important : · si vous êtes diabétique. Votre médecin ajustera éventuellement la dose de votre traitement hypoglycémiant ; · si vos reins ne fonctionnent pas normalement ; · si vous avez eu récemment un accident vasculaire cérébral (AVC ischémique aigu). Des taux élevés de sucre dans le sang peuvent aggraver les effets de l’accident et affecter la guérison. Enfants et adolescents GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion doit être administré avec précaution. Le débit et le volume de perfusion dépendent de l’âge, du poids, de l’état clinique et des paramètres métaboliques de l’enfant. Les nouveau-nés, en particulier les prématurés et ceux présentant un faible poids à la naissance, ont un risque élevé de présenter des taux faibles ou élevés de sucre dans le sang (hypo- ou hyperglycémie) après une perfusion de solution contenant du glucose. Ils nécessitent de ce fait une surveillance étroite pendant l’administration intraveineuse de solutions de glucose pour assurer un contrôle adéquat du taux de sucre dans le sang et éviter la survenue d'éventuels effets néfastes à long terme. Un faible taux de sucre dans le sang chez les nouveau-nés peut entraîner des convulsions (contractions involontaires du corps), un coma (altération totale de l’état de conscience), et des lésions au niveau du cerveau. Des taux élevés de sucre ont été associés à des saignements au niveau du cerveau, des infections liées à des bactéries ou à des champignons d’installation tardive, des atteintes des yeux (rétinopathie du prématuré), des infections du tractus intestinal (entérocolite nécrosante), des affections des poumons (dysplasies broncho-pulmonaires), des hospitalisations prolongées et des décès. Les enfants, les nourrissons et les nouveau-nés qui reçoivent du GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion présentent plus de risques de développer de faibles taux de sodium dans le sang (hyponatrémie hypoosmotique) et un trouble appelé encéphalopathie hyponatrémique (trouble affectant le cerveau en raison de faibles taux de sodium). Lors de l’administration à un nouveau-né, la poche de solution doit être connectée à une pompe pour perfusion qui permet l’administration exacte de la quantité de solution requise dans un intervalle de temps défini. Votre médecin ou votre infirmier/ère contrôlera le dispositif afin d’assurer une administration sécurisée. Interactions avec d'autres médicaments Autres médicaments et GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion Informez votre médecin si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. En cas d’ajout de médicament, votre médecin vérifiera leur compatibilité avec la solution avant que ce médicament ne vous soit administré. GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion ne doit pas être administré simultanément avec du sang au moyen du même dispositif de perfusion. Interactions avec les aliments et les boissons Sans objet. Interactions avec les produits de phytothérapie ou thérapies alternatives Sans objet. Utilisation pendant la grossesse et l'allaitement Grossesse, allaitement et fertilité Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin avant de prendre ce médicament. Compte tenu des données disponibles, l'utilisation chez la femme enceinte ou qui allaite est possible. Des précautions particulières s’imposent lors de l’administration de GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion à des femmes enceintes pendant le travail, en particulier s’il est administré en combinaison avec de l’ocytocine (hormone), en raison du risque d’hyponatrémie (voir rubrique 4). Sportifs Sans objet. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines Sans objet. Liste des excipients à effet notoire Sans objet. 3. COMMENT UTILISER GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Instructions pour un bon usage Sans objet. Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement Posologie Votre médecin veillera à un débit de perfusion adapté à vos besoins et à votre état clinique. SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Mode et voie d'administration Perfusion intraveineuse SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Fréquence d'administration SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Durée du traitement SE CONFORMER A L'AVIS MEDICAL. Symptômes et instructions en cas de surdosage Si vous avez reçu plus de GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion que vous n'auriez dû : Un surdosage en glucose, une administration prolongée ou une perfusion trop rapide peuvent entraîner : · une hyperglycémie (taux anormalement élevé de sucre dans le sang), · une glycosurie (taux anormalement élevé de sucre dans les urines), · une hyperosmolarité (concentration anormalement élevée des éléments dissous dans le sang), · des troubles de la conscience ou une perte de connaissance voire un coma dus à des taux de glucose extrêmement élevés dans le sang ou une hyperosmolarité, · un œdème cérébral engageant le pronostic vital (encéphalopathie hyponatrémique). Les symptômes comprennent des convulsions, nausées, léthargie et vomissements (voir rubriques 2 et 4), · une déshydratation (déficit en liquide), · une polyurie osmotique (augmentation de la quantité d’urine émise). · une tension accrue de la peau, · une lourdeur et un gonflement des jambes (congestion veineuse), · un œdème (gonflement des tissus), · une intoxication hydrique avec hyponatrémie (intoxication par l’eau avec des taux anormalement bas de sodium dans le sang), · des troubles de l’équilibre acido-basique. L’hyperglycémie sévère et l’hyponatrémie peuvent être fatales. D’autres signes de surdosage peuvent être observés avec les médicaments dilués ou dissous avec le GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion. Votre médecin évaluera le traitement, notamment l’administration d’insuline, de médicaments augmentant le débit urinaire (diurétiques) ou de sels, ou si la perfusion doit être ralentie ou arrêtée. Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses Sans objet. Risque de syndrome de sevrage Votre médecin décidera quand arrêter la perfusion. Si vous avez d’autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d’information à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Description des effets indésirables Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Fréquence indéterminée : ne peut être estimée sur la base des données disponibles · Réaction allergique (hypersensibilité), manifestation potentielle chez les patients présentant une allergie au maïs · Fièvre · Frisson · Infection au niveau du site de perfusion · Réaction locale · Douleur locale · Eruption · Irritation veineuse · Thrombose veineuse ou phlébite s’étendant à partir du site de perfusion (formation d’un caillot qui obstrue un vaisseau sanguin) · Extravasation (passage du produit hors des vaisseaux) pouvant entraîner notamment une douleur locale, voire un ulcère ou la mort des cellules tissulaires (nécrose de la peau) · Hypervolémie (augmentation du volume du sang) · Déséquilibre en sels minéraux de l’organisme (troubles électrolytiques) · Hyponatrémie nosocomiale (acquise lors d’une hospitalisation) * · Taux de sucre anormalement élevé dans le sang (hyperglycémie) · Déshydratation (perte en eau de l’organisme) · Taux de potassium anormalement bas dans le sang (hypokaliémie) · Taux de magnésium anormalement bas dans le sang (hypomagnésémie) · Taux de phosphate anormalement bas dans le sang (hypophosphatémie) · Taux de lactate anormalement élevé dans le sang (hyperlactatémie) · Polyurie osmotique au glucose (augmentation de la quantité d’urine) · Présence de sucre dans les urines (glycosurie) · Encéphalopathie hyponatrémique* * L’hyponatrémie nosocomiale peut causer des lésions cérébrales irréversibles et entraîner le décès en raison du développement d’une encéphalopathie hyponatrémique aiguë (voir rubrique 2). Ces effets indésirables peuvent être associés à la technique d'administration ou à un débit d’administration trop rapide. Si un médicament a été ajouté à la solution pour perfusion, celui-ci peut aussi provoquer des effets indésirables. Consultez la notice de ce médicament pour identifier des effets indésirables possibles. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. Date de péremption N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la poche après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Conditions de conservation Avant ouverture Pour le conditionnement ECOBAG de 50 mL A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Pour les poches ECOFLAC, SOLUFLEX, ECOBAG de 100 mL, 250 mL, 500 mL et 1000 mL Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation. Durée de conservation lors de l'utilisation Après ouverture/ dilution, le produit doit être utilisé immédiatement. Si nécessaire, mises en garde contre certains signes visibles de détérioration La solution doit être inspectée visuellement afin de détecter toute particule, tout dommage de la poche et tout signe visible de détérioration avant administration. Ne jetez aucun médicament au tout à l'égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l'environnement. 6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES Retour en haut de la page Liste complète des substances actives et des excipients Ce que contient GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion · La substance active est : Glucose............................................................................................................................ ... 5 g (sous forme de glucose monohydraté) pour 100 mL de solution pour perfusion. · L’autre composant est : eau pour préparations injectables. Quantité totale en glucose : Une poche de 50 mL contient 2,5 g de glucose Une poche de 100 mL contient 5 g de glucose Une poche de 250 mL contient 12,5 g de glucose Une poche de 500 mL contient 25 g de glucose Une poche de 1000 mL contient 50 g de glucose Glucose : 278 mmol/L Osmolarité théorique : 278 mOsm/L pH compris entre 3,5 - 5,5 Apport calorique glucidique : 200 kcal/L (soit 837 kJ/L) Forme pharmaceutique et contenu Aspect de GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion et contenu de l'emballage extérieur Ce médicament se présente sous forme de solution pour perfusion, limpide, incolore ou légèrement jaunâtre. Ce médicament est disponible en poche de 50, 100, 250, 500 ou 1000 mL. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Nom et adresse du titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et du titulaire de l'autorisation de fabrication responsable de la libération des lots, si différent Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché et fabricant Titulaire B BRAUN MEDICAL 204 AVENUE DU MARECHAL JUIN 92100 BOULOGNE BILLANCOURT Exploitant B BRAUN MEDICAL 204 AVENUE DU MARECHAL JUIN 92100 BOULOGNE BILLANCOURT Fabricant Poches ECOFLAC : B BRAUN MEDICAL S.A. CARRETERA DE TERRASSA, 121 08191 RUBI (BARCELONA) ESPAGNE ou B. BRAUN MELSUNGEN AG CARL-BRAUN-STRASSE 1 34212 MELSUNGEN ALLEMAGNE Poches ECOBAG : B. BRAUN MELSUNGEN AG CARL-BRAUN-STRASSE 1 34212 MELSUNGEN ALLEMAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. Date d’approbation de la notice La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est AMM sous circonstances exceptionnelles Sans objet. Informations Internet Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Informations réservées aux professionnels de santé Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux professionnels de santé : Classe pharmacothérapeutique : SOLUTIONS INTRAVEINEUSES Code ATC : B05BA03 B : sang et organes hématopoïétiques. A. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE · La substance active est : Glucose................................................................................................................................. 5 g (sous forme de glucose monohydraté) pour 100 mL de solution pour perfusion. · L’autre composant est : eau pour préparations injectables. Quantité totale en glucose : Une poche de 50 mL contient 2,5 g de glucose Une poche de 100 mL contient 5 g de glucose Une poche de 250 mL contient 12,5 g de glucose Une poche de 500 mL contient 25 g de glucose Une poche de 1000 mL contient 50 g de glucose Glucose : 278 mmol/L Osmolarité théorique : 278 mOsm/L pH compris entre 3,5 - 5,5 Apport calorique glucidique : 200 kcal/L (soit 837 kJ/L) B. POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION GLUCOSE 5 % B.BRAUN, solution pour perfusion ne doit pas être utilisé à des fins de substitution liquidienne sans un apport en électrolytes approprié, en particulier dans les traitements de réhydratation, car son administration peut entraîner une diminution importante des électrolytes sériques (hyponatrémie et hypokaliémie graves), ainsi que la survenue d’effets indésirables tels que des lésions cérébrales ou des atteintes cardiaques. Posologie : La concentration et la posologie d'une solution de glucose pour usage intraveineux dépendent de plusieurs facteurs comprenant l'âge, le poids et l'état clinique. Les concentrations sériques en glucose peuvent nécessiter une surveillance étroite. La posologie recommandée pour le traitement de la déplétion en eau et en hydrates de carbone est la suivante: Adultes : 500 mL à 3 litres/24 h. Population pédiatrique : Le débit et le volume de perfusion dépendent de l’âge, du poids, du statut clinique et métabolique du patient et du traitement concomitant. La solution doit être administrée par un personnel expérimenté. · 0-10 kg de poids corporel : 100 mL/kg/24 h. · 10-20 kg de poids corporel : 1000 mL + 50 mL /kg au-dessus de 10 kg / 24 h. · > 20 kg de poids corporel : 1500 mL + 20 mL / kg au-dessus de 20 kg / 24 h. Le débit de perfusion ne doit pas dépasser les capacités d'oxydation du glucose du patient (ex., perturbation du métabolisme oxydatif du glucose en période post-opératoire ou post-traumatique précoce ou en présence d'hypoxie ou de défaillance d’un organe), de manière à éviter une hyperglycémie. Par conséquent, les doses maximales sont de 5 mg/kg/min pour les adultes et comprises entre 10 et 18 mg/kg/min pour les nouveau-nés, les nourrissons et les enfants, selon l'âge et la masse corporelle totale. Lorsque la solution pour perfusion GLUCOSE 5 % B.BRAUN est utilisée comme véhicule ou diluant pour préparation injectable d'autres médicaments, la posologie et le débit de perfusion seront principalement fonction de la nature et de la posologie du médicament à administrer. L’équilibre hydrique, le glucose sérique, le sodium sérique et d’autres électrolytes pourront faire l’objet d’une surveillance avant ou pendant l’administration, en particulier chez les patients présentant une libération non-osmotique excessive de la vasopressine (syndrome de sécrétion inappropriée de l’hormone antidiurétique, SIADH) et chez les patients traités concomitamment par des médicaments agonistes de la vasopressine, en raison du risque d’hyponatrémie. La surveillance du sodium sérique est particulièrement importante pour les solutés physiologiquement hypotoniques. GLUCOSE 5 % B.BRAUN peut devenir extrêmement hypotonique après administration du fait de la métabolisation du glucose dans l’organisme. Mode d'administration : Perfusion intraveineuse. Lorsque la solution est utilisée pour la dilution et l’administration de médicaments complémentaires par perfusion intraveineuse les instructions d'utilisation des substances ajoutées détermineront les volumes appropriés pour chaque traitement. Afin d'éviter une perfusion excessive de solutions intraveineuses potentiellement fatale chez le nouveau-né, une attention particulière doit être accordée au mode d'administration. Lors de l’utilisation d’un pousse-seringue pour l’administration de solutions ou de médicaments par voie intraveineuse à des nouveau-nés, la poche de liquide ne doit pas rester connectée à la seringue. Extravasation Le site du cathéter doit être régulièrement contrôlé pour détecter les signes d'extravasation. En cas d'extravasation, l'administration doit être interrompue immédiatement, tout en maintenant en place la canule ou le cathéter inséré pour une prise en charge immédiate du patient. Si possible, une aspiration doit être pratiquée à travers la canule/le cathéter inséré afin de réduire la quantité de liquide présent dans les tissus avant de retirer la canule/le cathéter. Si une extrémité est atteinte, le membre concerné doit être surélevé. Selon le produit extravasé (y compris les produits mélangés avec GLUCOSE 5 % B.BRAUN, le cas échéant) et le stade/l'étendue des lésions éventuelles, des mesures spécifiques appropriées doivent être prises. Les options thérapeutiques peuvent inclure des interventions non pharmacologiques, pharmacologiques et/ou chirurgicales. En cas de dégradation de la zone affectée (douleur continue, nécrose, ulcération), un chirurgien plasticien doit être consulté immédiatement. Le site d'extravasation doit être contrôlé au moins toutes les 4 heures pendant les premières 24 heures, puis une fois par jour. Pour les précautions à prendre avant la manipulation ou l’administration du médicament, voir la rubrique D. Les enfants, les nourrissons et les nouveau-nés présentent un risque accru de développer une hyponatrémie hypoosmotique ainsi qu’une encéphalopathie hyponatrémique. Ainsi, les concentrations d'électrolytes plasmatiques doivent être étroitement surveillées dans la population pédiatrique. Une correction rapide de l'hyponatrémie hypoosmotique est potentiellement dangereuse (risque de complications neurologiques graves). La posologie, le taux et la durée d'administration doivent être déterminés par un médecin expérimenté. C. INCOMPATIBILITES Comme avec toutes les solutions parentérales, la compatibilité des médicaments avec la solution doit être vérifiée avant ajout. L'incompatibilité du médicament vis-à-vis de la solution de GLUCOSE 5 % B.BRAUN, doit être déterminée en contrôlant un éventuel changement de couleur et/ou une éventuelle formation de précipité, de complexe insoluble ou de cristaux. Se référer également à la notice accompagnant le médicament à ajouter. En cas d'ajout de médicament, vérifier si le médicament est compatible avec la zone de pH de la solution de GLUCOSE 5 % B.BRAUN. Lorsqu'un médicament compatible est ajouté à la solution de GLUCOSE 5 % B.BRAUN, le mélange doit être administré immédiatement. Les médicaments connus pour être incompatibles ne doivent pas être utilisés. Ne pas administrer du sang simultanément, au moyen du même dispositif de perfusion, en raison du risque de pseudo-agglutination et d’hémolyse. D. PRECAUTIONS PARTICULIERES D’ELIMINATION ET DE MANIPULATION Ne pas utiliser si l'emballage/la poche est endommagé(e). Ne pas réutiliser : usage unique. Eliminer toute poche partiellement utilisée. Ne pas reconnecter une poche partiellement utilisée. Retirer le suremballage juste avant utilisation (poche ECOBAG). Le conditionnement primaire maintient la stérilité du produit. En cas d’ajout de médicament, bien mélanger la solution avant utilisation. La solution doit être inspectée visuellement afin de détecter toute particule, tout dommage de la poche et tout signe visible de détérioration avant administration. En cas d’ajout de médicament, la solution doit être administrée avec un matériel stérile et en utilisant une technique aseptique. Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. Risque d'embolie gazeuse · Ne pas utiliser les poches plastiques pour des connexions en série. Cette utilisation pourrait entraîner une embolie gazeuse en raison de l'aspiration de l'air résiduel de la première poche avant la fin de l'administration de solution venant de la deuxième poche. · L’exercice d’une pression sur le récipient en plastique flexible contenant la solution intraveineuse pour augmenter le débit peut entraîner une embolie gazeuse si l’air résiduel contenu dans le récipient n’est pas complètement évacué avant l’administration. · L’utilisation d’un set d’administration par voie intraveineuse avec une prise d’air en position ouverte pourrait entraîner une embolie gazeuse. Les sets d’administration par voie intraveineuse avec une prise d’air en position ouverte ne doivent pas être utilisés avec des récipients en plastique souple. E. DUREE DE CONSERVATION APRES RECONSTITUTION (ADDITIFS) La stabilité physico-chimique de tout médicament ajouté à la solution de GLUCOSE 5 % B.BRAUN doit être vérifiée avant son utilisation. Après ouverture/dilution le produit doit être utilisé immédiatement. Autres Sans objet. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE FLANID 100 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Ne prenez jamais FLANID 100 mg, comprimé sécable : · si vous êtes allergique (hypersensible) à l’acide tiaprofénique ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6. · Si vous avez déjà eu une crise d’asthme déclenchée ou non par la prise d’acide tiaprofénique ou par d’autres médicaments de la même famille que FLANID (l’aspirine, les anti‑inflammatoires non stéroïdiens). · Si vous avez déjà eu un ulcère de l’estomac ou de l’intestin, ou des saignements digestifs à répétition. · Si vous avez ou avez déjà eu des saignements ou une perforation du tube digestif déclenchée par un précédent traitement de la même famille que FLANID. · Si vous souffrez d’un ulcère de l'estomac ou de l’intestin. · Si vous avez une hémorragie gastro‑intestinale, cérébrale ou une autre hémorragie, · Si vous souffrez d’une maladie grave du foie (insuffisance hépatique sévère), des reins (insuffisance rénale sévère) ou du cœur (insuffisance cardiaque sévère). · A partir du début du 6ème mois de grossesse. · Si vous prenez un autre médicament, assurez‑vous que l’association avec FLANID n’est pas contre‑indiquée (Voir le paragraphe ‘‘Autres médicaments et FLANID 100 mg, comprimé sécable’’). · Chez l’enfant pesant moins de 15 kg (soit environ 4 ans) car ce dosage n’est pas adapté dans ce cas. Avertissements et précautions Adressez‑vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre FLANID 100 mg, comprimé sécable. Vous devez prévenir votre médecin si vous êtes dans l’une des situations suivantes : · Vous avez déjà eu des problèmes digestifs (comme un ulcère de l'estomac ou de l’intestin, des saignements digestifs, une recto‑colite hémorragique, une maladie de Crohn, une hernie hiatale). · Vous souffrez d’une maladie du foie ou des reins. · Vous êtes diabétique. · Vous souffrez de troubles de la coagulation, · Vous êtes actuellement traités par anticoagulant ou anti‑agrégant plaquettaire. Ce médicament peut entraîner des manifestations gastro‑intestinales graves ; · Si vous avez une varicelle. Ce médicament est alors déconseillé en raison d’exceptionnelles infections graves de la peau. · Vous avez de l’asthme associé à des polypes dans le nez ou à une inflammation au niveau du nez ou des sinus (rhinite ou sinusite chronique). L’administration de ce médicament peut entraîner une crise d’asthme, notamment chez certains sujets allergiques à l’acide acétylsalicylique (aspirine) ou à un anti‑inflammatoire non stéroïdien (Voir rubrique « Ne prenez jamais FLANID 100 mg, comprimé sécable »). · Vous souffrez d’une infection. La surveillance médicale doit être renforcée. · Vous souhaitez concevoir un enfant. Si vous êtes une femme, FLANID peut altérer votre fertilité. Vous ne devez donc pas prendre ce médicament si vous souhaitez concevoir un enfant, si vous présentez des difficultés pour procréer ou si des examens sur votre fonction de reproduction sont en cours. Ce médicament existe sous forme d'autres dosages qui peuvent être plus adaptés. Personnes ayant un risque cardiovasculaire Vous devez prévenir votre médecin ou votre pharmacien si vous êtes dans l’une des situations suivantes : · Vous avez des problèmes cardiaques. · Vous avez déjà eu une attaque cérébrale (accident vasculaire cérébral). · Ou vous pensez avoir des facteurs de risques de maladies cardio‑vasculaires (par exemple vous avez une tension artérielle élevée, un taux de sucre ou de cholestérol élevé dans le sang ou vous fumez). Les médicaments tels que FLANID, pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (infarctus du myocarde) ou d’accident vasculaire cérébral. Le risque est d’autant plus important que les doses utilisées sont élevées et la durée de traitement prolongée. Ne pas dépasser les doses recommandées ni la durée de traitement. L’utilisation de FLANID peut également augmenter le risque de troubles du rythme cardiaque (fibrillation auriculaire). Pendant le traitement · Arrêtez le traitement et consultez immédiatement un médecin ou les urgences médicales : o Si une crise d’asthme ou une difficulté à respirer survient après avoir pris ce médicament. Ceci peut être le signe d’une allergie à ce médicament. o Si vous avez une éruption de boutons ou des plaques sur la peau, des démangeaisons, un brusque gonflement du visage et du cou. Il peut alors s’agir d’une allergie à ce médicament. o Si vous rejetez du sang par la bouche, si vous avez du sang dans les selles ou si vos selles sont colorées en noir. Il peut alors s’agir de saignements localisés dans votre estomac et/ou votre intestin (hémorragie digestive). o Si vous avez des signes qui ressemblent à des brûlures sur votre peau ou vos muqueuses (yeux, bouche, muqueuse génitale) tels qu'une rougeur de la peau avec des bulles, des cloques ou un décollement de la peau. · Arrêtez le traitement en cas de troubles urinaires ou d’infection urinaire. · Prévenez votre médecin si vous pensez avoir une infection (notamment en cas de fièvre). Dans certains cas, votre médecin pourra vous demander de faire une prise de sang pour surveiller le fonctionnement de vos reins et de votre taux de potassium. Enfants Sans objet. Autres médicaments et FLANID 100 mg, comprimé sécable Ce médicament contient un anti‑inflammatoire non stéroïdien : l’acide tiaprofénique. Vous ne devez pas prendre en même temps que ce médicament d’autres médicaments contenant des anti‑inflammatoires non stéroïdiens (incluant les inhibiteurs sélectifs de la cyclo‑oxygénase 2) et/ou de l’acide acétylsalicylique (aspirine). Lisez attentivement les notices des autres médicaments que vous prenez afin de vous assurer de l’absence d’anti‑inflammatoire non stéroïdien et/ou d’aspirine. Veuillez indiquer à votre médecin ou à votre pharmacien si vous prenez ou avez pris récemment un autre médicament, même s'il s'agit d'un médicament obtenu sans ordonnance car il y a certains médicaments qui ne doivent pas être pris ensemble et d’autres qui peuvent nécessiter une modification de la dose lorsqu’ils sont pris ensemble. Sauf avis contraire de votre médecin, vous ne devez pas prendre FLANID en même temps que : · des médicaments qui empêchent la formation de caillots et fluidifient le sang (anticoagulant par voie orale comme la warfarine, les inhibiteurs de la thrombine comme le dabigatran, les inhibiteurs direct du facteur Xa comme l’apixaban, le rivaroxaban et l’édoxaban, les antiagrégants plaquettaires, l’héparine injectable). Si la prise ou l’utilisation concomitante de l’un de ces médicaments s’avérait nécessaire, votre médecin devra vous surveiller étroitement en raison d’un risque accru de saignements, · des médicaments de la même famille que FLANID (aspirine, anti‑inflammatoire non stéroïdien, anti COX 2) qui sont utilisés pour diminuer l’inflammation et la fièvre et/ou pour calmer la douleur, · un corticostéroïde, · un médicament contenant du lithium, · du méthotrexate à une dose supérieure à 20 mg/semaine, · un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, un diurétique, un bêta‑bloquant ou un antagoniste de l’angiotensine II, · certains antidépresseurs (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) · du pemetrexed alors que vous avez une maladie des reins (insuffisance rénale). FLANID 100 mg, comprimé sécable avec des aliments et boissons. Sans objet. Grossesse, allaitement et fertilité Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. Grossesse Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. · Jusqu’à 2 mois et demi de grossesse (précisément jusqu’à 12 semaines d’aménorrhée soit 12 semaines après le 1er jour de vos dernières règles), l’utilisation de FLANID est déconseillée. · Entre 2 mois et demi et la fin du 5ème mois de grossesse (précisément entre 12 et 24 semaines d’aménorrhée), FLANID ne sera utilisé que sur les conseils de votre médecin et en prise brève. L’utilisation prolongée de FLANID est fortement déconseillée. · A partir du début du 6ème mois de grossesse, vous ne devez en aucun cas prendre ce médicament. Les effets sur votre enfant peuvent avoir des conséquences graves, notamment sur son cœur, ses poumons et ses reins, et cela même avec une seule prise. Si vous prenez ce médicament alors que vous êtes enceinte de plus de cinq mois révolus, parlez‑en à votre gynécologue obstétricien afin qu’une surveillance adaptée soit assurée. Allaitement Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Ce médicament passe dans le lait maternel. Par mesure de précaution, vous devez éviter de le prendre pendant l’allaitement. Conduite de véhicules et utilisation de machines Dans de rares cas, la prise de ce médicament peut entraîner des vertiges. Il est conseillé de ne pas conduire ou d’utiliser de machines si vous ressentez l’un de ces effets. FLANID 100 mg, comprimé sécable contient Sans objet. 3. COMMENT PRENDRE FLANID 100 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Posologie La dose varie selon l’indication. Votre médecin vous indiquera combien de comprimés vous devez prendre. A titre d’information : Chez l’adulte : · La dose habituelle est de 3 à 6 comprimés par jour (soit 300 à 600 mg maximum par jour). Utilisation chez les enfants · Le dosage varie selon le poids. Il est de 10 mg par kg par jour : o Pour un enfant qui pèse entre 15 et 20 kg (environ de 4 à 6 ans) : ½ comprimé, 3 fois par jour (soit 150 mg par jour) ou bien, si besoin, 1 comprimé, 2 fois par jour (soit 150 à 200 mg par jour). o Pour un enfant qui pèse entre 20 kg et 30 kg (environ de 6 à 10 ans) : 1 comprimé, 2 à 3 fois par jour, (soit 200 à 300 mg par jour). o Pour un enfant qui pèse plus de 30 kg (environ à partir de 10 ans) : 1 comprimé, 3 fois par jour, (soit 300 mg par jour). Fréquence d’administration Prenez le(s) comprimé(s) en 2 ou 3 prises conformément à la prescription de votre médecin. Dans tous les cas, suivez strictement l’ordonnance prescrite. Mode et voie d’administration · Ce médicament est utilisé par voie orale. · Les comprimés doivent être avalés avec un grand verre d’eau ou dissous dans un grand verre d'eau. · Les comprimés sont sécables. Le comprimé peut être divisé en doses égales (en 2 parts égales). Durée du traitement Votre médecin vous précisera la durée de traitement nécessaire. Si vous avez pris plus de FLANID 100 mg, comprimé sécable que vous n’auriez dû : Arrêtez le traitement et consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez de prendre FLANID 100 mg, comprimé sécable : Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre FLANID 100 mg, comprimé sécable : Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les médicaments tels que FLANID, pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (infarctus du myocarde) ou d’attaque cérébrale (accident vasculaire cérébral). Ne pas dépasser les doses recommandées ni la durée de traitement. Vous devez immédiatement arrêter le traitement et consulter votre médecin en cas de : · réaction allergique : o au niveau de la peau : éruptions de boutons ou plaques, démangeaisons, urticaire ou aggravation d’une urticaire chronique, petites taches rouges, problème de peau grave pouvant affecter la bouche et d'autres parties du corps : petits boutons rouges, souvent accompagnés de démangeaisons et se transformant en cloques, o au niveau respiratoire : crise d’asthme notamment chez les sujets allergiques à l’aspirine ou à d’autres anti‑inflammatoires non stéroïdiens, o au niveau général, malaise général avec hypotension artérielle, brusque gonflement du visage et du cou pouvant entrainer une difficulté à respirer (œdème de Quincke) et pouvant aller jusqu’au malaise brutal avec baisse importante de la tension artérielle (choc anaphylactique), · saignement digestif (rejet de sang par la bouche ou présence de sang dans les selles (coloration des selles en noir)), d’autant plus fréquent que la posologie utilisée est élevée et la durée de traitement prolongée. · exceptionnellement : réaction exagérée de la peau après exposition au soleil ou aux UV, · très rare éruption de bulles avec décollement de la peau pouvant rapidement s’étendre à tout le corps et mettre en danger le patient (syndrome de Stevens‑Johnson et syndrome de Lyell). · rarement : des troubles urinaires (douleurs et gêne à uriner, envies fréquentes d’uriner, infection urinaire, présence de sang dans les urines). Ces signes disparaissent une fois le traitement arrêté. · une infection grave de la peau chez les personnes qui souffrent déjà de la varicelle. Vous devez avertir votre médecin si l’un des effets suivants survient : · troubles digestifs tels que : o douleurs dans le ventre, o nausées, vomissements, o diarrhée, constipation, flatulence, o ulcère de l’estomac, o inflammation de l'estomac qui peut causer des douleurs, nausées, vomissement (gastrite), o perforation du tube digestif, o aggravation d’une inflammation de l’intestin, d’une maladie de Crohn, o difficulté pour digérer, o inflammation dans la bouche (stomatite), · gonflements dus à une rétention hydrosodée (œdème), · vertiges, · bourdonnements d’oreille (acouphènes), · taux anormalement bas de plaquettes pouvant se traduire par un saignement du nez ou des gencives qui sera contrôlé par une analyse de sang, anémie due à un saignement. · hyperkaliémie, trouble du fonctionnement des reins et/ou du foie. Ils seront contrôlés par une analyse de sang. · tension artérielle élevée, défaillance du cœur. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez‑en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance ‑ Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER FLANID 100 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout‑à‑l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient FLANID 100 mg, comprimé sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Acide tiaprofénique....................................................................................................... 100 mg pour un comprimé sécable · Les autres composants sont : Amidon de maïs, maltodextrine, silice colloïdale anhydre, talc, stéarate de magnésium. Qu’est-ce que FLANID 100 mg, comprimé sécable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page FLANID se présente sous forme de comprimés sécables (le comprimé peut être coupé en deux). Chaque boîte contient 30 comprimés sécables. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page PIERRE FABRE MEDICAMENT 45 PLACE ABEL GANCE 92100 BOULOGNE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page PIERRE FABRE MEDICAMENT 45 PLACE ABEL GANCE 92100 BOULOGNE Fabricant Retour en haut de la page PIERRE FABRE MEDICAMENT PRODUCTION 45 PLACE ABEL GANCE 92100 BOULOGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE FLANID 200 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Ne prenez jamais FLANID 200 mg, comprimé sécable : · si vous êtes allergique (hypersensible) à l’acide tiaprofénique ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6. · Si vous avez déjà eu une crise d’asthme déclenchée ou non par la prise d’acide tiaprofénique ou par d’autres médicaments de la même famille que FLANID (l’aspirine, les anti‑inflammatoires non stéroïdiens). · Si vous avez déjà eu un ulcère de l’estomac ou de l’intestin, des saignements digestifs à répétition. · Si vous avez ou avez déjà eu des saignements ou une perforation du tube digestif déclenchée par un précédent traitement de la même famille que FLANID. · Si vous souffrez d’un ulcère de l'estomac ou de l’intestin. · Si vous avez une hémorragie gastro‑intestinale, cérébrale ou une autre hémorragie, · Si vous souffrez d’une maladie grave du foie (insuffisance hépatique sévère), des reins (insuffisance rénale sévère) ou du cœur (insuffisance cardiaque sévère). · A partir du début du 6ème mois de grossesse. · Si vous prenez un autre médicament, assurez‑vous que l’association avec FLANID n’est pas contre‑indiquée (Voir le paragraphe ‘‘Autres médicaments et FLANID 200 mg, comprimé sécable’’). · Chez l’enfant pesant moins de 20 kg (soit environ 6 ans) car ce dosage n’est pas adapté dans ce cas. Avertissements et précautions Adressez‑vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre FLANID 200 mg, comprimé sécable. Vous devez prévenir votre médecin si vous êtes dans l’une des situations suivantes : · Vous avez déjà eu des problèmes digestifs (comme un ulcère de l'estomac ou de l’intestin, des saignements digestifs, une recto‑colite hémorragique, une maladie de Crohn, une hernie hiatale). · Vous souffrez d’une maladie du foie ou des reins. · Vous êtes diabétique. · Vous souffrez de troubles de la coagulation, · Vous êtes actuellement traités par anticoagulant ou anti‑agrégant plaquettaire. Ce médicament peut entraîner des manifestations gastro‑intestinales graves ; · Si vous avez une varicelle. Ce médicament est alors déconseillé en raison d’exceptionnelles infections graves de la peau. · Vous avez de l’asthme associé à des polypes dans le nez ou à une inflammation au niveau du nez ou des sinus (rhinite ou sinusite chronique). L’administration de ce médicament peut entraîner une crise d’asthme, notamment chez certains sujets allergiques à l’acide acétylsalicylique (aspirine) ou à un anti‑inflammatoire non stéroïdien (Voir rubrique « Ne prenez jamais FLANID 200 mg, comprimé sécable »). · Vous souffrez d’une infection. La surveillance médicale doit être renforcée. · Vous souhaitez concevoir un enfant. Si vous êtes une femme, FLANID peut altérer votre fertilité. Vous ne devez donc pas prendre ce médicament si vous souhaitez concevoir un enfant, si vous présentez des difficultés pour procréer ou si des examens sur votre fonction de reproduction sont en cours. Personnes ayant un risque cardiovasculaire Vous devez prévenir votre médecin ou votre pharmacien si vous êtes dans l’une des situations suivantes : · Vous avez des problèmes cardiaques. · Vous avez déjà eu une attaque cérébrale (accident vasculaire cérébral). · Ou vous pensez avoir des facteurs de risques de maladies cardiovasculaires (par exemple vous avez une tension artérielle élevée, un taux de sucre ou de cholestérol élevé dans le sang ou vous fumez). Les médicaments tels que FLANID, pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (infarctus du myocarde) ou d’accident vasculaire cérébral. Le risque est d’autant plus important que les doses utilisées sont élevées et la durée de traitement prolongée. Ne pas dépasser les doses recommandées ni la durée de traitement. L’utilisation de FLANID peut également augmenter le risque de troubles du rythme cardiaque (fibrillation auriculaire). Pendant le traitement · Arrêtez le traitement et consultez immédiatement un médecin ou les urgences médicales : o Si une crise d’asthme ou une difficulté à respirer survient après avoir pris ce médicament. Ceci peut être le signe d’une allergie à ce médicament. o Si vous avez une éruption de boutons ou des plaques sur la peau, des démangeaisons, un brusque gonflement du visage et du cou. Il peut alors s’agir d’une allergie à ce médicament. o Si vous rejetez du sang par la bouche, si vous avez du sang dans les selles ou si vos selles sont colorées en noir. Il peut alors s’agir de saignements localisés dans votre estomac et/ou votre intestin (hémorragie digestive). o Si vous avez des signes qui ressemblent à des brûlures sur votre peau ou vos muqueuses (yeux, bouche, muqueuse génitale) tels qu'une rougeur de la peau avec des bulles, des cloques ou un décollement de la peau. · Arrêtez le traitement en cas de troubles urinaires ou d’infection urinaire. · Prévenez votre médecin si vous pensez avoir une infection (notamment en cas de fièvre). Dans certains cas, votre médecin pourra vous demander de faire une prise de sang pour surveiller le fonctionnement de vos reins et de votre taux de potassium. Ce médicament existe sous forme d'autres dosages qui peuvent être plus adaptés. Enfants Sans objet. Autres médicaments et FLANID 200 mg, comprimé sécable Ce médicament contient un anti‑inflammatoire non stéroïdien : l’acide tiaprofénique. Vous ne devez pas prendre en même temps que ce médicament d’autres médicaments contenant des anti‑inflammatoires non stéroïdiens (incluant les inhibiteurs sélectifs de la cyclo‑oxygénase 2) et/ou de l’acide acétylsalicylique (aspirine). Lisez attentivement les notices des autres médicaments que vous prenez afin de vous assurer de l’absence d’anti‑inflammatoire non stéroïdien et/ou d’aspirine. Veuillez indiquer à votre médecin ou à votre pharmacien si vous prenez ou avez pris récemment un autre médicament, même s'il s'agit d'un médicament obtenu sans ordonnance car il y a certains médicaments qui ne doivent pas être pris ensemble et d’autres qui peuvent nécessiter une modification de la dose lorsqu’ils sont pris ensemble. Sauf avis contraire de votre médecin, vous ne devez pas prendre FLANID en même temps que : · des médicaments qui empêchent la formation de caillots et fluidifient le sang (anticoagulant par voie orale comme la warfarine, les inhibiteurs de la thrombine comme le dabigatran, les inhibiteurs direct du facteur Xa comme l’apixaban, le rivaroxaban et l’édoxaban, les antiagrégants plaquettaires, l’héparine injectable). Si la prise ou l’utilisation concomitante de l’un de ces médicaments s’avérait nécessaire, votre médecin devra vous surveiller étroitement en raison d’un risque accru de saignements, · des médicaments de la même famille que FLANID (aspirine, anti‑inflammatoire non stéroïdien, anti COX 2) qui sont utilisés pour diminuer l’inflammation et la fièvre et/ou pour calmer la douleur, · un corticostéroïde, · un médicament contenant du lithium, · du méthotrexate à une dose supérieure à 20 mg/semaine, · un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, un diurétique, un bêta‑bloquant ou un antagoniste de l’angiotensine II, · certains antidépresseurs (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) · du pemetrexed alors que vous avez une maladie des reins (insuffisance rénale). FLANID 200 mg, comprimé sécable avec des aliments et boissons Sans objet. Grossesse, allaitement et fertilité Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. Grossesse Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. · Jusqu’à 2 mois et demi de grossesse (précisément jusqu’à 12 semaines d’aménorrhée soit 12 semaines après le 1er jour de vos dernières règles), l’utilisation de FLANID est déconseillée. · Entre 2 mois et demi et la fin du 5ème mois de grossesse (précisément entre 12 et 24 semaines d’aménorrhée), FLANID ne sera utilisé que sur les conseils de votre médecin et en prise brève. L’utilisation prolongée de FLANID est fortement déconseillée. · A partir du début du 6ème mois de grossesse, vous ne devez en aucun cas prendre ce médicament. Les effets sur votre enfant peuvent avoir des conséquences graves, notamment sur son cœur, ses poumons et ses reins, et cela même avec une seule prise. Si vous prenez ce médicament alors que vous êtes enceinte de plus de cinq mois révolus, parlez‑en à votre gynécologue obstétricien afin qu’une surveillance adaptée soit assurée. Allaitement Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Ce médicament passe dans le lait maternel. Par mesure de précaution, vous devez éviter de le prendre pendant l’allaitement. Sportifs Sans objet. Conduite de véhicules et utilisation de machines Dans de rares cas, la prise de ce médicament peut entraîner des vertiges. Il est conseillé de ne pas conduire ou d’utiliser de machines si vous ressentez l’un de ces effets. FLANID 200 mg, comprimé sécable contient Sans objet. 3. COMMENT PRENDRE FLANID 200 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Posologie La dose varie selon l’indication. Votre médecin vous indiquera combien de comprimés vous devez prendre. A titre d’information : Chez l’adulte : La dose habituelle est de 1,5 à 3 comprimés par jour (soit 300 à 600 mg maximum par jour). Utilisation chez les enfants Chez l’enfant : le dosage varie selon le poids. Il est de 10 mg par kg par jour : · Pour un enfant qui pèse entre 20 kg et 30 kg (environ de 6 à 10 ans) : ½ comprimé, 2 à 3 fois par jour, (soit 200 à 300 mg par jour). · Pour un enfant qui pèse plus de 30 kg (environ à partir de 10 ans) : ½ comprimé, 3 fois par jour, (soit 300 mg par jour). Fréquence d’administration Prenez le(s) comprimé(s) en 2 ou 3 prises conformément à la prescription de votre médecin. Dans tous les cas, suivez strictement l’ordonnance prescrite. Mode et voie d’administration · Ce médicament est utilisé par voie orale. · Les comprimés doivent être avalés avec un grand verre d’eau ou dissous dans un grand verre d'eau. · Les comprimés sont sécables. Le comprimé peut être divisé en doses égales (en 2 parts égales). Durée du traitement Votre médecin vous précisera la durée de traitement nécessaire. Si vous avez pris plus de FLANID 200 mg, comprimé sécable que vous n’auriez dû : Arrêtez le traitement et consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez de prendre FLANID 200 mg, comprimé sécable : Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre FLANID 200 mg, comprimé sécable : Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les médicaments tels que FLANID, pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (infarctus du myocarde) ou d’attaque cérébrale (accident vasculaire cérébral). Ne pas dépasser les doses recommandées ni la durée de traitement. Vous devez immédiatement arrêter le traitement et consulter votre médecin en cas de : · réaction allergique : o au niveau de la peau : éruptions de boutons ou plaques, démangeaisons, urticaire ou aggravation d’une urticaire chronique, petites taches rouges, problème de peau grave pouvant affecter la bouche et d'autres parties du corps : petits boutons rouges, souvent accompagnés de démangeaisons et se transformant en cloques, o au niveau respiratoire : crise d’asthme notamment chez les sujets allergiques à l’aspirine ou à d’autres anti‑inflammatoires non stéroïdiens, o au niveau général, malaise général avec hypotension artérielle, brusque gonflement du visage et du cou pouvant entrainer une difficulté à respirer (œdème de Quincke) et pouvant aller jusqu’au malaise brutal avec baisse importante de la tension artérielle (choc anaphylactique), · saignement digestif (rejet de sang par la bouche ou présence de sang dans les selles (coloration des selles en noir)), d’autant plus fréquent que la posologie utilisée est élevée et la durée de traitement prolongée. · exceptionnellement : réaction exagérée de la peau après exposition au soleil ou aux UV, · très rare : éruption de bulles avec décollement de la peau pouvant rapidement s’étendre à tout le corps et mettre en danger le patient (syndrome de Stevens‑Johnson et syndrome de Lyell). · rarement : des troubles urinaires (douleurs et gêne à uriner, envies fréquentes d’uriner, infection urinaire, présence de sang dans les urines). Ces signes disparaissent une fois le traitement arrêté. · une infection grave de la peau chez les personnes qui souffrent déjà de la varicelle. Vous devez avertir votre médecin si l’un des effets suivants survient : · troubles digestifs tels que : o douleurs dans le ventre, o nausées, vomissements, o diarrhée, constipation, flatulence, o ulcère de l’estomac, o inflammation de l'estomac qui peut causer des douleurs, nausées, vomissement (gastrite), o perforation du tube digestif, o aggravation d’une inflammation de l’intestin, d’une maladie de Crohn, o difficulté pour digérer, o inflammation dans la bouche (stomatite), · gonflements dus à une rétention hydrosodée (œdème), · vertiges, · bourdonnements d’oreille (acouphènes), · taux anormalement bas de plaquettes pouvant se traduire par un saignement du nez ou des gencives qui sera contrôlé par une analyse de sang, anémie due à un saignement. · hyperkaliémie, trouble du fonctionnement des reins et/ou du foie. Ils seront contrôlés par une analyse de sang. · tension artérielle élevée, défaillance du cœur. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez‑en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance ‑ Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER FLANID 200 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout‑à‑l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient FLANID 200 mg, comprimé sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Acide tiaprofénique....................................................................................................... 200 mg pour un comprimé sécable · Les autres composants sont : Amidon de maïs, maltodextrine, silice colloïdale anhydre, talc, stéarate de magnésium. Qu’est-ce que FLANID 200 mg, comprimé sécable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page FLANID se présente sous forme de comprimés sécables (le comprimé peut être coupé en deux). Chaque boîte contient 15 comprimés sécables. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page PIERRE FABRE MEDICAMENT 45 PLACE ABEL GANCE 92100 BOULOGNE FRANCE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page PIERRE FABRE MEDICAMENT 45 PLACE ABEL GANCE 92100 BOULOGNE Fabricant Retour en haut de la page PIERRE FABRE MEDICAMENT PRODUCTION 45 PLACE ABEL GANCE 92100 BOULOGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Ne prenez jamais GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé : · si vous êtes allergique (hypersensible) à la metformine ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6 · si vous avez des problèmes hépatiques · si vous souffrez d’une détérioration sévère de la fonction rénale · si vous avez un diabète non contrôlé avec, par exemple, une hyperglycémie sévère (taux élevé de glucose dans le sang), des nausées, des vomissements, une diarrhée, une perte de poids rapide, une acidose lactique (voir « Risque d'acidose lactique » ci-dessous) ou une acidocétose. En cas d'acidocétose, les substances appelées « corps cétoniques » s’accumulent dans le sang ce qui peut conduire à un pré-coma diabétique. Les symptômes comprennent des douleurs à l'estomac, une respiration rapide et profonde, une somnolence ou si votre haleine présente une odeur fruitée inhabituelle · si vous avez perdu trop d’eau (déshydratation), par exemple suite à une diarrhée persistante ou sévère, ou si vous avez vomi plusieurs fois d’affilée. La déshydratation peut entraîner des problèmes de reins qui peuvent vous mettre en danger d’acidose lactique (voir « Avertissements et précautions ») · si vous avez une infection grave, par exemple une infection des poumons ou des bronches, ou une infection des reins. Des infections sévères peuvent entraîner des problèmes de reins qui peuvent vous mettre en danger d’acidose lactique (voir « Avertissements et précautions ») · si vous prenez un traitement contre l’insuffisance cardiaque aiguë ou si vous avez récemment eu une crise cardiaque, si vous souffrez de graves problèmes de circulation sanguine (tel un choc) ou si vous avez des difficultés respiratoires. Ceci peut entraîner un manque d’apport en oxygène des tissus, qui peut vous mettre en danger d’acidose lactique (voir « Avertissements et précautions ») · si vous consommez beaucoup d’alcool Si l’un des cas ci-dessus s’applique à vous, parlez-en à votre médecin avant de commencer à prendre ce médicament. Veillez à demander conseil à votre médecin si : · vous devez passer un examen radiographique ou un scanner qui pourrait nécessiter l’injection d’un produit de contraste à base d’iode dans votre circulation sanguine · vous devez subir une intervention chirurgicale majeure Vous devez arrêter de prendre GLUCOPHAGE un certain temps avant et après de tels examens ou interventions chirurgicales. Votre médecin décidera si vous avez besoin ou non d’un traitement de remplacement pendant cette période. Il est important que vous suiviez précisément les instructions de votre médecin. Avertissements et précautions Risque d’acidose lactique GLUCOPHAGE peut provoquer un effet indésirable rare, mais très grave, appelé « acidose lactique », en particulier si vos reins ne fonctionnent pas correctement. Le risque de développer une acidose lactique augmente également en cas de diabète mal contrôlé, d’infections graves, de jeûne prolongé ou de consommation d'alcool, de déshydratation (voir informations complémentaires ci-dessous), de problèmes au foie et toutes autres affections médicales pour lesquelles une partie du corps reçoit un apport réduit en oxygène (les maladies cardiaques aiguës sévères, par exemple). Si l’une de ces situations s’applique à vous, adressez-vous à votre médecin pour recevoir des instructions supplémentaires. Arrêtez de prendre GLUCOPHAGE pendant une courte période si vous souffrez d’une affection susceptible d’être associée à une déshydratation (perte importante de liquides corporels) tels des vomissements sévères, de la diarrhée, de la fièvre, une exposition à la chaleur ou si vous buvez moins de liquides que d’habitude. Adressez-vous à votre médecin pour obtenir des instructions supplémentaires. Arrêtez de prendre GLUCOPHAGE et contactez immédiatement un médecin ou l’hôpital le plus proche si vous présentez les symptômes d’une acidose lactique, car cette affection peut entraîner un coma. Les symptômes de l’acidose lactique comprennent : · vomissements · maux d’estomac (douleurs abdominales) · crampes musculaires · sensation générale de malaise associée à une grande fatigue · difficultés à respirer · diminution de la température corporelle et du rythme cardiaque L’acidose lactique est une urgence médicale qui doit être traitée à l’hôpital. Si vous devez subir une opération chirurgicale importante, arrêtez de prendre GLUCOPHAGE au moment de l’opération et pendant un certain temps après l’intervention. Votre médecin décidera du moment où vous devrez arrêter et reprendre votre traitement par GLUCOPHAGE. GLUCOPHAGE à lui seul ne provoque pas d’hypoglycémie (taux de sucre dans le sang trop faible). Cependant, si vous prenez GLUCOPHAGE en même temps que d’autres médicaments pour traiter le diabète qui peuvent engendrer une hypoglycémie (comme les sulfamides hypoglycémiants, l’insuline, les méglitinides), il y a un risque d’hypoglycémie. Si vous ressentez des symptômes d’hypoglycémie, tels que des faiblesses, des vertiges, une augmentation de la transpiration, des battements de cœur rapides, des troubles de la vision ou des difficultés à vous concentrer, boire ou manger quelque chose contenant du sucre devrait vous aider à vous sentir mieux. Pendant votre traitement par GLUCOPHAGE, votre médecin contrôlera votre fonction rénale au moins une fois par an ou plus fréquemment si vous êtes âgé(e) et/ou si votre fonction rénale s’est détériorée. Enfants Sans objet. Autres médicaments et GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé Si vous devez recevoir une injection d’un produit de contraste contenant de l’iode, par exemple, pour une radiographie ou un scanner, vous devrez arrêter de prendre GLUCOPHAGE avant ou au moment de l’injection. Votre médecin décidera du moment où vous devrez arrêter et reprendre la prise de votre traitement par GLUCOPHAGE. Informez votre médecin si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. Vous devrez peut-être passer plus fréquemment des tests de la glycémie ou de la fonction rénale ou votre médecin devra peut-être ajuster la posologie de GLUCOPHAGE. Il est particulièrement important de signaler les médicaments suivants : · les médicaments qui augmentent la production d’urine (diurétiques) · des médicaments utilisés pour traiter la douleur et l’inflammation (AINS ou inhibiteurs de la COX-2, tels que l’ibuprofène et le célécoxib) · certains médicaments utilisés pour traiter l'hypertension artérielle (inhibiteurs de l’ECA et antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II) · agonistes des récepteurs bêta-2-adrénergiques comme le salbutamol ou la terbutaline (utilisés pour traiter l’asthme) · corticostéroïdes (utilisés pour traiter diverses affections, notamment des inflammations sévères de la peau ou l’asthme) · les médicaments qui peuvent modifier la quantité de GLUCOPHAGE dans le sang, en particulier si vous avez une fonction rénale réduite (comme le verapamil, la rifampicine, la cimétidine, le dolutégravir, la ranolazine, le triméthoprime, le vandetanib, l'isavuconazole, le crizotinib et l'olaparib) · autres médicaments utilisés pour traiter le diabète GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé avec de l’alcool Éviter une consommation excessive d'alcool pendant la prise de GLUCOPHAGE, car cela peut augmenter le risque d’acidose lactique (voir la rubrique « Avertissements et précautions »). Grossesse et allaitement Pendant la grossesse, vous avez besoin d’insuline pour traiter votre diabète. Informez votre médecin si vous êtes enceinte, pensez l’être ou prévoyez de l’être, afin qu’il/elle puisse modifier votre traitement. Ce médicament n’est pas recommandé si vous allaitez votre enfant ou si vous avez l’intention de le faire. Conduite de véhicules et utilisation de machines GLUCOPHAGE à lui seul ne provoque pas d’hypoglycémie (taux de sucre dans le sang trop faible). Ceci signifie qu’il n’aura pas d’effet sur votre aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Par contre, faites particulièrement attention si vous prenez GLUCOPHAGE avec d’autres médicaments contre le diabète qui peuvent, eux, provoquer une hypoglycémie (comme les sulfamides hypoglycémiants, l’insuline, les méglitinides). Les symptômes de l’hypoglycémie sont notamment des faiblesses, des vertiges, une augmentation de la transpiration, des battements de cœur rapides, des troubles de la vision ou des difficultés à se concentrer. Ne conduisez pas ou n’utilisez pas de machines si vous commencez à ressentir ces symptômes. GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé contient Sans objet. 3. COMMENT PRENDRE GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. GLUCOPHAGE ne remplace pas les bienfaits d’une bonne hygiène de vie. Continuez de suivre les conseils diététiques de votre médecin et faites régulièrement de l’exercice. Dose recommandée Chez les enfants de 10 ans et plus et les adolescents, le traitement commence habituellement par 500 mg ou 850 mg de GLUCOPHAGE une fois par jour. La dose quotidienne maximale est de 2000 mg en 2 ou 3 prises distinctes. Le traitement des enfants entre 10 et 12 ans est recommandé seulement sur conseils spécifiques de votre médecin, compte-tenu de l’expérience limitée dans ce groupe d’âge. Chez l’adulte, le traitement commence habituellement par 500 mg ou 850 mg de GLUCOPHAGE deux ou trois fois par jour. La dose quotidienne maximale est de 3000 mg en 3 prises distinctes. Si votre fonction rénale est réduite, votre médecin pourra vous prescrire une dose plus faible. Si vous prenez également de l’insuline, votre médecin vous indiquera la dose de GLUCOPHAGE à prendre. Surveillance · Votre médecin contrôlera régulièrement votre taux de sucre dans le sang et adaptera la dose de GLUCOPHAGE que vous prendrez en fonction de votre taux de sucre dans le sang. Veillez à consulter régulièrement votre médecin. Ceci est particulièrement important chez les enfants et chez les adolescents ou si vous êtes âgé(e). · Votre médecin contrôlera également au moins une fois par an l’état de fonctionnement de vos reins. Des contrôles plus fréquents pourront être nécessaires si vous êtes âgé(e) ou si vos reins ne fonctionnent pas normalement. Comment prendre GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé Prenez GLUCOPHAGE pendant ou après un repas. Ceci permettra d’éviter les effets indésirables sur votre digestion. Les comprimés ne doivent pas être écrasés ou mâchés. Avalez chaque comprimé avec un verre d’eau. · Si vous prenez une dose par jour, prenez-la le matin (au petit-déjeuner). · Si vous prenez séparément deux doses par jour, prenez-en une le matin (au petit-déjeuner) et une le soir (au dîner). · Si vous prenez séparément trois doses par jour, prenez-en une le matin (au petit-déjeuner), une le midi (au déjeuner) et une le soir (au dîner). Si, au bout d’un certain temps, vous avez l’impression que les effets de GLUCOPHAGE sont trop forts ou trop faibles, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Si vous avez pris plus de GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû : Si vous avez pris plus de GLUCOPHAGE que vous n’auriez dû, vous pourriez développer une acidose lactique. Les symptômes de l’acidose lactique sont non spécifiques, comme des vomissements, des maux de ventre (douleurs abdominales) avec crampes musculaires, une sensation de mal-être général avec une fatigue intense et des difficultés à respirer. Parmi les autres symptômes, on peut noter une baisse de la température corporelle et du rythme cardiaque. Si vous ressentez l’un de ces symptômes, vous devez consulter immédiatement un médecin car l’acidose lactique peut conduire à un coma. Arrêtez tout de suite de prendre GLUCOPHAGE et contactez immédiatement un médecin ou l’hôpital le plus proche. Si vous oubliez de prendre GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé : Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre. Prenez la dose suivante au moment habituel. Si vous arrêtez de prendre GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé : Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page GLUCOPHAGE peut provoquer un effet indésirable très rare (peut affecter jusqu’à 1 personne sur 10 000), mais très grave appelé acidose lactique (voir rubrique « Avertissements et précautions »). Si cela arrive, arrêtez de prendre GLUCOPHAGE et contactez immédiatement un médecin ou rendez-vous à l’hôpital le plus proche, car l'acidose lactique peut entraîner un coma. Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables suivants peuvent se produire : Effets indésirables très fréquents (observés chez plus d’une personne sur 10) · Troubles digestifs, tels que nausées, vomissements, diarrhées, maux de ventre (douleurs abdominales) et perte d’appétit. Ces effets indésirables se produisent le plus souvent en début de traitement par GLUCOPHAGE. Répartir les doses dans la journée et prendre GLUCOPHAGE pendant ou juste après le repas peut vous aider. Si les symptômes persistent, arrêtez de prendre GLUCOPHAGE et consultez votre médecin. Effets indésirables fréquents (observés chez moins d’une personne sur 10) · Perturbation du goût. Effets indésirables très rares (observés chez moins d’une personne sur 10 000) · Acidose lactique. Cette complication est très rare mais elle est grave, en particulier si vos reins ne fonctionnent pas correctement. Les symptômes de l’acidose lactique sont non spécifiques (voir rubrique « Avertissements et précautions »). · Anomalies des examens biologiques portant sur le foie ou hépatite (inflammation du foie pouvant entraîner une fatigue, une perte d’appétit, une perte de poids, avec ou sans coloration jaune de la peau ou du blanc des yeux). Si vous vous trouvez dans cette situation, arrêtez de prendre GLUCOPHAGE et consultez votre médecin. · Réactions cutanées, telles que rougeur de la peau (érythème), démangeaison ou éruption qui démange (urticaire). · Baisse du taux de vitamine B12 dans le sang. Enfants et adolescents Les données limitées chez les enfants et les adolescents ont montré que les événements indésirables étaient de nature et de sévérité similaires à ceux rapportés chez les adultes. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte ou la plaquette après « EXP ». La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé Retour en haut de la page · La substance active est : Chlorhydrate de metformine............................................................................................ 500 mg Correspondant à metformine base................................................................................... 390 mg Pour un comprimé pelliculé. · Les autres composants sont : Povidone K30, stéarate de magnésium, hypromellose Qu’est-ce que GLUCOPHAGE 500 mg, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé pelliculé, blanc, circulaire et convexe, en boîte de 30, 50, 90, 100, 500 ou 1000 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page MERCK SANTE S.A.S. 37 RUE SAINT ROMAIN 69379 LYON CEDEX 08 Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page MERCK SERONO S.A.S. 37 RUE SAINT ROMAIN 69008 LYON Fabricant Retour en haut de la page MERCK SANTE S.A.S. 2 RUE DU PRESSOIR VERT 45400 SEMOY ou MERCK HEALTHCARE KGaA FRANKFURTER STRASSE 250 64293 DARMSTADT ALLEMAGNE ou MERCK, S.L. POLIGONO MERCK 08100 MOLLET DEL VALLES (BARCELONA) ESPAGNE ou FAMAR LYON 29 AVENUE CHARLES DE GAULLE 69230 SAINT-GENIS-LAVAL Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Ne prenez jamais GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé : · si vous êtes allergique (hypersensible) à la metformine ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6 · si vous avez des problèmes hépatiques · si vous souffrez d’une détérioration sévère de la fonction rénale · si vous avez un diabète non contrôlé avec, par exemple, une hyperglycémie sévère (taux élevé de glucose dans le sang), des nausées, des vomissements, une diarrhée, une perte de poids rapide, une acidose lactique (voir « Risque d'acidose lactique » ci-dessous) ou une acidocétose. En cas d'acidocétose, les substances appelées « corps cétoniques » s’accumulent dans le sang ce qui peut conduire à un pré-coma diabétique. Les symptômes comprennent des douleurs à l'estomac, une respiration rapide et profonde, une somnolence ou si votre haleine présente une odeur fruitée inhabituelle. · si vous avez perdu trop d’eau (déshydratation), par exemple suite à une diarrhée persistante ou sévère, ou si vous avez vomi plusieurs fois d’affilée. La déshydratation peut entraîner des problèmes de reins qui peuvent vous mettre en danger d’acidose lactique (voir « Avertissements et précautions ») · si vous avez une infection grave, par exemple une infection des poumons ou des bronches, ou une infection des reins. Des infections sévères peuvent entraîner des problèmes de reins qui peuvent vous mettre en danger d’acidose lactique (voir « Avertissements et précautions ») · si vous prenez un traitement contre l’insuffisance cardiaque aiguë ou si vous avez récemment eu une crise cardiaque, si vous souffrez de graves problèmes de circulation sanguine (tel un choc) ou si vous avez des difficultés respiratoires. Ceci peut entraîner un manque d’apport en oxygène des tissus, qui peut vous mettre en danger d’acidose lactique (voir « Avertissements et précautions ») · si vous consommez beaucoup d’alcool Si l’un des cas ci-dessus s’applique à vous, parlez-en à votre médecin avant de commencer à prendre ce médicament. Veillez à demander conseil à votre médecin si : · vous devez passer un examen radiographique ou un scanner qui pourrait nécessiter l’injection d’un produit de contraste à base d’iode dans votre circulation sanguine · vous devez subir une intervention chirurgicale majeure Vous devez arrêter de prendre Glucophage un certain temps avant et après de tels examens ou interventions chirurgicales. Votre médecin décidera si vous avez besoin ou non d’un traitement de remplacement pendant cette période. Il est important que vous suiviez précisément les instructions de votre médecin. Avertissements et précautions Risque d’acidose lactique Glucophage peut provoquer un effet indésirable rare, mais très grave, appelé «acidose lactique», en particulier si vos reins ne fonctionnent pas correctement. Le risque de développer une acidose lactique augmente également en cas de diabète mal contrôlé, d’infections graves, de jeûne prolongé ou de consommation d'alcool, de déshydratation (voir informations complémentaires ci-dessous), de problèmes au foie et toutes autres affections médicales pour lesquelles une partie du corps reçoit un apport réduit en oxygène (les maladies cardiaques aiguës sévères, par exemple). Si l’une de ces situations s’applique à vous, adressez-vous à votre médecin pour recevoir des instructions supplémentaires. Arrêtez de prendre Glucophage pendant une courte période si vous souffrez d’une affection susceptible d’être associée à une déshydratation (perte importante de liquides corporels) tels des vomissements sévères, de la diarrhée, de la fièvre, une exposition à la chaleur ou si vous buvez moins de liquides que d’habitude. Adressez-vous à votre médecin pour obtenir des instructions supplémentaires.Arrêtez de prendre Glucophage et contactez immédiatement un médecin ou l’hôpital le plus proche si vous présentez les symptômes d’une acidose lactique, car cette affection peut entraîner un coma. Les symptômes de l’acidose lactique comprennent : · vomissements · maux d’estomac (douleurs abdominales) · crampes musculaires · sensation générale de malaise associée à une grande fatigue · difficultés à respirer · diminution de la température corporelle et du rythme cardiaque · L’acidose lactique est une urgence médicale qui doit être traitée à l’hôpital. Si vous devez subir une opération chirurgicale importante, arrêtez de prendre Glucophage au moment de l’opération et pendant un certain temps après l’intervention. Votre médecin décidera du moment où vous devrez arrêter et reprendre votre traitement par Glucophage. Glucophage à lui seul ne provoque pas d’hypoglycémie (taux de sucre dans le sang trop faible). Cependant, si vous prenez Glucophage en même temps que d’autres médicaments pour traiter le diabète qui peuvent engendrer une hypoglycémie (comme les sulfamides hypoglycémiants, l’insuline, les méglitinides), il y a un risque d’hypoglycémie. Si vous ressentez des symptômes d’hypoglycémie, tels que des faiblesses, des vertiges, une augmentation de la transpiration, des battements de cœur rapides, des troubles de la vision ou des difficultés à vous concentrer, boire ou manger quelque chose contenant du sucre devrait vous aider à vous sentir mieux. Pendant votre traitement par Glucophage, votre médecin contrôlera votre fonction rénale au moins une fois par an ou plus fréquemment si vous êtes âgé(e) et/ou si votre fonction rénale s’est détériorée. Enfants Sans objet. Autres médicaments et GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé Si vous devez recevoir une injection d’un produit de contraste contenant de l’iode, par exemple, pour une radiographie ou un scanner, vous devrez arrêter de prendre Glucophage avant ou au moment de l’injection. Votre médecin décidera du moment où vous devrez arrêter et reprendre la prise de votre traitement par Glucophage. Informez votre médecin si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. Vous devrez peut-être passer plus fréquemment des tests de la glycémie ou de la fonction rénale ou votre médecin devra peut-être ajuster la posologie de Glucophage. Il est particulièrement important de signaler les médicaments suivants : · les médicaments qui augmentent la production d’urine (diurétiques) · des médicaments utilisés pour traiter la douleur et l’inflammation (AINS ou inhibiteurs de la COX-2, tels que l’ibuprofène et le célécoxib) · certains médicaments utilisés pour traiter l'hypertension artérielle (inhibiteurs de l’ECA et antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II) · agonistes des récepteurs bêta-2-adrénergiques comme le salbutamol ou la terbutaline (utilisés pour traiter l’asthme) · corticostéroïdes (utilisés pour traiter diverses affections, notamment des inflammations sévères de la peau ou l’asthme) · les médicaments qui peuvent modifier la quantité de Glucophage dans le sang, en particulier si vous avez une fonction rénale réduite (comme le verapamil, la rifampicine, la cimétidine, le dolutégravir, la ranolazine, le triméthoprime, le vandetanib, l'isavuconazole, le crizotinib et l'olaparib) · autres médicaments utilisés pour traiter le diabète. GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé avec de l’alcool Éviter une consommation excessive d'alcool pendant la prise de Glucophage, car cela peut augmenter le risque d’acidose lactique (voir la rubrique « Avertissements et précautions »). Grossesse et allaitement Pendant la grossesse, vous avez besoin d’insuline pour traiter votre diabète. Informez votre médecin si vous êtes enceinte, pensez l’être ou prévoyez de l’être, afin qu’il/elle puisse modifier votre traitement. Ce médicament n’est pas recommandé si vous allaitez votre enfant ou si vous avez l’intention de le faire. Conduite de véhicules et utilisation de machines Glucophage à lui seul ne provoque pas d’hypoglycémie (taux de sucre dans le sang trop faible). Ceci signifie qu’il n’aura pas d’effet sur votre aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Par contre, faites particulièrement attention si vous prenez Glucophage avec d’autres médicaments contre le diabète qui peuvent, eux, provoquer une hypoglycémie (comme les sulfamides hypoglycémiants, l’insuline, les méglitinides). Les symptômes de l’hypoglycémie sont notamment des faiblesses, des vertiges, une augmentation de la transpiration, des battements de cœur rapides, des troubles de la vision ou des difficultés à se concentrer. Ne conduisez pas ou n’utilisez pas de machines si vous commencez à ressentir ces symptômes. GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé contient Sans objet. 3. COMMENT PRENDRE GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Glucophage ne remplace pas les bienfaits d’une bonne hygiène de vie. Continuez de suivre les conseils diététiques de votre médecin et faites régulièrement de l’exercice. Dose recommandée Chez les enfants de 10 ans et plus et les adolescents, le traitement commence habituellement par 500 mg ou 850 mg de Glucophage une fois par jour. La dose quotidienne maximale est de 2000 mg en 2 ou 3 prises distinctes. Le traitement des enfants entre 10 et 12 ans est recommandé seulement sur conseils spécifiques de votre médecin, compte-tenu de l’expérience limitée dans ce groupe d’âge. Chez l’adulte, le traitement commence habituellement par 500 mg ou 850 mg de Glucophage deux ou trois fois par jour. La dose quotidienne maximale est de 3000 mg en 3 prises distinctes. Si votre fonction rénale est réduite, votre médecin pourra vous prescrire une dose plus faible. Si vous prenez également de l’insuline, votre médecin vous indiquera la dose de Glucophage à prendre. Surveillance · Votre médecin contrôlera régulièrement votre taux de sucre dans le sang et adaptera la dose de Glucophage que vous prendrez en fonction de votre taux de sucre dans le sang. Veillez à consulter régulièrement votre médecin. Ceci est particulièrement important chez les enfants et chez les adolescents ou si vous êtes âgé(e). · Votre médecin contrôlera également au moins une fois par an l’état de fonctionnement de vos reins. Des contrôles plus fréquents pourront être nécessaires si vous êtes âgé(e) ou si vos reins ne fonctionnent pas normalement. Comment prendre GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé Prenez Glucophage pendant ou après un repas. Ceci permettra d’éviter les effets indésirables sur votre digestion. Les comprimés ne doivent pas être écrasés ou mâchés. Avalez chaque comprimé avec un verre d’eau. · Si vous prenez une dose par jour, prenez-la le matin (au petit-déjeuner). · Si vous prenez séparément deux doses par jour, prenez-en une le matin (au petit-déjeuner) et une le soir (au dîner). · Si vous prenez séparément trois doses par jour, prenez-en une le matin (au petit-déjeuner), une le midi (au déjeuner) et une le soir (au dîner). Si, au bout d’un certain temps, vous avez l’impression que les effets de Glucophage sont trop forts ou trop faibles, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Si vous avez pris plus de GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû : Si vous avez pris plus de Glucophage que vous n’auriez dû, vous pourriez développer une acidose lactique. Les symptômes de l’acidose lactique sont non spécifiques, comme des vomissements, des maux de ventre (douleurs abdominales) avec crampes musculaires, une sensation de mal-être général avec une fatigue intense et des difficultés à respirer. Parmi les autres symptômes, on peut noter une baisse de la température corporelle et du rythme cardiaque. Si vous ressentez l’un de ces symptômes, vous devez consulter immédiatement un médecin car l’acidose lactique peut conduire à un coma. Arrêtez tout de suite de prendre Glucophage et contactez immédiatement un médecin ou l’hôpital le plus proche. Si vous oubliez de prendre GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé : Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre. Prenez la dose suivante au moment habituel. Si vous arrêtez de prendre GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé : Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Glucophage peut provoquer un effet indésirable très rare (peut affecter jusqu’à 1 personne sur 10 000), mais très grave appelé acidose lactique (voir rubrique « Avertissements et précautions »). Si cela arrive, arrêtez de prendre Glucophage et contactez immédiatement un médecin ou rendez-vous à l’hôpital le plus proche, car l'acidose lactique peut entraîner un coma. Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables suivants peuvent se produire : Effets indésirables très fréquents (observés chez plus d’une personne sur 10) · Troubles digestifs, tels que nausées, vomissements, diarrhées, maux de ventre (douleurs abdominales) et perte d’appétit. Ces effets indésirables se produisent le plus souvent en début de traitement par Glucophage. Répartir les doses dans la journée et prendre Glucophage pendant ou juste après le repas peut vous aider. Si les symptômes persistent, arrêtez de prendre Glucophage et consultez votre médecin. Effets indésirables fréquents (observés chez moins d’une personne sur 10) · Perturbation du goût. Effets indésirables très rares (observés chez moins d’une personne sur 10 000) · Acidose lactique. Cette complication est très rare mais elle est grave, en particulier si vos reins ne fonctionnent pas correctement. Les symptômes de l’acidose lactique sont non spécifiques (voir rubrique « Avertissements et précautions »). · Anomalies des examens biologiques portant sur le foie ou hépatite (inflammation du foie pouvant entraîner une fatigue, une perte d’appétit, une perte de poids, avec ou sans coloration jaune de la peau ou du blanc des yeux). Si vous vous trouvez dans cette situation, arrêtez de prendre Glucophage et consultez votre médecin. · Réactions cutanées, telles que rougeur de la peau (érythème), démangeaison ou éruption qui démange (urticaire). · Baisse du taux de vitamine B12 dans le sang. Enfants et adolescents Les données limitées chez les enfants et les adolescents ont montré que les événements indésirables étaient de nature et de sévérité similaires à ceux rapportés chez les adultes. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte ou la plaquette après « EXP ». La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé Retour en haut de la page · La substance active est : Chlorhydrate de metformine.................................................................................................. 850 mg Correspondant à metformine base...................................................................................... 662,9 mg Pour un comprimé pelliculé. · Les autres composants sont : Povidone K30, stéarate de magnésium, hypromellose Qu’est-ce que GLUCOPHAGE 850 mg, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé pelliculé, blanc, circulaire et convexe, en boîte de 10, 30, 50, 60, 90, 100 ou 300 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page MERCK SANTE S.A.S. 37 RUE SAINT ROMAIN 69379 LYON CEDEX 08 Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page MERCK SERONO S.A.S. 37 RUE SAINT ROMAIN 69008 LYON Fabricant Retour en haut de la page MERCK SANTE S.A.S. 2 RUE DU PRESSOIR VERT 45400 SEMOY ou MERCK HEALTHCARE KGaA FRANKFURTER STRASSE 250 64293 DARMSTADT ALLEMAGNE ou MERCK, S.L. POLIGONO MERCK 08100 MOLLET DEL VALLES (BARCELONA) ESPAGNE ou N. PETSIAVAS S.A 21 AGION ANARGYRON ST. KALYFTAKI, KATO KIFISSIA 14564 ATHENS GRECE ou FAMAR LYON 29 AVENUE CHARLES DE GAULLE 69230 SAINT-GENIS-LAVAL Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [À compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Ne prenez jamais GRISEFULINE 250 mg, comprimé sécable dans les cas suivants : · si vous êtes allergique à la griséofulvine ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6 ; · Porphyrie (maladie du foie) ; · Lupus érythémateux. Avertissements et précautions Faites attention avec GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable : · Eviter de vous exposer au soleil pendant et juste après le traitement, pour éviter toute réaction de type « coup de soleil ». · Si vous présentez une réaction allergique grave (syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse, DRESS) consultez immédiatement votre médecin. Autres médicaments et GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable La prise de ce médicament peut diminuer l'efficacité d'une contraception orale (pilule). Prévenez votre médecin de la prise de contraception orale. La prise de médicament contenant de l’alcool est déconseillée pendant toute la durée du traitement, sous peine d'apparition d'un effet antabuse caractérisé par un malaise général avec sensation de chaleur, une rougeur du visage, des vomissements, une accélération du pouls. Veuillez indiquer à votre médecin ou à votre pharmacien si vous prenez ou avez pris récemment un autre médicament, même s'il s'agit d'un médicament obtenu sans ordonnance. GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable avec des aliments, boissons et de l’alcool La consommation d'alcool est déconseillée pendant toute la durée du traitement, sous peine d'apparition d'un effet antabuse caractérisé par un malaise général avec sensation de chaleur, une rougeur du visage, des vomissements, une accélération du pouls. Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse L'utilisation de ce médicament est déconseillée pendant la grossesse. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, consultez rapidement votre médecin, lui seul pourra adapter le traitement à votre état. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Allaitement En l'absence de données relatives au passage dans le lait maternel, l'utilisation de ce médicament est déconseillée pendant l'allaitement. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Conduite de véhicules et utilisation de machines Risques de vertige, confusion et somnolence liés à l’utilisation de ce médicament. Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l’alcool. GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable contient : Cellulose microcristalline, povidone K90, laurylsulfate de sodium, copolyméthacrylate de potassium, stéarate de magnésium, silice colloïdale anhydre 3. COMMENT PRENDRE UTILISER GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Posologie La dose habituelle et la durée du traitement sont variables en fonction de l'affection à traiter. Dans tous les cas, respectez strictement la prescription de votre médecin. Mode et voie d'administration Voie orale. Avalez les comprimés, au cours des repas avec un grand verre d'eau. Chez l'enfant de moins de 6 ans, les comprimés seront finement broyés et mélangés avec un aliment liquide. Si vous avez pris plus de GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable que vous n’auriez dû Sans objet. Si vous oubliez de prendre GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable Sans objet. Si vous arrêtez de prendre GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde : · Maux de tête, vertiges, nausées, irritabilité, confusion ; · Insomnie ou, à l'inverse, somnolence ; · Effet antabuse en présence d'alcool: chaleur, rougeur, vomissements, tachycardie (voir rubrique « Prise ou utilisation d'autres médicaments » : · Diminution de l'appétit, perturbation du goût, sensation de soif, nausée ; · Parfois, allergies cutanées pouvant rarement être graves; réactions au soleil (voir rubrique « Faites attention avec GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable » ; · De manière exceptionnelle, perturbation des fonctions du foie ; · Risque et aggravation des manifestations d'un lupus érythémateux ; · Trouble biologique portant sur la formule sanguine. · Fréquence indéterminée : Réaction allergique grave (syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse, DRESS) associant éventuellement plusieurs symptômes tels qu’une éruption cutanée, de la fièvre, une augmentation de la taille des ganglions, ou des anomalies des examens sanguins (éosinophilie ou troubles au niveau du foie). Si vous présentez de tels signes, consultez immédiatement votre médecin. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le conditionnement extérieur. A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Griséofulvine.................................................................................................................. 500 mg · Les autres composants sont : Cellulose microcristalline, povidone K90, laurylsulfate de sodium, copolyméthacrylate de potassium, stéarate de magnésium, silice colloïdale anhydre Qu’est-ce que GRISEFULINE 500 mg, comprimé sécable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Comprimé sécable, boîte de 20 ou 30 comprimés sécables. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page SANOFI-AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 gENTILLY Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page SANOFI-AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 gENTILLY Fabricant Retour en haut de la page SANOFI AVENTIS S.A CTRA. C35 LA BATLLORIA A HOSTALRIC, KM 63.09 17404 RIELLS I VIABREA (GIRONA) ESPAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE HALDOL 5 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Ne prenez jamais HALDOL si : · vous êtes allergique à l’halopéridol ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6 · votre niveau de conscience est altéré ou si vos réactions deviennent anormalement lentes · vous avez une maladie de Parkinson · vous avez un type de démence appelé « démence à corps de Lewy » · vous avez une paralysie supranucléaire progressive (PSP) · vous avez une maladie cardiaque appelée « allongement de l’intervalle QT » ou tout autre trouble du rythme cardiaque mis en évidence par un tracé anormal sur l’électrocardiogramme (ECG) · vous avez une insuffisance cardiaque ou avez récemment eu une crise cardiaque · le taux de potassium dans votre sang est faible et que vous n’avez pas reçu de traitement pour cela · vous prenez l’un des médicaments mentionnés dans la rubrique « Autres médicaments et HALDOL - Ne prenez pas HALDOL si vous prenez d’autres médicaments pour traiter ». Ne prenez pas ce médicament si vous vous trouvez dans l’une des situations décrites ci-dessus. En cas de doute, adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre HALDOL. Avertissements et précautions Effets indésirables graves HALDOL peut provoquer des problèmes cardiaques, des difficultés à contrôler les mouvements du corps ou des membres et un effet indésirable grave appelé « syndrome malin des neuroleptiques ». Il peut également entraîner des réactions allergiques sévères et des caillots sanguins. Vous devez avoir connaissance des effets indésirables graves possibles pendant la prise d’HALDOL car vous pourriez avoir besoin d’un traitement médical en urgence, le cas échéant. Voir « Soyez attentif aux effets indésirables graves » dans la rubrique 4. Personnes âgées et personnes atteintes de démence Une légère augmentation de la mortalité et des accidents vasculaires cérébraux a été signalée chez les personnes âgées atteintes de démence prenant des antipsychotiques. Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre HALDOL si vous êtes âgé(e), en particulier si vous souffrez de démence. Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien si vous présentez : · un rythme cardiaque lent, une maladie cardiaque, ou si quelqu’un de votre famille proche est décédé subitement à cause de problèmes cardiaques · une tension artérielle basse ou des vertiges lorsque vous vous levez ou vous asseyez · un faible taux de potassium ou de magnésium (ou d’un autre électrolyte) dans votre sang. Votre médecin déterminera comment traiter ce problème · des antécédents de saignement dans le cerveau, ou si votre médecin vous a indiqué que vous risquiez plus que les autres d’avoir un AVC · une épilepsie ou avez déjà fait des crises épileptiques (convulsions) · des problèmes de reins, de foie ou de thyroïde · un taux élevé de l’hormone appelée « prolactine » dans votre sang, ou un cancer pouvant être provoqué par des taux élevés de prolactine (comme le cancer du sein) · des antécédents de caillots sanguins, ou si un membre de votre famille a des antécédents de caillots sanguins · une dépression ou si vous êtes atteint(e) de trouble bipolaire et commencez à vous sentir déprimé(e). Vous pourriez avoir besoin d’une surveillance plus étroite et il pourrait être nécessaire de modifier la quantité d’HALDOL que vous prenez. Si vous n’êtes pas sûr(e) de savoir si vous êtes concerné(e) par l’une des situations ci-dessus, adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre HALDOL. Contrôles médicaux Votre médecin pourra décider de réaliser un électrocardiogramme (ECG) avant ou pendant votre traitement par HALDOL. L’ECG mesure l’activité électrique de votre cœur. Analyses sanguines Votre médecin pourra décider de contrôler les taux de potassium ou de magnésium (ou d’un autre électrolyte) dans votre sang avant ou pendant votre traitement par HALDOL. Enfants âgés de moins de 6 ans HALDOL ne doit pas être utilisé chez les enfants âgés de moins de 6 ans car il n’a pas été convenablement étudié chez cette classe d’âge. Autres médicaments et HALDOL 5 mg, comprimé Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. Ne prenez pas HALDOL si vous prenez d’autres médicaments pour traiter : · des problèmes cardiaques (comme l’amiodarone, le dofétilide, le disopyramide, la dronédarone, l’ibutilide, la quinidine et le sotalol) · une dépression (comme le citalopram et l’escitalopram) · une psychose (comme la fluphénazine, la lévomépromazine, la perphénazine, le pimozide, la prochlorpérazine, la promazine, le sertindole, la thiorizadine, la trifluopérazine, la triflupromazine et la ziprasidone) · une infection bactérienne (comme l’azithromycine, la clarithromycine, l’érythromycine, la lévofloxacine, la moxifloxacine et la télithromycine) · une infection fongique (comme la pentamidine) · le paludisme (comme l’halofantrine) · les nausées et vomissements (comme le dolasétron) · un cancer (comme le torémifène et le vandétanib). · Prévenez également votre médecin si vous prenez du bépridil (pour des douleurs thoraciques ou pour faire baisser votre tension artérielle) ou de la méthadone (comme antidouleur ou pour traiter une toxicomanie). Ces médicaments pourraient augmenter le risque de problèmes cardiaques ; par conséquent, si vous prenez l’un de ces médicaments, parlez-en à votre médecin et ne prenez pas HALDOL (voir « Ne prenez jamais HALDOL si »). Une surveillance particulière pourrait être nécessaire si vous prenez du lithium en même temps qu’HALDOL. Prévenez immédiatement votre médecin et arrêtez de prendre les deux médicaments si vous présentez : · une fièvre inexplicable ou des mouvements incontrôlables · une confusion, une désorientation, des maux de tête, des problèmes d’équilibre et des somnolences. Ces signes indiquent une maladie grave. Certains médicaments pourraient altérer le fonctionnement d’HALDOL ou augmenter le risque de problèmes cardiaques Informez votre médecin si vous prenez : · de l’alprazolam ou de la buspirone (pour l’anxiété) · de la duloxétine, de la fluoxétine, de la fluvoxamine, de la néfazodone, de la paroxétine, de la sertraline, du millepertuis (Hypericum perforatum) ou de la venlafaxine (pour la dépression) · du bupropion (pour la dépression ou l’aide à l’arrêt du tabac) · de la carbamazépine, du phénobarbital ou de la phénytoïne (pour l’épilepsie) · de la rifampicine (pour une infection bactérienne) · de l’itraconazole, du posaconazole ou du voriconazole (pour une infection fongique) · du kétoconazole en comprimés (pour traiter le syndrome de Cushing) · de l’indinavir, du ritonavir ou du saquinavir (pour une infection par le virus de l’immunodéficience humaine, le VIH) · de la chlorpromazine ou de la prométhazine (pour des nausées et vomissements) · du vérapamil (pour la pression artérielle ou les problèmes cardiaques). Prévenez également votre médecin si vous prenez un autre médicament pour faire baisser votre tension artérielle, tel qu’un diurétique. Si vous prenez l’un de ces médicaments, votre médecin devra peut-être modifier votre dose d’HALDOL. HALDOL peut altérer le fonctionnement des types de médicaments suivants Informez votre médecin si vous prenez des médicaments pour : · vous calmer ou vous aider à dormir (tranquillisants) · la douleur (antalgiques puissants) · la dépression (« antidépresseurs tricycliques ») · faire baisser votre tension artérielle (comme la guanéthidine et la méthyldopa) · des réactions allergiques sévères (adrénaline) · un trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) ou une narcolepsie (médicaments appelés « stimulants ») · une maladie de Parkinson (comme la lévodopa) · fluidifier le sang (phénindione). Adressez-vous à votre médecin avant de prendre HALDOL si vous prenez l’un de ces médicaments. HALDOL 5 mg, comprimé avec de l’alcool La consommation d’alcool pendant le traitement par HALDOL peut entraîner des somnolences et une perte de vigilance. Vous devez donc faire attention à la quantité d’alcool que vous consommez. Parlez avec votre médecin de la consommation d’alcool pendant le traitement par HALDOL et indiquez-lui en quelle quantité vous en consommez. Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse : si vous êtes enceinte, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin. Votre médecin pourra vous conseiller de ne pas prendre HALDOL pendant votre grossesse. Chez les nouveau-nés dont les mères ont pris HALDOL pendant les 3 derniers mois de la grossesse (dernier trimestre), les problèmes suivants pourraient survenir : · tremblements musculaires, raideur ou faiblesse des muscles · somnolences ou agitation · difficultés à respirer ou à s’alimenter. La fréquence exacte de ces problèmes n’est pas connue. Si vous avez pris HALDOL pendant votre grossesse et que l’un de ces effets indésirables apparaît chez votre enfant, contactez votre médecin. Allaitement : si vous allaitez ou prévoyez d’allaiter, parlez-en à votre médecin. En effet, de petites quantités du médicament pourraient passer dans le lait maternel et être absorbées par l’enfant. Votre médecin vous expliquera quels sont les risques et les bénéfices liés à l’allaitement pendant le traitement par HALDOL. Fertilité : HALDOL pourrait augmenter le taux d’une hormone appelée « prolactine », ce qui pourrait altérer la fertilité masculine et féminine. Si vous avez des questions à ce sujet, adressez-vous à votre médecin. Conduite de véhicules et utilisation de machines HALDOL peut altérer votre aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Des effets indésirables, tels que la somnolence, peuvent altérer votre vigilance, en particulier lors de la première utilisation ou après administration d’une dose élevée. Ne conduisez pas de véhicules et n’utilisez pas d’outils ou de machines sans en avoir discuté au préalable avec votre médecin. HALDOL 5 mg, comprimé contient du lactose Si votre médecin vous a informé(e) d’une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. 3. COMMENT PRENDRE HALDOL 5 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Quelle quantité devez-vous prendre ? Votre médecin vous indiquera le nombre de comprimés à prendre et la durée du traitement. Votre médecin vous indiquera également si vous devez prendre HALDOL en une fois ou en plusieurs prises chaque jour. Il peut falloir un certain temps pour que le médicament fasse pleinement effet. En principe, votre médecin vous prescrira d’abord une faible dose, qu’il ajustera ensuite selon vos besoins. Il est très important que vous preniez une dose adaptée. La dose d’halopéridol que vous prendrez dépendra : · de votre âge · de la maladie traitée · de l’état de vos reins ou votre foie · des autres médicaments que vous prenez. Adultes · La dose sera normalement comprise entre 0,5 mg et 10 mg par jour. · Votre médecin pourra l’ajuster de façon à trouver la dose qui vous convient le mieux. · La dose maximale pouvant être utilisée chez l’adulte dépend de la maladie pour laquelle vous êtes traité et varie entre 5 mg et 20 mg par jour. Personnes âgées · En principe, les personnes âgées commenceront le traitement à 0,5 mg par jour ou avec la moitié de la plus faible dose utilisée chez l’adulte. · Le nombre de comprimés à prendre sera ensuite ajusté jusqu’à ce que le médecin trouve la dose qui vous convient le mieux. · La dose maximale pouvant être utilisée chez les personnes âgées est de 5 mg par jour sauf si votre médecin décide qu’une dose supérieure est nécessaire. Enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans · La dose sera normalement comprise entre 0,5 mg et 3 mg par jour. · Jusqu’à l’âge de 17 ans, les adolescents traités pour une schizophrénie ou des troubles comportementaux peuvent recevoir une dose plus élevée, pouvant aller jusqu’à 5 mg par jour. Prise d’HALDOL · HALDOL doit être administré par voie orale. · Avalez les comprimés avec de l’eau. Si vous avez pris plus d’HALDOL 5 mg, comprimé que vous n’auriez dû Si vous avez pris plus d’HALDOL que vous n’auriez dû ou si une autre personne a pris HALDOL, contactez un médecin ou rendez-vous immédiatement aux urgences de l’hôpital le plus proche. Si vous oubliez de prendre HALDOL 5 mg, comprimé · Si vous avez oublié de prendre une dose, prenez la dose suivante à l’heure habituelle. Continuez ensuite le traitement comme indiqué par votre médecin. · Ne prenez pas de dose double. Si vous arrêtez de prendre HALDOL 5 mg, comprimé Sauf indication contraire de votre médecin, l’arrêt du traitement par HALDOL doit être progressif. L’arrêt brutal du traitement pourrait entraîner des effets tels que : · Nausées et vomissements · Troubles du sommeil. Veillez à toujours suivre scrupuleusement les instructions de votre médecin. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Soyez attentif aux effets indésirables graves Informez immédiatement votre médecin si vous remarquez ou suspectez l’un des effets indésirables suivants. Vous pourriez avoir besoin d’un traitement médical en urgence. Problèmes cardiaques : · Rythme cardiaque anormal, empêchant le cœur de fonctionner normalement et pouvant provoquer une perte de conscience · Rythme cardiaque anormalement rapide · Battements de cœur supplémentaires Les problèmes cardiaques sont peu fréquents chez les personnes prenant HALDOL (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 100). Des cas de mort subite se sont produits chez des patients prenant ce médicament, mais la fréquence exacte de ces décès n’est pas connue. Des arrêts cardiaques (cœur qui s’arrête de battre) se sont également produits chez des personnes prenant des antipsychotiques. Problème grave appelé « syndrome malin des neuroleptiques », qui provoque une forte fièvre, une raideur musculaire sévère, une confusion et une perte de conscience. Sa survenue est rare chez les personnes prenant HALDOL (peut affecter jusqu’à 1 personne sur 1 000). Problèmes de contrôle des mouvements du corps ou des membres (syndrome extrapyramidal), notamment : · des mouvements de la bouche, de la langue, de la mâchoire et parfois des membres (dyskinésie tardive) · une agitation ou des difficultés à rester assis sans bouger, une amplification des mouvements du corps · des mouvements du corps ralentis ou réduits, des mouvements saccadés ou erratiques · un tremblement ou une raideur musculaire, un pas traînant · une incapacité à bouger · une expression figée du visage pouvant faire penser à un masque. Ces problèmes sont très fréquents chez les personnes prenant HALDOL (peuvent affecter plus d’une personne sur 10). Si vous présentez l’un de ces effets, un médicament supplémentaire pourra vous être prescrit. Réaction allergique sévère, avec notamment : · un gonflement du visage, des lèvres, de la bouche, de la langue ou de la gorge · des difficultés à avaler ou à respirer · une éruption cutanée avec démangeaisons (urticaire). Les réactions allergiques sont peu fréquentes chez les personnes prenant HALDOL (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 100). Caillots sanguins dans les veines, généralement dans les jambes (thrombose veineuse profonde, TVP). Ce problème a été signalé chez des personnes prenant des antipsychotiques. Les signes d’une TVP dans la jambe comprennent un gonflement, une douleur et une rougeur au niveau de la jambe, mais le caillot peut également se déplacer vers les poumons et provoquer une douleur thoracique et des difficultés à respirer. Les caillots sanguins peuvent être très graves ; vous devez donc prévenir immédiatement votre médecin si vous remarquez l’un de ces problèmes. Informez immédiatement votre médecin si vous remarquez l’un des effets indésirables graves mentionnés ci-dessus. Autres effets indésirables Informez votre médecin si vous remarquez ou suspectez l’un des effets indésirables suivants. Très fréquent (pouvant affecter plus d’1 personne sur 10) : · Agitation · Troubles du sommeil · Maux de tête. Fréquent (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 10) : · Graves problèmes de santé mentale, comme croire des choses qui ne sont pas vraies (illusions) ou voir, ressentir, entendre ou sentir des choses qui ne sont pas réelles (hallucinations) · Dépression · Tension musculaire anormale · Sensations de vertiges, y compris en s’asseyant ou en se levant · Somnolences · Mouvement des yeux vers le haut ou mouvements des yeux rapides impossibles à contrôler · Problèmes de vision, tels qu’une vision floue · Tension artérielle basse · Nausées, vomissements · Constipation · Bouche sèche ou augmentation de la production de salive · Éruption cutanée · Incapacité à uriner ou à vider complètement la vessie · Difficultés à obtenir et maintenir une érection (impuissance) · Prise ou perte de poids · Modifications mises en évidence par les analyses sanguines visant à contrôler le fonctionnement du foie. Peu fréquent (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 100) : · Effets sur les cellules sanguines – diminution de tous les types de cellules sanguines, y compris des réductions sévères des globules blancs et une diminution des plaquettes (les cellules qui aident le sang à coaguler) · Confusion · Perte ou diminution du désir sexuel · Crises épileptiques (convulsions) · Raideur des muscles et des articulations · Spasmes, secousses ou contractions musculaires impossibles à contrôler, y compris un spasme de la nuque faisant pencher la tête d’un côté · Troubles de la marche · Essoufflement · Inflammation du foie ou problème de foie entraînant un jaunissement de la peau ou des yeux (jaunisse) · Sensibilité accrue de la peau au soleil · Démangeaisons · Transpiration excessive · Modifications du cycle menstruel (règles), telles qu’une absence de règles ou des règles prolongées, abondantes, douloureuses · Production inattendue de lait maternel · Douleur ou gêne à la poitrine · Température corporelle élevée · Gonflement dû à l’accumulation de liquide dans le corps. Rare (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 1 000) : · Taux élevé de l’hormone appelée « prolactine » dans le sang · Rétrécissement des voies aériennes dans les poumons, entraînant des difficultés à respirer · Difficultés ou incapacité à ouvrir la bouche · Problèmes lors des rapports sexuels Les effets indésirables suivants ont également été signalés, mais leur fréquence exacte n’est pas connue : · Taux élevé d’hormone antidiurétique dans le sang (syndrome de sécrétion inappropriée d’hormone antidiurétique) · Faible taux de sucre dans le sang · Gonflement autour du larynx ou bref spasme des cordes vocales, pouvant entraîner des difficultés à parler ou à respirer · Défaillance soudaine du foie · Diminution du flux de bile dans les canaux biliaires · Peau qui s’écaille ou qui pèle · Inflammation des petits vaisseaux sanguins, entraînant une éruption cutanée accompagnée de petits boutons rouges ou violets · Destruction du tissu musculaire (rhabdomyolyse) · Érection persistante et douloureuse du pénis · Augmentation du volume des seins chez les hommes · Température corporelle basse. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HALDOL 5 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la plaquette ou sur la boîte après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HALDOL 5 mg, comprimé Retour en haut de la page · La substance active est : Halopéridol........................................................................................................................... 5,0 mg Pour un comprimé. · Les autres composants sont : Lactose monohydraté, amidon de maïs, talc, huile de coton hydrogénée, indigotindisulfonate de sodium (E 132). Qu’est-ce que HALDOL 5 mg, comprimé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Les comprimés d’HALDOL 5 mg sont bleus et ronds avec une gravure en croix sur une face et portant l’inscription « JANSSEN » sur l’autre face. Les comprimés sont fournis dans des plaquettes thermoformées contenant 20, 25, 30, 50, 60, 100, 150, 250 ou 300 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page JANSSEN-CILAG 1, RUE CAMILLE DESMOULINS TSA 91003 92787 ISSY-LES-MOULINEAUX CEDEX 9 Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page JANSSEN-CILAG 1, RUE CAMILLE DESMOULINS TSA 91003 92787 ISSY-LES-MOULINEAUX CEDEX 9 Fabricant Retour en haut de la page LUSOMEDICAMENTA SOCIEDADE TECNICA FARMACEUTICA, S.A. ESTRADA CONSIGLIERI PEDROSO 69-B QUELUZ DE BAIXO 2730-055 BARCARENA PORTUGAL Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [à compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Ne prenez jamais TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé : · si vous êtes allergique au périndopril ou tout autre IEC, à l’indapamide ou tout autre sulfamide, à l’amlodipine ou tout autre dihydropyridine ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament mentionnés dans la rubrique 6, · si vous avez déjà eu des symptômes tels qu’une respiration sifflante, un gonflement du visage ou de la langue, des démangeaisons intenses ou des éruptions cutanées graves lors d’un traitement antérieur par IEC ou si vous, ou un membre de votre famille, avez déjà eu ces symptômes quelles qu’en soient les circonstances (état appelé angioedème), · si vous avez une maladie grave du foie ou si vous souffrez d’une maladie appelée encéphalopathie hépatique (troubles neurologiques causés par une maladie du foie), · si votre médecin pense que vous souffrez d’une insuffisance cardiaque décompensée non traitée (rétention d’eau importante, difficultés à respirer), · si vous prenez des médicaments non anti-arythmiques pouvant entraîner des troubles du rythme mettant en jeu le pronostic vital (torsades de pointes), · si vous présentez un rétrécissement de la valve cardiaque aortique (sténose aortique) ou un choc cardiogénique (quand le cœur est incapable de fournir assez de sang à l’organisme), · si vous souffrez d’insuffisance cardiaque après avoir fait une crise cardiaque, · si vous avez une pression artérielle très basse (hypotension), · si vous avez un taux bas de potassium dans le sang, · si vous présentez des troubles rénaux graves avec diminution de l’apport sanguin au niveau rénal (sténose artérielle rénale), · si vous êtes dialysé(e) ou si vous bénéficiez d’un autre type de filtration sanguine. En fonction de la machine utilisée, TRIPLIXAM peut ne pas être adapté, · si vous avez une insuffisance rénale modérée (pour TRIPLIXAM 10mg/2.5mg/5mg et 10mg/2.5mg/10mg), · si vous êtes enceinte de plus de 3 mois (il est également préférable d’éviter de prendre TRIPLIXAM en début de grossesse – voir rubrique Grossesse), · si vous allaitez, · si vous avez du diabète ou une insuffisance rénale et que vous êtes traité(e) par un médicament contenant de l’aliskiren pour diminuer votre pression artérielle, · si vous êtes actuellement traité par sacubitril/valsartan, un médicament utilisé pour traiter l’insuffisance cardiaque (voir les rubriques « Avertissements et précautions » et «Autres médicaments et TRIPLIXAM»). . Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère avant de prendre TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé. · si vous avez une cardiomyopathie hypertrophique (maladie du muscle cardiaque) ou une sténose de l’artère rénale (rétrécissement de l’artère menant le sang au rein), · si vous avez une insuffisance cardiaque ou tout autre problème cardiaque, · si vous présentez une augmentation sévère de votre pression artérielle (crise hypertensive), · si vous avez une maladie du foie, · si vous souffrez d’une maladie du collagène (maladie de la peau), comme un lupus érythémateux disséminé ou une sclérodermie, · si vous souffrez d’athérosclérose (durcissement des artères), · si vous devez faire un examen de votre glande parathyroïde, · si vous souffrez de goutte, · si vous êtes diabétique, · si vous suivez un régime pauvre en sel (hyposodé) ou si vous utilisez un substitut de sel contenant du potassium (un bon équilibre de potassium dans le sang est indispensable), · si vous prenez du lithium ou un diurétique épargneur de potassium (spironolactone, triamtérène), car leur utilisation avec TRIPLIXAM doit être évitée (voir rubrique « Autres médicaments et TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé»), · si vous êtes âgé et que la dose de votre traitement doit être augmentée, · si vous avez présenté des réactions de photosensibilité, · si vous êtes noir de peau, le risque de faire un angioedème (gonflement du visage, des lèvres, de la bouche, de la langue ou de la gorge qui peut rendre difficile la déglutition et la respiration) est plus élevé et l’efficacité hypotensive diminuée, · si vous êtes hémodialysé par des membranes à haute perméabilité, · si vous avez des troubles rénaux ou si vous êtes dialysé(e), · si vous avez des taux anormalement élevés d’une hormone appelée aldostérone dans le sang (aldostéronisme primaire), · si vous avez trop d’acides dans le sang, pouvant entrainer une respiration accélérée, · si vous avez une insuffisance circulatoire cérébrale (faible pression sanguine dans le cerveau), · si vous avez un gonflement du visage, des lèvres, de la bouche, de la langue ou de la gorge qui peut rendre difficile la déglutition ou la respiration (angioedème), pouvant apparaître à n’importe quel moment au cours du traitement, arrêtez immédiatement votre traitement et contactez directement votre médecin, · si vous prenez l’un des médicaments suivants, le risque d’angioedème est augmenté : o racécadotril (utilisé pour traiter la diarrhée), o sirolimus, évérolimus, temsirolimus et autres médicaments appartenant à la classe des inhibiteurs de mTOR (utilisé pour éviter le rejet d’organes transplantés), o sacubitril (disponible en association à dose fixe avec valsartan), utilisé pour traiter l’insuffisance cardiaque chronique, · si vous prenez l’un des médicaments suivants pour traiter une hypertension : o un «antagoniste des récepteurs de l’angiotensine II » (ARA-II) (aussi connu sous le nom de sartans – par exemple valsartan, telmisartan, irbésartan), en particulier si vous avez des problèmes rénaux dus à un diabète, o aliskiren. Votre médecin pourra être amené à surveiller régulièrement le fonctionnement de vos reins, votre pression artérielle et le taux des électrolytes (par ex. du potassium) dans votre sang. Voir aussi les informations dans la rubrique « Ne prenez jamais TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé ». Votre médecin peut être amené à vous prescrire des examens biologiques afin de détecter des taux faibles de sodium ou de potassium ou des taux élevés de calcium dans le sang. Vous devez informer votre médecin si vous pensez être enceinte (ou susceptible de le devenir). TRIPLIXAM est déconseillé en début de grossesse et ne doit pas être pris si vous êtes enceinte de plus de 3 mois, car cela pourrait nuire gravement à votre enfant en cas d’utilisation à partir de ce stade de la grossesse (voir la rubrique « Grossesse et allaitement »). Informez également votre médecin ou le personnel médical que vous prenez TRIPLIXAM si vous : · devez subir une anesthésie et/ou une intervention chirurgicale, · avez souffert récemment de diarrhées ou de vomissements, ou si vous êtes déshydraté, · devez subir une dialyse ou une aphérèse des lipoprotéines de basse densité (LDL) (qui consiste à enlever du cholestérol de votre sang avec une machine), · devez recevoir un traitement de désensibilisation pour réduire les effets d’une allergie aux piqûres d’abeilles ou de guêpes, · êtes sur le point de subir un examen médical nécessitant l’injection d’un agent de contraste iodé (une substance qui rend les organes comme le rein ou l’estomac visibles aux rayons X). Enfants et adolescents TRIPLIXAM ne doit pas être administré aux enfants et aux adolescents. Autres médicaments et TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. Ne prenez pas de l’aliskiren (utilisé dans le traitement de l’hypertension) si vous êtes diabétique ou si vous avez des troubles rénaux. Vous devez éviter de prendre TRIPLIXAM avec : · du lithium (utilisé pour traiter les troubles mentaux comme l’accès maniaque, la maladie maniaco-dépressive et la dépression récurrente), · des diurétiques épargneurs de potassium (ex : amiloride, triamtérène), des suppléments potassiques ou des substituts de sel contenant du potassium, autres médicaments pouvant augmenter le taux de potassium dans l’organisme (comme l’héparine et le cotrimoxazole aussi connu sous le nom de triméthoprime/sulfaméthoxazole), · du dantrolène (en perfusion), utilisé pour traiter l’hyperthermie maligne en cours d’anesthésie (les symptômes incluent une fièvre très élevée et une raideur musculaire), · de l’estramustine (utilisé dans le traitement du cancer), · médicaments, qui sont le plus souvent utilisés pour traiter la diarrhée (racécadotril) ou pour éviter les rejets d’organes transplantés (sirolimus, évérolimus, temsirolimus et autres médicaments appartenant à la classe des inhibiteurs de mTOR). Voir la rubrique “Avertissements et précautions”, · sacubitril/valsartan (utilisé pour traiter l’insuffisance cardiaque chronique). Voir rubriques « Ne prenez jamais TRIPLIXAM » et « Avertissements et précautions », · d’autres médicaments utilisés dans le traitement de l’hypertension : inhibiteurs de l’enzyme de conversion et antagonistes des récepteurs de l’angiotensine. Le traitement par TRIPLIXAM peut être affecté par d’autres médicaments. Votre médecin pourrait avoir besoin de modifier la dose de vos médicaments et/ou prendre d’autres précautions Si vous prenez l’un des médicaments suivants, parlez-en à votre médecin car des précautions d’emploi particulières peuvent être nécessaires : · autres médicaments pour traiter l’hypertension, incluant un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine II (ARA-II) ou de l’aliskiren (voir aussi les informations dans les rubriques « Ne prenez jamais TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé» et «Avertissements et précautions»), ou les diurétiques (médicaments qui augmentent la quantité d’urine produite par les reins), · diurétiques épargneurs de potassium utilisés dans le traitement de l’insuffisance cardiaque : éplérénone et spironolactone aux doses comprises entre 12.5mg et 50mg par jour, · médicaments anesthésiants, · produits de contraste iodés, · bépridil (utilisé pour traiter l’angine de poitrine), · moxifloxacine, sparfloxacine (antibiotiques : médicaments utilisés pour traiter les infections), · méthadone (utilisée pour traiter les addictions), · dofétilide, ibutilide, bretylium, cisapride, diphémanil, procaïnamide, quinidine, hydroquinidine, disopyramide, amiodarone, sotalol (pour le traitement des battements cardiaques irréguliers) · vérapamil, diltiazem (médicaments pour le coeur), · digoxine et autres glucosides cardiotoniques (pour le traitement de troubles cardiaques), · rifampicine, l’érythromycine, la clarithromycine (antibiotiques utilisés lors d’infections causées par des bactéries), · itraconazole, kétoconazole, amphotéricine B par injection (pour traiter les maladies causées par des champignons), · allopurinol (pour le traitement de la goutte), · mizolastine, terfénadine ou astémizole (antihistaminiques pour le traitement du rhume des foins ou des allergies), · corticostéroïdes utilisés pour traiter divers troubles dont l’asthme sévère et la polyarthrite rhumatoïde, et anti-inflammatoires non-stéroïdiens (ex. : ibuprofène) ou fortes doses d’acide acétylsalicylique, · immunosuppresseurs (médicaments utilisés pour contrôler la réponse immunitaire de votre organisme pour le traitement de maladies auto-immunes ou suite à une transplantation chirurgicale (ex. : ciclosporine et tacrolimus)), · tétracosactide (pour traiter la maladie de Crohn), · les sels d’or, en particulier par voie intraveineuse (utilisés pour traiter les symptômes d’une polyarthrite rhumatoïde), · halofantrine (utilisé pour traiter certains types de paludisme), · baclofène, utilisé pour traiter la raideur musculaire survenant lors de maladies comme la sclérose en plaques, · médicaments pour traiter le diabète comme l’insuline ou la metformine, · calcium ou autres suppléments calciques, · laxatifs stimulants (ex. : séné), · médicaments pour le traitement du cancer, · vincamine (utilisé dans le traitement des troubles cognitifs symptomatiques chez les personnes âgées dont la perte de mémoire), · médicaments pour traiter des troubles mentaux tels que la dépression, l’anxiété, la schizophrénie… (ex. : antidépresseurs tricycliques, antipsychotiques, antidépresseurs imipraminiques, neuroleptiques), · pentamidine (utilisé pour traiter la pneumonie), · ritonavir, indinavir, nelfinavir (appelés inhibiteurs de protéases, utilisés pour traiter le VIH), · hypericum perforatum (millepertuis), · trimethoprime (pour le traitement d’infections), · médicaments utilisés dans le traitement de l’hypotension, du choc ou de l’asthme (ex : éphédrine, noradrénaline ou adrénaline), · nitroglycérine et autres nitrates, ou tout autre vasodilatateur pouvant réduire la pression artérielle. TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé avec des aliments et boissons Il est conseillé aux personnes prenant TRIPLIXAM de ne pas consommer de pamplemousse ou de jus de pamplemousse. En effet, le pamplemousse et le jus de pamplemousse peuvent entraîner une augmentation des taux dans le sang du principe actif amlodipine, ce qui peut causer une augmentation imprévisible de l’effet hypotenseur de TRIPLIXAM. Grossesse et allaitement Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. Grossesse Vous devez informer votre médecin si vous pensez être enceinte (ou susceptible de le devenir). Votre médecin vous recommandera normalement d’arrêter de prendre TRIPLIXAM avant d’être enceinte ou dès que vous apprenez que vous êtes enceinte. Il vous recommandera de prendre un autre médicament à la place de TRIPLIXAM. TRIPLIXAM est déconseillé en début de grossesse et ne doit pas être pris si vous êtes enceinte de plus de 3 mois, car cela pourrait nuire gravement à votre enfant au-delà du troisième mois de grossesse. Allaitement Informez votre médecin si vous allaitez ou êtes sur le point de commencer à allaiter. TRIPLIXAM est déconseillé aux femmes qui allaitent et votre médecin pourrait choisir un autre traitement si vous souhaitez allaiter, surtout si votre enfant est un nouveau-né ou un prématuré. Conduite de véhicules et utilisation de machines TRIPLIXAM est susceptible d’affecter votre capacité à conduire un véhicule ou à utiliser des machines. Si la prise des comprimés entraîne chez vous des malaises, des étourdissements, une fatigue ou des maux de tête, ne conduisez pas de véhicules et n’utilisez pas de machines et contactez immédiatement votre médecin. TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé contient du sodium TRIPLIXAM contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé et peut donc être considéré comme dépourvu de sodium. 3. COMMENT PRENDRE TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie Avalez le comprimé avec un verre d’eau, de préférence le matin, avant le repas. Votre médecin décidera de la posologie adaptée pour vous. La dose recommandée est de un comprimé par jour. Si vous avez pris plus de TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous avez pris trop de comprimés, votre pression artérielle peut baisser jusqu’à atteindre un seuil dangereux, parfois associée à des nausées, des vomissements, des crampes, des vertiges, une somnolence, un état confusionnel, une oligurie (quantité d’urine moins importante), une anurie (pas de production d’urine). Il se peut que vous ressentiez des étourdissements, que vous vous évanouissiez ou que vous vous sentiez faible. Lorsque la pression artérielle est trop faible, un choc peut survenir. Votre peau peut devenir froide et moite et vous pouvez perdre conscience. Si vous avez pris trop de comprimés de TRIPLIXAM, contactez immédiatement un service médical. Si vous oubliez de prendre TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé Il est important de prendre votre médicament chaque jour car un traitement régulier est plus efficace. Cependant, si vous avez oublié de prendre un comprimé de TRIPLIXAM, reprenez simplement votre traitement comme d’habitude. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre. Si vous arrêtez de prendre TRIPLIXAM 10 mg/2,5 mg/10 mg, comprimé pelliculé Le traitement de l’hypertension artérielle étant généralement un traitement de longue durée, vous devez demander conseil à votre médecin avant de l’interrompre. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Arrêtez de prendre ce médicament et consultez immédiatement un médecin si vous remarquez l’un ou l’autre des effets secondaires suivants : · respiration sifflante d’apparition soudaine, douleur thoracique, essouflement ou difficultés respiratoires, (Peu fréquent) (≥ 1/1 000, (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée ? Ne prenez jamais VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée : · Si vous êtes allergique à la trimétazidine ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament mentionnés dans la rubrique 6, · Si vous avez une maladie de Parkinson : maladie du cerveau affectant les mouvements (tremblement, raideur de la posture, mouvements lents, démarche déséquilibrée avec une tendance à trainer les pieds), · Si vous avez des problèmes rénaux graves. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée. Ce médicament n'est pas un traitement curatif d'une crise d'angine de poitrine, ni un traitement initial de la crise d'angine de poitrine instable. Ce n'est pas un traitement de l'infarctus du myocarde. En cas de survenue d'une crise d'angine de poitrine, prévenez votre médecin. Des examens pourront vous être demandés et le traitement sera éventuellement modifié. Ce médicament peut induire ou aggraver des symptômes tels que tremblement, raideur de la posture, mouvements lents, démarche déséquilibrée avec une tendance à trainer les pieds, surtout chez les personnes âgées, qu’il convient de rechercher et de signaler à votre médecin, qui pourra réévaluer votre traitement. Ce médicament est généralement déconseillé pendant l’allaitement. Des chutes peuvent survenir à la suite d’une baisse de la tension artérielle ou d’un trouble de l’équilibre (voir description des effets indésirables). Enfants et adolescents VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée ne doit pas être administré aux enfants âgés de moins de 18 ans. Autres médicaments et VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée avec des aliments et boissons Sans objet. Grossesse et allaitement Grossesse Il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, consultez votre médecin. Allaitement En l'absence de données sur le passage dans le lait maternel, VASTAREL ne doit pas être utilisé pendant l’allaitement. Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. Conduite de véhicules et utilisation de machines Ce médicament peut vous donner la sensation d’avoir la tête qui tourne et vous donner envie de dormir, ce qui peut affecter votre capacité à conduire des véhicules et à utiliser des machines. VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée contient du : Sans objet. 3. COMMENT PRENDRE VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée ? Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie La dose recommandée de VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée, est d’un comprimé deux fois par jour, matin et soir, à avaler au cours des repas. Si vous avez des problèmes au niveau du rein ou que vous êtes âgés de plus de 75 ans, votre médecin peut ajuster la posologie recommandée. Durée du traitement DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L'ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Si vous avez pris plus de VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée que vous n’auriez dû : Consulter immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez de prendre VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée : Reprendre le traitement normalement. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée : Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables suivants ont été décrits : Fréquent (survenant chez moins d’1 patient sur 10) : Sensations vertigineuses, maux de tête, douleur abdominale, diarrhée, digestion difficile, sensation d’être malade, vomissement, éruption cutanée, démangeaison, urticaire et sensation de fatigue. Rare (survenant chez moins d’1 patient sur 1000) : Battements rapides ou irréguliers du cœur (appelés également palpitations), battements cardiaques extrasystoliques, accélération des battements du cœur, chute de la pression artérielle lors du passage à la position debout pouvant s’accompagner de sensation vertigineuse (tête qui tourne) ou évanouissement, malaise (en général vous ne vous sentez pas bien), chute, rougeurs brusques du visage. Indéterminé (la fréquence ne peut être déterminée à partir des données disponibles) : Symptômes extrapyramidaux (mouvements inhabituels incluant tremblement des mains et des doigts, déformation des mouvements du corps, démarche en trainant des pieds, raideur des bras et des jambes) habituellement réversibles à l’arrêt du traitement. Troubles du sommeil (difficulté à s’endormir, somnolence), sensation de tête qui tourne (vertige), constipation, importante rougeur se généralisant à tout le corps avec des pustules, gonflement du visage, des lèvres, de la langue et de la gorge pouvant provoquer des difficultés pour avaler ou respirer. Diminution importante du nombre de cellules sanguines de la lignée blanche pouvant provoquer le plus souvent des infections, diminution du nombre de plaquettes dans le sang pouvant augmenter le risque de saignement ou d’ecchymoses. Maladie du foie (nausées, vomissement, perte d’appétit, sensation de malaise, fièvre, démangeaison, jaunissement de la peau et des yeux, selles de couleur claire, urine de couleur sombre). Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée ? Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Ce que contient VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée · La substance active est : Dichlorhydrate de trimétazidine............................................................................................ 35,00 mg Pour un comprimé pelliculé. · Les autres composants sont : Hydrogénophosphate de calcium dihydraté, hypromellose, povidone, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium, Pelliculage : dioxyde de titane (E 171), glycérol, hypromellose, macrogol 6000, oxyde de fer rouge (E 172), stéarate de magnésium. Qu’est-ce que VASTAREL 35 mg, comprimé pelliculé à libération modifiée et contenu de l’emballage extérieur Ce médicament se présente sous forme de comprimé pelliculé. Boîte de 10, 20, 28, 30, 56, 60, 90, 100 ou 120. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché LES LABORATOIRES SERVIER 50, RUE CARNOT 92284 SURESNES CEDEX FRANCE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché LES LABORATOIRES SERVIER 50 RUE CARNOT 92284 SURESNES CEDEX FRANCE Fabricant LES LABORATOIRES SERVIER Industrie 905 ROUTE DE SARAN 45520 GIDY FRANCE ou ANPHARM PRZEDSIĘBIORSTWO FARMACEUTYCZNE S.A. UL. ANNOPOL 6B 03-236 WARSZAWA POLOGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : [à compléter ultérieurement par le titulaire] (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE VELITEN, comprimé pelliculé ? Liste des informations nécessaires avant la prise du médicament Sans objet. Contre-indications Ne prenez jamais VELITEN, comprimé pelliculé dans les cas suivants: Si vous êtes allergique (hypersensible) à l'un des composants contenus dans VELITEN, comprimé pelliculé. EN CAS DE DOUTE VOUS DEVEZ DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Précautions d'emploi ; mises en garde spéciales Faites attention avec VELITEN, comprimé pelliculé: Précautions d'emploi · crise hémorroïdaire: Si les troubles hémorroïdaires ne cèdent pas en 15 jours, il est indispensable de consulter votre médecin. · Trouble de la circulation veineuse: Ce traitement a toute son efficacité lorsqu'il est associé à une bonne hygiène de vie. · éviter l'exposition au soleil, la chaleur, la station debout prolongée, l'excès de poids, · la marche à pied et éventuellement le port de bas adaptés favorisent la circulation sanguine. · Si la gêne et la fragilité des vaisseaux augmentent (les bleus et les ecchymoses s'étendent), consulter immédiatement votre médecin. · Prévenir le médecin en cas de grossesse. Ce médicament contient un agent colorant azoïque (E110, jaune orangé S) et peut provoquer des réactions allergiques. EN CAS DE DOUTE NE PAS HESITER A DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN Interactions avec d'autres médicaments Prise ou utilisation d'autres médicaments: Si vous prenez ou avez pris récemment un autre médicament, y compris un médicament obtenu sans ordonnance, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Interactions avec les aliments et les boissons Sans objet. Interactions avec les produits de phytothérapie ou thérapies alternatives Sans objet. Utilisation pendant la grossesse et l'allaitement Grossesse et allaitement Prévenir le médecin en cas de grossesse. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Sportifs Sans objet. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines Sans objet. Liste des excipients à effet notoire Liste des excipients à effet notoire: jaune orangé S (E110). 3. COMMENT PRENDRE VELITEN, comprimé pelliculé ? Instructions pour un bon usage Sans objet. Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement Posologie Posologie habituelle: 1 comprimé 3 fois par jour Crise hémorroïdaire: 2 comprimés 3 fois par jour pendant 7 jours. En l'absence d'amélioration rapide, consulter votre médecin. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L'ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Symptômes et instructions en cas de surdosage Si vous avez pris plus de VELITEN, comprimé pelliculé que vous n'auriez dû: A fortes doses (supérieures à 1 g/jour d'acide ascorbique) possibilité de: · troubles digestifs (brûlures gastriques, diarrhées), · troubles urinaires (lithiases oxaliques, cystiniques et uriques), · hémolyse chez les sujets déficients en G6PD. Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses Sans objet. Risque de syndrome de sevrage Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Description des effets indésirables Comme tous les médicaments, VELITEN, comprimé pelliculé est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet: · exceptionnellement réactions cutanées (démangeaisons, urticaire). Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. 5. COMMENT CONSERVER VELITEN, comprimé pelliculé ? Tenir hors de la portée et de la vue des enfants. Date de péremption Ne pas utiliser VELITEN, comprimé pelliculé après la date de péremption mentionnée sur le conditionnement extérieur. Conditions de conservation Pas de conditions particulières de conservation. Si nécessaire, mises en garde contre certains signes visibles de détérioration Les médicaments ne doivent pas être jetés au tout-à-l'égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien ce qu'il faut faire des médicaments inutilisés. Ces mesures permettront de protéger l'environnement. 6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES Liste complète des substances actives et des excipients Que contient VELITEN, comprimé pelliculé ? Les substances actives sont: Acide ascorbique, quantité nécessaire pour un titre de .................................................................... 200,00 mg Acétate d'alphatocophérol .............................................................................................................. 50,00 mg Rutine ......................................................................................................................................... 200,00 mg Pour un comprimé pelliculé. Les autres composants sont: Gélatine, amidon de maïs, talc, méthylhydroxypropylcellulose, glycérol, dioxyde de titane, laque jaune soleil(1), gomme laque décirée. (1)Composition de la laque jaune soleil: jaune orangé S, hydroxyde d'aluminium. Forme pharmaceutique et contenu Qu'est-ce que VELITEN, comprimé pelliculé et contenu de l'emballage extérieur ? Ce médicament se présente sous forme de comprimé pelliculé. Boîte de 20, 30, 40, 60, 90 ou 100 comprimés pelliculés. Nom et adresse du titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et du titulaire de l'autorisation de fabrication responsable de la libération des lots, si différent Titulaire ZAMBON FRANCE 13, RUE RENE JACQUES 92138 ISSY-LES-MOULINEAUX CEDEX Exploitant ZAMBON FRANCE S.A 13, RUE RENE JACQUES 92138 ISSY LES MOULINEAUX CEDEX Fabricant LAPHAL INDUSTRIES 248, avenue de la Victoire 13106 ROUSSET Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. Date d’approbation de la notice La dernière date à laquelle cette notice a été approuvée est le {date}. AMM sous circonstances exceptionnelles Sans objet. Informations Internet Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’Afssaps (France). Informations réservées aux professionnels de santé Sans objet. Autres Sans objet. (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE VITAMINE B1 B6 BAYER ? Retour en haut de la page Ne prenez jamais VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé : · si vous êtes allergique aux substances actives ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6, · si vous prenez de la lévodopa, · si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, · si vous avez une maladie du foie ou des reins. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé. Ce médicament contient de la pyridoxine (vitamine B6). D’autres médicaments en contiennent. Ne les associez pas afin de ne pas dépasser les doses quotidiennes recommandées (voir rubrique Posologie). Enfants et adolescents Sans objet. Autres médicaments et VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé Ce médicament est contre-indiqué en association avec la lévodopa. Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé avec des aliments, boisson et de l’alcool Sans objet. Grossesse et allaitement Ce médicament est contre-indiqué pendant la grossesse et l’allaitement. Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. Conduite de véhicules et utilisation de machines Sans objet. VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé contient Sans objet. 3. COMMENT PRENDRE VITAMINE B1 B6 BAYER ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie RESERVE A L’ADULTE. 1 à 4 comprimés par jour. CE MEDICAMENT VOUS A ETE PERSONNNELLEMENT DELIVRE DANS UNE SITUATION PRECISE. IL PEUT NE PAS ETRE ADAPTE A UN AUTRE CAS. NE PAS LE CONSEILLER A UNE AUTRE PERSONNE. Mode d’administration Voie orale. Les comprimés sont à avaler, sans les croquer avec un verre d’eau. Durée du traitement Ne pas utiliser plus de 4 semaines sans avis médical. Si vous avez pris plus de VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé que vous n’auriez dû Sans objet. Si vous oubliez de prendre VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Ce médicament peut entraîner : • des réactions allergiques : éruption cutanée, urticaire, prurit, un brusque gonflement du visage et du cou (œdème de Quincke), détresse cardio-respiratoire. DANS CES CAS, ARRETEZ LE TRAITEMENT ET CONTACTEZ IMMEDIATEMENT VOTRE MEDECIN. • des effets cutanés : réaction de photosensibilité (sensibilité à la lumière), éruption, rougeur de la peau, démangeaisons, urticaire et inflammation de la peau (dermatite bulleuse). • des effets gastro-intestinaux : diarrhées, digestion difficile, douleurs abdominales ou à l’estomac, nausées, vomissements. • des effets neurologiques : atteinte des nerfs (neuropathie), sensation de picotement, de fourmillement (paresthésie). Une odeur désagréable des urines peut être observée. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VITAMINE B1 B6 BAYER ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout à l’égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé Retour en haut de la page · Les substances actives sont : Chlorhydrate de thiamine (Vitamine B1) .......................................................................... .250 mg Chlorhydrate de pyridoxine (Vitamine B6) ........................................................................ .35 mg Pour un comprimé pelliculé · Les autres composants excipients sont: Mannitol, povidone K 90, talc, stéarate de magnésium. Pelliculage : hypromellose 2910/6 cP, dispersion aqueuse d’éthylcellulose à 30 % (éthylcellulose, eau purifiée, laurilsulfate de sodium, alcool cétylique), macrogol 6000, talc, dioxyde de titane (E 171). Qu’est-ce que VITAMINE B1 B6 BAYER, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé pelliculé. Boîte de 20, 40 ou 100. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page BAYER HEALTHCARE SAS 220 avenue de la Recherche 59120 LOOS Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page BAYER HEALTHCARE SAS 33, RUE DE L’INDUSTRIE 74240 GAILLARD Fabricant Retour en haut de la page CENEXI 52, RUE MARCEL ET JACQUES GAUCHER 94122 FONTENAY-SOUS-BOIS Ou GP GRENZACH PRODUKTIONS GMBH EMIL-BARELL-STRASSE 7 79839 GRENZACH-WYHLEN ALLEMAGNE Ou DELPHARM GAILLARD 33 RUE DE L'INDUSTRIE 74240 GAILLARD Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page MM/AAAA Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule ? N’utilisez jamais VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule : · Si vous êtes allergique (hypersensible) à la substance active ou à l’un des autres composants de ce médicament, mentionné dans la rubrique 6. En cas de doute, demandez l’avis de votre médecin ou de votre pharmacien. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou votre pharmacien avant d’utiliser VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule. Faites attention avec ce médicament : En cas de problèmes cardio-vasculaires (notamment certains troubles du rythme cardiaque, une angine de poitrine, une hypertension artérielle), de problèmes en lien avec à la glande thyroïde, de diabète, prévenir le médecin afin qu’il détermine les modalités de prescription et de surveillance les mieux adaptées à votre cas. EN CAS DE DOUTE, NE PAS HESITER A DEMANDER L’AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Autres médicaments et VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez pris récemment ou pourriez prendre tout autre médicament (en particulier des médicaments béta-bloquants ou antidiabétiques), y compris un médicament obtenu sans ordonnance. VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule avec des aliments Sans objet. Grossesse et allaitement D'une façon générale, demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Ce médicament dans les conditions normales d'utilisation peut être utilisé pendant la grossesse. Le salbutamol passe dans le lait maternel. Sportifs Sportifs attention, cette spécialité contient un principe actif pouvant rendre positifs les tests pratiqués lors des contrôles antidopage. Conduite de véhicules et utilisation de machines Sans objet. VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule contient Sans objet. 3. COMMENT UTILISER VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule ? Retour en haut de la page Posologie A titre indicatif la posologie est de 1 ampoule par voie sous cutanée à renouveler si nécessaire. Si les symptômes ne régressent pas rapidement après l’injection sous cutanée ou s’ils réapparaissent quelques heures plus tard, il existe un risque d’évolution vers un asthme grave et une hospitalisation peut être nécessaire. Ne pas hésiter à contacter rapidement un médecin ou un service médical d’urgence si les symptômes réapparaissent après l’injection. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L’ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Mode d’administration Injection sous cutanée exclusivement. Ce médicament n’est pas adapté à l’administration par voie inhalée par nébuliseur. Ne pas boire le contenu de l'ampoule DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L’ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Fréquence d'administration Ce traitement s’administre au moment de la crise d’asthme lorsque votre traitement bronchodilatateur habituel à action rapide et de courte durée par voie inhalée ne suffit pas à faire céder la crise. Si vous avez utilisé plus de VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule que vous n’auriez dû Si vous prenez accidentellement une dose supérieure à la dose recommandée, vous pouvez présenter des effets indésirables tels que tachycardie, maux de tête, tremblements ou agitation (voir les effets indésirables éventuels). Consultez votre médecin et emportez avec vous cette notice ou votre médicament afin que votre médecin sache de quel médicament il s'agit. Si vous oubliez d’utiliser VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez d’utiliser VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Lors d'un traitement avec le salbutamol, certaines personnes peuvent parfois (fréquence de survenue non connue) ressentir une douleur dans le thorax (sensation d'oppression) qui peut être due à des problèmes cardiaques tels qu’une angine de poitrine. Prévenez rapidement votre médecin si vous ressentez de tels symptômes. Peuvent également être observés : · Très fréquemment : tremblements, augmentation du rythme cardiaque, palpitations. · Fréquemment : maux de tête, crampes musculaires. · Rarement : diminution du taux de potassium dans le sang, bouffées de chaleur, rougeurs cutanées, irrégularités du rythme cardiaque. · Très rarement : - agitation ou nervosité, - réactions allergiques pouvant se manifester par une telles que sensation d’oppression danse la poitrine, des démangeaisons, un sifflement respiratoire, un gonflement des paupières, du visage et/ou des lèvres et éruption cutanée, une baisse de la tension artérielle pouvant aller jusqu’au malaise, - augmentation du taux d’acide lactique dans le sang (se manifestant par une respiration rapide, un essoufflement, même si vous ressentez une amélioration des sifflements respiratoires. sensation de froid, douleurs à l'estomac, nausées et vomissements). Des augmentations de la quantité de sucre dans le sang ont également été rapportées, régressant à l'arrêt du traitement. La surveillance sanguine et urinaire doit être renforcée chez les sujets diabétiques. Des troubles digestifs (nausées, vomissements) ont également été rapportés. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le conditionnement extérieur. La date d’expiration fait référence au dernier jour du mois. A conserver à une température ne dépassant pas 25°C et à l’abri de la lumière. Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule Retour en haut de la page · La substance active est : Sulfate de salbutamol............................................................................................................ 0,6 mg Quantité correspondante en salbutamol base.......................................................................... 0,5 mg Pour une ampoule de 1 ml · Les autres composants sont : Chlorure de sodium, acide sulfurique, eau pour préparations injectables. Gaz d’inertage : azote Qu’est-ce que VENTOLINE 0,5 mg/1 ml, solution injectable par voie sous-cutanée en ampoule et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de solution injectable pour voie sous-cutanée, boîte de 6, 10,12 ou 50 ampoules. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL-MALMAISON Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23, RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL-MALMAISON Fabricant Retour en haut de la page GLAXOSMITHKLINE MANUFACTURING S.p.A STRADA PROVINCIALE ASOLANA, 90 43056 SAN POLO DI TORRILE PARME ITALIE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3 COMMENT UTILISER GLUCOPHAGE Prenez toujours Glucophage en suivant exactement les indications de votre médecin. Si vous avez un doute, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Glucophage ne peut remplacer les avantages d'un mode de vie sain. Il est nécessaire de continuer le régime indiqué par votre médecin et des exercices périodiques. Dose habituelle: Chez les enfants de 10 ans et plus et les adolescents, il est habituel de commencer par 500 mg ou 850 mg de Glucophage une fois par jour. La dose quotidienne maximale est de 2000 mg divisée en 2 ou 3 comprimés. Le traitement chez les enfants âgés de 10 à 12 ans n’est recommandé qu’avec l’avis spécial du médecin, car l’expérience acquise ce groupe d'âge est limité. Pour les adultes, la dose initiale est généralement de 500 mg ou de 850 mg de glucophage 2 ou 3 fois par jour. La dose quotidienne maximale est de 3000 mg prise en 3 comprimés. Si vous prenez également de l'insuline, votre médecin vous expliquera comment commencer le traitement par Glucophage. surveillance - Votre médecin surveillera régulièrement votre glycémie et ajustera votre dose de Glucophage à votre glycémie. Assurez-vous de parler régulièrement à votre médecin. Ceci est particulièrement important pour les enfants et les adolescents ou si vous êtes une personne âgée. - Votre médecin vérifiera également, au moins une fois par an, le bon fonctionnement de vos reins. Une vérification plus fréquente est requise si vous êtes une personne l'âge ou si vos reins ne fonctionnent pas correctement. Comment utiliser Glucophage Prenez Glucophage pendant ou à la fin du repas. De cette façon, évitez les effets secondaires sur le tube digestif. Ne pas écraser ou mâcher les comprimés. Avalez chaque comprimé avec un verre d’eau. - Si vous ne prenez qu'une dose par jour, l’administration se fait le matin (petit-déjeuner) - Si vous prenez deux doses fractionnées par jour, une sera prise le matin (pour le petit-déjeuner) et la seconde le soir (pour le dîner). - Si vous prenez trois doses fractionnées par jour, elles seront prises le matin (au petit-déjeuner), au déjeuner et le soir (au dîner). Si, au bout d'un moment, vous pensez que l'effet de Glucophage est trop fort ou trop faible, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Si vous avez utilisé plus de glucophage que vous n'auriez dû Si vous avez pris plus de Glucophage que vous n'auriez dû, une acidose lactique pourrait être installée. Les symptômes de l'acidose lactique sont les suivants: vomissements, douleurs abdominales (douleurs abdominales) associées à des crampes musculaires, malaise général avec fatigue marquée, difficultés respiratoires. Si cela vous arrive, vous aurez peut-être besoin d'un traitement hospitalier immédiat, car l'acidose lactique peut entraîner le coma. Contactez un médecin ou l'hôpital le plus proche. Si vous oubliez d'utiliser Glucophage Ne prenez pas de double dose pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Prenez la prochaine dose à l'heure habituelle. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce produit, demandez à votre médecin ou votre pharmacien. 4. EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS Comme tous les médicaments, Glucophage peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets secondaires suivants peuvent survenir: Effets indésirables très fréquents (affectant plus de 1 personne sur 10) - troubles digestifs, tels que nausées, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales (douleurs abdominales) et perte d'appétit. Ces effets indésirables peuvent survenir le plus souvent, en particulier au début du traitement par Glucophage. Il sera utile d’administrer plusieurs doses au cours de la journée et d’administrer Glucophage pendant ou immédiatement après les repas. Si les symptômes persistent, arrêtez de prendre Glucophage et parlez-en à votre médecin. Effets indésirables fréquents (affecte moins de 1 personne sur 10) - troubles du goût. Effets indésirables très rares (touchant moins de 1 personne sur 10 000) - acidose lactique. Il s'agit d'une complication très rare mais grave, qui survient surtout si vos reins ne fonctionnent pas correctement. Les symptômes de l’acidose lactique sont les suivants: vomissements, douleurs abdominales (douleurs abdominales) associées à des crampes musculaires, malaise général avec fatigue marquée et difficultés respiratoires. Si cela vous arrive, vous aurez peut-être besoin d'une hospitalisation immédiate car l'acidose lactique peut entraîner le coma. Arrêtez immédiatement de prendre Glucophage et contactez immédiatement un médecin ou l'hôpital le plus proche. - valeurs anormales des tests de la fonction hépatique ou de l'hépatite (inflammation du foie; elle peut provoquer fatigue, perte d'appétit, perte de poids, avec ou sans jaunissement de la peau ou blanc des yeux). Si cela vous arrive, arrêtez de prendre Glucophage immédiatement et contactez votre médecin. - réactions cutanées telles que rougeur de la peau (érythème), démangeaisons ou éruptions cutanées associées à des démangeaisons (urticaire). - faible concentration de vitamine B12 dans le sang. Enfants et adolescents Il existe peu de données chez les enfants et les adolescents montrant que les effets indésirables étaient de nature et de gravité semblables à ceux rapportés chez les adultes. Si l'un des effets indésirables devient grave ou si vous remarquez un effet indésirable non mentionné dans cette notice, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. 5. COMMENT CONSERVER LE GLUCOPHAGE Tenir hors de la portée et de la vue des enfants. Si le traitement par Glucophage est destiné à l'enfant, il est conseillé aux parents et aux responsables de sa surveillance de suivre l'utilisation de ce médicament. Ce médicament ne nécessite aucune condition de conservation particulière. Ne pas utiliser Glucophage après la date de péremption mentionnée sur la boîte, le flacon ou le blister après «EXP». La date d'expiration fait référence au dernier jour de ce mois. Les médicaments ne doivent pas être jetés avec les eaux usées ou les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment se débarrasser des médicaments devenus inutiles. Ces mesures aideront à protéger l'environnement. 6. INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES Que contient Glucophage - La substance active est le chlorhydrate de metformine. Un comprimé pelliculé de Glucophage 1000 mg contient 1 000 mg de chlorhydrate de metformine, ce qui correspond à 780 mg de metformine. - Les autres composants sont: povidone K30, stéarate de magnésium, hypromellose, macrogol 400 et macrogol 8000. A quoi ressemble Glucophage et contenu de l’emballage extérieur Les comprimés pelliculés de Glucophage sont ovales, biconvexes, blancs, avec une ligne médiane des deux côtés, gravés «1000» sur un côté. La tablette peut être divisée en deux parties égales. Les comprimés sont conditionnés dans des plaquettes thermoformées de 20, 30, 1 (30 x 30), 50, 60, 90, 100, 120, 180, 600 ou dans des flacons en plastique munis d'un couvercle avec système de fermeture sécurisé pour 20 enfants, 30, 50, 60, 90, 100, 120, 180 ou 600 comprimés Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et fabricant Le titulaire de l'autorisation de mise sur le marché MERCK SANTÉ sas 37, rue Saint-Romain 69008 LYON Cedex 08, France fabricants Merck Health sas 2 rue du Pressoir Vert 45400 Semoy France Merck KGaA Frankfurter Str. 250 64293 Darmstadt Allemagne Merck KGaA & Co. Werk Spittal Hösslgasse 20 9800 Spittal / Drau Autriche MERCK SL Polygone Merck Mollet Del Vallès 08100 Barcelone, Espagne Farmar Lyon 29 avenue Charles de Gaulle 69230 Saint-Genis Laval, France Ce médicament est autorisé dans les États membres de l'EEE sous les noms suivants commercial: Dianben: Espagne Glucophage: Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, République tchèque, Finlande, France, Allemagne, Grèce, Islande, Irlande, Italie, Lettonie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède Merckformin: Hongrie Rires: Portugal Ce prospectus a été approuvé en novembre 2012 (1)
3. COMMENT PRENDRE HELMINTOX 250 mg, comprimé pelliculé sécable ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. RESERVE A L’ADULTE ET A L’ENFANT DE PLUS DE 6 ANS. Chez l’enfant de moins de 6 ans, il existe des formes pharmaceutiques plus adaptées. A titre indicatif : Oxyurose et ascaridiose La posologie usuelle est de 10 mg/kg à 12 mg/kg en prise unique chez l’adulte et l’enfant, soit : · enfant : 1 comprimé par 20 kg de poids en une seule prise, · adulte de moins de 75 kg : 3 comprimés en une seule prise, · adulte de plus de 75 kg : 4 comprimés en une seule prise. Dans l’oxyurose, pour éviter une réinfestation, prendre une deuxième prise trois semaines après la prise initiale. Par ailleurs, il convient d’adopter des mesures d’hygiènes rigoureuses : toilette quotidienne de la région anale, brossage des ongles plusieurs fois par jour. Chez l’enfant, couper les ongles très courts. Changer régulièrement les sous-vêtements et vêtements de nuit. Eviter de se gratter. Les membres de la famille en contact devront également être traités par ce médicament : demandez conseil à votre médecin. Ankylostomiase Dans les zones d’endémie, en cas d’infestation par Necator americanus, ou en cas d’infestation sévère par Ankylostomia duodenale, la posologie est de 20 mg/kg/jour (en 1 ou 2 prises) pendant 2 à 3 jours. Soit : · chez l’enfant : 1 comprimé par 10 kg de poids par jour, · chez l’adulte de moins de 75 kg : 6 comprimés par jour, · chez l’adulte de plus de 75 kg : 8 comprimés par jour. En cas d’infestation légère par Ankylostomia duodenale (ce qui est généralement le cas en dehors des zones d’endémie), une dose de 10 mg/kg en une seule prise peut suffire. Mode et voie d’administration Voie orale. Aucune mise à jeun ou purgation n’est nécessaire avant la prise de ce médicament qui peut être absorbé sans horaire particulier. Si vous avez pris plus de HELMINTOX 250 mg, comprimé pelliculé sécable que vous n’auriez dû Si vous pensez avoir pris ou avoir donné à votre enfant plus de HELMINTOX 250 mg, comprimé pelliculé sécable qu’il ne le fallait et si vous observez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, veuillez contacter immédiatement votre médecin. Si vous oubliez de prendre HELMINTOX 250 mg, comprimé pelliculé sécable Ne prenez pas de dose double pour compenser le comprimé que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre HELMINTOX 250 mg, comprimé pelliculé sécable Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. · Rarement : troubles digestifs (perte de l’appétit, nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhée), augmentation faible et transitoire des transaminases hépatiques (ASAT), · Exceptionnellement : maux de tête, vertiges, fatigue, éruption cutanée, troubles du sommeil. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HELMINTOX 250 mg, comprimé pelliculé sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament doit être conservé à une température ne dépassant pas 25°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l'égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l'environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Ce que contient HELMINTOX 250 mg, comprimé pelliculé sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Embonate de pyrantel................................................................................................ 721,00 mg Quantité correspondant à pyrantel base...................................................................... 250,00 mg Pour un comprimé pelliculé sécable. · Les autres composants sont : Amidon de maïs prégélatinisé, povidone, croscarmellose sodique, stéarate de magnésium, SEPIFILM 002*, SEPISPERSE AP3065 jaune**. *Composition du SEPIFILM 002 : hypromellose, cellulose microcristalline, monostéarate de macrogol 400. **Composition du SEPISPERSE AP3065 Jaune : propylèneglycol, hypromellose, dioxyde de titane, laque aluminique de jaune orangé S (E110). Qu’est-ce que HELMINTOX 250 mg, comprimé pelliculé sécable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous la forme de comprimé pelliculé sécable. Boîte de 3 comprimés pelliculés sécables. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE INNOTECH INTERNATIONAL 22 AVENUE ARISTIDE BRIAND 94110 ARCUEIL Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE INNOTECH INTERNATIONAL 22 AVENUE ARISTIDE BRIAND 94110 ARCUEIL Fabricant Retour en haut de la page INNOTHERA CHOUZY RUE RENE CHANTEREAU, CHOUZY-SUR-CISSE 41150 VALLOIRE-SUR-CISSE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE HUILE GOMENOLEE 2 POUR CENT, solution pour instillation nasale ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie Réservé l’adulte et l’enfant de plus de 6 ans : après s’être mouché, 2 à 4 gouttes dans chaque narine 3 fois par jour. Mode d’administration Voie nasale. Durée de traitement Il conviendra de toujours limiter la durée d’utilisation du produit à la durée la plus courte possible. Si vous avez pris plus d’HUILE GOMENOLEE 2 POUR CENT, solution pour instillation nasale que vous n’auriez dû Sans objet. Si vous oubliez de prendre HUILE GOMENOLEE 2 POUR CENT, solution pour instillation nasale Sans objet. Si vous arrêtez de prendre HUILE GOMENOLEE 2 POUR CENT, solution pour instillation nasale Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. · Possibilité d’allergie à type d’éternuements, écoulement nasal ou réaction cutanée, · En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non respect des doses préconisées ; o Risque de convulsions chez l’enfant, o Possibilité d’agitation et de confusion chez les sujets âgés. · Lésions pulmonaires liées à l’inhalation du produit (passage dans les poumons) en particulier en cas d’usage chronique ou abusif (voir Mises en gardes spéciales). Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HUILE GOMENOLEE 2 POUR CENT, solution pour instillation nasale ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le flacon. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HUILE GOMENOLEE 2 POUR CENT, solution pour instillation nasale Retour en haut de la page · La substance active est: Niaouli (Melaleuca quinquenervia (Cav.) S.T.Blake)(huile essentielle)......................................... 2g Pour 100 g de solution. · Les autres composants sont : glycérides polyglycolysés insaturés (Labrafil M 1944.C), huile d’olive. Qu’est-ce que HUILE GOMENOLEE 2 POUR CENT, solution pour instillation nasale et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de solution pour instillation nasale. Flacon de 22 ml. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE DU GOMENOL 48 RUE DES PETITES ECURIES 75010 PARIS Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE DU GOMENOL 48 RUE DES PETITES ECURIES 75010 PARIS Fabricant Retour en haut de la page THEPENIER PHARMA & COSMETICS ROUTE DEPARTEMENTALE SAINT-LANGIS-LES-MORTAGNE 61400 MORTAGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Sans objet. Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE HYDROCORTISONE ROUSSEL 10 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Posologie La dose à utiliser est déterminée par votre médecin, notamment en fonction de votre poids et de la maladie traitée. Elle est strictement individuelle. Respectez toujours les doses prescrites, l'horaire des prises et la durée du traitement indiqués par votre médecin. Mode d’administration Ce médicament est utilisé par voie orale. Avalez les comprimés avec un verre d’eau. Chez l'enfant de moins de 6 ans, vous devez couper si besoin les comprimés selon la dose indiquée par votre médecin. Ecrasez et mélangez le(s) comprimé(s) dans l’alimentation de votre enfant. Ne donnez jamais un comprimé à avaler à un comprimé à avaler à un enfant de moins de 6 ans. Il pourrait l’avaler de travers et s’étouffer. Durée du traitement Elle est déterminée par votre médecin. Il est très important de suivre régulièrement le traitement et de ne pas le modifier, ni l’arrêter sans l’avis de votre médecin. Si vous avez pris plus d’HYDROCORTISONE ROUSSEL 10 mg, comprimé sécable que vous n’auriez dû Les risques sont très faibles dans les indications de ce médicament. Cependant consultez immédiatement votre médecin si vous avez pris une dose excessive. Si vous oubliez de prendre HYDROCORTISONE ROUSSEL 10 mg, comprimé sécable Ne jamais prendre plusieurs doses simultanément. Si le traitement a été interrompu, contactez votre médecin traitant. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Signalez à votre médecin toute apparition : · d’une fatigue importante, · d’une baisse de la tension artérielle (reconnaissable par un vertige et/ou malaise lors du passage de la position assise à la position debout), · ou d’une augmentation du potassium sanguin visible lors d’une prise de sang. Les effets indésirables sont : · Une modification de certains résultats de vos analyses (baisse du potassium ou augmentation du sucre dans le sang). · Une apparition de bleus. · Une élévation de la tension artérielle, rétention d’eau et de sel. · Des troubles de l’humeur (surexcitation, euphorie), troubles du sommeil. · Une prise de poids, un gonflement du visage. · Des troubles des règles. · Une peau fine, un retard de cicatrisation, de l’acné. · Exceptionnellement, une rupture des tendons surtout si HYDROCORTISONE ROUSSEL est associé à certains antibiotiques (les fluoroquinolones). · Des troubles de la vue pouvant entrainer une perte de la vue : vision floue, choriorétinopathies (maladie de la rétine). · Réactions allergiques : cutanées, urticaire localisée ou généralisée, brusque gonflement du visage et du cou (oedème de Quincke), choc allergique. · Une malformation du cœur (cardiomyopathie hypertrophique) chez les enfants nés prématurément. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HYDROCORTISONE ROUSSEL 10 mg, comprimé sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas HYDROCORTISONE ROUSSEL 10 mg, comprimé sécable après la date de péremption indiquée sur l’emballage. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HYDROCORTISONE ROUSSEL 10 mg, comprimé sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Hydrocortisone............................................................................................................ 10,00 mg Pour un comprimé sécable. · Les autres composants sont : Amidon de maïs prégélatinisé, lactose monohydraté, stéarate de magnésium, talc. Qu’est-ce que HYDROCORTISONE ROUSSEL 10 mg, comprimé sécable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé sécable. Chaque boîte contient 25 comprimés ou 50 comprimés. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page SANOFI AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 GENTILLY Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page SANOFI AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 GENTILLY Fabricant Retour en haut de la page SANOFI WINTHROP INDUSTRIE 56 ROUTE DE CHOISY-AU-BAC 60205 COMPIEGNE - FRANCE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE HYDROSOL POLYVITAMINE PHARMADEVELOPPEMENT, solution buvable en gouttes ? Retour en haut de la page Instructions pour un bon usage Sans objet. Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement Posologie Adulte, adolescent: 25 gouttes par jour. Enfant de 4 à 12 ans: 20 gouttes par jour. Enfant de 1 à 3 ans: 15 gouttes par jour. Cette spécialité n'est pas adaptée au nourrisson de moins de 1 an. Mode d'administration Voie orale. Les gouttes peuvent être diluées dans de l'eau, du lait ou du jus de fruit, en s'assurant alors que toute la quantité de liquide sera absorbée. Durée de traitement Respectez la posologie et la durée de traitement préconisées par le médecin. Symptômes et instructions en cas de surdosage Sans objet. Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses Sans objet. Risque de syndrome de sevrage Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Description des effets indésirables Comme tous les médicaments, HYDROSOL POLYVITAMINE PHARMADEVELOPPEMENT, solution buvable en gouttes est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet. Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. 5. COMMENT CONSERVER HYDROSOL POLYVITAMINE PHARMADEVELOPPEMENT, solution buvable en gouttes ? Retour en haut de la page Tenir hors de la portée et de la vue des enfants. Date de péremption Ne pas utiliser HYDROSOL POLYVITAMINE PHARMADEVELOPPEMENT, solution buvable en gouttes après la date de péremption mentionnée sur le flacon. Conditions de conservation A conserver à une température inférieure à 25°C. Si nécessaire, mises en garde contre certains signes visibles de détérioration Les médicaments ne doivent pas être jetés au tout-à-l'égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien ce qu'il faut faire des médicaments inutilisés. Ces mesures permettront de protéger l'environnement. 6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES Retour en haut de la page Liste complète des substances actives et des excipients Que contient HYDROSOL POLYVITAMINE PHARMADEVELOPPEMENT, solution buvable en gouttes ? Les substances actives sont: Vitamine A synthétique (concentrat de) forme huileuse* .................................................................. 250 000 UI Ergocalciférol (vitamine D2) ............................................................................................................. 50 000 UI α Tocophérol (acétate d') (vitamine E) ................................................................................................. 100 mg Thiamine (chlorhydrate de) (vitamine B1) ............................................................................................ 100 mg Pyridoxine (chlorhydrate de) (vitamine B6) ........................................................................................... 100 mg Riboflavine (phosphate de sodium) (vitamine B2) .................................................................................... 75 mg Nicotinamide (vitamine PP) ............................................................................................................... 500 mg Acide ascorbique (vitamine C) .......................................................................................................... 2500 mg Dexpanthénol (vitamine B5) ................................................................................................................ 200 mg Pour 100 ml de solution buvable. * Sous forme de palmitate de vitamine A stabilisé par du butylhydroxyanisole (9 mg/1 g) et du butylhydroxytoluène (9 mg/1 g). 15 gouttes (0,6 ml) = 1500 UI de vitamine A et 300 UI de vitamine D. 20 gouttes (0,8 ml) = 2000 UI de vitamine A et 400 UI de vitamine D. 25 gouttes (1 ml) = 2500 UI de vitamine A et 500 UI de vitamine D. Les autres composants sont: Huile d'arachide, glycérol, propylèneglycol, huile de ricin hydrogénée polyoxyéthylénée 40, parahydroxybenzoate de méthyle (E 218), parahydroxybenzoate de propyle (E 21.6), saccharine sodique, arôme fraise, TETRAROME orange 987431, hydroxyde de sodium ou acide chlorhydrique, eau purifiée. Forme pharmaceutique et contenu Qu'est-ce que HYDROSOL POLYVITAMINE PHARMADEVELOPPEMENT, solution buvable en gouttes et contenu de l'emballage extérieur ? Ce médicament se présente sous forme de solution buvable en gouttes. Flacon de 20 ml. Nom et adresse du titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et du titulaire de l'autorisation de fabrication responsable de la libération des lots, si différent Titulaire PHARMA DEVELOPPEMENT SA CHEMIN DE MARCY 58800 CORBIGNY Exploitant PHARMA DEVELOPPEMENT CHEMIN DE MARCY ZONE INDUSTRIELLE 58800 CORBIGNY Fabricant CENEXI 52, RUE MARCEL ET JACQUES GAUCHER 94122 FONTENAY-SOUS-BOIS ou PHARMA DEVELOPPEMENT ZONE INDUSTRIELLE, CHEMIN DE MARCY 58800 CORBIGNY ou BAYER SANTE FAMILIALE 33, RUE L'INDUSTRIE 74240 GAILLARD ou BAYER SANTE FAMILIALE Z.I. NORD RUE DU CHAMPS DU GARE 69400 HARNAS Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. Date d’approbation de la notice La dernière date à laquelle cette notice a été approuvée est le {date}. AMM sous circonstances exceptionnelles Sans objet. Informations Internet Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’Afssaps (France). Informations réservées aux professionnels de santé Sans objet. Autres Sans objet. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE SURQUINA 250 mg, comprimé pelliculé sécable ? Instructions pour un bon usage Sans objet. Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement Posologie La posologie quotidienne efficace est de 3 prises espacées de 8 heures de 8 mg/kg de quinine base pendant 5 à 7 jours (24 mg/kg de quinine base par jour en 3 prises), ·pour un sujet d'environ 30 kg: 1 comprimé, 3 fois par jour, ·pour un sujet d'environ 60 kg: 2 comprimés par prise, 3 fois par jour, ·pour un sujet d'environ 75 kg: 3 comprimés par prise, 3 fois par jour. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER A L'ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Mode et voie d'administration Voie orale. Fréquence d'administration Voir rubrique posologie. Durée du traitement La durée de traitement est de 5 à 7 jours. Respectez l'avis de votre médecin. Symptômes et instructions en cas de surdosage Si vous avez pris plus de SURQUINA 250 mg, comprimé pelliculé sécable que vous n'auriez dû: Les signes habituels de surdosage sont des troubles auditifs, des troubles visuels, des anomalies du rythme cardiaque, des troubles digestifs. En cas de surdosage accidentel, PREVENIR IMMEDIATEMENT UN MEDECIN. Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses Sans objet. Risque de syndrome de sevrage Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Description des effets indésirables Comme tous les médicaments, SURQUINA 250 mg, comprimé pelliculé sécable, est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet: ·hypoglycémie (quantité insuffisante de sucre dans le sang) pouvant entraîner un malaise, ·bourdonnements d'oreille, baisse brutale de l'audition, vertige, maux de tête, troubles de la vision, nausées peuvent survenir après 3 jours de traitement, ·convulsions à forte dose, ·manifestations allergiques cutanées: démangeaison, urticaire, éruption généralisée, ·anomalies sanguines (diminution des plaquettes sanguines), ·apparition d'urine rouge au cours du traitement (fièvre bilieuse hémoglobinurique). (Cf: mise en garde). Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. 5. COMMENT CONSERVER SURQUINA 250 mg, comprimé pelliculé sécable ? Tenir hors de la portée et de la vue des enfants. Date de péremption Ne pas utiliser SURQUINA 250 mg, comprimé pelliculé sécable après la date de péremption mentionnée sur le conditionnement extérieur. Conditions de conservation Pas de précautions particulières de conservation. Si nécessaire, mises en garde contre certains signes visibles de détérioration Les médicaments ne doivent pas être jetés au tout-à-l'égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien ce qu'il faut faire des médicaments inutilisés. Ces mesures permettront de protéger l'environnement. 6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES Liste complète des substances actives et des excipients Que contient SURQUINA 250 mg, comprimé pelliculé sécable ? La substance active est: Chlorhydrate de quinine ................................................................................................................ 305,85 mg Quantité correspondante à quinine base ........................................................................................ 250,00 mg Pour un comprimé pelliculé. Les autres composants sont: Amidon de maïs prégélatinisé, croscarmellose sodique, talc, stéarate de magnésium, hypromellose, cellulose microcristalline, macrogol 400, dioxyde de titane. Forme pharmaceutique et contenu Qu'est-ce que SURQUINA 250 mg, comprimé pelliculé sécable et contenu de l'emballage extérieur ? Ce médicament se présente sous la forme de comprimé pelliculé sécable. Boîte de 18 et 600 comprimés. Nom et adresse du titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et du titulaire de l'autorisation de fabrication responsable de la libération des lots, si différent Titulaire LABORATOIRE INNOTECH INTERNATIONAL 22, AVENUE ARISTIDE BRIAND 94110 ARCUEIL Exploitant LABORATOIRE INNOTECH INTERNATIONAL 22, AVENUE ARISTIDE BRIAND 94110 ARCUEIL Fabricant INNOTHERA CHOUZY L'ISLE VERT RUE RENE CHANTEREAU 41150 CHOUZY - SUR - CISSE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. Date d’approbation de la notice La dernière date à laquelle cette notice a été approuvée est le {date}. AMM sous circonstances exceptionnelles Sans objet. Informations Internet Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’Afssaps (France). Informations réservées aux professionnels de santé Sans objet. Autres Sans objet. (1)
3. COMMENT PRENDRE TOLEXINE 100 mg, microgranules en comprimé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. La dose recommandée est de 100 à 300 mg par jour chez l’adulte. Utilisation chez les enfants La dose recommandée est de 4 mg/kg/jour chez l’enfant. Mode d'administration VOIE ORALE Attention Les comprimés doivent être avalés au cours du repas avec un grand verre d'eau (100 ml) et au moins une heure avant le coucher. Les comprimés peuvent également être délayés dans un verre d'eau (100 ml) avant absorption et au moins une heure avant le coucher. Dans ce cas, bien agiter la suspension obtenue afin d'avaler la totalité du médicament. Il est important de ne pas s'allonger ou de ne pas se coucher pendant l'heure qui suit la prise des comprimés. Ces conditions de prise sont à respecter en raison de possibles troubles digestifs, en particulier des ulcérations de l'œsophage. Fréquence d'administration Se conformer à la prescription du médecin traitant. Durée du traitement Pour être efficace, ce médicament doit être pris régulièrement, aux doses prescrites, et aussi longtemps que votre médecin vous l'aura conseillé. La disparition de la fièvre, ou de tout autre symptôme, ne signifie pas que vous êtes complètement guéri. L'éventuelle impression de fatigue, n'est pas due au traitement antibiotique mais à l'infection elle-même. Le fait de réduire ou de suspendre votre traitement serait sans effet sur cette impression et retarderait votre guérison. Si vous avez pris plus de TOLEXINE 100 mg, microgranules en comprimé que vous n’auriez dû Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez de prendre TOLEXINE 100 mg, microgranules en comprimé Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre TOLEXINE 100 mg, microgranules en comprimé Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. · Photosensibilisation (réaction cutanée lors d’une exposition au soleil ou aux UV), très rares cas d’érythrodermie (maladie sévère de la peau), photo-onycholyse (décollement de l’ongle, entraînant parfois sa chute, après une exposition au soleil), hyperpigmentation. · Réactions allergiques : urticaire, éruptions, démangeaisons, œdème de Quincke (brusque gonflement du visage et du cou), réaction allergique généralisée grave, trouble cardiaque, aggravation d’un lupus érythémateux préexistant. · En cas de céphalées (maux de tête) ou de troubles visuels, informez-en votre médecin car il existe un risque d’hypertension intracrânienne bénigne (augmentation de la pression à l’intérieur du crâne) chez l’adulte au cours du traitement par un antibiotique de la famille des tétracyclines. · Possibilités de troubles digestifs : ulcérations de l’œsophage, nausées, douleurs de l’estomac, diarrhée, perte d’appétit, inflammation de la langue, inflammation de l’intestin, candidoses anogénitales (infections dues à des champignons microscopiques). · Possibilité de modifications du bilan sanguin (anémie, baisse des plaquettes ou des globules blancs). · Possibilité de troubles digestifs : inflammation du pancréas. · Des effets indésirables au niveau du foie peuvent apparaitre incluant des tests hépatiques anormaux, une inflammation du foie, un jaunissement de la peau ou du blanc des yeux et un trouble de fonctionnement du foie. Si vous présentez l’un des effets indésirables suivants, informez-en votre médecin dès que possible : · la réaction de Jarisch-Herxheimer, qui entraîne de la fièvre, des frissons, des maux de tête, des douleurs musculaires et une éruption cutanée habituellement spontanément résolutive. Elle se produit peu après l’instauration d’un traitement par doxycycline contre les infections à spirochète telles que la maladie de Lyme. Effets indésirables supplémentaires chez les enfants En cas d’administration chez l’enfant de moins de 8 ans, coloration anormale et permanente des dents et développement insuffisant de l’émail dentaire. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER TOLEXINE 100 mg, microgranules en comprimé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. À conserver à une température ne dépassant pas +30°C. L'aspect pigmenté (points colorés) du comprimé est lié à la présence des microgranules et n'est pas un signe de mauvaise conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient TOLEXINE 100 mg, microgranules en comprimé · La substance active est : Doxycycline monohydratée.............................................................................................. 104,10 mg Quantité correspondant à doxycycline anhydre.................................................................. 100,00 mg Pour un comprimé. · Les autres composants sont : Povidone K90, copolymère de méthacrylates alcalin (EUDRAGIT E100), talc, amidon prégélatinisé, cellulose microcristalline, laque jaune de quinoléine (E104). Qu'est-ce que TOLEXINE 100 mg, microgranules en comprimé et contenu de l'emballage extérieur ? Ce médicament se présente sous forme de comprimé. Boîte de 5, 15, 28 ou 30 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRES BAILLEUL S.A. 10-12, AVENUE PASTEUR L-2310 LUXEMBOURG LUXEMBOURG Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRES BAILLEUL 264 RUE DU FAUBOURG SAINT-HONORE 75008 PARIS Fabricant Retour en haut de la page ETHYPHARM ZONE INDUSTRIELLE DE SAINT-ARNOULT 28170 CHATEAUNEUF-EN-THYMERAIS DELPHARM REIMS 10 RUE COLONEL CHARBONNEAUX 51100 REIMS Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page {mois AAAA} Autres Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). CONSEILS / ÉDUCATION SANITAIRE Que savoir sur les antibiotiques ? Les antibiotiques sont efficaces pour combattre les infections dues aux bactéries. Ils ne sont pas efficaces contre les infections dues aux virus. Aussi, votre médecin a choisi de vous prescrire cet antibiotique parce qu’il convient précisément à votre cas et à votre maladie actuelle. Les bactéries ont la capacité de survivre ou de se reproduire malgré l’action d’un antibiotique. Ce phénomène est appelé résistance : il rend certains traitements antibiotiques inactifs. La résistance s’accroît par l’usage abusif ou inapproprié des antibiotiques. Vous risquez de favoriser l’apparition de bactéries résistantes et donc de retarder votre guérison ou même de rendre inactif ce médicament, si vous ne respectez pas : · la dose à prendre, · les moments de prise, · et la durée de traitement. En conséquence, pour préserver l’efficacité de ce médicament : 1- N’utilisez un antibiotique que lorsque votre médecin vous l’a prescrit. 2- Respectez strictement votre ordonnance. 3- Ne réutilisez pas un antibiotique sans prescription médicale même si vous pensez combattre une maladie apparemment semblable. 4- Ne donnez jamais votre antibiotique à une autre personne, il n’est peut-être pas adapté à sa maladie. 5- Une fois votre traitement terminé, rapportez à votre pharmacien toutes les boîtes entamées pour une destruction correcte et appropriée de ce médicament. (1)
3. COMMENT PRENDRE VOGALENE 0,1 %, solution buvable en flacon ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie La posologie est à adapter en fonction de l'horaire et de l'intensité des troubles digestifs avec la possibilité de renouveler l’administration jusqu'à trois prises par jour. Cesser le traitement dès disparition des symptômes. La durée de traitement maximale recommandée est de 5 jours. Une cuillère à café correspond à 5 mg de métopimazine. Adulte et adolescent (plus de 12 ans) : La dose maximale recommandée est de 15 à 30 mg/ jour à répartir en 3 prises. Ceci correspond à une dose journalière de 3 à 6 cuillères à café au maximum, réparties en 3 prises par jour c’est à dire 1 à 2 cuillères à café par prise, et jusqu’à 3 fois par jour. Nourrissons et enfants de moins de 12 ans : Enfant de plus de 15 kg : La dose maximale journalière recommandée est de 7,5 à 15 mg/jour à répartir en 3 prises. Ceci correspond à une dose journalière de 1 ½ à 3 cuillères à café au maximum réparties en 3 prises par jour c’est à dire ½ à 1 cuillère à café par prise et jusqu’à 3 fois par jour. Enfant jusqu'à 15 kg : La dose maximale recommandée est de 1 mg par kg de poids et par jour. Chaque graduation de la seringue correspond à 1 kg de poids. Utiliser exclusivement la seringue fournie avec le flacon. Mode d'administration La prise se fera de préférence 15 minutes avant les repas. Vous devez respecter un intervalle minimal de 4 à 6 heures entre 2 prises. Ce médicament s'administre par voie orale sous 2 formes selon le poids. Chez l'enfant jusqu'à 15 kg, le médicament s'administre au moyen de la seringue pour administration orale graduée en kg de poids. La seringue délivre une dose de 0,33 mg de métopimazine par graduation. La dose par prise se lit donc directement sur les graduations de la seringue en kg de poids de l'enfant. La dose à administrer pour 1 prise est ainsi obtenue en aspirant la solution, en tirant le piston de la seringue pour administration orale jusqu'à la graduation correspondant au poids du nourrisson ou de l'enfant. Introduire légèrement la seringue pour administration orale sur le devant de la bouche et pousser lentement le produit à administrer. Chez l'enfant de plus de 15 kg, l'adulte et l'adolescent, le médicament s'administre au moyen d'une cuillère à café. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L’ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Si vous avez pris plus de VOGALENE 0,1 %, solution buvable en flacon que vous n'auriez dû Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez de prendre VOGALENE 0,1 %, solution buvable en flacon Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre VOGALENE 0,1 %, solution buvable en flacon Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde : · somnolence ; · contractures musculaires, pouvant entraîner des difficultés à effectuer certains mouvements (marche, écriture, parole, …) ou des mouvements anormaux ; · malaises à type d’hypotension, lors du changement de position (allongé/debout) observés en particulier avec la forme injectable ; · sécheresse de la bouche ; · constipation ; · troubles de l’accommodation visuelle ; · rétention urinaire ; · impuissance, frigidité ; · arrêt des règles, écoulement anormal de lait, développement des seins chez l’homme, excès de prolactine (hormone provoquant la lactation) ; · éruption de boutons, rougeur de la peau ; · réactions allergiques. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOGALENE 0,1 %, solution buvable en flacon ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le flacon. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Conserver le flacon dans l'emballage extérieur, à l'abri de la lumière. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOGALENE 0,1 %, solution buvable en flacon Retour en haut de la page · La substance active est : Métopimazine............................................................................................................... 0,1000 g Pour 100 ml de solution. · Les autres composants sont : Acide ascorbique, citrate de sodium, métabisulfite de sodium, saccharine sodique, saccharose, parahydroxybenzoate de méthyle, parahydroxybenzoate de propyle, glycérol, éthanol à 96 %, solution alcoolique d'orange à 70°, eau purifiée. Qu’est-ce que VOGALENE 0,1 %, solution buvable en flacon et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de solution buvable. Flacon de 150 ml avec seringue pour administration orale graduée en kg de poids corporel de 1 à 15 kg destinée au nourrisson et à l'enfant jusqu'à 15 kg. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GÉNÉRAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GÉNÉRAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Fabricant Retour en haut de la page LAPHAL INDUSTRIES AVENUE DE PROVENCE 13190 ALLAUCH Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [À compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie Votre médecin décidera de la dose à utiliser selon la raison pour laquelle il vous a prescrit ce médicament. Conformez-vous à sa prescription. Chez l’enfant de plus de 35 kg (soit environ 12 ans) : La dose recommandée dépend du poids de l’enfant. Elle est généralement de 2 à 3 mg/kg par jour, à répartir en 2 à 3 prises, soit à titre indicatif : 1 comprimé à 50 mg, à prendre 2 à 3 fois par jour. Chez l’adulte et l’adolescent âgé de plus de 15 ans : · Si vous prenez VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant pour traiter une douleur ou une inflammation (traitement d’attaque) : la dose recommandée est de 1 comprimé à 50 mg, à prendre 3 fois par jour pendant 7 jours. · Si vous prenez VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant pour éviter une rechute (traitement d’entretien) : la dose recommandée est de 3 comprimés à 25 mg à 2 comprimés à 50 mg, à prendre en 2 à 3 fois par jour. · Si vous prenez VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant pour soulager les règles douloureuses : la dose recommandée est de 1 comprimé à 50 mg, à prendre 2 fois par jour, matin et soir. Mode d’administration Ce médicament est à utiliser par voie orale. Vous devez avaler les comprimés tels quels, sans les croquer ni les mâcher, avec un grand verre d’eau de préférence avant les repas. Fréquence d'administration Respectez la prescription de votre médecin. Durée du traitement Si vous prenez (ou donnez à votre enfant) VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant pour traiter une douleur ou une inflammation aiguë ou ponctuelle (traitement d’attaque), vous ne devez pas dépasser 7 jours de traitement. La posologie doit être la plus faible possible pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes. Conformez-vous à la prescription de votre médecin. Si vous avez pris plus de VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant que vous n’auriez dû Le surdosage peut entraîner les symptômes suivants : maux de tête, nausées, vomissements, douleurs gastro-intestinales, saignements digestifs, diarrhée, étourdissements, bourdonnements ou sifflements dans les oreilles (acouphènes), convulsions, agitation, irritabilité. Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien si vous ressentez l’un de ces symptômes. Si vous oubliez de prendre VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les médicaments tels que VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (« infarctus du myocarde ») ou d'accident vasculaire cérébral. Les effets indésirables suivants peuvent survenir : · Fréquemment (1 à 10 personnes sur 100) : o des nausées, des vomissements, des diarrhées, douleurs dans l’abdomen, une digestion difficile, une perte d’appétit, des gaz, o des maux de tête, des étourdissements, des vertiges, o une augmentation de certains enzymes du foie (visible lors d’une prise de sang), o des boutons ou des rougeurs sur le corps (éruption cutanée). · Peu fréquemment (1 à 10 personnes sur 1 000) : o une crise cardiaque, une insuffisance cardiaque (caractérisée par un essoufflement, une difficulté à respirer lorsque vous êtes allongé, un gonflement des jambes ou des pieds), des palpitations, une douleur dans la poitrine, o des crampes abdominales, des douleurs au niveau de l’estomac, des rots. · Rarement (1 à 10 personnes sur 10 000) : o une réaction allergique, certaines pouvant être graves avec une chute de la tension artérielle, un malaise général ou une accélération du rythme cardiaque (choc anaphylactique), o un saignement digestif (un rejet de sang par la bouche ou dans les selles, une coloration des selles en noir), o des cas d’ulcère et/ou de perforation de l’estomac et/ou de l’intestin, une inflammation de l’estomac, o une coloration jaune de la peau et des yeux (jaunisse), une altération du fonctionnement du foie pouvant être grave (hépatite), o des boutons qui démangent (urticaire), o de l’asthme ou un essoufflement, o une somnolence. · Très rarement (moins de 1 personne sur 10 000) : o un décollement de la peau qui peut rapidement s’étendre de façon très grave à tout le corps, o une forte réaction de la peau lors d’une exposition au soleil ou aux U.V., une perte de cheveux, ou de tâches violettes sur la peau (purpura), o des démangeaisons, l’apparition de petites vésicules sur la peau qui démangent (eczéma), o des rougeurs de la peau et des muqueuses ou des taches rouges violettes, des cloques, un décollement de la peau qui se détache en lamelles, o une réaction allergique avec un gonflement de la langue, de la gorge et du visage, o une dépression, une anxiété, une désorientation, des cauchemars, des difficultés pour dormir, une nervosité, des idées délirantes et hallucinations, o des tremblements, des fourmillements, des cas d’inflammation des méninges (couches qui enveloppent le cerveau), des convulsions, un accident vasculaire cérébral, des troubles de la mémoire, o une altération du goût, o des troubles visuels, vision trouble, vision double, des bourdonnements d’oreille et une baisse de l’audition, o une augmentation de la tension artérielle, o une inflammation des petits vaisseaux, o une infection des poumons, o un rétrécissement de l’intestin, une inflammation du gros intestin, une constipation, une irritation ou une inflammation de l’œsophage (tube reliant l’estomac à la bouche), de la langue, de la bouche ou du pancréas, o une altération grave du fonctionnement du foie (inflammation très sévère, insuffisance du foie), o une maladie plus ou moins grave des reins (pouvant aller jusqu’à une insuffisance rénale aiguë), une inflammation au niveau des reins, un saignement dans les urines, des protéines ou de l’albumine dans les urines, o une baisse dans le sang, des plaquettes, des globules rouges, des globules blancs avec parfois une fièvre et une infection, o quelques modifications des résultats des analyses de sang et d’urine peuvent nécessiter éventuellement un contrôle des bilans sanguins, du foie et des reins. · Les effets indésirables suivants ont été rapportés mais leur fréquence est indéterminée : o des légères crampes abdominales et sensibilité de l'abdomen, perceptibles peu après l'instauration du traitement par VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant et suivies d'un saignement rectal ou d'une diarrhée sanglante généralement moins de 24 heures après l'apparition des douleurs abdominales, o un gonflement (œdème), une fatigue, une diminution de la pression artérielle, une augmentation de la quantité de sel et d’eau retenue par votre corps avec possibilité de gonflement, une augmentation du taux de potassium dans le sang, des difficultés à respirer. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. A conserver à une température ne dépassant pas 30 °C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant Retour en haut de la page · La substance active est : Diclofénac sodique............................................................................................................ 50,00 mg pour un comprimé enrobé gastro-résistant. · Les autres composants sont : · Noyau : silice colloïdale anhydre, cellulose microcristalline, lactose monohydraté, stéarate de magnésium, amidon de maïs, povidone K30, carboxyméthylamidon sodique (type A). · Enrobage : hypromellose, talc, huile de ricin polyoxyéthylée, oxyde de fer rouge (E 172), oxyde de fer jaune (E 172), dioxyde de titane (E 171), copolymère de l'acide méthacrylique et d’acrylate d’éthyle, macrogol 8000. Qu’est-ce que VOLTARENE 50 mg, comprimé enrobé gastro-résistant et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous la forme d’un comprimé rond marron-clair, biconvexe à bords biseautés, portant la mention « CG » gravée sur une face et « GT » sur l’autre. Boîte de 30. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page Novartis Pharma S.A.S. 2-4, rue Lionel Terray 92500 Rueil Malmaison Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page Novartis Pharma S.A.S. 2-4, rue Lionel Terray 92500 Rueil Malmaison Fabricant Retour en haut de la page NOVARTIS FARMA S.p.A. Via Provinciale Schito 131 80058 Torre-Annunziata (NA) Italie Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). [DB1]La composition décrite dans l’annexe II approuvée était erronée, la composition qualitative et quantitative de la couche inférieure et de la couche supérieure étaient inversées. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie Votre médecin décidera de la dose à utiliser selon la raison pour laquelle il vous a prescrit ce médicament. Conformez-vous à sa prescription. · Si vous prenez VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée pour traiter une douleur aiguë ou ponctuelle (traitement d’attaque) : La dose recommandée est de 1 comprimé à 75 mg, à prendre 2 fois par jour, matin et soir, pendant 7 jours maximum. · Si vous prenez VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée pour éviter une rechute (traitement d’entretien) : La dose recommandée est de 1 comprimé à 75 mg par jour. Mode d’administration Ce médicament est à utiliser par voie orale. Vous devez avaler les comprimés tels quels, sans les croquer ni les mâcher avec un grand verre d’eau, de préférence pendant les repas. Fréquence d'administration Respectez la prescription de votre médecin. Durée du traitement Si vous prenez VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée pour traiter une douleur ou une inflammation aiguë ou ponctuelle (traitement d’attaque), vous ne devez pas dépasser 7 jours de traitement. La posologie doit être la plus faible possible pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes Conformez-vous à la prescription de votre médecin. Si vous avez pris plus de VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée que vous n’auriez dû Le surdosage peut entraîner les symptômes suivants : maux de tête, nausées, vomissements, douleurs gastro-intestinales, saignements digestifs, diarrhée, étourdissements, bourdonnements ou sifflements dans les oreilles (acouphènes), convulsions, agitation, irritabilité. Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien si vous ressentez l’un de ces symptômes. Si vous oubliez de prendre VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les médicaments tels que VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (« infarctus du myocarde ») ou d'accident vasculaire cérébral. Les effets indésirables suivants peuvent survenir : · Fréquemment (1 à 10 personnes sur 100) : o des nausées, des vomissements, des diarrhées, douleurs dans l’abdomen, une digestion difficile, une perte d’appétit, des gaz, o des maux de tête, des étourdissements, des vertiges, o une augmentation de certains enzymes du foie (visible lors d’une prise de sang), o des boutons ou des rougeurs sur le corps (éruption cutanée). · Peu fréquemment (1 à 10 personnes sur 1 000) : o une crise cardiaque, une insuffisance cardiaque (caractérisée par un essoufflement, une difficulté à respirer lorsque vous êtes allongé, un gonflement des jambes ou des pieds), des palpitations, une douleur dans la poitrine o des crampes abdominales, des douleurs au niveau de l’estomac, des rots. · Rarement (1 à 10 personnes sur 10 000) : o une réaction allergique, certaines pouvant être graves avec une chute de la tension artérielle, un malaise général ou une accélération du rythme cardiaque (choc anaphylactique), o un saignement digestif (un rejet de sang par la bouche ou dans les selles, une coloration des selles en noir), o des cas d’ulcère et/ou de perforation de l’estomac et/ou de l’intestin, une inflammation de l’estomac, o une coloration jaune de la peau et des yeux (jaunisse), une altération du fonctionnement du foie pouvant être grave (hépatite), o des boutons qui démangent (urticaire), o de l’asthme ou un essoufflement, o une somnolence. · Très rarement (moins de 1 personne sur 10 000) : o un décollement de la peau qui peut rapidement s’étendre de façon très grave à tout le corps, o une forte réaction de la peau lors d’une exposition au soleil ou aux U.V., une perte de cheveux, ou de tâches violettes sur la peau (purpura), o des démangeaisons, l’apparition de petites vésicules sur la peau qui démangent (eczéma), o des rougeurs de la peau et des muqueuses ou des taches rouges violettes, des cloques, un décollement de la peau qui se détache en lamelles, o une réaction allergique avec un gonflement de la langue, de la gorge et du visage, o une dépression, une anxiété, une désorientation, des cauchemars, des difficultés pour dormir, une nervosité, des idées délirantes et hallucinations, o des tremblements, des fourmillements, des cas d’inflammation des méninges (couches qui enveloppent le cerveau), des convulsions, un accident vasculaire cérébral, des troubles de la mémoire, o une altération du goût, o des troubles visuels, vision trouble, vision double, des bourdonnements d’oreille et une baisse de l’audition, o une augmentation de la tension artérielle, o une inflammation des petits vaisseaux, o une infection des poumons, o un rétrécissement de l’intestin, une inflammation du gros intestin, une constipation, une irritation ou une inflammation de l’œsophage (tube reliant l’estomac à la bouche), de la langue, de la bouche ou du pancréas, o une altération grave du fonctionnement du foie (inflammation très sévère, insuffisance du foie), o une maladie plus ou moins grave des reins (pouvant aller jusqu’à une insuffisance rénale aiguë), une inflammation au niveau des reins, un saignement dans les urines, des protéines ou de l’albumine dans les urines, o une baisse dans le sang, des plaquettes, des globules rouges, des globules blancs avec parfois une fièvre et une infection. o quelques modifications des résultats des analyses de sang et d’urine peuvent nécessiter éventuellement un contrôle des bilans sanguins, du foie et des reins. · Les effets indésirables suivants ont été rapportés mais leur fréquence est indéterminée : o des légères crampes abdominales et sensibilité de l'abdomen, perceptibles peu après l'instauration du traitement par VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée et suivies d'un saignement rectal ou d'une diarrhée sanglante généralement moins de 24 heures après l'apparition des douleurs abdominales, o un gonflement (œdème), une fatigue, une diminution de la pression artérielle, une augmentation de la quantité de sel et d’eau retenue par votre corps avec possibilité de gonflement, une augmentation du taux de potassium dans le sang, des difficultés à respirer. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. A conserver à une température ne dépassant pas 30°C et à l’abri de l’humidité. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée Retour en haut de la page · La substance active est : Diclofénac sodique............................................................................................................ 75,00 mg pour un comprimé enrobé à libération prolongée. · Les autres composants sont : Saccharose, alcool cétylique, silice colloïdale anhydre, povidone, stéarate de magnésium, hypromellose, polysorbate 80, dioxyde de titane (E171), oxyde de fer rouge (E172), talc. Qu’est-ce que VOLTARENE LP 75 mg, comprimé enrobé à libération prolongée et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous la forme de comprimés triangulaires de couleur rose pâle, légèrement biconvexes à bords biseautés, portant la mention « ID » gravée sur une face et « CG » sur l’autre. Boîte de 14, 20 ou 30. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page NOVARTIS PHARMA S.A.S. 2-4, RUE LIONEL TERRAY 92500 RUEIL MALMAISON Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page NOVARTIS PHARMA S.A.S. 2-4, RUE LIONEL TERRAY 92500 RUEIL MALMAISON Fabricant Retour en haut de la page NOVARTIS FARMA S.p.A. Via Provinciale Schito 131 80058 Torre-Annunziata (NA) Italie Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE ZANIDIP 10 mg, comprimé pelliculé sécable ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Adultes : La dose recommandée est de 10 mg par jour, en une prise. Dans certains cas, la posologie peut être d'un demi-comprimé par jour et, dans d'autres cas, elle peut être de 2 comprimés par jour (voir section 2). Utilisation chez les enfants et les adolescents Ce médicament ne doit pas utilisé chez les enfants de moins de 18 ans. Utilisation dans la population âgée Il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie. Cependant, une prudence particulière doit être mise en place lors de l’initiation du traitement. Patients ayant des problèmes hépatiques ou rénaux Une prudence particulière doit être mise en place lors de l’initiation du traitement. L’augmentation de posologie à 20 mg doit être envisagée avec précaution. Mode et voie d'administration Voie orale. Les comprimés doivent être pris chaque jour à la même heure, de préférence le matin, 15 minutes avant le petit déjeuner. Les comprimés sont à avaler avec un peu de l’eau. Le comprimé peut être divisé en doses égales. Si vous avez pris plus de ZANIDIP 10 mg, comprimé pelliculé sécable que vous n’auriez dû Ne dépassez pas la dose prescrite. Si vous avez pris plus de comprimés que la dose prescrite, parlez-en à votre médecin ou allez sans attendre à l’hôpital. Prenez la boite avec vous. Si vous prenez une dose trop importante, cela peut causer une baisse trop importante de la pression artérielle et des battements cardiaques irréguliers ou trop rapides. Si vous oubliez de prendre ZANIDIP 10 mg, comprimé pelliculé sécable Si vous avez oublié de prendre un comprimé, continuez le traitement le jour suivant sans essayer de rattraper cet oubli. Ne prenez pas une double dose pour compenser le comprimé que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre ZANIDIP 10 mg, comprimé pelliculé sécable Si vous arrêtez de prendre ZANIDIP, votre pression artérielle va augmenter, consultez votre médecin avant d’arrêter votre traitement. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables suivants peuvent être graves. Si vous constatez un de ces effets indésirables, contactez immédiatement votre médecin : Rare (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 1000) : angine de poitrine (oppression thoracique due à un manque de sang dans votre cœur), réactions allergiques (symptômes incluant démangeaisons, éruptions cutanées, urticaire), évanouissement. Les patients souffrant d'angine de poitrine pré-existante peuvent présenter une fréquence, une durée ou une sévérité plus importante de ces crises avec la famille de médicaments de ZANIDIP. Des cas isolés de crise cardiaque peuvent être observés. Autres effets secondaires possibles : Fréquents (pouvant affecter jusqu'à 1 personne sur 10) : maux de tête, rythme cardiaque augmenté, battements cardiaques rapides ou irréguliers (palpitations), rougeur soudaine du visage, du cou ou de la poitrine (bouffées de chaleur), gonflement des chevilles. Peu fréquents (pouvant affecter jusqu'à 1 personne sur 100) : sensations vertigineuses, diminution importante de la pression artérielle, brûlures d'estomac, nausées, douleurs à l'estomac, éruptions cutanées, démangeaisons, douleurs musculaires, augmentation du volume d’urine, sensation de faiblesse ou de fatigue. Rares (pouvant affecter jusqu'à 1 personne sur 1000) : somnolence, vomissements, diarrhées, urticaire, augmentation du nombre de fois où l’on urine, douleur à la poitrine. Fréquence inconnue (elle ne peut pas être estimée à partir des données disponibles) : gonflement des gencives, modifications de la fonction hépatique (détectée par des tests sanguins), liquide trouble (lors de dialyses par un tube dans l’abdomen), gonflement du visage, des lèvres, de la langue ou la gorge qui peut causer des difficultés à respirer ou à avaler. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZANIDIP 10 mg, comprimé pelliculé sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boite ou sur la plaquette blister après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Conserver ce médicament dans la boite, à l’abri de la lumière. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient ZANIDIP 10 mg, comprimé pelliculé sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Chlorhydrate de lercanidipine………………………………………………………………….10 mg (équivalent à 9,4 mg de lercanidipine) · Les autres excipients sont : Lactose monohydraté, cellulose microcristalline, carboxyméthylamidon sodique, povidone K30, stéarate de magnésium. Pelliculage : hypromellose, talc, dioxyde de titane (E171), macrogol 6000, oxyde de fer (E172). Qu’est-ce que ZANIDIP 10 mg, comprimé pelliculé sécable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé pelliculé jaune, rond, biconvexe et sécable sur un côté. Le comprimé peut être divisé en parties égales. Boîte de 14, 28, 30, 35, 50, 90 ou 100 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium). Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page BOUCHARA-RECORDATI IMMEUBLE LE WILSON 70 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE 92800 PUTEAUX Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRES BOUCHARA-RECORDATI IMMEUBLE LE WILSON 70 AVENUE DU GENERAL DE GAULLE 92800 PUTEAUX Fabricant Retour en haut de la page LABORATOIRES BOUCHARA-RECORDATI PARC MECATRONIC 03410 SAINT VICTOR OU RECORDATI INDUSTRIA CHIMICA E FARMACEUTICA S.p.A. VIA MATTEO CIVITALI 1 20148 MILAN ITALIE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Sans objet. Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE ZELITREX 500 mg, comprimé pelliculé? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Respectez toujours la posologie indiquée par votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. La dose que vous devrez prendre dépendra de la pathologie pour laquelle le médecin vous a prescrit ZELITREX. Vous pourrez en parler à votre médecin. Posologie Traitement du zona · La dose habituelle est de 1000 mg (2 comprimés de 500 mg) 3 fois par jour. · Vous devrez prendre ZELITREX pendant 7 jours. Traitement des boutons de fièvre · La dose habituelle est de 2000 mg (4 comprimés de 500 mg) 2 fois par jour. · La seconde dose devra être prise 12 heures (pas plus tôt que 6 heures) après la première dose. · Vous ne devrez prendre ZELITREX qu'une journée (deux doses). Traitement des infections cutanées à HSV et de l'herpès génital · La dose habituelle est de 500 mg (1 comprimé de 500 mg) 2 fois par jour. · En cas de primo-infection, vous devrez prendre ZELITREX pendant 5 jours ou jusqu'à 10 jours si votre médecin vous le prescrit. En cas d'infections récurrentes, la durée du traitement est normalement de 3 à 5 jours. Aide à la prévention des récurrences des infections à HSV · La dose habituelle est d'un comprimé de 500 mg 1 fois par jour. · Vous devrez prendre ZELITREX jusqu'à ce que votre médecin vous dise d'arrêter le traitement. Arrêter l'infection à CMV (Cytomégalovirus) · La dose habituelle est de 2000 mg (4 comprimés de 500 mg) 4 fois par jour. · Vous devrez respecter un intervalle d'environ 6 heures entre chaque prise. · En général, vous commencerez votre traitement avec ZELITREX dès que possible après la transplantation. · Vous devrez prendre ZELITREX pendant 90 jours environ après la transplantation et ce, jusqu'à ce que votre médecin vous dise d'arrêter le traitement. Votre médecin peut ajuster votre dose de ZELITREX si: · vous avez plus de 65 ans, · vous êtes immunodéprimé(e), · vous présentez des problèmes rénaux. Si vous êtes dans l'un de ces 3 cas, parlez-en à votre médecin avant de prendre ZELITREX. Comment prendre ZELITREX · Ce médicament se prend par voie orale. · Avalez les comprimés entiers avec un verre d'eau. · Prenez ZELITREX chaque jour à la même heure. · Prenez ZELITREX en respectant bien les instructions de votre médecin ou de votre pharmacien. Patients de plus de 65 ans ou présentant des troubles rénaux Pendant toute la durée de votre traitement avec ZELITREX, il est très important de vous hydrater régulièrement tout au long de la journée. Cela permettra de réduire les effets indésirables du médicament qui peuvent affecter la fonction rénale ou le système nerveux. Votre médecin vous suivra attentivement afin de détecter d'éventuels signes de ces effets. Les effets indésirables affectant le système nerveux peuvent inclure une sensation de confusion, ou d'agitation, de somnolence inhabituelle Si vous avez pris plus de ZELITREX 500 mg, comprimé pelliculé que vous n'auriez dû : Habituellement, ZELITREX n'est pas nocif, sauf en cas de surdosages répétés sur plusieurs jours. Si vous avez pris plus de comprimés que vous n'auriez dû, vous pouvez avoir des nausées, des vomissements, des problèmes au niveau des reins, une confusion, une agitation, .vous pouvez ressentir une baisse de la vigilance, voir des choses inexistantes ou perdre connaissance. Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien et amenez-lui la boîte de médicaments. Si vous oubliez de prendre ZELITREX 500 mg, comprimé pelliculé : · En cas d'oubli, prenez ZELITREX dès que vous vous en apercevez. Cependant, si vous constatez votre oubli alors qu'il est presque l'heure de prendre votre dose suivante, ne prenez pas la dose oubliée. · Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables Bien qu’ ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables suivants peuvent survenir avec ce médicament : Effets nécessitant votre vigilance · Réactions allergiques graves (anaphylaxie). Celles-ci sont rares chez les personnes prenant ZELITREX. Evolution rapide des symptômes parmi lesquels : · rougeurs, éruption cutanée s’accompagnant de démangeaisons, · gonflement des lèvres, du visage, du cou et de la gorge entraînant des difficultés respiratoires (angioedème), · chute de la pression sanguine conduisant à un collapsus. à En cas de réaction allergique, arrêtez de prendre ZELITREX et consultez immédiatement un médecin. Très fréquents (concernant plus de 1 personne sur 10) · maux de tête Fréquents (concernant jusqu’à 1 personne sur 10) · nausées, · sensation de vertige, · vomissements, · diarrhée, · réaction cutanée après exposition au soleil (photosensibilité), · éruption cutanée, démangeaisons (prurit).Peu fréquents (concernant jusqu’à 1 personne sur 100) · sensation de confusion, · voir ou entendre des choses inexistantes (hallucinations), · troubles de la conscience · tremblements, · sensation d’agitation. Ces effets indésirables affectant le système nerveux surviennent habituellement chez les patients présentant des troubles rénaux, les patients âgés ou les patients ayant subi une greffe d'organe et prenant de fortes doses de ZELITREX de 8 g ou plus par jour. Généralement, leur état s’améliore dès l’arrêt du traitement ou après diminution de la dose. Autres effets indésirables peu fréquents · essoufflement (dyspnée), · inconfort abdominal, · éruption cutanée, parfois accompagnée de démangeaisons, éruption de type urticaire, · douleur dans le bas du dos (douleur rénale), · sang dans les urines (hématurie). Effets indésirables peu fréquents pouvant être révélés par des analyses sanguines : · réduction du nombre de globules blancs (leucopénie), · réduction du nombre de plaquettes dans le sang, cellules permettant au sang de coaguler (thrombopénie), · augmentation des substances produites par le foie. Rares (concernant jusqu’à 1 personne sur 1000) · troubles de la marche et manque de coordination (ataxie), · lenteur de la parole et troubles de l’élocution (dysarthrie), · convulsions, · diminution de la fonction cérébrale (encéphalopathie), · perte de conscience (coma), · pensée confuse ou incohérente (délire). Ces effets indésirables affectant le système nerveux surviennent habituellement chez les patients présentant des troubles rénaux, les patients âgés ou les patients ayant subi une greffe d'organe et prenant de fortes doses de ZELITREX de 8 g ou plus par jour. Généralement, leur état s’améliore dès l’arrêt du traitement ou après diminution de la dose. Autres effets indésirables rares : · Troubles rénaux au cours desquels vous n’urinez pas ou peu. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZELITREX 500 mg, COMPRIME PELLICULE ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utiliser pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour du mois. A conserver à une température ne dépassant pas 30°C. Ne jetez aucun médicaments au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Ce que contient ZELITREX 500 mg, comprimé pelliculé Retour en haut de la page · La substance active est : le valaciclovir Chaque comprimé contient 500 mg de valaciclovir (sous forme de chlorhydrate de valaciclovir). · Les autres composants sont : Noyau du comprimé Cellulose microcristalline Crospovidone Povidone K 90, Stéarate de magnésium Silice colloïdale anhydre Pelliculage Hypromellose Dioxyde de titane Macrogol 400 Polysorbate 80 Cire de carnauba Qu’est-ce que ZELITREX 500 mg, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur ? Retour en haut de la page Les comprimés de ZELITREX sont conditionnés dans des boîtes contenant des plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium). Les comprimés de ZELITREX 500 mg sont présentés dans des boîtes contenant 10, 24, 30, 42, 90 ou 112 comprimés pelliculés de couleur blanche et portant l'inscription « GX CF1 » sur une face. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23 RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL MALMAISON Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE 23 RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL MALMAISON Fabricant Retour en haut de la page GLAXO WELLCOME S.A AVENIDA DE EXTREMADURA 3 09400 ARANDA DE DUERO BURGOS ESPAGNE OU GLAXOSMITHKLINE PHARMACEUTICALS SA UL. GRUNWALDZKA 189 60-322 POZNAN POLOGNE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Sans objet. Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT PRENDRE ZESTRIL 20 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Une fois que vous aurez commencé à prendre ZESTRIL, votre médecin pourra vous demander de faire des tests sanguins. Il pourra ensuite adapter la posologie afin que vous preniez la quantité de médicament qui vous convient. Prise du médicament · Avalez le comprimé avec un verre d'eau. · Essayez de prendre le comprimé tous les jours à la même heure ; ZESTRIL peut être pris avant ou après les repas. · Prenez ZESTRIL aussi longtemps que votre médecin vous demandera de le faire, il s'agit d'un traitement au long cours. Il est important de continuer à prendre ZESTRIL tous les jours. Prise de la première dose · Soyez particulièrement prudent lors de la première prise de ZESTRIL ou en cas d'augmentation de la dose car cela peut provoquer une baisse de la pression artérielle plus importante que lors de la poursuite du traitement. · Vous pouvez avoir des vertiges ou des étourdissements qui peuvent nécessiter de vous allonger. Si cet effet survient, consultez votre médecin dès que possible. Adultes La posologie dépend de votre maladie et des autres médicaments que vous prenez. Votre médecin vous dira combien de comprimés vous devez prendre par jour. En cas de doute, demandez l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien. Hypertension artérielle · La posologie initiale recommandée est de 10 mg/jour 1 fois par jour. · La posologie d'entretien habituelle est de 20 mg/jour 1 fois par jour. Insuffisance cardiaque · La posologie initiale recommandée est de 2,5 mg/jour 1 fois par jour. · La posologie d'entretien habituelle est comprise entre 5 et 35 mg/jour 1 fois par jour. Après une crise cardiaque · La posologie initiale recommandée est de 5 mg dans les 24 heures qui suivent la crise cardiaque et le jour suivant. · La posologie d'entretien habituelle est de 10 mg/jour 1 fois par jour. Complications rénales du diabète · La dose recommandée est de 10 ou de 20 mg/jour 1 fois par jour. · Si vous êtes âgé(e) ou en cas de maladie rénale ou de traitement diurétique, votre médecin pourra vous prescrire une dose plus faible que la dose habituelle. Utilisation chez les enfants et les adolescents hypertendus (âgés de 6 à 16 ans) : · Le lisinopril est déconseillé chez I’enfant de moins de 6 ans ou I’enfant avec de sévères problèmes au niveau des reins. · Le médecin adaptera la posologie pour votre enfant ou adolescent. La posologie dépend du poids corporel. · Pour les enfants ou adolescents pesant entre 20 et 50 kg, la posologie initiale recommandée est de 2,5 mg en une prise par jour. · Pour les enfants ou adolescents d'un poids supérieur à 50 kg, la posologie initiale recommandée est de 5 mg en une prise par jour. Si vous avez pris plus de ZESTRIL 20 mg, comprimé que vous n’auriez dû : Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous avez pris plus de ZESTRIL que vous n'auriez dû, contactez un médecin ou l'hôpital le plus proche. Les effets les plus susceptibles de se produire sont les suivants : étourdissements, palpitations. Si vous oubliez de prendre ZESTRIL 20 mg, comprimé : Si vous oubliez de prendre une dose de ZESTRIL, prenez-la dès que possible. Toutefois, si c'est presque le moment de prendre la dose suivante, ne prenez pas la dose que vous avez oublié de prendre. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre ZESTRIL 20 mg, comprimé : N'interrompez pas votre traitement, même si vous vous sentez bien, sauf si votre médecin vous le recommande. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Si vous présentez l'une des réactions suivantes, arrêtez de prendre ZESTRIL et contactez immédiatement votre médecin. · Réactions allergiques sévères (rares, observées chez 1 à 10 utilisateurs sur 10 000). Les signes peuvent être l'apparition brutale des réactions suivantes : · Gonflement de la face, des lèvres, de la langue ou de la gorge, pouvant provoquer des difficultés à avaler. · Gonflement sévère ou brutal des mains, des pieds et des chevilles. · Difficultés à respirer. · Démangeaisons sévères de la peau (avec nodules surélevés). · Troubles cutanés graves, comme une éruption ou une sensation de brûlure soudaine et inattendue, une rougeur ou une desquamation (très rares, observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000). · Infection s'accompagnant de symptômes comprenant une fièvre ou une détérioration sérieuse de l'état général ou fièvre avec des symptômes d'infection locale comprenant des problèmes au niveau de la gorge/du pharynx/de la bouche ou des problèmes urinaires (très rares, observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000). Autres effets indésirables éventuels : Fréquents (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 100) · Maux de tête. · Etourdissements ou vertiges, en particulier en cas de passage rapide en station debout. · Diarrhée. · Toux sèche persistante. · Vomissements. · Dysfonctionnement rénal (mis en évidence par un test sanguin). Peu fréquents (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 1000) · Troubles de l’humeur. · Changement de couleur des doigts ou des orteils (du bleu pâle au rouge) ou engourdissement ou fourmillements au niveau des doigts ou des orteils. · Altération du goût. · Somnolence. · Vertiges. · Troubles du sommeil. · Accident vasculaire cérébral. · Rythme cardiaque accéléré. · Ecoulement nasal. · Nausées. · Douleurs abdominales ou troubles digestifs. · Eruption cutanée ou démangeaisons. · Impossibilité d'obtenir une érection (impuissance). · Sensation de fatigue ou de faiblesse (perte de force). · Une chute excessive de la pression artérielle peut survenir dans les cas suivants : maladie coronaire ; rétrécissement de l'aorte (artère du cœur), de l'artère rénale ou des valves cardiaques, épaississement du muscle cardiaque. Vous pourriez dans ce cas ressentir des étourdissements ou des vertiges, en particulier en cas de passage rapide en position debout. · Modifications des tests sanguins indiquant le fonctionnement de votre foie et de vos reins. · Crise cardiaque. · Hallucinations visuelles et/ou auditives. Rares (observés chez 1 à 10 utilisateurs sur 10 000) · Confusion mentale. · Eruption avec gonflement (urticaire). · Sécheresse de la bouche. · Perte de cheveux. · Psoriasis (affection cutanée). · Altération de l’odorat. · Gonflement de la poitrine chez l'homme. · Modifications de certaines cellules ou de certains éléments de votre sang. Occasionnellement, votre médecin peut vous prescrire des prises de sang, afin de rechercher les effets que ZESTRIL provoque sur votre sang. Les signes peuvent être les suivants : sensation de fatigue, pâleur cutanée, mal de gorge, élévation de la température (fièvre), douleurs articulaires et musculaires, gonflement des articulations ou des glandes ou sensibilité au soleil. · Faibles taux de sodium dans votre sang (les symptômes peuvent être fatigue, mal de tête, nausée, vomissement). · Insuffisance rénale subite. Très rares (observés chez moins de 1 utilisateur sur 10 000) · Sinusite (sensation de douleur ou de congestion en arrière des joues et des yeux). · Respiration sifflante. · Diminution du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie). Les signes peuvent être une sensation de faim ou de faiblesse, une transpiration et un rythme cardiaque accéléré. · Inflammation des poumons. Les signes peuvent être une toux, une sensation d'essoufflement et une élévation de la température (fièvre). · Coloration jaune de la peau ou du blanc des yeux (jaunisse). · Inflammation du foie. Elle peut entraîner une perte d'appétit, une coloration jaune de la peau et des yeux et une coloration foncée des urines. · Inflammation du pancréas. Elle peut entraîner des douleurs modérées à sévères dans l'estomac. · Troubles cutanés graves. Les symptômes comprennent une rougeur, la formation de cloques et une desquamation. · Transpiration. · Emission d'urine anormalement faible, voire nulle. · Insuffisance hépatique. · Gonflements. · Inflammation de l'intestin. Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) · Symptômes de dépression. · Evanouissement. Les effets indésirables chez les enfants semblent comparables à ceux observés chez les adultes. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER ZESTRIL 20 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage et sur la plaquette après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. A conserver à une température ne dépassant pas 30°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient ZESTRIL 20 mg, comprimé Retour en haut de la page · La substance active est : Lisinopril anhydre............................................................................................................... 20,00 mg Sous forme de lisinopril dihydraté Pour un comprimé · Les autres composants sont : Mannitol, hydrogénophosphate de calcium dihydraté, amidon de maïs, amidon prégélatinisé, stéarate de magnésium, oxyde de fer rouge (E172). Qu’est-ce que ZESTRIL 20 mg, comprimé et contenu de l’emballage extérieur ? Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé rond, brun rouge, non pelliculé, biconvexe, avec “♥ 20” sur une face et lisse sur l’autre face. Diamètre de 8 mm. ZESTRIL est disponible : *en boites de 14, 20, 28, 30, 42, 50, 56, 56x1, 60, 84, 98, 100, 400 et 500 comprimés sous plaquettes. *en boites de 14, 28, 42, 56, 84 et 98 comprimés sous plaquettes calendaires *en flacon (PEHD) de 20, 30, 50, 100 et 400 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Fabricant Retour en haut de la page AVARA REIMS PHARMACEUTICAL SERVICES PARC INDUSTRIEL DE LA POMPELLE CHEMIN DE VRILLY 51100 REIMS Ou ASTRAZENECA UK LTD SILK ROAD BUSINESS PARK MACCLESFIELD CHESHIRE SK10 2NA ROYAUME-UNI Ou ASTRAZENECA AB GÄRTUNAVÄGEN SE-151 85 SÖDERTÄLJE SUEDE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [à compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT UTILISER VITABACT 0,05 POUR CENT, collyre ? Retour en haut de la page Instructions pour un bon usage Sans objet. Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement Posologie 1 goutte, 2 à 6 fois par jour. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L'ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN Mode et voie d’administration Lors de la première utilisation visser le bouchon à fond afin de percer l’embout du flacon. En regardant vers le haut et en tirant légèrement la paupière inférieure vers le bas, instiller 1 goutte dans l'œil à traiter. Durée du traitement La durée du traitement vous sera précisée par votre médecin. Le traitement usuel ne dépassera pas 10 jours. Symptômes et instructions en cas de surdosage Si vous avez utilisé plus de VITABACT 0,05 POUR CENT, collyre que vous n'auriez dû: En cas de surdosage, rincer au sérum physiologique stérile. Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses Sans objet. Risque de syndrome de sevrage Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Description des effets indésirables Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Réactions d'intolérance locale (irritation transitoire, possibilité de réactions allergiques nécessitant l'arrêt du traitement). Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VITABACT 0,05 POUR CENT, collyre ? Retour en haut de la page Tenir hors de la portée et de la vue des enfants. Date de péremption Ne pas utiliser VITABACT 0,05 POUR CENT, collyre après la date de péremption mentionnée sur le conditionnement extérieur. Conditions de conservation A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Ce médicament ne doit pas être conservé plus de 1 mois après la première utilisation. Notez la date d'ouverture en clair sur l'emballage. Si nécessaire, mises en garde contre certains signes visibles de détérioration Les médicaments ne doivent pas être jetés au tout à l'égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien ce qu'il faut faire des médicaments inutilisés. Ces mesures permettront de protéger l'environnement. 6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES Retour en haut de la page Liste complète des substances actives et des excipients Que contient VITABACT 0,05 POUR CENT, collyre ? La substance active est: Chlorhydrate de picloxydine ............................................................................................................. 0,0500 g Quantité correspondant en PICLOXYDINE BASE à ............................................................................ 0,0434 g Pour 100 ml de collyre. Les autres composants sont: Polysorbate 80, glucose anhydre, eau purifiée. Forme pharmaceutique et contenu Qu'est-ce que VITABACT 0,05 POUR CENT, collyre et contenu de l'emballage extérieur ? Ce médicament se présente sous forme de collyre. Boîte de 1 flacon de 10 ml. Nom et adresse du titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et du titulaire de l'autorisation de fabrication responsable de la libération des lots, si différent Titulaire LABORATOIRES THEA 12 RUE LOUIS BLERIOT 63017 CLERMONT-FERRAND CEDEX 2 Exploitant LABORATOIRES THEA 12 RUE LOUIS BLERIOT 63100 CLERMONT FERRAND Fabricant EXCELVISION RUE DE LA LOMBARDIERE 07100 ANNONAY Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. Date d’approbation de la notice La dernière date à laquelle cette notice a été approuvée est le {date}. AMM sous circonstances exceptionnelles Sans objet. Informations Internet Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’Afssaps (France). Informations réservées aux professionnels de santé Sans objet. Autres Sans objet. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT UTILISER VOLTARENE EMULGEL 1 %, gel en flacon pressurisé ? Retour en haut de la page Posologie et durée de traitement Réservé à l'adulte (à partir de 15 ans). La posologie dépend de l’indication. La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose la plus faible possible pendant la durée de traitement la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes. Traumatisme bénin: entorse (foulure), contusion 1 application locale, 2 à 3 fois par jour, pour une durée maximale de 4 jours. Si la douleur persiste au-delà, un médecin doit être consulté. La dose administrée à chaque application ne doit pas dépasser 2,5 g de gel. Cette dose maximale correspond à un ruban de 6 cm de gel (voir schéma de l’échelle). Douleurs d’origine musculaire et tendino-ligamentaire En traitement d’appoint : 1 application locale, 3 à 4 fois par jour, pour une durée maximale de 7 jours. Si la douleur persiste au-delà, un médecin doit être consulté. La dose administrée à chaque application ne doit pas dépasser 2,5 g de gel. Cette dose maximale correspond à un ruban de 6 cm (voir schéma à l'échelle). Poussées douloureuses de l’arthrose Uniquement après un premier avis médical. Traitement symptomatique : 1 application locale, 3 à 4 fois par jour, pour une durée de 7 jours. Le traitement peut être poursuivi, si besoin, pendant une durée maximale de 14 jours. Si la douleur persiste au-delà, un médecin doit être consulté. La dose administrée à chaque application ne doit pas dépasser 4 g de gel. Ceci correspond à un ruban de 10 cm environ (voir schéma à l'échelle). Populations particulières Enfants de moins de 15 ans Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les enfants de moins de 15 ans (voir rubrique « N'utilisez jamais VOLTARENE EMULGEL 1 %, gel en flacon pressurisé dans les cas suivants »). Sujets âgés Ce médicament doit être utilisé avec précaution chez les personnes âgées qui sont davantage sujettes aux effets indésirables. Mode d'administration Voie locale. Faire pénétrer le gel par un massage doux et prolongé sur la région douloureuse ou inflammatoire. Bien se laver les mains après chaque utilisation (sauf en cas de poussée douloureuse d’une arthrose des doigts, si vous appliquez le produit sur vous-même). Si vous avez utilisé plus de VOLTARENE EMULGEL 1 %, gel en flacon pressurisé que vous n’auriez dû : En cas de surdosage ou d'intoxication accidentelle, rincer abondamment à l'eau et consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez d’utiliser VOLTARENE EMULGEL 1 %, gel en flacon pressurisé : Si vous avez accidentellement oublié une dose, attendez la prochaine prise et continuez votre traitement normalement. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez d’utiliser VOLTARENE EMULGEL 1 %, gel en flacon pressurisé : Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Exceptionnellement peuvent survenir des réactions pouvant être sévères: · réactions allergiques cutanées: éruption (boutons), urticaire, bulles, · problèmes respiratoires de type crise d'asthme (souffle bruyant et court, impression de capacité respiratoire diminuée), · manifestations générales de type anaphylaxie (gonflement de la face, des lèvres, de la langue, de la gorge). Il faut immédiatement interrompre le traitement et avertir votre médecin ou votre pharmacien. Plus fréquemment, peuvent survenir des effets indésirables, généralement légers et passagers: · des effets locaux cutanés de type rougeur, démangeaisons, irritation cutanée, érosion ou ulcérations locales, Très exceptionnellement, une augmentation de la sensibilité au soleil. D'autres effets généraux des anti-inflammatoires non stéroïdiens, fonction de la quantité de gel appliquée, de la surface traitée et de son état, de la durée du traitement et de l'utilisation ou non d'un pansement fermé. Il faut en avertir votre médecin ou votre pharmacien. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOLTARENE EMULGEL 1 %, gel en flacon pressurisé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Récipient sous pression: · A protéger contre les rayons solaires et à ne pas exposer à une température supérieure à 30°C. · Ne pas percer ou brûler, même après usage. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOLTARENE EMULGEL 1 %, gel en flacon pressurisé Retour en haut de la page La substance active est: Diclofénac de diéthylamine . 1,16 g Quantité correspondant à diclofénac sodique 1,00 g Pour 100 g de gel. Les autres composants sont: Diéthylamine, Carbomère 974P, cétomacrogol 1000, ester d'acides caprylique et caprique avec alcool gras de C12 à C18, alcool isopropylique, paraffine liquide, parfum crème 45 (contenant du benzoate de benzyle), propylène glycol, eau purifié. Qu’est-ce que VOLTARENE EMULGEL 1 %, gel en flacon pressurisé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de gel en flacon pressurisé de 50 ml, 75 ml ou 100 ml. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page GLAXOSMITHKLINE SANTE GRAND PUBLIC 100, ROUTE DE VERSAILLES 78164 MARLY-LE-ROI CEDEX Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page GLAXOSMITHKLINE SANTE GRAND PUBLIC 100, ROUTE DE VERSAILLES 78164 MARLY-LE-ROI CEDEX Fabricant Retour en haut de la page NOVARTIS PHARMA S.A.S 26 RUE DE LA CHAPELLE 68330 HUNINGUE ou GLAXOSMITHKLINE SANTE GRAND PUBLIC 100, ROUTE DE VERSAILLES 78164 MARLY-LE-ROI CEDEX Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [A compléter ultérieurement par le titulaire.] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). CONSEIL D'EDUCATION SANITAIRE Attention : quelle que soit l’indication pour laquelle vous utilisez ce médicament, s'il existe une impotence fonctionnelle complète, c'est à dire si vous ne pouvez pas vous servir du membre et en cas d'hématome ("bleu") important, vous devez consulter sans tarder votre médecin. Traumatisme bénin: entorse (foulure), contusion Vous venez d'avoir un traumatisme ou une contusion, vous pouvez utiliser le gel pendant une durée maximale de 4 jours pour soulager votre douleur. Ne reprenez pas une activité sportive ou une pratique physique intense avant la disparition complète de la douleur. Par ailleurs, en case de : Entorse de la cheville : Vous devez consulter votre médecin qui jugera de la nécessité d'une radiographie et d'un traitement orthopédique : · si vous ne pouvez absolument pas vous mettre en appui sur la jambe pour faire quatre pas, · ou si un hématome (bleu) apparaît dans les 24h à 48h, · ou s'il existe une déformation ou un œdème (gonflement) très important. Lésion du genou : Vous devez consulter votre médecin qui jugera de la nécessité d'une radiographie et d'un traitement orthopédique : · en cas de gonflement important du genou, avec ou sans hématome, · et/ou en cas d'impossibilité d'appui. Douleurs d’origine musculaire et tendino-ligamentaire Si vous ne pouvez pas vous servir du membre qui vous fait mal, ou si la douleur persiste plus de 7 jours, vous devez consulter un médecin. Poussée douloureuse de l’arthrose L’arthrose doit être diagnostiquée par un médecin, qui seul pourra faire la différence avec d’autres maladies. Vous pouvez utiliser ce médicament pour soulager la douleur liée à une poussée d’arthrose. Toutefois, vous devez consulter votre médecin sans tarder : · si la douleur dure plus de 14 jours, · ou si la douleur apparaît plutôt la nuit, · ou si elle s’accompagne de rougeur, d’une éruption, d’un gonflement important, de fièvre, de malaises ou si les douleurs sont diffuses. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
3. COMMENT UTILISER XYLOCAINE 20 mg/ml SANS CONSERVATEUR, solution injectable? Retour en haut de la page En dehors de l’anesthésie locale par infiltration, la lidocaïne devra être uniquement utilisée par ou sous la responsabilité de médecins expérimentés dans les techniques d’anesthésie loco-régionale. La forme et la concentration utilisées varient en fonction de l’indication et de l’objectif à atteindre, de l’âge et de l’état pathologique du patient. Le niveau d’anesthésie obtenu est habituellement fonction de la dose totale administrée. La dose à injecter dépend de la technique d’anesthésie pour laquelle le produit est utilisé. Les patients âgés ou fragilisés peuvent être plus sensibles aux posologies standards, avec une augmentation du risque et de la sévérité des réactions toxiques sur le système nerveux central et sur le système cardiovasculaire. Néanmoins, il n’est pas recommandé de diminuer la dose de lidocaïne car cela pourrait entraîner une anesthésie insuffisante. Utilisation chez l’adulte et l’enfant de plus de 12 ans · Anesthésie locale par infiltration : la dose maximale ne doit pas dépasser 200 mg. Pour des doses plus élevées, il est recommandé de recourir aux formes adrénalinées. · Anesthésie régionale (caudale, péridurale, plexique, tronculaire) : la dose maximale ne doit pas dépasser 400 mg. Pour des doses supérieures, il est recommandé de recourir aux formes adrénalinées. Les formes les plus concentrées augmentent l’intensité du bloc moteur. En obstétrique, pour l’anesthésie péridurale il est recommandé de diminuer la dose de moitié. Pour l’analgésie obstétricale une solution de concentration inférieure ou égale à 10 mg/ml devra être utilisée ; en revanche, dans le cadre de l’anesthésie pour césarienne une concentration supérieure à 10 mg/ml devra être utilisée. Infiltrations péri et intra-articulaires et infiltrations sympathiques : la dose maximale ne doit pas dépasser 200 mg. Les doses recommandées de lidocaïne à 10 mg/ml et 20 mg/ml chez l’adulte sont indiquées dans le tableau 1. TABLEAU 1 Posologies recommandées chez l’adulte Technique Chlorhydrate de lidocaïne Concen-tration (mg/ml) Vol. (ml) Dose totale (mg) Anesthésie par infiltration 10 20 0,5-20 0,25-10 5-200 5-200 Anesthésie par blocs nerveux périphériques, par ex: · Bloc intercostal- par segment · Anesthésie paracervicale- de chaque côté · Anesthésie paravertébrale · Bloc cervical · Bloc lombaire 10 20 10 20 10 20 10 20 10 20 3-5 (max. 40) 1,5-2,5 (max. 20) 10 5 20 10 20-40 10-20 20-40 10-20 30-50 (max. 400 pour ts les segments) 30-50 (max. 400 pour ts les segments) 100 100 200 au total 200 au total 200-400 200-400 200-400 200-400 Anesthésie/Analgésie péridurale, par ex. : · Bloc péridural - Anesthésie chirurgicale - Obstétrique : Anesthésie pour césarienne Analgésie obstétricale 10 20 20 10 20-40* 10-20 10-20 20 200-400 200-400 200-400 200 · Bloc caudal 10 20 20-40* 10-20 200-400 200-400 * volume non recommandé en injection péridurale (augmentation de la pression intracrânienne pour des volumes supérieurs à 30 ml). Utilisation chez l’enfant de 1 à 12 ans Pour éviter toute toxicité systémique, la concentration efficace la plus faible et la dose efficace la plus faible doivent toujours être utilisées. · Infiltration locale et anesthésie régionale (péridurale, caudale, plexique, tronculaire) : la dose maximale recommandée se situe entre 2 et 7 mg/kg, selon la technique utilisée. Les doses recommandées de lidocaïne chez l’adulte sont indiquées dans le tableau 1. Mode et voie d’administration Voie injectable (sauf voie intraveineuse). Ne pas réutiliser un flacon entamé. Si vous avez pris plus de XYLOCAINE 20 mg/ml SANS CONSERVATEUR, solution injectable que vous n’auriez dû Le traitement d’un patient présentant des signes de toxicité systémique consiste à arrêter les convulsions et assurer une ventilation adéquate avec de l’oxygène, si nécessaire par ventilation (respiration) assistée ou contrôlée. Chez l’adulte, lorsque des convulsions apparaissent, elles doivent être rapidement traitées par injection intraveineuse de barbituriques ou benzodiazépines à action courte. La succinylcholine intraveineuse (50 à 100 mg) peut être utilisée pour assurer une relaxation musculaire à condition que le clinicien soit capable d’effectuer une intubation endotrachéale et de prendre en charge un patient complètement paralysé. Après arrêt des convulsions et lorsqu’une ventilation pulmonaire adaptée est assurée, aucun autre traitement n’est habituellement nécessaire. Cependant, en cas d’hypotension, un vasopresseur doit être administré par voie intraveineuse. Si vous oubliez d’utiliser XYLOCAINE 20 mg/ml SANS CONSERVATEUR, solution injectable Sans objet. Si vous arrêtez d’utiliser XYLOCAINE 20 mg/ml SANS CONSERVATEUR, solution injectable Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables dus à la lidocaïne doivent être différenciés des effets physiologiques dus au bloc lui-même (hypotension, bradycardie) ainsi que des effets dus à l’introduction de l’aiguille directs (lésion neurologique) ou indirects (abcès péridural). La survenue d’un effet indésirable doit faire suspecter un surdosage. Les réactions toxiques, témoins d’un surdosage en anesthésique local, peuvent apparaître dans deux conditions : soit immédiatement par un surdosage relatif dû à un passage intraveineux accidentel, soit plus tardivement par un surdosage vrai dû à l’utilisation d’une trop grande quantité d’anesthésique. Les signes de toxicité peuvent être : · Sur le plan du système nerveux central : les premiers symptômes de toxicité sont des sensations d’étourdissement, un engourdissement des lèvres et de la langue, des bourdonnements d’oreille, un dysfonctionnement de l’audition et une dysarthrie. D’autres symptômes subjectifs du système nerveux central comportent une désorientation et des sensations occasionnelles de somnolence. Les signes objectifs de toxicité comportent : frissons, contractions musculaires et tremblements impliquant au départ les muscles du visage et des parties distales des extrémités. Finalement des convulsions apparaissent. Si une dose très importante est administrée, les premiers signes sont suivis rapidement par un état de dépression généralisée du système nerveux central pouvant conduire à un arrêt respiratoire. · Réactions allergiques : elles sont extrêmement rares et sont caractérisées par des lésions cutanées, de l’urticaire, un œdème ou des réactions anaphylactoïdes. · Troubles cardiovasculaires : chute de tension artérielle, bradycardie voire arrêt cardiaque. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER XYLOCAINE 20 mg/ml SANS CONSERVATEUR, solution injectable? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le flacon. Ampoule en polypropylène : à conserver à une température ne dépassant pas 25°C Ne jetez aucun médicament au tout à l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient XYLOCAINE 20 mg/ml SANS CONSERVATEUR, solution injectable Retour en haut de la page La substance active est: Chlorhydrate de lidocaïne ......................................................................................................... 21,32 mg Quantité correspondant en chlorhydrate de lidocaïne anhydre à ................................................20,00 mg Pour 1 ml. Une ampoule de 10 ml contient 200 mg de chlorhydrate de lidocaïne. Un flacon ou une ampoule de 20 ml contient 400 mg de chlorhydrate de lidocaïne. Les autres composants sont: chlorure de sodium, hydroxyde de sodium ou acide chlorhydrique, eau pour préparations injectables. Qu’est-ce que XYLOCAINE 20 mg/ml SANS CONSERVATEUR, solution injectable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Solution injectable en flacon ou ampoule. Boîte de 1 ou 10 flacons de 20 ml. Boîte de 1, 5 ou 10 ampoules de 10 ml. Boîte de 1 ou 10 ampoules de 20 ml. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASPEN PHARMA TRADING LIMITED 3016 LAKE DRIVE CITYWEST BUSINESS CAMPUS DUBLIN 24 IRLANDE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASPEN FRANCE 21 AVENUE EDOUARD BELIN 92500 RUEIL MALMAISON FRANCE Fabricant Retour en haut de la page RECIPHARM MONTS 18, RUE DE MONTBAZON 37260 MONTS ou ASTRAZENECA AB S-151 85 SODERTALJE SUEDE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] {MM/AAAA} {mois AAAA}. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Sans objet. Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
4.2. Posologie et mode d'administration Retour en haut de la page Posologie · Amibiase o Adultes 1,50 g par jour (500 mg trois fois par jour en perfusion intraveineuse). o Enfants 30 à 40 mg/kg/jour en perfusions intraveineuses. Dans l'amibiase hépatique, au stade abcédaire, l'évacuation de l'abcès doit être effectuée conjointement au traitement par le métronidazole. · Traitement des infections à germes anaérobies o Adultes 1 à 1,5 g par jour en 2 ou 3 perfusions intraveineuses. o Enfants 20 à 30 mg/kg/jour en 2 ou 3 perfusions intraveineuses. Le relais peut être pris par voie orale, à la même posologie, lorsque l'état du malade le permet. · Prophylaxie des infections post-opératoires en chirurgie L'antibioprophylaxie doit être de courte durée, le plus souvent limitée à la période per-opératoire, 24 heures parfois, mais jamais plus de 48 heures. o Adultes 30 minutes avant le début de l'intervention, injection intra-veineuse d'une dose unique de 1 g. o Enfants 30 minutes avant le début de l'intervention, injection intra-veineuse d'une dose unique de 20 à 40 mg/kg. Mode d’administration Administration en perfusion veineuse lente, à raison d'une poche de 100 ml (500 mg) passée en 30 à 60 minutes. 4.3. Contre-indications Retour en haut de la page Hypersensibilité au métronidazole ou à la famille des imidazolés ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1. 4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi Retour en haut de la page Hypersensibilité / peau et annexes Des réactions d’allergie, y compris des chocs anaphylactiques, peuvent survenir et mettre en jeu le pronostic vital (voir rubrique 4.8). Dans ce cas, le métronidazole doit être interrompu et un traitement médical adapté doit être mis en place. La survenue, en début de traitement, d’un érythème généralisé fébrile associé à des pustules, doit faire suspecter une pustulose exanthématique aigüe généralisée (voir rubrique 4.8) ; elle impose l’arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration de métronidazole seul ou associé. Des cas de réactions cutanées sévères incluant syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, Pustulose Exanthématique Aigüe Généralisée (PEAG) ont été rapportés avec le metronidazole. Les patients doivent être informés des signes et symptomes et une surveillance cutanée rapprochée doit être pratiquée. La survenue de signes ou symptomes de Syndrome de Stevens-Jonhson, Syndrome de Lyell (ex : éruption progressive souvent accompagnée de bulles ou de lésions des muqueuses) ou AGEP (érythème généralisé fébrile associé à des pustules) (voir rubrique 4.8) impose l’arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration de métronidazole seul ou associée. Système nerveux central Si des symptômes évocateurs d’encéphalopathie ou de syndrome cérébelleux apparaissent, la prise en charge du patient doit être immédiatement réévaluée et le traitement par le métronidazole doit être arrêté. Des cas d’encéphalopathie ont été rapportés lors de la surveillance de ce médicament post-commercialisation. Des cas de modifications de l’IRM associées à une encéphalopathie ont également été observés (voir rubrique 4.8). Les lésions observées sont localisées le plus fréquemment dans le cervelet (particulièrement dans le noyau dentelé) et dans le splenium du corps calleux. La plupart des cas d’encéphalopathie et de modifications de l’IRM sont réversibles à l’arrêt du traitement. D’exceptionnels cas d’évolution fatale ont été rapportés. Surveiller l’apparition de signes évocateurs d’encéphalopathie ou en cas d’aggravation chez des malades atteints d’affection neurologique centrale. En cas de méningite aseptique sous métronidazole, la réintroduction du traitement est déconseillée ou doit faire l’objet d’une appréciation du rapport bénéfice-risque en cas d’infection grave. Système nerveux périphérique Surveiller l’apparition de signes évocateurs de neuropathies périphériques, en particulier en cas de traitement prolongé ou chez les malades atteints d’affections neurologiques périphériques sévères, chroniques ou évolutives. Troubles psychiatriques Des réactions psychotiques avec possible comportement à risque pour le patient, peuvent survenir dès les premières prises du traitement, notamment en cas d’antécédents psychiatriques (voir rubrique 4.8). Le métronidazole doit alors être arrêté, le médecin informé et les mesures thérapeutiques nécessaires prises immédiatement. Lignée sanguine En cas d’antécédents de troubles hématologiques, de traitement à forte dose et/ou de traitement prolongé, il est recommandé de pratiquer régulièrement des examens sanguins, particulièrement le contrôle de la formule leucocytaire. En cas de leucopénie, l’opportunité de la poursuite du traitement dépend de la gravité de l’infection. Excipient à effet notoire Ce médicament contient du sodium. Ce médicament contient 0.340 g de sodium par 100 ml de solution. A prendre en compte chez les patients suivant un régime hyposodé strict. Interactions médicamenteuses L’utilisation concomitante de métronidazole et d’alcool est déconseillée (voir rubrique 4.5). L’utilisation concomitante de métronidazole et de busulfan est déconseillée (voir rubrique 4.5). L’utilisation concomitante de métronidazole et de disulfirame est déconseillée (voir rubrique 4.5). Interactions avec les examens paracliniques Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver un test de Nelson. Des cas d'hépatotoxicité sévère/d'insuffisance hépatique aiguë, y compris des cas entraînant une issue fatale avec une survenue très rapide après l'initiation du traitement chez des patients atteints du syndrome de Cockayne, ont été rapportés avec des produits contenant du métronidazole destinés à une utilisation systémique. Dans cette population, le métronidazole doit donc être utilisé après une évaluation approfondie du rapport bénéfice-risque et uniquement si aucun traitement alternatif n'est disponible. Des tests de la fonction hépatique doivent être réalisés juste avant le début du traitement, tout au long de celui-ci et après la fin du traitement, jusqu'à ce que la fonction hépatique se situe dans les limites des valeurs normales, ou jusqu'à ce que les valeurs initiales soient obtenues. Si les tests de la fonction hépatique deviennent nettement élevés pendant le traitement, la prise du médicament doit être interrompue. Il faut informer les patients atteints du syndrome de Cockayne de rapporter immédiatement tous les symptômes de lésions hépatiques potentielles à leur médecin et d'arrêter la prise de métronidazole. 4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Retour en haut de la page Réaction antabuse Les médicaments provoquant une réaction antabuse avec l’alcool sont nombreux, et leur association avec l’alcool est déconseillée. Associations déconseillées Alcool (boisson ou excipient) Effet antabuse (chaleur, rougeurs, vomissements, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool. Tenir compte de l’élimination complète des médicaments en se référant à leur demi-vie avant la reprise de boissons alcoolisées ou du médicament contenant de l’alcool Busulfan Avec le busulfan à fortes doses : doublement des concentrations de busulfan par le métronidazole. Disulfirame Risque d’épisodes de psychose aiguë ou d’état confusionnel, réversibles à l’arrêt de l’association. Associations faisant l'objet de précautions d’emploi Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par l’inducteur. Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole pendant le traitement par l’inducteur et après son arrêt. Rifampicine Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par la rifampicine. Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole pendant le traitement par la rifampicine et après son arrêt. Lithium Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques, avec signes de surdosage en lithium. Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium. Associations à prendre en compte Fluoro-uracile (et par extrapolation, tegafur et capécitabine) Augmentation de la toxicité du fluoro-uracile par diminution de sa clairance. Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR: De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées: il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines. 4.6. Fertilité, grossesse et allaitement Retour en haut de la page Grossesse Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxique particulier du métronidazole. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque. En conséquence, le métronidazole peut être prescrit pendant la grossesse si besoin. Allaitement Le métronidazole passant dans le lait maternel, éviter l'administration de ce médicament pendant l'allaitement. 4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Retour en haut de la page Bien que les conditions d’administration soient peu compatibles avec la conduite de véhicules et l’utilisation de machines, il convient d'avertir les patients du risque potentiel de vertiges, de confusion, d'hallucinations, de convulsions ou de troubles visuels et de leur recommander de ne pas conduire de véhicules ni d'utiliser de machines en cas de survenue de ce type de troubles. 4.8. Effets indésirables Retour en haut de la page Affections hématologiques et du système lymphatique · neutropénie, agranulocytose, thrombopénie. Affections psychiatriques · hallucinations, · réactions psychotiques avec paranoïa et/ou délire pouvant s’accompagner de manière isolée d’idées ou d’actes suicidaires (voir rubrique 4.4), · humeur dépressive. Affections du système nerveux · neuropathies sensitives périphériques, · céphalées, · vertiges, · confusion, · convulsions, · encéphalopathie pouvant être associés à des modifications de l’IRM généralement réversibles à l’arrêt du traitement. D’exceptionnels cas d’évolution fatale ont été rapportés (voir rubrique 4.4), · syndrome cérébelleux subaigu (ataxie, dysarthrie, troubles de la démarche, nystagmus, tremblements) (voir rubrique 4.4), · méningite aseptique (voir rubrique 4.4). Affections oculaires · troubles visuels transitoires tels que vision trouble, diplopie, myopie, diminution de l’acuité visuelle, changement dans la vision des couleurs, · neuropathies/névrites optiques. Affections gastro-intestinales · troubles digestifs bénins (douleurs épigastriques, nausées, vomissements, diarrhée), · glossites avec sensation de sécheresse de la bouche, stomatites, troubles du goût, anorexie, · pancréatites réversibles à l'arrêt du traitement. · décoloration ou modification de l’aspect de la langue (mycose). Affections hépatobiliaires · élévations des enzymes hépatiques (ALAT, ASAT, phosphatases alcalines), très rares cas d’atteinte hépatique aiguë de nature cytolytique (parfois ictérique), cholestatique ou mixte. Des cas isolés d’insuffisance hépatocellulaire pouvant nécessiter une transplantation hépatique ont été rapportés. Affections de la peau et du tissu sous-cutané · bouffées congestives, prurit, éruption cutanée parfois fébrile, · urticaire, œdème de Quincke, choc anaphylactique (voir rubrique 4.4), · très rares cas de pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique 4.4), · Syndrome de Lyell · Syndrome de Stevens Johnson · Erythème pigmenté fixe Divers · apparition d’une coloration brun-rougeâtre des urines due à la présence de pigments hydrosolubles provenant du métabolisme du produit. Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. 4.9. Surdosage Retour en haut de la page Des cas d'administration d'une dose unique jusqu'à 12 g ont été rapportés lors de tentatives de suicide et de surdosage accidentel. Les symptômes se sont limités à des vomissements, ataxie et légère désorientation. Il n'y a pas d'antidote spécifique pour les surdosages de métronidazole. En cas de surdosage massif, le traitement est symptomatique. 5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES Retour en haut de la page 5.1. Propriétés pharmacodynamiques Retour en haut de la page Classe pharmacothérapeutique : antibiotiques antibactériens anti-parasitaires de la famille des nitro-5-imidazolés, code ATC : J01XD01 – P01AB01 (J : anti-infectieux). Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes : S ≤ 4 mg/l et R > 4 mg/l La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique. Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableau ci-dessous : Catégories Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes) Espèces sensibles Aérobies à Gram négatif Helicobacter pylori 30% Anaérobies Bacteroides fragilis Bifidobacterium 60 – 70% Bilophila Clostridium Clostridium difficile Clostridium perfringens Eubacterium 20 – 30% Fusobacterium Peptostreptococcus Porphyromonas Prevotella Veillonella Espèces résistantes Aérobies à Gram positif Actinomyces Anaérobies Mobiluncus Propionibacterium acnes Activité antiparasitaire Entamoeba histolytica Giardia intestinalis Trichomonas vaginalis 5.2. Propriétés pharmacocinétiques Retour en haut de la page Distribution · L'injection de 500 mg de métronidazole par voie veineuse donne lieu après perfusion unique à un pic moyen de 18 mcg par ml à la fin de la perfusion de 20 minutes. · L'apport répété toutes les 8 heures donne lieu à un pic moyen identique. · L'apport toutes les 12 heures donne lieu à un pic moyen de 13 mcg par ml. · La demi-vie plasmatique est de 8 à 10 heures. · La liaison aux protéines sanguines est faible: inférieure à 10 pour cent. · La diffusion est rapide et importante dans: les poumons, les reins, le foie, la peau, la bile, le LCR, la salive, le liquide séminal, les sécrétions vaginales. Le métronidazole traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel. Biotransformation · Il donne deux métabolites non conjugués ayant une activité antibactérienne (10 à 30 pour cent). Élimination · Forte concentration hépatique et biliaire. Faible concentration colique. Faible élimination fécale. Excrétion surtout urinaire (40 à 70 % dont 20 % environ sous forme inchangée), entraînant une coloration des urines en brun ou rougeâtre. 5.3. Données de sécurité préclinique Retour en haut de la page Sans objet. 6. DONNEES PHARMACEUTIQUES Retour en haut de la page 6.1. Liste des excipients Retour en haut de la page Phosphate disodique, acide citrique monohydraté, chlorure de sodium, eau pour préparations injectables. 6.2. Incompatibilités Retour en haut de la page En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments. 6.3. Durée de conservation Retour en haut de la page 2 ans. Après ouverture: le produit doit être utilisé immédiatement. 6.4. Précautions particulières de conservation Retour en haut de la page Pas de précaution particulière de conservation. 6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur Retour en haut de la page 100 ml en poche (P.V.C. - PL 146-3 Viaflex); boîte de 1 ou 40. 6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation Retour en haut de la page A conserver à l’abri de la lumière. 7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Retour en haut de la page SANOFI-AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 GENTILLY 8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Retour en haut de la page · 34009 555 171 0 8: 100 ml en poche (P.V.C. - PL 146-3 Viaflex), boîte de 1. · 34009 550 472 6 1: 100 ml en poche (P.V.C. - PL 146-3 Viaflex), Boîte de 40. 9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] 10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] 11. DOSIMETRIE Retour en haut de la page Sans objet. 12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES Retour en haut de la page Sans objet. CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE Liste I Médicament réservé à l’usage hospitalier. (1)
4.5 Interaction with other medicinal products and other forms of interaction Oral anticoagulants Oral anticoagulants and penicillin antibiotics have been widely used in practice without reports of interaction. However, in the literature there are cases of increased international normalised ratio in patients maintained on acenocoumarol or warfarin and prescribed a course of amoxicillin. If co-administration is necessary, the prothrombin time or international normalised ratio should be carefully monitored with the addition or withdrawal of amoxicillin. Moreover, adjustments in the dose of oral anticoagulants may be necessary (see sections 4.4 and 4.8). Methotrexate Penicillins may reduce the excretion of methotrexate causing a potential increase in toxicity. Probenecid Concomitant use of probenecid is not recommended. Probenecid decreases the renal tubular secretion of amoxicillin. Concomitant use of probenecid may result in increased and prolonged blood levels of amoxicillin but not of clavulanic acid. Mycophenolate mofetil In patients receiving mycophenolate mofetil, reduction in pre-dose concentration of the active metabolite mycophenolic acid (MPA) of approximately 50% has been reported following commencement of oral amoxicillin plus clavulanic acid. The change in pre-dose level may not accurately represent changes in overall MPA exposure. A change in the dose of mycophenolate mofetil should not normally be necessary in the absence of clinical evidence of graft dysfunction. Close clinical monitoring should be performed during the combination and shortly after antibiotic treatment. 4.6 Fertility, pregnancy and lactation Pregnancy Animal studies do not indicate direct or indirect harmful effects with respect to pregnancy, embryonal/foetal development, parturition or postnatal development (see section 5.3). Limited data on the use of amoxicillin/clavulanic acid during pregnancy in humans do not indicate an increased risk of congenital malformations. In a single study in women with preterm, premature rupture of the foetal membrane it was reported that prophylactic treatment with amoxicillin/clavulanic acid may be associated with an increased risk of necrotising enterocolitis in neonates. Use should be avoided during pregnancy, unless considered essential by the physician. Breastfeeding Both substances are excreted into breast milk (nothing is known of the effects of clavulanic acid on the breast-fed infant). Consequently, diarrhoea and fungus infection of the mucous membranes are possible in the breast-fed infant, so that breast-feeding might have to be discontinued. Amoxicillin/clavulanic acid should only be used during breast-feeding after benefit/risk assessment by the physician in charge. 4.7 Effects on ability to drive and use machines No studies on the effects on the ability to drive and use machines have been performed. However, undesirable effects may occur (e.g. allergic reactions, dizziness, convulsions), which may influence the ability to drive and use machines (see section 4.8). 4.8 Undesirable effects The most commonly reported adverse drug reactions (ADRs) are diarrhoea, nausea, and vomiting. The ADRs derived from clinical studies and post-marketing surveillance with Co-amoxiclav, sorted by MedDRA System Organ Class are listed below. The following terminologies have been used in order to classify the occurrence of undesirable effects. Very common (≥ 1/10) Common (≥ 1/100 to MIC) is considered to be the major determinant of efficacy for amoxicillin. Mechanisms of resistance The two main mechanisms of resistance to amoxicillin/clavulanic acid are: • Inactivation by those bacterial beta-lactamases that are not themselves inhibited by clavulanic acid, including class B, C and D. • Alteration of PBPs, which reduce the affinity of the antibacterial agent for the target. Impermeability of bacteria or efflux pump mechanisms may cause or contribute to bacterial resistance, particularly in Gram-negative bacteria. Breakpoints MIC breakpoints for amoxicillin/clavulanic acid are those of the European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing (EUCAST) Organism Susceptibility Breakpoints (µg/ml) Susceptible Intermediate Resistant Haemophilus influenzae1 ≤ 1 - > 1 Moraxella catarrhalis1 ≤ 1 - > 1 Staphylococcus aureus 2 ≤ 2 - > 2 Coagulase-negative staphylococci 2 ≤ 0.25 - > 0.25 Enterococcus1 ≤ 4 8 > 8 Streptococcus A, B, C, G5 ≤ 0.25 - > 0.25 Streptococcus pneumoniae3 ≤ 0.5 1-2 > 2 Enterobacteriaceae1,4 - - > 8 Gram-negative Anaerobes1 ≤ 4 8 > 8 Gram-positive Anaerobes1 ≤ 4 8 > 8 Non-species related breakpoints1 ≤ 2 4-8 > 8 1 The reported values are for Amoxicillin concentrations. For susceptibility testing purposes, the concentration of Clavulanic acid is fixed at 2 mg/l. 2 The reported values are Oxacillin concentrations. 3 Breakpoint values in the table are based on Ampicillin breakpoints. 4 The resistant breakpoint of R>8 mg/l ensures that all isolates with resistance mechanisms are reported resistant. 5 Breakpoint values in the table are based on Benzylpenicillin breakpoints. The prevalence of resistance may vary geographically and with time for selected species, and local information on resistance is desirable, particularly when treating severe infections. As necessary, expert advice should be sought when the local prevalence of resistance is such that the utility of the agent in at least some types of infections is questionable. Commonly susceptible species Aerobic Gram-positive micro-organisms Enterococcus faecalis Gardnerella vaginalis Staphylococcus aureus (methicillin-susceptible)£ Streptococcus agalactiae Streptococcus pneumoniae1 Streptococcus pyogenes and other beta-haemolytic streptococci Streptococcus viridans group Aerobic Gram-negative micro-organisms Actinobacillus actinomycetemcomitans Capnocytophaga spp. Eikenella corrodens Haemophilus influenzae2 Moraxella catarrhalis Neisseria gonorrhoeae§ Pasteurella multocida Anaerobic micro-organisms Bacteroides fragilis Fusobacterium nucleatum Prevotella spp. Species for which acquired resistance may be a problem Aerobic Gram-positive micro-organisms Enterococcus faecium $ Aerobic Gram-negative micro-organisms Escherichia coli Klebsiella oxytoca Klebsiella pneumoniae Proteus mirabilis Proteus vulgaris Inherently resistant organisms Aerobic Gram-negative micro-organisms Acinetobacter sp. Citrobacter freundii Enterobacter sp. Legionella pneumophila Morganella morganii Providencia spp. Pseudomonas sp. Serratia sp. Stenotrophomonas maltophilia Other micro-organisms Chlamydia trachomatis Chlamydophila pneumoniae Chlamydophila psittaci Coxiella burnetti Mycoplasma pneumoniae $ Natural intermediate susceptibility in the absence of acquired mechanism of resistance. £ All methicillin-resistant staphylococci are resistant to amoxicillin/clavulanic acid. § All strains with resistance to amoxicillin that is not mediated by beta-lactamases are resistant to amoxicillin/clavulanic acid. 1 This presentation of amoxicillin/clavulanic acid may not be suitable for treatment of Streptococcus pneumoniae that are resistant to penicillin (see sections 4.2 and 4.4). 2 Strains with decreased susceptibility have been reported in some countries in the EU with a frequency higher than 10%. 5.2 Pharmacokinetic properties Absorption The pharmacokinetic results for studies in which amoxicillin/clavulanic acid was administered to groups of healthy volunteers as either 500 mg/100 mg or 1000 mg/200 mg given as a bolus intravenous injection are presented below. Mean ( ±SD) pharmacokinetic parameters Bolus intravenous injection Dose administered Amoxicillin Dose Mean peak serum conc (µg/ml) T 1/2 (h) AUC (h.mg/l) Urinary recovery (%, 0 to 6 h ) AMX/CA 500 mg/100 mg 500 mg 32.2 1.07 25.5 66.5 AMX/CA 1000 mg/200 mg 1000 mg 105.4 0.9 76.3 77.4 Clavulanic acid AMX/CA 500 mg/100 mg 100mg 10.5 1.12 9.2 46.0 AMX/CA 1000 mg/200 mg 200mg 28.5 0.9 27.9 63.8 AMX – amoxicillin, CA –clavulanic acid Distribution About 25% of total plasma clavulanic acid and 18% of total plasma amoxicillin is bound to protein. The apparent volume of distribution is around 0.3-0.4 l/kg for amoxicillin and around 0.2 l/kg for clavulanic acid. Following intravenous administration, both amoxicillin and clavulanic acid have been found in gall bladder, abdominal tissue, skin, fat, muscle tissues, synovial and peritoneal fluids, bile and pus. Amoxicillin does not adequately distribute into the cerebrospinal fluid. From animal studies there is no evidence for significant tissue retention of drug-derived material for either component. Amoxicillin, like most penicillins, can be detected in breast milk. Trace quantities of clavulanic acid can also be detected in breast milk (see section 4.6). Biotransformation Amoxicillin is partly excreted in the urine as the inactive penicilloic acid in quantities equivalent to up to 10 to 25% of the initial dose. Clavulanic acid is extensively metabolized in man, and eliminated in urine and faeces and as carbon dioxide in expired air. Elimination The major route of elimination for amoxicillin is via the kidney, whereas for clavulanic acid it is by both renal and non-renal mechanisms. Amoxicillin/clavulanic acid has a mean elimination half-life of approximately one hour and a mean total clearance of approximately 25 l/h in healthy subjects. Approximately 60 to 70% of the amoxicillin and approximately 40 to 65% of the clavulanic acid are excreted unchanged in urine during the first 6 h after administration of a single 500/100 mg or a single 1000/200 mg bolus intravenous injection. Various studies have found the urinary excretion to be 50-85% for amoxicillin and between 27-60% for clavulanic acid over a 24 hour period. In the case of clavulanic acid, the largest amount of drug is excreted during the first 2 hours after administration. Concomitant use of probenecid delays amoxicillin excretion but does not delay renal excretion of clavulanic acid (see section 4.5) Age The elimination half-life of amoxicillin is similar for children aged around 3 months to 2 years and older children and adults. For very young children (including preterm newborns) in the first week of life the interval of administration should not exceed twice daily administration due to immaturity of the renal pathway of elimination. Because elderly patients are more likely to have decreased renal function, care should be taken in dose selection, and it may be useful to monitor renal function. Renal impairment The total serum clearance of amoxicillin/clavulanic acid decreases proportionately with decreasing renal function. The reduction in drug clearance is more pronounced for amoxicillin than for clavulanic acid, as a higher proportion of amoxicillin is excreted via the renal route. Doses in renal impairment must therefore prevent undue accumulation of amoxicillin while maintaining adequate levels of clavulanic acid (see section 4.2). Hepatic impairment Hepatically impaired patients should be dosed with caution and hepatic function monitored at regular intervals. 5.3 Preclinical safety data Nonclinical data reveal no special hazard for humans based on studies of safety pharmacology, genotoxicity and toxicity to reproduction. Repeat dose toxicity studies performed in dogs with amoxicillin/clavulanic acid demonstrate gastric irritancy and vomiting, and discoloured tongue. Carcinogenicity studies have not been conducted with Co-amoxiclav or its components 6. Pharmaceutical particulars 6.1 List of excipients None 6.2 Incompatibilities Co-amoxiclav Injection should not be mixed with blood products, other proteinaceous fluids such as protein hydrolysates or with intravenous lipid emulsions. Co-amoxiclav Injection should not be mixed with infusions containing glucose, dextran or bicarbonate (see section 4.2 for more information). If co-amoxiclav is prescribed concurrently with an aminoglycoside, the antibiotics should not be mixed in the syringe, intravenous fluid container or giving set because loss of activity of the aminoglycoside can occur under these conditions. This medicinal product must not be mixed with other medicinal products except those mentioned in section 6.6. 6.3 Shelf life As packed for sale: 2 years. Use the reconstituted solution immediately. Discard any unused solution. 6.4 Special precautions for storage Do not store above 25°C. Keep the vial in the outer carton in order to protect from light. 6.5 Nature and contents of container Clear 20ml glass vials (Ph.Eur Type II) with a red chlorobutyl stopper and aluminium-propylene flip-off cap. 6.6 Special precautions for disposal and other handling No special requirements. Any unused product or waste material should be disposed of in accordance with local requirements Preparation of solutions for intravenous injection 1000 mg/200 mg powder for solution for injection or infusion Water for Injection Ph.Eur. is the normal solvent. Co-amoxiclav 1000 mg/200 mg should be dissolved in 20 ml of solvent. This yields approximately 20.9 ml of solution for single-dose use. A transient pink colouration may or may not develop during reconstitution. Reconstituted solutions are normally colourless or a pale straw colour. Co-amoxiclav should be administered within 20 min of reconstitution. Preparation of solutions for intravenous infusion Co-amoxiclav vials are not suitable for multi-dose use. 1000 mg/200 mg powder for solution for injection or infusion Co-amoxiclav should be reconstituted as described above for injection. Without delay the reconstituted solution should be added to 100 ml of infusion fluid using a minibag or in-line burette. 7. Marketing authorisation holder Wockhardt UK Ltd Ash Road North Wrexham LL13 9UF UK 8. Marketing authorisation number(s) PL 29831/0043 9. Date of first authorisation/renewal of the authorisation 02/09/08 Renewal: 02/03/09 10. Date of revision of the text 12/01/2018 (1)
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement En l'absence d'étude chez l'animal et de données cliniques humaines, le risque n'est pas connu; par conséquent, par mesure de prudence, ne pas prescrire chez la femme enceinte ou qui allaite. 4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines sur les risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament, surtout en début de traitement. Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées, de médicaments contenant de l'alcool ou de médicaments sédatifs. 4.8. Effets indésirables Liés à la phéniramine : Effets neurovégétatifs: · sédation ou somnolence, plus marquée en début de traitement, · effets anticholinergiques à type de sécheresse des muqueuses, constipation, troubles de l'accommodation, mydriase, palpitations, risque de rétention urinaire, · hypotension orthostatique, · troubles de l'équilibre, vertiges, baisse de la mémoire ou de la concentration, plus fréquents chez le sujet âgé, · incoordination motrice, tremblements, · confusion mentale, hallucinations, · plus rarement, des effets sont à type d'excitation: agitation, nervosité, insomnie. Réactions d'hypersensibilité (rare): · érythèmes, prurit, eczéma, purpura, urticaire, · œdème, plus rarement œdème de Quincke, · choc anaphylactique. Effets hématologiques: · leucopénie, neutropénie, · thrombocytopénie, · anémie hémolytique. Liés au paracétamol : Affections du système immunitaire : · Rare : réactions d’hypersensibilité à type de choc anaphylactique, œdème de Quincke. Leur survenue impose l’arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés. Affections de la peau et des tissus sous-cutanés : · Rare : érythème, urticaire, rash cutané ont été rapportés. Leur survenue impose l’arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés. · De très rares cas d’effets indésirables cutanés graves ont été rapportés. · Fréquence indéterminée : érythème pigmenté fixe. Affections hématologiques et du système lymphatique : · Très exceptionnels : thrombopénie, leucopénie et neutropénie. · Fréquence indéterminée : agranulocytose, anémie hémolytique chez les patients présentant un déficit en glucose-6-phosphate-deshydrogénase. Affections hépatobiliaires : · Fréquence indéterminée : augmentation des transaminases, atteinte hépatique cytolytique, hépatite aiguë, hépatite massive en particulier lors d’une utilisation dans une situation à risque (voir rubrique 4.4). Affections cardiaques : · Fréquence indéterminée : syndrome de Kounis. Affections respiratoires, thoraciques et médiastinaux : · Fréquence indéterminée : bronchospasme (voir rubrique 4.4). Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. 4.9. Surdosage Lié à la phéniramine : Le surdosage en phéniramine peut entraîner: convulsions (surtout chez l'enfant), troubles de la conscience, coma. Lié au paracétamol : Le risque d’une intoxication grave peut être particulièrement élevé chez les sujets âgés, chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente), chez les patients avec une atteinte hépatique, en cas d’alcoolisme chronique, chez les patients souffrant de réserves basses en glutathion telles que la malnutrition chronique (voir rubrique 4.2), le jeûne, l’amaigrissement récent, le vieillissement, les virus de l’hépatite virale chronique et du VIH, la cholémie familiale (Maladie de Gilbert). Dans ces cas, l’intoxication peut être mortelle. Symptômes : Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures. Un surdosage, de paracétamol, peut provoquer une cytolyse hépatique susceptible d'entraîner une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie, un coma et un décès. En cas de surdosage aigu, il peut être observé dans les 12 à 48 heures une augmentation des transaminases hépatiques, de la lactico-deshydrogénase, de la biliburine et une diminution du taux de prothrombine. Le surdosage peut également entraîner une pancréatite, une hyperamylasémie et une insuffisance rénale aiguë et une pancytopénie. Conduite d'urgence : · Transfert immédiat en milieu hospitalier. · Prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique initial de paracétamol. Ce dosage sera à interpréter en fonction du délai entre l’heure supposée de la prise et l’heure de prélèvement. · Evacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique. · Le traitement du surdosage comprend classiquement l'administration aussi précoce que possible de l'antidote N-acétylcystéine par voie I.V. ou voie orale si possible avant la dixième heure. · Traitement symptomatique. 5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES 5.1. Propriétés pharmacodynamiques Classe pharmacothérapeutique : AUTRES MEDICAMENTS DU RHUME EN ASSOCIATION, code ATC : R05X Ce médicament agit en exerçant 3 actions pharmacologiques: · une action antihistamique qui permet de réduire les rhinorrhées et les larmoiements souvent associés, et qui s'oppose aux phénomènes spasmodiques tels que les éternuements en salve. · une action antalgique antipyrétique permettant une sédation de la fièvre et de la douleur (céphalées, myalgies). · une compensation en acide ascorbique de l'organisme. 5.2. Propriétés pharmacocinétiques Absorption L'absorption du paracétamol par voie orale est complète et rapide. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 30 à 60 minutes après ingestion. Distribution Le paracétamol se distribue rapidement dans tous les tissus. Les concentrations sont comparables dans le sang, la salive et le plasma. La liaison aux protéines plasmatiques est faible. Biotransformation Le paracétamol est métabolisé essentiellement au niveau du foie. Les 2 voies métaboliques majeures sont la glycuroconjugaison et la sulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable aux posologies supérieures aux doses thérapeutiques. Une voie mineure, catalysée par le cytochrome P 450, est la formation d'un intermédiaire réactif (le N-acétyl benzoquinone imine), qui, dans les conditions normales d'utilisation, est rapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urines après conjugaison à la cystéine et à l'acide mercaptopurique. En revanche, lors d'intoxications massives, la quantité de ce métabolite toxique est augmentée. Élimination L'élimination est essentiellement urinaire. 90 % de la dose ingérée sont éliminés par le rein en 24 heures, principalement sous forme glycuroconjuguée (60 à 80 %) et sulfoconjuguée (20 à 30 %). Moins de 5 % est éliminé sous forme inchangée. La demi-vie d'élimination est d'environ 2 heures. Variations physiopathologiques · Insuffisant rénal : en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min), l'élimination du paracétamol et de ses métabolites est retardée. · Sujet âgé : la capacité de conjugaison n'est pas modifiée. Le maléate de phéniramine est bien absorbé au niveau du tube digestif. Sa demi-vie plasmatique est de 1 h à 1 h 30 environ. Il possède une grande affinité tissulaire et est éliminé essentiellement par voie rénale. La vitamine C : l'absorption digestive est bonne. En cas d'apports supérieurs aux besoins, l'excès est éliminé par voie urinaire. 5.3. Données de sécurité préclinique Sans objet. 6. DONNEES PHARMACEUTIQUES 6.1. Liste des excipients Gomme arabique, acide citrique anhydre, saccharine sodique, saccharose, arôme antillais (huiles essentielles de citron, d’orange, pulpe d’orange, extraits naturels de rhum et vanille, maltol, citral sur support composé de maltodextrine, de gomme arabique et de sucre). 6.2. Incompatibilités Sans objet. 6.3. Durée de conservation 2 ans. 6.4. Précautions particulières de conservation A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. 6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur 8, 10, 12 ou 15 sachets (papier/Aluminium/PE). Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. 6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation Pas d'exigences particulières. 7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE SANOFI AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 GENTILLY 8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE · 277 328-4 ou 34009 277 328 4 3 : 6 sachets (papier/Aluminium/PE) · 277 329-0 ou 34009 277 329 0 4 : 8 sachets (papier/Aluminium/PE) · 277 330-9 ou 34009 277 330 9 3 : 10 sachets (papier/Aluminium/PE) · 277 331-5 ou 34009 277 331 5 4 : 12 sachets (papier/Aluminium/PE) · 277 332-1 ou 34009 277 332 1 5 : 15 sachets (papier/Aluminium/PE) 9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION [à compléter ultérieurement par le titulaire] 10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE [à compléter ultérieurement par le titulaire] 11. DOSIMETRIE Sans objet. 12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES Sans objet. (1)
5.5 × 2.00 × 15.00 cm (1)
50 mg iron fumarate Lifemineral: efficient support for women, adolescents, vegetarians with iron deficiency and sportspeople Better solubility – superior absorption Best form: iron II – the way your body likes it (1)
ADVERSE EFFECTS This drug is generally well-tolerated. The most frequent adverse reactions observed are either of a digestive (gastric pain, nausea) or dermatological nature (eruptions, itching), or related with the nervous system (sickness, headaches). Should you observe any adverse reactions other than those described previously, consult your doctor or chemist. WARNING ON EXCIPIENTS This drug contains the orange yellow S (E110) excipient which could cause allergic reactions, including asthma, especially in patients allergic to acetylsalicylic acid. DOSE AND METHOD OF ADMINISTRATION Follow your doctor's recommendations on when and how to take this drug. Oral use. Adults: The normal dose of Venosmil is one 200 mg capsule, three times a day, generally coinciding with meals. Once removed from the blister, the capsule should be taken immediately, either with water or any other liquid to ease deglutition. TREATMENT IN CASE OF INTOXICATION OR OVERDOSE In this case consult the Toxicological Information service or consult your doctor. (1)
ATTENTION (sommaire) Cet antidiarrhéique peut être obtenu sans ordonnance. Néanmoins, il ne doit pas être employé sans avis médical en cas d'insuffisance hépatique et chez les personnes infectées par le VIH. En l'absence d'amélioration après 2 jours de traitement, consultez votre médecin. Le traitement doit être arrêté dès que les selles recommencent à être formées ou en cas de survenue d'un gonflement abdominal. L'usage trop prolongé du médicament expose à un risque de constipation grave. Le lopéramide peut provoquer des troubles du rythme cardiaque en cas de surdosage ; respectez la dose et la durée de traitement préconisées par votre pharmacien. Si vous devez conduire ou utiliser une machine dangereuse, assurez-vous préalablement que ce médicament n'altère pas votre vigilance. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES (sommaire) Informez votre médecin si vous prenez un médicament contenant de la quinidine, du ritonavir, de l'itraconazole, du kétoconazole, du gemfibrozil ou de la desmopressine. GROSSESSE et ALLAITEMENT (sommaire) Grossesse : Les études actuellement disponibles n'ont pas mis en évidence de problème particulier lors de l'utilisation ponctuelle de ce médicament chez la femme enceinte. Néanmoins, il est déconseillé pendant la grossesse sans avis médical. Allaitement : Ce médicament passe faiblement dans le lait maternel. Néanmoins, son utilisation est déconseillée pendant l'allaitement. MODE D'EMPLOI ET POSOLOGIE (sommaire) Le lyophilisat peut être dissous dans un verre d'eau ou placé directement sur la langue pour obtenir un effet rapide. Posologie usuelle: Adulte et adolescent de plus de 15 ans : commencer par 2 lyophilisats, puis 1 lyophilisat supplémentaire après chaque selle liquide, sans dépasser 6 lyophilisats par jour et 2 jours de traitement ; au-delà, si les troubles persistent, consulter le médecin. Respectez rigoureusement la posologie recommandée par votre pharmacien. CONSEILS (sommaire) Une diarrhée peut provoquer une déshydratation, notamment chez la personne âgée. Cette perte d'eau par l'organisme doit être compensée par des solutés de réhydratation ou des boissons abondantes (bouillon salé, boissons sucrées) car elle peut être à l'origine d'une fatigue, de malaise ou de confusion des idées. Le régime à suivre en cas de diarrhée repose sur une alimentation légère, à base de : banane, pomme de terre, en soupe ou en purée ; pâtes, riz ou tapioca bien cuits, eau de cuisson du riz ; compote de pommes ou de coings, gelée de coings ou de myrtilles ; biscuits salés ou sucrés. Doivent être évités : les jus de fruits et les fruits crus, les légumes riches en fibres, les viandes, oeufs, laitages et les boissons glacées. Ce médicament peut être en accès libre (ou accès direct) dans certaines pharmacies ; dans ce cas, faites valider votre choix par votre pharmacien. EFFETS INDÉSIRABLES POSSIBLES (sommaire) Fréquents (1 à 10 % des cas) : constipation, nausées, flatulence, maux de tête. Peu fréquents (moins de 1 % des cas) : douleur abdominale, vomissements, bouche sèche, éruption cutanée. Rares : augmentation du volume de l'abdomen. Fréquence indéterminée : somnolence, fatigue, urticaire, démangeaisons, réaction allergique, constipation grave. LEXIQUE (sommaire) antibiotiques Substance capable de bloquer la multiplication de certaines bactéries ou de les tuer. Le spectre d'un antibiotique est l'ensemble des bactéries sur lesquelles ce produit est habituellement actif. Contrairement aux bactéries, les virus ne sont pas sensibles aux antibiotiques. Les premiers antibiotiques furent extraits de cultures de champignons : penicillium (pénicilline), streptomyces (streptomycine). Ils sont actuellement fabriqués par synthèse chimique. Les antibiotiques sont divisés en familles : pénicillines, céphalosporines, macrolides, tétracyclines (cyclines), sulfamides, aminosides, lincosanides, phénicolés, polymyxines, quinolones, imidazolés, etc. Un usage inapproprié des antibiotiques peut favoriser l'apparition de résistances : n'utilisez un antibiotique que sur prescription médicale, respectez sa posologie et sa durée, ne donnez pas et ne conseillez pas à une autre personne un antibiotique que l'on vous a prescrit. diarrhée Le sens médical strict de diarrhée est « émission de selles trop fréquentes et trop abondantes ». En fait, le sens commun assimile la diarrhée à la notion de selles liquides et fréquentes. Normalement, les selles sont pâteuses, mais l'émission de selles liquides ou à peine formées, sans douleur ou trouble particulier associé, n'est pas pathologique. On peut parler de diarrhée lorsque les émissions de selles liquides se répètent dans la journée, et que les besoins sont impérieux ou douloureux. Beaucoup de médicaments peuvent accélérer le transit intestinal et rendre les selles plus liquides, sans que cet effet indésirable soit réellement préoccupant. Les antibiotiques peuvent altérer la flore digestive, indispensable à la digestion, et provoquer des diarrhées plus ou moins gênantes mais bénignes. L'effet apparaît immédiatement ou après quelques jours de traitement. Une forme de diarrhée grave et exceptionnelle, la colite pseudomembraneuse, peut être observée après un traitement antibiotique ; cette affection se traduit par l'émission de glaires et de fausses membranes (ressemblant à des lambeaux de peau) associées à des douleurs abdominales ; une constipation peut remplacer la diarrhée initiale. La colite pseudomembraneuse peut survenir plusieurs jours après l'arrêt du traitement antibiotique et nécessite un avis médical urgent. insuffisance hépatique Incapacité du foie à remplir sa fonction, qui est essentiellement l'élimination de certains déchets, mais également la synthèse de nombreuses substances biologiques indispensables à l'organisme : albumine, cholestérol et facteurs de la coagulation (vitamine K, etc.). diarrhées Procédé de fabrication d'un médicament, qui permet une libération lente et progressive des substances actives dans l'organisme. Abréviation : LP. lyophilisat Poudre résultant du dessèchement rapide (à basse température et sous vide) d'une substance dissoute dans de l'eau (par exemple le café soluble). Comme médicaments, les lyophilisats peuvent être dissous dans un solvant pour la préparation d'une solution injectable, auriculaire, nasale, etc. ou être présentés sous forme d'un comprimé à dissoudre dans un verre d'eau, à sucer ou à laisser fondre sous la langue. phénylcétonurie Maladie héréditaire qui se caractérise par l'absence d'une enzyme et qui conduit à l'accumulation dans le sang d'un produit toxique. Son dépistage est systématique à la naissance. Le traitement repose sur un régime alimentaire spécifique pendant la petite enfance. posologie Quantité et répartition de la dose d'un médicament en fonction de l'âge, du poids et de l'état général du malade. réaction allergique Réaction due à l'hypersensibilité de l'organisme à un médicament. Les réactions allergiques peuvent prendre des aspects très variés : urticaire, œdème de Quincke, eczéma, éruption de boutons rappelant la rougeole, etc. Le choc anaphylactique est une réaction allergique généralisée qui provoque un malaise par chute brutale de la tension artérielle. rectocolite hémorragique Maladie inflammatoire du rectum et du côlon, qui évolue par poussées. Chaque poussée s'accompagne de fièvre, de selles glaireuses et sanglantes. surdosage La prise en quantité excessive d'un médicament expose à une augmentation de l'intensité des effets indésirables, voire à l'apparition d'effets indésirables particuliers. Ce surdosage peut résulter d'une intoxication accidentelle, ou volontaire dans un but de suicide : il convient alors de consulter le centre antipoison de votre région (liste en annexe de l'ouvrage). Mais le plus souvent, le surdosage est la conséquence d'une erreur dans la compréhension de l'ordonnance, ou de la recherche d'une augmentation de l'efficacité par un dépassement de la posologie préconisée. Enfin, une automédication intempestive peut conduire à l'absorption en quantité excessive d'une même substance contenue dans des médicaments différents. Certains médicaments exposent plus particulièrement à ce risque, car ils sont considérés (à tort) comme anodins : vitamines A et D, aspirine, etc. L'arrêt ou la diminution des prises médicamenteuses permettent de faire disparaître les troubles liés à un surdosage. traitement symptomatique Traitement qui supprime ou atténue les symptômes d'une maladie sans s'attaquer à sa cause. transit intestinal Parcours des aliments depuis l'estomac jusqu'à leur élimination sous forme de selles. troubles du rythme cardiaque Anomalie grave ou bénigne de la fréquence des contractions du cœur. L'extrasystole est une contraction survenant juste avant ou après une contraction normale, souvent perçue comme un léger choc dans la poitrine. La fibrillation est une contraction irrégulière et désordonnée. D'autres troubles existent : torsades de pointes, syndrome de Wolf-Parkinson-White, maladie de Bouveret, tachysystolie, flutter et bloc auriculoventriculaire, etc. VIH Abréviation du virus de l'immunodéficience humaine (en anglais HIV), responsable d'une infection pouvant évoluer vers le sida. On distingue le VIH-1 (responsable de l'épidémie mondiale) et le VIH-2 (beaucoup moins répandu que le VIH-1, surtout présent en Afrique de l'Ouest). (1)
Acute diarrhea Chronic diarrhea Traveler's Diarrhea Ileostomy (1)
Adultes et adolescents à partir de 14 ans Echinococcose La posologie doit être fixée par le médecin au cas par cas. La stricte observance des doses prescrites est cruciale pour le succès du traitement. Dose de référence 1ère semaine: 1 comprimé 3×/jour; 2ème semaine: 2 comprimés 3×/jour; dès la 3ème semaine: 3 comprimés 3×/jour. Mébendazole 500 mg devrait être pris en même temps qu’une nourriture riche en graisses qui facilite un meilleur passage du médicament dans le sang. Le traitement de l’échinococcose nécessite un contrôle régulier par le médecin et la prise du médicament de façon consciencieuse. Ne changez pas de votre propre chef le dosage prescrit. Adressez-vous à votre médecin ou à votre pharmacien si vous estimez que l’efficacité du médicament est trop faible ou au contraire trop forte. Des douleurs abdominales transitoires et des diarrhées ont été occasionnellement rapportées en cas d'infestation et d'expulsion de vers massives. - Des réactions d'hypersensibilité telles que : exanthème, rash cutané, urticaire et oedème de Quincke ont été observées dans de rares cas. Grossesse : Les effets embryotoxiques et tératogènes observés après administration unique chez le rat et la souris, n'ont pas été retrouvés chez le lapin, le chien, le mouton ou le cheval. Bien que l'expérience acquise à ce jour dans l'espèce humaine n'ait pas confirmé l'existence de ce risque, l'utilisation de ce médicament chez la femme enceinte devra être évaluée en fonction du rapport bénéfice/risque, en particulier au cours du premier trimestre de la grossesse. Allaitement : Le passage dans le lait maternel n'est pas documenté. La prudence s'impose en cas d'utilisation chez la femme en cours d'allaitement. (1)
Adultes: 1 à 2 comprimés ou 10-20 ml trois fois par jour pendant 5 jours. Enfants: 5-12 ans, 1/2 à 1 comprimé ou 5-10ml trois fois par jour pendant 5 jours; Enfants : 1-5 ans, 5 ml trois fois pendant 5 jours. NB : Dans les cas réfractaires, le traitement chez les adultes et les enfants peut être poursuivi pendant 10 jours. (1)
Adultes: 1 à 2 comprimés ou 10-20 ml trois fois par jour pendant 5 jours. Enfants: 5-12 ans, 1/2 à 1 comprimé ou 5-10ml trois fois par jour pendant 5 jours; Enfants : 1-5 ans, 5 ml trois fois pendant 5 jours. NB : Dans les cas réfractaires, le traitement chez les adultes et les enfants peut être poursuivi pendant 10 jours. (1)
Amibiase : • Adultes : 1,5 g par jour, en 3 prises. • Enfants : 30 à 40 mg/kg/jour, en 3 prises. Dans l'amibiase hépatique, au stade abcédaire, l'évacuation de l'abcès doit être effectuée conjointement au traitement par le métronidazole. La durée du traitement est de sept jours consécutifs. Trichomonase : • Chez la femme (urétrites et vaginites à trichomonas), de préférence, traitement mixte de 10 jours comportant : • comprimé à 250 mg et suspension buvable : 500 mg par jour par voie orale en deux prises et 1 ovule par jour ; • comprimé à 500 mg : traitement à dose unique de 2 g en une seule prise (4 comprimés). Que le partenaire présente ou non des signes cliniques d'infestation à Trichomonas vaginalis, il importe qu'il soit traité concurremment, même en l'absence d'une réponse positive du laboratoire. • Chez l'homme (urétrites à trichomonas) : 500 mg par voie orale en deux prises pendant 10 jours. Très exceptionnellement, il peut être nécessaire d'élever à 750 mg ou à 1 g la dose journalière (comprimé à 250 mg et suspension buvable). Lambliase : • Adultes : 750 mg à 1 g par jour pendant 5 jours consécutifs. • Enfants : • 2 à 5 ans : 250 mg/jour (suspension buvable) ; • 5 à 10 ans : 375 mg/jour (suspension buvable et, à partir de 6 ans, pour les comprimés à 250 mg) ; • 10 à 15 ans : 500 mg/jour. Vaginites non spécifiques : • 500 mg 2 fois par jour pendant 7 jours. Un traitement simultané du partenaire doit être pratiqué. Traitement des infections à germes anaérobies (en première intention ou en traitement de relais) : • Adultes : 1 à 1,5 g/jour. • Enfants : 20 à 30 mg/kg/jour. (1)
Application Adults and Children over 6 years: Apply sparingly to the affected area Active Ingredients Diphenhydramine Hydrochloride 2% (1)
Appliquer le baume sur la zone douloureuse. Masser, frictionner le dos, le cou ou la poitrine (pour les maux d'hiver) ou appliquer sous les narines lors de rhume. A utiliser 2 à 3 fois par jour. (1)
Appliquer le baume sur la zone douloureuse. Masser, frictionner le dos, le cou ou la poitrine (pour les maux d'hiver) ou appliquer sous les narines lors de rhume. A utiliser 2 à 3 fois par jour. (1)
Appliquer le gel sur la zone douloureuse. Masser jusqu’à absorption complète. A utiliser 2 à 3 fois par jour (1)
Association DECONSEILLEE Risque d’épisodes de psychose aiguë ou d’état confusionnel, réversibles à l’arrêt de l’association. Fluorouracile (et, par extrapolation, autres fluoropyrimidines) A prendre en compte Augmentation de la toxicité du fluoro-uracile par diminution de sa clairance. Lithium Précaution d'emploi Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques, avec signes de surdosage en lithium. Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de la posologie du lithium. Rifampicine Précaution d'emploi Diminution des concentrations plasmatiques du métronidazole par augmentation de son métabolisme hépatique par la rifampicine. Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de métronidazole pendant le traitement par la rifampicine et après son (1)
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi + Anticoagulants oraux: diminution de l'effet des anticoagulants oraux (augmentation de leur catabolisme hépatique) ; contrôle plus fréquent du taux de prothrombine et surveillance de l'INR. Adaptation de la posologie des anticoagulants oraux pendant le traitement par la griséofulvine et 8 jours après son arrêt. + Ciclosporine, tacrolimus: par extrapolation à partir de la rifampicine: diminution des taux plasmatiques de l'immunodépresseur, avec diminution de son activité pendant l'association, par augmentation de son métabolisme hépatique. Augmentation des doses d'immunodépresseur sous contrôle des taux plasmatiques. Réduction de la posologie après l'arrêt de l'inducteur. + Œstrogènes: Diminution de l'efficacité de l'œstrogène par augmentation de son métabolisme hépatique. Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de l'œstrogène pendant le traitement par la griséofulvine et après son arrêt. + Méthadone: diminution des concentrations plasmatiques de méthadone avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage par augmentation de son métabolisme hépatique. Augmenter la fréquence des prises de méthadone: 2 à 3 fois par jour au lieu d'une fois par jour. + Zidovudine: par extrapolation à partir de la rifampicine: risque de diminution de l'efficacité de la zidovudine par accélération de son métabolisme hépatique. Surveillance clinique régulière. 4.6. Fertilité, grossesse et allaitement Retour en haut de la page Grossesse Les études réalisées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de la griséofulvine. En clinique, les quelques cas de grossesses exposées semblent évoquer un effet malformatif de la griséofulvine. Des études complémentaires sont nécessaires pour confirmer ce risque, que l'on ne peut exclure à ce jour. En conséquence, l'utilisation de la griséofulvine est déconseillée pendant la grossesse. Dans le cas où l'indication relève d'un traitement par griséofulvine, celui-ci ne sera initié qu'après l'accouchement. En cas de découverte fortuite d'une grossesse après prise de ce médicament, cet élément ne constitue pas l'argument systématique pour conseiller l'interruption de la grossesse mais conduit à une attitude de prudence et à une surveillance prénatale orientée. Allaitement Il n'existe pas de données concernant le passage dans le lait maternel. En cas de désir d'allaitement, il convient de repousser le traitement par griséofulvine. 4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Retour en haut de la page Prévenir les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines des risques de vertige, confusion et somnolence liés à l’utilisation de ce médicament. Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l’alcool. 4.8. Effets indésirables Retour en haut de la page Possibilité de: · Manifestations neurologiques: essentiellement céphalées; plus rarement: vertiges, insomnie ou somnolence, confusion, irritabilité; l'alcool potentialise ces troubles ; · Troubles gastro-intestinaux: anorexie, nausées, diarrhées, perturbation du goût, sensation de soif ; · Réactions allergiques cutanées et de photosensibilisation exceptionnelles: quelques rares cas de toxidermie bulleuse (érythème polymorphe voire syndrome de Lyell) ; · Troubles hépatiques: quelques cas de cholestase intrahépatique ont été rapportés et exceptionnellement, des hépatites ; · Troubles hématologiques: leucopénie, neutropénie, anémie hypochromes. Ces modifications restent peu fréquentes et résolutives, en général, à l'arrêt du traitement ; · Neuropathies périphériques ; · Risque d'aggravation d'un lupus érythémateux disséminé et des syndromes apparentés. · Fréquence indéterminée : Syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse, DRESS). Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. 4.9. Surdosage Retour en haut de la page Sans objet 5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES Retour en haut de la page 5.1. Propriétés pharmacodynamiques Retour en haut de la page Classe pharmacothérapeutique : ANTIFONGIQUE, code ATC D01BA01 (D: Dermatologie) Antibiotique fongistatique (in vivo) dont le spectre d'activité est strictement limité aux dermatophytes. La griséofulvine est active sur les trois variétés de champignons dermatophytes : microsporum, épidermophyton et trichophyton. 5.2. Propriétés pharmacocinétiques Retour en haut de la page Distribution Après administration per os de 1 g de griséofulvine, le pic plasmatique (1,5 à 3 mg/l) est atteint en 2 à 4 heures. La résorption intestinale est accrue lorsque l'antifongique est administré au cours d'un repas riche en graisse. La demi-vie d'élimination est de 10 à 15 heures. Le volume de distribution est de 0,7 l/kg. La liaison aux protéines plasmatiques est de 80%. Biotransformation Le foie transforme en majeure partie la griséofulvine en 6-déméthylgriséofulvine, principal métabolite inactif. Diffusion La griséofulvine se fixe électivement sur la kératine. Elle rend les cellules kératinisées résistantes à l'invasion des dermatophytes, les cellules parasitées étant progressivement remplacées par des cellules saines. Il existe un passage transplacentaire. Excrétion Une grande partie du produit est éliminée sous forme inchangée dans les selles. La 6-déméthylgriséofulvine est éliminée dans les urines, sous forme glycuroconjuguée. Moins de 1 % de la dose administrée est éliminé dans les urines, sous forme intacte. Il n'y a donc pas d'accumulation en cas d'insuffisance rénale. 5.3. Données de sécurité préclinique Retour en haut de la page Les études de toxicologie publiées dans la littérature montrent que l’administration chronique de griséofulvine induit le développement de tumeurs du foie chez les souris et de tumeurs de la thyroïde chez les rats. Un effet aneugène est observé dans des tests in vitro sur des cellules de rongeurs et des cellules humaines. Cette aneuploïdie a été confirmée dans des tests in vivo sur des ovocytes de souris. Après administration orale de griséofulvine à des femelles rats gestantes, un effet embryotoxique et tératogène a été observé chez les fœtus. 6. DONNEES PHARMACEUTIQUES Retour en haut de la page 6.1. Liste des excipients Retour en haut de la page Amidon de riz, lactose monohydraté, talc, polyméthacrylate de potassium, stéarate de magnésium, laurylsulfate de sodium. 6.2. Incompatibilités Retour en haut de la page Sans objet. 6.3. Durée de conservation Retour en haut de la page 5 ans. 6.4. Précautions particulières de conservation Retour en haut de la page A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. 6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur Retour en haut de la page Plaquettes (PVC/Aluminium) de 10 comprimés sécables. 6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation Retour en haut de la page Pas d’exigences particulières. 7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Retour en haut de la page SANOFI-AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 gENTILLY 8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Retour en haut de la page · 34009 304 644 5 8 : 30 comprimés sécables sous plaquettes (PVC/Aluminium) 9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] 10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] 11. DOSIMETRIE Retour en haut de la page Sans objet. 12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES Retour en haut de la page (1)
Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament. Crises épileptiques : le praziquantel peut accroître le risque de convulsions. Si vous avez des antécédents d'épilepsie ou d'affections médicales qui augmentent le risque de convulsions, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Fonction hépatique : la maladie hépatique ou la réduction de la fonction hépatique peut provoquer une accumulation de ce médicament dans l'organisme, causant ainsi des effets secondaires. En cas de troubles hépatiques, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Maladie cardiaque : le praziquantel peut causer un rythme cardiaque irrégulier. Si vous êtes atteint de problèmes cardiaques, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Somnolence ou vigilance réduite : l'utilisation du praziquantel est susceptible de provoquer de la somnolence ou de nuire à votre état de conscience. Cela peut modifier votre capacité de conduire un véhicule ou de manœuvrer de la machinerie sans danger. Évitez ces activités et les autres tâches dangereuses jusqu'à l'arrêt de ces effets. On recommande d'éviter de conduire un véhicule le jour de la prise du médicament et pendant les 24 heures suivantes. Grossesse : les effets du praziquantel sur un fœtus en développement sont inconnus. Ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Allaitement : ce médicament passe dans le lait maternel. Si vous employez le praziquantel pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. L'allaitement doit être interrompu pendant le jour du traitement et pour les 72 heures qui suivent la prise du médicament. Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants âgés de moins de 4 ans. (1)
Avant la pénétration, appliquez une noix de gel à l'entrée du vagin ou de l'anus ainsi que sur le pénis. En cas d'utilisation d'un préservatif, n'hésitez pas à utiliser du lubrifiant en complément afin d'améliorer le confort d'utilisation et la résistance du latex. Refermez bien le tube après usage. Conservez le lubrifiant dans un endroit frais et sec, à l'abri de la lumière directe du soleil et à température ambiante. Evitez le contact avec les yeux. (1)
Avertissements et précautions Utilisation pendant la grossesse et chez la femme en âge de procréer : GARDENAL peut provoquer des anomalies chez l’enfant à naître lorsqu‘il est administré pendant la grossesse. Si vous êtes une femme en âge d’avoir des enfants ou enceinte, votre médecin ne vous prescrira pas ce médicament, sauf en cas d’échec des traitements moins à risque pour l’enfant à naître. Avant de commencer le traitement, votre médecin vous informera des risques, s’assurera que vous n’êtes pas enceinte et que vous utilisez une contraception efficace. N’interrompez pas brutalement votre traitement, car cela pourrait être dangereux pour vous et pour votre enfant à naître si vous êtes enceinte (voir rubrique Grossesse). · Ce médicament n’est pas efficace dans certaines formes d’épilepsie. Votre médecin évaluera donc la nécessité de vous prescrire ce médicament selon la forme de l’épilepsie dont vous souffrez. · Avant de prendre ce médicament, prévenez votre médecin si vous avez une maladie du foie, une maladie des reins et/ou des problèmes respiratoires. · Consultez immédiatement votre médecin si la fréquence de vos crises augmente ou si des crises de type différent apparaissent. · Des éruptions cutanées menaçant potentiellement le pronostic vital tel que le syndrome de Stevens-Johnson ou la nécrolyse épidermique toxique ont été rapportées chez les patients traités par phénobarbital. Ces éruptions débutent au niveau du tronc par des taches rougeâtres en forme de cible ou circulaires contenant souvent des bulles au centre. Les autres symptômes à rechercher sont des ulcères de la bouche, de la gorge, du nez, des parties génitales, ou une conjonctivite (yeux rouges et gonflés). Ces éruptions cutanées menaçant potentiellement le pronostic vital sont souvent accompagnées par des symptômes pseudo-grippaux. Ces éruptions peuvent évoluer vers une extension des bulles ou un décollement étendu de la peau. Les premières semaines de traitement par phénobarbital sont les périodes les plus à risque de survenue d’éruptions cutanées sévères. Si vous avez développé un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique avec le phénobarbital, vous ne devez jamais reprendre de phénobarbital. Si vous présentez une éruption cutanée ou ces symptômes contactez immédiatement votre médecin et précisez-lui que vous prenez ce traitement. Si vous devez être hospitalisé, vous devez prévenir le personnel médical que vous prenez ce médicament. · Des pensées autodestructrices ou suicidaires ont été observées chez un petit nombre de personnes traitées par des antiépileptiques tels que GARDENAL 100 mg, comprimé. Si vous avez ce type de pensées, contactez immédiatement votre médecin. · Le traitement doit être arrêté en cas de réaction allergique généralisée, éruption cutanée ou altérations de la fonction du foie. Dans ce cas prévenez immédiatement votre médecin qui vous indiquera les mesures à prendre. · Si vous êtes une femme et utilisez une contraception hormonale (ex : pilule contraceptive), GARDENAL 100 mg, comprimé peut rendre inefficace ce moyen de contraception. Si l’association s’avère nécessaire, utiliser en plus un autre moyen de contraception (par exemple un préservatif) et poursuivre deux cycles après l’arrêt du phénobarbital. EN CAS DE DOUTE NE PAS HESITER A DEMANDER L’AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Enfants et adolescents Sans objet. Autres médicaments et GARDENAL 100 mg, comprimé Vous devez prévenir votre médecin si vous prenez l'un des médicaments suivants : · un contraceptif oral (estroprogestatifs, progestatifs, ulipristal), · un médicament pour fluidifier le sang (anticoagulant, notamment dabigatran, apixaban et ticagrélor), · un médicament pour traiter des crises d'épilepsie (anticonvulsivant, par exemple la lamotrigine), · un médicament pour traiter une infection bactérienne (télithromycine) ou virale, notamment l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) (dolutégravir, lopinavir, ritonavir, bocéprévir), ou infection par le virus de l’hépatite C (siméprévir, dolutégravir), · un médicament pour traiter la tuberculose (bédaquiline), · un médicament pour traiter un cancer (abiratérone, eribuline, ifosfamide, inhibiteur des tyrosines kinases (tels que axitinib, bosutinib, crizotinib, dabrafénib, dasatinib, erlotinib, gefitinib, imatinib, lapatinib, nilotinib, pazopanib, ruxolitinib, sorafenib, sunitinib, vandétanib), regorafenib, vémurafenib, vismodegib), · un médicament qui agit sur le système nerveux central (tranquillisant ou médicament pour traiter une dépression, tels que la miansérine, la quétiapine, la sertraline, l’amitriptyline, l’amitriptylinoxide), · un médicament pour traiter une maladie du cœur (anti-arythmiques de classe A, dronédarone...), · un médicament pour traiter l’hypertension pulmonaire (bosentan, macitentan), · un médicament pour traiter l’angine de poitrine (ranolazine), · un médicament pour prévenir les nausées et vomissements post-opératoires (aprepitant), · un médicament anti-douleur (fentanyl), · un médicament dans la mucoviscidose (ivacaftor), · un médicament dans la prévention des déficits consécutifs à une hémorragie méningée (nimodipine), · un médicament antiparasitaire (praziquantel). Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. GARDENAL 100 mg, comprimé avec des aliments, boissons et de l’alcool Vous devez éviter de consommer des boissons alcoolisées pendant votre traitement. Grossesse, allaitement et fertilité Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. Grossesse GARDENAL ne doit pas être utilisé pendant la grossesse et chez les femmes en âge d’avoir des enfants sauf en l’absence d’alternative moins à risque pour l’enfant à naître. N’interrompez pas brutalement votre traitement, ceci pourrait entraîner la réapparition des crises, qui auraient des conséquences graves pour vous et/ou votre enfant à naître. Dans la population générale, le risque qu’un enfant naisse avec une malformation est de 2-3%. Ce risque est augmenté d’environ 3 fois chez les femmes prenant ce médicament, avec en particulier des malformations du cœur, de la face, de la lèvre supérieure et du palais, du crâne et du cerveau, de l’orifice de l’urètre (hypospadias), des doigts et des ongles. Des troubles neuro-développementaux ont été rapportés chez des enfants exposés au phénobarbital pendant la grossesse. Les études sur ce risque sont contradictoires, mais ne permettent pas de l’exclure. Femmes en âge d’avoir des enfants : · Avant de commencer le traitement, votre médecin s’assurera que vous n’êtes pas enceinte. Vous devez utiliser une contraception efficace pendant le traitement et pendant 2 mois après l’arrêt. Ce médicament peut rendre inefficace les contraceptifs oraux (pilule contraceptive), dans ce cas, il faudra utiliser en plus un autre moyen de contraception (par exemple un préservatif). Pour cela, demandez conseil à votre médecin. · En cas de désir de grossesse, n’interrompez pas votre contraceptif ou votre traitement avant d'en avoir parlé avec votre médecin spécialiste. Il mettra en place les mesures nécessaires pour que votre grossesse se déroule au mieux pour vous et l'enfant à naître. Si vous découvrez que vous êtes enceinte, pensez être enceinte ou envisagez une grossesse : · N’interrompez pas brutalement votre traitement et contactez immédiatement votre médecin. · Votre médecin envisagera un arrêt du traitement ou jugera de l’utilité éventuelle de le poursuivre en l’absence d’alternative thérapeutique moins à risque pour l’enfant à naitre, auquel cas : o pendant la grossesse, votre médecin adaptera votre dose pour obtenir la dose minimale qui est efficace pour vous et mettra en place une surveillance spécialisée adaptée à votre maladie et au suivi de votre enfant à naître. Votre médecin pourra vous prescrire une supplémentation en acide folique. o avant l’accouchement : votre médecin vous prescrira certaines vitamines pour éviter que ce médicament ne provoque des saignements durant les premiers jours de vie ou des troubles dans la formation des os de votre bébé. o après l’accouchement : une injection de vitamine K pourra également être prescrite à votre bébé, à la naissance, pour éviter des saignements. Si vous avez pris GARDENAL en fin de grossesse, une surveillance adaptée sera mise en place pour détecter l’éventuelle survenue de troubles chez le nouveau-né, tels que faiblesse musculaire, des difficultés d’alimentation, les signes d’un sevrage. o chez l’enfant : prévenez le(s) médecin(s) qui suivra(ont) votre enfant que vous avez été traitée par phénobarbital pendant votre grossesse. Il(s) mettra(ont) en place un suivi rapproché du développement neurologique de votre enfant afin de lui apporter des soins spécialisés le plus tôt possible, si nécessaire. Allaitement Vous ne devez pas allaiter si vous prenez ce médicament. Prévenir rapidement votre médecin en cas d'allaitement ou de désir d'allaitement. Conduite de véhicules et utilisation de machines En raison du risque de somnolence, la prudence est de rigueur chez les conducteurs de véhicules automobiles ou d'engins mécaniques. GARDENAL 100 mg, comprimé contient : amidon de blé. 3. COMMENT PRENDRE GARDENAL 100 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Posologie La posologie est strictement individuelle. Elle sera déterminée par votre médecin et adaptée progressivement. Mode d’administration Avalez toujours les comprimés entiers avec un grand verre d’eau. Chez l’adulte : 1 seule prise par jour, le soir au coucher. Utilisation chez les enfants Chez l’enfant : 1 à 2 prises par jour. Chez l’enfant de moins de 6 ans, ne pas administrer le comprimé en entier car il peut l’avaler de travers. Le comprimé doit être écrasé et mélangé aux aliments avant de le lui donner. Durée de traitement La durée du traitement est déterminée par le médecin. N’interrompez pas la prise de ce médicament sans avis médical. Si vous avez pris plus de GARDÉNAL 100 mg, comprimé que vous n'auriez dû : Consultez immédiatement votre médecin ou les urgences médicales. Si vous oubliez de prendre GARDÉNAL 100 mg, comprimé : Si vous oubliez de prendre une dose, prenez-la dès que vous vous en apercevez, mais si vous vous en apercevez au moment de la prise de votre prochaine dose, ne prenez pas de double dose pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre GARDÉNAL 100 mg, comprimé : N’arrêtez pas la prise de GARDÉNAL sans l’avis de votre médecin. L’interruption de votre traitement devra être réalisée de manière progressive. Si vous arrêtez de prendre GARDÉNAL brutalement vous vous exposez à la réapparition ou l’aggravation de crises épileptiques. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien si l’un des effets indésirables suivants survient : Des réactions allergiques : · au niveau de la peau : éruption de boutons sur tout le corps (type scarlatine et type rougeole), des plaques rouges qui démangent (urticaires), plaques rouges ovales ou rondes bien délimitées (érythème pigmenté fixe), décollement important de la peau parfois associée à de la fièvre (dermatite exfoliatrice), éruption de bulles avec décollement de la peau pouvant s’étendre rapidement à tout le corps et mettre votre vie en danger (nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson), · au niveau du foie : anomalie des examens sanguins avec augmentation de certaines enzymes, hépatites, · réaction allergique grave (syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse) associant plusieurs symptômes systémiques (tels que de la fièvre, une éruption sur la peau, une augmentation de la taille des ganglions, une atteinte du foie, du rein) et des anomalies des examens sanguins telles qu’une augmentation du nombre de certains globules blancs (éosinophiles). Dans ces cas le traitement doit être arrêté après l’avis de votre médecin. Autres effets indésirables possibles : Effets indésirables fréquents (susceptibles de concerner jusqu’à 1 personne sur 10) : · somnolence, réveil difficile avec parfois difficultés pour parler, · troubles du raisonnement, · troubles de la mémoire, · troubles du comportement, agitation, agressivité, · réactions cutanées, · rétraction de l’aponévrose de la main (maladie de Dupuytren), · nausées, vomissements. Effets indésirables peu fréquents (susceptibles de concerner jusqu’à 1 personne sur 100) : · difficultés à coordonner ses mouvements et son équilibre, vertiges, maux de tête, · troubles de l’humeur, · troubles du sommeil/insomnie, · douleurs des articulations (syndrome épaule main ou ‘‘rhumatisme gardénalique’’). Effets indésirables rares (susceptibles de concerner jusqu’à 1 personne sur 1.000) : · pertes d’attention. Effets indésirables dont la fréquence est indéterminée : · dépendance si vous avez pris ce médicament sur une longue période, · rétraction de l’aponévrose des pieds (maladies de Ledderhose), · induration du corps caverneux du pénis (maladie de la Peyronie), · troubles osseux se manifestant par une fragilisation des os (ostéopénie), une diminution de la masse osseuse (ostéoporose), · baisse du nombre de globules rouges (anémie aplasique, anémie par carence en acide folique), baisse du nombre de certains globules blancs dans le sang (agranulocytose, neutropénie et leucopénie), baisse des plaquettes (thrombocytopénie) ou diminution du nombre de l’ensemble des cellules du sang (pancytopénie), · mouvements incontrôlables (dyskinésie), · malformations et autres anomalies du développement de l’enfant à naître. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER GARDENAL 100 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage. La date d'expiration fait référence au dernier jour de ce mois. Pas de précautions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient GARDENAL 100 mg, comprimé Retour en haut de la page · La substance active est: Phénobarbital ...................................................................................................................... 100 mg Pour un comprimé. · Les autres composants sont : Amidon de pomme de terre, amidon de blé, dextrine blanche, stéarate de magnésium, carbonate de calcium. Qu’est-ce que GARDENAL 100 mg, comprimé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimé. Boîte de 20, 100 ou 1000 comprimés. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page SANOFI-AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 GENTILLY Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page SANOFI-AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 GENTILLY Fabricant Retour en haut de la page s.C. ZENTIVA S.A THEODOR PALLADY BLDV. 032266 BUCHAREST - ROMANIA Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). (1)
Bandelettes VIVACHEK INO 50 unités DESCRIPTION: -Les bandelettes VIVACHEK INO sont disponibles en boîte de 50 bandelettes -Utilisables pour le contrôle de la glycémie (sucre dans le sang) avec le système VIVACHEK INO uniquement (1)
Bien s’hydrater Non seulement la toux est agaçante quand elle persiste, mais en plus elle irrite la gorge et crée une sensation de brûlure. S’hydrater un maximum permet de préserver les parois du pharynx et de réduire l’inflammation causée par la toux. En pratique : Boire beaucoup d’eau et surtout des boissons chaudes comme du thé, permet de rendre le mucus plus liquide et donc de mieux l’éliminer. L’air sec fragilise la muqueuse de la gorge. Mieux vaut humidifier l’air de la maison en se procurant un humidificateur d’air. On peut aussi placer un bol d’eau sur le radiateur et le changer tous les jours. Dans tous les cas, quel que soit le type de patient et la solution adoptée, si les symptômes persistent, consultez un médecin. Du sirop à l’eucalyptus Aucune toux ne peut résister au pouvoir expectorant des feuilles d’eucalyptus. Prises en sirop, elles favorisent le rejet des mucus qui se sont accumulés dans les voies respiratoires. L'eucalyptus est en outre un antiseptique des voies respiratoires. L’effet est radical ! En pratique : Prendre 30g de sirop d’eucalyptus par jour jusqu’à disparition des symptômes. Demandez en pharmacie. Si les symptômes persistent, consultez un médecin. Dans tous les cas, quel que soit le type de patient et la solution adoptée, si les symptômes persistent, consultez un médecin. (1)
CARACTERISTIQUES Sans latex. Fabriqué en France. (1)
COMMENT PRENDRE HYTACAND 16 mg/12,5 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Il est important de continuer à prendre HYTACAND chaque jour. La dose recommandée de HYTACAND est de un comprimé une fois par jour. Le comprimé est à avaler avec un verre d’eau. Essayez de le prendre tous les jours à la même heure. Cela vous aidera à ne pas l’oublier. Si vous avez pris HYTACAND 16 mg/12,5 mg, comprimé que vous n’auriez dû : Si vous avez dépassé la dose de HYTACAND prescrite par votre médecin, contactez immédiatement un médecin ou un pharmacien pour lui demander conseil. Si vous oubliez de prendre HYTACAND 16 mg/12,5 mg, comprimé : Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Prenez la prochaine dose normalement. Si vous arrêtez de prendre HYTACAND 16 mg/12,5 mg, comprimé : Si vous arrêtez de prendre HYTACAND, votre pression artérielle peut augmenter à nouveau. En conséquence, vous ne devez pas arrêter de prendre HYTACAND sans en avoir parlé au préalable à votre médecin. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Il est important que vous les connaissiez. Certains effets indésirables de HYTACAND sont dus au candésartan cilexetil et certains sont dus à l’hydrochlorothiazide. Arrêtez de prendre HYTACAND 16 mg/12,5 mg, comprimé et consultez immédiatement un médecin si vous présentez l'une des réactions allergiques suivantes : · difficultés à respirer, avec ou sans gonflement du visage, des lèvres, de la langue et/ou de la gorge ; · gonflement du visage, des lèvres, de la langue et/ou de la gorge, susceptible de provoquer des difficultés à avaler ; · démangeaisons cutanées sévères (accompagnées de boutons). HYTACAND 16 mg/12,5 mg peut entraîner une diminution du nombre de globules blancs. Votre résistance à l'infection peut être diminuée et vous pouvez remarquer une fatigue, une infection ou une fièvre. Si vous présentez l'une de ces réactions, contactez votre médecin. Votre médecin peut occasionnellement réaliser des examens sanguins destinés à vérifier si HYTACAND 16 mg/12,5 mg a des effets sur votre sang (agranulocytose). Autres effets indésirables possibles : Fréquents (moins de 1 à 10 patients sur 100) · Modifications des résultats des examens de sang : o Quantité réduite de sodium dans votre sang. Si la réduction est très importante, vous pourriez ressentir une faiblesse, un manque d'énergie ou des crampes musculaires. o Augmentation ou réduction de la quantité de potassium dans votre sang, notamment si vous avez déjà des problèmes rénaux ou une insuffisance cardiaque. Si elle est importante, vous pourriez ressentir une fatigue, une faiblesse, des battements irréguliers du cœur ou des fourmillements. o Augmentation de la quantité de cholestérol, de sucre ou d'acide urique dans votre sang. · Sucre dans vos urines. · Etourdissements/sensations vertigineuses ou faiblesse. · Maux de tête. · Infection respiratoire. Peu fréquent (moins de 1 patient sur 100) · Baisse de la pression artérielle. Vous pourriez ressentir une faiblesse ou des étourdissements. · Perte d'appétit, diarrhée, constipation, irritation gastrique. · Eruption cutanée, éruption en plaque (urticaire), éruption provoquée par une sensibilité au soleil. Rare (moins de 1 patient sur 1000) · Jaunisse (jaunissement de la peau ou du blanc des yeux). Si cela se produit, contactez immédiatement votre médecin. · Effets sur le fonctionnement de vos reins, notamment si vous avez des problèmes aux reins ou une insuffisance cardiaque. · Difficultés à dormir, dépression, agitation. · Picotements ou fourmillements dans les bras ou les jambes. · Vision trouble temporaire. · Battements anormaux du cœur. · Difficultés à respirer (y compris inflammation des poumons et liquide dans les poumons). · Température élevée (fièvre). · Inflammation du pancréas. Elle provoque des douleurs modérées à sévères dans l'estomac. · Crampes musculaires. · Lésions des vaisseaux sanguins entraînant des taches rouges ou violettes sur la peau. · Réduction des nombres de globules rouges ou blancs et de plaquettes dans le sang. Vous pourriez remarquer une fatigue, une infection, de la fièvre ou une tendance aux ecchymoses. · Eruption sévère, se développant rapidement, avec des vésicules ou un décollement de la peau et éventuellement des vésicules dans la bouche. Très rares (moins de 1 patient sur 10 000) · Gonflement du visage, des lèvres, de la langue et/ou de la gorge. · Démangeaisons. · Douleurs dans le dos, douleurs dans les articulations et dans les muscles. · Modifications du fonctionnement de votre foie, y compris inflammation du foie (hépatite). Vous pouvez vous sentir fatigué(e), présenter un jaunissement de votre peau et du blanc de vos yeux ainsi que des symptômes pseudo-grippaux. · Toux · Nausées. De fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) · Myopie soudaine · Douleur oculaire soudaine (glaucome aigu à angle fermé) · Lupus érythémateux systémique et cutané (état allergique entrainant fièvre, douleur dans les articulations, éruptions cutanées pouvant inclure rougeurs, cloques, desquamations et nodules) · Diarrhée. · Cancer de la peau et des lèvres (cancer de la peau non-mélanome). Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HYTACAND 16 mg/12,5 mg, comprimé ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage, la plaquette ou le flacon. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament ne requiert pas de conditions particulières de conservation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HYTACAND 16 mg/12,5 mg, comprimé Retour en haut de la page · Les substances actives sont : Candésartan cilexetil.................................................................................................... 16,00 mg Hydrochlorothiazide..................................................................................................... 12,50 mg Pour un comprimé · Les autres composants sont : Carmellose calcique, hydroxypropylcellulose, lactose monohydraté, stéarate de magnésium, amidon de maïs, macrogol, oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer rouge (E172). Qu’est-ce que HYTACAND 16 mg/12,5 mg, comprimé et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de comprimés de couleur pêche, 4,5 mm x 9,5 mm ovales, biconvexes, avec une barre de cassure des deux côtés et gravés de l’inscription A/CS d’un côté. Boîtes de 7, 14, 15, 15x1 (dose unitaire), 28, 28x1 (dose unitaire), 30, 30x1 (dose unitaire), 50, 50x1 (dose unitaire), 56, 56x1 (dose unitaire), 90, 98, 98x1 (dose unitaire), 100 ou 300 comprimés. Flacon de 100 comprimés. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page ASTRAZENECA TOUR CARPE DIEM 31 PLACE DES COROLLES 92400 COURBEVOIE Fabricant Retour en haut de la page ASTRAZENECA AB GÄRTUNAVÄGEN S-151 85 SÖDERTÄLJE SUEDE ou ASTRAZENACA GMBH TINSDALER WEG 183 22880 WEDEL ALLEMAGNE ou ASTRAZENECA UK LIMITED SILK ROAD BUSINESS PARK MACCLESFIELD CHESHIRE SK10 2NA ROYAUME-UNI ou AVARA REIMS PHARMACEUTICAL SERVICES PARC INDUSTRIEL DE LA POMPELLE CHEMIN DE VRILLY 51100 REIMS Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
COMMENT PRENDRE IDEOS 500 mg/400 UI, comprimé à sucer ou à croquer ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. La dose recommandée, réservée à l'adulte, est de 1 comprimé 2 fois par jour. Si vous avez pris plus de IDEOS 500 mg/400 UI, comprimé à sucer ou à croquer que vous n'auriez dû Les symptômes suivants peuvent apparaître : perte d’appétit, soif intense, nausées, vomissements, constipation, douleur au niveau du ventre, faiblesse musculaire, fatigue, troubles mentaux, urine abondante, douleurs des os, calculs rénaux. Si de tels effets se manifestent, arrêtez de prendre IDEOS et prévenez immédiatement votre médecin qui prendra les mesures nécessaires. Si vous prenez trop d’IDEOS pendant une longue période, des dépôts de calcium peuvent apparaître dans les vaisseaux sanguins ou les tissus. Si vous oubliez de prendre IDEOS 500 mg/400 UI, comprimé à sucer ou à croquer Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets suivants peuvent survenir peu fréquemment (chez 1 à 10 personnes sur 1 000) : · augmentation trop importante du taux de calcium dans le sang ou les urines. Les effets suivants peuvent survenir rarement (chez 1 à 10 personnes sur 10 000) : · constipation, ballonnements, nausées, douleur au niveau du ventre, diarrhée, · démangeaisons, éruptions sur la peau, plaques rouges qui démangent. Des réactions allergiques graves telles qu’un gonflement du visage, des lèvres, de la langue ou de la gorge peuvent également survenir. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER IDEOS 500 mg/400 UI, comprimé à sucer ou à croquer ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. Le bouchon contient de petits granulés de gel de silice pour absorber l'humidité. Tenir le bouchon hors de la portée et de la vue des enfants. Ne pas avaler les granulés de gel de silice. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le tube et la boîte. La date d’expiration fait référence au dernier jour de ce mois. A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l'égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l'environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient IDEOS 500 mg/400 UI, comprimé à sucer ou à croquer Retour en haut de la page · Les substances actives sont : Calcium ......................................................................................................................... 500 mg Quantité correspondant à carbonate de calcium ............................................................ 1250 mg Cholécalciférol (vitamine D3) ............................................................................................ 400 UI Quantité correspondant en concentrat de cholécalciférol (forme pulvérulente) ...................... 4 mg Pour un comprimé. · Les autres composants sont : Xylitol, sorbitol, povidone, stéarate de magnésium, arôme citron (préparations aromatisantes, substances aromatisantes naturelles, maltodextrine, gomme arabique, citrate de sodium, acide citrique, hydroxyanisole butyle), alpha-tocophérol, huile de soja partiellement hydrogénée, gélatine, saccharose, amidon de maïs. Qu’est-ce que IDEOS 500 mg/400 UI, comprimé à sucer ou à croquer et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous la forme d’un comprimé blanc-gris, carré, à sucer ou à croquer. Chaque boîte contient 2, 5 ou 10 tubes de 10 comprimés ou 2, 4, 6 ou 12 tubes de 15 comprimés. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE INNOTECH INTERNATIONAL 22 AVENUE ARISTIDE BRIAND 94110 ARCUEIL Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE INNOTECH INTERNATIONAL 22 AVENUE ARISTIDE BRIAND 94110 ARCUEIL Fabricant Retour en haut de la page INNOTHERA CHOUZY RUE RENE CHANTEREAU, CHOUZY SUR CISSE 41150 VALLOIRE-SUR-CISSE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Ce médicament est autorisé dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen sous les noms suivants : Conformément à la réglementation en vigueur. [À compléter ultérieurement par le titulaire] La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
COMMENT UTILISER HYDROCORTANCYL 2,5 POUR CENT, suspension injectable ? Retour en haut de la page Ce médicament doit être administré sous stricte surveillance médicale. Il vous sera administré par un professionnel de santé en injection locale. HYDROCORTANCYL 2,5 POUR CENT, suspension injectable ne doit pas être injecté dans une veine (voie intraveineuse), ni dans un muscle (voie intramusculaire). Ce médicament n'est pas adapté à l'administration par voie inhalée par nébulisateur. C’est le médecin qui déterminera la dose ainsi que la durée de votre traitement. Ce médicament doit être agité avant emploi. Du fait du risque de calcifications (dépôts calcaires anormaux), il est préférable d’éviter l’administration d’un médicament comme celui-ci en intra-discal (entre les vertèbres de la colonne vertébrale). Si vous avez reçu plus de HYDROCORTANCYL 2,5 POUR CENT, suspension injectable que vous n’auriez dû : Sans objet. Si vous oubliez d’utiliser HYDROCORTANCYL 2,5 POUR CENT, suspension injectable : Sans objet. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les effets indésirables suivants peuvent survenir : · Localement : infection (arthrites, méningites, épidurites), atrophie de la peau, perte de la masse musculaire, calcification (dépôts calcaires anormaux), inflammation de l’articulation. · Exceptionnellement : ruptures tendineuses, en particulier si votre médecin vous a prescrit également certains antibiotiques (fluoroquinolones). · Maux de tête et bouffée de chaleur, qui disparaissent habituellement en un ou deux jours. · Douleurs passagères du bas du dos (lombalgie), plus rarement douleurs du thorax, et/ou hypotension (baisse de la pression artérielle) survenant dans les minutes après l’injection et disparaissant spontanément. · Poussée de tension. · En cas d’injections répétées : symptômes d’hypercorticisme (prise de poids, gonflement) ; déséquilibre d’un diabète, d’une hypertension artérielle. Un dysfonctionnement de la glande surrénale (diminution du cortisol sanguin) peut être observé. · Réactions allergiques : urticaire localisée ou généralisée, œdème de Quincke (brusque gonflement du visage et du cou) ; choc anaphylactique (réaction allergique grave pouvant provoquer une baisse importante de la pression artérielle). · Troubles de la vue pouvant entrainer une perte de la vue : une vision floue, certaines formes de glaucome (augmentation de la pression à l’intérieur de l’œil) et de cataracte (opacification du cristallin), choriorétinopathie (maladie de la rétine). · Troubles endocriniens (troubles hormonaux) : survenue de crises liées à la présence de phéochromocytome (tumeur des glandes surrénales) et pouvant mettre votre vie en danger. Les effets indésirables suivants peuvent survenir en cas d’infiltration intradurale (dans la région de la colonne vertébrale) : · très rarement : méningite et syndrome post ponction lombaire se caractérisant par des maux de tête, des vertiges surtout en position debout, · exceptionnellement : formation de caillot dans une veine du cerveau (thrombophlébite). Les effets indésirables suivants peuvent survenir en cas d’infiltration épidurale (dans la région de la colonne vertébrale) : · Aggravation passagère des douleurs ayant motivé l’injection. · Maux de tête, infection ou inflammation des méninges (méningites), formation de caillot dans une veine du cerveau (thrombophlébite). · En cas d’infiltration au niveau cervical : très rares cas d’accident vasculaire cérébral ou d’accident vasculaire de la moelle épinière avec paralysie (tétraplégie), pouvant mettre votre vie en danger. · Lors de l’administration au niveau lombaire : très rares cas d’accident vasculaire de la moelle épinière avec paralysie (paraplégie). · Hématomes ou infections de la colonne vertébrale (abcès, épidurites), avec risque de compression de la moelle épinière ou d’un nerf. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou, votre pharmacien ou votre infirmière. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER HYDROCORTANCYL 2,5 POUR CENT, suspension injectable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas HYDROCORTANCYL 2,5 POUR CENT, suspension injectable après la date de péremption mentionnée sur la boîte. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. À conserver à une température inférieure à 30°C et à l’abri de la lumière. Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient HYDROCORTANCYL 2,5 POUR CENT, suspension injectable Retour en haut de la page · La substance active est Acétate de prednisolone .................................................................................................... 2,5 g Pour 100 ml de suspension injectable. Un flacon de 1 ml contient 25 mg d’acétate de prednisolone. Un flacon de 5 ml contient 125 mg d’acétate de prednisolone. · Les autres composants sont : Alcool benzylique, carmellose sodique, chlorure de sodium, polysorbate 80, eau pour préparations injectables. Qu’est-ce que HYDROCORTANCYL 2,5 POUR CENT, suspension injectable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de suspension injectable. Un flacon peut contenir 1 ml ou 5 ml de suspension injectable. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page SANOFI AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 GENTILLY Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page SANOFI AVENTIS FRANCE 82 AVENUE RASPAIL 94250 GENTILLY Fabricant Retour en haut de la page S.C. ZENTIVA S.A BLVD THEODOR PALLADY NR 50 SECTOR 3, 032266 BUCHAREST ROUMANIE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
COMMENT UTILISER INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution en récipient unidose ? Retour en haut de la page Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie chez l’adulte · inhibition du myosis per-opératoire : 4 gouttes la veille de l’intervention, 4 gouttes dans les 3 heures qui précèdent l’intervention ; · prévention des manifestations inflammatoires liées aux interventions chirurgicales de la cataracte et du segment antérieur de l’œil : 1 goutte, 4 à 6 fois par jour jusqu'à complète disparition de la symptomatologie en débutant le traitement 24 heures avant l’intervention ; · traitement des manifestations douloureuses oculaires liées à la kératectomie photoréfractive au cours des premiers jours post-opératoires : 1 goutte, 4 fois par jour, au cours des premiers jours post-opératoires. Mode et voie d’administration Voie ophtalmique. Pour une bonne utilisation du collyre, certaines précautions doivent être prises : · Lavez-vous soigneusement les mains avant de procéder à l’instillation · Evitez le contact de l’embout avec l’œil ou les paupières · Instillez une goutte de collyre dans le cul-de-sac conjonctival de l’œil à traiter en regardant vers le haut et en tirant légèrement la paupière inférieure vers le bas. · Utilisez l’unidose immédiatement après ouverture et jetez-la immédiatement après utilisation. · Ne réutilisez pas une unidose entamée. · Après l’instillation, fermez l’œil quelques secondes. · Puis, appuyez avec un doigt sur le coin de votre œil situé du côté du nez pendant 2 minutes. Cela permettra de réduire le passage des substances actives dans le reste de votre organisme. · L’œil fermé, essuyez proprement l’excédent. En cas de traitement concomitant par un autre collyre, instillez les collyres à 15 minutes d’intervalle. Fréquence d’administration Respecter la prescription de votre chirurgien. Durée du traitement La durée du traitement vous sera précisée par votre chirurgien. Utilisation chez les enfants Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez l’enfant. Si vous avez utilisé plus d’INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution en récipient unidose que vous n’auriez dû Consultez votre médecin ou votre pharmacien. En cas de surdosage local, le collyre peut être éliminé de l’œil par lavage avec du sérum physiologique stérile. Si vous oubliez d’utiliser INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution en récipient unidose Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre, mais poursuivez simplement votre traitement. Si vous arrêtez d’utiliser INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution en récipient unidose Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Effets indésirables peu fréquents (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 100) : Effets sur l’œil Irritation oculaire (brûlures transitoires), douleur oculaire (picotements). Effets indésirables rares (peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 1 000) : Effets généraux Réactions d’hypersensibilité (avec démangeaisons ou rougeur). Effets sur l’œil Réactions de photosensibilité (réaction allergique après exposition au soleil) Effets indésirables dont la fréquence est indéterminée (ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles) Rougeur conjonctivale, rougeur oculaire, augmentation de la sécrétion lacrymale, gonflement des paupières, gonflement de la cornée (couche transparente située à l’avant de l’œil), kératite (inflammation de la cornée), ulcère de la cornée, perforation cornéenne, défauts visuels. Des complications cornéennes telles que des kératites ou des ulcères cornéens pouvant aller jusqu’à la perforation ont été rapportés, particulièrement chez des patients à risque traités par des corticostéroïdes et/ou chez ceux dont la cornée était déjà altérée. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution en récipient unidose ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur le conditionnement extérieur après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Conservez ce médicament à une température inférieure à 25°C. N’utilisez pas ce médicament si vous remarquez des signes visibles de détérioration. Jetez l’unidose immédiatement après utilisation. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution en récipient unidose Retour en haut de la page · La substance active est : Indométacine................................................................................................................. 0,35 mg Pour un récipient unidose. · Les autres composants excipients sont : Arginine, hydroxypropylbétadex, solution diluée d’acide chlorhydrique 1M, eau purifiée. Qu’est-ce que INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution en récipient unidose et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de collyre en solution. Boite de 5, 20, ou 50 récipients unidose de 0,35 mL. Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN 416 RUE SAMUEL MORSE - CS99535 34961 MONTPELLIER CEDEX 2 Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN 416 RUE SAMUEL MORSE - CS99535 34961 MONTPELLIER CEDEX 2 Fabricant Retour en haut de la page LABORATOIRE CHAUVIN Z.I. RIPOTIER HAUT 07200 AUBENAS Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] {mois AAAA}. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
COMMENT UTILISER VOGALENE 5 mg, suppositoire sécable ? Retour en haut de la page Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie La posologie est à adapter en fonction de l'horaire et de l'intensité des troubles digestifs. Il est possible de renouveler l’administration jusqu'à trois fois par jour. Arrêter le traitement dès disparition des symptômes. La durée recommandée du traitement est de 5 jours maximum. Adultes et adolescents de plus de 12 ans : La dose maximale recommandée est de 15 à 30 mg par jour, soit 3 à 6 suppositoires maximum par jour. Cette dose est à répartir en 3 prises par jour, soit 1 à 2 suppositoires par prise. Enfants de 6 à 12 ans : La dose maximale recommandée est de 7,5 à 15 mg par jour, soit 1,5 à 3 suppositoires maximum par jour. Cette dose est à répartir en 3 prises par jour, soit ½ à 1 suppositoire par prise. Enfants de moins de 6 ans et ≥ 7,5 kg : La forme suppositoire n’est pas recommandée pour les enfants de poids inférieur à 7,5 kg, dans ce cas la forme solution buvable en flacon peut être utilisée. La dose maximale recommandée est de 1 mg/kg/jour. Cette dose est à répartir en 3 prises par jour. Poids du nourrisson Dose journalière (1 mg/kg/jour) Dose par prise Fréquence 7,5 kg 7,5 mg/jour ½ suppositoire 3 fois par jour 15 kg 15 mg/jour 1 suppositoire 3 fois par jour Mode d'administration Ce médicament s’administre par voie rectale. Veuillez suivre les instructions pour l'utilisation et la manipulation du suppositoire : Pour couper le suppositoire sécable en deux, laisser le suppositoire sécable dans son alvéole thermoformée. Séparer l’alvéole thermoformée du reste de la plaquette. Exercer une petite pression au centre du suppositoire sécable le long de la barre de séparation (sécabilité). Le suppositoire sécable est coupé en deux. Ouvrir l'alvéole et prélever le demi-suppositoire. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L’ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Si vous avez utilisé plus de VOGALENE 5 mg, suppositoire sécable que vous n’auriez dû Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Si vous oubliez d’utiliser VOGALENE 5 mg, suppositoire sécable Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez d’utiliser VOGALENE 5 mg, suppositoire sécable Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde : · somnolence ; · contractures musculaires, pouvant entraîner des difficultés à effectuer certains mouvements (marche, écriture, parole, …) ou des mouvements anormaux ; · malaises à type d’hypotension, lors du changement de position (allongé/debout) observés en particulier avec la forme injectable ; · sécheresse de la bouche ; · constipation ; · troubles de l’accommodation visuelle ; · rétention urinaire ; · impuissance, frigidité ; · arrêt des règles, écoulement anormal de lait, développement des seins chez l’homme, excès de prolactine (hormone provoquant la lactation) ; · éruption de boutons, rougeur de la peau ; · réactions allergiques. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOGALENE 5 mg, suppositoire sécable ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Ce médicament doit être conservé à une température ne dépassant pas 30°C. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOGALENE 5 mg, suppositoire sécable Retour en haut de la page · La substance active est : Métopimazine.......................................................................................................................... 5 mg Pour un suppositoire sécable. Chaque demi-suppositoire contient 2,5 mg de métopimazine. · Les autres composants sont : Glycérides hémi-synthétiques solides. Qu’est-ce que VOGALENE 5 mg, suppositoire sécable et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de suppositoire sécable en boite de 10. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GENERAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GENERAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Fabricant Retour en haut de la page HAUPT PHARMA LIVRON 1 RUE COMTE DE SINARD 26250 LIVRON Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
COMMENT UTILISER VOLTARENE 100 mg, suppositoire ? Retour en haut de la page Veillez à toujours utiliser ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie Votre médecin décidera de la dose à utiliser selon la raison pour laquelle il vous a prescrit ce médicament. Conformez-vous à sa prescription. · Si vous utilisez VOLTARENE 100 mg, suppositoire pour traiter une douleur ou une inflammation (traitement d’attaque) : La dose recommandée est de 150 mg en 2 prises (soit 1 suppositoire à 100 mg et 1 comprimé à 50 mg). · Si vous utilisez VOLTARENE 100 mg, suppositoire pour éviter une rechute (traitement d’entretien) : La dose recommandée est de 100 mg le soir au coucher (soit 1 suppositoire par jour). Mode d’administration Ce médicament est à utiliser par voie rectale uniquement, les suppositoires ne doivent pas être pris par la bouche. Il est préférable d’insérer les suppositoires après être allé à la selle. Fréquence d’administration Respectez la prescription de votre médecin. Durée du traitement · Votre médecin vous précisera la durée du traitement. · Les suppositoires peuvent provoquer des effets indésirables au niveau de l’anus. Afin d’éviter ces effets, la durée d’administration de la forme suppositoire doit être la plus courte possible et elle devra être remplacée par un traitement par voie orale dès que possible. La posologie doit être la plus faible possible pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes. Si vous avez utilisé plus de VOLTARENE 100 mg, suppositoire que vous n’auriez dû Le surdosage peut entraîner les symptômes suivants : maux de tête, nausées, vomissements, douleurs gastro-intestinales, saignements digestifs, diarrhée, étourdissements, bourdonnements ou sifflements dans les oreilles (acouphènes), convulsions, agitation, irritabilité. Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien si vous ressentez l’un de ces symptômes. Si vous oubliez d’utiliser VOLTARENE 100 mg, suppositoire Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez d’utiliser VOLTARENE 100 mg, suppositoire Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Les médicaments tels que VOLTARENE 100 mg, suppositoire pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (« infarctus du myocarde ») ou d'accident vasculaire cérébral. Les effets indésirables suivants peuvent survenir : · Fréquemment (1 à 10 personnes sur 100) : o des nausées, des vomissements, des diarrhées, douleurs dans l’abdomen, une digestion difficile, une perte d’appétit, des gaz, o des maux de tête, des étourdissements, des vertiges, o une augmentation de certains enzymes du foie (visible lors d’une prise de sang), o une irritation de l’anus ou du rectum, o des boutons ou des rougeurs sur le corps (éruption cutanée). · Peu fréquemment (1 à 10 personnes sur 1 000 : o une crise cardiaque, une insuffisance cardiaque (caractérisée par un essoufflement, une difficulté à respirer lorsque vous êtes allongé, un gonflement des jambes ou des pieds), des palpitations, une douleur dans la poitrine, o des crampes abdominales, des douleurs au niveau de l’estomac, des rots. · Rarement (1 à 10 personnes sur 10 000) : o une réaction allergique, certaines pouvant être graves avec une chute de la tension artérielle, un malaise général ou une accélération du rythme cardiaque (choc anaphylactique), o un saignement digestif (un rejet de sang par la bouche ou dans les selles, une coloration des selles en noir), o des cas d’ulcère et/ou de perforation de l’estomac et/ou de l’intestin, une inflammation de l’estomac, o une coloration jaune de la peau et des yeux (jaunisse), une altération du fonctionnement du foie pouvant être grave (hépatite), o une inflammation de l’anus ou du rectum, o des boutons qui démangent (urticaire), o de l’asthme ou un essoufflement, o une somnolence. · Très rarement (moins de 1 personne sur 10 000) : o un décollement de la peau qui peut rapidement s’étendre de façon très grave à tout le corps, o une forte réaction de la peau lors d’une exposition au soleil ou aux U.V., une perte de cheveux, ou de tâches violettes sur la peau (purpura), o des démangeaisons, l’apparition de petites vésicules sur la peau qui démangent (eczéma), o des rougeurs de la peau et des muqueuses ou des taches rouges violettes, des cloques, un décollement de la peau qui se détache en lamelles, o une réaction allergique avec un gonflement de la langue, de la gorge et du visage, o une dépression, une anxiété, une désorientation, des cauchemars, des difficultés pour dormir, une nervosité, des idées délirantes et hallucinations, o des tremblements, des fourmillements, des cas d’inflammation des méninges (couches qui enveloppent le cerveau), des convulsions, un accident vasculaire cérébral, des troubles de la mémoire, o une altération du goût, o des troubles visuels, vision trouble, vision double, des bourdonnements d’oreille et une baisse de l’audition, o une augmentation de la tension artérielle, o une inflammation des petits vaisseaux, o une infection des poumons, o un rétrécissement de l’intestin, une inflammation du gros intestin, une constipation, une irritation ou une inflammation de l’œsophage (tube reliant l’estomac à la bouche), de la langue, de la bouche ou du pancréas, o des hémorroïdes, o une altération grave du fonctionnement du foie (inflammation très sévère, insuffisance du foie), o une maladie plus ou moins grave des reins (pouvant aller jusqu’à une insuffisance rénale aiguë), une inflammation au niveau des reins, un saignement dans les urines, des protéines ou de l’albumine dans les urines, o une baisse dans le sang, des plaquettes, des globules rouges, des globules blancs avec parfois une fièvre et une infection. o quelques modifications des résultats des analyses de sang et d’urine peuvent nécessiter éventuellement un contrôle des bilans sanguins, du foie et des reins. · Les effets indésirables suivants ont été rapportés mais leur fréquence est indéterminée : o des légères crampes abdominales et sensibilité de l'abdomen, perceptibles peu après l'instauration du traitement par VOLTARENE 100 mg, suppositoire et suivies d'un saignement rectal ou d'une diarrhée sanglante généralement moins de 24 heures après l'apparition des douleurs abdominales, o un gonflement (œdème), une fatigue, une diminution de la pression artérielle, une augmentation de la quantité de sel et d’eau retenue par votre corps avec possibilité de gonflement, une augmentation du taux de potassium dans le sang, des difficultés à respirer, Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOLTARENE 100 mg, suppositoire ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage après EXP. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. A conserver à l’abri de la chaleur. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOLTARENE 100 mg, suppositoire Retour en haut de la page · La substance active est : Diclofénac sodique .......................................................................................................... 100,00 mg Pour un suppositoire. · Les autres composants sont : Glycérides hémi-synthétiques solides. Qu’est-ce que VOLTARENE 100 mg, suppositoire et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de suppositoires. Boîte de 10. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page Novartis Pharma S.A.S. 2-4, rue Lionel Terray 92500 Rueil Malmaison Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page Novartis Pharma S.A.S. 2-4, rue Lionel Terray 92500 Rueil Malmaison Fabricant Retour en haut de la page Novartis Pharma S.A.S. 2-4, rue Lionel Terray 92500 Rueil Malmaison Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page [à compléter ultérieurement par le titulaire] Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
CONSEILS Ce traitement n'a pas d'effet anti-infectieux. Si les troubles persistent plus de 5 jours, consultez votre médecin. Ce médicament peut être en accès libre (ou accès direct) dans certaines pharmacies ; dans ce cas, faites valider votre choix par votre pharmacien. (1)
CONSEILS Il est généralement conseillé de ne pas s'alimenter ou de ne pas boire immédiatement après un bain de bouche, afin de permettre aux substances actives d'agir. Certains dentistes et stomatologistes recommandent de ne pas pratiquer de bain de bouche dans les heures qui suivent une extraction dentaire, afin d'éviter de faire saigner la plaie. EFFETS INDÉSIRABLES DE CE MÉDICAMENT Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. Laboratoire Pierre Fabre Médicament (1)
CONSEILS (sommaire) Introduisez l'ovule en position couchée puis restez allongée pendant 5 à 10 minutes. En fondant dans le vagin, l'ovule peut être à l'origine d'un écoulement gênant : il est conseillé de porter une protection. Pendant les règles, n'interrompez pas le traitement et évitez de porter des tampons. En cas de mycoses gynécologiques (candidoses) récidivantes, il est utile de respecter les conseils habituels permettant de prévenir le développement anormal des candida albicans et autres champignons microscopiques : limiter la prise d'antibiotiques aux affections nécessitant absolument leur usage. En effet, les champignons sont détruits par certaines bactéries, elles-mêmes tuées par les antibiotiques ; lutter contre l'humidité, propice au développement des champignons : bien se sécher avant de mettre ses sous-vêtements, privilégier les culottes en coton qui absorbent mieux la transpiration, ne pas garder son maillot de bain après avoir nagé en piscine, éviter le port de vêtements trop serrés ; changer souvent les protections internes ou externes pendant les règles ; éviter d'utiliser des savons acides : ils favorisent la multiplication des champignons. Votre partenaire peut être contaminé alors qu'il ne présente aucun symptôme. Une consultation médicale est nécessaire pour discuter de l'intérêt d'un traitement. EFFETS INDÉSIRABLES POSSIBLES (sommaire) Aggravation des brûlures et démangeaisons en début de traitement : ces symptômes traduisent la destruction des champignons microscopiques qui libèrent une substance irritante. Ces manifestations ne se reproduisent généralement pas lors des applications ultérieures. Dans le cas contraire, il peut s'agir d'une intolérance ou d'une allergie au médicament : contactez votre médecin. LEXIQUE (sommaire) allergie Réaction cutanée (démangeaisons, boutons, gonflement) ou malaise général apparaissant après un contact avec une substance particulière, l'utilisation d'un médicament ou l'ingestion d'un aliment. Les principales formes d'allergie sont l'eczéma, l'urticaire, l'asthme, l'œdème de Quincke et le choc allergique (choc anaphylactique). L'allergie alimentaire peut également se traduire par des troubles digestifs. antibiotiques Substance capable de bloquer la multiplication de certaines bactéries ou de les tuer. Le spectre d'un antibiotique est l'ensemble des bactéries sur lesquelles ce produit est habituellement actif. Contrairement aux bactéries, les virus ne sont pas sensibles aux antibiotiques. Les premiers antibiotiques furent extraits de cultures de champignons : penicillium (pénicilline), streptomyces (streptomycine). Ils sont actuellement fabriqués par synthèse chimique. Les antibiotiques sont divisés en familles : pénicillines, céphalosporines, macrolides, tétracyclines (cyclines), sulfamides, aminosides, lincosanides, phénicolés, polymyxines, quinolones, imidazolés, etc. Un usage inapproprié des antibiotiques peut favoriser l'apparition de résistances : n'utilisez un antibiotique que sur prescription médicale, respectez sa posologie et sa durée, ne donnez pas et ne conseillez pas à une autre personne un antibiotique que l'on vous a prescrit. antifongique Médicament qui détruit les champignons et levures microscopiques. Ceux-ci peuvent être présents sur la peau ou les muqueuses (tube digestif ou organes génitaux). La levure la plus courante est le Candida albicans. bactéries Organisme microscopique qui peut provoquer des infections. Contrairement aux virus, les bactéries sont généralement sensibles aux antibiotiques. candidoses Multiplication anormale d'une levure microscopique, Candida albicans le plus souvent. Il s'agit d'une complication fréquente et bénigne des traitements antibiotiques. Les principaux symptômes sont des troubles digestifs, une coloration marron ou noire de la langue, des taches blanches sur le palais ou la langue (muguet), des démangeaisons ou des brûlures de la vulve ou du gland. imidazolés Famille de médicaments qui regroupe des antifongiques, des antibiotiques et des antiparasitaires. libération prolongée Procédé de fabrication d'un médicament, qui permet une libération lente et progressive des substances actives dans l'organisme. Abréviation : LP. MST Abréviation de maladie sexuellement transmissible. Aujourd'hui également appelée IST (infection sexuellement transmissible) pour englober les infections sans symptômes, au moins au début (VIH, par exemple). mycoses Affection due à des champignons microscopiques, favorisée par la prise d'antibiotiques. paludisme Maladie tropicale due à un parasite (Plasmodium) transmis par un moustique (anophèle femelle). Elle se traduit par une fièvre revenant à intervalles réguliers, des frissons et d'autres symptômes très divers. Toute fièvre élevée survenant dans le mois qui suit le retour d'un voyage en pays tropical doit faire suspecter un paludisme. Synonyme : malaria. symptôme Trouble ressenti par une personne atteinte d'une maladie. Un même symptôme peut traduire des maladies différentes et une même maladie ne donne pas forcément les mêmes symptômes chez tous les malades. (1)
CONSEILS D'UTILISATION Utiliser matin et soir sur la peau préalablement humidifiée. Rincer à l’eau claire. Éviter le contact avec les yeux. Réservé à l’adulte. Visage et corps. (1)
CONSEILS D'UTILISATION :Il est recommandé de se brosser les dents après chaque repas, de la gencive vers les dents. Un bon brossage doit durer 2 à 3 minutes. (1)
CONTRAINDICATIONS They are not known or described. PRECAUTIONS None of note. INCOMPATIBILITIES None reported. ADVERSE REACTIONS None reported. ln case of any localised reaction caused by the application of the drug, consult your doctor or pharmacist. WARNINGS None of note. DOSE AND METHOD OF ADMINISTRATION Extend three times a day a thin layer of gel while slowly rubbing in the affected region. TREATMENT IN CASE OF INTOXICATION OR OVERDOSE No cases of toxicity have been recorded with this product. In case of overdosage or accidental intake, consult the Toxicology lnformation Service. (1)
CONTRES-INDICATION Allergie aux céphalosporines. Dans les patients hypersensibles la pénicilline, la possibilité de réactions croisées allergiques devrait être considérée. (voir les avertissements) Grossesse et lactation La sécurité dans la grossesse humaine n'a pas été établie. Pendant que le ceftriaxone est excrété dans le lait maternel de basses concentrations, la prudence est conseillée dans des mères de soins. AVERTISSEMENTS : Avant que la thérapie avec le Ceftriaxone soit instituée, l'enquête soigneuse devrait être effectuée pour déterminer si le patient a eu des réactions d'hypersensibilité précédentes aux céphalosporines, aux pénicillines ou d'autres médecines. Environ 10% de patients sensibles la pénicilline peut également être allergique aux céphalosporines bien que l'incidence vraie soit incertaine. Le grand soin devrait être pris si le Ceftriaxone doit être donné de tels patients. DOSAGE ET NOTICES D'EMPLOI : Dosage standard Adultes et enfants plus de douze : ceftriaxone 1-2g une fois quotidien (toutes les 24 heures). Dans des infections graves et dans les cas dans lesquels les agents pathogènes sont seulement modérément sensibles au ceftriaxone, le dosage quotidien peut être grimpé jusqu'au journal 4 administré par g. Les nourrissons et les enfants en bas ge peuvent recevoir de mg 20-80 par corps-masse de kilogramme quotidienne ; selon la sévérité de l'infection, habituellement 12-24 horaire. En cas de bébés prématurés, le dosage quotidien ne devrait pas dépasser mg 50 par masse de corps de kilogramme cause de l'immaturité des systèmes des enzymes du nourrisson. Patients pluss gé : Les dosages recommandés pour des adultes n'exigent aucune modification dans le cas des patients gériatriques. Durée de thérapie : La durée de la thérapie varie selon le cours de la maladie. L'administration du ceftriaxone devrait être continuée pendant un minimum de 48 72 heures après que le patient est devenu afebrile ou des preuves de l'éradication bactérienne ont été obtenues. Instructions spéciales de dosage : Méningite : Dans la méningite bactérienne dans les nouveau-nés et les enfants, le traitement commence par des doses de mg 100 par kilogramme (pour ne pas dépasser 4 g) une fois quotidiennement. Dès que l'organisme causatif sera identifié et sa sensibilité a été déterminée, le dosage peut être réduit en conséquence. Gonorrhée : Pour le traitement de la gonorrhée (penicillinase productrice et non-penicillinase produisant des tensions), une dose IM simple de ceftriaxone de mg 250 est recommandée. Prophylaxie Perioperative : Un d'une dose unique de 1-2 g ceftriaxoneadministered 30-90 minutes avant la chirurgie. Dans la chirurgie côlorectale, l'administration concourante (mais distincte) du ceftriaxone avec un nitroimidazole 5, par exemple l'ornidazole, a prouvé efficace. Fonction rénale et hépatique altérée : Dans les patients présentant la fonction rénale altérée, il n'y a aucun besoin de réduire le dosage ofceftriaxoneprovided que la fonction hépatique est intacte. En cas d'insuffisance rénale grave (dégagement (1)
Can I take Levofloxacin with other medicines: Sometimes drugs are not safe when you take them with certain other drugs and food. - Taking them together can cause bad side effects. - Be sure to talk to your doctor about all the drugs you take. Are there any food restrictions Avoid Alcohol How do I store Levofloxacin : Store in a cool, dry place away from the reach of children. - Medicines must not be used past the expiry date. Pregnancy Category Category C : Animal reproduction studies have shown an adverse effect on the fetus and there are no adequate and well-controlled studies in humans, but potential benefits may warrant use of the drug in pregnant women despite potential risks. Therapeutic Classification Quinolones, Eye Anti-Infectives & Antiseptics (1)
Ce médicament est administré par voie orale et peut être pris avec ou sans aliments. Lorsqu'un soulagement rapide est nécessaire, il est à noter que l'efficacité du médicament est plus précoce si l'étoricoxib est administré sans aliments. En raison de l'augmentation possible des risques cardiovasculaires de l'étoricoxib avec la dose et la durée de traitement, ce médicament doit être prescrit à la dose minimale journalière efficace pendant la période la plus courte possible. La nécessité du traitement symptomatique et son efficacité thérapeutique pour le patient devront être réévaluées périodiquement, en particulier chez les patients atteints d'arthrose (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi, Effets indésirables, Pharmacodynamie). La dose recommandée est de 30 mg une fois par jour. Chez certains patients, lorsque le soulagement des symptômes est insuffisant, une augmentation de la dose à 60 mg une fois par jour peut améliorer l'efficacité. En l'absence d'amélioration du bénéfice thérapeutique, d'autres traitements doivent être envisagés. Des doses supérieures à celles recommandées n'ont pas, soit démontré d'efficacité supplémentaire, soit été étudiées. Par conséquent, dans l'arthrose, la dose de 60 mg une fois par jour ne sera pas dépassée. Sujet âgé : Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire chez le sujet âgé. Comme avec d'autres médicaments, la prudence est requise chez les patients âgés (cf Mises en garde et Précautions d'emploi). Insuffisance hépatique : Chez les patients ayant une atteinte hépatique légère (score de Child-Pugh de 5 à 6), la dose de 60 mg une fois par jour ne sera pas dépassée. Chez les patients ayant une atteinte hépatique modérée (score de Child-Pugh de 7 à 9), la dose de 60 mg un jour sur deux ne sera pas dépassée ; l'administration de 30 mg une fois par jour peut également être envisagée. L'expérience clinique est particulièrement limitée chez les patients ayant une atteinte hépatique modérée et la prudence est recommandée. Il n'y a aucune expérience clinique chez les patients ayant une atteinte hépatique sévère (score de Child-Pugh >= 10) ; par conséquent, l'utilisation de ce médicament est contre-indiquée chez ces patients (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi, Pharmacocinétique). Insuffisance rénale : Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire chez les patients ayant une clairance de la créatinine >= 30 ml/min (cf Pharmacocinétique). L'utilisation d'étoricoxib est contre-indiquée chez les patients ayant une clairance de la créatinine (1)
Ce médicament fluidifie les sécrétions (mucosités) présentes dans les bronches. Il facilite leur évacuation par la toux. Il est utilisé en cas de toux grasse avec difficulté à cracher, notamment au cours des bronchites aiguës. Vous pouvez consulter le(s) article(s) suivants : Toux de l’adulte Toux de l’enfant Réaction allergique cutanée (démangeaisons, éruption cutanée, urticaire...). Douleurs d'estomac, nausées, diarrhée, nécessitant une diminution des doses. Aggravation de l'encombrement des bronches et risque de complications respiratoires, notamment chez les nourrissons. Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. Ce médicament ne peut être utilisé en cas de bronchite chronique que sur avis médical. Des précautions sont nécessaires en cas d'ulcère de l'estomac ou du duodénum. N'utilisez pas d'antitussif en plus de ce médicament sans l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien. Si les sécrétions persistent au-delà de quelques jours, si elles se colorent ou si vous avez de la fièvre, consultez votre médecin. L'effet de ce médicament pendant la grossesse ou l'allaitement est mal connu. L'évaluation du risque éventuel lié à son utilisation est individuelle : demandez conseil à votre pharmacien ou à votre médecin. (1)
Ce médicament ne doit pas être utilisé pendant le premier trimestre de la grossesse dans les situations où d'autres antipaludiques adaptés et efficaces sont disponibles (voir rubrique Grossesse et allaitement). Ce médicament n'a pas été évalué dans le traitement du paludisme sévère, notamment neuropaludisme ou autres manifestations sévères tels que oedème pulmonaire ou insuffisance rénale. Les données de tolérance et d'efficacité étant limitées, il convient de ne pas administrer ce médicament en association à un autre médicament antipaludique (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions), sauf si la situation ne permet pas d'envisager une thérapeutique alternative. Cependant, si l'état d'un patient se dégrade sous Ce médicament, un autre traitement antipaludique doit être instauré sans délai. Dans ce cas, une surveillance électrocardiographique est recommandée et des mesures devront être prises pour corriger d'éventuels troubles électrolytiques. Il convient de prendre en considération la demi-vie d'élimination longue de la luméfantrine lors de l'administration de quinine à des patients traités préalablement par Ce médicament. En cas d'administration de quinine après Ce médicament, une surveillance étroite de l'ECG est recommandée (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). Si Ce médicament est administré après la prise de méfloquine, les apports alimentaires devront être étroitement surveillés (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). Chez les patients traités préalablement par l'halofantrine, il est recommandé de respecter un délai d'au moins un mois après la dernière prise d'halofantrine avant l'administration de Ce médicament. Ce médicament n'est pas indiqué, et n'a pas été évalué, dans le traitement du paludisme à Plasmodium vivax, Plasmodium malariae ou Plasmodium ovale, bien qu'au cours des études cliniques, certains patients présentaient une co-infestation à Plasmodium falciparum et Plasmodium vivax avant la mise en route du traitement. Ce médicament est actif sur les formes sanguines de Plasmodium vivax, mais pas sur les hypnozoïtes intrahépatiques. Ce médicament t n'est pas indiqué, et n'a pas été évalué, pour la prophylaxie du paludisme. Comme d'autres antipaludiques (tels que : l'halofantrine, la quinine et la quinidine), Ce médicament peut entraîner un allongement de l'intervalle QT. Parmi les patients adultes/adolescents inclus dans les essais cliniques, 8 patients (0,8%) traités par Ce médicament ont présenté un QTcB >500 msec et 3 patients (0,4%) un QTcF >500 msec. Un allongement de l'intervalle QTcF >30 msec a été observé chez 36% des patients. Parmi les enfants/nourrissons inclus dans les essais cliniques conduit avec Ce médicament, 3 patients (0,2%) ont présenté un QTcB >500 msec. Aucun n'a présenté un QTcF >500 msec. Un allongement de l'intervalle QTcF > 30 msec a été observé chez 34% des enfants dont le poids corporel était compris entre 5 et 10 kg, 31% des enfants dont le poids corporel était compris entre 10 et 15 kg, 24% des enfants dont le poids corporel était compris entre 15 et 25 kg et 32% des enfants dont le poids corporel était compris entre 25 et 35 kg. La prudence est recommandée en cas d'association de Ce médicament avec des médicaments présentant un effet inhibiteur, inducteur ou compétitif sur le CYP3A4 en raison de la possibilité d'une modification de l'effet thérapeutique des médicaments associés (voir rubriques Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Propriétés pharmacocinétiques). Si l'intolérance alimentaire persiste pendant le traitement, une surveillance étroite est recommandée en raison d'un risque plus élevé d'échec du traitement. La prudence est requise en cas d'insuffisance rénale, hépatique ou cardiaque sévère (voir rubrique Posologie et mode d'administration). (1)
Ce tire lait manuel est facile à utiliser, et sert à aspirer le lait d'un sein pour nourrir bébé ou dégorger le sein. Cet appareil pour faciliter l'extraction du lait est recommandé pour préparer à l'avance son lait, en cas de problème de mamelon ou si le nourrisson est trop faible pour se nourrir seul. g (1)
Comment doit-on employer ce médicament ? Appliquez une petite quantité de médicament sur la zone atteinte 2 à 3 fois par jour durant une période allant de 7 à 14 jours. Si votre médecin vous a demandé de recouvrir la lésion avec un pansement de gaze, il vous suffira probablement d'effectuer 1 application du médicament 1 ou 2 fois par jour. Si vous appliquez le médicament sur votre visage, veillez à éviter le contact avec les yeux. Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable. Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez 1 application du médicament, appliquez-le dès que vous constatez votre omission. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'appliquez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien. Conservez ce médicament à la température ambiante et hors de la portée des enfants. Jetez le médicament 3 mois après en avoir ouvert le tube. Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés. Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ? L'acide fusidique, ou fusidate de sodium, font partie des produits topiques qui ne devraient pas être utilisés par quiconque ayant : une allergie à l'acide fusidique et à ses sels ou à l'un des ingrédients du médicament; une allergie à la lanoline (si vous employez la pommade). Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ? Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin. Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps. Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient : des cloques cutanées; une douleur (seulement quand le médicament est appliqué sur des ulcères profonds des jambes); une légère irritation au site d'application; une réaction allergique au site d'application, notamment une rougeur, de l’urticaire, de l'enflure, une éruption cutanée ou des démangeaisons; des symptômes associés à une infection oculaire (par ex. des yeux roses ou rouges, une démangeaison oculaire, un écoulement oculaire, des croûtes sur les paupières ou sur les cils). Cessez de prendre le médicament et obtenez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme : des signes d’une réaction allergique importante (par ex. des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, des nausées et des vomissements, ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge). Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament. Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ? Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament. Prolifération de micro-organismes : une application d'antibiotiques sur la peau entraîne occasionnellement la reproduction surnuméraire (la prolifération) des micro-organismes qui ne sont pas tués par le médicament. Si l'infection ne s'améliore pas après quelques jours, ou si elle semble s'aggraver à un moment donné, communiquez avec votre médecin. Ne pas utiliser ce médicament durant plus de 14 jours. De graves infections cutanées, ou les infections qui semblent ne pas se cicatriser malgré l'emploi d'un médicament topique (appliqué sur la peau) devraient être traitées par un antibiotique systémique (oral ou injecté) en plus ou à la place d'un médicament topique. Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Allaitement : ce médicament passe dans le lait maternel. Si vous utilisez de l'acide fusidique pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement. D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ? Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments. En fonction de votre situation, votre médecin pourrait vous demander de : cesser la prise de l'un des médicaments; remplacer l'un des médicaments par un autre; modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux; ne rien changer du tout. L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses. Tous les contenus sont la propriété de MediResource Inc. 1996 – 2019. Conditions d’utilisation. Les contenus présents ne sont destinés qu’à des fins d’information. Demandez toujours l’avis de votre médecin ou d’un autre professionnel de la santé qualifié sur des questions relatives à une affection médicale. Source : santecheznous.com/drug/getdrug/Fucidin-pommade (1)
Comment doit-on employer ce médicament ? Gouttes : la dose habituelle pour l'adulte est de 1 à 2 gouttes dans l'œil toutes les 4 heures. Au cours des premières 24 à 48 heures, il se peut que votre médecin augmente la dose à 1 à 2 gouttes toutes les 2 heures. Votre médecin réduira la dose progressivement, selon l'amélioration de votre œil. Secouez bien les gouttes avant de les utiliser. Prévenez la contamination du compte-gouttes en évitant que l'embout touche les yeux, la peau ou toute autre surface. Onguent : la dose habituelle pour l'adulte est un ruban de 1,25 cm (½ po) appliqué dans l'œil (juste à l'intérieur de la paupière inférieure) jusqu'à 3 ou 4 fois par jour ; l'onguent peut aussi être employé au coucher, comme supplément aux gouttes. Il faut prévenir la contamination de l'extrémité du tube d'onguent en évitant tout contact entre le tube et l'œil, la peau ou toute autre surface. Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable. Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose, employez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien. Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants. Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés. Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ? Ce médicament ne devrait pas s'employer dans les circonstances ci-après : une allergie aux antibiotiques aminosides (par ex. l'amikacine, la gentamicine); une allergie à la tobramycine, à la dexaméthasone ou à l'un des ingrédients du médicament; après l'extraction d'un objet qui se trouvait dans l'œil; une infection par le virus de la vaccine, de la varicelle ou de l'herpès simplex ou une autre maladie virale de l'œil ; une infection bactérienne de l'œil, une tuberculose oculaire, une affection fongique oculaire ou une infection purulente aiguë non traitée des yeux. Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ? Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin. Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps. Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient : des démangeaisons ou une enflure de la paupière; un estomac dérangé; un goût métallique; un larmoiement accru; des maux de tête; de la nausée; une rougeur de l'œil; une sécheresse de l'œil; une vision floue (temporairement). La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux. Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste : une douleur oculaire; des symptômes d'une nouvelle infection oculaire (par ex. un écoulement oculaire, une rougeur, des démangeaisons, ou de la douleur). Cessez la prise du médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme : une baisse ou une perte de l'acuité visuelle. une démangeaison, une rougeur, une enflure, ou un autre signe de réaction allergique ou d'irritation oculaire qui n'était pas présent avant l'emploi de ce médicament. Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament. Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ? Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament. Emploi prolongé : l'emploi prolongé de ce médicament peut entraîner un glaucome associé à une lésion du nerf optique, des troubles de la vue, une perforation de la cornée et des cataractes. Un usage prolongé de ce médicament peut aussi mener à des troubles du métabolisme, une guérison retardée et à une prolifération des microorganismes (par ex. certaines bactéries ou certains champignons) qui ne sont pas tués par l'antibiotique. S'il n'y a pas d'amélioration après 5 à 7 jours de traitement ou si votre état s'aggrave, communiquez avec votre médecin. Si vous utilisez ce médicament de manière prolongée, votre médecin devrait examiner votre pression oculaire régulièrement. Verres de contact : si vous portez des verres de contact, demandez à votre médecin si vous pouvez les porter pendant que vous utilisez ce médicament. De manière générale, le port des verres de contact durant le traitement d'une infection est à éviter. Ce médicament, lorsqu'il est utilisé sous forme de gouttes, contient un ingrédient pouvant décolorer les verres de contact. Les verres de contact doivent être retirés des yeux avant d'y mettre les gouttes. Ils ne doivent être réinsérés qu'après avoir attendu au moins 15 minutes après la procédure. Vision floue : l'utilisation de ce médicament peut provoquer un brouillement temporaire de la vision. Si votre vision se brouille, ne conduisez pas de véhicule et ne manœuvrez pas de machinerie avant qu'elle ne se soit rétablie. Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Allaitement : on ignore si ce médicament passe dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement. Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants. (1)
Comment doit-on employer ce médicament ? Gouttes : la dose usuelle pour un adulte, et les enfants ayant plus de 12 mois, est 1 ou 2 gouttes dans l'œil atteint toutes les 4 heures. En cas d'infection aiguë, la dose est 2 gouttes dans l'œil atteint toutes les heures jusqu'à ce qu'une amélioration se manifeste, et une diminution de la dose aura alors lieu conformément à la prescription du médecin. Prévenez la contamination du compte-gouttes en évitant que l'embout touche les yeux, la peau ou toute autre surface. Si vous employez d'autres gouttes ophtalmiques, attendez au moins 5 à 10 minutes avant de les verser dans l'œil. Si vous portez des verres de contact, retirez-les avant d'employer le médicament. Vous pourrez les réinsérer 10 à 15 minutes après l'instillation des gouttes ophtalmiques. Onguent : la dose usuelle pour un adulte, et les enfants ayant plus de 12 mois, consiste à appliquer une bande de 1,25 cm dans le cul-de-sac conjonctival (sur la surface intérieure de la paupière) de l'œil atteint 2 à 3 fois par jour. En cas d'infection aiguë, la dose consiste à appliquer une bande de 1,25 cm dans le cul-de-sac conjonctival toutes les 3 à 4 heures jusqu'à ce qu'une amélioration se manifeste, et une diminution de la dose aura alors lieu conformément à la prescription du médecin. Prévenez la contamination du compte-gouttes en évitant que l'embout touche les yeux, la peau ou toute autre surface. Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable. Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien. Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants. Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés. Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ? Abstenez-vous d'employer la tobramycine dans les circonstances ci-après : une allergie à la tobramycine ou à l'un des ingrédients du médicament ; une allergie à d'autres médicaments qui appartiennent à la même famille d'antibiotiques (les aminosides, par ex. la gentamicine, la streptomycine). Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ? Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin. Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps. Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien peut être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissent : une sensation de brûlure ou de picotement dans les yeux. La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux. Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste : une démangeaison, une rougeur, une enflure, ou un autre signe de réaction allergique ou d'irritation oculaire qui n'était pas présent avant l'emploi de ce médicament. Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament. Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ? Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament. Allergie : une hypersensibilité aux aminosides, comme la tobramycine, appliqués sur la peau pourrait survenir pour quelques personnes. Si une hypersensibilité ou une réaction allergique se produisait, suspendez l'emploi du médicament et appelez votre médecin. Prolifération excessive de micro-organismes : une utilisation prolongée de ce médicament peut provoquer une prolifération des organismes, dont les champignons, qui ne sont pas tués par l'antibiotique. En cas d'absence d'amélioration pendant la période de temps prévue ou en cas d'aggravation du trouble, communiquez avec votre médecin. Grossesse : la tobramycine ne doit être utilisée pendant la grossesse qu'en cas de nécessité absolue. Allaitement : on ignore si la tobramycine passe dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement. Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants de moins de 1 an. D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ? Il pourrait se produire une interaction entre la tobramycine et l'un des agents ci-après : d'autres gouttes ophtalmiques ou pommades oculaires. Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de : cesser la prise de l'un des médicaments ; remplacer l'un des médicaments par un autre ; modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux ; ne rien changer du tout. L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses. D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments. Tous les contenus sont la propriété de MediResource Inc. 1996 – 2019. Conditions d’utilisation. Les contenus présents ne sont destinés qu’à des fins d’information. Demandez toujours l’avis de votre médecin ou d’un autre professionnel de la santé qualifié sur des questions relatives à une affection médicale. Source : santecheznous.com/drug/getdrug/Tobrex (1)
Comment doit-on employer ce médicament ? La dose de tramadol - acétaminophène habituellement recommandée pour le soulagement de la douleur est 1 ou 2 comprimés pris toutes les 4 ou 6 heures au besoin, mais sans dépasser 8 comprimés par jour. Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable. Les comprimés peuvent se prendre avec ou sans aliments. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable. Si vous cessez de prendre ce médicament soudainement, vous pourriez éprouver des symptômes de sevrage comme de l'anxiété, de la sudation, des troubles du sommeil, des frissonnements, de la nausée, des tremblements, de la diarrhée ou des hallucinations. Si vous envisagez de mettre fin au traitement, votre médecin vous demandera peut-être de réduire graduellement la dose afin d'atténuer les effets de sevrage. Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien. Entreposez ce médicament à la température ambiante et hors de la portée des enfants. Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés. Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ? Abstenez-vous d'employer ce médicament dans les circonstances ci-après : une allergie au tramadol ou à l'un des ingrédients du médicament; une allergie à d'autres médicaments opioïdes (par ex. la codéine, la morphine); un alcoolisme aigu ou la présence de delirium tremens; une consommation d'alcool récente; une fonction hépatique sévèrement diminuée; une fonction rénale sévèrement diminuée; une grossesse, un accouchement en cours, un allaitement; une intoxication par l'alcool ou la prise d'autres médicaments comme des hypnotiques, d'autres opioïdes comme la codéine ou la morphine, ou des psychotropes (par ex. les médicaments contre les troubles de la santé mentale); une obstruction des voies digestives, en particulier un iléus paralytique; la prise actuelle ou au cours des 14 derniers jours d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (par ex. la phénelzine, la tranylcypromine, le moclobémide); un traumatisme crânien, une tumeur cérébrale ou une augmentation de la pression intracrânienne ou de la moelle épinière; un trouble convulsif. Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ? Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin. Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps. Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient : un assoupissement; une constipation; des étourdissements; des maux de tête; de la nausée; des vomissements. La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux. Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste : des signes de troubles hépatiques (par ex. de la nausée, des vomissements, de la diarrhée, une perte de l'appétit, une perte de poids, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine sombre, des selles claires); des symptômes d'un faible taux de sodium dans le sang (par ex. de la fatigue, une faiblesse et de la confusion ou la douleur, une raideur ou une incoordination musculaire); des symptômes attribuables à une baisse du taux de sucre sanguin (par ex. des sueurs froides, une pâleur et une fraîcheur de la peau, des maux de tête, une accélération des battements cardiaques, de la faiblesse). Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme : des crises convulsives; une respiration lente ou faible; des signes d'une grave réaction allergique par ex. une difficulté respiratoire; de l'urticaire; une boursouflure du visage, une enflure de la bouche, de la gorge ou de la langue. des signes d'une grave réaction cutanée, par ex. une forte fièvre; l'apparition de vésicules douloureuses sur la peau, la bouche ou les yeux; une éruption cutanée; un décollement de la peau; des lésions. des signes d'une surdose médicamenteuse, par ex. une respiration superficielle et rapide; une somnolence importante; une diminution de la coordination; des convulsions; de l'inconscience. des symptômes du syndrome sérotoninergique (par ex. de la confusion, des battements de cœur rapides, des hallucinations, une nervosité, des tremblements, des frissonnements, de soudaines contractions des muscles, de la sudation). Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament. Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ? Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament. AVIS DE SANTÉ CANADA 15 SEPTEMBRE 2016 Santé Canada a émis de nouvelles mises en garde concernant l'emploi de l'acétaminophène. Pour lire dans son intégralité l'avis de Santé Canada, rendez-vous vers le site Web de Santé Canada à l'adresse www.hc-sc.gc.ca. Un avis avait également été émis le 9 juillet 2015 au sujet de l'acétaminophène. Pour lire dans son intégralité l'avis de Santé Canada, rendez-vous vers le site Web de Santé Canada à l'adresse www.hc-sc.gc.ca. Blessures à la tête : les personnes qui ont subi un traumatisme crânien ou qui ont une élévation de leur pression intracrânienne peuvent courir un risque accru de subir des effets secondaires (problèmes respiratoires) ou une aggravation de leur état pendant qu'elles prennent ce médicament. Si vous avez récemment subi un traumatisme crânien, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Chirurgie : le tramadol pourrait interagir avec les médicaments employés pendant une intervention chirurgicale. Si vous devez subir une intervention chirurgicale, signalez à votre médecin que vous prenez ce médicament. Crises épileptiques : le tramadol peut causer des crises épileptiques, surtout lorsqu'il est employé à de fortes doses ou lorsqu'il est pris en même temps que d'autres médicaments, comme : les antidépresseurs tricycliques (par ex. l'amitriptyline); la cyclobenzaprine; les inhibiteurs de la monoamine-oxydase ou IMAO (par ex. la phénelzine, la tranylcypromine); les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine ou ISRS (par ex. la paroxétine, la fluoxétine); les neuroleptiques (par ex. l'halopéridol, la quétiapine, l'olanzapine, la rispéridone); les opioïdes (par ex. la morphine, la codéine, l'oxycodone); la prométhazine. En outre, le risque de crises épileptiques est plus grand pour les personnes qui ont des antécédents de crises épileptiques ou qui risquent d'avoir des crises épileptiques (par ex. les personnes ayant subi un traumatisme crânien). Si vous avez des antécédents de convulsions ou si vous êtes prédisposé à subir de tels accès, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Dépendance et sevrage : le tramadol peut causer une accoutumance physique, une accoutumance psychologique et la dépendance. Si vous cessez subitement de prendre ce médicament, vous pourriez ressentir des symptômes de sevrage comme de l'anxiété, de la sudation excessive, des troubles du sommeil, des frissons, de la douleur, de la nausée, des tremblements de la diarrhée et des hallucinations. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin ou un pharmacien au préalable. Fonction hépatique : le foie joue un rôle dans l'élimination du tramadol et l'acétaminophène qui se trouvent dans l'organisme. La maladie hépatique ou la réduction de la fonction hépatique peut provoquer une accumulation de ce médicament dans l'organisme, causant ainsi des effets secondaires. En cas d'affection hépatique ou de fonction hépatique diminuée, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Ce médicament ne devrait pas être utilisé chez les personnes souffrant d'une insuffisance hépatique grave. Fonction rénale : les reins jouent un rôle dans l'élimination du tramadol qui se trouve dans l'organisme. Une maladie des reins ou une fonction rénale diminuée peut provoquer une accumulation de ce médicament dans l'organisme, causant ainsi des effets secondaires. En cas d'atteintes rénales ou de fonction réduite des reins, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Ce médicament est déconseillé chez les personnes ayant une fonction rénale diminuée. Surutilisation : même si l'acétaminophène est considéré généralement comme un médicament sûr, une surutilisation de celui-ci peut être à l'origine de troubles hépatiques, dont une insuffisance hépatique pouvant être fatale ou exiger une greffe du foie. Il est important que vous ne preniez pas une quantité de tramadol-acétaminophène supérieure à ce que votre médecin a prescrit. L'acétaminophène se trouve dans plusieurs médicaments disponibles sans ordonnance. Lisez les étiquettes avec soin afin de vous assurer que vous ne prenez pas une dose supérieure à celle recommandée pour l'adulte. Si vous avez des questions au sujet de votre quantité d'acétaminophène, veuillez discuter avec votre pharmacien ou votre médecin. Si vous observez la survenue de symptômes de troubles hépatiques comme de la fatigue, une sensation de malaise, une perte de l'appétit, de la nausée, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine foncée, des selles claires, une douleur abdominale, ou une enflure et une démangeaison cutanée, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Troubles abdominaux : l'association médicamenteuse tramadol-acétaminophène est susceptible de rendre le diagnostic de certaines affections abdominales plus difficile ou d'aggraver ces affections. En cas de troubles abdominaux comme une maladie inflammatoire ou obstructive de l'intestin, une cholécystite aiguë ou une pancréatite discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Respiration : l'association médicamenteuse tramadol-acétaminophène peut causer l'arrêt de la respiration. Si vous faites de l'asthme ou si vous êtes autrement prédisposé à subir des problèmes respiratoires, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Somnolence ou vigilance réduite : ce médicament peut entraîner une somnolence. Évitez de conduire un véhicule, de faire fonctionner des machines, d'accomplir d'autres tâches qui exigent de la vigilance, jusqu'au moment où vous aurez déterminé l'effet de ce médicament sur vos capacités de réaction mentale. Syndrome sérotoninergique : de graves réactions sont possibles lorsque le tramadol est pris simultanément avec d'autres médicaments utilisés pour soigner une dépression. L'association de tramadol et d'inhibiteurs de la MAO doit être évitée. Les symptômes d'une réaction sont, entre autres, une rigidité et des spasmes musculaires, une difficulté à bouger, une altération de l'état mental – y compris un délire et de l'agitation. Le coma et la mort pourraient également se produire. Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Allaitement : ce médicament passe dans le lait maternel. Si vous employez l'association médicamenteuse tramadol-acétaminophène pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement. Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants. Ce médicament n'est pas destiné à être utilisé par des personnes de moins de 18 ans. Aînés : les aînés sont plus susceptibles de subir les effets secondaires associés à ce médicament, et pourraient avoir besoin de doses plus faibles. D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ? Il pourrait se produire une interaction entre l'association médicamenteuse tramadol - acétaminophène et l'un des agents ci-après : l'acétate d'abiratérone; l'aclidinium; les alcaloïdes de l'ergot de seigle (par ex. l'ergotamine, la dihydroergotamine); l'alcool; l'amiodarone; les amphétamines (par ex. la dextroamphétamine, la lisdexamfétamine); les antagonistes du calcium (par ex. le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil); les antagonistes de la sérotonine (les médicaments anti-émétiques; par ex. le granisétron, l'ondansétron); les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine); les antidépresseurs tricycliques (par ex. l'amitriptyline, la clomipramine, la désipramine, l'imipramine); les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le voriconazole); les antihistaminiques (par ex. la cétirizine, la doxylamine, la diphenhydramine, l'hydroxyzine, la loratadine); les antipsychotiques (par ex. l'halopéridol, la quétiapine, l'olanzapine, la rispéridone); l'aprépitant; l'atropine; l'azélastine; le baclofène; les barbituriques (par ex. le butalbital, le pentobarbital, le phénobarbital); la belladone; les benzodiazépines (par ex. l'alprazolam, le diazépam, le lorazépam); la benztropine; le bicalutamide; le bocéprévir; le bosentan; la brimonidine; la bromocriptine; la buprénorphine; le bupropion; la buspirone; le butorphanol; la cabergoline; la cholestyramine; le célécoxib; la chloroquine; le cinacalcet; la cocaïne; le conivaptan; la darifénacine; le déférasirox; la desmopressine; la desvenlafaxine; le dextrométhorphane; le disopyramide; la dronédarone; l'enzalutamide; le flavoxate; le glycopyrrolate; l'hydrate de chloral; les inhibiteurs de la monoamine-oxydase ou IMAO (par ex. le moclobémide, la rasagiline, la phénelzine, la sélégiline, la tranylcypromine); les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, le darunavir, le lopinavir, le ritonavir); les inhibiteurs de la tyrosine kinase (par ex. le dasatinib, le nilotinib, l'imatinib, le sunitinib); les inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse du VIH (INNTIs; par ex. la delavirdine, l'éfavirenz, l'étravirine, la névirapine); les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS; par ex. le citalopram, la duloxétine, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline); l'isoniazide; le kétotifène; le lithium; les médicaments antiépileptiques (par ex. la carbamazépine, le clobazam, le lévétiracétam, le phénobarbital, la phénytoïne, la primidone, le topiramate, l'acide valproïque, le zonisamide); les médicaments antimigraineux de la classe des « triptans » (par ex. l'élétriptan, le sumatriptan); la métoclopramide; le millepertuis; le mirabégron; la mirtazapine; le mitotane; la naltrexone; les narcotiques analgésiques (par ex. la codéine, le fentanyl, la morphine, l'oxycodone); la néfazodone; l'octreodtide; l'oxybutynine; le pérampanel; le pramipexole; le probénécide; la quinidine; la quinine; les relaxants musculaires (par ex. la cyclobenzaprine, le méthocarbamol, l'orphénadrine); la rifabutine; la rifampine; le ropinirole; le rufinamide; la scopolamine; le siméprévir; la solifénacine; le tapentadol; la terbinafine; la ticlopidine; le tiotropium; le tocilizumab; la toltérodine; la trazodone; le tryptophane; l'uméclidinium; la valériane; la venlafaxine; la warfarine; le zolpidem; la zopiclone. Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de : cesser la prise de l'un des médicaments; remplacer l'un des médicaments par un autre; modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux; ne rien changer du tout. L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses. D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments. Tous les contenus sont la propriété de MediResource Inc. 1996 – 2019. Conditions d’utilisation. Les contenus présents ne sont destinés qu’à des fins d’information. Demandez toujours l’avis de votre médecin ou d’un autre professionnel de la santé qualifié sur des questions relatives à une affection médicale. Source : santecheznous.com/drug/getdrug/Tramacet (1)
Comment l'utiliser ? Adultes et adolescents à partir de 14 ans Echinococcose La posologie doit être fixée par le médecin au cas par cas. La stricte observance des doses prescrites est cruciale pour le succès du traitement. Dose de référence 1ère semaine: 1 comprimé 3×/jour; 2ème semaine: 2 comprimés 3×/jour; dès la 3ème semaine: 3 comprimés 3×/jour. Vermox 500 mg devrait être pris en même temps qu?une nourriture riche en graisses qui facilite un meilleur passage du médicament dans le sang. Le traitement de l?échinococcose nécessite un contrôle régulier par le médecin et la prise du médicament de façon consciencieuse. Ne changez pas de votre propre chef le dosage prescrit. Adressez-vous à votre médecin ou à votre pharmacien si vous estimez que l?efficacité du médicament est trop faible ou au contraire trop forte. Quels sont les effets secondaires possibles ? Lors de la prise de Vermox 500 mg les effets indésirables suivants peuvent survenir: Occasionnellement: sensation de vertiges, diarrhées, flatulences, douleurs abdominales, nausées et vomissements (ces symptômes peuvent aussi être dus à l?infestation par les vers), céphalées et vertiges. Des affections cutanées d?origine allergique (syndrome de Stevens-Johnson) et des réactions d?hypersensibilité à la substance active ne peuvent pas être tout à fait exclues; celles-ci surviennent surtout au début du traitement et se manifestent par des éruptions cutanées, un prurit, de l?urticaire et des oedèmes (gonflements) limités à certaines régions du corps. Dans ce cas, veuillez informer votre médecin immédiatement. Votre médecin décidera s?il faut ou non continuer le traitement. Dans de très rares cas une alopécie, des modifications de la numération formule sanguine qui peuvent se manifester par une fièvre, un mal de gorge et d?autres signes d?angine ont été observés. Dans ce cas, veuillez informer votre médecin immédiatement. Votre médecin décidera s?il faut ou non continuer le traitement. Des inflammations du foie peuvent également survenir dans de très rares cas. Des convulsions peuvent survenir dans de très rares cas chez le petit enfant. Si vous remarquez des effets secondaires, qui ne sont pas mentionnés dans cette notice, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. Surdosage La prise de Vermox dans des quantités supérieures à celles recommandées ou pendant une période prolongée peut entraîner des maladies du sang, des reins et du foie qui peuvent être graves dans certains cas. En outre, une chute de cheveux peut survenir et être persistante dans certains cas. Si vous avez pris trop de Vermox, il se peut que vous souffriez de crampes de l?estomac, de nausées, de vomissements et de diarrhée. Dans ce cas, vous devez consulter un médecin qui pourra vous recommander de prendre du charbon activé pour absorber la quantité de Vermox encore présente dans votre estomac. Informations destinées au médecin en cas de surdosage Il n?existe pas d?antidote spécifique. Du charbon activé peut être administré si cela est jugé approprié. Un lavage gastrique peut être réalisé dans la première heure suivant la prise. Comment le produit doit-il être stocké ? Comme tous les médicaments, Vermox 500 mg doit être gardé hors de la portée des enfants. Conserver Vermox 500 mg dans son emballage d?origine, à l?abri de l?humidité et à température ambiante (15?25 °C). Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp.» sur l?emballage. Pour de plus amples renseignements, consultez votre médecin ou votre pharmacien, qui disposent d?une information détaillée destinée aux professionnels. Plus d'informations 1 comprimé de Vermox 500 mg contient 500 mg mébendazole (substance active) ainsi que des excipients. (1)
Comment utiliser Flucloxacilline ? Flucloxacilline est composé de capsules à avaler intégralement avec un verre d'eau. Prenez ce médicament sur un estomac vide, c'est-à-dire une heure avant, ou deux heures après le repas. la nourriture atténue le fonctionnement de cet antibiotique. Même si vous vous sentez mieux, terminez le traitement. Si vous stoppez le traitement de Flucloxacilline trop tôt, toutes les bactéries ne seront pas détruites, et l'inflammation revient. À partir de vos symptômes, le médecin détermine pendant combien de temps vous devez prendre le médicament. Généralement, ce traitement dure entre cinq et dix jours. Dosage Sauf indications contraire du médecin, le dosage de Flucloxacilline conseillé dans la plupart des cas est le suivant : Adultes et enfants à partir de 12 ans : 1 capsule de 500 mg trois fois par jour. Enfants âgés de 6 à 12 ans : 1 capsule de 250 mg trois fois par jour. Les capsules de Flucloxacilline ne conviennent pas aux enfants de moins de 6 ans. Conformez-vous aux doses prescrites et consultez la notice avant utilisation. Effets secondaires Les médicaments peuvent parfois occasionner des effets secondaires, même si ce n'est pas le cas pour chacun. Lors de l'usage de Flucloxacilline, les effets secondaires que vous pouvez ressentir sont les suivants : Nausée, vomissements ; Éruptions cutanées, parfois suite à une hypersensibilité. Consultez votre médecin si vous souffrez de ces symptômes. La notice contient un aperçu total des effets secondaires possibles. Dans quels cas ne pas utiliser le médicament ? Flucloxacilline est un médicament qui ne convient pas à tous. N'utilisez pas ce médicament si : Vous souffrez d'hypersensibilité à flucloxacilline, à d'autres antibiotiques à base de pénicilline ou d'une autre substance active ; Vous souffrez ou avez souffert d'une affection du foie. Si vous avez d'autres problèmes de santé, consultez le médecin afin de savoir si vous pouvez utiliser ce médicament. Flucloxacilline interagit avec d'autres médicaments, entre autres divers coagulants. Mentionnez toujours quels médicaments vous utilisez lors de votre demande pour que le médecin puisse en tenir compte. Grossesse/conduite/alcool Si vous êtes enceinte ou souhaitez le devenir, utilisez Flucloxacilline uniquement après concertation avec le médecin. Vous pouvez prendre ce médicament sans danger si vous allaitez. Flucloxacilline n'influe pas sur votre capacité à conduire. Ce médicament peut être pris en combinaison avec des boissons alcoolisées. (1)
Conditionnement Test de grossesse Gtest se présente sous la forme d'un test. (1)
Conseil d'utilisation : Réservée à l'adulte. Déconseillée aux femmes enceintes ou allaitantes. Appliquer par frictions, sans massage, sur les zones concernées, avant ou après l'effort. Éviter tout contact avec le visage, les muqueuses ou une peau lésée. Des sensations d'échauffements importants ou de picotements peuvent apparaître en fonction de la sensibilité de la peau. Ne pas appliquer sous un vêtement serré. Se laver les mains après utilisation. (1)
Conseil d'utilisation et avis sur SUCRETTES 2 SUCRES 350 COMPRIMÉS Edulcorant de synthèse adapté aux régimes minceurs hypocaloriques et hypoglucidiques, convenant aux diabétiques. Composition de SUCRETTES 2 SUCRES 350 COMPRIMÉS Pour 1 comprimé de 45 mg : - Saccharine (Sulfimide benzoïque) 25 mg - Excipients : . agent effervescent: carbonate acide de sodium . agent de compression: mannitol . liant: polyvinylpyrrolidone (PVP/E1201) Contient un édulcorant et du sodium. Précaution d'utilisation avec SUCRETTES 2 SUCRES 350 COMPRIMÉS Dissolution immédiate dans toutes les boissons chaudes ou froides. 1 comprimé pour édulcorer une tasse de café, de thé ou tout autre liquide. Stable à la cuisson jusqu'à 500 °C. (1)
Conseil d'utilisation et avis sur sulfate de sodium officinal cooper sachet 30g Boire le matin à jeun, en 1 ou 2 fois un verre d'eau dans lequel on aura fait dissoudre le contenu de ce paquet. Il est recommandé d'absorber une boisson chaude, du thé de préférence, dès que l'effet de la purgation se fera sentir. (1)
Conseils Le simple lavage à l'eau et au savon permet d'éliminer la majorité des germes ; il doit être suivi d'un rinçage soigneux car le savon peut inactiver certains antiseptiques. Tous les antiseptiques peuvent être contaminés par des germes : une fois ouvert, le flacon ne doit pas être conservé trop longtemps. Les taches sur les vêtements dues au médicament disparaissent après lavage. En savoir plus sur https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-obetsc01-BETADINE-SCRUB.html#At8TeGuGFI2WgVKl.99 (1)
Conseils d’utilisation Saupoudrer le dentifrice d’une petite quantité pour blanchir les dents. Il peut aussi s'utiliser comme un déodorant et un détergent de ménage. Précaution d’emploi / Contre-indication Éviter de l’utiliser au quotidien. Déconseillé aux personnes ayant des sensibilités dentaires ou gingivales. (1)
Conseils d’utilisation : Brosser soigneusement les dents et les gencives pendant 3 minutes après chaque repas à l'aide d'une brosse à dent Elgydium, spécialement conçue pour déloger la plaque dentaire dans les endroits les plus inaccessibles. Présentation : Tube 75 ml (1)
Conseils d'usage : Les Colllants de contention Diva Varisan classe 2 sont préconisés en cas de sensation de jambes lourdes, et troubles fonctionnels avec douleur Veines variqueuses avec ou sans oedème Après sclérothérapie ou chirurgie des varices Conseillé lors des stations debout prolongées En prévention lors de voyage aérien (1)
Conseils d'usage : Les bas de contention Ethéré Varisan classe 2 sont indiqués pour les femmes ayant quelques varices, pour les ?dèmes variqueux ou un suivi après sclérothérapie, stripping, ou après apparition de varices de grossesse Améliore le retour veineux Conseillé lors des stations debout prolongées Conseils d'entretien : Les bas de contention sont lavables en machine (température maximale 40°) Ne pas utiliser d'assouplissant Ne pas mettre au sèche linge, sécher loin d'une source de chaleur Ne pas repasser, les bas de contention Ethéré Varisan Il est recommandé de renouveler ses bas de contention tous les 6 mois (1)
Conseils d'usage et d'entretien de la Chevillère Élastique de Maintien MalleoAction Indication : Maintien de l'articulation de la cheville dans le cas d'entorse bénigne ou en cas de douleur Réductiond'oedème Proprioception - Réduction de la douleur (mécanisme du "Gate Control") Entretien de la chevillère : Ne pas utiliser d'eau de javel, d'adoucissants ou de détergents Essorer la chevillère par pression La faire sécher à l'écart de source de chaleur (1)
Conseils d'utilisation 1 capsule par jour avec un verre d'eau au milieu du déjeuner. A conserver de préférence au réfrigérateur pour une meilleure tolérance des Oméga 3. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Peut être utilisé au cours de l'allaitement. Composition Ingrédients: Huile de poisson (Omega 3); Gélatine d'origine bovine ; Oxyde de magnésium ; Acide ascorbique (Vitamine C) ; humectant : Glycérol (E422) ; Sulfate de fer ; épaississant : Mono et di-glycérides d'acide gras (E471) ; Acétate de dl-alpha-tocophérol (vitamine E), Eau ; D Pantothénate de calcium (Vitamine B5) ; Gluconate de cuivre ; colorant : Oxyde de fer (E172) ; chlorhydrate de pyridoxine (vitamine B6) ; Riboflavine (vitamine B2) ; Nitrate (Mononitrate) de thiamine (vitamine B1); Acide folique (vitamine B9) ; Solution huileuse de Cholécalciférol (vitamine D3) ; Cyanocobalamine (vitamine B12) ; Iodure de potassium ; Biotine (vitamine B8). (1)
Conseils d'utilisation Brossez-vous les dents avec le dentifrice Fluocaril bi-fluoré de la gencive vers la dent pendant au moins deux minutes. Pour obtenir une efficacité maximum, répétez cette opération après chaque repas. (1)
Conseils d'utilisation Pour un soulagement immédiat de la douleur : appliquer directement sur la dent avec le bout du doigt et masser pendant 1 minute. Pour un soulagement durable et des dents naturellement blanches : brosser les dents deux fois par jour. Utilisé régulièrement, le dentifrice permet la formation d'une barrière protectrice durable qui agit comme un rempart contre la sensibilité. (1)
Conseils d'utilisation de l'iode liquide : Prendre 1 à 2 gouttes par jour dans de l’eau pure. Contre-indications : Déconseillé en cas de déshydratation, d’acné, d’insuffisance surrénale, de goitre nodulaire et de maladies cardiovasculaires. En cas de grossesse, ne pas doser à plus de 200 mcg par jour. Pour les femmes enceintes, allaitantes et les enfants, toujours demander l'avis d'un médecin avant toute prise de complement alimentaire. A consommer dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée. Ne pas dépasser la dose recommandée. Pas d’effets secondaires connus à la dose indiquée. En tant que compléments alimentaires naturels, nos produits ne sont pas et ne peuvent être considérés comme des médicaments. (1)
Conseils d'utilisation: 2 gélules par jour. 1 gélule verte + 1 gélule blanche. 1 boîte = 1 mois de traitement A prendre en cure de 3 mois: le délai moyen de maturation des spermatozoïdes est de 72 jours auxquels s'ajoutent 25 jours pour qu'ils soient capables de féconder. Conditionnement: Boîtes de 60 gélules Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Les compléments alimentaires ne se substituent pas à une alimentation variée et équilibrée. Tenir hors portée des jeunes enfants. Ne pas administrer aux jeunes enfants. Consultez votre médecin en cas de grossesse ou d'allaitement. Pas d'utilisation prolongée sans avis d'un spécialiste. (1)
Conseils d'utilisation: Dissoudre 1 comprimé effervescent Supradyn Intensia par jour dans un verre d'eau, de préférence le matin après un repas. Cure de 30 jours recommandées, à renouveler si nécessaire. (1)
Contre Indications - Allergie à l'un des constituants. - Intolérance à ce médicament (survenue de toux ou de bronchospasme après inhalation du produit). Dans ce cas, il conviendra d'interrompre ce traitement et de prescrire d'autres thérapeutiques ou d'autres formes d'administration. (1)
Contre indications - Hypersensibilité à la trimétazidine ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Composition. - Maladie de Parkinson, symptômes parkinsoniens, tremblement, syndrome des jambes sans repos et autres anomalies motrices reliées. - Insuffisance rénale sévère (Clairance de la créatinine (1)
Contre indications - Hypertension intra-oculaire. - Lésions du bas appareil urinaire exposant à la rétention d'urine. Effets indésirables Riabal Enfant Sécheresse de la bouche, mydriase, somnolence ont été rapportées. (1)
Contre-indications Enfants de moins de 15 ans. Hypersensibilité à la guaïfénésine ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Composition Contre-indiqué dans les cas suivants : Hypersensibilité guaïfénésine Enfant Déconseillé dans les cas suivants : Intolérance au fructose Syndrome de malabsorption du glucose Syndrome de malabsorption du galactose Déficit en sucrase/isomaltase Grossesse Allaitement Mises en garde spéciales et précautions d'emploi En cas de maladie chronique (au long cours) des bronches ou des poumons un avis médical est indispensable. Le patient doit accompagner le traitement d'efforts volontaires de toux permettant l'expectoration. L'association de mucomodificateurs bronchiques avec des antitussifs et/ou avec des substances asséchant les sécrétions (atropiniques) est irrationnelle. En cas de persistance des symptômes au-delà de 5 jours et/ou fièvre la conduite à tenir devra être réévaluée par un médecin. Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase. Ce médicament contient 5,55 g de saccharose par cuillère à soupe (15 ml), dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol par cuillère à soupe de 15 ml, c'est-à-dire « sans sodium ». Ce médicament contient 5,208 % de volume d'éthanol (alcool), c'est-à-dire jusqu'à 632 mg par cuillère à soupe de 15 ml, ce qui équivaut à 15,6 ml de bière, 6,5 ml de vin par dose. L'utilisation de ce médicament est dangereuse chez les sujets alcooliques et doit être prise en compte chez les femmes enceintes ou allaitant, les enfants et les groupes à haut risque tels que les insuffisants hépatiques ou les épileptiques. Conserver ce produit hors de portée des enfants. Régime hypoglucidique Diabète Alcoolique Insuffisant hépatique Epileptique Troubles digestifs Effets indésirables Possibilité de troubles digestifs tels que: douleurs à l'estomac, nausées, vomissements. Il est conseillé dans ce cas d'interrompre le traitement. Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet :www.ansm.sante.fr. Douleur à l'estomac Nausée Vomissement Fertilité, grossesse et allaitement Grossesse Il n'y a pas d'étude de tératogenèse de la guaïfénésine disponible chez l'animal. En clinique, l'utilisation relativement répandue de la guaïfénésine n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique à ce jour. Toutefois, des études épidémiologiques sont nécessaires pour vérifier l'absence de risque. En conséquence, par mesure de précaution en raison de la présence de guaïfénésine, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse. Allaitement En cas d'allaitement, l'utilisation de ce produit n'est pas recommandée. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Sans objet. Posologie et mode d'administration Posologie Réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 15 ans La durée du traitement doit être courte (limitée à 5 jours). Chez l'adulte la posologie usuelle est de 200 à 400 mg de guaïfénésine par prise (soit 1 à 2 cuillères à soupe de sirop). Dans tous les cas, les prises seront espacées d'au moins 4 heures sans dépasser 1600 mg par jour (soit 8 cuillères mesure). 15 ml = 200 mg = 1 cuillère à soupe. Durée et précautions particulières de conservation Durée de conservation : 3 ans. Précautions particulières de conservation : A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Incompatibilités Sans objet. Surdosage Symptômes: nausées, vomissements. Le traitement est symptomatique avec évacuation digestive et mesures générales de secours. Propriétés pharmacodynamiques Classe pharmacothérapeutique : P1 - EXPECTORANTS, Code ATC: R05C. (R: système respiratoire). Ce médicament en modifiant les sécrétions bronchiques facilite leur évacuation par la toux. Propriétés pharmacocinétiques Absorption La guaïfénésine est rapidement absorbée et métabolisée au niveau hépatique. Élimination Son élimination, principalement urinaire, est pratiquement totale 24 heures après son administration par voie orale. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Aucun effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'a été observé. Données de sécurité préclinique Non renseigné. Précautions particulières d'élimination et de manipulation Bien agiter avant utilisation. Conditions de prescription et de délivrance Médicament non soumis à prescription médicale. Forme pharmaceutique Sirop. Nature et contenu de l'emballage extérieur 120 ml en flacon (verre brun de type III) muni d'un bouchon sécurité enfant (PP). Données technico-réglementaires Code CIP7 3495663 Code CIP13 3400934956638 (Code 13 référent) Code UCD7 9214257 Code UCD13 3400892142579 Code CIS 63320939 Médicament T2A Non Laboratoire titulaire AMM PROCTER GAMBLE PHARM Laboratoire exploitant PROCTER GAMBLE PHARM 163 - 165 QUAI AULAGNIER 92600 ASNIERES SUR SEINE Tel : 01 40 88 55 11 Site Web : https://www.pg.com/fr_FR/ Prix de vente TTC Prix libre Taux de TVA 10.0 % Base de remboursement SS Non remboursé Taux SS 0 % Code Acte pharmacie PHN Médicament d'exception Non Agrément collectivités Non Statut AMM Date AMM 02/02/1999 Rectificatif d'AMM 21/09/2018 Marque VICKS Gamme Expectorant (1)
Contre-indications : Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants du produit. Allergie aux pénicillines ou aux céphalosporines, Mononucléose infectieuse, Antécédent d'hépatite lors de la prise d'un médicament contenant amoxicilline + acide clavulanique Phénylcétonurie (poudres pour suspension buvable : présence d'aspartam). Effets secondaires : Les plus fréquents : Candidoses, Diarrhées, Selles molles, Nausées, Vomissements. Interactions médicamenteuses: Anticoagulants oraux Méthotrexate Probénécide Mycophénolate mofétil Allopurinol (1)
Contre-indications : Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants du produit. Allergie aux pénicillines ou aux céphalosporines, Mononucléose infectieuse, Antécédent d'hépatite lors de la prise d'un médicament contenant amoxicilline + acide clavulanique Phénylcétonurie (poudres pour suspension buvable : présence d'aspartam). Effets secondaires : Les plus fréquents : Candidoses, Diarrhées, Selles molles, Nausées, Vomissements. Interactions médicamenteuses: Anticoagulants oraux Méthotrexate Probénécide Mycophénolate mofétil Allopurinol (1)
Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Allergie povidone Grossesse à partir du 2ème trimestre Allaitement Ce médicament NE DOIT PAS ETRE UTILISE dans les situations suivantes: Ce médicament est généralement déconseillé en association avec des produits spermicides ainsi qu'avec les antiseptiques dérivés du mercure. Mise en garde et précautions d’emplois Réservé à l'adulte Dysfonctionnement thyroïdien Insuffisance rénale Grossesse 1er trimestre En raison de la résorption transmuqueuse de l'iode, l'utilisation prolongée de cette spécialité peut exposer à des effets systémiques (voir rubrique Effets indésirables). Ces effets systémiques sont favorisés par la répétition des applications et en cas d'insuffisance rénale. Eviter un usage prolongé ou répété. Mécanisme d’action : comment ça marche ? Classe pharmacothérapeutique : ANTISEPTIQUE IODE, Code ATC : G01AX11 (G01A: Système génito-urinaire). Antiseptique à large spectre bactéricide, fongicide. La povidone iodée est un iodophore, complexe organique à 10 % environ d'iode disponible actif. Les matières organiques (protéines, sérum, sang...) diminuent l'activité de l'iode libre, forme active de cette spécialité. Les iodophores sont instables à pH alcalin. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Les antiseptiques gynécologiques peuvent inactiver les spermicides locaux et entraver leur activité contraceptive. Compte-tenu des interférences possibles (antagonisme, inactivation), l'emploi simultané ou successif d'antiseptiques est à éviter. Associations déconseillées + spermicides et médicaments utilisés par voie vaginale (antifongiques, antitrichomonas, antibactériens, antiseptiques, antiherpétiques et estrogènes locaux). Tout traitement local vaginal est susceptible d'inactiver une contraception locale spermicide. + antiseptiques mercuriels: Erythème, phlyctènes, voire nécroses cutanéo-muqueuses (formation d'un complexe caustique en cas d'utilisation concomitante d'antiseptiques iodés et mercuriels). L'interaction dépend de la stabilité de l'organo-mercuriel au niveau cutané et de la sensibilité individuelle. Incompatibilités Les iodophores sont instables à pH alcalin. L'association iode/mercuriels est à proscrire (risque de formation de composés caustiques). Inactivé par le thiosulfate de sodium (antidote possible). Comment réagir en cas de surdosage ? En cas de surdosage un dysfonctionnement thyroïdien peut être observé. Le traitement sera symptomatique. BETADINE: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif de la povidone iodée lorsqu'elle est administrée au premier trimestre de la grossesse. La thyroïde foetale commençant à fixer l'iode à partir de 14 semaines d'aménorrhée, aucun retentissement sur la thyroïde foetale n'est attendu en cas d'administrations préalables. La surcharge iodée, très vraisemblable avec l'utilisation prolongée de ce produit passé ce terme, peut entraîner une hypothyroïdie foetale, biologique ou même clinique (goître). En conséquence, l'utilisation prolongée de ce médicament est contre-indiquée à partir du 2ème trimestre. Son utilisation à titre ponctuel ne doit être envisagée que si nécessaire. Allaitement L'iode passe dans le lait à des concentrations supérieures au plasma maternel. En raison du risque d'hypothyroïdie chez le nourrisson, l'allaitement est contre-indiqué en cas de traitement prolongé par ce médicament. Effets indésirables possible du médicament BETADINE Dysfonctionnement thyroïdien Interférence lors de l'exploration fonctionnelle de la thyroïde Irritation vaginale Réaction d'hypersensibilité Urticaire allergique Oedème de Quincke Choc anaphylactique Réaction anaphylactoïde En cas d'administrations répétées et prolongées, il peut se produire une surcharge iodée susceptible d'entraîner un dysfonctionnement thyroïdien et une interférence lors de l'exploration fonctionnelle de la thyroïde. Par ailleurs, peut exister une irritation des muqueuses. Exceptionnellement des réactions d'hypersensibilité: urticaire, oedème de Quincke, choc anaphylactique, réaction anaphylactoïde ont été décrites avec des produits contenant de la povidone dont BETADINE 250 mg, ovule. (1)
Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Hypersensibilité acétylcystéine Nourrisson de moins de 2 ans Phénylcétonurie Intolérance au fructose Allaitement Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Composition. Nourrisson (moins de 2 ans) (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). En raison de la présence d'aspartam, ce médicament est contre-indiqué en cas de phénylcétonurie. Mise en garde et précautions d’emploi Bronchospasme Lésion cutanée Lésion des muqueuses Risque hémorragique Ulcère gastroduodénal Douleur abdominale haute Nausée Vomissement Afficher plus Mises en garde spéciales Les toux productives, qui représentent un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire, sont à respecter. L'association de mucomodificateurs bronchiques avec des antitussifs et/ou des substances asséchant les sécrétions (atropiniques) n'est pas logique. Le traitement par EXOMUC devra être réévalué en cas de persistance ou d'aggravation des symptômes ou de la pathologie. Les mucolytiques peuvent induire un surencombrement bronchique chez le nourrisson. En effet, ses capacités de drainage du mucus bronchique sont limitées, en raison des particularités physiologiques de son arbre respiratoire. Ils ne doivent donc pas être utilisés chez le nourrisson (voir rubriques Contre-indications et Effets indésirables). L'acétylcystéine a un effet dose dépendant sur la libération d'histamine par les mastocytes. Du fait de l'hyperréactivité bronchique des patients asthmatiques, il existe un risque de survenue de bronchospasme chez ces patients traités avec EXOMUC. En cas de survenue de bronchospasme, le traitement doit être arrêté immédiatement. Des réactions cutanées graves telles que le syndrome de Stevens-Johnson et le syndrome de Lyell ont été rapportées très rarement lors de l'administration d'acétylcystéine. Cependant, le rôle de l'acétylcystéine dans la survenue de ces réactions n'a pu être clairement établi. Dans la plupart des cas l'administration concomitante d'au moins un autre médicament suspect, plus probablement responsable de la survenue du syndrome cutanéo-muqueux, a pu être identifié. Par mesure de précaution, en cas d'apparition de lésions cutanées ou muqueuses, le traitement doit être immédiatement interrompu et un médecin doit être consulté. Des études in vitro de la littérature ont montré que l'acétylcystéine entraine une diminution de l'agrégation plaquettaire. La signification clinique de ces observations n'est pas connue. La prudence est recommandée chez les patients à risque hémorragique élevé. Ce médicament contient du sorbitol. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare). Précautions d'emploi La prudence est recommandée chez les sujets atteints d'ulcère gastroduodénal. Mécanisme d’action : comment ça marche ? Classe pharmacothérapeutique : MUCOLYTIQUE (R : Système respiratoire) - code ATC : R05CB01. L'acétylcystéine est un mucomodificateur de type mucolytique. Elle exerce son action sur la phase gel du mucus en rompant les ponts disulfures des glycoprotéines. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… L'association de mucomodificateurs bronchiques avec un antitussif et/ou une substance asséchant les sécrétions (atropiniques) n'est pas logique. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? En cas de surdosage, risque d'apparition de symptômes à type de douleur épigastrique, nausées, vomissements. EXOMUC: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse Les résultats des études réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. Ces données ne permettent pas d'anticiper un effet malformatif dans l'espèce humaine. Allaitement A éviter en l'absence de données disponibles sur le passage dans le lait maternel. Fertilité Il n'existe pas de données sur l'effet de l'acétylcystéine sur la fertilité humaine. Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères sur la fertilité humaine aux doses recommandées (voir rubrique Données de sécurité précliniques). Effets indésirables possible du médicament EXOMUC Hypersensibilité Choc anaphylactique Réaction anaphylactique Réaction anaphylactoïde Risque de surencombrement bronchique chez le nourrisson Risque de surencombrement bronchique chez le patient incapable d'expectoration efficace Bronchospasme Douleur abdominale haute Afficher plus L'évaluation des effets indésirables est généralement basée sur la définition suivante des fréquences de survenue : Très fréquents (≥ 1/10), fréquents (≥ 1/100 à (1)
Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Hypersensibilité bétahistine Phéochromocytome Enfant de moins de 6 ans Enfant de 6 à 18 ans Allaitement Grossesse Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Composition. Phéochromocytome. Mise en garde et précautions d’emploi Asthmatique Antécédent d'ulcère gastroduodénal Vertige paroxystique bénin Vertige en relation avec une affection du système nerveux central Sujet âgé Insuffisant rénal Insuffisant hépatique Chez les asthmatiques, l'administration de bétahistine nécessite une surveillance particulière (risque de bronchoconstriction). Chez les patients ayant un antécédent d'ulcère gastroduodénal, l'administration de bétahistine nécessite une surveillance particulière pendant toute la durée du traitement. La prise du médicament au milieu des repas permet d'éviter des gastralgies. La bétahistine ne constitue pas le traitement adapté des pathologies suivantes : vertige paroxystique bénin, vertige en relation avec une affection du système nerveux central. Mécanisme d’action : comment ça marche ? Classe pharmacothérapeutique : Préparations anti-vertigineuses, code ATC : N07CA01. Mécanisme d'action Le mécanisme d'action de la bétahistine n'est que partiellement connu. Il existe plusieurs hypothèses envisagées sur la base des études chez l'animal et des données chez l'homme : La bétahistine modifie le système histaminergique : la bétahistine agit à la fois comme un agoniste partiel des récepteurs histaminergiques H1 et comme antagoniste des récepteurs histaminergiques H3, également dans le tissu neuronal, et a une action négligeable sur les récepteurs H2. La bétahistine augmente le renouvellement et la libération de l'histamine en bloquant les récepteurs H3 présynaptiques et en réduisant le nombre de récepteurs H3. La bétahistine pourrait augmenter le débit sanguin dans la région cochléaire ainsi que dans tout le cerveau : les essais pharmacologiques chez l'animal ont montré que la circulation dans les stries vasculaires de l'oreille interne, probablement par un relâchement des sphincters précapillaires de la microcirculation de l'oreille interne. Il a été également montré une augmentation par la bétahistine du débit sanguin cérébral chez l'homme. La bétahistine facilite la compensation vestibulaire : la bétahistine accélère la récupération vestibulaire après une neurotomie unilatérale chez l'animal, en favorisant et facilitant la compensation vestibulaire centrale ; cet effet caractérisé par une augmentation du renouvellement et de la libération de l'histamine, est réalisé via l'antagonisme des récepteurs H3. Chez l'homme, le délai de récupération après une neurotomie vestibulaire a également été réduit lors d'un traitement par la bétahistine. modifie les décharges neuronales dans les noyaux vestibulaires : il a été montré que la bétahistine a un effet inhibiteur dose-dépendant sur l'apparition des potentiels d'action au niveau neuronal dans les noyaux vestibulaires médial et latéral. In vitro, la bétahistine facilite la transmission histaminergique par son effet agoniste partiel sur les récepteurs H1, et un effet antagoniste des récepteurs de type H3. La bétahistine diminue l'activité électrique des neurones polysynaptiques des noyaux vestibulaires après administration I.V. chez l'animal. La bétahistine n'a pas d'effet sédatif. Les propriétés pharmacologiques démontrées chez l'animal peuvent contribuer à l'effet thérapeutique de la bétahistine dans le système vestibulaire. Efficacité et sécurité clinique L'efficacité de la bétahistine a été démontrée dans les études cliniques chez des patients atteints de vertiges vestibulaires ou de maladie de Ménière, par une amélioration de la sévérité et de la fréquence des crises de vertige. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Aucune étude d'interaction in vivo n'a été réalisée. D'après les données in vitro, aucune inhibition des enzymes du cytochrome P450 n'est attendue in vivo. Les données in vitro montrent une inhibition du métabolisme de la bétahistine par les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO), incluant les IMAO-B (tels que la sélégéline). Une attention particulière est recommandée lors de l'utilisation concomitante de la bétahistine avec les IMAO (notamment IMAO-B sélectifs). La bétahistine étant un analogue de l'histamine, la prise de bétahistine avec des antihistaminiques peut théoriquement affecter l'efficacité d'un des médicaments. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Quelques cas de surdosage ont été rapportés. Certains patients ont éprouvé des symptômes d'intensité légère à modérée avec des doses allant jusqu'à 640 mg (comme nausées, somnolence, douleurs abdominales). Des complications plus sérieuses (de type convulsion, complication cardiaque ou pulmonaire) ont été observées notamment dans des cas de surdosage volontaire de bétahistine en association avec de fortes doses d'autres médicaments. Le surdosage doit être traité par les mesures correctives habituelles. BETASERC: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse Il n'y a pas de données suffisantes sur l'utilisation de la bétahistine chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects sur la reproduction lors d'une exposition à des doses thérapeutiques cliniquement pertinentes. Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter l'utilisation de la bétahistine pendant la grossesse. Allaitement L'excrétion de la bétahistine dans le lait maternel n'est pas connue. La bétahistine passe dans le lait chez le rat. Les effets observés post-partum dans les études chez l'animal ont été limités à des doses très élevées. L'intérêt d'instaurer un traitement chez la femme qui allaite doit être évalué face aux bénéfices de l'allaitement et aux risques potentiels pour l'enfant. Fertilité Les études sur l'animal n'ont pas montré d'effet sur la fertilité chez le rat. (1)
Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Hypersensibilité povidone Grossesse à partir du 2ème trimestre Allaitement Ce médicament NE DOIT PAS ETRE UTILISE dans les situations suivantes: Ce médicament est généralement déconseillé en association avec des produits spermicides ainsi qu'avec les antiseptiques dérivés du mercure. (1)
Contre-indications MULTIVITAMIN (1)
Contre-indications du médicament GAVISCON Ce médicament ne doit pas être utilisé chez l'enfant qui suit un régime sans sel strict. Attention Il est préférable de consulter un médecin dans les situations suivantes : troubles de la digestion apparaissant pour la première fois, ou si les troubles ont changé récemment ; troubles associés à une perte de poids ; difficulté à avaler ou gêne abdominale persistante. Ce médicament contient du sel (sodium) en quantité notable. Interactions du médicament GAVISCON avec d'autres substances Ce médicament peut diminuer l'absorption de nombreux médicaments. Un délai d'au moins 2 heures (voire 4 heures avec les antibiotiques de la famille des quinolones) doit être respecté entre la prise de ce médicament et celle des autres traitements. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien. Fertilité, grossesse et allaitement Ce médicament ne contient que des substances présumées sans danger pendant la grossesse ou l'allaitement. Néanmoins, ne l'utilisez pas de façon prolongée sans l'avis de votre pharmacien ou de votre médecin. Mode d'emploi et posologie du médicament GAVISCON Prendre ce médicament dans tous les cas après les repas et éventuellement au coucher, ou le donner après les biberons. Il ne doit pas être mélangé aux aliments ou au lait. Les comprimés doivent être très soigneusement croqués. Le sachet doit être malaxé avant son ouverture, et le flacon agité vigoureusement avant chaque emploi. Posologie usuelle : Comprimé : Adulte et enfant de plus de 12 ans : 1 comprimé, 3 ou 4 fois par jour. Suspensions buvables : Adulte : 1 sachet ou 2 cuillères à café de suspension buvable, 3 ou 4 fois par jour. Cette posologie peut être doublée en cas de reflux important. Enfant de 18 mois à 15 ans : 5 ml de suspension buvable Nourrisson après chacun des 4 repas. Nourrisson de 4 à 18 mois : 2,5 ml de suspension buvable Nourrisson après chacun des 4 repas. Nourrisson de 2 à 4 mois : 2 ml de suspension buvable Nourrisson après chacun des 5 repas. Nourrisson de 1 à 2 mois : 1,5 ml de suspension buvable Nourrisson après chacun des 5 repas. Nouveau-né de 0 à 1 mois : 1 ml de suspension buvable Nourrisson après chacun des 6 repas. Chez l'enfant, la suspension buvable Nourrisson (fournie avec une pipette) est plus adaptée, mais les autres suspensions buvables peuvent également être utilisées car leurs concentrations sont identiques. Conseils Il est bon de fractionner les repas, d'éviter la position penchée, d'éviter de s'allonger après les repas et de porter des vêtements trop serrés. La surélévation de la tête du lit est recommandée. Si vous êtes fumeur, la poursuite du tabagisme est un frein important au traitement ; la nicotine augmente l'acidité gastrique et réduit l'efficacité du muscle qui ferme la jonction entre l'œsophage et l'estomac. Le flacon de 250 ml de suspension buvable ne doit être conservé plus de 3 mois après ouverture. Le flacon de 150 ml de suspension Nourrisson ne doit pas être conservé plus de 30 jours après ouverture. Effets indésirables possibles du médicament GAVISCON Constipation. En cas d'usage prolongé de la solution buvable ou des sachets, à forte dose : excès de calcium dans le sang, insuffisance rénale. Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne. Laboratoire Reckitt Benckiser Healthcare France En savoir plus sur https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-bgavis01-GAVISCON.html#bqdhG4gKQTkRr2kQ.99 (1)
Dans quel cas VIAGRA est-il utilisé ? VIAGRA appartient à un groupe de médicaments appelés inhibiteurs de la phosphodestérase de type 5 (PDE5). Son action consiste à aider la relaxation des vaisseaux sanguins du pénis, favorisant l’afflux sanguin dans le pénis, lors d’une excitation sexuelle. VIAGRA aide donc à obtenir une érection uniquement si vous avez une stimulation sexuelle. VIAGRA est un traitement pour les hommes souffrant de troubles de l’érection (également appelés impuissance), c'est-à-dire quand un homme ne peut pas atteindre ou maintenir une érection suffisante pour garantir une activité sexuelle. 2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre VIAGRA ? Il est important de ne pas prendre de VIAGRA dans les cas suivants : - Si vous prenez des médicaments appelés dérivés nitrés, car le cumul des effets peut entraîner une diminution de la pression sanguine, ce qui est potentiellement dangereux. Prévenez votre médecin si vous prenez l’un de ces médicaments qui sont souvent utilisés pour le soulagement des crises d’angine de poitrine (ou angor). En cas de doute, n’hésitez pas à consulter votre médecin ou votre pharmacien. - Si vous utilisez un des médicaments connus comme donneurs d’oxyde nitrique tels que le nitrite d'amyle (connu sous le nom de "poppers"), car l’association peut également entraîner une diminution potentiellement dangereuse de votre pression sanguine. - Si vous êtes allergique au sildénafil ou à l’un des autres composants contenus dans VIAGRA. - Si vous avez des problèmes cardiaques graves ou des problèmes hépatiques. - Si vous souffrez de certaines maladies rares héréditaires des yeux (comme la rétinite pigmentaire). - Si vous avez récemment été victime d’un accident vasculaire cérébral ou d’une crise cardiaque, ou si votre pression sanguine est anormalement basse. - Si vous avez déjà présenté une perte de la vision due à une neuropathie optique ischémique antérieure non artéritique (NOIAN). Attentions particulières avec VIAGRA Informez votre médecin des situations suivantes si vous envisagez de prendre VIAGRA : - Vous avez une drépanocytose (anomalie des globules rouges), une leucémie (cancer des cellules sanguines) ou un myélome multiple (cancer de la moelle osseuse). - Vous avez une déformation du pénis ou la maladie de La Peyronie. - Vous avez des problèmes cardiaques qui n’ont pas encore été évaluées par votre médecin. - Vous souffrez d’un ulcère à l’estomac ou des troubles de la coagulation (tels que l’hémophilie). Vous ne devez pas utiliser VIAGRA en même temps qu’un autre traitement par voie orale ou locale des troubles de l’érection. VIAGRA ne doit pas être administré aux personnes de moins de 18 ans. VIAGRA et les autres médicaments Si vous prenez ou avez-vous pris récemment un autre médicament avec ou sans ordonnance, parlez-en à votre médecin traitant ou votre pharmacien. Les comprimés VIAGRA peuvent en effet interagir avec certains médicaments, notamment ceux utilisés pour l’angine de poitrine. Ainsi, vous ne devez pas prendre VIAGRA si vous prenez des médicaments des médicaments appelés dérivés nitrés, car l’association de ces médicaments peut entraîner une diminution potentiellement dangereuse de votre pression sanguine. Prévenez toujours votre médecin ou votre pharmacien si vous prenez l’un de ces médicaments qui sont souvent utilisés pour le soulagement des crises d’angine de poitrine (ou angor). Vous ne devez pas prendre VIAGRA si vous prenez l’un des médicaments connus comme des donneurs d’oxyde nitrique tels que le nitrite d'amyle (plus connu sous le nom de "poppers") car cette association peut également entraîner une diminution potentiellement dangereuse de votre pression sanguine. Si vous devez prendre des médicaments connus comme étant des inhibiteurs de protéase (c’est notamment le cas au cours du traitement contre le VIH), votre médecin pourrait être amené à débuter votre traitement par la dose la plus faible (25 mg). Certains patients prenant un ou des médicaments alpha-bloquant, pour le traitement d’une pression artérielle élevée ou d’une hypertrophie de la prostate, peuvent ressentir des vertiges ou des sensations d’ébriété, notamment lors du passage rapide à la position assise ou à la position debout. Ces symptômes surviennent le plus souvent dans les 4 heures suivant la prise de VIAGRA. Afin de réduire la probabilité de survenue de ces symptômes, vous devez être traité par une dose quotidienne constante d’alpha-bloquant avant de débuter un traitement par VIAGRA. Votre médecin peut initier votre traitement par VIAGRA à une dose plus faible (25 mg). VIAGRA et les aliments VIAGRA peut être pris au cours ou en dehors des repas mais l’effet est plus lent si vous le prenez avec un repas riche en graisses. Par ailleurs, boire de l’alcool peut temporairement affecter votre capacité à avoir une érection. Pour maximiser les bénéfices de VIAGRA, il vous est donc conseillé d’éviter de boire beaucoup d’alcool avant de prendre un comprimé. VIAGRA, la conduite de véhicules et l’utilisation de machines VIAGRA peut parfois entraîner des étourdissements et affecter la vision. Avant de conduire ou d’utiliser des machines, vous devez connaître la façon dont vous réagissez au médicament. 3. Comment prendre Viagra ? Il faut toujours respecter la posologie indiquée par votre médecin. La dose habituelle d’initiation est de 50 mg. En cas d’incertitude, consultez votre médecin ou votre pharmacien. VIAGRA ne doit pas être utilisé plus d’une fois par jour. Le comprimé doit être avalé en entier avec un verre d’eau environ une heure avant la relation sexuelle. Pour que celui-ci soit efficace, il doit nécessairement y avoir une stimulation sexuelle. Vous pourrez constater que VIAGRA agit plus lentement si vous le prenez lors d’un repas riche en graisses. Vous avez pris plus de VIAGRA que vous n’auriez dû Contactez votre médecin traitant, si vous dépassez la dose prescrite. 4. Quels sont les effets indésirables éventuels ? Comme tous les médicaments, VIAGRA est susceptible d’avoir des effets indésirables, bien que tous les utilisateurs n’y soient pas sujets. Les effets indésirables rapportés avec VIAGRA sont généralement légers à modérés et de courte durée. Des cas d’érections prolongées parfois douloureuses ont été rapportés après la prise de VIAGRA. Si vous avez une érection qui persiste de manière continue pendant plus de 4 heures, il faut absolument consulter un médecin en urgence. VIAGRA peut également provoquer des allergies : contactez immédiatement votre médecin si l’un de ses symptômes se manifeste après la prise du comprimé : difficultés à respirer, sensations vertigineuses, gonflement des paupières, du visage, des lèvres ou de la gorge ou respiration sifflante soudaine. Le mal de tête est un effet indésirable très fréquent (pouvant survenir chez plus d’un patient sur 10). Des effets indésirables fréquents (pouvant survenir chez 1 à 10 patients sur 100) peuvent survenir après la prise de VIAGRA comme des rougeurs du visage, une indigestion, des effets sur la vision (perception de la couleur altérée, moindre sensibilité à la lumière, vision trouble), un nez bouché et des sensations vertigineuses. D’autres effets indésirables peu fréquents (pouvant survenir chez 1 à 10 patients sur 1000) peuvent également survenir. Ils incluent : vomissements, éruptions cutanées, saignements à l’arrière de l’œil, irritation des yeux, yeux injectés de sang/yeux rouges, douleurs aux yeux, vision double, sensations anormales dans l’œil, battements du cœur irréguliers ou accélérés, douleurs musculaires, somnolence, diminution de la sensibilité au toucher, vertiges, tintements d’oreille, nausées, bouche sèche, douleurs à la poitrine et sensation de fatigue. Des effets indésirables rares (pouvant survenir chez 1 à 10 patients sur 10000) ont également été constatés : hypertension, hypotension, évanouissement, accident vasculaire cérébral, saignement de nez et diminution ou perte de l'audition soudaine. Des effets indésirables très rares ont été rapportés après commercialisation : battements du cœur très rapides, douleurs à la poitrine, mort subite, crise cardiaque ou diminution temporaire de l’apport de sang à certaines parties du cerveau. La plupart des hommes qui ont souffert de ces effets indésirables avaient des problèmes cardiaques avant de prendre ce médicament. Il est impossible de déterminer si ces effets sont directement liés à VIAGRA. Des cas de crise d’épilepsie, de convulsion et des réactions cutanées sévères caractérisées par des éruptions cutanées, des cloques et une desquamation de la peau, ont également été rapportés. 5. Comment conserver VIAGRA ? Viagra doit être tenu hors de la portée et de la vue des enfants, et doit être conservé à une température ne dépassant pas 30°C dans son conditionnement d’origine. N’utilisez pas VIAGRA après la date de péremption mentionnée sur la boîte : celle-ci fait référence au dernier jour du mois. Si vous ne l’utilisez pas, ne le jetez pas à la poubelle ou à l’égout. Demandez conseil à votre pharmacien afin de protéger l’environnement. 6. Information supplémentaires à propos de VIAGRA VIAGRA contient une substance active qui est le sildénafil. Chaque comprimé en contient 50 mg sous forme de sel de citrate. Les autres composants sont : cellulose microcristalline, hydrogénophosphate de calcium (anhydre), croscarmellose de sodium, stéarate de magnésium, hypromellose, dioxyde de titane (E171), lactose, triacétine, laque d’aluminium contenant de l’indigotine (E132). A quoi ressemble VIAGRA ? Les comprimés de VIAGRA sont bleus en forme de losange arrondie. Il est écrit « Pfizer » sur une face et « VGR 50 » sur l’autre. Les comprimés sont présentés en plaquettes contenant 2, 4, 8 ou 12 comprimés dans une boite. (1)
Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ? Abstenez-vous d'employer l'association médicamenteuse aténolol - chlorthalidone dans les circonstances ci-après : une allergie à l'aténolol, à la chlorthalidone ou à l'un des ingrédients du médicament ; une allergie aux sulfamides (par ex. le sulfaméthoxazole) ; une grossesse ou la pratique de l'allaitement maternel ; une incapacité à uriner ; la présence d'acidose métabolique ; la présence d'une affection appelée choc cardiogénique ; la présence d'une affection appelée phéochromocytome (en l'absence de blocage alpha) ; la présence d'une affection connue sous le nom d'insuffisance ventriculaire droite provoquée par une hypertension pulmonaire ; la présence d'un bloc cardiaque important, également connu sous le nom de bloc atrioventriculaire (AV) ; la présence de désordres importants des artères périphériques (blocage de la circulation sanguine vers les membres) ; la présence d'insuffisance cardiaque congestive ; la présence du syndrome du dysfonctionnement sinusal ; une pression artérielle très basse ; un rythme cardiaque grandement ralenti ; si vous devez recevoir certains agents anesthésiques avant une intervention chirurgicale. Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ? Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin. Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps. Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien peut être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissent : un assoupissement (léger); une augmentation de la sensibilité cutanée à la lumière du soleil (éruptions cutanées, démangeaisons, rougeurs ou autres décolorations de la peau, coups de soleil importants) ; une diarrhée; une diminution de la capacité sexuelle; des étourdissements ou une sensation de tête légère; de la fatigue; des maux de tête; de la nausée; une sécheresse de la bouche; une toux; des troubles du sommeil. La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux. Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste : une difficulté respiratoire ou une respiration sifflante; une douleur au bas du dos ou dans le côté; une enflure des chevilles, des pieds ou de la partie inférieure des jambes; une éruption cutanée ou de l'urticaire; des étourdissements suivant le passage de la station couchée ou assise à la station debout; un évanouissement; une impression de tourner sur soi-même; des problèmes de mémoire; un ralentissement du rythme cardiaque (en particulier lorsque la fréquence est inférieure à 50 battements par minute); une sensation de froid dans les mains et les pieds; des signes de troubles hépatiques (par ex. des nausées, des vomissements, de la diarrhée, une perte de l'appétit, une perte de poids, un jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine sombre, des selles claires); des symptômes de battements de cœur irréguliers (par ex. une douleur thoracique, des étourdissements, des battements de cœur très forts, un essoufflement). Communiquez avec votre médecin aussitôt que possible si les symptômes suivants se manifestent, car ils peuvent révéler une perte excessive de potassium ou de sodium : des battements de cœur irréguliers ; des changements d'humeur ou de l'instabilité mentale ; de la confusion ; des convulsions ; des crampes ou des douleurs musculaires ; une fatigue ou une faiblesse inaccoutumée ; de l'irritabilité ; de la nausée ou des vomissements ; un pouls faible ; une sécheresse de la bouche ; une soif continue. Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme : une douleur thoracique; des signes de pancréatite (par ex. une douleur sur le côté supérieur gauche de l'abdomen, un mal de dos, des nausées, une fièvre, des frissons, un rythme cardiaque rapide, abdomen gonflé); des signes d'une réaction allergique importante (par ex. des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, des nausées et des vomissements, ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge). Communiquez avec votre médecin aussitôt que possible si les symptômes de surdosage suivants se manifestent : une baisse de la pression artérielle ; des battements de cœur lents ; des ongles ou des paumes bleutés ; des convulsions ; des difficultés respiratoires ; des étourdissements (importants) ou un évanouissement ; une hypoglycémie. Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament. Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ? Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament. Allergies sévères : si vous êtes atteint d'allergies suffisamment importantes pour provoquer de l'anaphylaxie (une réaction allergique grave par laquelle une enflure du visage, des lèvres et de la gorge rend la respiration très laborieuse), discutez avec votre médecin des mesures à prendre si vous subissez une réaction allergique. La prise d'aténolol tout comme la prise d'un autre bêta bloquant peut rendre plus difficile le traitement de la réaction allergique avec l'épinéphrine. Angine de Prinzmetal : l'utilisation d'aténolol peut augmenter le nombre et la durée des crises d'angine pour les personnes atteintes de l'angine de Prinzmetal. Si vous avez cette affection, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Antécédents d'insuffisance cardiaque : Les bêta-bloquants comme l'aténolol peuvent aggraver une insuffisance cardiaque préexistante. Il est important de prendre la combinaison aténolol-chlorthalidone exactement selon les directives de votre médecin afin de prévenir une telle complication. Si vous avez des antécédents d'insuffisance cardiaque, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Arrêt du traitement : ne cessez pas brutalement un traitement avec ce médicament. Les personnes atteintes de maladies cardiaques qui arrêtent subitement de prendre ce médicament peuvent subir des effets secondaires graves comme une accentuation de l'angine, une crise cardiaque ou des anomalies du rythme cardiaque. Si vous êtes atteint d'une maladie cardiaque, ne cessez pas de prendre ce médicament sans consulter votre médecin au préalable. Lorsqu'on doit arrêter de prendre ce médicament, on doit le faire graduellement sous la supervision de son médecin. Diabète : la régulation du taux de sucre sanguin pourrait être plus difficile pour les personnes atteintes de diabète et qui prennent de la chlorthalidone. Les signes attribuables à une baisse du taux de sucre sanguin peuvent ne pas être aussi faciles à déceler lorsqu'on prend de l'aténolol. Il est parfois nécessaire de modifier la dose des médicaments antidiabétiques, y compris l'insuline. Si vous êtes atteint du diabète et que vous prenez de l'insuline ou d'autres médicaments qui agissent sur les taux de sucre sanguins, vous devez mesurer attentivement vos taux de sucre sanguins pendant que vous prenez ce médicament. Équilibre des liquides et des électrolytes: la chlorthalidone peut abaisser les concentrations des électrolytes dans le sang tels que le potassium, le sodium, le magnésium et le chlorure. Si vous ressentez les symptômes généralement associés à un déséquilibre électrolytique comme des douleurs musculaires ou des crampes, une sécheresse de la bouche, un engourdissement des mains, des pieds ou des lèvres, ou des battements de cœur accélérés, prenez contact avec votre médecin au plus vite. Le médecin vous fera régulièrement subir des analyses sanguines pour étudier l'équilibre de vos taux d'électrolytes pendant la prise de ce médicament. Lorsqu'on utilise ce médicament, la prise d'un supplément de potassium peut devenir nécessaire. Fonction hépatique : la maladie hépatique ou la réduction de la fonction hépatique peut provoquer une accumulation de ce médicament dans l'organisme, causant ainsi des effets secondaires. Si votre fonction hépatique est réduite ou si vous êtes atteint d'une maladie hépatique, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée aux personnes souffrant d'une importante réduction de la fonction hépatique. Ce médicament peut également causer une fonction hépatique réduite.Si vous observez la survenue de symptômes de troubles hépatiques comme de la fatigue, une sensation de malaise, une perte de l'appétit, de la nausée, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine foncée, des selles claires, un gonflement ou une douleur abdomi Goutte : il se peut qu'une élévation du taux sanguin d'acide urique se produise ou que des accès de goutte soient provoqués chez certaines personnes qui reçoivent de la chlorthalidone. Si vos articulations deviennent douloureuses, chaudes et enflées ou si vous éprouvez de la difficulté à uriner, communiquez dès que possible avec votre médecin. Hyperthyroïdie (élévation des hormones thyroïdiennes) : les personnes qui sont atteintes d'hyperthyroïdie doivent être suivies pendant qu'elles prennent cette combinaison de médicaments, car il peut atténuer les symptômes de cette affection, ce qui donne une fausse impression d'amélioration. Intervention chirurgicale : si vous devez subir une intervention chirurgicale, informez tous les médecins qui vous soignent que vous prenez un médicament contenant de l'aténolol. Lupus érythémateux aigu disséminé (LEAD): les personnes atteintes du lupus érythémateux aigu disséminé doivent être suivies pendant qu'elles prennent de la chlorthalidone, car ce médicament peut aggraver leur affection. Somnolence ou vigilance réduite : lorsqu'on commence à prendre ce médicament, il est possible que des étourdissements ou de la fatigue se produisent. Cela peut nuire à votre capacité de conduire un véhicule ou à manœuvrer de la machinerie. Évitez d'effectuer ces activités jusqu'à ce que vous sachiez comment le médicament agit ainsi sur vous. Taux de cholestérol : la chlorthalidone pourrait être à l'origine d'une élévation du taux de cholestérol et de triglycérides. Demandez à votre médecin si vous devez faire mesurer vos taux de cholestérol. Troubles respiratoires : de manière générale, les personnes qui souffrent d'asthme ou d'autres problèmes respiratoires devraient éviter de prendre des bêtabloquants comme l'aténolol, car ces médicaments peuvent causer des difficultés respiratoires. De faibles doses d'aténolol peuvent être prises par certaines personnes atteintes d'asthme qui ne répondent pas ou qui ne peuvent tolérer les autres formes de traitement, mais ces personnes doivent être suivies de près par leur médecin. Si vous avez des problèmes respiratoires, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Grossesse : ce médicament peut causer des lésions à un bébé en développement s'il est pris par sa mère pendant sa grossesse. Il ne devrait pas s'employer durant la grossesse. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement. Allaitement : l'aténolol et la chlorthalidone sont tous deux transmis dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement. Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants. Son utilisation par les enfants n'est pas recommandée. D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ? Il pourrait se produire une interaction entre l'association médicamenteuse aténolol - chlorthalidone et l'un des agents ci-après: agonistes alpha (par ex. la clonidine, le méthyldopa); alcool; aliskirène; alphabloquants (par ex. l'alfuzosine, la doxazosine, la tamsulosine); amiodarone; analgésiques narcotiques (par ex. la morphine, la codéine); antagonistes du calcium (par ex. l'amlodipine, le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil); anticholinergiques (par ex. l'atropine, l'hyoscyamine); antidiabétiques (par ex. le chlorpropamide, le glipizide, le glyburide, l'insuline, la metformine, le natéglinide, la rosiglitazone); antihistaminiques (par ex. la cétirizine, la doxylamine, la diphenhydramine, l'hydroxyzine, la loratadine); anti-inflammatoires non stéroïdiens (par ex. le diclofénac, l'ibuprofène ou le naproxène); antipsychotiques (par ex. la chlorpromazine, la clozapine, l'halopéridol, l'olanzapine, la quétiapine, la rispéridone); azélastine; barbituriques (par ex. le butalbital, le pentobarbital, le phénobarbital); belladone; benztropine; bêta-2 agonistes (par ex. le salbutamol, le formotérol, la terbutaline); brimonidine; carbamazépine; ceritinib; corticostéroïdes en inhalation (par ex. le budésonide, le ciclésonide, la fluticasone); corticostéroïdes oraux (par ex. la dexaméthasone, l'hydrocortisone, la prednisone); cyclobenzaprine; cyclophosphamide; d'autres bêta bloquants (par ex. l'aténolol, le propranolol, le sotalol); d'autres diurétiques, « pilules qui augmentent l'excrétion de l'urine » (par ex. le furosémide, l'hydrochlorothiazide, le triamtérène); dérivés nitrés (par ex. la nitroglycérine, le dinitrate d'isosorbide, le mononitrate d'isosorbide); des médicaments contenant de l'ergot de seigle (par ex. la cabergoline, la dihydroergotamine, l'ergonovine); digoxine; dipyridamole; disopyramide; donépézil; dronédarone; duloxétine; épinéphrine; fingolimod; flavoxate; flécaïnide; galantamine; glycopyrrolate; guanéthidine; inhibiteurs de la phosphodiestérase-5 (par ex. le sildénafil, le tadalafil, le vardénafil); inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS; par ex. le citalopram, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline); ipratropium; kétotifène; lacosamide; lanréotide; lévodopa; l'extrait de pollen de graminées; lidocaïne; lithium; méthylphénidate; mexilétine; minoxidil; octreodtide; orphénadrine; oxcarbazépine; oxybutynine; pasiréotide; pentoxifylline; pilocarpine; propafénone; quinidine; réglisse; régorafenib; réserpine; rivastigmine; scopolamine; séquestrants des acides biliaires (par ex. la cholestyramine, le colésévélam, le colestipol); suppléments de calcium (par ex. le carbonate de calcium, le citrate de calcium); théophyllines (par ex. l'aminophylline, l'oxtriphylline, la théophylline); tiotropium; tizanidine; tofacitinib; toltérodine; topiramate. Si vous prenez l'un des médicaments ci-dessus, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de : cesser la prise de l'un des médicaments ; remplacer l'un des médicaments par un autre ; modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux ; ne rien changer du tout. L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses. D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments. Tous les contenus sont la propriété de MediResource Inc. 1996 – 2019. Conditions d’utilisation. Les contenus présents ne sont destinés qu’à des fins d’information. Demandez toujours l’avis de votre médecin ou d’un autre professionnel de la santé qualifié sur des questions relatives à une affection médicale. Source : santecheznous.com/drug/getdrug/Tenoretic (1)
Dans quels cas le médicament BETADINE SCRUB est-il utilisé ? Remarque: les agents à visée antiseptique ne sont pas stérilisants: ils réduisent temporairement le nombre des micro-organismes. Pathologies pour lesquelles ce médicament peut être prescrit Affection de la peau et des muqueuses primitivement bactérienne Affection de la peau et des muqueuses susceptible de se surinfecter Antisepsie des mains du personnel soignant Antisepsie des mains du chirurgien Lavage antiseptique pré-opératoire Mode d’administration et posologie du médicament BETADINE SCRUB Voie cutanée. Pour le lavage hygiénique des mains, le produit s'utilise pur à raison de 4 ml versés sur les mains préalablement mouillées. Frotter pendant 1 mn et rincer soigneusement à l'eau. Pour le lavage chirurgical des mains, renouveler ce protocole pendant 3 à 5 mn, sur les mains et les avant-bras. Pour la détersion des plaies souillées, utiliser le produit dilué au tiers. Rincer soigneusement à l'eau. Préparation de l'opéré: La préparation de l'opéré doit être effectuée moins de deux heures avant l'intervention. Une douche est pratiquée le matin de l'intervention avec le produit pur: o Frotter la tête et les cheveux avec 10 ml de BETADINE SCRUB 4 %, jusqu'à décoloration de la mousse. Ne pas rincer. o Frotter jusqu'à décoloration de la mousse le tronc et les membres supérieurs avec 10 ml de BETADINE SCRUB 4 % en insistant au niveau des aisselles et du nombril. Ne pas rincer. o Frotter jusqu'à décoloration de la mousse la région génitale et les membres inférieurs avec 10 ml de BETADINE SCRUB 4 %, en insistant au niveau des organes génitaux, du pli interfessier et entre les orteils. Ne pas rincer. o Rincer abondamment l'ensemble du corps. (1)
Dans quels cas le médicament BETAMETHASONE ZENTIVA est-il utilisé ? AFFECTIONS OU MALADIES : I-COLLAGENOSES-CONNECTIVITES Poussées évolutives de maladies systémiques, notamment : lupus érythémateux disséminé, vascularite, polymyosite, sarcoïdose viscérale. II-DERMATOLOGIQUES a-dermatoses bulleuses auto-immunes sévères, en particulier pemphigus et pemphigoïde bulleuse ; b-formes graves des angiomes du nourrisson ; c-certaines formes de lichen plan ; d-certaines urticaires aiguës ; e-formes graves de dermatoses neutrophiliques. III- DIGESTIVES a-poussées évolutives de la rectocolite hémorragique et de la maladie de Crohn ; b-hépatite chronique active auto-immune (avec ou sans cirrhose) ; c-hépatite alcoolique aiguë sévère, histologiquement prouvée. IV-ENDOCRINIENNES a-thyroïdite subaiguë de De Quervain sévère ; b-certaines hypercalcémies. V- HÉMATOLOGIQUES a-purpuras thrombopéniques immunologiques sévères ; b-anémies hémolytiques auto-immunes ; c-en association avec diverses chimiothérapies dans le traitement d'hémopathies malignes lymphoïdes ; d-érythroblastopénies chroniques acquises ou congénitales. VI-INFECTIEUSES a-péricardite tuberculeuse et formes graves de tuberculose mettant en jeu le pronostic vital ; b-pneumopathie à Pneumocystis carinii avec hypoxie sévère. VII-NÉOPLASIQUES a-traitement anti-émétique au cours des chimiothérapies antinéoplasiques ; b-poussée oedémateuse et inflammatoire associée aux traitements antinéoplasiques (radio et chimiothérapie). VIII-NEPHROLOGIQUES a-syndrome néphrotique à lésions glomérulaires minimes ; b-syndrome néphrotique des hyalinoses segmentaires et focales primitives ; c-stade III et IV de la néphropathie lupique ; d-sarcoïdose granulomateuse intrarénale ; e-vascularites avec atteinte rénale ; f-glomérulonéphrites extra-capillaires primitives. IX-NEUROLOGIQUES a-myasthénie ; b-oedème cérébral de cause tumorale ; c-polyradiculonévrite chronique, idiopathique, inflammatoire ; d-spasme infantile (syndrome de West) / syndrome de Lennox-Gastaut ; e-sclérose en plaques en poussée, en relais d'une corticothérapie intraveineuse. X-OPHTALMOLOGIQUES a-uvéite antérieure et postérieure sévère ; b-exophtalmies oedémateuses ; c-certaines neuropathies optiques, en relais d'une corticothérapie intraveineuse (dans cette indication, la voie orale en première intention est déconseillée). XI-ORL a-certaines otites séreuses ; b-polypose nasosinusienne ; c-certaines sinusites aiguës ou chroniques ; d-rhinites allergiques saisonnières en cure courte ; e-laryngite aiguë striduleuse (laryngite sous-glottique) chez l'enfant. XII-RESPIRATOIRES a-asthme persistant de préférence en cure courte en cas d'échec du traitement par voie inhalée à fortes doses ; b-exacerbations d'asthme, en particulier asthme aigu grave ; c-bronchopneumopathie chronique obstructive en évaluation de la réversibilité du syndrome obstructif d-sarcoïdose évolutive ; e-fibroses pulmonaires interstitielles diffuses. XIII-RHUMATOLOGIQUES a-polyarthrite rhumatoïde et certaines polyarthrites ; b-pseudopolyarthrite rhizomélique et maladie de Horton ; c-rhumatisme articulaire aigu ; d-névralgies cervico-brachiales sévères et rebelles. XIV-TRANSPLANTATION D'ORGANE ET DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOIETIQUES ALLOGENIQUES a-prophylaxie ou traitement du rejet de greffe ; b-prophylaxie ou traitement de la réaction du greffon contre l'hôte. Pathologies pour lesquelles ce médicament peut être prescrit Lupus érythémateux disséminé Vascularite systémique Polymyosite Sarcoïdose viscérale Pemphigus bulleux Pemphigoïde bulleuse Angiome du nourrisson Lichen plan Urticaire aiguë Dermatose neutrophilique Rectocolite hémorragique Maladie de Crohn Hépatite chronique active auto-immune Hépatite alcoolique aiguë sévère Thyroïdite subaiguë de De Quervain sévère Hypercalcémie Purpura thrombopénique immunologique sévère Anémie hémolytique auto-immune Hémopathie maligne lymphoïde Erythroblastopénie chronique acquise Erythroblastopénie chronique congénitale Péricardite tuberculeuse Tuberculose mettant en jeu le pronostic vital Pneumopathie à Pneumocystis carinii avec hypoxie sévère Traitement antiémétique au cours des chimiothérapies antinéoplasiques Poussée oedémateuse et inflammatoire associée au traitement antinéoplasique Syndrome néphrotique à lésions glomérulaires minimes Syndrome néphrotique des hyalinoses segmentaires et focales primitives Néphropathie lupique Sarcoïdose granulomateuse intrarénale Vascularite avec atteinte rénale Glomérulonéphrite extracapillaire primitive Myasthénie Oedème cérébral tumoral Polyradiculonévrite chronique Syndrome de West Syndrome de Lennox-Gastaut Sclérose en plaques en poussée Uvéite antérieure Uvéite postérieure Exophtalmie oedémateuse Neuropathie optique Otite séreuse Polypose nasosinusienne Sinusite aiguë Sinusite chronique Rhinite allergique saisonnière Laryngite sous-glottique Asthme persistant Asthme aigu grave Bronchopneumopathie chronique obstructive Sarcoïdose évolutive Fibrose pulmonaire interstitielle diffuse Polyarthrite rhumatoïde Polyarthrite Pseudopolyarthrite rhizomélique Maladie de Horton Rhumatisme articulaire aigu Névralgie cervico-brachiale Rejet de greffe Réaction du greffon contre l'hôte (1)
Dans quels cas le médicament GALVUS est-il utilisé ? La vildagliptine est indiquée dans le traitement du diabète de type 2 chez l'adulte: En monothérapie - chez les patients dont le contrôle glycémique est insuffisant malgré un régime alimentaire et l'exercice physique seuls et pour lesquels la metformine n'est pas appropriée en raison d'une intolérance ou d'une contre-indication. En bithérapie orale, en association avec - la metformine, chez les patients dont le contrôle glycémique est insuffisant malgré une dose maximale tolérée de metformine en monothérapie, - un sulfamide hypoglycémiant, chez les patients dont le contrôle glycémique est insuffisant malgré une dose maximale tolérée de sulfamide hypoglycémiant, et pour lesquels la metformine n'est pas appropriée en raison d'une intolérance ou d'une contre-indication, - une thiazolidinedione, chez les patients dont le contrôle glycémique est insuffisant et pour lesquels l'utilisation d'une thiazolidinedione est appropriée. En trithérapie orale, en association avec - un sulfamide hypoglycémiant et la metformine lorsqu'une bithérapie avec ces médicaments et un régime alimentaire et l'exercice physique ne permettent pas un contrôle glycémique suffisant. La vildagliptine est également indiquée en association à l'insuline (avec ou sans metformine) lorsqu'une dose stable d'insuline avec un régime alimentaire et l'exercice physique ne permet pas un contrôle glycémique suffisant. Pathologies pour lesquelles ce médicament peut être prescrit Diabète de type 2 Mode d’administration et posologie du médicament GALVUS Posologie Adultes En monothérapie, en association à la metformine, en association à une thiazolidinedione, en association à la metformine et un sulfamide hypoglycémiant ou en association à l'insuline (avec ou sans metformine), la dose quotidienne recommandée de vildagliptine est de 100 mg, administrée en une dose de 50 mg le matin et une dose de 50 mg le soir. En association à un sulfamide hypoglycémiant, la dose recommandée de vildagliptine est de 50 mg par jour en une prise le matin. Chez ces patients, 100 mg de vildagliptine par jour n'est pas plus efficace que 50 mg de vildagliptine une fois par jour. En cas d'utilisation en association avec un sulfamide hypoglycémiant, une dose plus faible de sulfamide hypoglycémiant peut être envisagée pour réduire le risque d'hypoglycémie. Les doses supérieures à 100 mg ne sont pas recommandées. Si la prise de Galvus a été oubliée, elle devra être prise dès que le patient s'en souvient. Une dose double ne doit pas être prise le même jour. La sécurité et l'efficacité de la vildagliptine et de la metformine en association triple avec une thiazolidinedione n'ont pas été établies. Informations supplémentaires dans les populations particulières Sujets âgés (65 ans et plus) Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients âgés (voir également rubriques Propriétés pharmacodynamiques et Propriétés pharmacocinétiques). Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ≥ 50 ml/min). Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère ou une insuffisance rénale terminale (IRT), la dose recommandée de Galvus est de 50 mg une fois par jour (voir également rubriques Mises en garde et précautions d'emploi, Propriétés pharmacodynamiques et Propriétés pharmacocinétiques). Insuffisance hépatique Galvus ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une insuffisance hépatique, incluant les patients présentant des taux d'alanine aminotransférase (ALAT) ou d'aspartate aminotransférase (ASAT) avant traitement supérieurs à 3 fois la limite supérieure à la normale (LSN) (voir également rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques). Population pédiatrique Galvus ne doit pas être utilisé chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans. La sécurité et l'efficacité de Galvus chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible (voir également rubrique Propriétés pharmacodynamiques). Mode d'administration Voie orale. Galvus peut être administré pendant ou en dehors des repas (voir également rubrique Propriétés pharmacocinétiques). Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Les patients présentant des effets indésirables à type de sensations vertigineuses doivent éviter de conduire des véhicules ou d'utiliser des machines. Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Hypersensibilité vildagliptine Insuffisance hépatique ALAT ou ASAT > 3 LSN Enfant de moins de 18 ans Grossesse Allaitement Intolérance au galactose Déficit en lactaseAfficher plus Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Composition. Mise en garde et précautions d’emploi Insuffisance rénale (Clcr (1)
Des précautions sont nécessaires avec d’autres médicaments pris en même temps que TEGRETOL. TEGRETOL 20 mg/ml, suspension buvable avec des aliments, boissons et de l’alcool Si vous prenez ce médicament, il est déconseillé de consommer : · du pamplemousse (jus et fruit), · de l’alcool ou des boissons alcoolisées. Grossesse et allaitement Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. TEGRETOL ne doit pas être utilisé pendant la grossesse et chez les femmes en âge d’avoir des enfants sauf en l’absence d’alternative moins à risque pour l’enfant à naître. N’interrompez pas brutalement votre traitement, ceci pourrait entraîner la réapparition des crises, qui auraient des conséquences graves pour vous et/ou votre enfant à naître. Dans la population générale, le risque qu’un enfant naisse avec une malformation est de 2-3%. Ce risque est augmenté jusqu’à 3 fois chez les femmes prenant ce médicament, avec en particulier des spina bifida (malformation osseuse de la colonne vertébrale), des malformations du cœur, de la face, de la lèvre supérieure et du palais, du crâne, de l’orifice de l’urètre (hypospadias), des doigts. Des troubles neuro-développementaux ont été rapportés chez des enfants exposés à la carbamazépine pendant la grossesse. Les études sur ce risque sont contradictoires, mais ne permettent pas de l’exclure. Femmes en âge d’avoir des enfants : · Avant de commencer le traitement, votre médecin s’assurera que vous n’êtes pas enceinte. Vous devez utiliser une contraception efficace pendant le traitement et jusqu’à 1 mois après l’arrêt. Ce médicament peut rendre inefficace les contraceptifs oraux (pilule contraceptive), dans ce cas, il faudra utiliser une méthode contraceptive additionnelle de type mécanique (par exemple un préservatif) et poursuivre un cycle après l’arrêt de la carbamazépine. Pour cela, demandez conseil à votre médecin. · En cas de désir de grossesse, n’interrompez pas votre contraceptif ou votre traitement avant d'en avoir parlé avec votre médecin spécialiste. Il mettra en place les mesures nécessaires pour que votre grossesse se déroule au mieux pour vous et l'enfant à naître. Si vous découvrez que vous êtes enceinte, pensez être enceinte ou envisagez une grossesse : · N'interrompez pas brutalement votre traitement et contactez immédiatement votre médecin. · Votre médecin envisagera un arrêt du traitement ou jugera de l'utilité éventuelle de le poursuivre en l’absence d’alternative moins à risque pour l’enfant à naître, auquel cas : o pendant la grossesse, votre médecin adaptera la dose pour obtenir la dose minimale qui est efficace pour vous et mettra en place une surveillance spécialisée adaptée à votre maladie et au suivi de votre enfant à naître. o avant l’accouchement : votre médecin vous prescrira certaines vitamines pour éviter que ce médicament ne provoque des saignements durant les premiers jours de vie ou des troubles dans la formation des os de votre bébé. o après l’accouchement : une injection de vitamine K pourra également être prescrite à votre bébé, à la naissance, pour éviter des saignements. o chez l’enfant : prévenez le(s) médecin(s) qui suivra(ont) votre enfant que vous avez été traitée par carbamazépine pendant votre grossesse. Il(s) mettra(ont) en place un suivi rapproché du développement neurologique de votre enfant afin de lui apporter des soins spécialisés le plus tôt possible, si nécessaire. Allaitement TEGRETOL passe dans le lait maternel. Des troubles du foie pourraient survenir chez les nouveau-nés allaités. Il est déconseillé d’allaiter votre enfant durant le traitement. Conduite de véhicules et utilisation de machines Ce médicament peut provoquer des étourdissements, une somnolence, des sensations vertigineuses, un trouble de la coordination des mouvements, des troubles de la vue. Il est déconseillé de conduire si vous ressentez ces effets. TEGRETOL 20 mg/ml, suspension buvable contient du sorbitol, du parahydroxybenzoate de méthyle et du parahydroxybenzoate de propyle 3. COMMENT PRENDRE TEGRETOL 20 mg/ml, suspension buvable ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Posologie · Respectez l’ordonnance de votre médecin. La dose à utiliser est déterminée par votre médecin. Elle est strictement individuelle. · La seringue pour administration orale utilisée pour prélever la dose correcte de suspension est graduée en millilitres. La dose que votre médecin vous a prescrite doit être indiquée en millilitres (ml). Si votre prescription a été rédigée en milligrammes (mg), contactez votre médecin ou votre pharmacien. · Suivez régulièrement le traitement. Ne le modifiez pas et ne l’arrêtez pas brutalement sans prévenir votre médecin auparavant. Mode d’administration Lisez attentivement les instructions suivantes afin de prélever et administrer la suspension buvable de TEGRETOL correctement. (1)
Destiné aux enfants dès l'âge de 7 ans. Il est recommandé à votre enfant d'effectuer un brossage des dents 2 à 3 fois par jour. En cas d'utilisation chez l'enfant de 6 ans ou moins : utilisez une petite quantité de dentifrice (l'équivalent de la taille d'un petit pois), tout en surveillant votre enfant durant le brossage de ses dents. (1)
Dissoudre un comprimé dans toutes les boissons chaudes ou froides. (1)
Dosage Instill a drop in the conjunctival cul-de-sac three times a day. Use in children : In children, long-term continuous treatment with corticosteroids should be avoided because of a possible risk of adrenal insufficiency Composition The active substance is fluorometholone (1 mg / ml). The other ingredients are: benzalkonium chloride, sodium dihydrogenphosphate, monohydrate, disodium phosphate anhydrous, polysorbate 80, sodium chloride, edetate, disodium, polyvinyl alcohol, hypromellose, sodium hydroxide and / or hydrochloric acid, concentrated and purified water. Side effects Blurred vision Eye pain, discomfort or irritation Eye redness A feeling that something is in the eye Increased pressure within the eye(s) Increased tearing Change in taste sensation For more information, read the leaflet inside, or contact your pharmacist or doctor. (1)
Dosage Infants in first month: Half a 5ml spoonful three times daily as required Infants over one month and up to one year: One 5ml spoonful three times daily as required Active Ingredients Each 5ml contains: Oil of Dill 2.5 mcl Strong Tincture of Ginger 10 mcl Sodium Bicarbonate 50mg (1)
Dosage Les pharmacies partenaires proposent Flagyl en ligne en diverses variantes et dosages. Un médecin décide de la posologie du médicament. A moins qu'un médecin ne décide différemment, le dosage pour le traitement d'infections généralisées est le suivant : Adultes: trois fois par jour 1 comprimé à 500 mg, pendant la durée prescrite. N'utiliser pas Flagyl pendant plus de 10 jours consécutifs. Pour le traitement d'autres maladies et pour une utilisation par des enfants, la posologie est différente. La solution buvable et les ovules exigent également une autre posologie. Lisez la notice avant de commencer l'utilisation. Effets secondaires Flagyl peut parfois causer des effets secondaires, notamment: des troubles gastro-intestinaux ; un gout métallique dans la bouche; des aphtes dans la bouche; une langue blanche ou décolorée. Si vous souffrez fortement d'effets secondaires, consultez un médecin. Vous trouverez plus d'informations à propos des effets secondaires dans la notice d'utilisation. Dans quels cas ne pas utiliser ce médicament? Flagyl n'est pas approprié pour tout le monde. N'utilisez pas ce médicament si vous : êtes hypersensible au métronidazole ou à l'une des substances utilisées; avez des troubles sanguins; souffrez de troubles neurologiques. Consultez un médecin quant à l'utilisation de Flagyl si vous souffrez d'autres problèmes de santé ou si vous utilisez d'autres médicaments. Vous trouverez plus d'informations à propos des contre-indications et des autres avertissements dans la notice. Grossesse/ conduite / alcool N'utilisez pas Flagyl, ou seulement sur l'avis d'un médecin, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez. Ne participez pas à la circulation si vous souffrez d'effets secondaires comme des étourdissements ou une somnolence. Ne consommez pas d'alcool aussi longtemps que vous prenez Flagyl et jusqu'à 48 heures après la dernière prise. L'alcool en combinaison avec Flagyl peut causer des effets secondaires graves. (1)
Dosage et administration Le suppositoire Zalain est administré aussi profondément que possible dans le vagin une fois par jour, de préférence le soir avant le coucher. En règle générale, une seule dose du médicament suffit pour une guérison complète. Dans le cas d'une forme récurrente de la maladie, il est recommandé de renommer le médicament après 7 jours. Les suppositoires vaginaux Zalain peuvent être utilisés pendant la menstruation. Avant d'utiliser le médicament, les organes génitaux externes doivent être lavés avec un savon neutre ou alcalin. Crème Zalain appliquer 1-2 fois par jour jusqu'à la disparition complète des symptômes de la maladie. Pour prévenir les récidives, il est recommandé de poursuivre le traitement pendant deux semaines après la disparition des manifestations de la maladie. Appliquez une fine couche de crème non seulement sur la zone de peau touchée, mais également sur une petite zone proche de celle-ci. La crème de traitement Zalain devrait commencer par l'apparition des premiers symptômes de la maladie. La durée du traitement dépend de la localisation de la lésion et du type d'agent pathogène. Le traitement recommandé est de 4 semaines, les manifestations de la maladie disparaissent généralement en 2 à 4 semaines. Effets secondaires Les effets secondaires possibles de l’utilisation des suppositoires vaginaux Zalain incluent des réactions allergiques. Rarement, démangeaisons et sensation de brûlure dans le vagin, qui, en général, se transmettent par elles-mêmes et ne nécessitent pas l’arrêt du traitement médicamenteux. Ces manifestations sont caractéristiques des moyens d'utilisation locale et indiquent l'efficacité de leurs actions. Lors de l'application de la crème Zalain, il est possible de développer des réactions érythémateuses passagères, ne nécessitant pas l'annulation du traitement. Parfois, il peut y avoir des réactions locales sous la forme d'une dermatite de contact. Instructions spéciales En cas de vulvite à candidose, il est recommandé de traiter simultanément les suppositoires vaginaux et la crème Zalain. Pour prévenir la réinfection urogénitale, le partenaire sexuel doit être traité. Au cours de l’usage de drogues, Zalain a recommandé de s’abstenir de tout contact sexuel. L’utilisation simultanée des contraceptifs Zalain et barrière entraîne un risque d’endommagement (rupture du préservatif ou du diaphragme). L'utilisation de crèmes et de suppositoires vaginaux Zalain pendant la grossesse et l'allaitement n'a pas été suffisamment étudiée. Par conséquent, leur nomination au cours de cette période n'est justifiée que si l'effet du traitement dépasse le risque lié à son utilisation. Réception Zalain n'affecte pas la capacité d'effectuer des activités nécessitant des réactions psychomotrices et une concentration à haute vitesse, notamment la conduite de véhicules. Les analogues Analogues de suppositoires vaginaux Zalain comprennent des médicaments tels que Sertaconazole, Sertamikol. Crème analogique Zalain - Crème de Sertamicol. Termes et conditions de stockage Il est recommandé de stocker les suppositoires et la crème Zalain dans des endroits inaccessibles pour les enfants, à une température de 15 à 25ºC. La durée de vie ne doit pas dépasser trois ans. (1)
Dosage: Single dose (1)
Dosages of Spiriva varies by patient. Use Spiriva exactly as prescribed by your doctor and/or the directions on your prescription label. Do not take the capsule by mouth. You should only use the Spiriva capsule in the HandiHaler device. Use only one capsule at a time in the Spiriva HandiHaler device. The usual dose of this medicine is 2 inhalations of the HandiHaler through the mouth once daily. If you suspect you may have overdosed on Spiriva, or are having an allergic reaction the medication, seek medical attention immediately. (1)
EAN: 9002260020591 Manufacturer: Sandoz Pharmaceuticals Gmbh, Bruckmühl, Germany, www.sandoz.com Parametry SUKL název EXODERIL 10MG/ML DRM SOL 1X10ML SUKL kód 0072928 (1)
EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent Paracétamol Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous. Vous devez toujours prendre ce médicament en suivant scrupuleusement les informations fournies dans cette notice ou par votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. · Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire. · Adressez-vous à votre pharmacien pour tout conseil ou information. · Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4. · Vous devez vous adresser à votre médecin si vous ne ressentez aucune amélioration ou si vous vous sentez moins bien après 3 jours en cas de fièvre, ou 5 jours en cas de douleur. NE LAISSEZ PAS CE MÉDICAMENT À LA PORTÉE DES ENFANTS. Que contient cette notice ? 1. Qu'est-ce que EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent et dans quels cas est-il utilisé ? 2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent ? 3. Comment prendre EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent ? 4. Quels sont les effets indésirables éventuels ? 5. Comment conserver EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent ? 6. Contenu de l’emballage et autres informations. 1. QU’EST-CE QUE EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE ? Classe pharmacothérapeutique : AUTRES ANALGESIQUES et ANTIPYRÉTIQUES-ANILIDES Code ATC : N02BE01. Ce médicament contient du paracétamol : un antalgique (calme la douleur) et un antipyrétique (fait baisser la fièvre). Il est indiqué en cas de douleur et/ou fièvre telles que maux de tête, états grippaux, douleurs dentaires, courbatures, règles douloureuses. Cette présentation est réservée à l'adulte et à l'enfant à partir de 50 kg (à partir d'environ 15 ans) : lire attentivement la rubrique « Posologie ». Pour les enfants ayant un poids inférieur à 50 kg (environ 15 ans), il existe d'autres présentations de paracétamol : demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien. Vous devez vous adresser à votre médecin si vous ne ressentez aucune amélioration ou si vous vous sentez moins bien après 3 jours en cas de fièvre, ou 5 jours en cas de douleur. 2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent ? Ne prenez jamais EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent : · si vous êtes allergique au paracétamol ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionné dans la rubrique 6, · si vous avez une maladie grave du foie, · enfant de moins de 50 kg (environ 15 ans). EN CAS DE DOUTE, IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent. En cas de surdosage ou de prise par erreur d'une dose trop élevée, consultez immédiatement votre médecin. Ce médicament contient du paracétamol. D'autres médicaments en contiennent. Vérifiez que vous ne prenez pas d'autres médicaments contenant du paracétamol, y compris si ce sont des médicaments obtenus sans prescription. Ne les associez pas, afin de ne pas dépasser la dose quotidienne recommandée (voir Section 3 « Comment prendre EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent ? »). · Si la douleur persiste plus de 5 jours ou la fièvre plus de 3 jours, ou en cas d'efficacité insuffisante ou de survenue de tout autre signe, ne pas continuer le traitement sans l'avis de votre médecin. Informez votre médecin ou votre pharmacien avant de prendre ce médicament si une des conditions suivantes s'applique à vous : · Si vous êtes un adulte et vous pesez moins de 50 kg, · Si vous prenez d’autres médicaments contenant du paracétamol (médicaments obtenus sans ordonnance), · Si vous avez une maladie du foie ou des reins, · Si vous êtes atteints du syndrome de Gilbert (jaunisse familiale non hémolytique), · Ou en cas d’abus d’alcool, · Si vous avez des problèmes de nutrition (malnutrition) (réserves basses en glutathion hépatique), anorexie ou cachexie (perte de poids importante), · Si vous êtes déshydraté. · Si vous souffrez d’une hépatite virale aiguë ou en cas de découverte d’une hépatite virale aiguë pendant votre traitement avec EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent, parlez-en à votre médecin. Votre traitement pourrait être suspendu par votre médecin. EN CAS DE DOUTE, NE PAS HÉSITER À DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MÉDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Enfants et adolescents Chez un enfant traité par du paracétamol, l'association d'un autre médicament utilisé pour faire baisser la fièvre (antipyrétique) n'est justifiée qu'en cas d'inefficacité. L’association ne doit être instaurée et surveillée que par un médecin. Autres médicaments et EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. Vous devez contacter votre médecin si vous prenez un médicament qui ralentit la coagulation (anticoagulants oraux). A fortes doses, EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent peut augmenter l'action de votre anticoagulant. Si nécessaire, votre médecin adaptera la posologie de votre anticoagulant. Vous devez contacter votre médecin si vous prenez de la flucloxacilline (antibiotique de la classe des pénicillines) en raison du risque accru d’acidose métabolique, en particulier si vous présentez un facteur de risque de déficit en glutathion tel qu’une insuffisance rénale sévère, un sepsis (infection générale grave de l'organisme par des germes pathogènes), une malnutrition ou un alcoolisme chronique. Signalez que vous ou votre enfant prenez ce médicament si votre médecin vous prescrit à vous ou à lui, un dosage du taux d'acide urique ou du sucre dans le sang. EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent avec des aliments, boissons et de l’alcool L'absorption d'alcool pendant ce traitement est déconseillée. Grossesse, allaitement et fertilité Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre tout médicament. Ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse et l’allaitement. Utilisez la dose minimale permettant de réduire votre douleur et/ou votre fièvre, pendant une durée aussi courte que possible et le moins fréquemment possible. Contactez votre médecin ou votre sage-femme si la douleur et/ou fièvre ne diminue pas ou si vous avez besoin de prendre ce médicament plus fréquemment au cours de votre grossesse. Il est possible que le paracétamol puisse altérer la fertilité des femmes, de façon réversible à l'arrêt du traitement. Conduite de véhicules et utilisation de machines Le paracétamol n’a aucun effet ou qu’un effet négligeable sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent contient de l’aspartam (E951) (source de phénylalanine), du benzoate de sodium (E211), du sodium, du sorbitol (E420) et du lactose. Ce médicament contient 39 mg d’aspartam (E951) par comprimé effervescent. L’aspartam contient une source de phénylalanine. Peut être dangereux pour les personnes atteintes de phénylcétonurie (PCU), une maladie génétique rare caractérisée par l’accumulation de phénylalanine ne pouvant être éliminée correctement. Ce médicament contient 120 mg de benzoate de sodium (E211) par comprimé effervescent. Ce médicament contient 474,1 mg de lactose. Si votre médecin vous a informé d’une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. Ce médicament contient 370 mg de sodium (composant principal du sel de table) par comprimé effervescent. Cela équivaut à 18,5 % de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé de sodium pour un adulte. Parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien si vous avez besoin d’un ou plus de comprimés effervescents quotidiennement pendant une période prolongée, surtout si vous devez suivre un régime à faible teneur en sel (sodium). Ce médicament contient 252,2 mg de sorbitol (E420) par comprimé effervescent. Le sorbitol est une source de fructose. Si votre médecin vous a informé(e) que vous (ou votre enfant) présentiez une intolérance à certains sucres ou si vous avez été diagnostiqué(e) avec une intolérance héréditaire au fructose (IHF), un trouble génétique rare caractérisé par l'incapacité à décomposer le fructose, parlez-en à votre médecin avant que vous (ou votre enfant) ne preniez ou ne receviez ce médicament. 3. COMMENT PRENDRE EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent ? Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. ATTENTION : cette présentation contient 1000 mg (1g) de paracétamol par comprimé : ne pas prendre 2 comprimés à la fois. Posologie Cette présentation est réservée à l'adulte et à l'enfant à partir de 50 kg (à partir d'environ 15 ans). La plus faible dose efficace doit généralement être utilisée, pour la durée la plus courte possible. Poids (âge approximatif) Dose par prise Intervalle d’administration Dose maximale par jour Adultes et enfants à partir de 50 kg (à partir d’environ 15 ans) 1 comprimé de 1000 mg 4 heures minimum 3 comprimés de 1000 mg par jour Ne dépassez jamais 3000 mg de paracétamol par jour (3 comprimés de 1000 mg), ou la dose prescrite par votre médecin : une dose plus élevée ne soulagera pas plus votre douleur, mais peut avoir des conséquences graves sur votre foie. Pour éviter un risque de surdosage, vérifiez l'absence de paracétamol dans la composition d'autres médicaments, y compris pour les médicaments obtenus sans ordonnance. Si vous avez l'impression que l'effet de EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent est trop fort ou trop faible, consultez votre médecin ou votre pharmacien. EN CAS DE DOUTE, DEMANDEZ CONSEIL A VOTRE MEDECIN OU A VOTRE PHARMACIEN. Patients insuffisants rénaux, insuffisants hépatiques, syndrome de Gilbert (jaunisse familiale non hémolytique) Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou votre pharmacien en cas de doute. Durée du traitement Sauf avis médical, la durée du traitement est limitée : · à 5 jours en cas de douleurs, · à 3 jours en cas de fièvre. Si la douleur persiste plus de 5 jours ou la fièvre plus de 3 jours, si elles s'aggravent, ne pas continuer le traitement sans l'avis de votre médecin. Mode et voie d'administration Voie orale. Laisser dissoudre complètement le comprimé dans un verre d'eau. Ne pas avaler ou mâcher les comprimés. EN CAS DE DOUTE, DEMANDEZ CONSEIL A VOTRE MEDECIN OU A VOTRE PHARMACIEN. Si vous avez pris plus de EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent que vous n’auriez dû: Arrêtez le traitement et consultez immédiatement votre médecin ou les urgences médicales. Un surdosage peut être mortel. Dans les 24 premières heures, les principaux symptômes d'intoxication sont: vomissements, douleurs abdominales, pâleur. Si vous oubliez de prendre EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent : Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose simple que vous avez oublié de prendre. Si vous arrêtez de prendre EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent : Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. · Dans certains cas rares, il est possible que survienne une éruption ou une rougeur cutanée ou une réaction allergique pouvant se manifester par un brusque gonflement du visage et du cou ou par un malaise brutal avec chute de la pression artérielle. Il faut immédiatement arrêter le traitement, avertir votre médecin et ne plus jamais reprendre de médicaments contenant du paracétamol. · De très rares cas d'éruptions cutanées graves ont été rapportés. Il faut immédiatement arrêter le traitement, avertir votre médecin et ne plus jamais reprendre de médicaments contenant du paracétamol. · Exceptionnellement, des modifications biologiques nécessitant un contrôle du bilan sanguin ont pu être observées : troubles de fonctionnement du foie, taux anormalement bas de certains globules blancs ou de certaines cellules du sang comme les plaquettes pouvant se traduire par des saignements de nez ou des gencives. Dans ce cas, consultez un médecin. · Des cas de déséquilibre d’INR ont été rapportés en cas d’association d’un AVK et de paracétamol à dose maximale (4g/j) pendant une durée de 4 jours minimum Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.signalement-sante.gouv.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent ? Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. A conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de l'humidité. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Ce que contient EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent · La substance active est : Paracétamol................................................................................................................. 1000 mg Pour un comprimé effervescent. · Les autres composants sont : Acide citrique anhydre, bicarbonate de sodium, carbonate de sodium anhydre, sorbitol (E420), docusate de sodium, povidone, benzoate de sodium (E211), lactose anhydre, aspartam (E951), acésulfame potassique, arôme fruits rouges. Qu’est-ce que EFFERALGAN 1000 mg, comprimé effervescent et contenu de l’emballage extérieur Ce médicament se présente sous forme de comprimés effervescents de couleur blanc-cassé, avec des angles en biseau, solubles dans l’eau en produisant une effervescence. Tube de 8 comprimés. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché UPSA SAS 3 RUE JOSEPH MONIER 92500 RUEIL-MALMAISON Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché UPSA SAS 3 RUE JOSEPH MONIER 92500 RUEIL-MALMAISON Fabricant UPSA SAS 304 AVENUE DU DOCTEUR JEAN BRU 47000 AGEN ou UPSA SAS 979, AVENUE DES PYRENEES 47520 LE PASSAGE Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : [à compléter ultérieurement par le titulaire] {mois AAAA}. Autres Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Conseil d’éducation sanitaire QUE FAIRE EN CAS DE FIÈVRE : La température normale du corps est variable d'une personne à l'autre et comprise entre 36,5°C et 37,5°C. Une élévation de la température au-delà de 38°C peut être considérée comme une fièvre, mais il est déconseillé de traiter la fièvre avec un médicament en dessous de 38,5°C. Ce médicament est réservé à l’adulte et à l'enfant à partir de 50 kg (à partir d’environ 15 ans). Si les troubles que la fièvre entraîne sont trop gênants, vous pouvez prendre ce médicament qui contient du paracétamol en respectant les posologies indiquées. Vous pouvez améliorer l'efficacité du traitement médicamenteux par les mesures suivantes: · se découvrir, · boire régulièrement pour éviter tout risque de déshydratation · ne pas rester dans un endroit trop chaud Avec ce médicament, la fièvre doit baisser rapidement. Néanmoins : · si d'autres signes inhabituels apparaissent, · si la fièvre persiste plus de 3 jours ou si elle s'aggrave, · si les maux de tête deviennent violents, ou en cas de vomissements, CONSULTEZ IMMÉDIATEMENT VOTRE MÉDECIN. QUE FAIRE EN CAS DE DOULEUR : L'intensité de la perception de la douleur et la capacité à lui résister varient d'une personne à l'autre. · S'il n'y a pas d'amélioration au bout de 5 jours de traitement, · si la douleur est violente, inattendue et survient de façon brutale (notamment une douleur forte dans la poitrine) et/ou au contraire revient régulièrement, · si elle s'accompagne d'autres signes comme un état de malaise général, de la fièvre, un gonflement inhabituel de la zone douloureuse, une diminution de la force dans un membre, · si elle vous réveille la nuit, CONSULTEZ IMMÉDIATEMENT VOTRE MÉDECIN. (1)
EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable Paracétamol Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous. Vous devez toujours prendre ce médicament en suivant scrupuleusement les informations fournies dans cette notice ou par votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. · Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire. · Adressez-vous à votre pharmacien pour tout conseil ou information. · Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4. · Vous devez vous adresser à votre médecin si vous ne ressentez aucune amélioration ou si vous vous sentez moins bien après 3 jours en cas de fièvre ou 5 jours en cas de douleur. Que contient cette notice ? 1. Qu'est-ce que EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable et dans quels cas est-il utilisé ? 2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable ? 3. Comment prendre EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable ? 4. Quels sont les effets indésirables éventuels ? 5. Comment conserver EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable ? 6. Contenu de l’emballage et autres informations. 1. QU’EST-CE QUE EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE ? Classe pharmacothérapeutique : AUTRES ANTALGIQUES ET ANTIPYRÉTIQUES-ANILIDES - code ATC : N02BE01. Ce médicament contient du paracétamol : un antalgique (il calme la douleur) et un antipyrétique (il fait baisser la fièvre). Il est indiqué en cas de douleur et/ou fièvre telles que maux de tête, états grippaux, douleurs dentaires, courbatures, règles douloureuses. Cette présentation est réservée à l'adulte et à l'enfant à partir de 13 kg (à partir d’environ 2 ans) : lire attentivement la rubrique Posologie. Pour les enfants de 13 à 25 kg (environ 2 à 10 ans), la posologie est d’un demi-comprimé par prise. Pour les enfants ayant un poids différent, il existe d'autres présentations de paracétamol: demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien. Vous devez vous adresser à votre médecin si vous ne ressentez aucune amélioration ou si vous vous sentez moins bien après 3 jours, en cas de fièvre ou 5 jours en cas de douleur. 2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable ? Ne prenez jamais EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable : · Si vous êtes allergique à la substance active ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6, · Si vous avez une maladie grave du foie. EN CAS DE DOUTE, IL EST INDISPENSABLE DE DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MÉDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Avertissements et précautions Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant de prendre EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable. En cas de surdosage ou de prise par erreur d'une dose trop élevée, consultez immédiatement votre médecin. Ce médicament contient du paracétamol. D'autres médicaments en contiennent. Vérifiez que vous ne prenez pas d’autres médicaments contenant du paracétamol, y compris si ce sont des médicaments obtenus sans prescription. Ne les associez pas, afin de ne pas dépasser la dose quotidienne recommandée. (voir Section 3 « Comment prendre EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable ? »). · Si la douleur persiste plus de 5 jours ou la fièvre plus de 3 jours ou en cas d'efficacité insuffisante ou de survenue de tout autre signe, ne pas continuer le traitement sans l'avis de votre médecin. Informez votre médecin avant de prendre ce médicament si une des conditions suivantes s'applique à vous : · Si vous êtes adulte et vous pesez moins de 50 kg, · Si vous prenez d'autres médicaments contenant du paracétamol (médicaments obtenus avec ou sans ordonnance), · Si vous avez une maladie du foie ou des reins, · Si vous êtes atteint(e) du syndrome de Gilbert (jaunisse familiale non hémolytique), · Ou en cas d’abus d’alcool (consommation excessive d’alcool (3 boissons alcoolisées ou plus chaque jour)), · Si vous souffrez de déficience en glucose-6-phosphate déshydrogénase (G6PD) (pouvant conduire à une anémie hémolytique), · Si vous avez des problèmes de nutrition (malnutrition (réserves basses en glutathion hépatique), d’anorexie, boulimie ou cachexie (perte de poids importante)), · Si vous avez des problèmes de déshydratation, hypovolémie (perte importante d’eau corporelle). Si vous souffrez d’une hépatite virale aiguë ou en cas de découverte d’une hépatite virale aiguë pendant votre traitement avec EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable, parlez-en à votre médecin. Votre traitement pourrait être suspendu par votre médecin. EN CAS DE DOUTE, NE PAS HÉSITER À DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MÉDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. Enfants et adolescents Chez un enfant traité par du paracétamol, l'association d'un autre antipyrétique n'est justifiée qu'en cas d'inefficacité. L’association ne doit être instaurée et surveillée que par un médecin. Autres médicaments et EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament. Vous devez contacter votre médecin si vous prenez un médicament qui ralentit la coagulation (anticoagulants oraux). A fortes doses, EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable peut augmenter l'action de votre anticoagulant. Si nécessaire, votre médecin adaptera la posologie de votre anticoagulant. Vous devez contacter votre médecin si vous prenez de la flucloxacilline (antibiotique de la classe des pénicillines) en raison du risque accru d’acidose métabolique, en particulier si vous présentez un facteur de risque de déficit en glutathion tel qu’une insuffisance rénale sévère, un sepsis (infection générale grave de l'organisme par des germes pathogènes), une malnutrition ou un alcoolisme chronique. Signalez que vous ou votre enfant prenez ce médicament si votre médecin vous prescrit à vous ou à lui, un dosage du taux d'acide urique ou du sucre dans le sang. EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable avec des aliments, boissons et de l’alcool Sans objet. Grossesse, allaitement et fertilité Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament. Grossesse et allaitement Ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse et l’allaitement. Utilisez la dose minimale permettant de réduire votre douleur et/ou votre fièvre, pendant une durée aussi courte que possible et le moins fréquemment possible. Contactez votre médecin ou votre sage-femme si la douleur et/ou fièvre ne diminue pas ou si vous avez besoin de prendre ce médicament plus fréquemment au cours de votre grossesse. Fertilité Il est possible que le paracétamol puisse altérer la fertilité des femmes, de façon réversible à l’arrêt du traitement. Conduite de véhicules et utilisation de machines Le paracétamol n’a aucun effet ou qu’un effet négligeable sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable contient du benzoate de sodium (E211), du sodium et du sorbitol (E420). Ce médicament contient 60,606 mg de benzoate de sodium (E211) par comprimé effervescent. Ce médicament contient 412,4 mg de sodium (composant principal du sel de table) par comprimé effervescent. Cela équivaut à 20,62 % de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé de sodium pour un adulte. Parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien si vous avez besoin d’un ou plus de comprimés effervescents quotidiennement pendant une période prolongée, surtout si vous devez suivre un régime à faible teneur en sel (sodium). Ce médicament contient 300 mg de sorbitol (E420) par comprimé effervescent. Le sorbitol est une source de fructose. Si votre médecin vous a informé(e) que vous (ou votre enfant) présentiez une intolérance à certains sucres ou si vous avez été diagnostiqué(e) avec une intolérance héréditaire au fructose (IHF), un trouble génétique rare caractérisé par l'incapacité à décomposer le fructose, parlez-en à votre médecin avant que vous (ou votre enfant) ne preniez ou ne receviez ce médicament. 3. COMMENT PRENDRE EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable ? Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les instructions de cette notice ou les indications de votre médecin, pharmacien ou infirmier/ère. Vérifiez auprès de votre médecin, pharmacien ou infirmier/ère en cas de doute. Posologie Cette présentation est réservée à l'adulte et à l'enfant à partir de 13 kg (à partir d’environ 2 ans). La posologie du paracétamol dépend du poids de l'enfant ; les âges sont mentionnés à titre d'information. Si vous ne connaissez pas le poids de l'enfant, il faut le peser afin de lui donner la dose la mieux adaptée. Le paracétamol existe sous de nombreux dosages, permettant d'adapter le traitement au poids de chaque enfant. La dose quotidienne de paracétamol recommandée dépend du poids de l'enfant : elle est d'environ 60 mg/kg/jour, à répartir en 4 ou 6 prises, soit environ 15 mg/kg toutes les 6 heures ou 10 mg/kg toutes les 4 heures. Poids (âge) Dose par prise Intervalle d’administration Dose journalière maximale 13 kg à 20 kg (2 - 7 ans) 1 demi-comprimé (soit 250 mg) 6 heures 4 demi-comprimés (soit 1000 mg par jour) 21 kg à 25 kg (6 - 10 ans) 1 demi-comprimé (soit 250 mg) 4 heures minimum 6 demi-comprimés (soit 1500 mg par jour) 26 kg à 40 kg (8 -13 ans) 1 comprimé (soit 500 mg) 6 heures 4 comprimés (soit 2000 mg par jour) 41 kg à 50 kg (12 - 15 ans) 1 comprimé (soit 500 mg) 4 heures minimum 6 comprimés (soit 3000 mg par jour) Adultes et enfants de plus de 50 kg (à partir d’environ 15 ans) 1 à 2 comprimés (soit 500 à 1000 mg) 4 heures minimum 6 comprimés (soit 3000 mg par jour) Pour les enfants, la dose totale en paracétamol ne doit pas excéder 80 mg/kg/j (voir rubrique 4.9). Pour les adultes et les enfants dont le poids est supérieur à 50 kg (à partir d'environ 15 ans), la posologie usuelle est de 1 à 2 comprimés à 500 mg par prise selon l'intensité de la douleur, à renouveler en cas de besoin au bout de 4 heures minimum. Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser 3 g de paracétamol par jour, soit 6 comprimés par jour. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, et sur conseil de votre médecin, la dose totale peut être augmentée jusqu'à 4 g par jour, soit 8 comprimés par jour. Cependant : · les doses supérieures à 3 g de paracétamol par jour nécessitent un avis médical. · NE JAMAIS PRENDRE PLUS DE 4 GRAMMES DE PARACETAMOL PAR JOUR (en tenant compte de tous les médicaments contenant du paracétamol dans leur formule). Toujours respecter un intervalle de 4 heures au moins entre les prises. La dose maximale journalière ne doit pas excéder 60 mg/kg (sans dépasser 3 g) par jour dans les situations suivantes : · adultes de moins de 50 kg, · atteintes graves du foie, · syndrome de Gilbert (jaunisse familiale non hémolytique), · alcoolisme chronique, · malnutrition chronique, · déshydratation. Si vous avez l'impression que l'effet de EFFERALGANMED 500 mg, comprimé effervescent sécable est trop fort ou trop faible, consultez votre médecin ou votre pharmacien. EN CAS DE DOUTE, DEMANDEZ CONSEIL A VOTRE MEDECIN OU A VOTRE PHARMACIEN. Mode et voie d'administration Voie orale. Laisser dissoudre complètement le comprimé dans un verre d'eau, si besoin après l'avoir cassé en deux. Ne pas avaler ou mâcher les comprimés. De plus, si votre enfant présente une fièvre supérieure à 38,5°C, vous pouvez améliorer l'efficacité du traitement médicamenteux par les mesures suivantes : · découvrez votre enfant, · faites le boire, · ne laissez pas votre enfant dans un endroit trop chaud. Fréquence d'administration Les prises systématiques permettent d'éviter les oscillations de douleur ou de fièvre. · Chez l'enfant, elles doivent être régulièrement espacées, y compris la nuit, de préférence de 6 heures, et d'au moins 4 heures. · Chez l'adulte, elles doivent être espacées de 4 heures minimum. Insuffisance rénale En cas de maladie des reins (insuffisance rénale), l’intervalle minimum entre 2 prises devra être modifié en suivant votre fonction rénale selon le tableau suivant : Clairance de la créatinine Intervalle d’administration cl ≥50 mL/min 4 heures cl 10-50 mL/min 6 heures cl (1)
Effets indésirables Résumé du profil de sécurité La tolérance du rivaroxaban a été évaluée dans treize études de phase III incluant 53 103 patients exposés au rivaroxaban (voir tableau 1). Tableau 1 : Nombre de patients étudiés, dose quotidienne totale et durée maximale du traitement dans les études de phase III Indication Nombre de patients* Dose quotidienne totale Durée maximale du traitement Prévention des évènements thromboemboliques veineux (ETEV) chez les patients adultes bénéficiant d'une chirurgie programmée de la hanche ou du genou 6 097 10 mg 39 jours Prévention des ETEV chez les patients présentant une affection médicale aigüe 3 997 10 mg 39 jours Traitement de la TVP, de l'EP et prévention des récidives 6 790 Jours 1-21 : 30 mg Jour 22 et suivants : 20 mg Après au moins 6 mois : 10 mg ou 20 mg 21 mois Prévention des AVC et des embolies systémiques chez les patients atteints de fibrillation atriale non valvulaire 7 750 20 mg 41 mois Prévention des événements athérothrombotiques suite à un syndrome coronarien aigu (SCA) 10 225 5 mg ou 10 mg respectivement, co- administré avec de l'AAS ou de l'AAS associé au clopidogrel ou à la ticlopidine 31 mois Prévention des événements athérothrombotiques chez les patients présentant une MC/MAP 18 244 5 mg co-administrés avec de l'AAS ou 10 mg seuls 47 mois Patients exposés à au moins une dose de rivaroxaban Les effets indésirables signalés le plus fréquemment chez les patients recevant du rivaroxaban ont été les saignements (Tableau 2) (voir aussi rubrique Mises en garde et précautions d'emploi. et « Description de certains effets indésirables » ci- dessous). Parmi les saignements signalés, les plus fréquents ont été l'épistaxis (4,5 %) et l'hémorragie du tractus gastro-intestinal (3,8 %). Tableau 2 : taux de survenue des saignements* et des anémies chez les patients exposés au rivaroxaban au cours des études de phase III terminées Indication Tout saignement Anémie Prévention des ETEV chez les patients adultes bénéficiant d'une chirurgie programmée de la hanche ou du genou 6,8% des patients 5,9% des patients Prévention des ETEV chez les patients présentant une affection médicale aigüe 12,6% des patients 2,1% des patients Traitement de la TVP, de l'EP et prévention des récidives 23% des patients 1,6% des patients Prévention des AVC et des embolies systémiques chez les patients atteints de fibrillation atriale non valvulaire 28 pour 100 patient-années 2,5 pour 100 patient- années Prévention des événements athérothrombotiques suite à un SCA 22 pour 100 patient-années 1,4 pour 100 patient- années Prévention des événements athérothrombotiques chez les patients présentant une MC/MAP 6,7 pour 100 patient-années 0,15 pour 100 patient-années** Pour toutes les études sur le rivaroxaban, tous les événements hémorragiques sont recueillis, rapportés et adjudiqués. ** Dans l'étude COMPASS, il y a une faible incidence des anémies car une approche sélective du recueil des évènements indésirables a été utilisée Tableau résumant les effets indésirables Les fréquences des effets indésirables rapportés avec Xarelto sont résumées dans le Tableau 3 ci-dessous par classe de systèmes ou d'organes (classification MedDRA) et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit très fréquent (≥ 1/10) fréquent (≥ 1/100, (1)
Effets indésirables Terbinafine EG Estimation de la fréquence : très fréquent > = 10%, fréquent > = 1% à = 0,1% à = 0,01% à (1)
Effets indésirables possible du médicament HELICIDINE Risque de surencombrement bronchique chez le nourrisson Risque de surencombrement bronchique chez le patient incapable d'expectoration efficace Céphalée Trouble digestif Diarrhée Réaction allergique Risque de surencombrement bronchique notamment chez le nourrisson et chez certains patients incapables d'expectoration efficace (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde et précautions d'emploi). Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Allergie hélicidine Hypersensibilité parahydroxybenzoates Enfant de moins de 2 ans Intolérance au fructose Syndrome de malabsorption du glucose et du galactose Déficit en sucrase/isomaltase ·Antécédent d'hypersensibilité à l'un des constituants (notamment au parahydroxybenzoate de méthyle et propyle sodique et autres sels de parahydroxybenzoates). Nourrissons (moins de 2 ans) (). Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Aucun effet sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines n'a été observé. Mise en garde et précautions d’emploi Expectoration grasse et purulente Fièvre Bronchopneumopathie Toux productive Diabète Régime hypoglucidique Grossesse Allaitement Mises en garde spéciales En cas d'expectoration grasse et purulente, en cas de fièvre ou en cas de maladie chronique des bronches et des poumons, il conviendra de réévaluer la conduite thérapeutique. Les toux productives, qui représentent un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire, sont à respecter. L'association de mucomodificateurs bronchiques avec des antitussifs et/ou des substances asséchant les sécrétions (atropiniques) est irrationnelle. L'Hélicidine peut induire un surencombrement bronchique chez le nourrisson. En effet, ses capacités de drainage du mucus bronchique sont limitées, en raison des particularités physiologiques de son arbre respiratoire. Elle ne doit donc pas être utilisée chez le nourrisson (voir rubriques Contre-indications et Effets indésirables). Le traitement devra être réévalué en cas de persistance ou d'aggravation des symptômes ou de la pathologie. Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase. Précautions d'emploi En cas de diabète ou de régime hypoglucidique, prendre en compte l'apport de 3,4 g de saccharose par cuillère à café et de 10,3 g par cuillère à soupe. Ce médicament contient du glycérol et peut provoquer des céphalées et des troubles digestifs (diarrhée). Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de méthyle (E218) et de propyle sodique (E217); ils peuvent provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées). Mécanisme d’action : comment ça marche ? Classe pharmacothérapeutique: ANTITUSSIF D'ACTION PERIPHERIQUE. (R. Système respiratoire). L'hélicidine est une mucoglycoprotéine extraite d'Hélix pomatia L. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Les données disponibles à ce jour ne laissent pas supposer l'existence d'interactions cliniquement significatives. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Aucun signe spécifique n'a été observé lors de la description de cas de surdosage. HELICIDINE: Grossesse, allaitement et fertilité A utiliser avec prudence chez la femme enceinte ou qui allaite, faute de données cliniques exploitables. Autres informations Forme pharmaceutique: Sirop Voie d'administration: Orale Code ATC : R05DB Classe pharmacothérapeutique : Autres antitussifs Conditions de prescription et de délivrance: Médicament retiré du marché le 17/08/2016 Code Identifiant de Spécialité (CIS): 61404858 Service médical rendu (SMR): Faible Laboratoire titulaire AMM: Therabel lucien (24/01/1996) Laboratoire exploitant: Therabel lucien Ce médicament n'appartient à aucun groupe générique. Sources : Résumé des Caractéristiques Produits (RCP) des autorisations de mise sur le marché (AMM) françaises et européennes Livret des interactions médicamenteuses de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) Répertoire des génériques de l’ANSM Documents de référence de la Haute Autorité de Santé (HAS) : fiches de transparence, fiches de bon usage, documents SAM (Système d’Aide à la décision par Médicament) Prix et remboursements du Comité économique des produits de santé (CEPS) Informations des laboratoires titulaires de l’AMM (CF supra dans l’onglet « Autres informations » de cette page) Informations grossistes répartiteurs Assurance maladie (CNAMTS) : guide des affectations de longues durées (ALD) Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH) : classification CIM10 Organisation mondiale de la santé (OMS) : classification ATC Pharmacopée européenne : Standard Terms et classification EPhMRA Ministère de la santé : substances dopantes (1)
Effets secondaires : Les plus fréquents : Candidoses, Diarrhées, Selles molles, Nausées, Vomissements. Interactions médicamenteuses: Anticoagulants oraux Méthotrexate Probénécide Mycophénolate mofétil Allopurinol (1)
Effets secondaires : Démangeaisons, Éruptions cutanées, Ampoules et urticaire. Sensation de picotement (1)
Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Attention danger: ne pas conduire - Pour la reprise de la conduite, demandez l'avis d'un médecin Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risque possible de somnolence. L'association avec d'autres médicaments sédatifs doit être déconseillée ou prise en compte en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d'altération de la vigilance est encore accru. Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Hypersensibilité diazépam Insuffisance respiratoire sévère Syndrome d'apnée du sommeil Insuffisance hépatique sévère Myasthénie Enfant de moins de 6 ans Intolérance au galactose Syndrome de malabsorption du glucoseAfficher plus Ce médicament ne doit jamais être utilisé dans les situations suivantes: hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants, insuffisance respiratoire sévère, syndrome d'apnée du sommeil, insuffisance hépatique sévère, aiguë ou chronique (risque de survenue d'une encéphalopathie), myasthénie. Mise en garde et précautions d’emploi Antécédent de dépendance alcoolique Antécédent d'autres dépendances Comportement anormal Comportement agressif Comportement d'auto-agression Conduite automatique avec amnésie post-événementielle Dépression Enfant de plus de 6 ansAfficher plus Mises en garde spéciales En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase. TOLERANCE PHARMACOLOGIQUE L'effet anxiolytique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l'utilisation de la même dose en cas d'administration durant plusieurs semaines. DEPENDANCE Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique. Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance: durée du traitement, dose, antécédents d'autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique. Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé. Cet état peut entraîner à l'arrêt du traitement un phénomène de sevrage. Certains symptômes sont fréquents et d'apparence banale: insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité. D'autres symptômes sont plus rares: agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions. Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l'arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d'action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l'intervalle qui sépare deux prises. L'association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu'en soit l'indication anxiolytique ou hypnotique, d'accroître le risque de pharmacodépendance. Des cas d'abus ont également été rapportés. PHENOMENE DE REBOND Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d'une exacerbation de l'anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés. AMNESIE ET ALTERATIONS DES FONCTIONS PSYCHOMOTRICES Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctions psychomotrices sont susceptibles d'apparaître dans les heures qui suivent la prise. TROUBLES DU COMPORTEMENT Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire: Peuvent être observés: aggravation de l'insomnie, cauchemars, agitation, nervosité, idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique, désinhibition avec impulsivité, euphorie, irritabilité, amnésie antérograde, suggestibilité. Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de: comportement inhabituel pour le patient, comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tente d'entraver l'activité du patient, conduites automatiques avec amnésie post-événementielle. Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement. RISQUE D'ACCUMULATION Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l'organisme pour une période de l'ordre de 5 demi-vies (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques). Chez des personnes âgées ou souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s'allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d'équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n'est qu'après l'obtention d'un plateau d'équilibre qu'il est possible d'évaluer à la fois l'efficacité et la sécurité du médicament. Une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique Posologie et mode d'administration). SUJET AGE Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation et/ou d'effet myorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population. Précautions d'emploi La plus grande prudence est recommandée en cas d'antécédents d'alcoolisme ou d'autres dépendances, médicamenteuses ou non (voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). CHEZ LE SUJET PRESENTANT UN EPISODE DEPRESSIF MAJEUR Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire. MODALITES D'ARRET PROGRESSIF DU TRAITEMENT Elles doivent être énoncées au patient de façon précise. Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d'un phénomène de rebond, afin de minimiser l'anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive. Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase. ENFANT Plus encore que chez l'adulte, le rapport bénéfice/risque sera scrupuleusement évalué et la durée du traitement aussi brève que possible. L'utilisation chez l'enfant doit rester exceptionnelle. SUJET AGE, INSUFFISANT RENAL OU INSUFFISANT HEPATIQUE Le risque d'accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié par exemple (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). INSUFFISANT RESPIRATOIRE Chez l'insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l'effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d'autant que l'anxiété et l'agitation peuvent constituer des signes d'appel d'une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs). Mécanisme d’action : comment ça marche ? ANXIOLYTIQUES, Code ATC: N05BA01. (N: système nerveux central). Le diazépam appartient à la classe des 1-4 benzodiazépines et a une activité pharmacodynamique qualitativement semblable à celle des autres composés de cette classe: myorelaxante, anxiolytique, sédative, hypnotique, anticonvulsivante, amnésiante. Ces effets sont liés à une action agoniste spécifique sur un récepteur central faisant partie du complexe "récepteurs macromoléculaires GABA-OMEGA", également appelés BZ1 et BZ2 et modulant l'ouverture du canal chlore. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Associations déconseillées + Alcool Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des benzodiazépines et apparentés. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. Associations faisant l'objet de précautions d'emploi + Cimétidine ≥ 800 mg/j Risque accru de somnolence. Avertir les patients de l'augmentation du risque en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines. + Phénytoïne Variations imprévisibles: les concentrations plasmatiques de phénytoïne peuvent être augmentées avec signes toxiques, mais peuvent aussi diminuer ou rester stables. Surveillance clinique et contrôle des concentrations plasmatiques de phénytoïne. + Stiripentol Augmentation des concentrations plasmatiques de diazépam, avec risque de surdosage, par inhibition de son métabolisme hépatique. Surveillance clinique, dosage plasmatique de la benzodiazépine et adaptation éventuelle de sa posologie. Associations à prendre en compte + Autres dépresseurs du système nerveux central: dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution autres que buprénorphine); neuroleptiques; barbituriques; autres anxiolytiques; hypnotiques; antidépresseurs sédatifs; antihistaminiques H1 sédatifs; antihypertenseurs centraux; baclofène; thalidomide; pizotifène. Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. De plus, pour les dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), barbituriques: risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage. + Buprénorphine Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale. Evaluer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association. Informer le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites. + Buspirone Risque de majoration des effets indésirables de la buspirone. + Cisapride Majoration transitoire de l'effet sédatif du diazépam par augmentation de sa vitesse d'absorption. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Le pronostic vital peut être menacé, notamment dans les cas de polyintoxication impliquant d'autres dépresseurs du système nerveux central (y compris l'alcool). En cas de prise massive, les signes de surdosage se manifestent principalement par une dépression du SNC pouvant aller de la somnolence jusqu'au coma, selon la quantité ingérée. Les cas bénins se manifestent par des signes de confusion mentale, une léthargie. Les cas plus sérieux se manifestent par une ataxie, une hypotonie, une hypotension, une dépression respiratoire, exceptionnellement un décès. En cas de surdosage oral antérieur à 1 heure, l'induction de vomissement sera pratiquée si le patient est conscient ou, à défaut, un lavage gastrique avec protection des voies aériennes. Passé ce délai, l'administration de charbon activé peut permettre de réduire l'absorption. Une surveillance particulière des fonctions cardio-respiratoires en milieu spécialisé est recommandée. L'administration de flumazénil peut être utile pour le diagnostic et/ou le traitement d'un surdosage intentionnel ou accidentel en benzodiazépines. L'antagonisme par le flumazénil de l'effet des benzodiazépines peut favoriser l'apparition de troubles neurologiques (convulsions), notamment chez le patient épileptique. VALIUM ROCHE: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse A ce jour, aucun effet malformatif n'est attribué à l'exposition aux benzodiazépines au cours du 1° trimestre de la grossesse. En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2° et/ou 3° trimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs foetaux et de la variabilité du rythme cardiaque foetal ont été décrits. Un traitement en fin de grossesse par benzodiazépine même à faibles doses, peut être responsable chez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troubles de la succion entraînant une mauvaise prise de poids. Ces signes sont réversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie de la benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et une hypothermie réversibles peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndrome de sevrage néo-natal est possible, même en l'absence de signes d'imprégnation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance de l'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d'élimination du médicament et peut être important quand celle-ci est longue. Compte tenu de ces données, l'utilisation de diazépam est envisageable au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme, dans le strict respect des indications et des posologies. En fin de grossesse, s'il s'avère nécessaire d'instaurer un traitement par diazépam, éviter de prescrire des doses élevées et tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits. Allaitement L'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement est déconseillée. Effets indésirables possible du médicament VALIUM ROCHE Amnésie antérograde Trouble du comportement Modification de la conscience Irritabilité Agressivité Agitation Dépendance physique Dépendance psychiqueAfficher plus Ils sont en rapport avec la dose ingérée, la sensibilité individuelle du patient. Effets indésirables neuro-psychiatriques (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi) amnésie antérograde, qui peut survenir aux doses thérapeutiques, le risque augmentant proportionnellement à la dose, troubles du comportement, modifications de la conscience, irritabilité, agressivité, agitation, dépendance physique et psychique, même à doses thérapeutiques avec syndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement, sensations ébrieuses, céphalées, ataxie, confusion, baisse de vigilance voire somnolence (particulièrement chez le sujet âgé), insomnie, cauchemars, tension, modifications de la libido. Effets indésirables cutanés éruptions cutanées, prurigineuses ou non. Effets indésirables généraux hypotonie musculaire, asthénie. Effets indésirables oculaires diplopie. (1)
Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Aucun effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'a été observé. Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Hypersensibilité eucalyptus Hypersensibilité ténoate de sodium Enfant de moins de 30 mois Antécédent d'épilepsie Antécédent de convulsion fébrile Lésion anorectale Allaitement GrossesseAfficher plus Hypersensibilité aux substances actives ou à l'un des excipients. Enfants de moins de 30 mois. Enfants avec antécédents d'épilepsie ou de convulsions fébriles. Antécédent récent de lésion ano-rectale. Mise en garde et précautions d’emploi Enfant de moins de 12 kg Expectoration grasse et purulente Fièvre Bronchopneumopathie Femme en âge de procréer Mises en garde spéciales Cette spécialité contient un dérivé terpénique qui peut entraîner à doses excessives des accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson et chez l'enfant. Ne pas prolonger la durée de traitement au-delà de 3 jours en raison : o du risque d'accumulation du dérivé terpénique (dont la cinétique de métabolisation et d'élimination n'est pas connue en raison de leur caractère lipophile) dans les tissus et le cerveau, et, en particulier, risque de troubles neurologiques ; o du risque d'irritations ano-rectales à type de brûlure. Ne pas dépasser les doses recommandées en raison de l'augmentation du risque de survenue d'effets indésirables et de troubles liés à un surdosage (voir rubrique Surdosage). Les dérivés terpéniques étant inflammables, ne pas approcher cette spécialité d'une flamme. En cas d'expectoration grasse et purulente, en cas de fièvre ou de maladie chronique des bronches et des poumons, il conviendra de réévaluer la conduite thérapeutique. Mécanisme d’action : comment ça marche ? A VISEE ANTISEPTIQUE. (R. Système respiratoire). Eucalyptus : dérivé terpénique, traditionnellement utilisé comme antiseptique des voies respiratoires. Les dérivés terpéniques peuvent abaisser le seuil épileptogène. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Ne pas utiliser en même temps que d'autres produits (médicaments ou cosmétiques) contenant des dérivés terpéniques quelle que soit la voie d'administration (orale, rectale, cutanée ou pulmonaire). Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Une utilisation répétée et prolongée peut provoquer des irritations ano-rectales à type de brûlure. En cas d'ingestion accidentelle ou d'erreur d'administration chez des enfants ou des nourrissons, il y a un risque de troubles neurologiques. Si nécessaire, un traitement symptomatique sera institué en milieu hospitalier. TROPHIRES ENFANT: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse Il n'y a pas ou peu de données d'utilisation des dérivés terpéniques chez la femme enceinte. TROPHIRES ENFANTS n'est pas recommandé pendant la grossesse et chez la femme en âge de procréer n'utilisant pas de contraception. Allaitement En l'absence d'informations suffisantes sur le passage des dérivés terpéniques dans le lait maternel, ce médicament ne doit pas être utilisé en cas d'allaitement. Effets indésirables possible du médicament TROPHIRES ENFANT Convulsion chez l'enfant Toxicité rectale En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non respect des doses préconisées, risque de convulsions chez l'enfant et le nourrisson. Liés à la voie d'administration : risque de toxicité locale, d'autant plus fréquent et intense que la durée de traitement est prolongée, le rythme d'administration et la posologie élevés. Autres informations Forme pharmaceutique: Suppositoire Voie d'administration: Rectale Code ATC : R05X Classe pharmacothérapeutique : Autres medicaments du rhume Conditions de prescription et de délivrance: Médicament retiré du marché le 22/02/2017 Code Identifiant de Spécialité (CIS): 66385625 Laboratoire titulaire AMM: Sanofi-aventis france (03/07/1996) Laboratoire exploitant: Sanofi-aventis france Ce médicament n'appartient à aucun groupe générique. Sources : Résumé des Caractéristiques Produits (RCP) des autorisations de mise sur le marché (AMM) françaises et européennes Livret des interactions médicamenteuses de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) Répertoire des génériques de l’ANSM Documents de référence de la Haute Autorité de Santé (HAS) : fiches de transparence, fiches de bon usage, documents SAM (Système d’Aide à la décision par Médicament) Prix et remboursements du Comité économique des produits de santé (CEPS) Informations des laboratoires titulaires de l’AMM (CF supra dans l’onglet « Autres informations » de cette page) Informations grossistes répartiteurs Assurance maladie (CNAMTS) : guide des affectations de longues durées (ALD) Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH) : classification CIM10 Organisation mondiale de la santé (OMS) : classification ATC Pharmacopée européenne : Standard Terms et classification EPhMRA Ministère de la santé : substances dopantes (1)
Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Sans objet. Mise en garde et précautions d’emploi Hypertension artérielle sévère Tendance hémorragique Intervention chirurgicale Epilepsie Sportif Réservé à l'adulte La pression artérielle sera étroitement surveillée en début de traitement chez les sujets présentant une hypertension artérielle sévère, en raison de la présence d'heptaminol. Chez les patients ayant des prédispositions à saigner (terrain hémorragique) et ayant un traitement concomitant anticoagulant et anti-plaquettes, un médecin doit être consulté avant la prise de ce médicament. Les préparations contenant du ginkgo peuvent augmenter la prédisposition à saigner. Par précaution, ce médicament doit être arrêté 3 à 4 jours avant un acte chirurgical. Chez les patients épileptiques, l'apparition de crises supplémentaires favorisées par l'ingestion de préparations contenant du ginkgo ne peut être exclue. L'usage concomitant des préparations contenant du ginkgo avec l'efavirenz est déconseillé (voir la rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions) - Crise hémorroïdaire: l'administration de ce produit ne dispense pas du traitement spécifique des autres maladies anales. Le traitement doit être de courte durée. Si les symptômes ne cèdent pas rapidement, un examen proctologique doit être pratiqué et le traitement doit être revu. - Insuffisance veinolymphatique: ce médicament a toute son efficacité lorsqu'il est associé à une bonne hygiène de vie: o Eviter l'exposition au soleil, à la chaleur, la station debout prolongée, l'excès de poids. o La marche prolongée et le port de bas de contention adaptés favorisent la circulation veineuse. L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif (l'heptaminol) pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles anti-dopage. Grossesse et allaitement (voir rubrique Grossesse et allaitement). Mécanisme d’action : comment ça marche ? Classe pharmacothérapeutique : VASCULOPROTECTEUR, code ATC : (C: système cardio-vasculaire) Mécanisme d'action Veinotonique et vasculoprotecteur, GINKOR FORT augmente la tonicité veineuse, la résistance des vaisseaux et diminue leur perméabilité. Cette action s'accompagne de propriétés inhibitrices locales vis-à-vis de certains médiateurs algogènes (histamine, bradykinine, sérotonine), d'enzymes lysosomiales et de radicaux libres à l'origine de l'inflammation et de la dégradation des fibres de collagène. GINKOR FORT favorise le retour du sang veineux vers le coeur droit, en raison de la présence de chlorhydrate d'heptaminol dans sa formule. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Associations contre-indiquées + IMAO Risque de poussée hypertensive liée à la présence d'heptaminol. Précautions d'emploi Si ce médicament est pris de façon concomitante avec des anticoagulants (phenprocoumone, warfarine) ou des médicaments anti-plaquettes (clopidogrel, acide acétylsalicylique et autres antiinflammatoires non stéroïdiens), leur effet peut être modifié. Les études disponibles avec la warfarine, ne montrent pas d'interaction entre la warfarine et les produits contenant du ginkgo, mais une surveillance suffisante est recommandée en cas de traitement avec un médicament contenant du ginkgo que ce soit au début, à la fin, lors d'un changement de dose ou lors d'un changement de médicament. Une étude d'interaction avec le talinolol montre que le ginkgo peut inhiber les P-glycoprotéines au niveau intestinal. Ceci peut augmenter l'exposition aux médicaments sensibles aux P-glycoprotéines dans l'intestin tel que l'étexilate de dabigatran. Des précautions sont à prendre en cas d'associations de ginkgo et de dabigatran. Une étude d'interaction a montré que la Cmax de la nifédipine peut augmenter avec le ginkgo. Chez certains individus l'augmentation peut aller jusqu'à 100 % avec observation de vertiges et augmentation de l'intensité de bouffées de chaleur. L'utilisation concomitante de préparations de ginkgo avec l'efavirenz est déconseillée ; la concentration plasmatique de l'efavirenz peut diminuer en raison de l'induction du cytochrome CYP3A4 (voir la rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? En cas de prise massive accidentelle ou volontaire, il est conseillé de surveiller la pression artérielle et la fréquence cardiaque en milieu spécialisé. GINKOR FORT: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse Les études effectuées chez l'animal sont insuffisantes pour permettre de conclure sur la toxicité sur la reproduction (voir rubrique Données de sécurité précliniques). Il n'existe pas de données suffisantes sur l'utilisation de GINKOR FORT chez la femme enceinte. Compte tenu des propriétés vasoactives de l'heptaminol et antiagrégantes du ginkgo biloba, GINKOR FORT ne doit pas être utilisé pendant la grossesse. Allaitement En l'absence de données sur le passage dans le lait maternel, l'utilisation est déconseillée pendant l'allaitement. Fertilité Des effets sur la fertilité femelle ont été observés chez la souris avec le ginkgo biloba (voir rubrique Données de sécurité précliniques). Autres informations Forme pharmaceutique: Gélule Voie d'administration: Orale Code ATC : C05CA54 Classe pharmacothérapeutique : Troxérutine en association Conditions de prescription et de délivrance: Médicament non soumis à prescription médicale. Code Identifiant de Spécialité (CIS): 66043002 Service médical rendu (SMR): Insuffisant Laboratoire titulaire AMM: Tonipharm (26/01/1988) Laboratoire exploitant: Tonipharm Ce médicament n'appartient à aucun groupe générique. Sources : Résumé des Caractéristiques Produits (RCP) des autorisations de mise sur le marché (AMM) françaises et européennes Livret des interactions médicamenteuses de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) Répertoire des génériques de l’ANSM Documents de référence de la Haute Autorité de Santé (HAS) : fiches de transparence, fiches de bon usage, documents SAM (Système d’Aide à la décision par Médicament) Prix et remboursements du Comité économique des produits de santé (CEPS) Informations des laboratoires titulaires de l’AMM (CF supra dans l’onglet « Autres informations » de cette page) Informations grossistes répartiteurs Assurance maladie (CNAMTS) : guide des affectations de longues durées (ALD) Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH) : classification CIM10 Organisation mondiale de la santé (OMS) : classification ATC Pharmacopée européenne : Standard Terms et classification EPhMRA Ministère de la santé : substances dopantes (1)
En brossage 2 à 3 fois par jour, après chaque repas, de préférence avec une brosse à dents souple. Indication : Protection contre les caries. (1)
Espèces cibles Bovins (lait, viande, veau) Equins Porcins Bovins, équins et porcins. Indications d’utilisation Chez les bovins : - traitement symptomatique des infections respiratoires aiguës en association avec une antibiothérapie appropriée chez les bovins : réduction des signes cliniques. - traitement symptomatique des diarrhées, en association avec une réhydratation orale, chez les veaux de plus d'une semaine et les jeunes bovins non-allaitants : réduction des signes cliniques. - traitement symptomatique des mammites aiguës, en association avec une antibiothérapie. - pour le soulagement de la douleur postopératoire suivant l'écornage des veaux. Chez les porcins : - traitement symptomatique des troubles locomoteurs non infectieux : réduction de la boiterie et de l’inflammation. - traitement adjuvant des septicémies et des toxémies puerpérales (syndrome mammite-métrite-agalactie) en association avec une antibiothérapie appropriée. Chez les chevaux : - réduction de l’inflammation et de la douleur lors de troubles musculo-squelettiques aigus et chroniques. - soulagement de la douleur associée aux coliques. (1)
Exemples d'utilisations Diffusion : Quelques gouttes dans un diffuseur électrique (5 à 10min/h). Autres exemples d'utilisations : Massage : Quelques gouttes dans une huile végétale en massage sur les articulations. Inhalation : 2 gouttes sur un mouchoir à respirer pour se calmer et dégager les voies respiratoires, soulager les migraines. Voies d'administrations Voie interne : oui réservé aux spécialistes Voie cutanée : à diluer dans une huile végétale Diffusion : oui Inhalation : oui Indications techniques Nom botanique : Cinnamomum camphora Partie de la plante : Bois Méthode d'extraction : Distillation à la vapeur Composition chimique : Cinéol, Limonène, alpha pinène Origine : Asie centrale Culture : Conventionnelle Couleur : Clair Conservation : à l'abri de la lumière. Synergies avec d'autres huiles essentielles : Ciste, Eucalyptus globulus ,Arbre à thé, Camomille romaine, Cèdre, Eucalyptus citronné, Bois de rose, Eucalyptus radiata, Genévrier, Lavande aspic, Romarin à verbénone, Cyprès, Gingembre. Précautions d'utilisation picto1Se laver les mains avant et après avoir utilisé des huiles essentielles. picto2Ne pas utiliser chez la femme enceinte pendant tout le temps de la grossesse. picto3Ne pas utiliser chez la femme allaitante. picto4Ne pas utiliser chez les bébés et les enfants de moins de 7 ans. Ne pas laisser les flacons d'huiles essentielles à la portée des enfants. Respecter les précautions d'emploi des huiles essentielles. Pour tout usage des huiles essentielles dans un but thérapeutique, consultez un médecin. Les informations données sur le site ne font pas office de prescription, elles restent des données à titre informatif, elles n'engagent en rien notre responsabilité. Le texte, les propriétés connues, les exemples d'utilisations et les voies d'administrations qui suivent sont des informations générales tirées de bibliographies faisant autorité dans le milieu des huiles essentielles et de l'aromathérapie. (1)
Faites attention avec STREPSILS LIDOCAINE, pastille: Mises en garde spéciales NE LAISSEZ PAS CE MEDICAMENT A LA PORTEE DES ENFANTS. · L'anesthésie provoquée par ce médicament au niveau de la gorge peut favoriser les fausses routes (toux au cours d'un repas avec impression "d'avaler de travers") lors de la déglutition des aliments. Il est donc impératif: o de n'utiliser ce médicament qu'avec précaution chez l'enfant de moins de 12 ans, o de ne pas utiliser ce médicament avant les repas ou avant la prise de boisson. · L'usage prolongé (plus de 5 jours) de ce médicament n'est pas souhaitable car il peut modifier l'équilibre microbien naturel de la bouche, de la gorge. · Respecter la posologie indiquée: pris en quantité importante ou de façon répétée, ce médicament en passant dans la circulation sanguine, est susceptible de retentir sur le système nerveux avec possibilité de convulsions et sur le cœur. · En raison de la présence de glucose et de saccharose, ce médicament ne doit pas être utilisé en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase (maladies métaboliques rares). Précautions d'emploi · Mal de gorge En cas de survenue de fièvre, d'expectorations (crachat) purulentes, d'une gêne à la déglutition des aliments, comme en cas d'aggravation ou d'absence d'amélioration au bout de 5 jours: CONSULTEZ VOTRE MEDECIN. · Aphtes, petites plaies de la bouche En cas de lésions étendues, d'extensions des lésions, d'apparition de fièvre: CONSULTEZ IMMEDIATEMENT VOTRE MEDECIN. Ce médicament contient 2,5 g de sucre par pastille: en tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. EN CAS DE DOUTE, NE PAS HESITER A DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MEDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN. (1)
Fiches et conseils pratiques Bien prendre ses mesuresGrille de tailles Vos récompenses et vos points fidélités Remboursement sécurité socialeConseil d'enfilageConseils d'entretien (1)
Forme galénique / Dosage : Collyre 2%/1% Excipients : chlorure de benzalkonium (0,1 mg) Famille ATC : MEDICAMENTS OPHTALMOLOGIQUES Classe ATC : DECONGESTIONNANTS ET ANTIALLERGIQUES Sous classe ATC : AUTRES ANTIALLERGIQUES Laboratoire : Jamjoom Pharma (1)
Forme galénique / Dosage : Gélule 200 mg/325 mg/30 mg Famille ATC : ANTIINFLAMMATOIRES ET ANTIRHUMATISMAUX Classe ATC : ANTIINFLAMMATOIRES ET ANTIRHUMATISMAUX, NON STEROIDIENS Sous classe ATC : DERIVES DE L'ACIDE PROPIONIQUE Laboratoire : MEDREICH STERILAB LTD (1)
Forme galénique / Dosage : Solution injectable 100 mg/2 ml Famille ATC : PREPARATIONS ANTIANEMIQUES Classe ATC : PREPARATION A BASE DE FER Sous classe ATC : FER, PREPARATIONS PARENTERALES Laboratoire : UNI-PHARMAKLEON TSETIS S.A FER MED FERCAYL® sol injBoîte de 5 AKUROSE® 20 mg sol inj Amp/5 mlBoîte de 5 FERinj® 50 mg/ml sol inj p perf FERMED® sol injBoîte de 5 IVEFERAN® 100 mg/5ml sol injBoîte de 5 (1)
Further information Always consult your healthcare provider to ensure the information displayed on this page applies to your personal circumstances. (1)
Genouillère / Support Ajustable Adaptable Gauche / Droite Genouillère fabriquée à partir du néoprène afin de conserver la chaleur du corps. (1)
Gilet de série pour contention et immobilisation scapulo-humérale. 1 manchon coton Taille 1. (1)
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HOW SHOULD I USE BETAZIDIM? Use Betazidim as directed by your doctor. Check the label on the medicine for exact dosing instructions. Betazidim is usually administered as an injection at your doctor's office, hospital, or clinic. If you are using Betazidim at home, carefully follow the injection procedures taught to you by your health care provider. Do not use Betazidim if it contains particles, is cloudy or discolored, or if the vial is cracked or damaged. To clear up your infection completely, take Betazidim for the full course of treatment. Keep taking it even if you feel better in a few days. Keep this product, as well as syringes and needles, out of the reach of children and pets. Do not reuse needles, syringes, or other materials. Ask your health care provider how to dispose of these materials after use. Follow all local rules for disposal. If you miss a dose of Betazidim, take it as soon as possible. If it is almost time for your next dose, skip the missed dose and go back to your regular dosing schedule. Do not take 2 doses at once. Ask your health care provider any questions you may have about how to use Betazidim. USES OF BETAZIDIM IN DETAILS infoThere are specific as well as general uses of a drug or medicine. A medicine can be used to prevent a disease, treat a disease over a period or cure a disease. It can also be used to treat the particular symptom of the disease. The drug use depends on the form the patient takes it. It may be more useful in injection form or sometimes in tablet form. The drug can be used for a single troubling symptom or a life-threatening condition. While some medications can be stopped after few days, some drugs need to be continued for prolonged period to get the benefit from it. More: https://www.ndrugs.com/?s=betazidim (1)
HOW TO USE SYNRIAM TABLET Take this medicine in the dose and duration as advised by your doctor. Swallow it as a whole. Do not chew, crush or break it. Synriam 150/750mg Tablet is to be taken with food. HOW SYNRIAM TABLET WORKS Synriam 150/750mg Tablet is a combination of two antiparasitic medicines: Arterolane and Piperaquine, which treats malaria. They work by increasing the levels of heme in the blood, a substance toxic to the malarial parasite. This kills the parasite and stops the infection from spreading. (1)
How should I use this medicine? Contact lenses should be removed prior to using travoprost eye solution. Contact lenses may be reinserted 15 minutes following application of travoprost to the eye. Travoprost eye solution is only for use in the eye. Do not take by mouth. Follow the directions on the prescription label. Wash hands before and after use. Tilt the head back slightly and pull down the lower lid with the index finger to form a pouch. Try not to touch the tip of the dropper to your eye or into the pouch. Squeeze the prescribed number of drops into the pouch and gently close the eyes for 1—2 minutes. Do not blink. Use your doses at regular intervals. Do not use you medicine more often than directed. Contact your pediatrician or health care professional regarding the use of this medicine in children. Special care may be needed. What if I miss a dose? If you miss a dose, use it as soon as you can. If it is almost time for your next dose, use only that dose. Do not use double or extra doses. What other medicines can interact with travoprost eye solution? No interactions with other medicines have been reported. Do not use any other eye products without telling your prescriber or health care professional. Check before stopping or starting any of your medicines or non-prescription products. Tell your prescriber or health care professional about all other medicines you are taking, including non-prescription medicines, nutritional supplements, or herbal products. Also tell your prescriber or health care professional if you are a frequent user of drinks with caffeine or alcohol, if you smoke, or if you use illegal drugs. These may affect the way your medicine works. Check with your health care professional before stopping or starting any of your medicines. What side effects may I notice from using travoprost eye solution? Side effects that you should report to your prescriber or health care professional as soon as possible: • any change in your vision • inflamed or infected eyes or eyelids Side effects that usually do not require medical attention (report to your prescriber or health care professional if they continue or are bothersome): • burning, stinging, or discomfort immediately after using the solution • changes in eye, eyelash, or eyelid color • dry eyes • increased flow of tears • sensitivity of the eyes to light NOTE: This information is not intended to cover all possible uses, precautions, interactions, or adverse effects for this drug. If you have questions about the drug(s) you are taking, check with your health care professional. It is not intended as medical advice for individual conditions or treatment. (1)
How to use Virgan Eye Gel Always use this medicine exactly as your doctor has told you. Check with your doctor or pharmacist if you are not sure. The recommended dose is Adults and elderly: The usual dose is one drop of gel in each infected eye, five times per day until healed, then three times per day for 7 days. Use in children: Virgan Eye Gel should not be used in children, unless your doctor tells you to. The treatment should not usually exceed 21 days. Ref: 1669/170816/1/B ® Virgan 0.15% w/w Eye Gel (ganciclovir) Patient Information Leaflet (continued) This medicine is intended to be administered into the eye (ocular use). DO NOT INJECT. DO NOT SWALLOW. 1. Wash your hands thoroughly before using the product. 2. Do not touch your eye with the tip of the dropper. 3. While looking upwards and pulling the lower eyelid down, gently squeeze the tube to release one drop into the eye. 4. Press the inner corner of your eye with your fingertip for 1-2 minutes. This will prevent the drops from draining away too quickly. 5. Repeat for the other eye if necessary. 6. Close the tube after use. 5 How to store Virgan Eye Gel KEEP OUT OF THE SIGHT AND REACH OF CHILDREN. Do not store above 25°C. Do not use Virgan Eye Gel after the expiry date which is stated on the tube and the carton after EXP. The expiry date refers to the last day of that month. Use within 28 days of first opening. If your medicine becomes discoloured or shows any other signs of deterioration consult your pharmacist who will tell you what to do. Do not throw away any medicines via wastewater or household waste. Ask your pharmacist how to throw away medicines you no longer use. These measures will help protect the environment. Between applications, the tube should be placed vertically with the tip pointing downwards in the base provided with the pack. 6 Follow the instructions carefully. If there is anything you do not understand, ask your doctor or pharmacist. Your doctor may advise you to use this medicine in a different way. Always follow your doctor’s directions. Your pharmacist can also help if you are not sure. If you forget to use Virgan Eye Gel Do not take a double dose to make up for a forgotten dose. If you have any further questions on the use of this medicine, ask your doctor, pharmacist or nurse. 4 Possible side effects Like all medicines, this medicine can cause side effects, although not everybody gets them. The possible side effects are: * Very common (may affect more than 1 in 10 people) - burning or brief tingling sensations, * Common (may affect up to 1 in 10 people) * inflammation of the surface of the eye (such as burning or irritation, feeling like there is something in your eye, tears in the eye, sensitive to light and sometimes a small decrease in vision). Reporting of side effects If you get any side effects, talk to your doctor, pharmacist or nurse. This includes any possible side effects not listed in this leaflet. You can also report side effects directly via the Yellow Card Scheme. Website: www.mhra.gov.uk/yellowcard By reporting side effects you can help provide more information on the safety of this medicine. Contents of the pack and other information What Virgan Eye Gel contains: Each gram of gel contains 1.5mg of ganciclovir. The other ingredients are: carbomer (974P), sorbitol, sodium hydroxide, benzalkonium chloride and purified water. What Virgan Eye Gel looks like and contents of the pack Virgan is a transparent eye gel in a tube with a detachable base cap. Each tube contains 5g of the eye gel. Manufacturer and Licence Holder Manufactured by FARMILA – THEA Farmaceutici S.p.A Via Enrico Fermi, 50-20019 Settimo Milanese (MI), Italy and is procured from within the EU and repackaged by the Product Licence Holder: Lexon (UK) Limited, Unit 18, Oxleasow Road, East Moons Moat, Redditch, Worcestershire, B98 0RE. If you have any questions or are not sure about anything, ask your doctor or pharmacist. They will have additional information about this medicine and will be able to advise you. POM PL 15184/1669 Virgan 0.15% w/w Eye Gel Virgan is a registered trademark of Laboratoires Thea. Revision date: 17/08/16 Blind or partially sighted? Is this leaflet hard to see or read? Phone Lexon (UK) Limited, Tel: 01527 505414 for help. Ref: 1669/170816/2/F Ganciclovir 0.15% w/w Eye Gel Patient Information Leaflet Read all of this leaflet carefully before you start using this medicine because it contains important information for you. * Keep this leaflet. You may need to read it again. * If you have any further questions, ask your doctor, pharmacist or nurse. * This medicine has been prescribed for you only. Do not pass it on to others. It may harm them, even if their signs of illness are the same as yours. * If you get any side effects, talk to your doctor, pharmacist or nurse. This includes any possible side effects not listed in this leaflet. Your medicine is called Ganciclovir 0.15% w/w Eye Gel but will be referred to as Ganciclovir Eye Gel throughout the rest of this leaflet. What is in this leaflet: 1 What Ganciclovir Eye Gel is and what it is used for 2 What you need to know before you use Ganciclovir Eye Gel 3 How to use Ganciclovir Eye Gel 4 Possible side effects 5 How to store Ganciclovir Eye Gel 6 Contents of the pack and other information 1 What Ganciclovir Eye Gel is and what it is used for Ganciclovir Eye Gel contains ganciclovir as the active ingredient. Ganciclovir is one of a group of active substances called anti-virals, used to treat infections caused by viruses. This eye gel is used to treat an infection in the eye called acute herpetic keratitis in adults aged 18 years and over. 2 What you need to know before you use Ganciclovir Eye Gel DO NOT USE Ganciclovir Eye Gel If you are allergic (hypersensitive) to: * ganciclovir or any of the other ingredients of this medicine (listed in section 6), * acyclovir, another antiviral drug. If you are pregnant or breast-feeding, unless your doctor tells you to. In men and women of childbearing age unless you use a method of birth control. Men using Ganciclovir Eye Gel should use a local method of contraception (such as a condom) for three months after the end of treatment. Warnings and precautions Talk to your doctor, pharmacist or nurse before using Ganciclovir Eye Gel. * Ganciclovir Eye Gel contains benzalkonium chloride which may cause eye irritation. Contact lenses * Avoid contact with soft contact lenses. * Remove contact lenses prior to application and wait at least 15 minutes before reinsertion. * Benzalkonium chloride is known to discolour soft contact lenses. Children Do not give this medicine to children under the age of 18 years as there is not enough information to know if it is safe in children. Other medicines and Ganciclovir Eye Gel Tell your doctor or pharmacist if you are using, have recently used or might use any other medicines. * If you are using any additional eye treatments: 1. you should wait for at least 15 minutes between using the two treatments, 2. Ganciclovir Eye Gel should always be the last treatment put into the eye *Talk to your doctor before using this eye gel if you are taking any other medicines, especially any of the following: * antigout drugs such as probenecid, * anti-infectives such as trimethoprim/ sulpha, dapsone, pentamidine, amphotericin B, imipenem/cilastatin or zidovudine, * anticancer therapy such as vincristine, vinblastine, adriamycin or flucytosine. Pregnancy, breast-feeding and fertility If you are pregnant or breast-feeding, think you may be pregnant or are planning to have a baby, ask your doctor or pharmacist for advice immediately, before taking this medicine. This medicine should not be used during pregnancy and breast-feeding, unless your doctor tells you to. Men and women of childbearing age should use a method of birth control. Men using Ganciclovir Eye Gel should use a local method of contraception (such as a condom) for three months after the end of treatment. Driving and using machines If you notice any visual disturbances (for instance, blurred vision), or if you notice any other problems with your eye sight after using this eye gel, you should not drive or operate machinery until you are satisfied that you can see clearly. Ganciclovir Eye Gel contains benzalkonium chloride See section 2: What you need to know before you use Ganciclovir Eye Gel – Warnings and precautions. 3 How to use Ganciclovir Eye Gel Always use this medicine exactly as your doctor has told you. Check with your doctor or pharmacist if you are not sure. The recommended dose is Adults and elderly: The usual dose is one drop of gel in each infected eye, five times per day until healed, then three times per day for 7 days. Use in children: Ganciclovir Eye Gel should not be used in children, unless your doctor tells you to. The treatment should not usually exceed 21 days. Ref: 1669/170816/2/B Ganciclovir 0.15% w/w Eye Gel Patient Information Leaflet (continued) This medicine is intended to be administered into the eye (ocular use). DO NOT INJECT. DO NOT SWALLOW. 1. Wash your hands thoroughly before using the product. 2. Do not touch your eye with the tip of the dropper. 3. While looking upwards and pulling the lower eyelid down, gently squeeze the tube to release one drop into the eye. 4. Press the inner corner of your eye with your fingertip for 1-2 minutes. This will prevent the drops from draining away too quickly. 5. Repeat for the other eye if necessary. 6. Close the tube after use. 5 How to store Ganciclovir Eye Gel KEEP OUT OF THE SIGHT AND REACH OF CHILDREN. Do not store above 25°C. Do not use Ganciclovir Eye Gel after the expiry date which is stated on the tube and the carton after EXP. The expiry date refers to the last day of that month. Use within 28 days of first opening. If your medicine becomes discoloured or shows any other signs of deterioration consult your pharmacist who will tell you what to do. Do not throw away any medicines via wastewater or household waste. Ask your pharmacist how to throw away medicines you no longer use. These measures will help protect the environment. Between applications, the tube should be placed vertically with the tip pointing downwards in the base provided with the pack. Follow the instructions carefully. If there is anything you do not understand, ask your doctor or pharmacist. Your doctor may advise you to use this medicine in a different way. Always follow your doctor’s directions. Your pharmacist can also help if you are not sure. If you forget to use Ganciclovir Eye Gel Do not take a double dose to make up for a forgotten dose. If you have any further questions on the use of this medicine, ask your doctor, pharmacist or nurse. 4 Possible side effects Like all medicines, this medicine can cause side effects, although not everybody gets them. The possible side effects are: * Very common (may affect more than 1 in 10 people) - burning or brief tingling sensations, * Common (may affect up to 1 in 10 people) * inflammation of the surface of the eye (such as burning or irritation, feeling like there is something in your eye, tears in the eye, sensitive to light and sometimes a small decrease in vision). Reporting of side effects If you get any side effects, talk to your doctor, pharmacist or nurse. This includes any possible side effects not listed in this leaflet. You can also report side effects directly via the Yellow Card Scheme. Website: www.mhra.gov.uk/yellowcard By reporting side effects you can help provide more information on the safety of this medicine. 6 Contents of the pack and other information What Ganciclovir Eye Gel contains: Each gram of gel contains 1.5mg of ganciclovir. The other ingredients are: carbomer (974P), sorbitol, sodium hydroxide, benzalkonium chloride and purified water. What Ganciclovir Eye Gel looks like and contents of the pack Ganciclovir is a transparent eye gel in a tube with a detachable base cap. Each tube contains 5g of the eye gel. Manufacturer and Licence Holder Manufactured by FARMILA – THEA Farmaceutici S.p.A Via Enrico Fermi, 50-20019 Settimo Milanese (MI), Italy and is procured from within the EU and repackaged by the Product Licence Holder: Lexon (UK) Limited, Unit 18, Oxleasow Road, East Moons Moat, Redditch, Worcestershire, B98 0RE. If you have any questions or are not sure about anything, ask your doctor or pharmacist. They will have additional information about this medicine and will be able to advise you. POM PL 15184/1669 Ganciclovir 0.15% w/w Eye Gel Revision date: 17/08/16 Blind or partially sighted? Is this leaflet hard to see or read? Phone Lexon (UK) Limited, Tel: 01527 505414 for help. How to use Virgan Eye Gel Always use this medicine exactly as your doctor has told you. Check with your doctor or pharmacist if you are not sure. The recommended dose is Adults and elderly: The usual dose is one drop of gel in each infected eye, five times per day until healed, then three times per day for 7 days. Use in children: Virgan Eye Gel should not be used in children, unless your doctor tells you to. The treatment should not usually exceed 21 days. Ref: 1669/170816/1/B ® Virgan 0.15% w/w Eye Gel (ganciclovir) Patient Information Leaflet (continued) This medicine is intended to be administered into the eye (ocular use). DO NOT INJECT. DO NOT SWALLOW. 1. Wash your hands thoroughly before using the product. 2. Do not touch your eye with the tip of the dropper. 3. While looking upwards and pulling the lower eyelid down, gently squeeze the tube to release one drop into the eye. 4. Press the inner corner of your eye with your fingertip for 1-2 minutes. This will prevent the drops from draining away too quickly. 5. Repeat for the other eye if necessary. 6. Close the tube after use. 5 How to store Virgan Eye Gel KEEP OUT OF THE SIGHT AND REACH OF CHILDREN. Do not store above 25°C. Do not use Virgan Eye Gel after the expiry date which is stated on the tube and the carton after EXP. The expiry date refers to the last day of that month. Use within 28 days of first opening. If your medicine becomes discoloured or shows any other signs of deterioration consult your pharmacist who will tell you what to do. Do not throw away any medicines via wastewater or household waste. Ask your pharmacist how to throw away medicines you no longer use. These measures will help protect the environment. Between applications, the tube should be placed vertically with the tip pointing downwards in the base provided with the pack. 6 Follow the instructions carefully. If there is anything you do not understand, ask your doctor or pharmacist. Your doctor may advise you to use this medicine in a different way. Always follow your doctor’s directions. Your pharmacist can also help if you are not sure. If you forget to use Virgan Eye Gel Do not take a double dose to make up for a forgotten dose. If you have any further questions on the use of this medicine, ask your doctor, pharmacist or nurse. 4 Possible side effects Like all medicines, this medicine can cause side effects, although not everybody gets them. The possible side effects are: * Very common (may affect more than 1 in 10 people) - burning or brief tingling sensations, * Common (may affect up to 1 in 10 people) * inflammation of the surface of the eye (such as burning or irritation, feeling like there is something in your eye, tears in the eye, sensitive to light and sometimes a small decrease in vision). Reporting of side effects If you get any side effects, talk to your doctor, pharmacist or nurse. This includes any possible side effects not listed in this leaflet. You can also report side effects directly via the Yellow Card Scheme. Website: www.mhra.gov.uk/yellowcard By reporting side effects you can help provide more information on the safety of this medicine. Contents of the pack and other information What Virgan Eye Gel contains: Each gram of gel contains 1.5mg of ganciclovir. The other ingredients are: carbomer (974P), sorbitol, sodium hydroxide, benzalkonium chloride and purified water. What Virgan Eye Gel looks like and contents of the pack Virgan is a transparent eye gel in a tube with a detachable base cap. Each tube contains 5g of the eye gel. Manufacturer and Licence Holder Manufactured by FARMILA – THEA Farmaceutici S.p.A Via Enrico Fermi, 50-20019 Settimo Milanese (MI), Italy and is procured from within the EU and repackaged by the Product Licence Holder: Lexon (UK) Limited, Unit 18, Oxleasow Road, East Moons Moat, Redditch, Worcestershire, B98 0RE. If you have any questions or are not sure about anything, ask your doctor or pharmacist. They will have additional information about this medicine and will be able to advise you. POM PL 15184/1669 Virgan 0.15% w/w Eye Gel Virgan is a registered trademark of Laboratoires Thea. Revision date: 17/08/16 Blind or partially sighted? Is this leaflet hard to see or read? Phone Lexon (UK) Limited, Tel: 01527 505414 for help. Ref: 1669/170816/2/F Ganciclovir 0.15% w/w Eye Gel Patient Information Leaflet Read all of this leaflet carefully before you start using this medicine because it contains important information for you. * Keep this leaflet. You may need to read it again. * If you have any further questions, ask your doctor, pharmacist or nurse. * This medicine has been prescribed for you only. Do not pass it on to others. It may harm them, even if their signs of illness are the same as yours. * If you get any side effects, talk to your doctor, pharmacist or nurse. This includes any possible side effects not listed in this leaflet. Your medicine is called Ganciclovir 0.15% w/w Eye Gel but will be referred to as Ganciclovir Eye Gel throughout the rest of this leaflet. What is in this leaflet: 1 What Ganciclovir Eye Gel is and what it is used for 2 What you need to know before you use Ganciclovir Eye Gel 3 How to use Ganciclovir Eye Gel 4 Possible side effects 5 How to store Ganciclovir Eye Gel 6 Contents of the pack and other information 1 What Ganciclovir Eye Gel is and what it is used for Ganciclovir Eye Gel contains ganciclovir as the active ingredient. Ganciclovir is one of a group of active substances called anti-virals, used to treat infections caused by viruses. This eye gel is used to treat an infection in the eye called acute herpetic keratitis in adults aged 18 years and over. 2 What you need to know before you use Ganciclovir Eye Gel DO NOT USE Ganciclovir Eye Gel If you are allergic (hypersensitive) to: * ganciclovir or any of the other ingredients of this medicine (listed in section 6), * acyclovir, another antiviral drug. If you are pregnant or breast-feeding, unless your doctor tells you to. In men and women of childbearing age unless you use a method of birth control. Men using Ganciclovir Eye Gel should use a local method of contraception (such as a condom) for three months after the end of treatment. Warnings and precautions Talk to your doctor, pharmacist or nurse before using Ganciclovir Eye Gel. * Ganciclovir Eye Gel contains benzalkonium chloride which may cause eye irritation. Contact lenses * Avoid contact with soft contact lenses. * Remove contact lenses prior to application and wait at least 15 minutes before reinsertion. * Benzalkonium chloride is known to discolour soft contact lenses. Children Do not give this medicine to children under the age of 18 years as there is not enough information to know if it is safe in children. Other medicines and Ganciclovir Eye Gel Tell your doctor or pharmacist if you are using, have recently used or might use any other medicines. * If you are using any additional eye treatments: 1. you should wait for at least 15 minutes between using the two treatments, 2. Ganciclovir Eye Gel should always be the last treatment put into the eye *Talk to your doctor before using this eye gel if you are taking any other medicines, especially any of the following: * antigout drugs such as probenecid, * anti-infectives such as trimethoprim/ sulpha, dapsone, pentamidine, amphotericin B, imipenem/cilastatin or zidovudine, * anticancer therapy such as vincristine, vinblastine, adriamycin or flucytosine. Pregnancy, breast-feeding and fertility If you are pregnant or breast-feeding, think you may be pregnant or are planning to have a baby, ask your doctor or pharmacist for advice immediately, before taking this medicine. This medicine should not be used during pregnancy and breast-feeding, unless your doctor tells you to. Men and women of childbearing age should use a method of birth control. Men using Ganciclovir Eye Gel should use a local method of contraception (such as a condom) for three months after the end of treatment. Driving and using machines If you notice any visual disturbances (for instance, blurred vision), or if you notice any other problems with your eye sight after using this eye gel, you should not drive or operate machinery until you are satisfied that you can see clearly. Ganciclovir Eye Gel contains benzalkonium chloride See section 2: What you need to know before you use Ganciclovir Eye Gel – Warnings and precautions. 3 How to use Ganciclovir Eye Gel Always use this medicine exactly as your doctor has told you. Check with your doctor or pharmacist if you are not sure. The recommended dose is Adults and elderly: The usual dose is one drop of gel in each infected eye, five times per day until healed, then three times per day for 7 days. Use in children: Ganciclovir Eye Gel should not be used in children, unless your doctor tells you to. The treatment should not usually exceed 21 days. Ref: 1669/170816/2/B Ganciclovir 0.15% w/w Eye Gel Patient Information Leaflet (continued) This medicine is intended to be administered into the eye (ocular use). DO NOT INJECT. DO NOT SWALLOW. 1. Wash your hands thoroughly before using the product. 2. Do not touch your eye with the tip of the dropper. 3. While looking upwards and pulling the lower eyelid down, gently squeeze the tube to release one drop into the eye. 4. Press the inner corner of your eye with your fingertip for 1-2 minutes. This will prevent the drops from draining away too quickly. 5. Repeat for the other eye if necessary. 6. Close the tube after use. 5 How to store Ganciclovir Eye Gel KEEP OUT OF THE SIGHT AND REACH OF CHILDREN. Do not store above 25°C. Do not use Ganciclovir Eye Gel after the expiry date which is stated on the tube and the carton after EXP. The expiry date refers to the last day of that month. Use within 28 days of first opening. If your medicine becomes discoloured or shows any other signs of deterioration consult your pharmacist who will tell you what to do. Do not throw away any medicines via wastewater or household waste. Ask your pharmacist how to throw away medicines you no longer use. These measures will help protect the environment. Between applications, the tube should be placed vertically with the tip pointing downwards in the base provided with the pack. Follow the instructions carefully. If there is anything you do not understand, ask your doctor or pharmacist. Your doctor may advise you to use this medicine in a different way. Always follow your doctor’s directions. Your pharmacist can also help if you are not sure. If you forget to use Ganciclovir Eye Gel Do not take a double dose to make up for a forgotten dose. If you have any further questions on the use of this medicine, ask your doctor, pharmacist or nurse. 4 Possible side effects Like all medicines, this medicine can cause side effects, although not everybody gets them. The possible side effects are: * Very common (may affect more than 1 in 10 people) - burning or brief tingling sensations, * Common (may affect up to 1 in 10 people) * inflammation of the surface of the eye (such as burning or irritation, feeling like there is something in your eye, tears in the eye, sensitive to light and sometimes a small decrease in vision). Reporting of side effects If you get any side effects, talk to your doctor, pharmacist or nurse. This includes any possible side effects not listed in this leaflet. You can also report side effects directly via the Yellow Card Scheme. Website: www.mhra.gov.uk/yellowcard By reporting side effects you can help provide more information on the safety of this medicine. 6 Contents of the pack and other information What Ganciclovir Eye Gel contains: Each gram of gel contains 1.5mg of ganciclovir. The other ingredients are: carbomer (974P), sorbitol, sodium hydroxide, benzalkonium chloride and purified water. What Ganciclovir Eye Gel looks like and contents of the pack Ganciclovir is a transparent eye gel in a tube with a detachable base cap. Each tube contains 5g of the eye gel. Manufacturer and Licence Holder Manufactured by FARMILA – THEA Farmaceutici S.p.A Via Enrico Fermi, 50-20019 Settimo Milanese (MI), Italy and is procured from within the EU and repackaged by the Product Licence Holder: Lexon (UK) Limited, Unit 18, Oxleasow Road, East Moons Moat, Redditch, Worcestershire, B98 0RE. If you have any questions or are not sure about anything, ask your doctor or pharmacist. They will have additional information about this medicine and will be able to advise you. POM PL 15184/1669 Ganciclovir 0.15% w/w Eye Gel Revision date: 17/08/16 Blind or partially sighted? Is this leaflet hard to see or read? Phone Lexon (UK) Limited, Tel: 01527 505414 for help. (1)
Hypersensitivity to the active substance or to any of the excipients. Do not use the cream to treat nail or scalp infections. Adverse Effects : Allergic reaction, blisters, discomfort/pain, oedema, erythema, irritation, peeling/exfoliation, pruritus, rash, stinging/burning. Dosage : The cream should be applied thinly and evenly to the affected area 2 – 3 times daily and rubbed in gently. A strip of cream (½ cm long) is enough to treat an area of about the size of the hand. Treatment should be continued for at least one month for dermatophyte infections, or for at least two weeks for Candidal infections. (1)
INTERACTIONS DE FLAGYL 250 MG AVEC D'AUTRES MÉDICAMENTS AFIN D'EVITER D'EVENTUELLES INTERACTIONS ENTRE PLUSIEURS MEDICAMENTS, et notamment avec le disulfirame et l'alcool, IL FAUT SIGNALER SYSTEMATIQUEMENT TOUT AUTRE TRAITEMENT EN COURS A VOTRE MEDECIN OU A VOTRE PHARMACIEN. La prise de ce médicament peut perturber les résultats de certains examens de laboratoire (recherche de tréponèmes); le métronidazole peut en effet faussement positiver un test de Nelson. UTILISATION DE FLAGYL 250 MG PENDANT LA GROSSESSE ET L'ALLAITEMENT En cas de besoin, ce médicament peut être pris pendant la grossesse. Il convient cependant de demander l'avis à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre ce médicament. Eviter l'allaitement pendant la prise de ce médicament. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. EFFETS DE FLAGYL 250 MG SUR LA CONDUITE ET L'UTILISATION DE MACHINES L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de vertiges, de confusion, d'hallucinations ou de convulsions, attachés à l'emploi de ce médicament. FLAGYL 250 MG : COMPOSITION Substance active Métronidazole : 250,00 mg Pour un comprimé pelliculé. Autres composants Amidon de blé, povidone K30, stéarate de magnésium, hypromellose, macrogol 20000. COMPOSANTS À EFFET NOTOIRE DE FLAGYL 250 MG amidon de blé (gluten). QUE FAIRE EN CAS DE SURDOSAGE DE FLAGYL 250 MG ? En cas de vomissements, difficulté à coordonner les mouvements, désorientation, consultez votre médecin. Il peut être amené à vous prescrire un traitement. CONDITIONS DE CONSERVATION Pas de précautions particulières de conservation. DATE DE PÉREMPTION DE FLAGYL 250 MG Ne pas utiliser FLAGYL 250 mg, comprimé pelliculé après la date de péremption mentionnée sur le flacon. LABORATOIRE(S) TITULAIRE(S], FABRICANT(S) OU EXPLOITANT(S) DE FLAGYL 250 MG Titulaire SANOFI AVENTIS FRANCE 1-13, boulevard Romain Rolland 75014 PARIS Exploitant SANOFI AVENTIS FRANCE 1-13, boulevard Romain Rolland 75014 PARIS Fabricant FAMAR LYON AVENUE DU GENERAL DE GAULLE 69230 SAINT GENIS LAVAL ou SANOFI-AVENTIS S.A. CTRA. C-35 (LA BATLLORIA-HOSTALRIC,KM. 63,09) RIELLS I VIABREA 17404 GERONA ESPAGNE (1)
Il est recommandé de se brosser les dents après chaque repas, de préférence avec une brosse à dents souple. (1)
Inclut : Appareil de mesure de la glycémie Manuel de l'utilisateur Batterie Autopiqueur Lancettes Mallette de transport Guide de référence rapide (1)
Indications Ce médicament est indiqué chez l'adulte dans le traitement des carences en vitamine B1. Posologie Réservé à l'adulte. La posologie usuelle est de 1 à 2 comprimés par jour. Mode et voie d'administration Voie orale. Les comprimés sont à avaler, sans croquer, avec un peu d'eau. Précautions d'emploi Mises en garde spéciales Faites attention avec Bevitine 250 mg, comprimé enrobé: Ce médicament peut être administré en cas de maladie coeliaque. L'amidon de blé peut contenir du gluten, mais seulement à l'état de trace, et est donc considéré comme sans danger pour les sujets atteints d'une maladie coeliaque. Grossesse et allaitement Grossesse Il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, consultez votre médecin car lui seul peut juger de la nécessité de poursuivre ce traitement Allaitement En cas d'allaitement, éviter de prendre ce médicament. D'une façon générale, il convient, au cours de la grossesse et de l'allaitement de toujours demander avis à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre un médicament. Contre-indications Ne prenez jamais Bevitine 250 mg, comprimé enrobé dans les cas suivants: En cas d'antécédent d'allergie à l'un des constituants, Si vous êtes allergique (hypersensible) au blé, en raison de la présence d'amidon de blé. Effets indésirables Comme tous les médicaments, Bevitine 250 mg, comprimé enrobé est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet. Troubles du système immunitaire: Des cas isolés de réactions allergiques de type choc anaphylactique, prurits, urticaires, démangeaisons, angioedèmes, douleurs abdominales, détresse respiratoire, tachycardie, palpitations, collapsus ont été rapportés. Troubles gastro-intestinaux: Des évènements gastro-intestinaux bénins ont été rapportés: nausées, vomissements, diarrhées et douleurs abdominales. Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. (1)
Indications : Gestes à visée diagnostique, soins apportés aux patients, soins dentaires. Recommandé pour les personnes sensibles aux gants poudrés (1)
Indications : pourquoi le prendre? Indications d’utilisation Conjonctivite bactérienne Kératite bactérienne Ulcère cornéen bactérien Blépharite bactérienne Orgelet Indications thérapeutiques Traitement antibactérien local des conjonctivites, des kératites, des ulcères cornéens, des blépharites et de l'orgelet dus à des germes sensibles à l'acide fusidique. Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens. (1)
Indications d'utilisation Ibufen est destiné au traitement symptomatique - il réduit la douleur et la sévérité du processus inflammatoire pendant la période d'utilisation, mais n'a aucun effet sur la progression de la maladie sous-jacente. Cette forme posologique est conçue spécifiquement pour les enfants, mais les adultes peuvent également prendre le médicament. Donc, Ibufen applique: Pour le soulagement de douleurs d'origines diverses, notamment angine, névralgie, algodiménorrhée et processus inflammatoires du pelvis, arthrite, radiculite, bursite, myalgie, arthralgie, ossalgie, amyotrophie névralgique, tendovaginite, tendinite, tendinite, adolescence et maux de tête, maux de dents, migraine, douleurs aux oreilles et à la gorge, douleurs post-traumatiques et postopératoires, etc. Afin de réduire l’augmentation de la température corporelle due aux infections respiratoires aiguës, à la grippe, aux infections infantiles, aux vaccinations, etc. Dans le traitement des maladies dégénératives et inflammatoires du système musculo-squelettique, telles que la spondylarthrite ankylosante (spondylarthrite ankylosante), l’arthrite du SLE, l’ostéochondrose, la maladie de Turner et la goutte, psoriasis, rhumatoïde, juvénile, chronique et juvénile. Contre-indications Ibufen est contre-indiqué dans: Hypersensibilité connue à l’ibuprofène, à l’acide acétylsalicylique (AAS) ou à tout autre AINS; Hypersensibilité à tout composant auxiliaire; L'histoire du développement d'un bronchospasme après la prise d'AAS ou d'autres AINS; Polypes nasaux; Carence en glucose-6-phosphate déshydrogénase; Exacerbation d'un ulcère gastrique ou d'un ulcère duodénal; Angioedema; Fonction hépatique / rénale sévère; Perte d'audition; Hémophilie, diathèse hémorragique ou autres troubles de la coagulation. Le médicament est contre-indiqué chez les enfants jusqu'à 6 mois ou pesant moins de 7 kg. Enfants âgés de 6 à 12 mois Ibufen ne peut être administré que sur ordonnance. Le médicament peut être utilisé, mais sous surveillance médicale étroite avec: Dyslipidémie; Maladie coronarienne; La présence d'une infection à Helicobacter pylori; Ulcère peptique et 12 antécédents d'ulcère duodénal; Syndrome néphrotique; Maladies pulmonaires obstructives et l'asthme bronchique; Maladies cérébrovasculaires; Cirrhose du foie avec hypertension portale; L'hyperbilirubinémie; Maladies somatiques graves; Insuffisance hépatique / rénale; Leucopénie, anémie; La nécessité d'une utilisation à long terme du médicament; Maladies artérielles périphériques; Diabète sucré. Insuffisance cardiaque sévère. L'hypertension; Avec une extrême prudence, Ibufen est également prescrit pour les patients âgés, les personnes qui abusent de l'alcool et / ou les fumeurs. Le médicament peut être pris par les mères allaitantes souffrant de douleur et de fièvre, mais si nécessaire, un traitement au long cours et / ou à fortes doses (plus de 800 mg par jour) est recommandé pour interrompre l’allaitement. L'ibuprofène est contre-indiqué au cours des trois trimestres de la grossesse. Aux 1 et 2 trimestres, le médicament n'est prescrit que si les bénéfices escomptés pour la femme l'emportent sur les risques potentiels pour le fœtus. Dosage et administration Le médicament doit être pris après un repas. Immédiatement avant de le prendre, bien agiter le flacon (pour homogénéiser le sirop). En règle générale, on prescrit aux enfants entre 5 et 10 mg d'ibuprofène par kilogramme de poids corporel. La dose quotidienne maximale autorisée est de 20-30 mg / kg. Étant donné que 5 ml de la suspension contiennent 100 mg d'ibuprofène, les doses uniques et quotidiennes moyennes sont les suivantes: De 6 à 12 mois (7 à 9 kg): 2,5 ml et 7,5 ml (respectivement, 50 et 150 mg d'ibuprofène); 1-3 ans (10-15 kg): 2,5 ml et 7,5-10 ml (50 et 150-200 mg); 3-6 ans (16-20 kg): 5 ml et 15 ml (100 et 300 mg); 6-9 ans (21-30 kg): 5 ml et 20 ml (100 et 400 mg); 9-12 ans (31-41 kg): 10 ml et 30 ml (200 et 600 mg); Plus de 12 ans: 10 ml et 40 ml (200 et 800 mg). Prenez le médicament devrait être à des intervalles de 6-8 heures, c.-à-d. pas plus de 4 fois par jour. Vous ne pouvez plus utiliser Ibufen: 3 jours - en fébrifuge; 5 jours - comme anesthésique. Effets secondaires Lors de l'utilisation d'Ibufena, les effets secondaires suivants peuvent survenir: Constipation ou diarrhée, brûlures d'estomac, nausée et / ou vomissements, perte d'appétit, douleurs abdominales, flatulences, augmentation de l'activité des transaminases hépatiques; dans de rares cas - hémorragie du tractus gastro-intestinal, lésions érosives et ulcéreuses du tractus gastro-intestinal; Augmentation de la pression artérielle, tachycardie, insuffisance cardiaque; Maux de tête, anxiété, vertiges, désorientation, agitation, somnolence, dépression; rarement - méningite aseptique, déficience visuelle; Agranulocytose, anémie, thrombocytopénie, leucopénie; Polyurie, néphrite allergique, cystite; rarement - augmentation de la concentration d'acide urique dans le sérum sanguin, dysfonctionnement rénal, syndrome néphrotique, insuffisance rénale aiguë; Eruption cutanée, démangeaisons, urticaire; rarement des syndromes de Lyell et Steven-Johnson, œdème de Quincke; en présence de prédisposition - rhinite allergique, bronchospasme. Instructions spéciales En l'absence d'un effet analgésique dans les 3 jours ou d'un antipyrétique pendant 2 jours, vous devez arrêter de prendre Ibufen et consulter un médecin. Avec un traitement prolongé peut endommager les muqueuses du tractus gastro-intestinal, le développement de saignements et la formation d'ulcères peptiques. Pour cette raison, les patients nécessitent une surveillance régulière des fonctions hépatique et rénale, ainsi que des images du sang périphérique. Le médicament contient du sucre, qui doit être pris en compte lors du traitement de patients diabétiques. Il faut garder à l'esprit que l'ibuprofène: Réduit l'effet des diurétiques et des antihypertenseurs; Améliore l'effet des anticoagulants; Peut remplacer les hypoglycémiants oraux, les dérivés de l’hydantoïne, les anticoagulants indirects et les composés de sulfonylurée des composés plasmatiques; Augmente la concentration de carbonate de lithium dans le plasma sanguin; Augmente la toxicité du méthotrexate et du baclofène. À l'utilisation simultanée d'Ibufen avec: Acide acétylsalicylique - la concentration dans le sang d’ibuprofène diminue; GCS - augmente le risque d'effets secondaires du tractus gastro-intestinal; Warfarine - augmentation possible du temps de saignement, de la formation d'hématome et de l'excrétion de sang dans l'urine; Kolestiramine - il y a une diminution modérée de l'absorption de l'ibuprofène; Hydroxyde de magnésium - augmente l'absorption initiale de l'ibuprofène. Les analogues Brufen SR, Advil, Adfil Liquides, ArtroKam, Bonifen, Ibuprom, Burana, Deblock, Ibuprom Max, Nurofen, Ibuprofen, Nurofen Express, Nurofen actif, Solpaflex, MIG 400, Faspik. Termes et conditions de stockage Conservez Ibufen dans un endroit sombre à la température ambiante. La durée de conservation est de 3 ans. Après ouverture du flacon, la suspension convient à une utilisation dans un délai de 6 mois. Vous avez trouvé une erreur dans le texte? Sélectionnez-le et appuyez sur Ctrl + Entrée. (1)
Indications thérapeutiques · Traitement symptomatique de la crise d'asthme. · Traitement symptomatique des exacerbations d'asthme ou bronchite chronique obstructive. · Prévention de l'asthme d'effort. · Test de réversibilité de l'obstruction bronchique lors des explorations fonctionnelles respiratoires. Crise d'asthme Exacerbation d'asthme Exacerbation de la bronchite chronique obstructive Asthme d'effort Test de réversibilité de l'obstruction bronchique Contre-indications · Allergie à l'un des constituants. · Intolérance à ce médicament (survenue de toux ou de bronchospasme survenant immédiatement après inhalation du produit). Dans ce cas, il conviendra d'interrompre ce traitement et de prescrire d'autres thérapeutiques ou d'autres formes d'administration. Contre-indiqué dans les cas suivants : Hypersensibilité salbutamol Intolérance à Ventoline aérosol Mises en garde spéciales et précautions d'emploi Mises en garde Informer le patient qu'une consultation médicale immédiate est nécessaire si, en cas de crise d'asthme, le soulagement habituellement obtenu n'est pas rapidement observé. L'augmentation de la consommation de bronchodilatateurs bêta-2 agonistes peut être un signe d'aggravation de l'asthme ou de la bronchopneumopathie obstructive. Si un patient développe en quelques jours une augmentation rapide de sa consommation en bronchodilatateurs bêta-2 mimétiques d'action rapide et de courte durée par voie inhalée, on doit craindre (surtout si les valeurs du débit-mètre de pointe s'abaissent et/ou deviennent irrégulières) une décompensation de l'atteinte respiratoire et chez les asthmatiques, la possibilité d'une évolution vers un état de mal asthmatique. Le médecin devra donc prévenir le patient de la nécessité dans ce cas, d'une consultation immédiate, sans avoir, au préalable, dépassé les doses maximales prescrites. La conduite thérapeutique devra alors être réévaluée. Une détérioration soudaine et progressive du contrôle de l'asthme peut mettre en jeu le pronostic vital. L'instauration d'une corticothérapie ou l'augmentation d'une corticothérapie déjà en cours, doivent être envisagées. En outre, chez l'adulte asthmatique, une corticothérapie inhalée doit être envisagée dès qu'il est nécessaire de recourir plus de 1 fois par semaine aux bêta-2 mimétiques par voie inhalée. Le patient doit dans ce cas être averti que l'amélioration de son état clinique ne doit pas conduire à une modification de son traitement, en particulier à l'arrêt de la corticothérapie par voie inhalée sans avis médical. Comme avec les autres traitements administrés par voie inhalée, un bronchospasme paradoxal peut survenir, se manifestant par une augmentation de la dyspnée et des sifflements bronchiques immédiatement après l'inhalation du produit. Le bronchospasme sera traité par une autre présentation ou un autre bronchodilatateur à action rapide par voie inhalée (si disponible). Le traitement par Ventoline en flacon pressurisé doit être interrompu et, si nécessaire, être remplacé par un autre médicament bronchodilatateur à action rapide. Les médicaments ayant une activité sympathomimétiques, dont fait partie le salbutamol, peuvent entraîner des effets cardiovasculaires. Des cas d'ischémies myocardiques associées au salbutamol ont été rapportés lors de notifications spontanées depuis la commercialisation ainsi que dans la littérature. Les patients présentant une cardiopathie sévère sous-jacente (par exemple, cardiopathie ischémique, troubles du rythme ou insuffisance cardiaque sévère) devront être informés de la nécessité de consulter leur médecin en cas de douleur thoracique ou autres symptômes évocateurs d'une aggravation de leur cardiopathie. L'origine cardiaque de symptômes respiratoires telle qu'une dyspnée doit également être évoquée. Précautions d'emploi En cas d'infection bronchique ou de bronchorrhée abondante, un traitement approprié est nécessaire afin de favoriser la diffusion optimale du produit dans les voies respiratoires. Le salbutamol doit être utilisé avec précaution chez les patients ayant reçu des doses importantes d'autres médicaments sympathomimétiques. Le salbutamol administré par voie inhalée avec ce dispositif en flacon pressurisé, peut-être, aux doses usuelles, normalement utilisé chez les malades atteints d'hyperthyroïdie, de troubles coronariens, de cardiomyopathie obstructive, de troubles du rythme ventriculaire, d'hypertension artérielle, de diabète sucré, contrairement au salbutamol administré en nébulisation ou par voie orale ou injectable qui ne doit être prescrit qu'avec prudence dans ces situations. Les bêta-2 mimétiques à forte dose (en particulier par voie parentérale ou par nébulisation), peuvent être à l'origine d'une hypokaliémie potentiellement grave, pouvant favoriser la survenue de troubles du rythme cardiaque. Une surveillance de la kaliémie est recommandée dans la mesure du possible, en particulier lors de l'administration simultanée de thérapeutiques hypokaliémiantes, en cas d'hypoxie ou chez les sujets chez qui le risque de survenue de torsades de pointes est majoré (QT long ou traitements susceptibles d'augmenter le QTc). Comme d'autres agonistes des récepteurs béta adrénergiques, le salbutamol peut induire une augmentation de la glycémie. Des cas d'acidocétose ont été rapportés chez les patients diabétiques. L'administration concomitante de corticoïdes peut majorer ces effets. Des cas d'acidose lactique ont été très rarement rapportés en association à de fortes doses de bêta-2 agonistes de courte durée d'action par voie intraveineuse ou par voie inhalée par nébulisation, principalement chez des patients traités pour une exacerbation aiguë de leur asthme (voir Effets indésirables Effets indésirables). Une augmentation du taux d'acide lactique peut entraîner une dyspnée et une hyperventilation compensatoire, qui peut être interprétée à tort comme un signe d'échec au traitement de l'asthme conduisant à l'augmentation inapproprié du traitement par bêta-agoniste de courte durée d'action. Par conséquent, le risque d'acidose lactique doit faire l'objet d'une surveillance attentive en particulier dans les situations sévères. Sportifs: L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. Etat de mal asthmatique Bronchospasme paradoxal Cardiopathie sévère Douleur thoracique Dyspnée Infection bronchique Bronchorrhée abondante Hypokaliémie Risque d'hypokaliémie Hypoxie Facteurs de risque de torsades de pointes Diabète Risque d'acidose lactique Grossesse Accouchement Allaitement Sportif Effets indésirables Les effets secondaires sont cités ci-dessous, listés par classe organe et par fréquence. Les fréquences sont définies en très fréquent (≥1/10), fréquent (³1/100 et (1)
Indications/Possibilités d’emploi Douleurs aiguës ou prolongées d'intensité moyenne à forte, respectivement en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques de type non-opioïde. Posologie/Mode d’emploi La posologie devrait être adaptée à l'intensité des douleurs et à la sensibilité individuelle des patients. La dose analgésique efficace la plus faible doit généralement être choisie. La dose totale de 400 mg chlorhydrate de tramadol ne doit pas être dépassée, sauf circonstances particulières. Solution injectable 100 mg/2 ml Adultes et enfants de plus de 12 ans 50–100 mg de chlorhydrate de tramadol toutes les 4–6 heures. Enfants de plus de 1 an Doses unitaires de 1–2 mg par kg de poids corporel. La dose quotidienne maximale de 8 mg de chlorhydrate de tramadol par kg de poids corporel ou 400 mg de chlorhydrate de tramadol sans dépasser la dose la plus faible de ces deux doses. Voir rubrique «Propriétés/Effets», enfants et adolescents. Mode d'application La solution injectable devrait être administrée lentement c'est-à-dire 1 ml de solution injectable Trabar (correspondant à 50 mg de chlorhydrate de tramadol) par minute, ou diluée et perfusée en solution de perfusion. Pour plus d'information sur la dilution de ce médicament avant utilisation, voir rubrique «Remarques particulières», Remarques concernant la manipulation. Trabar 50, capsules Adultes et enfants de plus de 12 ans 50–100 mg de chlorhydrate de tramadol toutes les 4–6 heures. Enfants de moins de 12 ans En raison de la dose contenue, les capsules ne sont pas appropriées pour les enfants de moins de 12 ans. Mode d'application Avaler les capsules sans les croquer ou les partager, avec assez de liquide. Patients souffrant d'une insuffisance rénale et hépatique L'élimination du tramadol est ralentie chez les patients souffrant d'insuffisance rénale et/ou hépatique, donc la durée d'action de Trabar peut être prolongée. Le cas échéant, on augmentera individuellement les intervalles entre les doses en fonction de la réapparition de la douleur. Patients sous hémodialyse Dû à son grand volume de distribution, le tramadol n'est éliminé que très lentement du sérum par hémodialyse ou hémofiltration. C'est pourquoi, en règle générale, une nouvelle administration n'est pas nécessaire pour le maintien de l'analgésie chez les patients dialysés. Patients âgés Il n'est généralement pas nécessaire d'adapter la dose chez des patients âgés de moins de 75 ans sans insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. L'élimination peut être ralentie chez les patients de plus de 75 ans, même s'ils n'ont pas d'insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. En conséquence, on doit augmenter individuellement les intervalles entre les doses, si nécessaire. Durée de traitement Trabar ne devrait pas être utilisé plus longtemps qu'il n'est absolument nécessaire du point de vue thérapeutique. Si, vu le genre et la gravité de la maladie, un traitement analgésique prolongé avec Trabar s'avère nécessaire, il faut contrôler minutieusement et régulièrement (au besoin en interrompant le traitement pendant une courte période) si et dans quelle mesure le traitement est encore nécessaire. Contre-indications Trabar est contre-indiqué ‒lors d'une hypersensibilité au tramadol ou à l'un des excipients; ‒lors d'intoxications aiguës par l'alcool, les hypnotiques, les analgésiques, les opioïdes ou les psychotropes; ‒chez les patients qui sont traités simultanément ou qui ont été traités dans les 14 jours précédents avec les inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir rubrique «Interactions»); ‒chez les patients souffrant d'épilepsie insuffisamment contrôlée par thérapie; ‒comme substitut de la drogue. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine. Mises en garde et précautions Trabar ne devra être utilisé qu'avec une prudence particulière chez les patients dépendant des opioïdes et chez les patients présentant un traumatisme crânien, un état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours d'états accompagnés d'une élévation de la pression intracrânienne. Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Ce risque existe aussi chez les patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif ou causant des effets adrénergiques dans le SNC comme les antidépresseurs tricycliques, les neuroleptiques, inhibiteurs de la MAO, des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN). Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités avec tramadol qu'en cas de nécessité absolue (voir rubrique «Effets indésirables, Troubles du système nerveux». Trabar n'est pas approprié au traitement des enfants âgés de moins d'une année. Le tramadol présente un faible potentiel de dépendance. Une tolérance et une dépendance psychique et physique peuvent se développer lors d'une utilisation au long cours. Chez les patients qui présentent une tendance à la toxicomanie ou à la dépendance, le traitement avec tramadol doit être limité à une durée brève, sous surveillance médicale stricte (voir aussi rubrique «Effets indésirables»). Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes. Trabar n'est pas approprié au traitement chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine (voir rubrique «Contre-indications»). Une rechute a été observée chez les patients sous Trabar ayant auparavant connu une dépendance aux opioïdes. Des signes de sevrage peuvent survenir lors de l'arrêt soudain d'un traitement avec Trabar (voir rubrique «Effets indésirables»). L'expérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée. Par voie intraveineuse, il faut injecter Trabar lentement. Interactions Ne pas associer Trabar aux inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir aussi rubrique «Contre-indications»). En cas de traitement préalable par un inhibiteur de la monoamine oxydase (MAO) au cours des 14 jours précédant l'administration de péthidine, un opioïde, des interactions potentiellement mortelles ont été observées avec atteinte du système nerveux central, des fonctions respiratoires et circulatoires. Le même type d'interaction médicamenteuse n'est pas exclu lors de l'association d'un inhibiteur de la MAO et de Trabar. L'administration concomitante de Trabar avec d'autres dépresseurs centraux, y compris l'alcool, peut potentialiser les effets sur le système nerveux central. Lors de combinaison de Trabar avec des barbituriques p.ex., on a observé dans l'expérimentation animale une prolongation de la durée de l'anesthésie. Mais, en même temps, on peut s'attendre à un effet favorable sur la sensibilité à la douleur en combinant Trabar avec un tranquillisant par exemple. Les études pharmacocinétiques, réalisées à ce jour, ont montré que l'administration concomitante ou antérieure de cimétidine (inhibiteur d'enzymes) est peu susceptible de provoquer des interactions cliniquement significatives. L'administration simultanée ou antérieure de carbamazépine (inducteur d'enzymes) peut réduire les effets analgésiques et raccourcir la durée d'action. Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et d'autres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, mirtazapine et tétrahydrocannabinol). L'utilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que ISRS, ISRN, IMAO (voir rubrique «Contre-indications»), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Des symptômes d'un syndrome sérotoninergique peuvent être: ‒Myoclonies; ‒Clonus inductible ou oculaire accompagné d'agitation ou de diaphorèse; ‒Tremblements et hyperréflexie; ‒Hypertonie et température corporelle >38 °C et clonus inductible ou oculaire. L'arrêt des substances sérotoninergiques permet habituellement d'obtenir une amélioration rapide. Le traitement dépend du type et de la sévérité des symptômes. Les patients doivent être soigneusement surveillés en cas d'utilisation simultanée de tramadol et de dérivés de la coumarine (par exemple, la warfarine), une augmentation de l'INR (International Normalised Ratio) ayant été observée chez quelques patients, associée à des hémorragies et des ecchymoses importantes. D'autres inhibiteurs CYP3A4 tels que le kétoconazole et l'érythromycine, pourraient inhiber le métabolisme du tramadol (N-déméthylation) et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. L'importance clinique d'une telle interaction n'a pas fait l'objet d'études (voir aussi rubrique «Effets indésirables»). Des études d'interactions effectuées in vitro sur des microsomes hépatiques humains montrent que la prise simultanée d'un inhibiteur du CYP2D6 comme la fluoxétine, la paroxétine et l'amitriptyline peut entraîner une certaine inhibition du métabolisme du tramadol. Dans un nombre limité d'études, le besoin en tramadol des patients présentant des douleurs postopératoires était augmenté après l'administration pré- ou postopératoire de l'antiémétique ondansétron (antagoniste des récepteurs 5-HT3). Grossesse/Allaitement Grossesse Le tramadol traverse la barrière placentaire. Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes pour évaluer la sécurité d'emploi chez la femme enceinte. Les études sur animaux ont mis en évidence, à des doses très élevées materno-toxiques, des effets toxicologiques dans la reproduction, mais pas des effets tératogènes (voir rubrique «Données précliniques»). Administré avant ou pendant l'accouchement, le tramadol ne modifie pas la contractilité utérine. Il peut provoquer des modifications de la fréquence respiratoire chez les nouveau-nés, qui sont généralement sans conséquences cliniques préjudiciables. Une prise de Trabar pendant une période prolongée pendant la grossesse peut provoquer un état de manque chez le nouveau-né. Trabar ne doit donc pas être utilisé chez les femmes enceintes sauf si cela est absolument nécessaire. Allaitement Le tramadol est sécrété à environ 0,1% de la concentration du sérum maternel dans le lait. Trabar ne doit pas être administré à ou utilisé par des femmes qui allaitent. Il n'est généralement pas nécessaire d'arrêter l'allaitement après une seule administration de tramadol. Fertilité Dans la surveillance post-marketing quelques cas d'anomalies des spermatozoïdes et d'hypogonadismes ont été signalés. Cependant, aucune relation de causalité n'a pu être établie. Les études animales n'ont montré aucun effet du tramadol sur la fertilité. Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines Même pris en respectant les recommandations, Trabar peut diminuer les réactions (p.ex. par somnolence et vertiges) des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines. Cette considération s'applique en particulier en cas d'association avec de l'alcool ou d'autres psychotropes. Effets indésirables Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont des nausées et des vertiges qui sont observés chez plus de 10% des patients. Affections du système nerveux Très fréquents (>10%): vertiges (14%). Fréquents (1–10%): céphalées, confusion. Rares (0,01–0,1%): paresthésie, tremblements, troubles de la parole, convulsions, tressaillements musculaires involontaires, troubles de la coordination, syncope. Des convulsions sont survenues principalement après l'administration de doses élevées de tramadol ou après un traitement concomitant par des médicaments qui peuvent abaisser le seuil convulsivant (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et rubrique «Interactions»). Affections psychiatriques Rares (0,01–0,1%): hallucinations, état de confusion, troubles du sommeil, délire, angoisse et cauchemars. Après l'administration de Trabar, on peut également observer différents effets secondaires psychiques dont l'intensité et la nature varient d'un patient à l'autre (en fonction de la réactivité individuelle et de la durée du traitement). On peut aussi observer des troubles de l'humeur (habituellement une exaltation, occasionnellement une dysphorie), des modifications de l'activité (habituellement une diminution de l'activité, occasionnellement un accroissement) et des modifications des capacités cognitive et sensorielle (p.ex. la capacité décisionnelle, des troubles de la perception). Une dépendance peut apparaître. Les symptômes d'une réaction de sevrage identiques à ceux observés avec les opioïdes peuvent survenir. Ces symptômes sont: agitation, angoisse, nervosité, troubles du sommeil, hyperkinésie/hyperactivité, tremblements et symptômes gastro-intestinaux. Les symptômes observés qui peuvent survenir à l'arrêt du traitement avec le tramadol dans de très rares cas (10%): nausées (15%). Fréquents (1–10%): vomissements (9%), constipation, sécheresse de la bouche. Occasionnels (0,1–1%): nausée, malaise (p.ex. sensation de pesanteur gastrique, flatulences), diarrhée. Affections hépatobiliaires Dans quelques cas isolés, une augmentation des enzymes hépatiques a été rapportée lors de l'utilisation thérapeutique du tramadol. Affections de la peau et du tissu sous-cutané Fréquents (1–10%): hyperhidrosis. Occasionnels (0,1–1%): réactions cutanées (p.ex. prurit, éruption cutanée, urticaire). Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Rares (0,01–0,1%): faiblesse musculaire. Affections du rein et des voies urinaires Rares (0,01–0,1%): troubles mictionnels (dysurie et rétention urinaire). Affections du système immunitaire Rares (0,01–0,1%): réactions allergiques (par exemple dyspnée, bronchospasme, sibilants/ronchus, œdème angioneurotique) et choc anaphylactique. Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fréquents (1–10%): épuisement. Surdosage Symptômes En principe, lors d'une intoxication par le Trabar, des symptômes analogues à ceux provoqués par d'autres substances opioïdes sont attendus. Il s'agit en particulier d'un myosis, de vomissements, d'un collapsus cardiovasculaire, de troubles de la conscience allant jusqu'au coma, de convulsions et d'une dépression respiratoire allant jusqu'à l'arrêt respiratoire. Traitement Prendre les mesures d'urgence générales habituelles. Assurer la liberté des voies respiratoires (aspiration), maintenir la ventilation et la circulation en fonction des symptômes. L'antidote en cas de dépression respiratoire est la naloxone. En expérimentation animale, la naloxone n'a exercé aucun effet sur les convulsions. Dans de tels cas, du diazépam devra être administré par voie intraveineuse. L'interaction opioïdes/benzodiazépine doit être considérée (risque d'une dépression respiratoire). Lors d'une intoxication par les formes orales, l'élimination gastro-intestinale par administration de charbon actif ou par lavage gastrique est uniquement recommandée dans les 2 heures après la prise de tramadol. Passé ce délai, de telles mesures ne sont utiles qu'en cas d'intoxication par des quantités exceptionnellement importantes de tramadol ou par une forme à libération prolongée. Le tramadol n'est que très faiblement éliminé du sérum par hémodialyse ou par hémofiltration. Le traitement d'une intoxication aiguë au Trabar par hémodialyse ou hémofiltration seul n'est donc pas efficace. Propriétés/Effets Code ATC: N02AX02 Le tramadol est un analgésique opioïde à action centrale. Il s'agit d'un agoniste pur et non sélectif des récepteurs opioïdes µ, δ et κ avec une affinité plus élevée pour les récepteurs µ. D'autres mécanismes qui contribuent aux effets analgésiques du produit sont l'inhibition de la recapture neuronale de noradrénaline et l'augmentation de la libération de sérotonine. Le tramadol a un effet antitussif. A l'inverse de la morphine, une large gamme de doses analgésiques de tramadol ne présente pas d'effet dépresseur respiratoire. De même, la motricité gastro-intestinale est peu modifiée. Les effets sur le système cardiovasculaire sont plutôt faibles. La puissance du tramadol serait de 1/10 à 1/6 de celle de la morphine. L'effet analgésique du tramadol apparaît rapidement et dure plusieurs heures (4–6 h). Enfants et adolescents Les effets d'une administration entérale ou parentérale du tramadol ont été étudiés dans des essais cliniques ayant inclus plus de 2000 patients âgés de 0 (nouveau-né) à 17 ans. Les indications étudiées dans ces essais comprenaient le traitement des douleurs post-opératoires (principalement abdominales), des douleurs suite à extractions dentaires chirurgicales, des fractures, des brûlures ou des traumatismes ainsi que d'autres conditions douloureuses pouvant nécessiter un traitement antalgique pendant au moins 7 jours. A des doses allant jusqu'à 2 mg / kg en dose unique ou 8 mg / kg par jour en doses multiples (sans dépasser 400 mg par jour), l'efficacité du tramadol a été jugée supérieure au placebo, et supérieure ou égale au paracétamol, à la nalbuphine, à la péthidine ou à la morphine à faible dose. Les essais conduits ont confirmé l'efficacité du tramadol. Le profil de sécurité du tramadol était similaire chez les patients adultes et les patients pédiatriques âgés de plus de 1 an (voir rubrique «Posologie et mode d'administration»). Pharmacocinétique Absorption Plus de 90% du tramadol est absorbé après administration orale. La biodisponibilité absolue est d'environ 68% (orale), respectivement de 79% (utilisation rectale) et donc très favorable comparée à d'autres analgésiques. Elle est indépendante de la prise concomitante d'aliments. L'effet de premier passage après administration orale est au maximum de 30% et après utilisation rectale de 20%. La demi-vie de la distribution t½α est d'environ 0,8 h. Après administration de 100 mg de Trabar, des concentrations plasmatiques maximales Cmax de 309 ± 90 ng/ml (forme liquide) ou de 280 ± 49 ng/ml (forme comprimé) sont atteintes au bout de 1,2, resp. de 2 heures. Des concentrations plasmatiques maximales Cmax de 613 ± 221 ng/ml sont atteintes 15 minutes après une injection i.v. de 100 mg. La relation entre les concentrations sériques et les effets analgésiques est dose-dépendante, mais varie considérablement dans des cas particuliers. Une concentration sérique de 100 ng/ml à 300 ng/ml est habituellement efficace. Distribution Le tramadol a une haute affinité tissulaire. Le volume de distribution est de 203 ± 40 l. Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 20%. Le tramadol traverse la barrière hémato-encéphalique et le placenta. De très faibles quantités du principe actif et de son dérivé O-desméthylé sont retrouvées dans le lait maternel (respectivement 0,1% et 0,02% de la dose administrée). Métabolisme/Elimination La demi-vie d'élimination t½β est d'environ 6 heures, indépendamment des modalités d'administration. Chez l'homme, le tramadol est métabolisé principalement par une N- et une O-déméthylation et une conjugaison des produits de l'O-déméthylation avec l'acide glucuronique. Seul l'O-desméthyltramadol est actif sur le plan pharmacologique mais se retrouve dans le sang à des concentrations plus faibles que le tramadol même. Les expérimentations animales ont montré que l'O-desméthyltramadol est plus puissant que la molécule-mère d'un facteur de 2 à 4. Sa demi-vie d'élimination t½β est de 7,9 heures et approximativement identique à celle du tramadol. L'inhibition de l'un ou des deux cytochromes CYP3A4 et CYP2D6 participant à la biotransformation du tramadol peut modifier la concentration plasmatique du tramadol ou de l'un de ses métabolites actifs. À ce jour, aucune interaction cliniquement significative n'a été relevée. Le tramadol et ses métabolites sont excrétés pratiquement complètement (90%) par voie rénale. 1/4 à 1/3 de la forme active est excrétée inchangée par voie urinaire. Cinétique pour certains groupes de patients Lors de douleurs aiguës, Trabar n'est appliqué qu'un nombre de fois très restreint de telle manière qu'un changement de posologie n'est pas nécessaire. Chez des patients âgés de moins de 75 ans sans insuffisance hépatique ou rénale traités pour des douleurs chroniques, une adaptation de la posologie n'est normalement pas nécessaire. Chez les patients âgés de plus de 75 ans, le temps d'élimination peut être prolongé. En conséquence, l'intervalle entre les prises devrait être allongé individuellement, si nécessaire. En cas d'insuffisance hépatique ou rénale, il faut s'attendre à une prolongation de la demi-vie, prolongation négligeable tant que l'un des deux organes fonctionne normalement. Chez des patients présentant une cirrhose du foie, des temps de demi-vie de 13 heures a été observés (22 heures dans un cas extrême). Chez les insuffisants rénaux (clairance de la créatinine (1)
Indications: - Dégénérescence arthrosique, genou douloureux chronique. (1)
Informations Produit Poids net du produit 50 grammes Marque EKUBERG PHARMA S.U.R.L. (1)
L'utilisation future de logos, la volonté d'étiqueter les produits de manière plus précise et la traçabilité qui en résulterait [...] Ouvrir la pochette extérieure et retirer la pochette de conditionnement en utilisant une technique aseptique. (1)
La bilastine appartient à la classe des médicaments appelés antihistaminiques. On peut l'utiliser pour les personnes de 12 ans et plus afin de traiter les symptômes des allergies saisonnières, notamment les éternuements, les démangeaisons et les écoulements du nez; la rougeur et les démangeaisons oculaires et le larmoiement et les éruptions et les irritations cutanées. On utilise également la bilastine pour soulager les symptômes associés à certaines affections allergiques de la peau, notamment l'urticaire et les démangeaisons chroniques pour les personnes âgées de plus de 18 ans. Ce médicament agit en bloquant les actions de l'une des substances chimiques naturelles de l'organisme appelée histamine. L'histamine est responsable de plusieurs des symptômes des réactions allergiques. Il est possible de constater les effets de la bilastine après aussi peu de temps qu'une (1) heure après la prise du médicament et ceux-ci durent environ 24 heures. Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations. Une marque spécifique de ce médicament n'est peut-être pas offerte sous toutes les formes ni avoir été approuvée contre toutes les affections dont il est question ici. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées contre toutes les affections mentionnées dans cet article. Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable. Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit. (1)
La compresse Grassolind Neutral des Laboratoires Hartmann permettra donc de faciliter la cicatrisation des plaies superficielles. Elles sont disponibles en 2 dimensions au choix : 10cm x 10cm ou 5cm x 5cm et en deux conditionnements. Les Laboratoires Hartmann, créés en 1884, élaborent des dispositifs médicaux à destination des patients et des professionnels de santé, et ce, dans plusieurs domaines d’activité tels que l’hygiène, les soins, la cicatrisation, la prévention des risques d’infection, l’immobilisation … Conditionnement : 10 compresses 10 cm x 10 cm 10 compresses 5 cm x 5 cm 50 compresses 10 cm x 10 cm Hartmann Grassolind Neutral compresses à impregnation 5 cm x 5 cm Mis à jour le 13/06/2019 (1)
La dose est d'une goutte de Dorzolamide/timolol dans le cul-de-sac conjonctival de l'oeil (des yeux) atteint(s), deux fois par jour. En cas d'utilisation concomitante avec un autre collyre, Dorzolamide/timolol et l'autre collyre doivent être administrés à 10 minutes d'intervalle au moins. Les patients doivent être avertis de se laver les mains avant utilisation de ce collyre et d'éviter de mettre en contact l'embout du flacon avec l'oeil ou les parties avoisinantes. Les patients doivent aussi être informés que les solutions ophtalmiques, incorrectement manipulées, peuvent être contaminées par des bactéries communes, connues pour entraîner des infections oculaires. L'usage de solutions contaminées peut provoquer des lésions graves de l'oeil et par la suite une perte de la vision. Les patients doivent être informés de la manipulation correcte des flacons Ocumeter Plus. Mode d'emploi : 1. Avant d'utiliser ce collyre pour la première fois, s'assurer que la languette de sécurité sur le devant du flacon n'est pas déchirée. Un espace entre le flacon et le bouchon est normal pour un flacon non ouvert. 2. Déchirer la languette de sécurité pour rompre l'inviolabilité. 3. Pour ouvrir le flacon, dévisser le bouchon en tournant comme indiqué par les flèches sur le dessus du bouchon. Ne pas tirer directement le bouchon vers le haut. Cela empêcherait le flacon de fonctionner normalement. 4. Incliner la tête vers l'arrière et tirer légèrement la paupière inférieure vers le bas pour former une poche entre la paupière et l'oeil. 5. Renverser le flacon et presser doucement le poussoir avec le pouce ou l'index jusqu'à ce qu'une seule goutte tombe dans l'oeil comme indiqué par le médecin. Ne pas toucher l'oeil ou la paupière avec l'embout du flacon. 6. Après la première ouverture, si la dispensation des gouttes est difficile, replacer le bouchon sur le flacon et visser (ne pas visser trop fort), et ensuite retirer le bouchon en le dévissant dans l'autre sens comme indiqué par les flèches sur le dessus du bouchon. 7. Répéter les étapes 4 et 5 pour l'autre oeil si le médecin l'a prescrit. 8. Revisser le bouchon en tournant jusqu'à ce qu'il soit fermement en contact avec le flacon. Pour une fermeture correcte, la flèche située sur le côté gauche du bouchon doit être alignée avec la flèche située sur le côté gauche de l'étiquette du flacon. Ne pas visser trop fort, cela pourrait endommager le flacon et le bouchon. 9. L'embout est conçu pour délivrer une seule goutte ; par conséquent, ne pas élargir le trou de l'embout. 10. Lorsque l'on n'arrive plus à extraire de gouttes, il reste encore un peu de collyre dans le flacon de Dorzolamide/timolol . Cela n'est pas inquiétant car une quantité supplémentaire de Dorzolamide/timolol a été ajoutée pour permettre d'avoir le nombre suffisant de gouttes de Dorzolamide/timolol prescrit par le médecin. Ne pas essayer d'extraire du flacon l'excès de collyre. Utilisation chez l'enfant : L'efficacité n'a pas été établie chez l'enfant. La tolérance chez l'enfant de moins de 2 ans n'a pas été établie. (Cf Pharmacodynamie pour plus d'informations sur la tolérance chez l'enfant de 2 ans ou plus et de moins de 6 ans.) (1)
La dose recommandée est de un comprimé par jour. La durée du traitement est habituellement de plusieurs semaines. Dans le syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle et plus élevée. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : 1 gélule 2 fois par jour, associée à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 1 gélule par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine. Grossesse : L'effet de ce médicament pendant la grossesse est mal connu : seul votre médecin peut évaluer le risque éventuel de son utilisation dans votre cas. Allaitement : Ce médicament passe faiblement dans le lait maternel. Ne l'utilisez pas pendant l'allaitement sans avis médical. Lié au pantoprazole Il faut s'attendre à l'apparition d'effets indésirables chez environ 5% des patients. Les effets indésirables les plus fréquemment signalés sont la diarrhée et les céphalées. Ces effets indésirables apparaissent chez environ 1% des patients. Très fréquents (?1/10); fréquents (?1/100 et (1)
La posologie de la tisane Richter Sans théine, la tisane Richter peut être consommée à toute heure et tout au long de la journée, mais il est préférable de la consommer le soir pour favoriser les effets. Pour modérer l’intensité des effets laxatifs de la tisane Richter, il est conseillé de ne pas la laisser infuser trop longtemps. Et côté papilles, il est possible d’y ajouter quelques gouttes de citron ou un peu de miel, sans en rajouter sur la facture calorique. (1)
Le contenu de chaque flacon, doit être dissous dans environ 5 ml et être alors immédiatement dilué dans 100 ml. Une solution pour perfusion de chlorure de sodium 9 mg/ml (0,9 %) ou une solution pour perfusion de glucose 50 mg/ml (5 %) doivent être utilisées. La stabilité de l’oméprazole est influencée par le pH de la solution pour perfusion ce qui explique pourquoi aucun autre solvant ou quantité ne doit être utilisé pour la dilution. Préparation 1. Au moyen d'une seringue, aspirer 5 ml de la solution pour perfusion issue du flacon ou de la poche de 100 ml. 2. Introduire ce volume dans le flacon d’oméprazole lyophilisé et mélanger fortement jusqu'à dissolution complète. 3. Aspirer la solution d’oméprazole obtenue à l’aide d’une seringue. 4. Transférer cette solution dans le flacon ou la poche pour perfusion. 5. Répéter les étapes 1 à 4 de façon à s'assurer que tout le produit a été transféré du flacon vers le flacon ou la poche de perfusion. Méthode alternative pour perfusion dans des conditionnements flexibles 1. Au moyen d'un set de transfert à double entrée, brancher l'une des entrées sur la membrane d’injection de la poche de perfusion. Connecter l'autre entrée sur le flacon de lyophilisat d’oméprazole. 2. Dissoudre l’oméprazole en pompant la solution pour perfusion dans la poche de perfusion vers le flacon d’oméprazole. 3. S'assurer que l’oméprazole est bien dissout. La solution pour injection est administrée en perfusion intraveineuse sur 20 à 30 minutes. Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. (1)
Le dentifrice ELGYDIUM Anti-Plaque aide à éviter la formation de plaque dentaire et de tartre. Ces éléments sont responsables de l’apparition de caries et de gingivites. Ce dentifrice ne contient pas de fluor. 100 ml. Pour plus d’efficacité, nous vous conseillons d’utiliser la brosse à dents adaptée, ELGYDIUM Anti-Plaque. Existe aussi au format 75 ml. (1)
Le thermomètre digital permet une mesure pratique Le thermomètre digital a presque complétement remplacé le thermomètre classique grâce à son temps de mesure court et à sa facilité d'utiilisation. De nombreux thermomètres digitaux étant disponibles dans la boutique en ligne diposent de plusieurs emplacements de mémoire qui permettent un suivi par la fonction de mémoire. La fin de mesure de la température est annoncé par un bip ou par un message sur l'écran. Certains thermomètres disposent d'un signal sonore ou visuel (alarme fièvre). Il existent également des appareils équipés d'un système d'indication de fin de vie de pile ainsi que d'un arrêt automatique qui arrête l'appareil après la détermination de la température. (1)
Les comprimés sont pris de préférence au milieu des repas afin de limiter les effets digestifs indésirables. Ils doivent être avalés avec un verre d'eau sans être croqués ni écrasés. Quand les douleurs sont plus intenses la nuit, il est conseillé de prendre les comprimés LP le soir. Posologie usuelle : Adulte : traitement d'attaque en rhumatologie : 150 mg par jour (soit 2 comprimés à 25 mg, 3 fois par jour ou 1 comprimé à 50 mg, 3 fois par jour, ou 1 comprimé LP à 75 mg, 2 fois par jour), sans dépasser 7 jours de traitement ; traitement d'entretien en rhumatologie : 75 à 100 mg par jour (soit 3 ou 4 comprimés à 25 mg par jour, ou 2 comprimé à 50 mg par jour, ou 1 comprimé LP à 75 mg ou à 100 mg, ou 1 suppositoire à 100 mg par jour) ; douleurs des règles : 100 mg par jour, répartis en 2 prises (soit 2 comprimés à 25 mg ou 1 comprimé à 50 mg, matin et soir). Enfant de plus de 16 kg : 2 à 3 mg par kg et par jour, répartis en 2 ou 3 prises ; soit, par exemple, pour un enfant de plus de 6 ans et de 25 kg : 1 comprimé à 25 mg, 2 fois par jour. (1)
Les effets secondaires de en acide folique peuvent causer de la constipation, les symptômes d'allergie et des difficultés respiratoires. Contre-indications acide folique anémie normochrome, anémie aplasique, anémie pernicieuse. utilisation du mode d'acide folique adultes et les personnes âgées de: carence en acide folique - 0,25 à 1 mg / jour; anémie mégaloblastique ou la prévention avant la grossesse - 5 mg / jour Enfants : les nourrissons prématurés et - 0,25 à 0,5 ml / jour; 2 à 4 ans - 0,5 à 1 mL / jour; plus de 4 ans - 1 à 2 mL / jour. L'acide folique peut être trouvé dans les comprimés2 ou 5 mg ensolution de 2 mg / ml ou 5 de des gouttelettes, 2 mg / ml. (1)
Les gélules doivent être prises de préférence le matin, à jeun, avec un demi-verre d'eau. Pour les personnes qui ont du mal à avaler les gélules, celles-ci peuvent être ouvertes, et leur contenu avalé avec un demi-verre d'eau ou mélangé à un aliment de type yaourt, compote de pommes ou à un jus de fruits légèrement acide (jus d'orange, de pomme ou d'ananas). Posologie usuelle : Adulte : la dose varie entre 10 et 40 mg, une fois par jour. Le plus souvent, la dose recommandée est de 20 mg par jour. La durée du traitement est habituellement de plusieurs semaines. Dans le syndrome de Zollinger-Ellison : la posologie est individuelle et plus élevée. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : 1 gélule à 20 mg 2 fois par jour, associée à un traitement antibiotique pendant 7 jours ; puis 1 gélule à 20 mg par jour pendant au moins 3 semaines. Le succès du traitement est étroitement lié au strict respect de la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques pendant la première semaine. Enfant : Dans le reflux gastro-œsophagien et les inflammations de l'œsophage : 1 gélule à 10 mg par jour pour les enfants de 10 à 20 kg et 1 gélule à 20 mg par jour pour les enfants de plus de 20 kg. Dans l'éradication d'Helicobacter pylori : la posologie de l'antiulcéreux et des antibiotiques associés est fixée par le médecin. Elle dépend du poids de l'enfant. Des cas de diarrhées, constipation, douleurs abdominales, nausées/vomissements, céphalées et vertiges ont été rapportés ; de même des éruptions cutanées, des urticaires ou des prurits isolés ont été signalés. - De rares cas de confusion mentale réversible pouvant être associée à une agitation ou des hallucinations ont été observés, particulièrement chez des patients âgés ou insuffisants hépatiques. - Des cas isolés d'anomalies hématologiques ont été notés : leucopénie, neutropénie, thrombopénie, et très exceptionnellement pancytopénie et anémie hémolytique. - Des cas isolés d'élévation réversible des transaminases, de très rares cas d'atteintes hépatiques aiguës s'accompagnant exceptionnellement d'une insuffisance hépatique ont été observés. - De rares cas de gynécomastie ont été signalés. - De rares cas d'élévation de la créatinine ou d'insuffisance rénale généralement dus à une néphrite interstitielle ont été observés. - D'exceptionnelles hyponatrémies ont été signalées, en particulier chez le sujet âgé. - De très rares cas de photosensibilisation, d'érythème polymorphe, de syndrome de Stevens-Johnson et de syndrome de Lyell ont été observés. (1)
Les repas ne modifient pas l'absorption du médicament, qui peut donc être pris à n'importe quel moment de la journée. Néanmoins, la prise du médicament au début du repas diminue le risque d'intolérance. La suspension buvable Nourrisson et enfant est préparée en dissolvant la poudre avec de l'eau en quantité suffisante pour que la solution obtenue atteigne le trait gravé sur le flacon. La dose par prise est indiquée, en fonction du poids de l'enfant, sur le piston de la pipette graduée en kg. 3 prises par jour sont nécessaires. Par exemple, la graduation no 10 correspond à la dose à administrer pour un enfant de 10 kg, 3 fois par jour. Le contenu du sachet doit être dissous dans un verre d'eau. Posologie usuelle : Elle est exprimée en quantité d'amoxicilline. Elle varie en fonction des indications. A titre indicatif et pour des infections courantes : Adulte : 1 g d'amoxicilline (soit 2 comprimés à 500 mg/62,5mg ou 1 sachet à 1g/125 mg), 2 ou 3 fois par jour. Enfant et nourrisson : 80 mg d'amoxicilline par kg et par jour, répartis en 3 prises. Soit, par exemple, pour un enfant de 20 kg : 1 pipette de suspension buvable enfant jusqu'à la graduation 20 kg, 3 fois par jour. Ne pas dépasser 3 g d'amoxicilline par jour. (1)
Les repas ne modifient pas l'absorption du médicament, qui peut donc être pris à n'importe quel moment de la journée. Néanmoins, la prise du médicament au début du repas diminue le risque d'intolérance. La suspension buvable Nourrisson et enfant est préparée en dissolvant la poudre avec de l'eau en quantité suffisante pour que la solution obtenue atteigne le trait gravé sur le flacon. La dose par prise est indiquée, en fonction du poids de l'enfant, sur le piston de la pipette graduée en kg. 3 prises par jour sont nécessaires. Par exemple, la graduation no 10 correspond à la dose à administrer pour un enfant de 10 kg, 3 fois par jour. Le contenu du sachet doit être dissous dans un verre d'eau. Posologie usuelle : Elle est exprimée en quantité d'amoxicilline. Elle varie en fonction des indications. A titre indicatif et pour des infections courantes : Adulte : 1 g d'amoxicilline (soit 2 comprimés à 500 mg/62,5mg ou 1 sachet à 1g/125 mg), 2 ou 3 fois par jour. Enfant et nourrisson : 80 mg d'amoxicilline par kg et par jour, répartis en 3 prises. Soit, par exemple, pour un enfant de 20 kg : 1 pipette de suspension buvable enfant jusqu'à la graduation 20 kg, 3 fois par jour. Ne pas dépasser 3 g d'amoxicilline par jour. (4)
MATERIEL MEDICAL Ajoutée mar 17, 2016 Province Kinshasa Localisation Ngaliema vues 2242 Évaluation 1 Star2 Stars3 Stars4 Stars5 Stars DESCRIPTION HELMINTOX ADULTE CHEZ PERSEVERANCE C/NGALIEMA Q/BASPKP AV/TANGU N°7 (1)
MISES EN GARDE : RESERVE A L'ADULTE ET L'ENFANT DE PLUS DE 10 KG. - En raison de la présence de lactose, ce médicament ne doit pas être administré en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase. - En raison de la présence de maltodextrine (glucose), ce médicament est contre-indiqué en cas de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose. - En raison de la présence de sorbitol, ce médicament ne doit pas être administré en cas d'intolérance au fructose. - En cas d'ulcère gastroduodénal, la corticothérapie n'est pas contre-indiquée si un traitement anti-ulcéreux est associé. En cas d'antécédent ulcéreux, la corticothérapie peut être prescrite, avec une surveillance clinique et au besoin après fibroscopie. - La corticothérapie peut favoriser la survenue de diverses complications infectieuses dues notamment à des bactéries, des levures et des parasites. La survenue d'une anguillulose maligne est un risque important. Tous les sujets venant d'une zone d'endémie (régions tropicale, subtropicale, sud de l'Europe) doivent avoir un examen parasitologique des selles et un traitement éradicateur systématique avant la corticothérapie. - Les signes évolutifs d'une infection peuvent être masqués par la corticothérapie. - Il importe, avant la mise en route du traitement, d'écarter toute possibilité de foyer viscéral, notamment tuberculeux, et de surveiller, en cours de traitement, l'apparition de pathologies infectieuses. - En cas de tuberculose ancienne, un traitement prophylactique antituberculeux est nécessaire, s'il existe des séquelles radiologiques importantes et si l'on ne peut s'assurer qu'un traitement bien conduit de 6 mois par la rifampicine a été donné. - L'emploi des corticoïdes nécessite une surveillance particulièrement adaptée, notamment chez les sujets âgés et en cas de colites ulcéreuses (risque de perforation), anastomoses intestinales récentes, insuffisance rénale, insuffisance hépatique, ostéoporose, myasthénie grave. - Les corticoïdes oraux ou injectables peuvent favoriser l'apparition de tendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle). Ce risque est augmenté lors de la co-prescription avec des fluoroquinolones et chez les patients dialysés avec hyperparathyroïdisme secondaire ou ayant subi une transplantation rénale. - Ce médicament est déconseillé en association avec le sultopride ou un vaccin vivant atténué (voir rubrique interactions). PRECAUTIONS D'EMPLOI : - Ce médicament contient 27 mg de sodium par comprimé : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict. - En cas de traitement par corticoïdes au long cours : . Un régime pauvre en sucres d'absorption rapide et hyperprotidique doit être associé, en raison de l'effet hyperglycémiant et du catabolisme protidique avec négativation du bilan azoté. . Une rétention hydrosodée est habituelle, responsable en partie d'une élévation éventuelle de la pression artérielle. L'apport sodé sera réduit pour des posologies quotidiennes supérieures à 15 ou 20 mg d'équivalent prednisone et modéré dans les traitements au long cours à doses faibles. . La supplémentation potassique n'est justifiée que pour des traitements à fortes doses, prescrits pendant une longue durée ou en cas de risque de troubles du rythme ou d'association à un traitement hypokaliémiant. . Le patient doit avoir systématiquement un apport en calcium et vitamine D. . Lorsque la corticothérapie est indispensable, le diabète et l'hypertension artérielle ne sont pas des contre-indications mais le traitement peut entraîner leur déséquilibre. Il convient de réévaluer leur prise en charge. - Les patients doivent éviter le contact avec des sujets atteints de varicelle ou de rougeole. - L'attention est attirée chez les sportifs, cette spécialité contenant un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. - Grossesse : chez l'animal, l'expérimentation met en évidence un effet tératogène variable selon les espèces. Dans l'espèce humaine, il existe un passage transplacentaire. Cependant, les études épidémiologiques n'ont décelé aucun risque malformatif lié à la prise de corticoïdes lors du premier trimestre. Lors de maladies chroniques nécessitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard de croissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénale néonatale a été exceptionnellement observée après corticothérapie à doses élevées. Il est justifié d'observer une période de surveillance clinique (poids, diurèse) et biologique du nouveau-né. En conséquence, les corticoïdes peuvent être prescrits pendant la grossesse si besoin. - Allaitement : en cas de traitement à doses importantes et de façon chronique, l'allaitement est déconseillé. (1)
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI - Antécédents digestifs (ulcère gastro-duodénal, hernie hiatale hémorragies digestives,..), - Insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique. - Il n'y a pas lieu de réduire la posologie chez le sujet âgé. ATTENTION : LE TITRE ALCOOLIQUE DE LA SOLUTION EST DE 1 2,6° (V/V SOIT 100 mg D'ALCOOL PAR AMPOULE). CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES Prévenir les patients de l'apparition possible de vertiges et de somnolence. INTERACTIONS • Risque lié à l'hyperkaliémie : Les sels de potassium, les diurétiques hyperkaliémiants, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, les inhibiteurs de l'angiotensine II les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), la ciclosporine et le tacrolimus, le triméthoprime. La survenue d'une hvperkaliémie peut dépendre de l'existence de facteurs co-associés. Ce risque est majoré en cas d'association de médicaments suscités. • Associations déconseillées : Autres AINS (y compris les salicylés à fortes doses) Anticoagulants oraux Héparines (voie parentérale) Lithium, Méthotrexate utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine Ticlopidine. • Associations nécessitant des précautions d'emploi : Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), inhibiteurs de l'angiotensine II ; Méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine ; Pentoxifylline ;Zidovudine • Associations à prendre en compte : Bêtabloquants ; Ciclosporine ; Dispositif intra-utérin ; Thrombolytiques. GROSSESSE et ALLAITEMENT Grossesse : La prescription d'AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse. En dehors d'utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d'AINSest contre-indiquée à partir du 6ème mois. Allaitement : Les AINS passant dans le lait maternel, il convient d'éviter de les administrer chez la femme qui allaite. EFFETS INDÉSIRABLES • Effets gastro-intestinaux : anorexie, pesanteurs épigastriques, nausées, vomissements, constipation, douleurs abdominales, flatulences, diarrhées, ulcères, perforations, hémorragies digestives occultes ou non. • Réactions d'hypersensibilité : - Dermatologiques: éruption, rash, prurit, aggravation d'urticaire chronique : - Respiratoires : crise d'asthme. - Générales : anaphylaxie, oedème de Quincke, vascularites, maladie sérique. • Effets sur le système nerveux central : - Céphalées, somnolence et vertiges, bourdonnements d'oreille. - Des cas isolés de baisse de l'acuité auditive ont été exceptionnellement rapportés • Réactions cutanéo-muqueuses : Stomatites, éruptions prurit, rares cas de photosensibilisation. Ont été rapportés de rares cas de réactions cutanées bulleuses à type d'érythème polymorphe, d'ectodermose pluri-orificielle ou de nécrolyse épidermlque (Stevens-Johnson, Lyell). • Autres : Oedèmes, notamment des membres inférieurs. Exceptionnels cas de pancréatite. • Quelques rares modifications biologiques ont pu être observées : Rénales, Hématologiques,Hépatiques. (1)
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI MISES EN GARDE • L'utilisation prolongée peut éventuellement conduire à un état de dépendance. Chez les patients prédisposés, le traitement doit se faire sous surveillance médicale stricte. • Le tramadol n'est pas adapté au traitement de sevrage ou de substitution chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine. • Des convulsions ont été observés, principalement chez des patients prédisposés ou traités par des médicaments pouvant diminuer le seuil épileptogène, en particulier : inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, antidépresseurs, neuroleptiques, analgésiques centraux ou anesthésiques locaux. Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol qu'en cas de nécessité absolue. • La prise d'alcool pendant le traitement est déconseillée. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI Le tramadol ne doit être utilisé qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque, suivant l'origine de la douleur et le profil du patient. CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES L'altération possible de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines, notamment en cas d'absorption concomitante de boissons alcoolisées ou de médicaments dépresseurs du système nerveux central. GROSSESSE et ALLAITEMENT Grossesse Le tramadol traverse la barrière placentaire; l'innocuité du tramadol chez la femme enceinte n'a pas été démontrée. Il est préférable de ne pas utiliser Tramadis pendant le premier trimestre de la grossesse. A partir du deuxième trimestre, une utilisation prudente est ponctuellement possible. Durant le dernier trimestre, l'utilisation chronique du tramadol peut induire, quelque soit la dose, un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. A la fin de la grossesse,des doses élevées, même pour un traitement pour un courte durée, peuvent entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né. Allaitement Si un traitement est nécessaire pendant plusieurs jours, l'allaitement doit être interrompu. En cas de traitement au long cours par tramadol, l'allaitement est contre-indiqué. EFFETS INDÉSIRABLES Les effets indésirables le plus fréquemment rencontrés sont ceux de la classe des opiacés tels que : • nausées, vomissements ; • somnolence, céphalées, vertiges, • sécheresse buccale ; • constipation en cas de prise prolongée. Plus rarement • douleurs abdominales, rash, asthénie • troubles de la régulation cardiovasculaire Très rarement • réaction anaphylactique • troubles mictionnels • troubles de la fréquence respiratoire. Une dépression respiratoire peut survenir si les doses administrées dépassent largement les doses recommandées ou si d'autres médicaments dépresseurs centraux sont administrés de façon concomitante ; PHARMACODYNAMIE Le tramadol est un analgésique central dont l'efficacité est due à la synergie, aux doses thérapeutiques d'un effet opioïde dû à la fixation sur les récepteurs opioïdes de type µ et d'un effet monoaminergique central dû à une inhibition du recaptage de la noradrénaline et de la sérotonine, mécanisme impliqué dans le contrôle de la transmission nociceptive centrale. (1)
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI MISES EN GARDE - Infections à Clostridium difficile : comme avec d'autres antibactériens à large spectre, de rares cas de colite pseudomembraneuse ont été signalées pendant ou après un traitement par la lévofloxacine. Il convient alors d'arrêter le traitement par la lévofloxacine si celui-ci est en cours, de mettre en route une antibiothérapie adaptée. Dans ce cas, l'utilisation d'inhibiteurs du péristaltisme est contre-indiquée - Ce médicament est susceptible de provoquer une tendinite, plus particulièrement du tendon d'Achille, pouvant conduire à une rupture. Les tendinites peuvent survenir dès les deux premiers jours de traitement et atteindre les deux côtés. Elles surviennent surtout chez les personnes à risque : personnes âgées de plus de 65 ans, patients prenant des médicaments corticoïdes (y compris inhalés). La présence de ces facteurs augmente le risque de tendinite. Il est donc indispensable d'adapter le traitement antibiotique chez la personne âgée selon le fonctionnement de la clairance de la créatinine. L'apparition de signes de tendinite demande un arrêt du traitement, la mise au repos des deux tendons d'Achille par une contention appropriée ou des talonnettes et un avis en milieu spécialisé - Eviter l'exposition au soleil et aux rayonnements ultra-violets (UV) (lampe à bronzer, solarium...) pendant la durée du traitement et pendant les deux jours suivant l'arrêt de celui-ci, en raison du risque de photosensibilisation. - Les antibiotiques peuvent provoquer rarement des diarrhées sévères, persistantes et/ou sanglantes pouvant révéler une colite pseudomembraneuse. Il sera peut être nécessaire d'arrêter le traitement par ce médicament et de prendre un traitement spécifique. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI - Insuffisance rénale, - Antécédents de convulsions, - Antécédents de myasthénie - Myasthénie : la lévofloxacine doit être utilisée avec prudence chez les sujets atteints de myasthénie - La lévofloxacine peut inhiber la croissance de Mycobacterium tuberculosis, et ainsi faussement négativer le diagnostic bactériologique de tuberculose CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES Certains effets indésirables peuvent diminuer la capacité de concentration et de réaction nécessaire à l'exécution de certaines tâches. Il convient d'avertir les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines de ce risque potentiel SURDOSAGE Selon les études de toxicité chez l'animal, les signes les plus importants sont des symptômes du système nerveux central tels que confusion, vertiges, troubles de la conscience et crises convulsives ainsi que des réactions digestives telles que nausées et érosion des muqueuses.En cas de surdosage, un lavage gastrique doit être envisagé et un traitement symptomatique doit être mis en oeuvre. Il n'existe pas d'antidote spécifique. EN CAS D'OUBLI Le traitement doit être poursuivi normalement, sans tenir compte de la dose oubliée. INTERACTIONS ♦Interactions médicamenteuses : La lévofloxacine ne modifie pas la pharmacocinétique de la théophylline, de la warfarine et de la digoxine. •Nécessitant des précautions d'emploi : - Didanosine (DDI) : diminution de l'absorption digestive de la lévofloxacine en raison de l'augmentation du pH gastrique (présence d'un anti-acide dans le comprimé ou la poudre de DDI). Prendre la didanosine à distance de la lévofloxacine (plus de 2 heures si possible). - Fer (sels), voie orale : diminution de l'absorption digestive de la lévofloxacine. Prendre les sels de fer à distance de la lévofloxacine (plus de 2 heures si possible). - Topiques gastro-intestinaux : sels, oxydes, hydroxydes de magnésium, d'aluminium et de calcium : diminution de l'absorption digestive de la lévofloxacine. Prendre les topiques gastro-intestinaux à distance de la lévofloxacine (plus de 4 heures si possible). - Zinc (sels), voie orale (décrit pour des quantités de sels de zinc supérieures à 30 mg/jour) : diminution de l'absorption digestive de la lévofloxacine. Prendre les sels de zinc à distance de la lévofloxacine (plus de 2 heures si possible). - Sucralfate : diminution de l'absorption digestive de la lévofloxacine. Prendre le sucralfate à distance de la lévofloxacine (plus de 2 heures si possible). - Anticoagulants oraux : augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par la lévofloxacine et après son arrêt. •A prendre en compte : -Probénécide, cimétidine : diminution de la sécrétion tubulaire rénale de la lévofloxacine La coadministration avec la lévofloxacine ne doit pas avoir de conséquences chez le sujet aux fonctions rénales normales. Prendre en compte cette interaction lors d'une prescription chez le malade insuffisant rénal. ♦Interactions nutritionnelles : L'alimentation est sans conséquence clinique sur l'absorption de la lévofloxacine. Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR : De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines GROSSESSE et ALLAITEMENT GROSSESSE Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. Les fluoroquinolones peuvent provoquer des lésions des cartilages articulaires de jeunes animaux (rat, chien). En clinique, toutefois, l'utilisation de la lévofloxacine sur des effectifs limités n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse. Par ailleurs, en pédiatrie, on constate des atteintes articulaires réversibles à l'arrêt du traitement avec certaines quinolones, en cas d'administrations post-natales. En conséquence, le risque articulaire consécutif aux administrations postnatales fait déconseiller l'utilisation des fluoroquinolones pendant la grossesse. Cet élément ne constitue pas l'argument systématique pour conseiller une interruption de grossesse mais conduit à une attitude de prudence et à une surveillance prénatale orientée. ALLAITEMENT L'administration de ce médicament fait contre-indiquer l'allaitement, en raison du passage des fluoroquinolones dans le lait maternel et du risque articulaire. EFFETS INDÉSIRABLES • Manifestations digestives et métaboliques : - fréquemment : nausées, diarrhée ; - occasionnellement : perte d'appétit, vomissements, douleurs abdominales, digestion difficile ; - rarement : diarrhée sanglante pouvant révéler une colite pseudo-membraneuse ; - très rarement : hypoglycémie notamment chez le diabétique. • Manifestations neurologiques : - occasionnellement : maux de tête, vertiges, somnolence, insomnie ; - rarement : anomalie de la perception des sensations du toucher, tremblement, anxiété, agitation, confusion, convulsions ; - très rarement : diminution de la sensibilité cutanée, troubles visuels et auditifs, dysgueusies, hyposmie ou anosmie, hallucinations. • Manifestations cardiaques et vasculaires : - rarement : tachycardie, hypotension artérielle, - très rarement : allongement de l'intervalle QT • Manifestations rhumatologiques : - rarement : arthralgies, tendinites touchant principalement le tendon d'Achille ; elles peuvent survenir dans les deux premiers jours de traitement et atteindre les deux côtés ; - très rarement : rupture du tendon ; myalgie pouvant être grave chez les patients atteints de myasthénie ; - cas isolés de rhabdomyolyse. • Manifestations au niveau de la peau et des muqueuses et autres réactions allergiques : - occasionnellement : démangeaisons, éruptions cutanées ; - rarement : urticaire, dyspnée; - très rarement : photosensibilisation, oedème de Quincke, hypotension artérielle, choc anaphylactique ; - cas isolés Syndrome de Stevens-Johnson, de Lyell ou érythème polymorphe. Ces réactions peuvent survenir dès la première prise du médicament. • Manifestations hépatiques : - fréquemment : augmentation des transaminases ; - occasionnellement : augmentation de la bilirubine ; - très rarement : hépatite. • Manifestations rénales : - occasionnellement : hypercréatininémie ; - très rarement : insuffisance rénale aiguë. • Modifications de la formule sanguine : de fréquence variable (occasionnellement à quelques cas isolés), augmentation ou diminution de certaines cellules sanguines • Autres : - occasionnellement : fatigue ; - très rarement : réactions allergiques pulmonaires. (1)
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI MISES EN GARDE - Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestation allergique lors de la prise d'aspirine, et/ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, plus élevé que le reste de la population. L'administration d'acide tiaprofénique peut entraîner une crise d'asthme, notamment chez certains sujets allergiques à l'aspirine ou à un AINS. - Les hémorragies gastro-intestinales ou les ulcères/perforations peuvent se produire à n'importe quel moment en cours de traitement sans qu'il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d'antécédents. Le risque relatif augmente chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire. En cas d'hémorragie gastro-intestinale ou d'ulcère, interrompre immédiatement le traitement. - Lors de la prescription, le médecin devra prendre en compte le fait que des cas d'infertilité secondaire anovulatoire par non-rupture du follicule de De Graaf, réversibles à l'arrêt du traitement, ont été décrits chez les patientes traitées au long cours par certains inhibiteurs de synthèse des prostaglandines. - La varicelle peut exceptionnellement être à l'origine de graves complications infectieuses cutanées et des tissus mous. A ce jour, le rôle favorisant des AINS dans l'aggravation de ces infections ne peut être écarté. Il est donc prudent d'éviter l'utilisation d'acide tiaprofénique en cas de varicelle. L'acide tiaprofénique doit être utilisé avec précaution dans les affections de nature infectieuse ou comportant un risque infectieux, même bien contrôlé ; en effet : Il pourrait être susceptible de réduire les défenses naturelles de l'organisme contre l'infection, il pourrait être susceptible de masquer les signes et les symptômes habituels de l'infection. - Des éruptions localisées de type bulleux et d'évolution régressive sont possibles. Leur survenue doit imposer l'arrêt immédiat du traitement. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI - L'acide tiaprofénique existe sous forme d'autres dosages qui peuvent être plus adaptés. - La survenue de crise d'asthme chez certains sujets peut être liée aune allergie à l'aspirine ou à un AINS. - En début de traitement, une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire chez les malades insuffisants cardiaques, hépatiques et rénaux chroniques, chez les patients prenant un diurétique, après une intervention chirurgicale majeure ayant entraîné une hypovolémie, et particulièrement chez les sujets âgés. - L'acide tiaprofénique sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcères gastroduodénaux). CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES Prévenir les patients de l'apparition possible de vertiges. INTERACTIONS - Risque lié à l'hyperkaliémie : Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont susceptibles de favoriser la survenue d'une hyperkaliémie : les sels de potassium, les diurétiques hyperkaliémiants, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, les inhibiteurs de l'angiotensine II, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), la ciclosporine et le tacrolimus, le triméthoprime. La survenue d'une hyperkaliémie peut dépendre de l'existence de facteurs coassociés. Ce risque est majoré en cas d'association des médicaments sus-cités. - Risque lié à l'effet antiagrégant plaquettaire : Plusieurs substances sont impliquées dans des interactions, du fait de leurs propriétés antiagrégantes plaquettaires : l'aspirine et les AINS, la ticlopidine et le clopidogrel, le tirofiban, l'eptifibatide et l'abciximab, l'iloprost. L'utilisation de plusieurs antiagrégants plaquettaires majore le risque de saignement, de même que leur association à l'héparine, aux anticoagulants oraux et aux thrombolytiques, et doit être prise en compte en maintenant une surveillance régulière, clinique et biologique. L'administration simultanée d'acide tiaprofénique avec les produits suivants nécessite une surveillance rigoureuse de l'état clinique et biologique du malade : Déconseillées : Autres AINS (y compris l'aspirine et les autres salicylés) : augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif (synergie additive). - Anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique de l'anticoagulant oral (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS). Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite. - Héparines à doses curatives ou chez le sujet âgé : augmentation du risque hémorragique de l'anticoagulant oral (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS). Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite. - Lithium : augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques (diminution de l'excrétion rénale du lithium). Si l'association ne peut être évitée,surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l'association et après l'arrêt de l'AINS. - Méthotrexate, utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité, notamment hématologique, du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires). Nécessitant des précautions d'emploi : Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), inhibiteurs de l'angiotensine II : insuffisance rénale aiguë chez le malade à risque (sujet âgé et/ou déshydraté) par diminution de la filtration glomérulaire (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS). Par ailleurs, réduction de l'effet antihypertenseur pour les IEC et les inhibiteurs de l'angiotensine II. Hydrater le malade. Surveiller la fonction rénale en début de traitement. Méthotrexate, utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine) : augmentation de la toxicité, notamment hématologique, du methotrexate (diminution de la clairance rénale du methotrexate par les anti-inflammatoires). Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association. Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé. A prendre en compte : Autres antiagrégants plaquettaires (abciximab, eptifibatide, clopidogrel, iloprost, ticlopidine et tirofiban), héparines à doses prophylactiques : augmentation du risque hémorragique. - Autres hyperkaliémiants (sels de potassium, diurétiques hyperkaliémiants, inhibiteurs de l'enzyme de conversion, inhibiteurs de l'angiotensine II, autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, héparines de bas poids moléculaires ou non fractionnées, ciclosporine et tacrolimus, triméthoprime) : risque d'hyperkaliémie. - Bêtabloquants (par extrapolation à partir de l'indométacine) : réduction de l'effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS). - Ciclosporine : risque d'addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé. (1)
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI MISES EN GARDE En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI En raison (tes risques de potentialisation réciproque, l'association avec les dépresseurs centraux sera prescrite avec prudence et l'absorption simultanée de boissons alcoolisées est déconseillée. CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence liés à ce médicament. EN CAS D'OUBLI Il n'est pas recommandé d'augmenter la dose suivante. INTERACTIONS • Association déconseillée + Alcool : majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. • Associations à prendre en compte + Autres dépresseurs du système nerveux central tels que dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), benzodiazépines, hypnotiques, neuroleptiques, antihistaminiques H1 sédatifs, antidépresseurs sédatifs, antihypertenseurs centraux, baclofène, thalidomide. Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. GROSSESSE et ALLAITEMENT Compte tenu des données disponibles, il est préférable par mesure de prudence d'éviter d'utiliser l'étifoxine au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme. En effet les données animales sont rassurantes mais les données cliniques sont insuffisantes.. EFFETS INDÉSIRABLES Légère somnolence survenant en début de traitement et disparaissant spontanément au cours de la poursuite de celui-ci. Éruptions cutanées rares, manifestations allergiques très rares à type d'urticaire et d'oedème de Quincke. (1)
MODALITÉS DE CONSERVATION Durée de conservation : 2 ans. A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C. (1)
MODE D'EMPLOI ET POSOLOGIE (sommaire) Ce médicament peut être pris indifféremment au cours ou en dehors des repas. Le contenu du sachet doit être dissous dans un demi-verre d'eau. Posologie usuelle: Adulte : 1 sachet à 200 mg ou 1 godet doseur de 10 ml, 3 fois par jour ou 1 sachet à 600 mg par jour. Le traitement peut être interrompu dès l'amélioration des symptômes. Sa durée ne doit pas dépasser 6 jours sans avis médical. CONSEILS (sommaire) Fumer, ou être exposé à la fumée des autres, est un frein important à l'évacuation des mucosités. Il est nécessaire de lutter contre la sécheresse de l'air ambiant (humidificateur...) pour éviter le dessèchement des sécrétions. Il est également recommandé de boire beaucoup. Chez la personne âgée, l'incapacité à évacuer les crachats peut justifier l'aide d'un kinésithérapeute, sur prescription médicale. Après ouverture du flacon, la solution buvable se conserve 15 jours à température ambiante. Rincer le godet doseur après chaque utilisation. Les sachets à 200 mg et la solution buvable à 2 % peuvent être en accès libre (ou accès direct) dans certaines pharmacies ; dans ce cas, faites valider votre choix par votre pharmacien EFFETS INDÉSIRABLES POSSIBLES (sommaire) Réaction allergique cutanée (démangeaisons, éruption cutanée, urticaire...). Douleurs d'estomac, nausées, diarrhée, nécessitant une diminution des doses. Aggravation de l'encombrement des bronches et risque de complications respiratoires, notamment chez les nourrissons. (1)
Mise en garde et précautions d’emploi Expectoration grasse et purulente Fièvre Bronchopneumopathie Femme en âge de procréer MISES EN GARDE : RESERVE A L'ENFANT DE PLUS DE 30 MOIS. - En cas d'expectoration grasse et purulente, en cas de fièvre ou en cas de maladie chronique des bronches et des poumons, il conviendra de réévaluer la conduite thérapeutique. - Les toux productives, qui représentant un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire, sont à respecter. - L'association de mucomodificateurs bronchiques avec des antitussifs et/ou des substances asséchant les sécrétions (atropiniques) est irrationnelle. - Cette spécialité contient des dérivés terpéniques qui peuvent entraîner à doses excessives des accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson et chez l'enfant. Respecter les posologies et la durée de traitement préconisées. PRECAUTIONS D'EMPLOI : En cas d'antécédents de convulsions, tenir compte de la présence de dérivés terpéniques. Alerte Afssaps du 14 novembre 2011 : . Ce produit contient des dérivés terpéniques qui peuvent entraîner, à dose excessive, des accidents neurologiques tels des convulsions chez le nourrisson et l’enfant (Voir rubrique Contre-indications). . Ne pas prolonger la durée de traitement au-delà de 3 jours en raison des risques liés à l’accumulation des dérivés terpéniques (compte tenu de leurs propriétés lipophiles, mais aussi de leur vitesse de métabolisation et d’élimination inconnues) dans les tissus et dans le cerveau, en particulier des troubles neuropsychiatriques; et du risque de brûlure rectale. . Ne pas dépasser les doses recommandées en raison d’un risque accru d’effets indésirables et de troubles liés à un surdosage (Voir rubrique Surdosage). . Ce produit étant inflammable, ne pas approcher d’une flamme. Mécanisme d’action : comment ça marche ? EXPECTORANT. (R : Système Respiratoire). - Association d'un expectorant et d'huiles essentielles, traditionnellement considérées comme antiseptiques des voies respiratoires. - Ce médicament contient des dérivés terpéniques qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. Alerte Afssaps du 14 novembre 2011 : Les dérivés terpéniques peuvent abaisser le seuil épileptogène. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Sans objet. Alerte Afssaps du 14 novembre 2011 : Ne pas associer à d’autres produits (médicaments ou cosmétiques) contenant des dérivés terpéniques quelque soit la voie d’administration (orale, rectale, cutanée ou pulmonaire). Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Sans objet. Alerte Afssaps du 14 novembre 2011 : . Une utilisation répétée et prolongée peut entraîner des brûlures rectales. . En cas d’ingestion accidentelle ou d’erreur d’administration chez l’enfant ou le nourrisson, il existe un risque de troubles neurologiques. . Si nécessaire, un traitement symptomatique approprié doit être mis en place dans une unité de soins spécialisée. TERPONE Enfant: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse : En l'absence de données cliniques et animales, il est préférable de ne pas administrer ce médicament pendant toute la durée de la grossesse. Cependant, à ce jour, aucun effet malformatif particulier n'a été rapporté chez la femme enceinte. Allaitement : En cas d'allaitement, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament du fait : - de l'absence de donnée cinétique sur le passage des dérivés terpéniques dans le lait, - et de leur toxicité neurologique potentielle chez le nourrisson. Alerte Afssaps du 14 novembre 2011 : Grossesse : Il n’existe pas de données ou des données limitées sur l’utilisation des substances actives de ce produit chez la femme enceinte. TERPONE ENFANTS n’est pas recommandé pendant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n’utilisant pas de contraception. Allaitement : Il n’existe pas de données suffisantes sur l’excrétion des substances actives de ce produit dans le lait. TERPONE ENFANTS ne doit pas être utilise pendant l’allaitement. Effets indésirables possible du médicament TERPONE Enfant Convulsion chez l'enfant En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non-respect des doses préconisées : risque de convulsions chez l'enfant. Alerte Afssaps du 14 novembre 2011 : Compte tenu de la présence de terpine et des huiles essentielles de pin, de niaouli et d’eucalyptus et en cas de non-respect des doses préconisées, il existe un risque de convulsions chez l’enfant et le nourrisson Autres informations Forme pharmaceutique: Suppositoire Voie d'administration: Rectale Code ATC : R05CA10 Classe pharmacothérapeutique : Associations d'expectorants Conditions de prescription et de délivrance: Médicament retiré du marché le 03/11/2010 Code Identifiant de Spécialité (CIS): 65585950 Service médical rendu (SMR): Insuffisant Laboratoire titulaire AMM: Rosa phytopharma (13/02/1996) Laboratoire exploitant: Rosa phytopharma Ce médicament n'appartient à aucun groupe générique. Sources : Résumé des Caractéristiques Produits (RCP) des autorisations de mise sur le marché (AMM) françaises et européennes Livret des interactions médicamenteuses de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) Répertoire des génériques de l’ANSM Documents de référence de la Haute Autorité de Santé (HAS) : fiches de transparence, fiches de bon usage, documents SAM (Système d’Aide à la décision par Médicament) Prix et remboursements du Comité économique des produits de santé (CEPS) Informations des laboratoires titulaires de l’AMM (CF supra dans l’onglet « Autres informations » de cette page) Informations grossistes répartiteurs Assurance maladie (CNAMTS) : guide des affectations de longues durées (ALD) Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH) : classification CIM10 Organisation mondiale de la santé (OMS) : classification ATC Pharmacopée européenne : Standard Terms et classification EPhMRA Ministère de la santé : substances dopantes (1)
Mise en garde et précautions d’emploi Posologies limitées à l'adulte et à l'enfant de plus de 1 an Sportif Epilepsie Hypovolémie Bloc auriculoventriculaire Trouble de la conduction Bradycardie Insuffisance respiratoireAfficher plus L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. Les techniques d'anesthésie loco-régionale ne sont pas recommandées chez les patients sous anticoagulants. Comme d'autres anesthésiques loco-régionaux, la lidocaïne doit être utilisée avec précaution chez les patients souffrant des affections suivantes : épilepsie, hypovolémie, bloc auriculo-ventriculaire ou troubles de la conduction, bradycardie ou insuffisance respiratoire. De même, la lidocaïne doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant une porphyrie en rémission ainsi que chez les patients porteurs asymptomatiques des gènes mutants responsables des porphyries. Ne pas dépasser la concentration de 1/400 000 en adrénaline chez le nourrisson et le jeune enfant. Il est donc nécessaire de diluer la forme adrénalinée. La lidocaïne est métabolisée par le foie et doit être administrée avec précaution chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique. La demi-vie plasmatique de la lidocaïne peut être prolongée en cas de diminution du débit sanguin hépatique lors d'une insuffisance cardiaque et circulatoire. Les métabolites de la lidocaïne peuvent s'accumuler en cas d'insuffisance rénale. Des cas de chondrolyse ont été rapportés chez des patients recevant une perfusion continue intra-articulaire d'anesthésiques locaux en post-opératoire. La majorité des cas rapportés de chondrolyse impliquait l'articulation de l'épaule. Le mécanisme exacte de cette atteinte reste encore inconnu mais est probablement multifactoriel. Une anesthésie épidurale peut conduire à une hypotension et à une bradycardie. L'hypotension devra rapidement être traitée par l'administration d'un vasopresseur en injection intraveineuse et par un remplissage vasculaire adapté. Un matériel complet de réanimation doit toujours être disponible lors de l'administration d'anesthésiques locaux. Ce médicament contient 2,5 mg de sodium par ml : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé, strict. Mécanisme d’action : comment ça marche ? Classe pharmacothérapeutique : ANESTHESIQUES LOCAUX, code ATC : N01BB02 ; N: Système Nerveux Central. La lidocaïne provoque une perte réversible des sensations en empêchant ou en diminuant la conduction des signaux nerveux sensoriels à proximité de leur site d'action; le premier site d'action étant la membrane cellulaire. La lidocaïne bloque la conduction en réduisant ou en empêchant l'augmentation importante et transitoire de la perméabilité au sodium des membranes excitables, perméabilité normalement produite par une légère dépolarisation des membranes. Cette action est due à son interaction directe avec les canaux sodiques potentiel-dépendants, le principal mécanisme d'action impliquant probablement une interaction avec un ou plusieurs sites de liaison plus spécifiques à l'intérieur du canal sodique. En général, les petites fibres nerveuses, en particulier les fibres non myélinisées, sont plus facilement bloquées par un anesthésique local parce que la longueur critique au-delà de laquelle un signal peut se transmettre est plus courte que dans les grandes fibres. Pour la même raison, la récupération est plus rapide dans les petites fibres. La lidocaïne a une durée d'activité intermédiaire, de 60 à 120 minutes après infiltration locale et anesthésie par blocage nerveux. En plus de leur activité anesthésique locale, la lidocaïne et les substances analogues peuvent agir sur le fonctionnement de certains organes dans lesquels il y a une conduction ou une transmission de signaux nerveux (tels que système nerveux central ou système cardiovasculaire). Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… De nombreux anti-arythmiques sont dépresseurs de l'automatisme, de la conduction et de la contractilité cardiaques. L'association d'anti-arythmiques de classes différentes peut apporter un effet thérapeutique bénéfique, mais s'avère le plus souvent très délicate, nécessitant une surveillance clinique étroite et un contrôle de l'ECG. L'association d'anti-arythmiques donnant des torsades de pointes (amiodarone, disopyramide, quinidiniques, sotalol…) est contre-indiquée. L'association d'antiarythmiques de même classe est déconseillée, sauf cas exceptionnel, en raison du risque accru d'effets indésirables cardiaques. L'association à des médicaments ayant des propriétés inotropes négatives bradycardisantes et/ou ralentissant la conduction auriculo-ventriculaire est délicate et nécessite une surveillance clinique et un contrôle de l'ECG. Associations faisant l'objet de précautions d'emploi + Amiodarone Risque d'augmentation des concentrations plasmatiques de lidocaïne, avec possibilité d'effets indésirables neurologiques et cardiaques, par diminution de son métabolisme hépatique par l'amiodarone. Surveillance clinique, ECG et éventuellement contrôle des concentrations plasmatiques de lidocaïne. Si besoin, adaptation de la posologie de la lidocaïne pendant le traitement par amiodarone et après son arrêt. + Cimétidine Avec la cimétidine utilisée à des doses supérieures ou égales à 800 mg/j : augmentation des concentrations plasmatiques de lidocaïne avec risque d'effets indésirables neurologiques et cardiaques (inhibition du métabolisme hépatique de la lidocaïne). Surveillance clinique, ECG et éventuellement des concentrations plasmatiques de la lidocaïne; s'il y a lieu, adaptation de la posologie de la lidocaïne pendant le traitement par la cimétidine et après son arrêt. + Fluvoxamine Augmentation des concentrations plasmatiques de la lidocaïne avec possibilités d'effets indésirables neurologiques et cardiaques (diminution de la clairance hépatique de la lidocaïne). Surveillance clinique, ECG et éventuellement contrôle des concentrations plasmatiques de la lidocaïne pendant et après arrêt de l'association. Adaptation, si besoin, de la posologie de la lidocaïne. Associations à prendre en compte + Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque Effet inotrope négatif avec risque de décompensation cardiaque. Dues à la présence d'adrénaline: Associations faisant l'objet de précautions d'emploi + Anesthésiques volatils halogénés Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l'excitabilité cardiaque. Limiter l'apport, par exemple : moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l'adulte. + Antidépresseurs imipraminiques Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l'excitabilité cardiaque. Limiter l'apport, par exemple: moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l'adulte. + IMAO irréversibles Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l'excitabilité cardiaque. Limiter l'apport, par exemple: moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l'adulte + Médicament mixtes adrénergiques-sérotoninergiques Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l'excitabilité cardiaque. Limiter l'apport, par exemple: moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l'adulte. Incompatibilités En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments. Comment réagir en cas de surdosage ? Le traitement d'un patient présentant des signes de toxicité systémique consiste à traiter les convulsions et assurer une ventilation adéquate avec de l'oxygène, si nécessaire par ventilation (respiration) assistée ou contrôlée. Chez l'adulte, lorsque des convulsions apparaissent, elles doivent être rapidement traitées par injection intraveineuse de thiopental (2 à 4 mg/kg) ou benzodiazépines à action courte (diazépam 0,1 mg/kg ou midazolam 0,05 mg/kg). La succinylcholine intraveineuse (50 à 100 mg) peut être utilisée pour assurer une relaxation musculaire à condition que le clinicien soit capable d'effectuer une intubation endotrachéale et de prendre en charge un patient complètement paralysé. Après arrêt des convulsions et lorsqu'une ventilation pulmonaire adaptée est assurée, aucun autre traitement n'est habituellement nécessaire. Cependant, en cas d'hypotension, de bradycardie, un vasopresseur (agent chronotrope ou inotrope) doit être administré par voie intraveineuse. XYLOCAINE 10 mg/ml ADRENALINE: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse Ne pas utiliser dans un bloc paracervical en anesthésie obstétricale, en raison d'un risque d'hypertonie utérine avec retentissement néonatal (hypoxie). La lidocaïne peut être utilisée au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme. En effet, les données cliniques sont rassurantes et les données expérimentales n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif ou foetotoxique. Allaitement L'allaitement est possible au décours d'une anesthésie locorégionale avec la lidocaïne. Autres informations Forme pharmaceutique: Solution injectable Voie d'administration: Péridurale , Périneurale , Sc , Péri-articulaire , Intradermique , Intra-articulaire , Im Code ATC : N01BB52 Classe pharmacothérapeutique : Lidocaïne en association Conditions de prescription et de délivrance: Médicament soumis à prescription médicale (Liste I). Les médicaments sur liste I (cadre rouge sur la boîte) ne peuvent être délivrés que pour la durée de traitement mentionnée sur l'ordonnance. Code Identifiant de Spécialité (CIS): 68649778 Service médical rendu (SMR): Important Laboratoire titulaire AMM: Aspen pharma trading ltd (06/12/1995) Laboratoire exploitant: Aspen france Les génériques de XYLOCAINE 10 mg/ml ADRENALINE (LIDOCAINE (CHLORHYDRATE) + ADRENALINE (TARTRATE)) Sources : Résumé des Caractéristiques Produits (RCP) des autorisations de mise sur le marché (AMM) françaises et européennes Livret des interactions médicamenteuses de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) Répertoire des génériques de l’ANSM Documents de référence de la Haute Autorité de Santé (HAS) : fiches de transparence, fiches de bon usage, documents SAM (Système d’Aide à la décision par Médicament) Prix et remboursements du Comité économique des produits de santé (CEPS) Informations des laboratoires titulaires de l’AMM (CF supra dans l’onglet « Autres informations » de cette page) Informations grossistes répartiteurs Assurance maladie (CNAMTS) : guide des affectations de longues durées (ALD) Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH) : classification CIM10 Organisation mondiale de la santé (OMS) : classification ATC Pharmacopée européenne : Standard Terms et classification EPhMRA Ministère de la santé : substances dopantes Effets indésirables possible du médicament XYLOCAINE 10 mg/ml ADRENALINE Abcès péridural Bradycardie Dépression myocardique Arrêt cardiaque Hypotension Sensation vertigineuse Paresthésie au niveau de la langue Paresthésie au niveau des lèvresAfficher plus Les effets indésirables dus à la lidocaïne doivent être différenciés des effets physiologiques dus au bloc lui-même (hypotension, bradycardie) ainsi que les effets directs (lésion neurologique) ou indirects (abcès péridural) dus à l'introduction de l'aiguille. La survenue d'un effet indésirable doit faire suspecter un surdosage. Les réactions toxiques, témoins d'un surdosage en anesthésique local, peuvent apparaître dans deux conditions: soit immédiatement par un surdosage relatif dû à un passage intraveineux accidentel, soit plus tardivement par un surdosage vrai dû à l'utilisation d'une trop grande quantité d'anesthésique. · Affections cardiaques: bradycardie (essentiellement lors d'une anesthésie péridurale), plus rarement dépression myocardique ou arrêt cardiaque. · Affections vasculaires: hypotension. · Affections du système nerveux: sensation vertigineuse, paresthésies linguales et labiales, tremblements, somnolence, désorientation, perte de conscience ou convulsions généralisées (surdosage), dysarthrie. · Affections de l'oreille et du labyrinthe: acouphènes, troubles de l'audition. · Affections musculo-squelettiques et systémiques: frissons, contractions musculaires involontaires (visage et parties distales des extrémités). · Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: dépression respiratoire puis arrêt respiratoire. · Affections du système immunitaire: urticaire, oedème, bronchospasme voire choc anaphylactique (présence de métabisulfite de sodium). Les réactions allergiques sont extrêmement rares. Elles peuvent être caractérisées par des lésions cutanées, de l'urticaire, un oedème ou des réactions anaphylactoïdes. La détection de la sensibilité par un test de la peau reste non prédictive. Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. Contre-indications : quand ne pas utiliser ce médicament ? Hypersensibilité anesthésiques locaux à liaison amide Hypersensibilité sulfites Porphyrie récurrente Voie intravasculaire Insuffisance coronarienne Troubles du rythme ventriculaire Hypertension artérielle sévère Cardiomyopathie obstructiveAfficher plus Hypersensibilité connue au chlorhydrate de lidocaïne, aux anesthésiques locaux à liaison amide ou à l'un des excipients (sulfites). Patients atteints de porphyries récurrentes. Administration par voie intraveineuse. Les formes adrénalinées ont de plus comme contre-indications: Voie intra-vasculaire. Insuffisance coronarienne. Troubles du rythme ventriculaire. Hypertension artérielle sévère. Cardiomyopathie obstructive. Hyperthyroïdie. Anesthésie par infiltration locale au niveau des extrémités (doigt, verge). (1)
Mise en garde et précautions d’emploi Posologies limitées à l'adulte et à l'enfant de plus de 40 kg Pustulose exanthématique aiguë généralisée Mononucléose infectieuse Leucémie lymphoïde Facteur prédisposant aux convulsions Insuffisance rénale (Clcr 16 mg/L. . CMI pneumocoque : S 2 mg/L. La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique. Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous : ESPECES SENSIBLES : - Aérobies à Gram positif : . Corynebacterium diphtheriae. . Enterococcus faecalis. . Erysipelothrix rhusiopathiae. . Listeria monocytogenes. . Nocardia asteroïdes. . Staphylococcus méti-S. . Streptococcus. . Streptococcus bovis. . Streptococcus pneumoniae (15-35%). - Aérobies à Gram négatif : . Actinobacillus actinomycetemcomitans. . Bordetella pertussis. . Branhamella catarrhalis. . Burkholderia pseudomallei. . Campylobacter. . Capnocytophaga. . Citrobacter koseri. . Eikenella. . Escherichia coli (10-30%). . Haemophilus influenzae. . Haemophilus para-influenzae. . Klebsiella (0-20%). . Neisseria gonorrhoeae. . Neisseria meningitidis. . Pasteurella multocida. . Proteus mirabilis (10-20%). . Proteus vulgaris. . Salmonella (0-40%). . Shigella (0-30%). . Vibrio cholerae. - Anaérobies : . Actinomyces. . Bacteroïdes. . Clostridium. . Eubacterium. . Fusobacterium. . Peptostreptococcus. . Porphyromonas. . Prevotella. . Propionibacterium acnes. . Veillonella. - Autres : . Bartonella. . Borrelia. . Leptospira. . Treponema. ESPECES MODEREMENT SENSIBLES (in vitro de sensibilité intermédiaire) : Aérobies à Gram positif : Enterococcus faecium (40-80%). ESPECES RESISTANTES : - Aérobies à Gram positif : Staphylococcus méti-R*. - Aérobies à Gram négatif : . Acinetobacter. . Citrobacter freundii. . Enterobacter. . Legionella. . Morganella morganii. . Proteus rettgeri. . Providencia. . Pseudomonas. . Serratia. . Yersinia enterocolitica. - Autres : . Chlamydia. . Coxiella. . Mycobacterium. . Mycoplasma. . Rickettsia. *La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50% de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… ASSOCIATION DECONSEILLEE : Méthotrexate : Augmentation des effets et de la toxicité hématologique du méthotrexate par inhibition de la sécrétion tubulaire rénale par les pénicillines. ASSOCIATION A PRENDRE EN COMPTE : Allopurinol (et par extrapolation, autres inhibiteurs de l'uricosynthèse) : Risque accru de réactions cutanées. PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR : De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Les manifestations de surdosage peuvent être neuropsychiques, rénales (cristallurie) et digestive. Le traitement en est symptomatique en surveillant particulièrement l'équilibre hydro-électrolytique. L'amoxicilline et l'acide clavulanique peuvent être éliminés par hémodialyse. AMOXICILLINE/AC CLAV RATIO Ad: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse : Pour l'amoxicilline, il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif ou foetotoxique lié à l'utilisation de l'amoxicilline. Pour l'acide clavulanique, les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, l'utilisation de l'acide clavulanique au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse. Chez des femmes ayant un risque d'accouchement imminent et recevant l'association amoxicilline-acide clavulanique, a été observée une augmentation du risque d'entérocolite nécrosante chez les nouveau-nés. En conséquence, l'association amoxicilline/acide clavulanique peut être prescrite pendant la grossesse si besoin. Allaitement : Le passage de l'association amoxicilline-acide clavulanique dans le lait maternel est faible et les quantités ingérées très inférieures aux doses thérapeutiques. En conséquence, l'allaitement est possible en cas de prise de cet antibiotique. Toutefois, interrompre l'allaitement (ou le médicament) en cas de survenue de diarrhée, de candidose, ou d'éruption cutanée chez le nourrisson. Effets indésirables possible du médicament AMOXICILLINE/AC CLAV RATIO Ad Nausée Vomissement Surinfection digestive à candida Diarrhée Selles molles Dyspepsie Douleur abdominale Colite pseudomembraneuse Afficher plus - Manifestations digestives : nausées, vomissements, possibilité de surinfections digestives à Candida, diarrhée, selles molles, dyspepsie et douleurs abdominales. Quelques cas de colites pseudomembraneuses et de colites hémorragiques ont été rapportés. - Manifestations allergiques : notamment urticaire, éosinophilie, oedème de Quincke, gêne respiratoire, maladie sérique, vascularite, exceptionnellement choc anaphylactique. - Eruptions cutanées maculopapuleuses d'origine allergique ou non. Très exceptionnellement, quelques cas de syndrome de Lyell et de Stevens-Johnson, d'érythème polymorphe, et de dermatite exfoliative ont été rapportés. Ces manifestations cutanées peuvent être plus fréquentes et/ou plus intenses chez les patients présentant une mononucléose infectieuse ou une leucémie lymphoïde en évolution. Très rares cas de pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir mises en garde et précautions d'emploi). - D'autres manifestations ont été rapportées plus rarement : . des cas d'hépatite, généralement cholestatique ou mixte, ont été occasionnellement rapportés. Ces cas semblent survenir plus volontiers chez des patients âgés et de sexe masculin et lors d'un traitement de plus de 10 jours et en particulier pour des traitements supérieurs à 15 jours. Les symptômes, notamment l'ictère qui paraît constant, apparaissent au cours ou à la fin du traitement, mais peuvent survenir quelques semaines après l'arrêt de celui-ci. L'examen histopathologique du foie met habituellement en évidence une cholestase centrolobulaire. L'évolution est généralement favorable mais peut être prolongée de quelques semaines. Quelques cas extrêmement rares d'évolution fatale ont été observés. . augmentations modérées et asymptomatiques des ASAT, ALAT ou phosphatases alcalines ; . néphrite interstitielle aiguë ; . leucopénie, neutropénie, agranulocytose, anémie hémolytique, thrombopénie réversibles. - Des cas de convulsions ont été exceptionnellement rapportés (voir mises en garde et précautions d'emploi). - De très rares cas de colorations dentaires superficielles, généralement réversibles après brossage, ont été rapportées avec les formes pour suspension buvable. (1)
Mise en garde et précautions d’emploi Réservé à l'adulte Antécédent de tumeur estrogénodépendante Antécédent thrombo-embolique Risque thrombo-embolique Hypertension artérielle Atteinte vasculaire de la rétine Diabète avec atteinte vasculaire Hypertriglycéridémie Afficher plus MISES EN GARDE : RESERVE A L'ADULTE. - Devant une aménorrhée et avant l'administration du produit, il convient d'éliminer formellement une grossesse, une cause organique ou endocrinienne. - Ce traitement est ponctuel. Il ne doit pas être utilisé en continu. PRECAUTIONS D'EMPLOI : - Avant de débuter le traitement, il est indispensable d'effectuer un examen clinique et gynécologique complets, en tenant compte des contre-indications et des précautions d'emploi. - Le rapport bénéfice/risque sera réévalué pendant toute la durée du traitement, en particulier chez les patientes ayant présenté une des pathologies suivantes. Dans ce cas, la patiente devra bénéficier d'une surveillance stricte, ces pathologies pouvant resurgir ou s'aggraver au cours du traitement : . antécédent de tumeur estrogénodépendante ; . antécédent ou présence de facteurs de risque thrombo-emboliques ; . hypertension artérielle ; . atteinte vasculaire (en particulier oculaire au niveau de la rétine) ; . diabète avec atteinte vasculaire ; . augmentation des triglycérides ; . porphyrie, adénome hépatique ou anomalies hépatiques ; . insuffisance rénale ; . adénome hypophysaire ; . lithiase biliaire ; . antécédent d'accident vasculaire cérébral ; . otosclérose ; . endométriose ; . migraine ou céphalée importante ; . lupus érythémateux disséminé ; . démangeaisons lors d'une grossesse. - En cas d'aggravation d'un asthme, d'une épilepsie ou d'un diabète, le traitement doit être reconsidéré. - En cas de survenue de saignements anormaux, un examen gynécologique (y compris de l'endomètre peut s'avérer nécessaire. Mécanisme d’action : comment ça marche ? PROGESTATIFS ET ESTROGENES EN ASSOCIATION. (G03F : hormones sexuelles et modulateurs de la fonction génitale). Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… ASSOCIATIONS DECONSEILLEES : Inducteurs enzymatiques [anticonvulsivants (carbamazépine, phénobarbital, phénytoïne, primidone) ; barbituriques, griséofulvine, rifabutine, rifampicine] : Risque de diminution de l'efficacité de l'estroprogestatif. Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de l'estroprogestatif. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Sans objet. SYNERGON: Grossesse, allaitement et fertilité Ce médicament n'a pas d'indication au cours de la grossesse et l'allaitement. Grossesse : Estrogènes : en clinique, les résultats de nombreuses études épidémiologiques permettent d'écarter, à ce jour, un risque malformatif des estrogènes seuls ou en association en début de grossesse. En conséquence, la découverte d'une grossesse exposée par mégarde aux estrogènes (ou aux estroprogestatifs) ne justifie pas l'interruption de celle-ci. Progestatifs (progestérone) : en clinique, les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif ou foetotoxique particulier de la progestérone. Allaitement : sans objet. Effets indésirables possible du médicament SYNERGON Accident cardiovasculaire Accident thromboembolique Ictère cholestatique Mastopathie bénigne Tumeur utérine Augmentation d'un fibrome Céphalée Migraine Afficher plus - La plupart des effets indésirables sévères suivants ont essentiellement été observés, bien que rarement, avec les estrogènes artificiels. Par mesure de prudence, il serait souhaitable d'interrompre le traitement si l'un des phénomènes suivants apparaissait : . accidents cardiovasculaire et thrombo-embolique ; . ictère cholestatique ; . mastopathie bénigne, tumeur utérine (par exemple : augmentation d'un fibrome) ; . céphalées importantes et inhabituelles, migraines, vertiges, altération brutale de la vision ; . exacerbation d'une comitialité ; . adénome hépatique : il peut donner lieu à des accidents hémorragiques intra-abdominaux ; . galactorrhée : son apparition doit faire rechercher l'existence d'un adénome hypophysaire ; . lithiase hépatique : augmentation éventuelle du risque. - Effets indésirables plus fréquents mais mineurs, n'empêchant pas habituellement la poursuite du traitement après adaptation du schéma thérapeutique. . nausées ; . céphalées, irritabilité, tension mammaire, rétention hydrosodée, jambes lourdes ; . irritation oculaire par les lentilles de contact. - Des saignements intermenstruels doivent faire rechercher une pathologie sous-jacente, en particulier de l'endomètre. (1)
Mise en garde et précautions d’emploi Réservé à l'adulte Diabète Régime hypoglucidique MISES EN GARDE : RESERVE A L'ADULTE. - En cas d'expectoration grasse et purulente, en cas de fièvre, ou de maladie chronique des bronches et des poumons, il conviendra de réévaluer la conduite thérapeutique. - Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense bronchopulmonaire, sont à respecter. - L'association de mucomodificateurs bronchiques avec des antitussifs et/ou des substances asséchant les sécrétions (atropiniques) est irrationnelle. PRECAUTIONS D'EMPLOI : - Tenir compte de la teneur en alcool (0,6 g par cuillère à soupe) et éviter la prise de boissons alcoolisées. - En cas de diabète ou de régime hypoglucidique, tenir compte de la teneur en saccharose (8,5 g par cuillère à soupe). Mécanisme d’action : comment ça marche ? EXPECTORANT. (R : Système Respiratoire). Association d'un expectorant et d'huiles essentielles, traditionnellement considérées comme antiseptiques des voies respiratoires. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Du fait de la teneur en alcool (0,6 g par cuillère à soupe) : ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE : - les médicaments provoquant une réaction antabuse avec l'alcool (chaleur, rougeur, vomissement, tachycardie) : disulfirame, céfamandole, céfopérazone, latamoxef (antibactériens-céphalosporines), chloramphénicol (antibactérien-phénicolé), chlorpropamide, glibenclamide, glipizide, tolbutamide (antidiabétiques-sulfamides hypoglycémiants), griséofulvine (antifongique), nitro-5-imidazolés (métronidazole, ornidazole, secnidazole, tinidazole), kétoconazole, procarbazine (cytostatique) ; - les dépresseurs du système nerveux central. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Sans objet. TERPONE: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse : En l'absence de données cliniques et animales, il est préférable de ne pas administrer ce médicament pendant toute la durée de la grossesse. Cependant, à ce jour, aucun effet malformatif particulier n'a été rapporté chez la femme enceinte. Allaitement : Par prudence, en raison du manque de données cliniques et cinétiques, éviter l'administration pendant l'allaitement. Effets indésirables possible du médicament TERPONE Nausée Vomissement Douleur abdominale Possibilité de troubles digestifs (nausées, vomissements, douleurs abdominales). (1)
Mise en garde et précautions d’emploi Réservé à l'adulte Diabète Régime hypoglucidique Insuffisant hépatique Alcoolique Epileptique Ce médicament contient 11,3 % de vol d'éthanol (alcool), c.-à-d. jusqu' à 1,3 g par dose, ce qui équivaut à 34 ml de bière ou 14 ml de vin par dose. L'utilisation de ce médicament est dangereuse chez les sujets alcooliques et doit être prise en compte chez les femmes enceintes ou allaitant, les enfants et les groupes à haut risque tels que les insuffisants hépatiques ou les épileptiques Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase. Ce médicament contient 5,4 g de saccharose par dose dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre, ou de diabète. Mécanisme d’action : comment ça marche ? Sans objet. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Du fait de la teneur en alcool : Associations déconseillées + Dépresseurs du SNC: antidépresseurs (sauf IMAO sélectifs A), antihistaminiques H1 sédatifs, barbituriques, benzodiazépines, clonidine et. apparentés, hypnotiques, autres morphiniques (analgésiques et antitussifs), neuroleptiques, anxiolytiques (carbamates, captodiame, clométiazole, étifoxine). Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool. + IMAO non sélectifs Majoration des effets hypertenseurs et/ou hyperthermiques de la tyramine présente dans certaines boissons alcoolisées (chianti, certaines bières, etc.). Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool. + Insuline Augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions de compensation pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique). Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool. + Médicaments provoquant une réaction antabuse avec l'alcool: disulfirame, céfamandole, céfopérazone, latamoxef (antibactériens-céphalosporines), chloramphénicol (antibactérien-phénicolé), chlorpropamide, glibenclamide, glipizide, tolbutamide (antidiabétiques-sulfamides hypoglycémiants), griséofulvine (antifongique), nitro-5-imidazolés (métronidazole, ornidazole, secnidazole, tinidazole), kétoconazole, procarbazine (cytostatique). Effet antabuse (chaleur, rougeur, vomissement, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant, de l'alcool. + Metformine Risque majoré d'acidose lactique lors d'intoxication alcoolique aiguë particulièrement en cas de: jeûne ou dénutrition, insuffisance hépatocellulaire. Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant, de l'alcool. + Sulfamides hypoglycémiants Effet antabuse, notamment pour chlopropamide, glibenclamide, glipizide, tolbutamide. Augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions de compensation) pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique. Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool. Associations à prendre en compte + Anticoagulants oraux Variations possibles de l'effet anticoagulant: 1- Augmentation en cas d'intoxication aiguë. 2 - Diminution en cas d'alcoolisme chronique (métabolisme augmenté). Incompatibilités Sans objet. (1)
Mise en garde et précautions d’emploi Réservé à l'adulte Eruption cutanée Des cas de réactions cutanées sévères de type érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson (SSJ)/syndrome de Lyell et pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) associées à l'administration de chlorhydrate d'ambroxol ont été rapportés. Si les signes ou symptômes d'une éruption cutanée évolutive (parfois associée à des phlyctènes ou des lésions de la muqueuse) sont présents, le traitement par chlorhydrate d'ambroxol doit être immédiatement interrompu et un médecin doit être consulté. L'association d'un mucomodificateur bronchique avec un antitussif et/ou des substances asséchant les sécrétions (atropiniques) est irrationnelle. Ce médicament contient du sorbitol. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare). (1)
Mise en garde et précautions d’emploi Sans objet. Mécanisme d’action : comment ça marche ? COLORANT A VISEE ASSECHANTE, très faiblement antiseptique. (D : dermatologie). Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Compte tenu des interférences possibles, l'emploi simultané ou successif avec d'autres solutions à application locale est à éviter. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Sans objet. EOSINE AQUEUSE GILBERT: Grossesse, allaitement et fertilité Sans objet. Effets indésirables possible du médicament EOSINE AQUEUSE GILBERT Photosensibilisation Eruption cutanée Risque de photosensibilisation et d'éruptions cutanées localisées. (1)
Mise en garde et précautions d’emplois Etat de dépendance chez le patient prédisposé Epileptique Patient susceptible de présenter des convulsions Hypertension intracrânienne Traumatisme crânien Altération de la conscience Trouble du centre respiratoire Trouble de la fonction respiratoireAfficher plus MISES EN GARDE : - L'utilisation prolongée sur plusieurs mois peut éventuellement conduire à un état de dépendance. Chez les patients prédisposés, le traitement doit se faire sous surveillance médicale stricte. - Le tramadol n'est pas adapté au traitement de sevrage ou de substitution chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine. - Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Le tramadol peut en outre accroître le risque de convulsions chez les patients prenant d'autres produits qui abaissent le seuil épileptogène (voir rubrique interactions : imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, phénothiazines et butyrophénone, méfloquine, bupropion). - Les patients épileptiques contrôlés ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par le tramadol qu'en cas de nécessité absolue. - La prise d'alcool pendant le traitement est déconseillée. - En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou d'un déficit en lactase. PRECAUTIONS D'EMPLOI : - Le tramadol ne doit être utilisé qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice-risque, suivant l'origine de la douleur et le profil du patient (voir données de sécurité précliniques). - Le tramadol doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant une hypertension intracrânienne, un traumatisme crânien, une altération de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre ou de la fonction respiratoire. - Ce médicament contient 214 mg de sodium par unité de prise : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict. Mécanisme d’action : comment ça marche ? ANALGESIQUE OPIOIDE, code ATC : N02AX02. (N : système nerveux central). - Le tramadol est un analgésique central dont l'efficacité est due à la synergie, aux doses thérapeutiques : . d'un effet opioïde dû à la fixation sur les récepteurs opioïdes de type µ, . d'un effet mono-aminergique central dû à une inhibition du recaptage de la noradrénaline et de la sérotonine, mécanisme impliqué dans le contrôle de la transmission nociceptive centrale. - Comme les autres produits de cette classe, le tramadol possède des propriétés antitussives. Les effets sur le tractus gastro-intestinal sont faibles aux doses thérapeutiques. Les effets dépresseurs respiratoires du tramadol sont moindres que ceux de la morphine. Les études réalisées chez l'animal ont montré un potentiel de dépendance réduit par rapport à celui de la morphine, et un potentiel de tolérance très faible. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… ASSOCIATIONS CONTRE-INDIQUEES : - IMAO non sélectifs (iproniazide) : Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma. En cas de traitement récent par les IMAO, respecter un délai de 15 jours avant la mise en route d'un traitement par tramadol. - IMAO sélectifs A : moclobémide, toloxatone. Par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs. Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma. - IMAO sélectifs B : sélégiline. Manifestations d'excitation centrale évoquant un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma. - Linézolide : Par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs. Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma. ASSOCIATIONS DECONSEILLEES : - Agonistes-antagonistes morphiniques (buprénorphine, nalbuphine, pentazocine) : Diminution de l'effet antalgique par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage. - Alcool : Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des analgésiques morphiniques. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. - Carbamazépine : Risque de diminution des concentrations plasmatiques de tramadol. - Naltrexone : Risque de diminution de l'effet antalgique. Si nécessaire, augmenter les doses du dérivé morphinique. ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE : - Autres analgésiques morphiniques agonistes, antitussifs morphine-like (dextrométhorphane, noscapine, pholcodine), antitussifs morphiniques vrais (codéine, éthylmorphine) : Risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas de surdosage. - Benzodiazépines : Risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas de surdosage. - Barbituriques : Risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas de surdosage. - Autres médicaments sédatifs : autres analgésiques morphiniques, barbituriques, benzodiazépines, antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), antihistaminiques H1 sédatifs, anxiolytiques autres que benzodiazépines (méprobamate), hypnotiques, neuroleptiques, antihypertenseurs centraux, thalidomide, baclofène : Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. - Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (citalopram, escitalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine, sertraline) : Risque d'apparition de convulsions et/ou d'un syndrome sérotoninergique. - Venlafaxine : Risque d'apparition de convulsions et/ou d'un syndrome sérotoninergique. - Médicaments abaissant le seuil épileptogène, notamment les antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), les neuroleptiques (phénothiazines et butyrophénone), la méfloquine, le bupropion : Risque accru de convulsions. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? - Les signes de surdosage sont : myosis, vomissements, collapsus cardiovasculaire, dépression respiratoire pouvant aller jusqu'à l'arrêt respiratoire, coma et convulsions. - Les premiers gestes thérapeutiques seront le maintien des fonctions respiratoire et cardiovasculaire et le transfert en urgence en milieu hospitalier. - La naloxone peut être utilisée en cas de dépression respiratoire, sous couvert d'un contrôle des fonctions respiratoires. - Le diazépam peut être utilisé en cas de convulsions. - Le tramadol est peu ou pas hémodialysable. TRAMADOL TEVA: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse : Chez l'homme, il n'existe pas de données suffisantes pour évaluer l'effet tératogène du tramadol au cours du premier trimestre de la grossesse. Une foetotoxicité due à une toxicité maternelle a été observée. Il est préférable de ne pas utiliser TRAMADOL TEVA 50 mg, comprimé effervescent pendant le premier trimestre de la grossesse. A partir du deuxième trimestre, une utilisation prudente est ponctuellement possible. Comme pour les autres antalgiques opiacés : Durant le dernier trimestre, l'utilisation chronique du tramadol peut induire, quelle que soit la dose, un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. A la fin de la grossesse, des doses élevées, même pour un traitement de courte durée, peuvent entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né. Allaitement : Environ 0,1% de la dose de tramadol administrée à la mère est sécrétée dans le lait. Une administration ponctuelle de tramadol semble être sûre pour le nouveau-né. Si un traitement est nécessaire pendant plusieurs jours, l'allaitement doit être interrompu. En cas de traitement au long cours par tramadol, l'allaitement est contre-indiqué (voir rubrique contre-indications). Effets indésirables possible du médicament TRAMADOL TEVA Confusion Hallucination Délire Convulsions Nausée Vomissement Somnolence CéphaléeAfficher plus - Il est à noter des cas de : . troubles neuropsychiques (en fonction de la réactivité individuelle et principalement chez les personnes âgées) à type de confusion et exceptionnellement à type d'hallucination et/ou délire, . des convulsions principalement après l'administration de doses élevées ou après un traitement concomitant par des médicaments qui peuvent abaisser le seuil épileptogène ou qui déclenchent eux-mêmes des convulsions (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi). - Les effets indésirables les plus fréquemment rencontrés sont ceux de la classe des opiacés tels que : . nausées, vomissements, . somnolence, céphalées, vertiges, hypersudation, sensation de malaise, . sécheresse buccale, . constipation en cas de prise prolongée. - Plus rarement ont été rapportés : . douleurs abdominales, rash, asthénie, euphorie, troubles mineurs de la vision, . troubles de la régulation cardiovasculaire : tachycardie, hypotension, palpitations, élévation de la pression artérielle. - Très rarement ont été rapportés : . réaction anaphylactique à type d'urticaire, d'oedème de Quincke, de bronchospasme ainsi que des cas exceptionnels de choc anaphylactique pouvant être fatal, . troubles mictionnels à type de dysurie et/ou de rétention urinaire, . troubles de la fréquence respiratoire. Une dépression respiratoire peut survenir si les doses administrées dépassent largement les doses recommandées ou si d'autres médicaments dépresseurs centraux sont administrés de façon concomitante, . cas de dépendance, de syndrome de sevrage après utilisation au long cours, comportant des symptômes tels que : agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux. . D'autres symptômes de sevrage ont été rarement rapportés, incluant : attaque de panique, anxiété sévère, hallucinations, paresthésies, acouphènes, autres troubles du SNC. - Dans quelques cas isolés, une augmentation des enzymes hépatiques a été rapportée lors de l'utilisation thérapeutique du tramadol. (1)
Mises en garde et précautions d'emploi Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase. Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares). Compte tenu de la présence de la souche HEPAR SULFUR dans la formule, ce médicament ne doit pas être utilisé en cas d'otite ou de sinusite sans avis médical. Grossesse et allaitement HOMÉOVOX, comprimé enrobé peut être pris pendant la grossesse et l'allaitement. Effets indésirables Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. Propriétés pharmacologiques Classe pharmacothérapeutique : Médicament homéopathique En l'absence de données scientifiques, l'indication de ce médicament repose sur l'usage homéopathique traditionnel de ses composants. Durée et précautions particulières de conservation Durée de conservation : 5 ans. Précautions particulières de conservation : Pas de précaution particulière de conservation. Boîte de 60 comprimés enrobés conditionnés en plaquettes thermoformées (Aluminium/PVC). (1)
Mises en garde et précautions d'emploi Comme pour tout traitement anticoagulant, une surveillance clinique est recommandée pendant toute la durée du traitement. Risque hémorragique Comme avec les autres anticoagulants, les patients traités par Xarelto doivent être surveillés étroitement à la recherche de tout signe de saignement. Xarelto doit être utilisé avec prudence dans les situations présentant un risque hémorragique accru. Le traitement par Xarelto doit être interrompu en cas d'hémorragie sévère. Au cours des études cliniques, des saignements des muqueuses (c.-à-d. épistaxis, saignement gingival, gastro-intestinal, génito-urinaire, dont des saignements vaginaux anormaux ou une augmentation des saignements menstruels) et des anémies ont été observés de manière plus fréquente durant le traitement au long cours par Xarelto comparé au traitement par AVK. Si nécessaire, des dosages de l'hémoglobine/des mesures de l'hématocrite pourraient permettre de détecter un saignement occulte et d'évaluer la pertinence clinique d'un saignement manifeste, en complément d'une surveillance clinique appropriée. Plusieurs sous-groupes de patients, comme détaillés ci-dessous, présentent un risque majoré de saignement. Ces patients doivent être surveillés attentivement à la recherche de signes et de symptômes de complications hémorragiques et d'anémie après l'instauration du traitement (voir rubrique Effets indésirables). Toute chute inexpliquée du taux d'hémoglobine ou de la pression artérielle doit amener à rechercher la présence de saignement. Bien que le traitement par rivaroxaban ne nécessite pas de surveillance biologique de routine, la mesure des concentrations plasmatiques de rivaroxaban à l'aide de tests quantitatifs anti-facteur Xa étalonnés peut être utile dans des situations exceptionnelles pour lesquelles la connaissance de l'exposition au rivaroxaban peut aider à la décision clinique, comme dans le cas d'un surdosage ou d'une intervention chirurgicale en urgence (voir rubriques Propriétés pharmacodynamiques et Propriétés pharmacocinétiques) Insuffisance rénale En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine 120 kg) n'ont eu qu'une incidence mineure sur les concentrations plasmatiques en rivaroxaban (moins de 25%). Aucun ajustement posologique n'est nécessaire. Différences inter-ethniques Aucune différence inter-ethnique cliniquement pertinente n'a été relevée entre les populations caucasiennes, afro-américaines, hispaniques, japonaises ou chinoises quant aux caractéristiques pharmacocinétiques et pharmacodynamiques du rivaroxaban. Insuffisance hépatique Chez les patients cirrhotiques atteints d'insuffisance hépatique légère (classe A de Child Pugh), les modifications des caractéristiques pharmacocinétiques du rivaroxaban observées étaient mineures (multiplication par 1,2 en moyenne de l'ASC du rivaroxaban), d'amplitude comparable à celles observées chez les sujets sains du groupe témoin. Chez les patients cirrhotiques atteints d'insuffisance hépatique modérée (classe B de Child Pugh), l'ASC moyenne du rivaroxaban a été multipliée par 2,3, augmentation significative par rapport aux volontaires sains. L'ASC du produit non lié a été multipliée par 2,6. Ces patients ont également présenté une élimination réduite du rivaroxaban par voie rénale, tout comme les patients atteints d'une insuffisance rénale modérée. Aucune donnée n'est disponible concernant les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère. L'inhibition de l'activité du facteur Xa a été augmentée d'un facteur 2,6 chez les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée par rapport aux volontaires sains ; l'allongement du TQ a connu une augmentation similaire (multiplié par 2,1). Les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée ont été plus sensibles au rivaroxaban, avec pour conséquence une pente du rapport PK/PD plus marquée entre la concentration et le TQ. Xarelto est contre-indiqué chez les patients présentant une atteinte hépatique associée à une coagulopathie et à un risque de saignement cliniquement significatif, y compris chez les patients cirrhotiques avec un score de Child Pugh classe B ou C (voir rubrique Contre-indications). Insuffisance rénale Il a été observé un lien entre l'augmentation de l'exposition au rivaroxaban et la diminution de la fonction rénale évaluée par la mesure de la clairance de la créatinine (ClCr). En cas d'insuffisance rénale légère (ClCr de 50 à 80 ml/min), modérée (ClCr de 30 à 49 ml/min) ou sévère (ClCr de 15 à 29 ml/min), les concentrations plasmatiques du rivaroxaban (ASC) ont été multipliées respectivement par 1,4 ; 1,5 et 1,6. Les augmentations correspondantes des effets pharmacodynamiques ont été plus marquées. En cas d'insuffisance rénale légère, modérée ou sévère, l'inhibition globale de l'activité du facteur Xa a été augmentée respectivement d'un facteur 1,5 ; 1,9 et 2,0 par rapport aux volontaires sains ; l'allongement du TQ a connu une augmentation similaire, multiplié respectivement par 1,3 ; 2,2 et 2,4. Aucune donnée n'est disponible concernant les patients dont la clairance de la créatinine est (1)
Mises en garde et précautions d'emploi Comme pour tout traitement anticoagulant, une surveillance clinique est recommandée pendant toute la durée du traitement. Risque hémorragique Comme avec les autres anticoagulants, les patients traités par Xarelto doivent être surveillés étroitement à la recherche de tout signe de saignement. Xarelto doit être utilisé avec prudence dans les situations présentant un risque hémorragique accru. Le traitement par Xarelto doit être interrompu en cas d'hémorragie sévère. Au cours des études cliniques, des saignements des muqueuses (c.-à-d. épistaxis, saignement gingival, gastro-intestinal, génito-urinaire, dont des saignements vaginaux anormaux ou une augmentation des saignements menstruels) et des anémies ont été observés de manière plus fréquente durant le traitement au long cours par Xarelto comparé au traitement par AVK. Si nécessaire, des dosages de l'hémoglobine/des mesures de l'hématocrite pourraient permettre de détecter un saignement occulte et d'évaluer la pertinence clinique d'un saignement manifeste, en complément d'une surveillance clinique appropriée. Plusieurs sous-groupes de patients, comme détaillés ci-dessous, présentent un risque majoré de saignement. Ces patients doivent être surveillés attentivement à la recherche de signes et de symptômes de complications hémorragiques et d'anémie après l'instauration du traitement (voir rubrique Effets indésirables). Chez les patients recevant Xarelto pour la prévention des ETEV après une chirurgie programmée de la hanche ou de genou, la surveillance peut se faire sous forme d'examens cliniques réguliers, d'une surveillance attentive du drainage de la plaie chirurgicale et de dosages réguliers du taux d'hémoglobine. Toute chute inexpliquée du taux d'hémoglobine ou de la pression artérielle doit amener à rechercher la présence de saignement. Bien que le traitement par rivaroxaban ne nécessite pas de surveillance biologique de routine, la mesure des concentrations plasmatiques de rivaroxaban à l'aide de tests quantitatifs anti-facteur Xa étalonnés peut être utile dans des situations exceptionnelles pour lesquelles la connaissance de l'exposition au rivaroxaban peut aider à la décision clinique, comme dans le cas d'un surdosage ou d'une intervention chirurgicale en urgence (voir rubriques Propriétés pharmacodynamiques et Propriétés pharmacocinétiques) Insuffisance rénale En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine 120 kg) n'ont eu qu'une incidence mineure sur les concentrations plasmatiques en rivaroxaban (moins de 25%). Aucun ajustement posologique n'est nécessaire. Différences inter-ethniques Aucune différence inter-ethnique cliniquement pertinente n'a été relevée entre les populations caucasiennes, afro-américaines, hispaniques, japonaises ou chinoises quant aux caractéristiques pharmacocinétiques et pharmacodynamiques du rivaroxaban. Insuffisance hépatique Chez les patients cirrhotiques atteints d'insuffisance hépatique légère (classe A de Child et Pugh), les modifications des caractéristiques pharmacocinétiques du rivaroxaban observées étaient mineures (multiplication par 1,2 en moyenne de l'ASC du rivaroxaban), d'amplitude comparable à celles observées chez les sujets sains du groupe témoin. Chez les patients cirrhotiques atteints d'insuffisance hépatique modérée (classe B de Child et Pugh), l'ASC moyenne du rivaroxaban a été multipliée par 2,3, augmentation significative par rapport aux volontaires sains. L'ASC du produit non lié a été multipliée par 2,6. Ces patients ont également présenté une élimination réduite du rivaroxaban par voie rénale, tout comme les patients atteints d'une insuffisance rénale modérée. Aucune donnée n'est disponible concernant les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère. L'inhibition de l'activité du facteur Xa a été augmentée d'un facteur 2,6 chez les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée par rapport aux volontaires sains ; l'allongement du TQ a connu une augmentation similaire (multiplié par 2,1). Les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée ont été plus sensibles au rivaroxaban, avec pour conséquence une pente du rapport PK/PD plus marquée entre la concentration et le TQ. Xarelto est contre-indiqué chez les patients présentant une atteinte hépatique associée à une coagulopathie et à un risque de saignement cliniquement significatif, y compris chez les patients cirrhotiques avec un score de Child Pugh classe B ou C (voir rubrique Contre-indications). Insuffisance rénale Il a été observé un lien entre l'augmentation de l'exposition au rivaroxaban et la diminution de la fonction rénale évaluée par la mesure de la clairance de la créatinine (ClCr). En cas d'insuffisance rénale légère (ClCr de 50 à 80 ml/min), modérée (ClCr de 30 à 49 ml/min) ou sévère (ClCr de 15 à 29 ml/min), les concentrations plasmatiques du rivaroxaban (ASC) ont été multipliées respectivement par 1,4 ; 1,5 et 1,6. Les augmentations correspondantes des effets pharmacodynamiques ont été plus marquées. En cas d'insuffisance rénale légère, modérée ou sévère, l'inhibition globale de l'activité du facteur Xa a été augmentée respectivement d'un facteur 1,5 ; 1,9 et 2,0 par rapport aux volontaires sains ; l'allongement du TQ a connu une augmentation similaire (multiplié respectivement par 1,3 ; 2,2 et 2,4). Aucune donnée n'est disponible concernant les patients dont la clairance de la créatinine est (1)
Mises en garde et précautions d'emploi En cas d'insuffisance hépatique, réduire les doses. Oxyurose : pour empêcher la réinfestation, des mesures d'hygiène rigoureuses seront recommandées aux sujets traités : toilette quotidienne de la région anale, brossage des ongles plusieurs fois par jour. Chez l'enfant, couper les ongles très courts. Changer régulièrement les sous-vêtements et vêtements de nuit, empêcher le sujet de se gratter. Traiter tous les membres de la famille en même temps car il est fréquent que l'infestation soit asymptomatique. Ce médicament contient un agent colorant azoïque, le jaune orangé S (E110) et peut provoquer des réactions allergiques. Grossesse et allaitement Grossesse En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées au pyrantel est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de ce médicament durant la grossesse ne devra être envisagée que si nécessaire. Allaitement En l'absence d'étude, à éviter pendant l'allaitement sauf en cas de stricte nécessité. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Les données disponibles à ce jour ne laissent pas supposer l'existence d'interactions cliniquement significatives. Effets indésirables · Rarement : troubles digestifs (anorexie, nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhée), augmentation faible et transitoire des transaminases. · Exceptionnellement : céphalées, vertiges, asthénie, rash cutané, troubles du sommeil. Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. Surdosage Du fait de son faible taux d'absorption, les concentrations plasmatiques sont peu élevées. Un surdosage même important n'entraîne en général que quelques troubles digestifs et quelques troubles transitoires du système nerveux central (fatigue, vertiges, céphalées) et parfois une augmentation des transaminases hépatiques (ASAT). On ne connaît pas d'antidote spécifique. Le lavage gastrique précoce est recommandé, de même la surveillance des fonctions respiratoires et cardio-vasculaires. Propriétés pharmacologiques Classe pharmacothérapeutique : ANTIHELMINTIQUE, code ATC : P02CC01. Mécanisme d'action Le pyrantel est un antihelmintique. Il est actif sur Enterobius vermicularis, Ascaris lumbricoides, Ankylostoma duodenale et Necator americanus. Le pyrantel agit par blocage neuromusculaire, paralysant les helminthes et permettant leur expulsion dans le courant fécal, par péristaltisme. Le pyrantel est actif à la fois sur les formes matures et immatures des helminthes sensibles. Les larves de vers en migration dans les tissus ne sont pas atteintes. La résorption digestive est très faible. Après administration orale, les taux plasmatiques en pyrantel sont minimes (0,05-0,13 µg/ml) et sont atteints en 1 à 3 heures. Plus de 50 pour cent du produit sont excrétés inchangés dans les selles. Moins de 7 pour cent sont retrouvés dans les urines sous forme inchangée et sous forme de métabolites. Le produit ne colore pas les selles en rouge. Durée et précautions particulières de conservation Durée de conservation : 3 ans. Précautions particulières de conservation : A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. Plaquette thermoformée (PVC/Aluminium) de 6 comprimés. (1)
Mises en garde et précautions d'emploi Mises en garde spéciales Cette spécialité contient des dérivés terpéniques qui peuvent entraîner à dose excessive : · Des accidents neurologiques à type de convulsions chez le nourrisson et chez l'enfant, · Des pauses respiratoires et des collapsus chez le nourrisson. Il conviendra d'avertir le patient que les conseils d'utilisation et les posologies préconisées et ne jamais dépasser les doses recommandées. Des pneumopathies huileuses par dépôt pulmonaire suite à des instillations nasales répétées et en usage chronique de produits huileux (le plus souvent plus de 1 mois de traitement) ont été décrites. Il conviendra donc de s'assurer que le patient ne fait pas un usage abusif de ce médicament et de toujours restreindre la prescription à la durée d'utilisation minimale. Précautions d'emploi · Dés l'ouverture de conditionnement, et a fortiori dés la première utilisation d'une préparation à usage nasal, une contamination microbienne est possible. · En cas d'antécédents d'épilepsie tenir compte de la présence de dérivés terpéniques. · L'indication ne justifie pas un traitement prolongé. Grossesse et allaitement En cas d'allaitement, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament du fait : · De l'absence de données cinétiques sur le passage des dérivé terpéniques dans le lait, · Et de leur toxicité neurologique potentielle chez le nourrisson. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Non applicable. Effets indésirables · Réactions d'hypersensibilité. · En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non respect des doses préconisées : o Risque de convulsions chez le nourrisson et l'enfant, o Possibilité d'agitation et de confusion chez les sujets âgés. · Les instillations nasales répétées, en particulier, lors d'un usage chronique favorisent la survenue de pneumopathies huileuses d'inhalation (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. Surdosage Non applicable. Propriétés pharmacologiques Classe pharmacothérapeutique : PREPARATION NASLAE POUR USAGE LOCAL (R : Système respiratoire) L'huile essentielle de Niaouli est un dérivé terpénique. Les dérivés terpéniques peuvent abaisser le seuil épileptogène. Non applicable. Durée et précautions particulières de conservation Durée de conservation : 3 ans. Précautions particulières de conservation : Pas de précautions particulières de conservation. Flacon (verre incolore de type III) de 22 ml, capsule (aluminium, joint Triseal en polyéthylène) et bouchon muni d'un compte-gouttes (polyéthylène, PVC). (1)
Mises en garde et précautions d'emploi Mises en garde: Liée à la présence de jaune orangé S (E110): possibilité de réactions allergiques, y compris d'asthme, en particulier chez les patients allergiques à l'aspirine. Précautions d'emploi: En cas de persistance des troubles au-delà de 10 jours de traitement, la situation doit être réévaluée. En raison d'un effet légèrement stimulant, il est souhaitable de ne pas prendre la vitamine C en fin de journée. Grossesse et allaitement Il n'y a pas d'étude de tératogénèse disponible chez l'animal. En clinique, un recul important et des grossesses exposées en nombre suffisamment élevé, n'a pas révélé d'effet malformatif ou foetotoxique de la vitamine C. En conséquence, l'utilisation de la vitamine C ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. En l'absence de données sur le passage de la vitamine C dans le lait maternel, l'utilisation de la vitamine C est à éviter pendant l'allaitement. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Consommé à fortes doses (plus de 2 g/jour), l'acide ascorbique peut interférer avec les tests biologiques suivants: dosages de la créatinine et du glucose, sanguins et urinaires (contrôle du diabète par tigette à la glucose-oxydase). Associations déconseillées Liée à la présence de sorbitol: + Kayexalate (voies orales et rectales): Risque de nécrose colique, éventuellement fatale. Effets indésirables A fortes doses supérieures à 1 g/jour, possibilité de: · troubles digestifs (brûlures gastriques, diarrhées), · troubles urinaires (lithiases oxaliques, cystiniques et uriques), · hémolyse chez les sujets déficients en G6PD Liés à la présence de sorbitol: diarrhée, douleurs abdominales. Surdosage A doses supérieures à 1 g/jour en vitamine C, possibilité de : · troubles digestifs (brûlures gastriques, diarrhée), · troubles urinaires (lithiases oxaliques, cystiniques et/ou uriques). A doses supérieures à 2 g/jour en vitamine C, l'acide ascorbique peut interférer avec les tests biologiques suivants : dosage de la créatinine et du glucose sanguins et urinaires (contrôles du diabète par tigette à la glucose oxydase). A dose supérieures à 3 g/jour en vitamine C, risque d'hémolyse chez les sujets déficients en G6PD. Propriétés pharmacologiques Classe pharmacothérapeutique : VITAMINE C (A: appareil digestif et métabolisme) La vitamine C est une vitamine hydrosoluble à visée anti-asthénique. L'absorption digestive de la vitamine C est bonne. En cas d'apport supérieur aux besoins, l'excès est éliminé par voie urinaire. Durée et précautions particulières de conservation Durée de conservation : 3 ans Précautions particulières de conservation : Pas de précautions particulières de conservation. Boite de 1 flacon de 12 comprimés. (1)
Mises en garde et précautions d'emploi Si les symptômes s'aggravent pendant l'utilisation de ce médicament, un médecin ou un pharmacien doit être consulté. Ce médicament contient du saccharose. Les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament. Ce médicament contient 5 g de saccharose par ampoule dont il faut tenir compte dans la ration journalière pour les patients atteints de diabète sucré. Ce médicament peut être nocif pour les dents.[C4] Ce médicament contient 2% V/V d'éthanol (alcool) c'est-à-dire jusqu'à 160 mg par ampoule, ce qui équivaut à 4 ml de bière, 1,67 ml de vin par dose. L'utilisation de ce médicament est dangereuse chez les sujets alcooliques et doit être prise en compte chez les femmes enceintes ou allaitant, [C5] les enfants et les groupes à haut risque tels que les insuffisants hépatiques ou les épileptiques. Ce médicament contient 9,7 mg de sodium par ampoule soit moins de 1 mmol (23 mg) par dose, c'est-à-dire qu'il est essentiellement sans sodium. Ce médicament contient 2,5 à 12,5 mg d'alcool benzylique par ampoule de 10 ml. L'alcool benzylique peut provoquer des réactions allergiques. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler et entraîner une acidose métabolique particulièrement en cas d'atteinte des fonctions rénales ou hépatiques.[AB6] Ce médicament contient du « Parahydroxybenzoate » et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées). En cas de diarrhée ou de douleurs abdominales, la prise du produit doit être suspendue. Population pédiatrique En l'absence de données suffisantes, l'utilisation de ce médicament est déconseillée chez l'enfant de moins de 12 ans. Grossesse et allaitement Grossesse La sécurité d'emploi n'a pas été établie durant la grossesse. En absence de données suffisantes et en raison de la présence d'alcool, l'utilisation de ce médicament est contre-indiquée chez les femmes envisageant une grossesse et chez les femmes enceintes, tout au long de la grossesse. Allaitement [C7] La sécurité d'emploi n'a pas été établie durant l'allaitement. En l'absence de données suffisantes et en raison de la présence d'alcool, l'utilisation de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement. Fertilité Aucune donnée disponible sur la fertilité. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Liées à la présence d'alcool (160 mg par ampoule) Associations contre-indiquées + Acitrétine Chez la femme en âge de procréer, risque de transformation de l'acitrétine en étrétinate, puissant tératogène dont la demi-vie très prolongée (120 jours) expose à un risque tératogène majeur en cas de grossesse, pendant le traitement et les 2 mois suivant son arrêt. Associations déconseillées + Médicaments provoquant une réaction antabuse avec l'alcool (céfamandole, disulfirame, glibenclamide, glipizide, griséofulvine, kétoconazole, métronidazole, ornidazole, procarbazine, secnidazole, ténonitrozole, tinidazole, tolbutamide). Effet antabuse (chaleur, rougeurs, vomissements, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. Tenir compte de l'élimination complète de ces médicaments en se référant à leur demi-vie avant la reprise de boissons alcoolisées ou de médicament contenant de l'alcool. + Sulfamides hypoglycémiants Effet antabuse notamment pour le glibenclamide, glipizide, tolbutamide : augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions de compensation) pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. + Insuline Augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions de compensation pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. + Médicaments sédatifs : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), neuroleptiques, barbituriques, benzodiazépines, anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple, le méprobamate), hypnotiques, antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), antihistaminiques H1 sédatifs, antihypertenseurs centraux, baclofène et thalidomide. Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. + Metformine Risque majoré d'acidose lactique lors d'intoxication alcoolique aiguë, particulièrement en cas de jeûne ou dénutrition, ou bien d'insuffisance hépatocellulaire. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. + IMAO irréversibles (iproniazide) Majoration des effets hypertenseurs et/ou hyperthermiques de la tyramine présente dans certaines boissons alcoolisées (chianti, certaines bières, etc…). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. Associations à prendre en compte + Acide nicotinique Risque de prurit, de rougeur et de chaleur liés à une potentialisation de l'effet vasodilatateur. + Antivitamines K (acénocoumarol, fluindione, warfarine) Variations possibles de l'effet anticoagulant, avec augmentation en cas d'intoxication aiguë ou diminution en cas d'alcoolisme chronique (métabolisme augmenté). Effets indésirables Les effets indésirables sont répertoriés ci-dessous, en fonction de la nature de l'affection et de leur fréquence. Affections gastro-intestinales Fréquence indéterminée : légères diarrhées avec spasmes abdominaux, affections épigastriques telles que nausées et brûlures d'estomac. Affections du système immunitaire Fréquence indéterminée : réactions allergiques. En raison de la présence d'alcool benzylique, risque de réactions allergiques et d'acidose métabolique (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après enregistrement du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. Surdosage Aucun cas de surdosage n'a été rapporté. Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Durée et précautions particulières de conservation Boite de 20 ampoules de 10 ml à 2 pointes autocassables en verre jaune. (1)
Mises en garde et précautions d'emploi Une surveillance hématologique et neurologique régulière doit être menée tout au long du traitement. La kaliémie doit être attentivement surveillée durant les deux premiers jours de traitement par la vitamine B12 chez les sujets présentant une anémie mégaloblastique : une hypokaliémie peut survenir en raison de l'augmentation des besoins érythrocytaires en potassium. En l'absence de réponse thérapeutique lors de l'administration de vitamine B12 au cours d'anémies mégaloblastiques, le diagnostic d'un déficit du métabolisme de l'acide folique doit être considéré. Des doses journalières supérieures à 10 µg peuvent conduire à une réponse hématologique chez les sujets présentant un déficit en acide folique. Aussi, une administration sans distinction préalable du déficit risque de fausser le diagnostic précis. Grossesse et allaitement Compte tenu des données disponibles, l'utilisation en cas de carence chez la femme enceinte ou qui allaite est possible. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Associations à prendre en compte + Antisécrétoires antihistaminiques H2 Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. + Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Effets indésirables · Réactions allergiques : prurit, urticaire, eczéma, érythème, oedème pouvant être sévère : choc anaphylactique, nécrose cutanée ou oedème de Quincke. · Risque d'acné. · Possibilité de douleur au point d'injection. · Coloration rouge des urines (correspondant à l'élimination urinaire de la vitamine B12) Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr. Surdosage Aucun cas de surdosage n'a été rapporté. Propriétés pharmacologiques Classe pharmacothérapeutique : ANTIANEMIQUE - VITAMINE B12, code ATC : B03BA01. La vitamineB12 est absorbée au niveau de l'iléon terminal par deux mécanismes : · un mécanisme passif lorsque les quantités sont importantes et, · un mécanisme actif qui permet l'absorption des doses physiologiques et pour lequel la présence du facteur intrinsèque est indispensable. Le pic sérique est atteint une heure après l'injection intramusculaire. L'excrétion se fait principalement par la bile. Durée et précautions particulières de conservation Durée de conservation : 4 ans. Après ouverture et/ou dilution et/ou reconstitution : le produit doit être utilisé immédiatement. Précautions particulières de conservation : A conserver à l'abri de la lumière. En l'absence d'étude de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments. Ampoule de verre incolore (type I) de 4 ml. (1)
Mises en garde spéciales et précautions d'emploi Mise en garde · Bien que la résorption transcutanée soit très faible, le risque d'effets systémiques ne peut être exclu. Les effets systémiques sont d'autant plus à redouter que l'antiseptique est utilisé sur une grande surface, sous pansement occlusif, sur une peau lésée (notamment brûlée), une muqueuse, une peau de prématuré ou de nourrisson (en raison du rapport surface/poids et de l'effet d'occlusion des couches au niveau du siège). · Dès l'ouverture du conditionnement d'une préparation à visée antiseptique une contamination microbienne est possible. · Si le flacon est supérieur à 250 ml: le volume de ce flacon supérieur à 250 ml expose à un risque de contamination de la solution en cas d'utilisation prolongée après ouverture. Grande surface Sous occlusion Peau lésée Peau brûlée Prématuré Nourrisson Grossesse Allaitement Effets indésirables L'hexamidine est susceptible d'entraîner une sensibilisation. Sa fréquence varie avec la forme galénique et le degré d'altération épidermique: la solution hydro-alcoolique, fréquemment appliquée sur un épiderme érodé ou lésé, est plus souvent responsable que les autres formes galéniques. La dermite de contact à l'hexamidine présente certaines particularités évoquant un phénomène d'Arthus et suggérant des mécanismes immunologiques humoraux. Son aspect clinique diffère habituellement du classique eczéma de contact: l'éruption est le plus souvent infiltrée, faite de lésions papuleuses ou papulo-vésiculaires hémisphériques isolées ou groupées. Plus nombreuses et coalescentes au point d'application de l'antiseptique, elles diffusent, en éléments isolés. La régression est souvent lente. Des manifestations bénignes d'intolérance locale peuvent être rencontrées: sensation de picotements, démangeaisons, brûlure, sécheresse cutanée. Elles n'entraînent qu'exceptionnellement l'arrêt du traitement. Sensibilisation Dermite de contact Phénomène d'Arthus Eruption papuleuse Eruption papulovésiculeuse Sensation de picotement cutané Démangeaison cutanée Brûlure cutanée Sécheresse cutanée Fertilité, grossesse et allaitement A utiliser avec prudence chez la femme enceinte ou qui allaite, faute de données cliniques exploitables. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions Compte-tenu des interférences possibles (antagonisme/inactivation) l'emploi simultané ou successif d'antiseptiques est à éviter. Posologie et mode d'administration VOIE CUTANEE Utiliser pure en application ou pansements humides ou bains locaux à raison de 2 à 3 fois par jour. La solution peut être utilisée également en pulvérisations. Aucun rinçage n'est nécessaire après application. Durée d'utilisation après ouverture: (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi). Durée et précautions particulières de conservation Durée de conservation : 3 ans Précautions particulières de conservation : Pas de précautions particulières de conservation. Incompatibilités Sans objet. Surdosage Sans objet. Propriétés pharmacodynamiques Classe pharmacothérapeutique : ANTISEPTIQUE (D. Dermatologie) L'hexamidine appartient à la famille des diamidines. Elle se comporte comme un agent antibactérien cationique et présente des propriétés tensio-actives. L'activité bactéricide de la solution n'est pas inhibée par un exsudât standard qui reproduit in vitro les conditions observées en pratique lors du contact avec le pus, le sérum, les débris organiques. Propriétés pharmacocinétiques Non renseigné. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Sans objet. Données de sécurité préclinique Non renseigné. Précautions particulières d'élimination et de manipulation Pas d'exigences particulières. Conditions de prescription et de délivrance Médicament non soumis à prescription médicale. Forme pharmaceutique Absence d'information dans l'AMM. Nature et contenu de l'emballage extérieur Flacon (PE) de 250 ml, avec bouchon (PE). Données technico-réglementaires Code CIP7 3049538 Code CIP13 3400930495384 (Code 13 référent) Code UCD7 9043583 Code UCD13 3400890435833 Code CIS 69323760 Médicament T2A Non Laboratoire titulaire AMM SANOFI-AVENTIS FRANCE Laboratoire exploitant COOPER Place LUCIEN AUVERT 77020 MELUN CEDEX Tel : 01 64 87 20 00 Fax : 01 64 87 20 75 Mail : info@cooper.fr Site Web : http://www.cooper.fr Prix de vente TTC Prix libre Taux de TVA 2.1 % Base de remboursement SS Non remboursé Taux SS 0 % Code Acte pharmacie PHN Médicament d'exception Non Agrément collectivités Oui Statut AMM Date AMM 23/01/1996 Rectificatif d'AMM 07/10/2011 Marque HEXOMEDINE Gamme Sans gamme (1)
Mode d’administration et posologie du médicament FLUDITEC Enfant Posologie Un godet doseur rempli jusqu'à la graduation de 5 ml contient 100 mg de carbocistéine. Enfants de 2 à 5 ans : 200 mg par jour, répartis en 2 prises, soit 1 godet doseur rempli jusqu'à la graduation de 5 ml 2 fois par jour. Enfants de plus de 5 ans : 300 mg par jour, répartis en 3 prises, soit 1 godet doseur rempli jusqu'à la graduation de 5 ml 3 fois par jour. Mode d'administration Voie orale. Durée de traitement La durée du traitement ne dépassera pas 8 à 10 jours sans avis médical. Mise en garde et précautions d’emploi Ulcère gastroduodénal Diabète Régime hypoglucidique Régime hyposodé Régime désodé Grossesse Intolérance digestive Mises en garde spéciales En cas d'expectoration grasse et purulente, en cas de fièvre ou en cas de maladie chronique des bronches et des poumons, procéder à un réexamen de la situation clinique. Les toux productives, qui représentent un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire, sont à respecter. L'association de mucomodificateurs bronchiques avec des antitussifs et/ou des substances asséchant les sécrétions (atropiniques) est irrationnelle. Les mucolytiques peuvent induire un surencombrement bronchique chez le nourrisson. En effet, ses capacités de drainage du mucus bronchique sont limitées, en raison des particularités physiologiques de son arbre respiratoire. Ils ne doivent pas être utilisés chez le nourrisson (voir rubriques Contre-indications et Effets indésirables). Le traitement devra être réévalué en cas de persistance ou d'aggravation des symptômes ou de la pathologie. Précautions particulières d'emploi La prudence est recommandée chez les sujets atteints d'ulcères gastroduodénaux. Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase. Ce médicament contient 3,5 g de saccharose par dose de 5 ml dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Ce médicament contient du sodium. Ce médicament contient 0,57 mmol (ou 13 mg) de sodium par dose de 5 ml. A prendre en compte chez les patients suivant un régime hyposodé strict. Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de méthyle (E218) qui peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées). Ce médicament contient un agent azoïque (E110) qui peut provoquer des réactions allergiques. Mécanisme d’action : comment ça marche ? Classe pharmacothérapeutique : MUCOLYTIQUE, Code ATC : R05CB03. La carbocistéine est un mucomodificateur de type mucolytique. Elle exerce son action sur la phase gel du mucus, vraisemblablement en rompant les ponts disulfures des glycoprotéines, et favorise ainsi l'expectoration. Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Sans objet. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Sans objet. FLUDITEC Enfant: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à la carbocistéine est insuffisant pour exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de la carbocistéine ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. Allaitement Il n'existe pas de données concernant le passage de la carbocistéine dans le lait maternel. Cependant, compte tenu de sa faible toxicité, les risques potentiels pour l'enfant apparaissent négligeables en cas de traitement par ce médicament. En conséquence, l'allaitement est possible. Effets indésirables possible du médicament FLUDITEC Enfant Risque de surencombrement bronchique chez le nourrisson Réaction cutanée allergique Prurit cutané Eruption érythémateuse Urticaire allergique Angio-oedème Erythème pigmenté fixe GastralgieAfficher plus Risque de surencombrement bronchique chez le nourrisson (voir rubriques Contre-indications et Mises en garde et précautions d'emploi). Réactions cutanées allergiques telles que prurit, éruption érythémateuse, urticaire et angioedème. Quelques cas d'érythème pigmenté fixe ont été rapportés. Possibilité de phénomènes d'intolérance digestive (gastralgies, nausées, diarrhées). Il est alors conseillé de réduire la dose. Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr. Autres informations Forme pharmaceutique: Sirop Voie d'administration: Orale Code ATC : R05CB03 Classe pharmacothérapeutique : Carbocistéine Conditions de prescription et de délivrance: Médicament non soumis à prescription médicale. Code Identifiant de Spécialité (CIS): 69219854 Laboratoire titulaire AMM: Innotech internat (21/12/1994) Laboratoire exploitant: Innotech internat Sources : Résumé des Caractéristiques Produits (RCP) des autorisations de mise sur le marché (AMM) françaises et européennes Livret des interactions médicamenteuses de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) Répertoire des génériques de l’ANSM Documents de référence de la Haute Autorité de Santé (HAS) : fiches de transparence, fiches de bon usage, documents SAM (Système d’Aide à la décision par Médicament) Prix et remboursements du Comité économique des produits de santé (CEPS) Informations des laboratoires titulaires de l’AMM (CF supra dans l’onglet « Autres informations » de cette page) Informations grossistes répartiteurs Assurance maladie (CNAMTS) : guide des affectations de longues durées (ALD) Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH) : classification CIM10 Organisation mondiale de la santé (OMS) : classification ATC Pharmacopée européenne : Standard Terms et classification EPhMRA Ministère de la santé : substances dopantes (1)
Mode d’administration et posologie du médicament GALVUS Posologie Adultes En monothérapie, en association à la metformine, en association à une thiazolidinedione, en association à la metformine et un sulfamide hypoglycémiant ou en association à l'insuline (avec ou sans metformine), la dose quotidienne recommandée de vildagliptine est de 100 mg, administrée en une dose de 50 mg le matin et une dose de 50 mg le soir. En association à un sulfamide hypoglycémiant, la dose recommandée de vildagliptine est de 50 mg par jour en une prise le matin. Chez ces patients, 100 mg de vildagliptine par jour n'est pas plus efficace que 50 mg de vildagliptine une fois par jour. En cas d'utilisation en association avec un sulfamide hypoglycémiant, une dose plus faible de sulfamide hypoglycémiant peut être envisagée pour réduire le risque d'hypoglycémie. Les doses supérieures à 100 mg ne sont pas recommandées. Si la prise de Galvus a été oubliée, elle devra être prise dès que le patient s'en souvient. Une dose double ne doit pas être prise le même jour. La sécurité et l'efficacité de la vildagliptine et de la metformine en association triple avec une thiazolidinedione n'ont pas été établies. Informations supplémentaires dans les populations particulières Sujets âgés (65 ans et plus) Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients âgés (voir également rubriques Propriétés pharmacodynamiques et Propriétés pharmacocinétiques). Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ≥ 50 ml/min). Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère ou une insuffisance rénale terminale (IRT), la dose recommandée de Galvus est de 50 mg une fois par jour (voir également rubriques Mises en garde et précautions d'emploi, Propriétés pharmacodynamiques et Propriétés pharmacocinétiques). Insuffisance hépatique Galvus ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une insuffisance hépatique, incluant les patients présentant des taux d'alanine aminotransférase (ALAT) ou d'aspartate aminotransférase (ASAT) avant traitement supérieurs à 3 fois la limite supérieure à la normale (LSN) (voir également rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques). Population pédiatrique Galvus ne doit pas être utilisé chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans. La sécurité et l'efficacité de Galvus chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible (voir également rubrique Propriétés pharmacodynamiques). Mode d'administration Voie orale. Galvus peut être administré pendant ou en dehors des repas (voir également rubrique Propriétés pharmacocinétiques). Mise en garde et précautions d’emploi Insuffisance rénale (Clcr (1)
Mode d’administration et posologie du médicament TAREG Posologie Hypertension La posologie initiale recommandée de TAREG est de 80 mg une fois par jour. L'effet antihypertenseur est nettement perceptible en l'espace de 2 semaines, mais l'effet maximal est atteint en 4 semaines. Chez certains patients dont la pression artérielle n'est pas suffisamment contrôlée, il est possible d'augmenter la posologie à 160 mg jusqu'à un maximum de 320 mg. TAREG peut également être administré avec d'autres antihypertenseurs (voir rubriques Contre-indications, Mises en garde et précautions d'emploi, Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Propriétés pharmacodynamiques). L'association d'un diurétique tel que l'hydrochlorothiazide diminuera encore davantage la pression artérielle chez ces patients. Post-infarctus du myocarde récent Chez les patients cliniquement stables, le traitement peut être débuté dès la douzième heure après un infarctus du myocarde. La posologie initiale est de 20 mg deux fois par jour. Le traitement par valsartan sera ensuite augmenté à 40 mg, 80 mg puis 160 mg deux fois par jour au cours des semaines suivantes. La dose initiale est fournie par le comprimé sécable à 40 mg. La dose maximale cible est de 160 mg deux fois par jour. En règle générale, il est recommandé que les patients atteignent une dose de 80 mg deux fois par jour dans les deux semaines qui suivent le début du traitement, et que la dose maximale cible de 160 mg deux fois par jour, soit atteinte dans un délai de trois mois, en fonction de la tolérance du patient. En cas de survenue d'un épisode d'hypotension artérielle symptomatique ou de dysfonctionnement rénal, une diminution de la dose sera envisagée. Le valsartan peut être utilisé avec d'autres traitements du post-infarctus du myocarde, par exemple les agents thrombolytiques, l'acide acétylsalicylique, les bêtabloquants, les statines et les diurétiques. L'association avec les IEC n'est pas recommandée (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacodynamiques). L'évaluation des patients après un infarctus du myocarde doit toujours comporter une exploration de leur fonction rénale. Insuffisance cardiaque La posologie initiale recommandée de TAREG est de 40 mg deux fois par jour. La dose sera augmentée à 80 mg puis 160 mg deux fois par jour, par paliers d'au moins deux semaines, en fonction de la tolérance du patient. Une réduction de la dose de diurétiques administrés simultanément doit être envisagée. La posologie quotidienne maximale administrée au cours des essais cliniques est de 320 mg en doses fractionnées. Le valsartan peut être utilisé avec d'autres traitements de l'insuffisance cardiaque. Toutefois, la triple association d'un IEC, du valsartan et d'un bêtabloquant ou d'un diurétique épargneur de potassium est déconseillée (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacodynamiques). L'évaluation des patients ayant une insuffisance cardiaque doit toujours comporter une exploration de la fonction rénale. Informations supplémentaires concernant les populations particulières Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez le sujet âgé. Patients présentant une insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients adultes dont la clairance de la créatinine est > 10 ml/min (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques). Patients présentant une insuffisance hépatique TAREG est contre-indiqué chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère, de cirrhose biliaire et chez les patients atteints de cholestase (voir rubriques Contre-indications, Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques). La posologie ne doit pas dépasser 80 mg chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée sans cholestase. Population pédiatrique Hypertension pédiatrique Enfants et adolescents âgés de 6 à 18 ans La posologie initiale recommandée est de 40 mg une fois par jour chez les enfants de moins de 35 kg et de 80 mg une fois par jour chez ceux de 35 kg et plus. La dose devra être adaptée en fonction de la réponse tensionnelle. Les doses maximales étudiées dans les essais cliniques sont listées dans le tableau ci-dessous. Les doses plus élevées que celles listées ci-dessous n'ont pas été étudiées et ne sont donc pas recommandées. Poids corporel Dose maximale étudiée dans les essais cliniques ≥ 18 kg à 30 ml/min. La fonction rénale et la kaliémie devront être étroitement surveillées (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques). Utilisation chez les patients pédiatriques âgés de 6 à 18 ans présentant une insuffisance hépatique Comme chez les adultes, TAREG est contre-indiqué chez les patients pédiatriques atteints d'insuffisance hépatique sévère, de cirrhose biliaire et chez les patients atteints de cholestase (voir rubriques Contre-indications, Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques). L'expérience clinique de l'utilisation de TAREG chez les patients pédiatriques atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée est limitée. La posologie de valsartan ne doit pas dépasser 80 mg chez ces patients. Insuffisance cardiaque et infarctus du myocarde récent dans la population pédiatrique TAREG n'est pas recommandé dans le traitement de l'insuffisance cardiaque ou de l'infarctus du myocarde récent chez les enfants et les adolescents âgés de moins de 18 ans compte tenu de l'absence de données d'efficacité et de sécurité d'emploi. Mode d'administration TAREG peut être pris au cours ou en dehors des repas. Il doit être pris avec un verre d'eau. (1)
Mode d'administration Voie orale. Agiter l'ampoule avant emploi. Les ampoules se prennent diluées dans de l'eau (sucrée ou non), ou toute autre boisson non alcoolisée. A prendre de préférence avant les repas, mais l'horaire de la prise et parfois la posologie sont à adapter en fonction de la tolérance digestive. Une ampoule contient 50 mg de fer métal. Mise en garde et précautions d’emploi Posologies limitées à l'adulte et à l'enfant de plus de 1 mois Diabète Régime hypoglucidique La prévention de la carence du nourrisson repose sur l'introduction précoce d'une alimentation diversifiée. Ce médicament n'est pas préconisé dans le traitement de l'hyposidérémie associée aux syndromes inflammatoires. Le traitement martial doit dans la mesure du possible être associé au traitement de la cause. Ce médicament contient 3 g de saccharose par ampoule, dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase. Ce médicament contient 0,08 g de glucose par ampoule, dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose. La présence du glucose et du saccharose peut être nocive pour les dents en cas de prise prolongée (minimum 2 semaines). Ce médicament contient de faibles quantités d'éthanol (alcool), inférieures à 100 mg par ampoule. Mécanisme d’action : comment ça marche ? Classe pharmacothérapeutique : ASSOCIATION, ANTIANEMIQUE, APPORT MINERAL, OLIGOELEMENT, code ATC : B03AE10 : PREPARATIONS ANTIANEMIQUES, ASSOCIATIONS DIVERSES A BASE DE FER. Apport de fer ferreux (50 mg de fer élémentaire par ampoule de 10 ml). Interactions : ne pas prendre ce médicament avec… Associations déconseillées + Fer (sels de) (voie injectable) : Lipothymie, voire choc attribué à la libération rapide du fer de sa forme complexe et à la saturation de la sidérophiline. Associations faisant l'objet de précautions d'emploi + Cyclines (voie orale) : Diminution de l'absorption digestive des cyclines (formation de complexes). Prendre les sels de fer à distance des cyclines (plus de 2 heures, si possible). + Fluoroquinolones : Diminution de l'absorption digestive des fluoroquinolones (formation de complexes). Prendre les sels de fer à distance des fluoroquinolones (plus de 2 heures, si possible). + Sels, oxydes et hydroxydes de magnésium, d'aluminium et de calcium (topiques gastro-intestinaux) : Diminution de l'absorption digestive des sels de fer. Prendre les topiques gastro-intestinaux à distance des sels de fer (plus de 2 heures, si possible). + Diphosphonates (voie orale) : Diminution de l'absorption des diphosphonates. Prendre les sels de fer à distance des diphosphonates (plus de 2 heures, si possible). + Pénicillamine : Diminution de l'absorption digestive de la pénicillamine. Prendre les sels de fer à distance de la pénicillamine (plus de 2 heures, si possible). + Thyroxine (voie orale) : Diminution de l'absorption digestive de la thyroxine. Prendre les sels de fer à distance de la thyroxine (plus de 2 heures, si possible). + Aliments La consommation importante de thé inhibe l'absorption de fer. Prendre les sels de fer à distance de la prise de thé. Incompatibilités Sans objet. Comment réagir en cas de surdosage ? Après ingestion massive, des cas de surdosage avec les sels de fer ont été rapportés, en particulier chez l'enfant de moins de 2 ans : la symptomatologie comporte des signes d'irritation et de nécrose gastro-intestinale accompagnés dans la plupart des cas de nausées, vomissements et états de choc. Le traitement doit intervenir le plus tôt possible en réalisant un lavage gastrique avec une solution de bicarbonate de sodium à 1%. L'utilisation d'un agent chélateur est efficace, le plus spécifique étant la déféroxamine, principalement lorsque la concentration en fer sérique est supérieure à 5 µg/ml. L'état de choc, la déshydratation et les anomalies acidobasiques sont traités de façon classique. TOT'HEMA: Grossesse, allaitement et fertilité Grossesse Les données disponibles sur un nombre limité de grossesses ne mettent pas en évidence de risque particulier chez la femme enceinte, ni chez le foetus ou le nouveau-né. En conséquence, ce médicament dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant la grossesse. Allaitement Le passage de ce médicament dans le lait maternel n'a pas été évalué, en conséquence, son administration au cours de l'allaitement ne sera envisagée que si nécessaire. Effets indésirables possible du médicament TOT'HEMA Nausée Vomissement Brûlure gastrique Constipation Diarrhée Coloration des selles en noir Coloration des dents Réaction allergique Les effets indésirables observés au cours des études cliniques conduites avec TOT'HEMA, solution buvable en ampoule, sont répertoriés selon la classification de systèmes d'organes MedDRA et par fréquence en utilisant les catégories suivantes : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 à (1)
Mode d'emploi et posologie du médicament TÉNORMINE Ce médicament est pris indifféremment au cours ou en dehors des repas. Posologie usuelle : Hypertension artérielle : 100 mg, en une prise le matin. Autres indications : 50 mg à 200 mg par jour, selon les cas. Conseils Veillez à toujours disposer d'une réserve de médicament, une plaquette dans la trousse de toilette, par exemple. Votre tension artérielle doit être contrôlée régulièrement. Les appareils permettant une mesure automatique de la tension à domicile utilisent souvent un procédé de mesure différent de celui qu'emploie votre médecin. Si vous avez un tel appareil, apportez-le en consultation pour vous assurer que la mesure obtenue est bien conforme à celle du tensiomètre de votre médecin. Le traitement médicamenteux ne dispense pas de mesures pouvant faire baisser la tension artérielle : activité physique régulière, modération de la consommation de boissons alcoolisées et de sel, lutte contre l'excès de poids, arrêt du tabac. Il est normal que le rythme cardiaque ralentisse sous l'effet du traitement ; néanmoins, en cas de fatigue anormale et de pouls inférieur à 50 battements par minute, consultez votre médecin. Effets indésirables possibles du médicament TÉNORMINE Le plus fréquemment : douleur d'estomac, nausées, vomissements, fatigue en début de traitement, sensation de mains et de pieds froids, troubles de l'érection, ralentissement important du cœur. Plus rarement : bloc auriculoventriculaire, baisse excessive de la tension artérielle, phénomène de Raynaud, insuffisance cardiaque, bronchospasme, hypoglycémie, éruption cutanée, aggravation d'un psoriasis. Exceptionnellement : élévation des transaminases, jaunisse. Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne. En savoir plus sur https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-dtenor01-TENORMINE.html#EXYmEZHivTcZkiYD.99 (1)
Mode d'emploi et posologie du médicament TÉNORMINE Ce médicament est pris indifféremment au cours ou en dehors des repas. Posologie usuelle : Hypertension artérielle : 100 mg, en une prise le matin. Autres indications : 50 mg à 200 mg par jour, selon les cas. Conseils Veillez à toujours disposer d'une réserve de médicament, une plaquette dans la trousse de toilette, par exemple. Votre tension artérielle doit être contrôlée régulièrement. Les appareils permettant une mesure automatique de la tension à domicile utilisent souvent un procédé de mesure différent de celui qu'emploie votre médecin. Si vous avez un tel appareil, apportez-le en consultation pour vous assurer que la mesure obtenue est bien conforme à celle du tensiomètre de votre médecin. Le traitement médicamenteux ne dispense pas de mesures pouvant faire baisser la tension artérielle : activité physique régulière, modération de la consommation de boissons alcoolisées et de sel, lutte contre l'excès de poids, arrêt du tabac. Il est normal que le rythme cardiaque ralentisse sous l'effet du traitement ; néanmoins, en cas de fatigue anormale et de pouls inférieur à 50 battements par minute, consultez votre médecin. Effets indésirables possibles du médicament TÉNORMINE Le plus fréquemment : douleur d'estomac, nausées, vomissements, fatigue en début de traitement, sensation de mains et de pieds froids, troubles de l'érection, ralentissement important du cœur. Plus rarement : bloc auriculoventriculaire, baisse excessive de la tension artérielle, phénomène de Raynaud, insuffisance cardiaque, bronchospasme, hypoglycémie, éruption cutanée, aggravation d'un psoriasis. Exceptionnellement : élévation des transaminases, jaunisse. Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne. Documents utiles AstraZeneca image: https://vidalbox.vidal.fr/files/uploads/pictos/picto-format-photo.png Photos de conditionnement Photos de boîte (2) En savoir plus sur https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-dtenor01-TENORMINE.html#480Q7KVP7Fcr6Kw7.99 (1)
Mode d'emploi: Les gélules doivent être avalées sans être ouvertes, avec un grand verre d'eau. Posologie usuelle: Adulte : 1 gélule, 2 fois par jour. Conseils: L'effet de ce médicament est lent à apparaître : le soulagement n'apparaît généralement qu'au bout de 1 à 2 mois de traitement. Le traitement médicamenteux ne dispense pas des mesures permettant de lutter contre un éventuel surpoids. Il est également recommandé de pratiquer une activité physique adaptée pour renforcer la musculature et maintenir la mobilité de l'articulation. Effets indésirables possible: Éruption cutanée, urticaire, démangeaisons, œdème de Quincke (rare). Rarement : nausées, vomissements. Laboratoire Pierre Fabre Médicament (1)
Mode d'utilisation : 1/ Nettoyez bien vos mains. Lavez le biberon et ses accessoires, puis stérilisez-les dans de l'eau bouillante pendant au moins 10 minutes 2/ Faites bouillir de l'eau claire et propre pendant 10 minutes et laissez tiédir à 40°C maximum. En consultant le tableau d'alimentation, versez dans le biberon stérilisé la quantité d'eau tiède correspondant à l'âge de votre enfant 3/ Ajoutez le nombre exact de mesurettes de poudre FRANCE LAIT 1, selon le tableau d'alimentation 4/ Fermez le biberon et agitez-le vigoureusement pendant une dizaine de secondes jusqu'à parfaite dissolution de la poudre 5/ Contrôlez la température du lait en mettant quelques gouttes sur votre poignet. (1)
Mode d'utilisation: 1/ Nettoyez bien vos mains. Lavez le biberon et ses accessoires, puis stérilisez-les dans de l'eau bouillante pendant au moins 10 minutes 2/ Faites bouillir de l'eau claire et propre pendant 10 minutes et laissez tiédir à 40°C maximum. En consultant le tableau d'alimentation, versez dans le biberon stérilisé la quantité d'eau tiède correspondant à l'âge de votre enfant 3/ Ajoutez le nombre exact de mesurettes arasées de poudre FRANCE LAIT PREMIUM 1, selon le tableau d'alimentation 4/ Fermez le biberon et agitez-le vigoureusement pendant une dizaine de secondes jusqu'à parfaite dissolution de la poudre 5/ Contrôlez la température du lait en mettant quelques gouttes sur votre poignet. (1)
Mode et voie d’administration Fluvermal est à utiliser par voie orale. Agitez bien le flacon avant toute utilisation. Une cuillère-mesure est fournie avec le médicament pour faciliter le dosage. Posologie La posologie de Fluvermal dépend du type de vers infestant : - Oxyure : 1 cuillère en une seule prise. Renouvelez la prise 15 à 20 jours plus tard afin d’éliminer totalement tout risque d’infestation. - Ascaris, trichocéphale, ankylostomiase : 1 cuillère le matin et le soir pendant 3 jours. Pendant le traitement il est indispensable de respecter des mesures d’hygiène rigoureuses : nettoyage des ongles, des mains, des vêtements… Précautions d’emploi En cas d’intolérance à certains sucres, soyez particulièrement vigilent. Contactez votre médecin avant toute prise de Fuvermal. Vous retrouverez l’ensemble des contre-indications, des mises en garde spéciales ainsi que la liste des effets indésirables liés à ce produit dans la notice. Comme tout produit actif, ce médicament peut entraîner un certains nombres d’effets indésirables. La liste de ces effets est disponible sur la notice. Afin d’éviter d’éventuelles interactions médicamenteuses, prévenez votre médecin de toute prise actuelle ou récente de médicaments y compris obtenus sans ordonnance. Sauf avis médical contraire, évitez d’utiliser Fluvermal pendant la grossesse et l’allaitement. (1)
Mode et voie d’administration : Voie orale. Posologie La posologie moyenne est de 1 à 6 mg/jour, néanmoins votre médecin peut l'adapter à votre état. Pour une bonne utilisation de ce médicament, il est indispensable de faire régulièrement des analyses de sang qui permettront à votre médecin de suivre les variations du glucose dans l'organisme et d'adapter ainsi votre traitement à leurs résultats. En cas d'oubli d'une (ou plusieurs) prises, ne jamais prendre une dose plus élevée la fois suivante. (1)
Myope - Des instillations répétées et/ou de façon prolongée peuvent entraîner un passage systémique non négligeable du produit actif. - A n'utiliser chez les myopes qu'après avoir vérifié l'état de la périphérie rétinienne (peut entraîner un décollement de la rétine). (1)
N’utilisez jamais BETADINE TULLE 10%, pansement médicamenteux : · dans le cas d'un usage répété, à partir du 2ème trimestre de la grossesse, ainsi qu'en cas d'allaitement, · pour le nouveau-né de moins de 1 mois, notamment chez le prématuré, · antécédent d'allergie à l'un des constituants, en particulier la povidone. Il n'existe pas de réactions croisées avec les produits de contraste iodés. Les réactions d'intolérance (réactions anaphylactoïdes) aux produits de contraste iodés ou d'anaphylaxie aux fruits de mer ne constituent pas une contre-indication à l'utilisation de BETADINE TULLE 10%. Avertissements et précautions Faites attention avec BETADINE TULLE 10%, pansement médicamenteux : Mises en garde spéciales L'iode de ce médicament peut traverser la peau (en particulier en cas d'usage répété ou sur certaines peaux fragiles). Eviter un emploi prolongé ou répété. Une attention spéciale est nécessaire lors d'applications régulières réalisées sur peau lésée chez des patients présentant une insuffisance rénale, en particulier chez les grands brûlés (voir Quels sont les effets indésirables éventuels ?). Précautions d'emploi Une prudence particulière s'impose en cas de peau "fragile", chez l'enfant, la femme enceinte. Enfants L'utilisation chez l'enfant de 1 à 30 mois est déconseillée. Si elle est indispensable, l'appliquer de façon brève et peu étendue. Laver à l'eau stérile après application. Autres médicaments et BETADINE TULLE 10%, pansement médicamenteux Ne pas associer des produits contenant du mercure. Eviter l'emploi simultané ou successif d'antiseptiques différents notamment les antiseptiques dérivés du mercure : formation de dérivés très irritants. BETADINE TULLE 10%, pansement médicamenteux avec des aliments et des boissons Sans objet. Grossesse et allaitement Grossesse En raison de la présence d'iode, l'utilisation de ce médicament, dans le cas d'un usage répété, est contre-indiquée pendant les 6 derniers mois de la grossesse. Il ne sera utilisé à titre occasionnel que sur les conseils de votre médecin. Allaitement L'allaitement est contre-indiqué en cas d'usage répété de ce médicament. Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant d’utiliser ce médicament. Conduite de véhicules et utilisation de machines Sans objet. BETADINE TULLE 10%, pansement médicamenteux contient Sans objet. (1)
Nous Contacter VARISAN 2 ELLE & LUI Mi-bas - Mi-bas contention femme Accueil Femme Mi-bas contention femme VARISAN 2 ELLE & LUI Mi-bas Varisan VARISAN 2 ELLE & LUI Mi-basVARISAN 2 ELLE & LUI Mi-basVARISAN 2 ELLE & LUI Mi-bas Contention Longeur Couleur Taille Quelle taille choisir ? Cuisse Mollet Quantité Paiement sécurisé 22,40 € TTC Achetez ce produit aujourd'hui, il vous sera livré à partir du 08/10/2019 Stocks Disponibles Livraison sous 2 jours Choisir Contention Longeur Couleur Taille Cuisse Mollet Quantité Aucune donnée Caractéristiques Les + produit Très resistantes, ces chaussettes mixtes conviennent à un usage quotidien. Convient aux peaux sensibles grâce à la composition majoritairement faite de coton. elle garatit des vertus anallergiques et thermorégulatrices. Ces chaussettes sont labellisées"Tricottage de qualité premium" qui certifie un niveau optimal de pression garantie. Sexe Mixte Produit Mi-bas Compression Médical Pied Fermé Aspect Opaque Saisons Automne / hiver Composition Polyamide 50% Coton 32% Elasthane 18% Fabrication Italie Niveau de compression 15-20mmHg (1)
OMMENT PRENDRE VOGALENE 10 mg/1 ml, solution injectable en ampoule ? Retour en haut de la page Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou votre pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou votre pharmacien en cas de doute. Posologie La posologie et la durée du traitement seront déterminées par le médecin en fonction de l’indication. La dose recommandée chez l’adulte et l’enfant de plus de 12 ans est en moyenne de 10 à 20 mg par jour. Elle peut exceptionnellement aller jusqu'à 50 mg/jour. · Pour le traitement symptomatique des nausées et vomissements : La dose maximale recommandée est de 10 à 20 mg/jour. Cette dose, généralement administrée par voie IM, sera répartie en 1 à 2 prises par jour, soit 1 ampoule de 10 mg par injection, 1 ou 2 fois par jour. · Dans le cadre d’une chimiothérapie émétisante : La posologie sera ajustée selon le caractère plus ou moins émétisant de la chimiothérapie anticancéreuse : La dose maximale recommandée est de 30 à 50 mg par jour, soit une dose de 3 à 5 ampoules maximum par jour. La première administration se fait de préférence avant le traitement anticancéreux. La dose totale par jour peut être répartie en plusieurs injections ou perfusions. Mode d'administration L’administration se fait en général par voie IM. La voie IV est envisageable sous réserve de respecter les précautions d'emploi. DANS TOUS LES CAS SE CONFORMER STRICTEMENT A L’ORDONNANCE DE VOTRE MEDECIN. Si vous avez pris plus de VOGALENE 10 mg/1 ml, solution injectable en ampoule que vous n’auriez dû Sans objet. Si vous oubliez de prendre VOGALENE 10 mg/1 ml, solution injectable en ampoule Sans objet. Si vous arrêtez de prendre VOGALENE 10 mg/1 ml, solution injectable en ampoule Sans objet. Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. 4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ? Retour en haut de la page Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde : · somnolence ; · contractures musculaires, pouvant entraîner des difficultés à effectuer certains mouvements (marche, écriture, parole, …) ou des mouvements anormaux ; · malaises à type d’hypotension, lors du changement de position (allongé/debout) et/ou pertes de connaissance observées en particulier avec la forme injectable ; · sécheresse de la bouche ; · constipation ; · troubles de l’accommodation visuelle ; · rétention urinaire ; · impuissance, frigidité ; · arrêt des règles, écoulement anormal de lait, développement des seins chez l’homme, excès de prolactine (hormone provoquant la lactation) ; · éruption de boutons, rougeur de la peau ; · réactions allergiques. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament. 5. COMMENT CONSERVER VOGALENE 10 mg/1 ml, solution injectable en ampoule ? Retour en haut de la page Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants. Ne pas utiliser VOGALENE 10 mg/1 ml, solution injectable en ampoule après la date de péremption indiquée sur l’emballage. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois. Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement. Ce médicament doit être conservé à l'abri de la lumière. Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement. 6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS Retour en haut de la page Ce que contient VOGALENE 10 mg/1 ml, solution injectable en ampoule Retour en haut de la page · La substance active est : Métopimazine................................................................................................................... 10 mg Pour une ampoule de 1 ml. · Les autres composants sont : Acide ascorbique, citrate de sodium, chlorure de sodium, acide chlorhydrique concentré, eau pour préparations injectables. Qu’est-ce que VOGALENE 10 mg/1 ml, solution injectable en ampoule et contenu de l’emballage extérieur Retour en haut de la page Ce médicament se présente sous forme de solution injectable en ampoule. Boîte de 10 ou 50 ampoules. Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GÉNÉRAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché Retour en haut de la page TEVA SANTE 100-110 ESPLANADE DU GÉNÉRAL DE GAULLE 92931 PARIS LA DÉFENSE CEDEX Fabricant Retour en haut de la page HAUPT PHARMA LIVRON 1, RUE COMTE DE SINARD 26250 LIVRON Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen Retour en haut de la page Sans objet. La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est : Retour en haut de la page {mois AAAA}. Autres Retour en haut de la page Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France). Retour en haut de la page Retour en haut de la page (1)
Overview Zipferon Syrup is used for Negative nitrogen balance, Component of parenteral nutrition, Treatment of megaloblastic anemias due to a deficiency of folic acid, Treatment of anemias of nutritional origin, Pregnancy, Infancy, Or childhood, Iron deficiency due to poor absorption and chronic blood loss, Vitamin b12 deficiency, Pernicious anemia and other conditions. Zipferon Syrup may also be used for purposes not listed in this medication guide. Zipferon Syrup contains Amino Acids, Folic Acid, Iron and Vitamin B12 as active ingredients. Zipferon Syrup works by promoting protein synthesis and wound healing; acting on megaloblastic bone marrow to produce a normoblastic marrow; helping red blood cells to deliver oxygen to all over the body; treating vitamin B12 deficiency; Detailed information related to Zipferon Syrup's uses, composition, dosage, side effects and reviews is listed below. Uses Zipferon Syrup is used for the treatment, control, prevention, & improvement of the following diseases, conditions and symptoms: Negative nitrogen balance Component of parenteral nutrition Treatment of megaloblastic anemias due to a deficiency of folic acid Treatment of anemias of nutritional origin, pregnancy, infancy, or childhood Iron deficiency due to poor absorption and chronic blood loss Vitamin b12 deficiency Pernicious anemia Zipferon Syrup may also be used for purposes not listed here. Learn more: Uses Zipferon Syrup Side-effects The following is a list of possible side-effects that may occur from all constituting ingredients of Zipferon Syrup. This is not a comprehensive list. These side-effects are possible, but do not always occur. Some of the side-effects may be rare but serious. Consult your doctor if you observe any of the following side-effects, especially if they do not go away. Metabolic imbalances Hyperammonemia High nitrogen in blood Stupor Coma Aluminum poisoning Allergic reactions Anorexia Nausea Abdominal distention Zipferon Syrup may also cause side-effects not listed here. If you notice other side-effects not listed above, contact your doctor for medical advice. You may also report side-effects to your local food and drug administration authority. Learn more: Side-effects Precautions Before using Zipferon Syrup, inform your doctor about your current list of medications, over the counter products (e.g. vitamins, herbal supplements, etc.), allergies, pre-existing diseases, and current health conditions (e.g. pregnancy, upcoming surgery, etc.). Some health conditions may make you more susceptible to the side-effects of the drug. Take as directed by your doctor or follow the direction printed on the product insert. Dosage is based on your condition. Tell your doctor if your condition persists or worsens. Important counseling points are listed below. Administration of folic acid alone is improper therapy for pernicious anemia and other megaloblastic anemias in which vitamin B12 is deficient Asthma Avoid alcohol consumption, especially if having alcoholic cirrhosis Ensure you are getting sufficient calories while on this medication Folic acid deficiency Folic acid in doses above 0.1 mg daily may obscure the diagnosis of pernicious anemia Hepatic impairment History of peptic ulcer or severe renal failure Iron deficiency Kidney disease Learn more: Precautions & How to Use Interactions with Zipferon Syrup If you use other drugs or over the counter products at the same time, the effects of Zipferon Syrup may change. This may increase your risk for side-effects or cause your drug not to work properly. Tell your doctor about all the drugs, vitamins, and herbal supplements you are using, so that you doctor can help you prevent or manage drug interactions. Zipferon Syrup may interact with the following drugs and products: Alcohol Arsenic trioxide Barbiturates Chloramphenicol Ciprofloxacin Clodronate Deferiprone Demeclocycline Diphenylhydantoin Etidronic acid Learn more: Interactions When not to use Zipferon Syrup Hypersensitivity to Zipferon Syrup is a contraindication. In addition, Zipferon Syrup should not be used if you have the following conditions: Allergic reactions Hepatic coma Hypersensitivity Impaired nitrogen utilization Intolerance to the drug Iron intolerance Leber's disease Severe renal failure Learn more: Contraindications (1)
POSOLOGIE : TOUT AGE MODE D'ADMINISTRATION : CUTANEE CONSERVATION : * Durée de conservation 2 ans * Précautions particulières de conservation A conserver à une température inférieure à 25° C RECONSTITUTION : * Précautions particulières d'élimination et de manipulation Pas d'exigences particulières. * Incompatibilités Sans objet (RCP). (1)
POSOLOGIE DE COOPER VASELINE OFFICINALE POMMADE La pommade est à appliquer par voie cutanée, 2 à 3 fois par jour. Cette pommade pour irritation de la peau ne doit pas être utilisée en cas de lésions infectées. Demander conseil à votre médecin ou pharmacien en cas de doute. (1)
POSOLOGIE DE FORLAX Prendre 1 à 2 sachets par jour de Forlax 10g, de préférence le matin en prise unique. Mettre le contenu du sachet dans un verre d'eau avant de l'absorber. L'action laxative de Forlax apparaît généralement en 24 à 48 heures. Chez l'enfant, le traitement par les sachets de Forlax ne dépassera pas 3 mois. La prise d'un médicament contre la constipation doit s'accompagner de modification de son hygiène de vie comme d'augmenter la quantité d'eau bue dans la journée (au moins 1.5 litre), d'augmenter la part des légumes verts, des fruits et des céréales complètes dans sa ration alimentaire, de bouger plus (sport, marche) pour améliorer le péristaltisme intestinal. de plus, il est nécessaire de rééduquer le réflexe d'exonération notamment en allant à la selle tous les jours à la même heure et en surélevant les genoux pour favoriser la défécation. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI DE FORLAX Forlax ne sera pas utilisé en cas de maladie de Crohn, de rectocolite hémorragique ou de toute autre maladie du colon ou de l'intestin, en cas de perforation de l'intestin ou d'iléus. Ne pas prendre ce médicament si vous êtes allergique à l'un des constituants ou en cas de douleurs abdominales dont on a pas déterminé la cause. Le médicament Forlax peut être utilisé pendant l'allaitement et la grossesse. Les sachets de Forlax 10g peuvent parfois entrainer une diarrhée c'est pourquoi ils ne seront utilisés que sur avis médical, chez les patients sous diurétiques ou ayant une fonction rénale ou hépatique altérée. Ne pas prendre ce laxatif osmotique en cas d'intolérance au fructose. La prise de Macrogol peut entraîner une modification temporaire de l'absorption de certains médicaments. Il faudra donc être prudent en cas de traitement par des médicaments ayant une marge thérapeutique étroite ou une demie-vie courte comme la digoxine, la coumarine, les immunosuppresseurs, les antiépileptiques. Conditionnement : boîte de 20 sachets-doseForlax 10g poudre 20 sachets Mis à jour le 17/06/2019 (1)
POSOLOGIE DE TANAKAN 40 MG La prise de Tanakan est de 3 comprimés par jour, à répartir dans la journée, au moment des repas. Se référer aux recommandations de son médecin. CONTRE-INDICATIONS DE TANAKAN 40 MG En cas d'antécédents d'allergie à l'un des constituants du médicament, Tanakan est contre-indiqué. En cas de doute, il est indispensable de demander l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien. Tanakan contient du lactose, c'est pourquoi ce médicament ne doit pas être utilisé en cas de galactosémie, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase (maladies métaboliques rares). Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament en cours de grossesse ou d'allaitement. (1)
POSOLOGIE DE TANGANIL 500 MG/5 ML EN AMPOULE INJECTABLE La posologie généralement préconisée chez l'adulte est de 2 ampoules par jour par voie intraveineuse directe. 4 ampoules par jour peuvent également être indiquées si nécessaire. La durée du traitement varie selon l'évolution clinique. Les ampoules de Tanganil 500 mg/5 ml sont dotées d'un système d'ouverture OPC (One Point Cut). Il est important de s'assurer qu'il ne reste plus de solution dans la partie supérieure de l'ampoule avant d'ouvrir cette dernière. CONTRE-INDICATIONS DE TANGANIL 500 MG/5 ML EN AMPOULE INJECTABLE Ce médicament ne doit pas être utilisé en cas d'allergie connue à l'acéthylleucine ou à l'un de ses composants. Signalez à votre médecin ou pharmacien tout autre médicament utilisé dernièrement ou actuellement, même si ce médicament a été obtenu sans ordonnance. Il est préférable de ne pas utiliser Tanganil 500 mg/5 ml en ampoule injectable durant la grossesse ou l'allaitement. Consultez votre médecin si la grossesse est découverte en cours de traitement, car lui seul peut juger de la nécessité de poursuivre ce dernier. Il convient de toujours demander conseil à votre médecin ou pharmacien avant d'entamer toute prise médicamenteuse. Conditionnement : boîte de 5 ampoules (1)
POSOLOGIE DE TANGANIL GÉ 500MG En moyenne, la posologie préconisée est de 3 à 4 comprimés, en 2 prises (matin et soir). La durée du traitement varie en fonction de l'évolution clinique. Au début du traitement ou en cas d'insuccès, la posologie de Tanganil Gé 500 mg peut être augmentée. Dans tous les cas, vous devez strictement vous conformer à l'ordonnance fournie par votre médecin. En cas de surdosage, il est nécessaire de prévenir votre médecin ou pharmacien. CONTRE-INDICATIONS Vous ne devez pas utiliser ce médicament si vous souffrez d'une allergie connue à l'acétylleucine ou à l'un des autres constituants de cette formule, ou d'allergie/hypersensibilité au blé (présence d'amidon de blé). Tanganil Gé 500 mg peut être administré en cas de maladie coeliaque. L'amidon de blé peut contenir du gluten, mais seulement à l'état de trace. Ainsi, il est donc considéré comme sans danger pour les personnes atteintes d'une maladie coeliaque. Prévenez votre médecin si vous prenez ou avez récemment pris un autre médicament, même si ce dernier a été obtenu sans ordonnance. Il est préférable que vous n'utilisiez pas ce médicament durant la grossesse ou l'allaitement. Si une grossesse est découverte en cours de traitement, vous devez consulter votre médecin, car lui seul peut juger de la nécessité de le poursuivre. De manière générale, il convient de toujours demander conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre un médicament, particulièrement si vous êtes enceinte ou que vous allaitez. Conditionnement : 30 comprimés (1)
POSOLOGIE DE TARDYFERON B9 COMPRIMÉ La posologie généralement préconisée est de 1 comprimé par jour, soit 50 mg de fer élément et 350 µg d'acide folique au cours des 2 derniers trimestres de la grossesse (ou à partir du 4ème mois). Le comprimé s'avale en entier, et ne doit pas être sucé, ni croqué, ni gardé en bouche. Il est à prendre avec un verre d'eau, avant ou pendant les repas, selon la tolérance digestive. Dans tous les cas, il est important de se conformer de manière stricte à l'ordonnance fournie par votre médecin concernant la posologie et la durée du traitement. CONTRE-INDICATIONS À L'UTILISATION TARDYFERON B9 COMPRIMÉ Ce médicament ne doit pas être utilisé en cas d'allergie à l'un de ses composants, ou de surcharge en fer. Si les comprimés ne doivent ni être sucés, ni croqués, ni gardés en bouche mais avalés directement au moyen d'un verre d'eau, c'est en raison du risque de coloration dentaire et d'atteinte (ulcération) de la paroi buccale. Il est important de signaler tout autre traitement en cours à votre médecin ou pharmacien, afin d'éviter d'éventuelles interactions entre plusieurs médicaments, notamment les sels de fer par voie injectable. Tardyferon B9 comprimé peut être utilisé au cours de la grossesse et de l'allaitement, dans les conditions normales d'utilisation. Il convient de toujours demander conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre tout médicament. Contenance : 30 comprimés Tardyferon B9 30 comprimés Mis à jour le 11/07/2019 FICHES CONSEILS Comment lutter contre l'anémie ? Comment lutter contre l'anémie ? 28/05/2019 Santé L’anémie est un trouble de l’hémoglobine provoquée par une déficience des globules rouges. Elle se traduit par de la fatigue, des étourdissements, des essoufflements et des déficiences du système immunitaire chez les enfants. Son origine est le plus souvent une carence en fer, qui se traite par la complémentation. Néanmoins, certains cas nécessitent de consulter votre médecin, comme lors d’une grossesse ou dans l’éventualité d’une maladie cardiaque ou pulmonaire préexistante. (1)
POSOLOGIE DE TOCO 500 MG CAPSULE Il est important de se conformer rigoureusement à la prescription du médecin traitant, en général 1 capsule par jour. Cette dernière s'avale à l'aide d'un verre d'eau, telle quelle, le matin au petit déjeuner. Concernant la durée du traitement, il est de nouveau nécessaire de se conformer à la prescription du médecin. En cas de surdosage, il est important de consulter immédiatement votre médecin ou pharmacien. CONTRE-INDICATIONS À L'UTILISATION DE TOCO 500 MG CAPSULE Prévenez votre médecin ou pharmacien si vous prenez actuellement, ou avez pris récemment un autre médicament, même s'il s'agit d'un médicament obtenu sans ordonnance. Il est préférable de ne pas utiliser Toco 500 mg capsule durant de la grossesse. Si une grossesse est découverte au cours du traitement, consultez votre médecin, car lui seul peut juger de la nécessité de poursuivre ce dernier. De manière générale, il convient de toujours demander conseil à votre médecin ou pharmacien avant d'entamer une prise de médicament. (1)
POSOLOGIE DE TOPLEXIL Pour la prise du sirop Toplexil, vous pouvez utiliser le gobelet doseur fournit. Chez l'adulte et l'enfant à partir de 40 Kg, soit environ 12 ans, la posologie est de 10 ml par prise, sans dépasser 4 prises journalières. Chez l'enfant de 2 et 6 ans (13 à 20 kg) : 5 ml par prise, 2 à 3 fois par jour. Chez l'enfant Enfant de 6 à 10 ans (20 à 30 kg) : 10 ml par prise, 2 à 3 fois par jour. Chez l'enfantde 10 à 12 ans : 10 ml par prise, 3 à 4 fois par jour les prises doivent être espacées de 4 heures minimum. La prise du Toplexil doit être ponctuelle, et la durée du traitement doit être courte (que le temps de la toux). CONTRE INDICATIONS DU MÉDICAMENT TOPLEXIL Le Toplexil ne doit jamais être utilisé chez l'enfant de moins de 2 ans, en cas d'allergie aux antihistaminiqus, en cas de problèmes sanguins, de difficulté à uriner et si votre pression intra-oculaire est augmentée. Ne pas associer le Toplexil avec des médicaments à base de cabergoline et de quinagolide. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI AVEC TOPLEXIL En raison de la somnolence et de la sédation induite par Toplexil, il doit être utilisé avec de nombreuses précautions : L'association avec d'autres médicaments sédatifs est déconseillée, notamment avec ceux composés d'antihistaminiques en raison de la majoration des effets secondaires. Ne pas consommer de boissons alcoolisées avec Toplexil Chez les personnes âgées, chez les enfant en cas d'asthme ou de reflux gastro-oesophagien, en cas d'épilepsie ou de pathologies cardiaques graves, en cas d'insuffisance rénale ou hépatique, la prise de Toplexil nécessite un avis médical préalable. Toplexil ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse ni au cours de l'allaitement, sauf avis médical contraire. Ne pas utiliser Toplexil en cas d'intolérance au fructose et de malabsorption au galactose et au glucose. Ne pas conduire de véhicule ni de machine lorsque vous prenez du Toplexil, Ce médicament renferme du saccharose et du sodium, en tenir compte en cas de régime et ou de diabète. Toplexil est un médicament indiqué pour la toux sèche, si celle ci devient grasse ou productive, il convient d'arrêter sa prise . Si les symptômes persistent ou s'aggravent, une consultation médicale doit être envisagée Conditionnement : flacon de 150 ml avec gobelet doseur. (1)
POSOLOGIE DE ULCAR 1 G SUSPENSION BUVABLE En cas de cicatrisation de l'ulcère gastrique évolutif, la posologie recommandée est de 1 sachet 4 fois par jour, soit : 1 sachet une demi heure à une heure avant chacun des 3 principaux repas, et 1 sachet au coucher (environ 2 heures après le repas du soir). La posologie en cas de cicatrisation de l'ulcère duodénal évolutif se décline en 2 modalités de traitement possibles : 1 sachet 4 fois par jour, soit 1 sachet une demi heure à une heure avant chacun des 3 principaux repas, puis 1 sachet au coucher (environ 2 heures après le repas du soir). Ou 2 sachets matin et soir, soit 2 sachets le matin au réveil (une demi heure à une heure avant le petit déjeuner, et 2 sachets le soir environ 2 heures après le repas du soir. En cas de prévention des rechutes de l'ulcère duodénal, la posologie se décline également en 2 modalités de traitement possibles : 1 sachet 2 fois par jour, soit 1 sachet le matin au réveil une demi heure à une heure avant le petit déjeuner, et 1 sachet le soir une demi heure à une heure avant le repas du soir (ou bien au coucher, environ 2 heures après le repas du soir). Ou 2 sachets le soir, une demi heure à une heure avant le repas du soir, ou bien au coucher, 2 heures après le repas environ. La durée du traitement pour la cicatrisation des ulcères gastriques ou duodénaux est de 4 à 6 semaines. CONTRE-INDICATIONS DE ULCAR 1 G SUSPENSION BUVABLE Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les prématurés et les nouveaux-nés non matures, ou encore en cas d'allergie à l'un de ses composants. Vous devez utiliser ce médicament avec précaution en cas d'insuffisance rénale chronique ou de diminution du taux de phosphore dans le sang. Il est nécessaire d'utiliser Ulcar 1 g suspension buvable à 2 heures de distance d'un autre médicament, car le sucralfate peut diminuer l'effet de certains médicaments, si ces derniers sont administrés simultanément. Il est préférable de ne pas utiliser ce médicament durant la grossesse, tandis que l'allaitement est déconseillé en raison de la présence de sucralfate. Conditionnement : Boîte de 30 sachets (1)
POSOLOGIE DU SIROP SANS SUCRE FLUIMICIL EXPECTORANT 2 % ENFANTS Pour les enfants de plus de 7 ans, la posologie usuelle est de 600 mg par jour, en 3 prises, soit 1 godet doseur de 10 ml 3 fois par jour et de 400 mg par jour, en 2 prises, soit 1 godet doseur de 10 ml 2 fois par jour chez les enfants de 2 à 7 ans. Ce traitement ne doit pas dépasser 8 à 10 jours sans avis médical, si les symptômes persistent, consulter votre médecin. CONTRE-INDICATIONS En cas d'allergie ou d'antécédent à l'un des constituants et chez le nourrisson (moins de 2 ans) en raison du risque d’aggravation de l'encombrement bronchique, ce médicament est contre-indiqué. On déconseille la prise de médicament antitussif ou de médicament asséchant les sécrétions bronchiques en cas d'association à Fluimicil expectorant 2 % enfants. De plus, le médicament doit être utilisé avec prudence si vous avez ou avez eu un ulcère de l'estomac ou du duodénum. Ce médicament contient 17,3 mg de sodium par godet de 5 ml. Votre médecin ou pharmacien doit rester informé en cas de prise d'autres médicaments. En cas de grossesse et d'allaitement, Fluimicil expectorant 2 % enfants ne sera utilisé que sur avis médical de votre médecin. Zambon Fluimucil expectorant 2% enfants sans sucres 100ml Mis à jour le 23/07/2019 (1)
POSOLOGIE DU VERMIFUGE FLUVERMAL La posologie de Fluvermal en comprimés est identique chez l'enfant et chez l'adulte mais change suivant le vers à traiter. Si vous êtes infectez par des oxyures il faudra prendre un comprimé en prise unique. La prise sera renouvelée 15 à 20 jours plus tard pour éliminer totalement toute infestation. Des mesures d'hygiène telles que le nettoyage des ongles, nettoyer le linge de toilette et de nuit ... doivent accompagner le traitement pour éliminer le risque de réinfestation. Si ce sont d'autres vers, les Ascaris, tricocéphalose, ankylostomiase c'est un comprimé matin et soir pendant 3 jours qu'il faudra prendre. Les comprimés sont à avaler ou peuvent être croqués pendant les repas. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI DE FLUVERMAL COMPRIMÉS Comme ce médicament contient du saccharose, son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au saccharose. Lors de grossesse ou d'allaitement, il vous est conseillé de demander un avis médical avant de prendre ce traitement. Demandez conseil à votre médecin ou pharmacien ou lisez la notice pour plus d’informations.Fluvermal 6 comprimés Mis à jour le 12/08/2019 (1)
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION FLUCAZOLE 100 mg : Adulte : • Cryptococcoses : - traitement d'attaque : 400 mg/jour (6 à 8 semaines) ; - traitement d'entretien : 200 mg/jour (à vie chez les patients atteints du sida). • Candidoses : - oesophagiennes : 100 mg/jour ; - urinaires : 100 à 200 mg/jour ; - systémiques (candidoses disséminées profondes, candidémies, péritonite) : 800 mg le premier jour, puis 400 mg/jour. • Prévention des candidoses : La posologie recommandée est de 400 mg/jour en une prise quotidienne. L'administration de fluconazole doit débuter dès l'initiation de la chimiothérapie ou du conditionnement de la greffe. Elle doit se poursuivre jusqu'à 7 jours après la remontée des taux des polynucléaires neutrophiles au-dessus de 1000/mm3 ou pendant une durée plus longue (jusqu'à 75 jours). La durée de traitement dépend de la réponse clinique. FLUCAZOLE 50mg : Adulte : - Dans les candidoses oropharyngèes des patients immunodéprimés, la dose est de 50 mg une fois par jour pendant 7 à 14 jours. Il est parfois nécessaire de prolonger le traitement à la même dose. - Dans les candidoses buccales atrophiques liées aux prothèses dentaires, la dose est de 50 mg une fois par jour pendant 14 jours en complément des soins d'hygiène locale. - Sujet âgé : La prescription sera prudente. La posologie sera ajustée selon le chiffre de la clairance de la créatinine. En l'absence d'insuffisance rénale, la posologie habituelle recommandée chez l'adulte sera adoptée. Chez les patients en insuffisance rénale (clairance de la créatinine à 50 ml/min), la posologie sera ajustée comme il est décrit plus loin. -Insuffisant rénal :Le fluconazole est éliminé principalement par voie urinaire sous forme inchangée. On administrera une dose initiale de 100 à 400 mg lors de la mise en place d'un traitement par le fluconazole chez l'insuffisant rénal. Après une première administration, la posologie journalière sera adaptée en fonction de l'indication et de la clairance de la créatinine : si la clairance de la créatinine > 50 ml/min, 100 % de la dose ou 24 h d'intervalle entre les prises. Si la clairance de la créatinine est entre 11 à 50 ml/min, 50 % de la dose ou 48 h d'intervalle entre les prises. Patient sous dialyse une administration après chaque séance de dialyse. CONTRE-INDICATIONS • Absolues : - Hypersensibilité au fluconazole et/ou à d'autres dérivés azolés. - Grossesse et allaitement. - Cisapride, pimozide. - Enfant de moins de 6 ans en raison de la forme pharmaceutique (gélule). • Relatives : - Halofantrine. MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI - Chez les patients présentant des atteintes connues hépatiques et/ou rénales ainsi que lorsqu'une pathologie sévère est associée, une surveillance des tests hépatiques est conseillée ; l'arrêt du fluconazole sera envisagé en cas d'aggravation d'une anomalie préalable des tests hépatiques. - Le patient devra être informé qu'en cas de survenue de symptômes évocateurs d'atteinte hépatique grave (asthénie importante, anorexie, nausées persistantes, vomissements, ictère), le traitement par fluconazole devra être immédiatement arrêté et qu'il devra consulter un médecin. - Une surveillance clinique particulière s'impose chez les patients ayant préalablement présenté une réaction cutanée associée à la prise de fluconazole ou d'un autre dérivé azolé. Le patient devra être informé qu'en cas de survenue de lésions huileuses, le fluconazole devra être immédiatement arrêté et qu'il devra consulter un médecin le plus rapidement possible. - Les azolés, dont le fluconazole, ont été associés à un allongement de l'intervalle QT sur l'électrocardiogramme. Dans les études de surveillance post-marketing, chez des patients traités par fluconazole, de rares cas d'allongement de l'intervalle QT ainsi que des torsades de pointes ont été rapportés. - Ces notifications font état de patients présentant des pathologies lourdes et de nombreux autres facteurs de risque, notamment un allongement congénital du QT, des désordres électrolytiques ou certain; traitements associés susceptibles d'y contribuer. - Le fluconazole devra être administré avec précaution chez les patients présentant des conditions proarythmogènes. - En raison de la présence de lactose dans les gélules, celles-ci sont contre-indiquées en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou de déficit en lactose INTERACTIONS Le fluconazole exerce une activité très spécifique sur les enzymes dépendant du cytochrome P 450 d'origine fongique, . • Associations contre-indiquées : - Cisapride, pimozide : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. • Associations déconseillées : - Halofantrine et antifongiques azolés : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si cela est possible, interrompre l'azolé antifongique. Si l'association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée. GROSSESSE et ALLAITEMENT GROSSESSE Les études expérimentales chez l'animal ne permettent pas d'exclure la possibilité d'un effet tératogène et, dans l'espèce humaine, les données sont insuffisantes pour préciser le risque. Par conséquent, la prescription de fluconazole est contre- indiquée pendant la grossesse, sauf chez les patientes présentant des infections fongiques sévères ou potentiellement létales chez lesquelles le fluconazole peut alors être utilisé si l'on considère que le bénéfice attendu est supérieur au risque pour le foetus. Chez la femme en âge de procréer, des moyens efficaces de contraception devront être instaurés. ALLAITEMENT Les concentrations de fluconazole retrouvées dans le lait sont similaires à celles du plasma ; le fluconazole est donc contre-indiqué pendant l'allaitement. EFFETS INDÉSIRABLES - Les effets gastro-intestinaux et cutanés sont les effets indésirables le plus couramment rencontrés. - Troubles gastro-intestinaux : nousées, flatulence, douleurs abdominales, diarrhées. - Troubles de la peau et des tissus : rashs, réactions cutanées sévères à type de toxidermies huileuses (syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, en particulier au cours du sida), Des cas d'alopécies, généralement réversibles, ont été rapportés. - Troubles du système nerveux : céphalées pouvant être éventuellement liées au produit. - Troubles hépatobiliuire; : augmentation des transaminases hépatiques, généralement réversibles à l'arrêt du traitement ; des atteintes hépatiques sévères, éventuellement associées à des taux sériques élevés de fluconazole, d'évolution parfois fatale, ont été exceptionnellement rapportées. - Troubles sanguins et du système lymphatique: leucopénies (neutropénies, agranulocytose), thrombopénies. - Troubles du système immunitaire : réactions anaphylactiques. - Troubles cardiaques : de rares cas d'allongement de l'intervalle QT et torsades de pointes. SURDOSAGE En cas de surdosage, le traitement est symptomatique, avec des soins adaptés et un lavage gastrique si nécessaire. Le fluconazole est en grande partie éliminé dans les urines ; son élimination est favorisée par une diurèse provoquée. Une séance d'hémodialyse de 3 heures permet d'abaisser d'environ 50 % les taux plasmatiques. PHARMACODYNAMIE Le fluconazole est un agent antifongique bistriazolé utilisable par voie orale et par voie injectable intraveineuse. Le fluconazole agit en inhibant la biosynthèse de l'ergostérol d'origine fongique. Il est plus spécifique de la synthèse des stérols des champignons que de celle des stérols des mammifères. L'activité in vivo du fluconazole paraît nettement plus marquée que ne le laissent éventuellement prévoir les tests in vitro. • Espèces habituellement sensibles : Candida, en particulier Candida albicans, Cryptococcus neoformans. • Espèces habituellement résistantes : Candida krusei, dermatophytes (microsporum, trichophyton), aspergillus sp. PHARMACOCINETIQUE - Après administration orale, le fluconazole est bien absorbé et sa biodisponibilité absolue est de 90 %. - Son absorption n'est pas modifiée par l'alimentation. Les pics de concentration plasmatique chez le sujet à jeun surviennent entre 0,5 et 1,5 heure après l'administration. - Les concentrations plasmatiques sont proportionnelles à la dose : * après prise unique de 50 mg, la Cmax est de 1,02 mg/l ; * en prise répétée de 50 mg/j, la Cmax est de 2,37 mg/l à l'état d'équilibre vers le 4ème-5ème jour ; * après administration de 200 mg de fluconazole, la Cmax est de 4,6 mg/l et les concentrations plasmatiques obtenues à l'état d'équilibre au 15ème jour sont de 10 mg/l ; * après administration de 400 mg de fluconazole, la Cmax est de 9 mg/l et les concentrations plasmatiques obtenues à l'état d'équilibre au 15ème jour sont de 18 mg/l ; * après administrations répétées de la dose quotidienne habituelle, 90 % des taux observés à l'état d'équilibre sont atteints au jour 45 ; - L'administration d'une dose de charge le 1er jour représentant 2 fois la dose quotidienne habituelle permet d'obtenir, le 2ème jour, des taux équivalents à 90 % des taux observés à l'état d'équilibre. - Le fluconazole pénètre bien dans tous les liquides corporels étudiés. Les concentrations salivaires et les sécrétions bronchiques sont voisines des concentrations plasmatiques. Chez les patients présentant une méningite d'origine fongique, les taux dans le LCR sont équivalents à 80 % environ des taux sanguins. - Le volume apparent de distribution est voisin de celui de l'eau corporelle totale (0,6 - 0,7 l/kg). La liaison aux protéines est faible (12 %). La demi-vie d'élimination est d'environ 30 heures. - Le fluconazole s'élimine essentiellement par voie rénale et 80 % de la dose administrée sont retrouvés dans les urines sous forme inchangée. - Le fluconazole est faiblement métabolisé (11 % de la dose administrée sont retrouvés sous forme de métabolites dans les urines) et sa posologie ne semble pas devoir être modifiée au cours des hépatopathies. La clairance du fluconazole est proportionnelle à la clairance de la créatinine. En conséquence, la dose journalière sera réduite chez les patients ayant une clairance de la créatinine inférieure ou égale à 50 ml/min. - Le fluconazole est hémodialysé avec une diminution de près de 50 % de la concentration sérique après environ 3 heures d'hémodialyse. (1)
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION POSOLOGIE La dose sera différente selon la maladie , l'âge et la gravité des troubles. Tégrétol Sirop : la mesurette jointe à l'emballage doit être utilisée pour le dosage correct: 1 mesurette (5 ml) contient 100 mg de substance active du Tégrétol. Le Tégrétol doit être pris pendant ou après les repas avec une boisson. Prise régulière afin d'atteindre l'effet maximal et de limiter l'apparition d'effets indésirables. MODE D'ADMINISTRATION Voie orale CONTRE-INDICATIONS - Hypersensibilité à la carbamazépine ou à des substances apparentées. - Traitement avec certains médicaments : IMAO. - Troubles de la fonction cardiaque - Anomalie de la formation dos globules sanguins - Maladie du foie ou des reins - Crises d'épilepsie de type mixte - Glaucome - Confusion mentale, agitation ou nervosité. MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI MISES EN GARDE - Autre maladie - Allergie - Prise d'autres médicaments en usage interne ou externe ( même automédication ) PRÉCAUTIONS D'EMPLOI - fièvre, maux de gorge, éruption cutanée, ulcérations dans la bouche, gonflement des ganglions - ictère - signes d'une grave réaction cutanée - oedème des memebres inférieurs - trouble du rythme cardiaque, dyspnée, angine de poitrine, syncope. - Le Tégrétol, comme les autres médicaments psycho-actifs, peut réduire la tolérance à l'alcool, c'est pourquoi il est recommandé de renoncer à la consommation d'alcool pendant le traitement. - Les femmes qui prennent un traitement anticonceptionnel par voie orale en même temps, peuvent avoir des saignements en dehors des menstruations normales. L'efficacité de la «pilule» peut être annulée, c'est pourquoi d'autres moyens de contraception devraient être utilisés en plus. CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES Ce médicament peut affecter les réactions, l'aptitude à utiliser des outils ou des machines et l'aptitude à la conduite. EFFETS INDÉSIRABLES • En début de traitement surtout: vertiges, difficulté de coordination des mouvements, troubles visuels ou auditifs, maux de tête, articulations ou muscles douloureux, fatigue, troubles gastro-intestinaux, inflammation des intestins, réactions cutanées, sensibilité accrue de la peau et des yeux au soleil, alopécie et avec les suppositoires: irritation locale de la muqueuse. • D'autres effets indésirables sont possibles: mouvements involontaires, nervosité, comportement agressif, hallucinations, diarrhée ou constipation, hypertension ou hypotension artérielle, fourmillements dans les mains et les pieds, besoin fréquent d'uriner, oligurie subite, troubles de la fonction sexuelle, troubles du rythme cardiaque, une jaunisse, des difficultés à uriner, une prise de poids, une aggravation des réactions cutanées, un état fébrile évoquant une grippe. (1)
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION POSOLOGIE RÉSERVÉ A L'ADULTE. Vaginites à germes sensibles et vaginites non spécifiques: 1 comprimé vaginal 1 à 2 fois par jour pendant 10 jours consécutifs en association avec un traitement par voie orale si nécessaire. MODE D'ADMINISTRATION Voie vaginale. - Mouiller le comprimé en le trempant dans l'eau pendant 20 à 30 secondes avant de le mettre en place. - Rester ensuite allongée pendant un quart d'heure environ. - II est impératif de traiter simultanément le partenaire, qu'il présente ou non des signes cliniques. - Un traitement par le métronidazole ne doit pas être prescrit pendant plus de 10 jours et ne doit pas être répété plus de 10 jours et ne doit pas être répété plus de 2 à 3 fois par an. Conseils pratiques : - Le traitement s'accompagnera de conseils d'hygiène (port de sous-vêtements en coton, éviter les douches vaginales, le port de tampon interne pendant le traitement...] et dans la mesure du possible, de la suppression des facteurs favorisants. - Ne pas interrompre le traitement pendant les règles. CONTRE-INDICATIONS - Ce médicament est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité à l'un des constituants. - Ce médicament est généralement déconseillé en association avec le disulfirame (cf. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions). MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI MISES EN GARDE Liés au métronidazole : • Un traitement par le métronidazole ne doit pas être prescrit pendant plus de 10 jours et ne doit pas être répété plus de 2 à 3 fois par an. • Interrompre le traitement en cas d'intolérance locale ou de réaction allergique ou si des signes tel que vertiges, confusion mentale, ataxie apparaissent. • Tenir compte du risque d'aggravation de l'état neurologique chez les malades atteints d'affections neurologiques centrales et périphériques sévères, chroniques ou évolutives. • Il est préférable de modérer la prise de boissons alcoolisées durant le traitement (effet antabuse). Liés à la néomycine : • La sensibilisation par voie locale aux antibiotiques peut compromettre l'utilisation ultérieure par voie générale du même antibiotique ou d'antibiotiques apparentés. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI Liés au métronidazole : • Contrôler la formule leucocytaire en cas d'antécédents de troubles hématologiques, de traitement à forte dose et/ou de traitement prolongé • Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver un test de Nelson. Liés à la néomycine : • La durée du traitement doit être limitée en raison du risque de sélection de germes résistants et de surinfection par ces germes. CONDUITE ET UTILISATION DE MACHINES L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de vertiges attachés à l'emploi de ce médicament. INTERACTIONS • Associations déconseillées : - Spermicide : Tout traitement local vaginal est susceptible d'inactiver une contraception locale spermicide. - Alcool : effet antabuse (chaleur, rougeur, vomissement, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. - Disulfirame : l'association au disulfirame peut entraîner des bouffées délirantes ou un état confusionnel. •Associations nécessitant des précautions d'emploi : - Anticoagulants oraux (décrit pour la warfarine) : augmentation de l'effet des anticoagulants oraux et du risque hémorragique'par diminution de leur catabolisme hépatique. Contrôle plus fréquent des taux de prothrombine et surveillance de l'INR. Adapter la posologie des anticoagulants oraux pendant le traitement par le metronidazole et 8 jours après son arrêt. • Association à prendre en compte : - 5fluoro-uracile : augmentation de la toxicité du 5 FU par diminution de sa clairance. GROSSESSE et ALLAITEMENT GROSSESSE Compte tenu de la présence dans cette spécialité d'un aminoside, la néomycine, à l'origine d'un risque ototoxique, et de l'éventualité d'un passage systémique, l'utilisation de ce médicament chez la femme enceinte est déconseillée. ALLAITEMENT En l'absence de données sur le passage de ce médicament dans le lait maternel, l'utilisation de ce médicament est à éviter. EFFETS INDÉSIRABLES Rares avec cette forme locale. Cependant, peuvent être observés : • Rarement: - des troubles digestifs bénins : nausées, goût métallique dans la bouche, anorexie, crampes épigastriques, vomissements, diarrhées. •Exceptionnellement : - des signes cutanéomuqueux : allergie : urticaire, prurit ; bouffées vasomotriees ; glossite avec sensation de sécheresse de la bouche ; - des signes neurologiques : céphalées, vertiges. - Des cas réversibles de pancréalite. • A forte posologie et/ou en cas de traitement prolongé : - des leucopénies modérées, réversibles à l'arrêt, - des neuropathies sensitives périphériques qui ont toujours régressé à l'arrêt du traitement. Par ailleurs, une coloration brun-rougeâtre des urines peut être observée, due à la présence de pigments hydrosolubles provenant du métabolisme du produit. (1)
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION POSOLOGIE - Dans la majorité des cas : pendant 3 jours consécutifs, 1 ovule le soir - Dans les autres cas : en cas de mycose récidivante ou rebelle supposant des facteurs favorisants, une seconde cure de 3 ovules peut être prescrite soit immédiatement après la première cure, soit après un intervalle libre de 10 jours. MODE D'ADMINISTRATION Voie vaginale A introduire dans le vagin de préférence en position allongée. CONTRE-INDICATIONS Notion d'intolérance ou de sensibilisa¬tion aux dérivés imidazoles ou à l'un des constituants du produit. MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI Il est souhaitable de traiter simultanément tout foyer à Candida reconnu pathogène. Eviter l'utilisation de savon à pH acide. Ne pas interrompre pendant la période de menstruation. INTERACTIONS EFFETS INDÉSIRABLES Localement, les rares manifestations d'intolérance sont des sensations de brûlure ou d'exacerbation du prurit. Toutefois, aucun effet systématique n'a été jusqu'à présent rapporté. (1)
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION POSOLOGIE 1 comprimé par 24 heures de préférence le matin. Des doses plus élevées n'améliorent pas l'action anti-hypertensive de l'indapamide mais augmentent en revanche son effet salidiurétique. MODE D'ADMINISTRATION Voie orale. Le comprimé doit être avalé entier avec de l'eau et ne doit pas être croqué. CONTRE-INDICATIONS - Hypersensibilité aux sulfamides. - Insuffisance rénale sévère. - Encéphalopathie hépatique ou insuffisance hépatique sévère. - Hypokoliémie. MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI MISES EN GARDE En cas d'atteinte hépatique, les diurétiques thiazidiques et apparentés peuvent induire une encéphalopathie hépatique. Dans ce cas, l'administration du diurétique doit être immédiatement interrompue. En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactose. PRÉCAUTIONS D'EMPLOI • Équilibre hydroélectrolytique : - Natrémie : Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf. rubriques Effets Indésirables et Surdosage). - Kaliémie :La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur des diurétiques thiazidiques et apparentés. Le risque de survenue d'une hypokaliémie ( 3 g/jour) :Diminution possible de l'effet antihypertenseur de l'indapamide. Risque d'une insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté (diminution de la filtration glomérulaire). Hydrater le malade ; surveiller la fonction rénale en début du traitement. Inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) : Risque d'hypotension artérielle soudaine et/ou d'insuffisance rénale aiguë lors de l'instauration du traitement par un inhibiteur de l'enzyme de conversion en cas de déplétion sodée préexistante (en particulier chez les sujets porteurs d'une sténose de l'artère rénale). - Dans l'hypertension artérielle essentielle, lorsqu'un traitement diurétique préalable peut avoir entraîné une déplétion sodée, il faut : soit arrêter le diurétique 3 jours avant le début du traitement par l'IEC et réintroduire un diurétique hypokaliémiant si nécessaire ; soit administrer des doses initiales faibles de l'IEC et augmenter progressivement. - Dans l'insuffisance cardiaque congestive, commencer par une dose très faible d'IEC éventuellement après réduction de la dose du diurétique hypokaliémiant associé. - Dans tous les cas, surveiller la fonction rénale (dosage de la créatininémie) au cours des premières semaines du traitement par IEC. • Autres hypokaliémiants : amphotéricine B (voie IV). gluco-minéralocorticoïdes (voie générale), tétracosactide, laxatifs stimulants : Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif). Surveillance de la kaliémie et, si besoin, correction ; à prendre particulièrement en compte en cas de thérapeutique digitalique. Utiliser des laxatifs non stimulants. • Baclofène : Majoration de l'effet antihypertenseur. Hydrater le malade, surveiller la fonction rénale en début de traitement. • Digitaliques : Hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques. Surveillance de la kaliémie, ECG et, s'il y a lieu, reconsidérer le traitement. Associations à prendre en compte : • Diurétiques hyperkaliémiants (amiloride, spironolactone. triamtérène) :Dans le cas d'une association rationnelle, utile pour certains patients, la survenue d'une hypokaliémie ou d'une hyperkaliémie (en particulier chez les patients présentant une insuffisance rénale ou chez les diabétiques) n'est pas à exclure. La kaliémie et l'ECG doivent être surveillés et, s'il y a lieu, le traitement doit être reconsidère. • Metformine :Risque majoré de survenue d'une acidose lactique due à la metformine déclenchée par une éventuelle insuffisance rénale liée à l association avec les diurétiques et plus spécialement avec les diurétiques de l'anse. Ne pas utiliser la metformine lorsque la créatininémie dépasse 15 mg/l (135 μmoles/l) chez l'homme et 12 mg/l (110 μmoles/l) chez la femme. • Produits de contraste iodés : En cas de déshydratation provoquée par les diurétiques, risque majoré d'insuffisance rénale aiguë, en particulier lors de l'utilisation de doses importantes de produits de contraste iodés. Réhydratation avant administration du produit iodé. Antidépresseurs imipraminiques (tricycliques), neuroleptiques : Effet antihypertenseur et risque majoré d'hypo¬tension orthostatique (effet additif). • Calcium (sels de) : Risque d'hypercalcémie par diminution de l'élimination urinaire du calcium. • Ciclosporine, tacrolimus : Risque d'augmentation de la créatininémie sans modification des concentrations circulantes de ciclosporine, même en l'absence de déplétion hydrosodée. • Corticoïdes, tétracosactide (voie générale) : Diminution de l'effet antihypertenseur (rétention hydrosodée des corticoïdes). GROSSESSE et ALLAITEMENT GROSSESSE En règle générale, l'administration de diurétiques doit être évitée chez la femme enceinte et ne jamais constituer le traitement des oedèmes physiologiques de la grossesse. Les diurétiques peuvent, en effet, entraîner une ischémie foetoplacentaire, avec un risque d'hypotrophie foetale. ALLAITEMENT L'allaitement est déconseillé (passage dans le lait maternel). EFFETS INDÉSIRABLES Les effets indésirables biologiques ou cliniques sont pour la plupart dose-dépendants. Les diurétiques apparentés aux thiazidiques, dont l'indapamide, peuvent entraîner : - Troubles du système sanguin et lymphatique : Très rares : thrombocytopenic, leucopénie, agranulocytose, anémie aplasique, anémie hémolytique. - Troubles du système nerveux : Rares : vertiges, fatigue, céphalées, paresthésies. - Troubles cardiaques : Très rares : arythmie, hypotension. - Troubles gastro-intestinaux : Rares : nausées, constipation, bouche sèche. Très rare : pancréatite. - Troubles hépato-biliaires : Dans le cas d'une insuffisance hépatique, possibilité de survenue d'encéphalopathie hépatique (cf. rubriques Contre-indications et Mises en gardes spéciales). Très rare : fonction hépatique altérée. - Affections cutanées et tissulaires : Réactions d'hypersensibilité principalement dermatologiques (fréquentes : éruptions maculopapulaires, peu fréquentes : purpura) chez des sujets prédisposés aux manifestations allergiques el asthmatiques. Possibilité d'une aggravation d'un lupus érythémateux disséminé préexistant. Paramètres biologiques : Au cours des essais cliniques, il a été observé une hypokaliémie après 4 à 6 semaines de traitement, 10 % des patients avaient une kaliémie (1)
POSOLOGIE ET ADMINISTRATION : q Adultes: 2 comprimés, 2 ou 3 fois par jour. 10 ml 2 ou 3 fois par jour. q Les enfants de moins de 2 ans: 2,5 ml 3 fois par jour. q 2 à 4 ans: 5 ml trois fois par jour. q 4 à 7: 10 ml deux fois par jour. q Plus de 7 ans: 10 ml 2 ou 3 fois par jour. Ces doses peuvent être modifiées à la discrétion du médecin. PRESENTATIONS : Dragées: Boîtes de 20 et 60. Solution: Bouteille avec 80 ml . FERRER INTERNACIONAL, SA * Marque déposée (1)
POSOLOGY, METHOD AND ROUTE OF ADMINISTRATION, AND DURATION OF TREATMENT The posology and administration regimen should be established according to physician criterion. In general, the following is recommended: Adults: 100 to 200 mg (1‑2 ml), two or three times a day. Children: 100 mg (1 ml) two or three times a day. It is recommended to administer with precaution to children below 3 years. Fill the dosifier with the prescribed dose (1‑2 ml) and mix the product with a little water. The duration of treatment and maximum dose should be established according to clinical criterion. WITHDRAWAL SYMPTOMS IN THE EVENT OF TREATMENT SUSPENSION OR THE OMISSION OF ONE OR MORE DOSES None have been described. MEASURES TO BE ADOPTED IN THE EVENT OF OVERDOSE OR POISONING Since the product has no toxic effects, overdose is not expected to produce serious consequences. PATIENT RECOMMENDATIONS Check the product expiry date. If you experience side effects other than those described, notify your physician or pharmacist. Keep all medication out of sight and reach of children. PRESENTATION Bottles containing 50 ml of oral solution to be administered with the dosing syringe included in the container of the product. SPECIAL STORAGE PRECAUTIONS Protect from exposure to light. Store below 25° C. Expiry: do not use Trausan after the expiry date indicated on the packaging. Prescription drug. (1)
PRÉCAUTIONS D'EMPLOI Le médicament Gaviscon sachets-dose peut diminuer l'effet de nombreux autres médicaments. Par précaution, il faut espacer sa prises de 2 heures avec celle de tout autre médicament. Il est nécessaire de tenir compte de l'apport en sodium (145 mg par sachet) de Gaviscon sachets-dose dans le cadre d'un régime pauvre en sel. Gaviscon sachets-dose peut être prescrit pendant la grossesse et l'allaitement, si nécessaire. Avant de prendre tout médicament, vous devez demander conseil à votre médecin ou à votre pharmacien. Le traitement d'un reflux gastro-œsophagien doit s'accompagner de règles hygiéno-diététiques, comme éviter les repas trop copieux, ne pas se coucher immédiatement après le repas et éviter les stations prolongées, le buste penché vers l'avant. Ne pas dormir à plat peut également améliorer les symptômes. Conditionnement : boîte de 24 sachets de 10 ml (1)
PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES Type de Produit : Guigoz 1 Capacité : 400 g Quantité : 1 DESCRIPTIF TECHNIQUE SKU: NE418TB050ASMNAFAMZ Couleur: Jaune/Vert Matériau principal: Autre Modèle: Lait Poids (kg): 0.85 (1)
Pencher la tête du côté opposé de l’oreille à traiter Instiller la moitié du contenu de l’unidose dans l’oreille Masser la base de l’oreille et pencher la tête pour laisser s’écouler le produit et les résidus de cérumen. En cas de bouchon : 3 à 4 jours de suite matin et soir En soin d’hygiène 2 fois par semaine A utiliser dans les 24 heures suivant l’ouverture Ne pas avaler (1)
Posologie La dose recommandée d'Exforge HCT est d'un comprimé par jour, à prendre de préférence le matin. Avant de passer à Exforge HCT les patients doivent être contrôlés par des doses stables de monothérapies prises en même temps. La dose d'Exforge HCT doit être basée sur les doses des composants individuels de l'association au moment du passage à Exforge HCT. La dose maximale recommandée d'Exforge HCT est 10 mg/320 mg/25 mg. Populations particulières Altération de la fonction rénale Du fait du composant hydrochlorothiazide, l'utilisation d'Exforge HCT est contre-indiquée chez les patients présentant une anurie (voir rubrique Contre-indications) et chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (débit de filtration glomérulaire (DFG) (1)
Posologie Réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 6 ans. Adultes: 10 à 12 pastilles par jour, à sucer lentement sans croquer. Enfants de plus de 6 ans: 5 à 6 pastilles par jour, à sucer lentement sans croquer. Compte-tenu de sa forme pharmaceutique, ce médicament ne doit pas être utilisé chez l'enfant de moins de 6ans. Mode et voie d'administration Voie buccale. Durée du traitement Si les symptômes s'aggravent (notamment en cas de fièvre, de crachats purulents ou de douleurs à la déglutition) ou en cas de persistance des symptômes après 5 jours, consultez un médecin.. Précautions d'emploi Mises en garde spéciales L'utilisation de ce médicament est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares). Ce médicament contient 0,6 g de saccharose, de glucose et de sucre inverti par dose dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Grossesse et allaitement Grossesse et allaitement Il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse. Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, consultez votre médecin car lui seul peut juger de la nécessité de le poursuivre. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. (1)
Posologie Ne pas utiliser ce médicament chez l’enfant de moins de 6 ans. Adultes et enfants de plus de 6 ans : 3 à 6 pastilles par jour, à sucer lentement, sans croquer. Espacer les prises de deux à trois heures. Prendre les pastilles à distance des repas. Voie buccale. Pour obtenir un contact prolongé avec les muqueuses, sucer lentement les pastilles. La durée d’utilisation est limitée à 5 jours. (1)
Posologie Réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 2 ans. 2 sachets par jour, en deux prises. Mode d'administration Voie orale. Mélanger le contenu du sachet dans un verre d'eau. (1)
Posologie Rhinite allergique : Adulte et enfant de plus de 12 ans (rhinite allergique saisonnière et perannuelle) : 200 µg en une prise par jour, soit 2 pulvérisations de 50 µg dans chaque narine 1 fois par jour le matin. Elle peut être diminuée à 100 µg par jour une fois l'amélioration des symptômes obtenue. Enfant de 4 ans à 12 ans (rhinite allergique saisonnière) : 100 µg en une prise par jour, soit une pulvérisation de 50 µg dans chaque narine 1 fois par jour le matin. La posologie maximale est de 2 prises par jour de 200 µg chez l'adulte et le jeune de 12 ans et plus ou de 2 prises par jour de 100 µg chez l'enfant de 4 à 12 ans. La mise en route et la durée du traitement sont fonction de l'exposition allergénique. Polypose nasosinusienne : Adulte : Traitement d'attaque : 400 µg par jour, soit 2 pulvérisations de 50 µg dans chaque narine 2 fois par jour, matin et soir. Une fois le contrôle des symptômes obtenu (en général, après 1 à 2 mois), traitement d'entretien : 200 µg par jour, soit 2 pulvérisations de 50 µg dans chaque narine, une fois par jour le matin. La tolérance et l'efficacité du propionate de fluticasone dans le traitement de la polypose de l'enfant n'ont pas été évaluées. Mode d'administration Voie nasale. (1)
Posologie 2 cuillères à café 3 fois par jour après les 3 principaux repas et éventuellement le soir au coucher. Cette posologie peut être doublée en cas de reflux ou d'inflammation oesophagienne sévères. Mode et voie d'administration Ce médicament doit être pris par voie orale. Bien agiter le flacon avant l'emploi. Fréquence d'administration Ce médicament doit être pris après les repas. Précautions d'emploi Mises en garde spéciales Ne laisser pas à la portée et à la vue des enfants.. Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de propyle et du parahydroxybenzoate de méthyle et peut provoquer des réactions allergiques. Veuillez consulter votre médecin avant de prendre ce médicament, s'il vous a été demandé de respecter un régime pauvre en sodium notamment si vous souffrez d'insuffisance cardiaque. Ce médicament contient du sodium. Ce médicament contient 145 mg de sodium pour 2 cuillères à café. A prendre en compte chez les patients contrôlant leur apport alimentaire en sodium. En cas de doute, il est indispensable de demander l'avis de votre medecin ou de votre pharmacien. Grossesse et allaitement Grossesse et allaitement Ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse et l'allaitement, si besoin. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Contre-indications Ne prenez jamais Gaviscon, suspension buvable en flacon : si vous êtes allergique à l’un des constituants, car des irritations cutanées et des difficultés respiratoires ont été rapportées. En cas de doute, il est indispensable de demander l'avis de votre medecin ou de votre pharmacien. Effets indésirables Comme tous les médicaments, Gaviscon, suspension buvable en flacon est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet : Constipation éventuelle. En cas d'utilisation prolongée risque d'augmentation du taux de calcium dans le sang. Réactions allergiques (urticaire, difficultés respiratoires). Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. (1)
Posologie Dissoude un comprimé par jour de Supradyn magnésia dans un grand verre d'eau et le prendre de préférence le matin après un repas.La durée d'utilisation recommandée est de 30 jours, à renouveler plusieurs fois dans l'année. Supradyn magnesia est un complément alimentaire avec édulcorants, à utiliser en complément d'une alimentation variée et équilibrée et d'un mode de vie sain. Précautions d'emploi Contient une source de phénylalanine. Tenir hors de la portée des jeunes enfants. Ne pas utiliser en cas d'hypersensibilité à l'un des ingrédients. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Bien refermer le tube après usage et conserver à température inférieure à 25°C (1)
Posologie Réservé à l'adulte et l'enfant de plus de 6 ans. Traitement de l'anémie: Enfant à partir de 6 ans: 1 comprimé par jour Enfant à partir de 10 ans et adulte: 1 à 2 comprimés par jour. En prévention chez la femme enceinte, généralement 1 comprimé tous les jours ou tous les 2 jours pendant les 2 derniers trimestres de la grossesse (ou à partir du 4e mois). Dans tous les cas , se conforrmer strictement à l'ordonnance de votre medecin. Mode et voie d'administration Voie orale. Fréquence d'administration A prendre avec un verre d'eau, de préférence avant les repas ou pendant les repas, en fonction de la tolérance digestive. Durée du traitement Respecter impérativement la durée du traitement prescrite. Précautions d'emploi Mises en garde spéciales La diminution du taux de fer dans le sang associée aux syndromes inflammatoires n'est pas sensible au traitement par Tardyferon 80 mg, comprimé pelliculés. Le traitement par Tardyferon 80 mg, comprimé pelliculés doit, dans la mesure du possible, être associé au traitement de la cause de la diminution du nombre des globules rouges. En raison de la présence de saccharose, ce médicament ne doit pas être utilisé en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase (maladies métaboliques rares). En raison de la présence d'huile de ricin, risque d'allergie, notamment chez l'enfant de moins de 3 ans. Précautions d'emploi La consommation importante de thé inhibe l'absorption du fer. Il est conseillé de ne pas prendre ce médicament en même temps que cette boisson. En cas de doute, il est indispensable de demander l'avis de votre medecin ou de votre pharmacien. Tenir hors de la portée et de la vue des enfants. Grossesse et allaitement Grossesse et allaitement Ce médicament dans les conditions normales d'utilisation peut être pris pendant la grossesse. L'utilisation de ce médicament est possible chez la femme qui allaite. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament. Contre-indications Ne prenez jamais Tardyferon 80 mg, comprimé pelliculé dans les cas suivants: Allergie connue à l'un des constituants, Anémie (quantité insuffisante de globules rouges dans le sang) non liée à une carence en fer, Occlusion intestinale, en raison de la présence d'huile de ricin. En cas de doute, il est indispensable de demander l'avis de votre medecin ou de votre pharmacien. Effets indésirables Comme tous les médicaments, Tardyferon 80 mg, comprimé pelliculé est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet: Possibilité de troubles gastro-intestinaux: états nauséeux, constipation, diarrhée. La coloration des selles en noir est normale avec ce médicament. Rarement, réactions allergiques cutanées. Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien. (1)
Posologie Adultes : Infections de la sphère ORL : • Angines: 500 mg/jour en 2 prises. La durée de traitement de certaines angines est de 4 jours. • Otites: 500 mg/jour en 2 prises. • Sinusites: 500 mg/jour en 2 prises. Dans les sinusites maxillaires aiguës, un traitement de 5 jours a démontré son efficacité. Infections respiratoires basses: • Bronchites aiguës et chroniques: 500 mg/jour en 2 prises. • Pneumopathies bactériennes: 1000 mg/jour en 2 prises. Enfants à partir de 6 ans: Dans tous les cas, ne pas dépasser la posologie adulte : • Soit en cas d'angines, d'otites, d'infections respiratoires basses autres qu'une pneumopathie bactérienne: 500 mg/jour en 2 prises, qui est atteinte pour un enfant à partir de 17 kg. • Soit en cas de pneumopathie bactérienne: 1000 mg/jour en 2 prises, qui est atteinte pour un enfant à partir de 34 kg. Infections de la sphère ORL, infections respiratoires basses autres qu'une pneumopathie bactérienne : • Enfants à partir de 6 ans avec un poids (1)
Posologie Avant de commencer un traitement par TAHOR, le patient doit suivre un régime alimentaire hypocholestérolémiant standard. Ce régime sera ensuite continué pendant toute la durée du traitement par TAHOR. La posologie doit être adaptée individuellement en fonction des taux initiaux de LDL-cholestérol, de l'objectif thérapeutique et de la réponse au traitement du patient. La posologie initiale usuelle est de 10 mg une fois par jour. L'adaptation posologique devra être effectuée en respectant un intervalle minimum de 4 semaines. La posologie maximale est de 80 mg une fois par jour. Hypercholestérolémie primaire et hyperlipidémie combinée (mixte) Une dose de 10 mg d'atorvastatine en une seule prise est suffisante chez la majorité des patients. Un effet thérapeutique est observé après deux semaines de traitement, l'effet maximum étant atteint après 4 semaines de traitement. L'effet se maintient en cas de traitement prolongé. Hypercholestérolémie familiale hétérozygote Le traitement par TAHOR doit débuter à une posologie de 10 mg par jour. La dose sera ensuite adaptée individuellement toutes les quatre semaines jusqu'à 40 mg par jour. Par la suite, la posologie peut être augmentée jusqu'à 80 mg par jour au maximum. Un chélateur des acides biliaires peut être également prescrit en association avec une posologie de 40mg d'atorvastatine par jour. Hypercholestérolémie familiale homozygote Les données disponibles sont limitées (voir rubrique 5.1). Chez les patients présentant une hypercholestérolémie familiale homozygote, la posologie d'atorvastatine varie de 10 à 80 mg par jour (voir rubrique 5.1). Chez ces patients, l'atorvastatine doit être administrée en complément aux autres traitements hypolipémiants (notamment l'aphérèse du LDL-cholestérol) ou lorsque de tels traitements ne sont pas disponibles. Prévention des maladies cardiovasculaires Dans les études de prévention primaire, la posologie utilisée était de 10 mg/jour. Une posologie plus élevée peut être nécessaire pour atteindre les objectifs cibles du LDL-cholestérol (LDL) fixés par les recommandations en vigueur. Patients atteints d'insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire (voir rubrique 4.4). Patients atteints d'insuffisance hépatique TAHOR doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant une insuffisance hépatique (voir rubriques 4.4 et 5.2). TAHOR est contre-indiqué chez les patients présentant une affection hépatique évolutive (voir rubrique 4.3). Utilisation chez le sujet âgé Chez les patients âgés de plus de 70 ans traités aux doses recommandées, l'efficacité et la sécurité d'emploi sont similaires à celles observées dans la population générale. Population pédiatrique Hypercholestérolémie : L'utilisation pédiatrique doit être mise en uvre seulement par des médecins expérimentés dans le traitement de l'hyperlipidémie pédiatrique et les patients doivent être suivis régulièrement pour évaluer les progrès. Pour les patients âgés de 10 ans ou plus, la dose initiale recommandée d'atorvastatine est de 10 mg par jour, et peut être augmentée jusqu'à 20 mg par jour. Cette augmentation de dose doit être effectuée en fonction de la réponse et de la tolérance des patients pédiatriques au traitement. Les données de sécurité des patients pédiatriques traités avec une dose supérieure à 20 mg, soit environ 0.5 mg/kg, sont limitées. L'expérience est limitée chez les enfants âgés de 6 à 10 ans (voir rubrique 5.1). L'atorvastatine n'est pas indiquée dans le traitement de patients âgés de moins de 10 ans. D'autres formes pharmaceutiques/dosages peuvent être plus appropriées pour cette population. Mode d'administration TAHOR est destiné à la voie orale. La prise d'atorvastatine se fera en 1 prise quotidienne unique quelque soit le moment de la journée, pendant ou en dehors des repas. (1)
Posologie Prenez 1 comprimé Jour le matin et renouvelez la prise si nécessaire lors du déjeuner et du dîner. Prenez, en complément, une gélule nuit au moment du coucher. Il est indispensable de bien respecter un intervalle de 4 heures entre les prises. Ne prenez jamais plus de 3 comprimés et 1 gélule par jour. Précautions d'emploi N'utilisez jamais Humex Rhume Jour et Nuit dans les cas suivants : - Vous avez déjà été victime d'un accident vasculaire cérébral. - Vous souffrez d'hypertension artérielle. - Vous êtes allergique à l'une des substances actives ou à tout autre composant du médicament. - Vous souffrez d'une maladie grave du cœur ou du foie ou de certaines formes de glaucomes. - Vous éprouvez des difficultés à uriner d'origine prostatique ou autre - Vous avez déjà convulsé. - Vous utilisez des médicaments à base d'IMAO non sélectifs dans le cadre d'un traitement pour état dépressif. - Vous allaitez. - Chez l'enfant de moins de 15 ans. Retrouvez l'ensemble des mises en garde spéciales ainsi que la liste des effets indésirables sur la notice. Pour plus de renseignements, demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien. Certains médicaments ne peuvent être associés. Afin d'éviter toute interaction médicamenteuse, prévenez votre médecin si vous prenez ou avez récemment pris un traitement y compris obtenu sans ordonnance. N'utilisez pas Humex Rhume Jour et Nuit ni lors de la grossesse, ni lors de l'allaitement. Informations complémentaires Le traitement ne doit pas excéder 4 jours sans avis médical. Si le rhume persiste au-delà de ce délai, stoppez la prise d'Humex Rhume Jour et Nuit et consultez votre médecin. Veillez à ce que Humex Rhume Jour et Nuit reste hors de portée et de vue des enfants. Si vous souhaitez obtenir de plus amples informations au sujet de ce médicament, nous vous invitons à consulter la notice ou à demander conseil à votre médecin ou à votre pharmacien. (1)
Posologie Adultes: •Trichomonase et Lambliase: 2 g en une seule prise. •Vaginites non spécifiques: 2 g en une seule prise. •Amibiase: 1,5 g par jour, en une seule prise, pendant 4 à 5 jours. •Prévention des infections post-opératoires à germes anaérobies: 2 g en une seule prise 4 à 8 heures avant l'intervention. Enfants: •Lambliase: 50 à 70 mg/kg en une seule prise, sans dépasser 2 g. Mode d'administration La prise du médicament doit se faire de préférence en dehors des repas. Posologie Adultes: •Trichomonase et Lambliase: 2 g en une seule prise. •Vaginites non spécifiques: 2 g en une seule prise. •Amibiase: 1,5 g par jour, en une seule prise, pendant 4 à 5 jours. •Prévention des infections post-opératoires à germes anaérobies: 2 g en une seule prise 4 à 8 heures avant l'intervention. Enfants: •Lambliase: 50 à 70 mg/kg en une seule prise, sans dépasser 2 g. Mode d'administration La prise du médicament doit se faire de préférence en dehors des repas. (1)
Posologie : 35 mg deux fois par jour Contre-indications : Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants, Maladie de Parkinson, Insuffisance rénale sévère (Clairance de la créatinine (1)
Posologie : 50 mg/850mg ou 50 mg/1000 mg deux fois par jour, Contre-indications : Hypersensibilité par rapport aux principes actifs ou à l'un des excipients, Allaitement Diabète acidocétosique ou précoma diabétique Insuffisance rénale ou altération de la fonction rénale définie par une clairance de la créatinine (1)
Posologie : A titre indicatif : Adulte : Poids > 60 kg : 200 mg par jour en 1 prise. Poids 40 kg : 100 mg par jour en 1 prise. Maladie du charbon : Traitement prophylactique postexposition et traitement curatif des personnes symptomatiques pouvant recevoir un traitement per os, soit d’emblée, soit en relais d’un traitement parentéral : Adulte : 200 mg par jour en 2 prises. Enfant de plus de 8 ans : 4 mg/kg/jour en 2 prises sans dépasser la posologie adulte (200 mg/jour). La durée du traitement est de 8 semaines lorsque l’exposition au charbon est avérée. Contre-indications : Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants du produit. Grossesse (à partir du 2ème trimestre) Allaitement. Enfant de moins de 8 ans. Association aux rétinoïdes par voie générale. Effets secondaires : Dyschromie dentaire ou hypoplasie de l'émail en cas d'administration chez l'enfant au-dessous de 8 ans. Réactions allergiques (urticaire, rash, prurit, œdème de Quincke, réaction anaphylactique, purpura rhumatoïde, péricardite, exacerbation d’un lupus érythémateux préexistant). Réactions de photosensibilisation, rashs, très rares cas d’érythrodermie. Une hyperazotémie extrarénale en relation avec un effet antianabolique. Nausées, épigastralgies, Diarrhée, Anorexie, Glossite, Entérocolite, Candidoses, Candidoses anogénitales Dysphagie, oesophagite, Ulcérations oesophagiennes, Interactions médicamenteuses: Rétinoïdes par voie générale Anticoagulants oraux Didanosine Phénobarbital, Barbituriques Sels métalliques (sels d'Al, de Bi, de Ca utilisés comme antiacides et sels de Fe utilisés comme anti-anémiants). (1)
Posologie : A titre indicatif : Adulte : 1 g à 3 g de Thiamphénicol par jour en 3 ou 4 prises par voie orale ou 1,5 g à 3 g deThiamphénicol par voie Injectable Enfant : 30 à 100 mg par kg et par jour. Contre-indications : Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants du produit. Femme en période de péripartum Nouveau-né, nourrisson âgé de moins de trois mois. Insuffisance hépatique sévère Insuffisance rénale sévère Effets secondaires : Anémie, Leucopénie Réticulocytopénie, Thrombopénie, Interactions médicamenteuses: Anticoagulants oraux Fluoroquinolones, Macrolides, Certaines céphalosporines. Cyclines, Cotrimoxazole (1)
Posologie : A titre indicatif : Oxyurose : Enfant de 1 à 2 ans : 200 mg .Une prise unique à répéter 7 jours plus tard. Adulte et enfant de plus de 2 ans : 400 mg .Une prise unique à répéter 7 jours plus tard. Ascaridiose, Ankylostomose et Trichocéphalose : Enfant de 1 à 2 ans : 200 mg prise unique*. Adulte et enfant de plus de 2 ans : 400 mg prise unique*. Anguillulose. Adulte et enfant de plus de 2 ans : 400 mg Une prise quotidienne à répéter 3 jours de suite*. Giardiose : Enfant : 400 mg Une prise quotidienne à répéter 5 jours de suite. Trichinellose : Enfant : 15 mg/kg/jour répartis en 2 prises par jour / Une prise matin et soir pendant 10 à 15 jours en fonction de la sévérité de la symptomatologie Adulte : 800 mg 2 fois par jour / Une prise matin et soir pendant 10 à 15 jours en fonction de la sévérité de la symptomatologie et de la précocité de la prise en charge thérapeutique. Contre indications : Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants du produit. Enfant de moins de 6 ans Interactions médicamenteuses: (1)